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Accueil - Information professionnelle sur Seroquel 25 mg - Changements - 06.10.2023
176 Changements de l'information professionelle Seroquel 25 mg
  • -Quétiapine sous forme de fumarate de quétiapine.
  • +Quétiapine sous forme de fumarate de quétiapine
  • -Povidone (E1201)
  • -Hydrogénophosphate de calcium dihydraté (E341)
  • -Cellulose microcristalline (E460)
  • -Lactose monohydraté (19.0 mg dans les comprimés pelliculés à 25 mg, 20.7 mg dans les comprimés pelliculés à 100 mg, 41.4 mg dans les comprimés pelliculés à 200 mg et 62.1 mg dans les comprimés pelliculés à 300 mg)
  • -Carboxyméthylamidon sodique A (E468) (corresp. à 0.29 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 25 mg, à 0.76 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 100 mg, à 1.51 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 200 mg et à 2.27 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 300 mg)
  • -Stéarate de magnésium (E470b)
  • +Povidone (E1201), Hydrogénophosphate de calcium dihydraté (E341), Cellulose microcristalline (E460), Lactose monohydraté (19,0 mg dans les comprimés pelliculés à 25 mg, 20,7 mg dans les comprimés pelliculés à 100 mg, 41,4 mg dans les comprimés pelliculés à 200 mg et 62,1 mg dans les comprimés pelliculés à 300 mg), Carboxyméthylamidon sodique A (E468) (corresp. à 0,29 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 25 mg, à 0,76 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 100 mg, à 1,51 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 200 mg et à 2,27 mg de sodium dans les comprimés pelliculés à 300 mg), Stéarate de magnésium (E470b)
  • -Hypromellose (E464)
  • -Macrogol 400 (E1521)
  • -Dioxyde de titane (E171)
  • +Hypromellose (E464), Macrogol 400 (E1521), Dioxyde de titane (E171)
  • -Comprimés pelliculés à 25 mg: oxyde de fer rouge (E172), oxyde de fer jaune (E172).
  • -Comprimés pelliculés à 100 mg: oxyde de fer jaune (E172).
  • +Comprimés pelliculés à 25 mg: oxyde de fer rouge (E172), oxyde de fer jaune (E172)
  • +Comprimés pelliculés à 100 mg: oxyde de fer jaune (E172)
  • -·de la schizophrénie.
  • -·des épisodes maniaques lors de troubles bipolaires, à titre de monothérapie pendant 12 semaines ou en association au lithium ou au valproate durant 3 à 6 semaines.
  • -·des épisodes dépressifs lors de troubles bipolaires.
  • -Seroquel est indiqué pour la prévention des récidives (avec contrôle régulier du rapport bénéfices-risques) chez les patients souffrant de troubles bipolaires qui ont répondu de façon satisfaisante à la quétiapine lors d'épisodes de manie aiguë ou de dépression aiguë.
  • +de la schizophrénie
  • +des épisodes maniaques lors de troubles bipolaires, à titre de monothérapie pendant 12 semaines ou en association au lithium ou au valproate durant 3 à 6 semaines
  • +des épisodes dépressifs lors de troubles bipolaires.
  • +Seroquel est indiqué pour la prévention des récidives (avec contrôle régulier du rapport bénéfices-risques) chez les patients souffrant de troubles bipolaires qui ont répondu de façon satisfaisante à la quétiapine lors dépisodes de manie aiguë ou de dépression aiguë.
  • -Seroquel est indiqué en tant que monothérapie de 3 semaines pour le traitement aigu des épisodes de manie dans le cadre d'un trouble bipolaire.
  • +Seroquel est indiqué en tant que monothérapie de 3 semaines pour le traitement aigu des épisodes de manie dans le cadre dun trouble bipolaire.
  • -En général, l'instauration du traitement a lieu en milieu hospitalier. Seroquel doit être pris deux fois par jour. La posologie recommandée durant les 4 premiers jours de traitement (= phase initiale) chez les adultes est la suivante:
  • +En général, linstauration du traitement a lieu en milieu hospitalier. Seroquel doit être pris deux fois par jour. La posologie recommandée durant les 4 premiers jours de traitement (= phase initiale) chez les adultes est la suivante:
  • -Seroquel doit être pris deux fois par jour. Durant les quatre premiers jours du traitement, les doses journalières s'élèvent à 100 mg (jour 1), 200 mg (jour 2), 300 mg (jour 3) et 400 mg (jour 4). Pour les augmentations ultérieures de la dose jusqu'à 800 mg par jour le jour 6, il faut procéder par paliers de 200 mg par jour au maximum.
  • +Seroquel doit être pris deux fois par jour. Durant les quatre premiers jours du traitement, les doses journalières sélèvent à 100 mg (jour 1), 200 mg (jour 2), 300 mg (jour 3) et 400 mg (jour 4). Pour les augmentations ultérieures de la dose jusquà 800 mg par jour le jour 6, il faut procéder par paliers de 200 mg par jour au maximum.
  • -Seroquel doit être pris une fois par jour avant le coucher. Seroquel doit être administré progressivement comme suit: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4).
  • -L'effet antidépresseur a été évalué lors d'études menées avec des doses de 300 mg et 600 mg de Seroquel. Aucun bénéfice supplémentaire n'a été constaté avec la dose plus élevée dans les études réalisées à ce jour sur la dépression dans le cadre du trouble bipolaire (traitements ayant duré jusqu'à 8 semaines).
  • +Seroquel doit être pris une fois par jour avant le coucher. Seroquel doit être administré progressivement comme suit: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4). L’effet antidépresseur a été évalué lors détudes menées avec des doses de 300 mg et 600 mg de Seroquel. Aucun bénéfice supplémentaire na été constaté avec la dose plus élevée dans les études réalisées à ce jour sur la dépression dans le cadre du trouble bipolaire (traitements ayant duré jusquà 8 semaines).
  • -Les patients ayant répondu de façon satisfaisante à Seroquel en phase aiguë lors de troubles bipolaires doivent poursuivre le traitement par Seroquel à la même dose. La dose de Seroquel peut être ajustée entre 300 et 800 mg par jour en fonction de la réponse clinique et de la tolérance chez le patient individuel. Il est important d'utiliser la dose efficace la plus faible pour la prévention des récidives.
  • +Les patients ayant répondu de façon satisfaisante à Seroquel en phase aiguë lors de troubles bipolaires doivent poursuivre le traitement par Seroquel à la même dose. La dose de Seroquel peut être ajustée entre 300 et 800 mg par jour en fonction de la réponse clinique et de la tolérance chez le patient individuel. Il est important dutiliser la dose efficace la plus faible pour la prévention des récidives.
  • -Seroquel doit être administré deux fois par jour chez les patients adolescents âgés de 13 à 17 ans. Selon la réponse clinique et la tolérance du traitement, Seroquel peut cependant aussi être administré 3x par jour. Le médicament peut être pris indépendamment des repas. La posologie des cinq premiers jours du traitement est la suivante: 50 mg le 1er jour, 100 mg le 2e jour, 200 mg le 3e jour, 300 mg le 4e jour et 400 mg le 5e jour. Après le 5e jour de traitement, la dose doