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Accueil - Information professionnelle sur Bilol 5 mg - Changements - 20.11.2015
56 Changements de l'information professionelle Bilol 5 mg
  • -Le traitement par Bilol est généralement de longue durée et ne doit pas être arrêté de façon abrupte, car cela peut conduire à une aggravation temporaire de létat du patient (notamment chez des patients avec une maladie cardiaque coronarienne). La dose doit être réduite progressivement.
  • -Instructions spéciales de dosage:
  • +Le traitement par Bilol est généralement de longue durée et ne doit pas être arrêté de façon abrupte, car cela peut conduire à une aggravation temporaire de l'état du patient (notamment chez des patients avec une maladie cardiaque coronarienne). La dose doit être réduite progressivement.
  • +Instructions spéciales de dosage
  • -Le médecin traitant doit avoir de lexpérience dans le traitement de linsuffisance cardiaque chronique et le patient doit être stable au début du traitement par Bilol (sans insuffisance cardiaque aiguë).
  • -Le traitement doit être instauré progressivement selon le schéma posologique suivant. En cas de bonne tolérance, augmenter à la posologie immédiatement supérieure:
  • - 1re semaine: 1,25 mg (1/2 cpr. à 2,5 mg) une fois par jour.
  • - 2e semaine: 2,5 mg (1 cpr. à 2,5 mg) une fois par jour.
  • - 3e semaine: 3,75 mg (1 1/2 cpr. à 2,5 mg) une fois par jour.
  • - 4e-7e semaine: 5 mg (1 cpr. à 5 mg) une fois par jour.
  • - 8e-11e semaine: 7,5 mg (1½ cpr. à 5 mg) une fois par jour.
  • - Dès la 12e semaine: 10 mg (1 cpr. à 10 mg) une fois par jour comme traitement dentretien.
  • +Le médecin traitant doit avoir de l'expérience dans le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique et le patient doit être stable au début du traitement par Bilol (sans insuffisance cardiaque aiguë).
  • +Le traitement doit être instauré progressivement selon le schéma posologique suivant. En cas de bonne tolérance, augmenter à la posologie immédiatement supérieure.
  • +1re semaine: 1,25 mg (½ cpr. à 2,5 mg) une fois par jour
  • +2e semaine: 2,5 mg (1 cpr. à 2,5 mg) une fois par jour
  • +3e semaine: 3,75 mg (1½ cpr. à 2,5 mg) une fois par jour
  • +4e-7e semaine: 5 mg (1 cpr. à 5 mg) une fois par jour
  • +8e-11e semaine: 7,5 mg (1½ cpr. à 5 mg) une fois par jour
  • +dès la 12e semaine: 10 mg (1 cpr. à 10 mg) une fois par jour comme traitement d'entretien
  • -Pendant la phase de titration, une surveillance étroite du patient est recommandée (fréquence cardiaque, tension artérielle) et il faut prêter attention à des signes daggravation de linsuffisance cardiaque.
  • -Si une augmentation de la dose nest pas bien tolérée, ou si la dose maximale recommandée est mal tolérée, il faut envisager de réduire progressivement la dose et de poursuivre le traitement avec une posologie inférieure. En cas daggravation temporaire de linsuffisance cardiaque, si une hypotension ou une bradycardie surviennent, il est recommandé de réexaminer la posologie de la médication concomitante. Le cas échéant, on peut réduire temporairement la posologie du bisoprolol ou arrêter le traitement. Après stabilisation du patient, il faut envisager une reprise du traitement resp. une augmentation de la dose de bisoprolol.
  • +Pendant la phase de titration, une surveillance étroite du patient est recommandée (fréquence cardiaque, tension artérielle) et il faut prêter attention à des signes d'aggravation de l'insuffisance cardiaque.
  • +Si une augmentation de la dose n'est pas bien tolérée, ou si la dose maximale recommandée est mal tolérée, il faut envisager de réduire progressivement la dose et de poursuivre le traitement avec une posologie inférieure. En cas d'aggravation temporaire de l'insuffisance cardiaque, si une hypotension ou une bradycardie surviennent, il est recommandé de réexaminer la posologie de la médication concomitante. Le cas échéant, on peut réduire temporairement la posologie du bisoprolol ou arrêter le traitement. Après stabilisation du patient, il faut envisager une reprise du traitement resp. une augmentation de la dose de bisoprolol.
  • -Traitement dune hypertension essentielle ou dune angine de poitrine
  • -Pour patients souffrant dune insuffisance rénale ou hépatique légère ou modérée, il nest pas nécessaire dadapter la posologie.
  • -Chez les patients souffrant dinsuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou dinsuffisance hépatique grave, une dose journalière de 10 mg ne doit pas être dépassée. Les expériences avec le bisoprolol chez les patients dialysés sont limitées. Néanmoins, il nest pas nécessaire dajuster la posologie.
  • -Traitement de linsuffisance cardiaque chronique stable
  • -Aucune donnée n'est disponible pour les patients avec insuffisance rénale ou hépatique. Une prudence particulière s'impose donc lors de l'augmentation de la posologie.
  • +Traitement d'une hypertension essentielle ou d'une angine de poitrine
  • +Pour patients souffrant d'une insuffisance rénale ou hépatique légère ou modérée, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie.
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou d'insuffisance hépatique grave, une dose journalière de 10 mg ne doit pas être dépassée. Les expériences avec le bisoprolol chez les patients dialysés sont limitées. Néanmoins, il n'est pas nécessaire d'ajuster la posologie.
  • +Traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable
  • +Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible pour les patients avec insuffisance rénale ou hépatique. Une prudence particulière s'impose donc lors de l'augmentation de la posologie.
  • -Il n'existe pas d'expériences pédiatriques avec Bilol. Cest pourquoi Bilol nest pas recommandé chez les patients de moins de 18 ans.
  • +Il n'existe pas d'expériences pédiatriques avec Bilol. C'est pourquoi Bilol n'est pas recommandé chez les patients de moins de 18 ans.
  • -·Insuffisance cardiaque aiguë ainsi quépisodes d'insuffisance cardiaque décompensée, qui nécessitent une thérapie inotrope parentérale.
  • -·Blocs auriculo-ventriculaires des 2e ou 3e degrés (non appareillés).
  • -·Maladie du sinus.
  • -·Bloc sino-auriculaire.
  • -·Choc cardiogénique.
  • -·Bradycardie symptomatique avec moins de 60 battements par minute avant le début du traitement.
  • -·Hypotension symptomatique (pression systolique <100 mm Hg).
  • -·Formes sévères dartériopathie oblitérante périphérique ou de syndrome de Raynaud.
  • -·Asthme bronchique grave ou affections respiratoires obstructives chroniques graves.
  • -·Phéochromocytome non traité.
  • -·Acidose métabolique.
  • -·Hypersensibilité au bisoprolol ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +·Insuffisance cardiaque aiguë ainsi qu'épisodes d'insuffisance cardiaque décompensée, qui nécessitent une thérapie inotrope parentérale;
  • +·blocs auriculo-ventriculaires des 2e ou 3e degrés (non appareillés);
  • +·maladie du sinus;
  • +·bloc sino-auriculaire;
  • +·choc cardiogénique;
  • +·bradycardie symptomatique avec moins de 60 battements par minute avant le début du traitement;
  • +·hypotension symptomatique (pression systolique <100 mm Hg);
  • +·formes sévères d'artériopathie oblitérante périphérique ou de syndrome de Raynaud;
  • +·asthme bronchique grave;
  • +·phéochromocytome non traité;
  • +·acidose métabolique;
  • +·hypersensibilité au bisoprolol ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • -Sauf en cas de nécessité absolue, le traitement par Bilol ne doit pas être interrompu brusquement chez les patients atteints dune cardiopathie coronaire, afin déviter une aggravation transitoire de létat du patient.
  • -Le traitement de linsuffisance cardiaque chronique stable doit être instauré progressivement (cf. «Instructions spéciales de dosage»).
  • +Sauf en cas de nécessité absolue, le traitement par Bilol ne doit pas être interrompu brusquement chez les patients atteints d'une cardiopathie coronaire, afin d'éviter une aggravation transitoire de l'état du patient.
  • +Le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable doit être instauré progressivement (voir «Instructions spéciales de dosage»).
  • -Bisoprolol ne doit être administré quavec prudence dans les cas suivants:
  • -Diabète sucré avec glycémie très fluctuante: lors du traitement par des β1-bloquants, le risque dinfluer sur le métabolisme glucidique ou de masquer les symptômes dune hypoglycémie (tachycardie, palpitations ou sudation) est moins marqué que lors de la thérapie par des β-bloquants non sélectifs. Il est néanmoins recommandé dêtre prudent.
  • -Jeûne strict.
  • -Traitement de désensibilisation concomitant: comme tous les β-bloquants, le bisoprolol peut accroître la sensibilité aux allergènes, ce qui risque de majorer les complications en cas de choc anaphylactique. Un traitement par adrénaline ne montre pas toujours leffet thérapeutique souhaité.
  • -Bloc auriculo-ventriculaire du 1er degré.
  • -Angor de Prinzmetal.
  • -Artériopathie oblitérante périphérique: les troubles peuvent saggraver en particulier au début du traitement.
  • -Chez les patients présentant un psoriasis ou des antécédents de psoriasis: les β-bloquants (p.ex. bisoprolol) ne devraient être utilisés quaprès une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque;
  • -Thyréotoxicose: le bisoprolol peut masquer les symptômes dune thyréotoxicose.
  • -Anesthésie générale: lanesthésiste doit être informé du traitement par Bilol, en raison des interactions potentielles avec dautres médicaments. Si le traitement doit être interrompu, la dose sera réduite progressivement et Bilol sera arrêté au plus tard 48 heures avant le début de lanesthésie.
  • -Asthme bronchique ou d’autres maladies pulmonaires obstructives chroniques susceptibles de provoquer des symptômes: il faut associer un broncho-dilatateur. Une augmentation de la résistance respiratoire peut se manifester occasionnellement chez des patients asthmatiques et nécessiter une augmentation de la dose du β2-sympathomimétique.
  • -Phéochromocytome: utiliser le bisoprolol uniquement après administration dun α-bloquant.
  • -Hypertension essentielle ou angine de poitrine et insuffisance cardiaque.
  • -Le début du traitement de linsuffisance cardiaque chronique stable par Bilol nécessite une surveillance régulière (voir «Instructions spéciales de dosage»).
  • -En labsence dexpériences thérapeutiques, Bilol doit être administré avec prudence chez les patients insuffisants cardiaques qui présentent simultanément lun des tableaux cliniques suivants:
  • -Diabète sucré insulino-dépendant (type 1).
  • -Insuffisance rénale grave. Insuffisance hépatique grave.
  • -Cardiomyopathie restrictive.
  • -Cardiopathie congénitale.
  • -Anomalie dune valvule cardiaque avec effets sur lhémodynamie.
  • -Infarctus du myocarde au cours des 3 mois précédents.
  • +Le bisoprolol ne doit être administré qu'avec prudence dans les cas suivants:
  • +·Diabète sucré avec glycémie très fluctuante: lors du traitement par des β1-bloquants, le risque d'influer sur le métabolisme glucidique ou de masquer les symptômes d'une hypoglycémie (tachycardie, palpitations ou sudation) est moins marqué que lors de la thérapie par des β-bloquants non sélectifs. Il est néanmoins recommandé d'être prudent.
  • +·Jeûne strict.
  • +·Traitement de désensibilisation concomitant: comme tous les β-bloquants, le bisoprolol peut accroître la sensibilité aux allergènes, ce qui risque de majorer les complications en cas de choc anaphylactique. Un traitement par adrénaline ne montre pas toujours l'effet thérapeutique souhaité.
  • +·Bloc auriculo-ventriculaire du 1er degré.
  • +·Angor de Prinzmetal.
  • +·Artériopathie oblitérante périphérique: les troubles peuvent s'aggraver en particulier au début du traitement.
  • +·Chez les patients présentant un psoriasis ou des antécédents de psoriasis: les β-bloquants (p.ex. bisoprolol) ne devraient être utilisés qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque.
  • +·Thyréotoxicose: le bisoprolol peut masquer les symptômes d'une thyréotoxicose.
  • +·Anesthésie générale: l'anesthésiste doit être informé du traitement par Bilol, en raison des interactions potentielles avec d'autres médicaments. Si le traitement doit être interrompu, la dose sera réduite progressivement et Bilol sera arrêté au plus tard 48 heures avant le début de l'anesthésie.
  • +·Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO): en raison de sa sélectivité β1 relative, Bilol peut être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de BPCO si ceci est nécessaire du point de vue clinique. Dans ce cas, le traitement doit être instauré avec la dose de bisoprolol la plus faible possible. Un traitement bronchodilatateur doit être co-administré.
  • +·Asthme bronchique: un traitement bronchodilatateur doit être co-administré. Une augmentation de la résistance des voies respiratoires peut occasionnellement survenir chez les patients asthmatiques, rendant nécessaire une augmentation de la dose du sympathomimétique β2. Bilol est contre-indiqué en cas d'asthme bronchique grave (voir «Contre-indications»).
  • +·Phéochromocytome: utiliser le bisoprolol uniquement après administration d'un α-bloquant.
  • +·Hypertension essentielle ou angine de poitrine et insuffisance cardiaque.
  • +Le début du traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable par Bilol nécessite une surveillance régulière (voir «Instructions spéciales de dosage»).
  • +En l'absence d'expériences thérapeutiques, Bilol doit être administré avec prudence chez les patients insuffisants cardiaques qui présentent simultanément l'un des tableaux cliniques suivants:
  • +·diabète sucré insulino-dépendant (type 1);
  • +·insuffisance rénale grave;
  • +·insuffisance hépatique grave;
  • +·cardiomyopathie restrictive;
  • +·cardiopathie congénitale;
  • +·anomalie d'une valvule cardiaque avec effets sur l'hémodynamie;
  • +·infarctus du myocarde au cours des 3 mois précédents.
  • -Le traitement par le bisoprolol ne doit pas être interrompu brutalement, car linsuffisance cardiaque risque de saggraver transitoirement ou létat du patient peut saggraver brusquement notamment chez les sujets présentant une cardiopathie coronaire.
  • -Si le traitement doit être arrêté, il faut réduire la dose progressivement (p.ex. réduire la dose de moitié à intervalle dune semaine).
  • +Le traitement par le bisoprolol ne doit pas être interrompu brutalement, car l'insuffisance cardiaque risque de s'aggraver transitoirement ou l'état du patient peut s'aggraver brusquement notamment chez les sujets présentant une cardiopathie coronaire.
  • +Si le traitement doit être arrêté, il faut réduire la dose progressivement (p.ex. réduire la dose de moitié à intervalle d'une semaine).
  • -Antagonistes du calcium de type vérapamil et dans une moindre mesure de type diltiazem: effet négatif sur la contractilité et lexcitabilité AV. Ladministration intraveineuse de vérapamil peut entraîner une hypotension marquée et un bloc auriculo-ventriculaire.
  • -Les antihypertenseurs à action centrale (p.ex. réserpine, α-méthyldopa, clonidine, moxonidine): leffet antihypertenseur est accentué par la baisse de la fréquence cardiaque, de la capacité cardiaque ainsi que par une vasodilatation. Un arrêt brusque dun antihypertenseur à action centrale, en particulier avant la fin de la thérapie par bêtabloquant, peut augmenter le risque de survenue dune hypertension de rebond («Rebound»).
  • -Antiarythmiques de classe I (p.ex. quinidine, lidocaïne, phénytoïne) en cas dinsuffisance cardiaque chronique: ils peuvent potentialiser leffet sur le temps de conduction AV ainsi que leffet inotrope négatif des β-bloquants.
  • +·Antagonistes du calcium de type vérapamil et dans une moindre mesure de type diltiazem: effet négatif sur la contractilité et l'excitabilité AV. L'administration intraveineuse de vérapamil peut entraîner une hypotension marquée et un bloc auriculo-ventriculaire.
  • +·Les antihypertenseurs à action centrale (p.ex. réserpine, α-méthyldopa, clonidine, moxonidine): l'effet antihypertenseur est accentué par la baisse de la fréquence cardiaque, de la capacité cardiaque ainsi que par une vasodilatation. Un arrêt brusque d'un antihypertenseur à action centrale, en particulier avant la fin de la thérapie par bêtabloquant, peut augmenter le risque de survenue d'une hypertension de rebond («Rebound»).
  • +·Antiarythmiques de classe I (p.ex. quinidine, lidocaïne, phénytoïne) en cas d'insuffisance cardiaque chronique: ils peuvent potentialiser l'effet sur le temps de conduction AV ainsi que l'effet inotrope négatif des β-bloquants.
  • -Insuline et antidiabétiques oraux: potentialisation de leffet hypoglycémiant. Les signes annonciateurs dune hypoglycémie (p.ex. tachycardie, palpitations ou sudation) peuvent être masqués ou diminués par des β-bloquants.
  • -Antagonistes du calcium de type dihydropyridine (p.ex. nifédipine, félodipine, amlodipine): le risque dhypotension peut augmenter et la fonction pompe ventriculaire peut saggraver chez les patients insuffisants cardiaques.
  • -Anti-arythmiques de classe III (p.ex. amiodarone): ils peuvent accentuer leffet sur le temps de conduction AV.
  • -Parasympathomimétiques: augmentation du temps de conduction AV et du risque possible de bradycardie.
  • -Anesthésiques: diminution dune tachycardie réflexe et augmentation du risque dhypotension.
  • -Glucosides cardiotoniques: prolongation du temps de conduction AV et en conséquence ralentissement de la fréquence cardiaque.
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS): leffet antihypertenseur peut diminuer.
  • -β-sympathomimétiques (p.ex. dobutamine): leffet des deux substances peut être réduit.
  • -Sympathomimétiques, activant les α- et β-récepteurs (p.ex. adrénaline, noradrénaline): augmentation possible de la pression artérielle et aggravation dune claudication intermittente. Ces interactions surviennent surtout avec des β-bloquants non-séléctifs.
  • -Autres antihypertenseurs ou médicaments qui abaissent la pression artérielle (p.ex. antidépresseurs tricycliques, barbituriques, phénothiazines), y compris les collyres en cas de glaucomes et lalcool: il existe un risque élevé dhypotension.
  • -Antiarythmiques de classe I (p.ex. quinidine, lidocaïne, phénytoïne) pour le traitement dune hypertension essentielle ou dune angine de poitrine: ils peuvent potentialiser leffet sur le temps de conduction AV et accentuer leffet inotrope négatif des β-bloquants.
  • -À considérer lors dune administration simultanée:
  • -Méfloquine: augmentation du risque de bradycardie.
  • -Inhibiteurs de la monoamine-oxydase (à lexception des inhibiteurs MAO-B): il faut considérer le renforcement de leffet hypotenseur des β-bloquants mais également le risque de crise hypertensive.
  • -Dérivés de lergotamine: augmentation des troubles vasculaires périphériques.
  • +·Insuline et antidiabétiques oraux: potentialisation de l'effet hypoglycémiant. Les signes annonciateurs d'une hypoglycémie (p.ex. tachycardie, palpitations ou sudation) peuvent être masqués ou diminués par des β-bloquants.
  • +·Antagonistes du calcium de type dihydropyridine (p.ex. nifédipine, félodipine, amlodipine): le risque d'hypotension peut augmenter et la fonction pompe ventriculaire peut s'aggraver chez les patients insuffisants cardiaques.
  • +·Anti-arythmiques de classe III (p.ex. amiodarone): ils peuvent accentuer l'effet sur le temps de conduction AV.
  • +·Parasympathomimétiques: augmentation du temps de conduction AV et du risque possible de bradycardie.
  • +·Anesthésiques: diminution d'une tachycardie réflexe et augmentation du risque d'hypotension.
  • +·Glucosides cardiotoniques: prolongation du temps de conduction AV et en conséquence ralentissement de la fréquence cardiaque.
  • +·Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS): l'effet antihypertenseur peut diminuer.
  • +·β-sympathomimétiques (p.ex. dobutamine): l'effet des deux substances peut être réduit.
  • +·Sympathomimétiques, activant les α- et β-récepteurs (p.ex. adrénaline, noradrénaline): augmentation possible de la pression artérielle et aggravation d'une claudication intermittente. Ces interactions surviennent surtout avec des β-bloquants non-séléctifs.
  • +·Autres antihypertenseurs ou médicaments qui abaissent la pression artérielle (p.ex. antidépresseurs tricycliques, barbituriques, phénothiazines), y compris les collyres en cas de glaucomes et l'alcool: il existe un risque élevé d'hypotension.
  • +·Antiarythmiques de classe I (p.ex. quinidine, lidocaïne, phénytoïne) pour le traitement d'une hypertension essentielle ou d'une angine de poitrine: ils peuvent potentialiser l'effet sur le temps de conduction AV et accentuer l'effet inotrope négatif des β-bloquants.
  • +À considérer lors d'une administration simultanée:
  • +·Méfloquine: augmentation du risque de bradycardie.
  • +·Inhibiteurs de la monoamine-oxydase (à l'exception des inhibiteurs MAO-B): il faut considérer le renforcement de l'effet hypotenseur des β-bloquants mais également le risque de crise hypertensive.
  • +·Dérivés de l'ergotamine: augmentation des troubles vasculaires périphériques.
  • -Les effets pharmacologiques du bisoprolol peuvent avoir une influence négative sur la grossesse et/ou le foetus/le nouveau-né. Les β-bloquants réduisent l'irrigation placentaire, ce qui est associé à un ralentissement du développement foetal, une mort intra-utérine, une fausse couche ou une naissance prématurée. Des effets secondaires (p.ex. hypoglycémie et bradycardie) peuvent survenir chez le foetus/nouveau-né. Si un traitement par des β-bloquants est nécessaire, il faut administrer des β1-bloquants sélectifs.
  • -Bilol ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le traitement est absolument nécessaire. Si lapplication est indispensable, une surveillance stricte de lirrigation utéro-placentaire et de la croissance foetale est nécessaire. Lors de l'apparition d'effets négatifs sur la grossesse ou le foetus, il faut envisager d'autres thérapies. Le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant les premiers 3 jours sur l'apparition d'hypoglycémie ou de bradycardie.
  • +Les effets pharmacologiques du bisoprolol peuvent avoir une influence négative sur la grossesse et/ou le fœtus/le nouveau-né. Les β-bloquants réduisent l'irrigation placentaire, ce qui est associé à un ralentissement du développement fœtal, une mort intra-utérine, une fausse couche ou une naissance prématurée. Des effets secondaires (p.ex. hypoglycémie et bradycardie) peuvent survenir chez le fœtus/nouveau-né. Si un traitement par des β-bloquants est nécessaire, il faut administrer des β1-bloquants sélectifs.
  • +Bilol ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le traitement est absolument nécessaire. Si l'application est indispensable, une surveillance stricte de l'irrigation utéro-placentaire et de la croissance fœtale est nécessaire. Lors de l'apparition d'effets négatifs sur la grossesse ou le fœtus, il faut envisager d'autres thérapies. Le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant les premiers 3 jours sur l'apparition d'hypoglycémie ou de bradycardie.
  • -Le taux de bisoprolol présent dans le lait maternel n'a pas encore été quantifié directement chez la femme. Chez l'animal, il atteint au maximum 2% de la dose appliquée. Bilol ne doit donc pas être administré pendant la période dallaitement.
  • +Le taux de bisoprolol présent dans le lait maternel n'a pas encore été quantifié directement chez la femme. Chez l'animal, il atteint au maximum 2% de la dose appliquée. Bilol ne doit donc pas être administré pendant la période d'allaitement.
  • -Fréquent: fatigue, vertiges, céphalées, sudation. Ces manifestations surviennent chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine surtout au début du traitement, sont généralement de nature légère et disparaissent dans la plupart des cas après 1-2 semaines de traitement.
  • +Fréquent: fatigue, vertiges, céphalées et sudation. Ces manifestations surviennent chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine surtout au début du traitement, sont généralement de nature légère et disparaissent dans la plupart des cas après 1-2 semaines de traitement.
  • -Fréquent: hypotension (surtout chez les patients avec insuffisance cardiaque chronique), aggravation dune insuffisance cardiaque (chez des patients avec une insuffisance cardiaque chronique).
  • -Occasionnel: bradycardie (chez les patients avec hypertension ou angine de poitrine), aggravation dune insuffisance cardiaque (chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine), troubles de lexcitabilité AV.
  • +Fréquent: hypotension (surtout chez les patients avec insuffisance cardiaque chronique), aggravation d'une insuffisance cardiaque (chez des patients avec une insuffisance cardiaque chronique).
  • +Occasionnel: bradycardie (chez les patients avec hypertension ou angine de poitrine), aggravation d'une insuffisance cardiaque (chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine), troubles de l'excitabilité AV.
  • -Occasionnel: bronchospasmes chez les patients souffrant dasthme ou daffections respiratoires obstructives chroniques.
  • +Occasionnel: bronchospasmes chez les patients souffrant d'asthme ou d'affections respiratoires obstructives chroniques.
  • -Rare: réactions dhypersensibilité (prurit, rougeur, éruption cutanée).
  • -Très rare: alopécie. Les β-bloquants peuvent favoriser la survenue ou laggravation dun psoriasis ou déruptions de type psoriasis.
  • +Rare: réactions d'hypersensibilité (prurit, rougeur, éruption cutanée).
  • +Très rare: alopécie. Les β-bloquants peuvent favoriser la survenue ou l'aggravation d'un psoriasis ou d'éruptions de type psoriasis.
  • -Un surdosage dun bêtabloquant peut entraîner une chute de la pression artérielle, une bradycardie, des bronchospasmes, une insuffisance cardiaque aiguë et une hypoglycémie. Après la prise dune dose unique élevée de bisoprolol, on a constaté dimportantes différences interindividuelles, les patients souffrant dinsuffisance cardiaque étant probablement particulièrement sensibles. Après un surdosage aigu, interrompre le traitement par Bilol et instaurer des mesures symptomatiques et de soutien. Les données restreintes disponibles suggèrent que le bisoprolol nest que très difficilement dialysable.
  • +Un surdosage d'un bêtabloquant peut entraîner une chute de la pression artérielle, une bradycardie, des bronchospasmes, une insuffisance cardiaque aiguë et une hypoglycémie. Après la prise d'une dose unique élevée de bisoprolol, on a constaté d'importantes différences interindividuelles, les patients souffrant d'insuffisance cardiaque étant probablement particulièrement sensibles. Après un surdosage aigu, interrompre le traitement par Bilol et instaurer des mesures symptomatiques et de soutien. Les données restreintes disponibles suggèrent que le bisoprolol n'est que très difficilement dialysable.
  • -Le bisoprolol est un β1-bloquant sélectif et ne possède ni des propriétés stimulantes intrinsèques, ni dimportantes propriétés de stabilisation membranaire. Cette affinité élevée pour les récepteurs β1 soppose à la faible affinité pour les récepteurs β2 de la musculature lisse bronchique et vasculaire ainsi que les récepteurs β2 agissant dans la régulation métabolique. Il est donc improbable que le bisoprolol affecte la résistance bronchique ou le métabolisme β2-dépendant du moins aux faibles doses prescrites dans l'insuffisance cardiaque. La β1-sélectivité est assurée à toutes les doses thérapeutiques. Le bisoprolol n'exerce pas d'effet inotrope négatif à long terme.
  • +Le bisoprolol est un β1-bloquant sélectif et ne possède ni des propriétés stimulantes intrinsèques, ni d'importantes propriétés de stabilisation membranaire. Cette affinité élevée pour les récepteurs β1 s'oppose à la faible affinité pour les récepteurs β2 de la musculature lisse bronchique et vasculaire ainsi que les récepteurs β2 agissant dans la régulation métabolique. Il est donc improbable que le bisoprolol affecte la résistance bronchique ou le métabolisme β2-dépendant du moins aux faibles doses prescrites dans l'insuffisance cardiaque. La β1-sélectivité est assurée à toutes les doses thérapeutiques. Le bisoprolol n'exerce pas d'effet inotrope négatif à long terme.
  • -En essais cliniques dans le cadre de l'insuffisance cardiaque, l'association de bisoprolol à un diurétique et un inhibiteur de l'ECA a entraîné une réduction significative du taux de mortalité. Dans des études sur l'insuffisance cardiaque (CIBIS I et CIBIS II), associant le bisoprolol à des diurétiques et des inhibiteurs de l'ECA, le médicament a exercé un effet favorable sur le taux de survie: alors que la première étude CIBIS (n= 641 patients dont 320 sous bisoprolol) a révélé une baisse non significative de la mortalité de 20%, CIBIS II (n= 2647 patients dont 1327 sous bisoprolol) a montré une réduction hautement significative de la mortalité globale parmi les patients NYHA-III/IV (11,8% des patients sous bisoprolol par rapport à 17,3% dans le groupe placebo; baisse relative: 34%). Par ailleurs, les cas de mort subite dorigine cardiaque ont nettement diminué (3,6% contre 6,3%, baisse relative: 44%) ainsi que le nombre d'hospitalisation pour aggravation de l'insuffisance cardiaque (12% contre 17,6%, baisse relative: 36%). Finalement, la fonction cardiaque a enregistré une amélioration significative selon les critères NYHA.
  • +En essais cliniques dans le cadre de l'insuffisance cardiaque, l'association de bisoprolol à un diurétique et un inhibiteur de l'ECA a entraîné une réduction significative du taux de mortalité. Dans des études sur l'insuffisance cardiaque (CIBIS I et CIBIS II), associant le bisoprolol à des diurétiques et des inhibiteurs de l'ECA, le médicament a exercé un effet favorable sur le taux de survie: alors que la première étude CIBIS (n= 641 patients dont 320 sous bisoprolol) a révélé une baisse non significative de la mortalité de 20%, CIBIS II (n= 2647 patients dont 1327 sous bisoprolol) a montré une réduction hautement significative de la mortalité globale parmi les patients NYHA-III/IV (11,8% des patients sous bisoprolol par rapport à 17,3% dans le groupe placebo; baisse relative: 34%). Par ailleurs, les cas de mort subite d'origine cardiaque ont nettement diminué (3,6% contre 6,3%, baisse relative: 44%) ainsi que le nombre d'hospitalisation pour aggravation de l'insuffisance cardiaque (12% contre 17,6%, baisse relative: 36%). Finalement, la fonction cardiaque a enregistré une amélioration significative selon les critères NYHA.
  • -Une étude menée chez 36 patients souffrant de cardiopathie coronaire (sans insuffisance cardiaque chronique) a montré que le bisoprolol réduit la fréquence cardiaque et le rapport pression/fréquence et soulage ainsi le coeur.
  • -Létude CIBIS III a été menée chez 1010 patients âgés de 65 ans au moins avec une insuffisance cardiaque chronique légère à modérée (classe NYHA II ou III) et une fraction déjection ventriculaire gauche ≤35%. Les patients navaient pas été prétraités avec des inhibiteurs de lECA, des bétabloquants ou des antagonistes du récepteur à langiotensine. Cette étude a comparé lefficacité et la sécurité dun traitement initial de six mois avec du bisoprolol (posologie visée 1× 10 mg/jour), suivi dune administration supplémentaire dénalapril, un inhibiteur de lECA, (posologie visée 2× 10 mg/jour) pendant 6 à 24 mois supplémentaires, avec un traitement initial à lénalapril, suivi dune administration supplémentaire de bisoprolol. Chaque groupe de traitement englobait 505 patients.
  • -Les deux stratégies de traitement ont été évaluées en aveugle aussi bien sur la base du critère dévaluation primaire combiné – mortalité totale ou hospitalisation – que sur la base de chaque composant individuel. Lanalyse en intention de traiter (ITT) a montré que dans le groupe du bisoprolol-initial, un événement du critère dévaluation primaire survenait chez 178 patients (35,2%) et dans le groupe de lénalapril-initial, chez 186 patients (36,8%). Lefficacité dun traitement initial au bisoprolol suivi dune administration supplémentaire dénalapril est comparable (pas inférieure) à la combinaison dans lordre inverse. Dans le groupe traité initialement au bisoprolol, 65 patients sont décédés, dans celui traité initialement à lénalapril, 73 patients (différence entre les groupes: p= 0,44). 151 patients traités dabord au bisoprolol et 157 patients traités dabord à lénalapril (p= 0,66) ont été hospitalisés. Le nombre de cas deffets secondaires graves ainsi que le nombre total deffets secondaires étaient comparables dans les deux groupes. Une analyse des données dans la première année de létude a montré une tendance non significative avec la diminution de 31% de la mortalité totale dans le groupe traité initialement au bisoprolol par rapport au groupe traité dabord à lénalapril. Lamélioration de la survie dans le groupe traité initialement au bisoprolol est principalement attribuable à une réduction du risque de mort cardiaque subite de 46% (p= 0,049) durant la première année de traitement.
  • -Les résultats de létude CIBIS III montrent quen cas dinsuffisance cardiaque chronique, un traitement initial au bisoprolol est aussi efficace et sûr quun traitement initial à lénalapril.
  • +Une étude menée chez 36 patients souffrant de cardiopathie coronaire (sans insuffisance cardiaque chronique) a montré que le bisoprolol réduit la fréquence cardiaque et le rapport pression/fréquence et soulage ainsi le cœur.
  • +L'étude CIBIS III a été menée chez 1010 patients âgés de 65 ans au moins avec une insuffisance cardiaque chronique légère à modérée (classe NYHA II ou III) et une fraction d'éjection ventriculaire gauche ≤35%. Les patients n'avaient pas été prétraités avec des inhibiteurs de l'ECA, des bétabloquants ou des antagonistes du récepteur à l'angiotensine. Cette étude a comparé l'efficacité et la sécurité d'un traitement initial de six mois avec du bisoprolol (posologie visée 1× 10 mg/jour), suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril, un inhibiteur de l'ECA, (posologie visée 2× 10 mg/jour) pendant 6 à 24 mois supplémentaires, avec un traitement initial à l'énalapril, suivi d'une administration supplémentaire de bisoprolol. Chaque groupe de traitement englobait 505 patients.
  • +Les deux stratégies de traitement ont été évaluées en aveugle aussi bien sur la base du critère d'évaluation primaire combiné – mortalité totale ou hospitalisation – que sur la base de chaque composant individuel. L'analyse en intention de traiter (ITT) a montré que dans le groupe du bisoprololinitial, un événement du critère d'évaluation primaire survenait chez 178 patients (35,2%) et dans le groupe de l'énalapril-initial, chez 186 patients (36,8%). L'efficacité d'un traitement initial au bisoprolol suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril est comparable (pas inférieure) à la combinaison dans l'ordre inverse. Dans le groupe traité initialement au bisoprolol, 65 patients sont décédés, dans celui traité initialement à l'énalapril, 73 patients (différence entre les groupes: p= 0,44). 151 patients traités d'abord au bisoprolol et 157 patients traités d'abord à l'énalapril (p= 0,66) ont été hospitalisés. Le nombre de cas d'effets secondaires graves ainsi que le nombre total d'effets secondaires étaient comparables dans les deux groupes. Une analyse des données dans la première année de l'étude a montré une tendance non significative avec la diminution de 31% de la mortalité totale dans le groupe traité initialement au bisoprolol par rapport au groupe traité d'abord à l'énalapril. L'amélioration de la survie dans le groupe traité initialement au bisoprolol est principalement attribuable à une réduction du risque de mort cardiaque subite de 46% (p= 0,049) durant la première année de traitement.
  • +Les résultats de l'étude CIBIS III montrent qu'en cas d'insuffisance cardiaque chronique, un traitement initial au bisoprolol est aussi efficace et sûr qu'un traitement initial à l'énalapril.
  • -Chez l'animal, le bisoprolol ne traverse que faiblement la barrière placentaire: les concentrations foetales sont donc plus faibles que les concentrations plasmatiques maternelles.
  • +Chez l'animal, le bisoprolol ne traverse que faiblement la barrière placentaire: les concentrations fœtales sont donc plus faibles que les concentrations plasmatiques maternelles.
  • -Dans des expérimentations sur des rats, le bisoprolol n'a pas influencé la fertilité et la capacité de reproduction en général. À des doses élevées, maintes fois (85 à 1400 fois) supérieures à celles administrées à l'homme, le bisoprolol, à l'instar d'autres β-bloquants, s'est avéré materno- et foeto-/embryotoxique chez les rats et les lapins. Dans ces essais, le bisoprolol n'a pas montré d'effet tératogène dans toutes les posologies administrées.
  • +Dans des expérimentations sur des rats, le bisoprolol n'a pas influencé la fertilité et la capacité de reproduction en général. À des doses élevées, maintes fois (85 à 1400 fois) supérieures à celles administrées à l'homme, le bisoprolol, à l'instar d'autres β-bloquants, s'est avéré materno- et fœto-/embryotoxique chez les rats et les lapins. Dans ces essais, le bisoprolol n'a pas montré d'effet tératogène dans toutes les posologies administrées.
  • -Chez les rats, le bisoprolol a montré un faible effet foetotoxique (augmentation du nombre dabsorptions tardives) à partir de 50 mg/kg (350-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) et un faible effet maternotoxique (réduction de la prise de nourriture et de la prise de poids) à 150 mg/kg (1050-4150 fois la dose thérapeutique chez l'homme). Les lapins ont bien toléré des doses allant jusqu'à 6,25 mg/kg (45-175 fois la dose thérapeutique chez l'homme) sans montrer des effets toxiques. 12,5 et 50 mg/kg (85-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) se sont avérés foetotoxiques (augmentation du nombre d'absorptions précoces).
  • +Chez les rats, le bisoprolol a montré un faible effet fœtotoxique (augmentation du nombre d'absorptions tardives) à partir de 50 mg/kg (350-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) et un faible effet maternotoxique (réduction de la prise de nourriture et de la prise de poids) à 150 mg/kg (1050-4150 fois la dose thérapeutique chez l'homme). Les lapins ont bien toléré des doses allant jusqu'à 6,25 mg/kg (45-175 fois la dose thérapeutique chez l'homme) sans montrer des effets toxiques. 12,5 et 50 mg/kg (85-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) se sont avérés fœtotoxiques (augmentation du nombre d'absorptions précoces).
  • -Bilol ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur le récipient.
  • +Bilol ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Bilol est à conserver à température ambiante (15-25°C) et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
  • -Domicile
  • -Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • -Juillet 2012.
  • +Avril 2015.
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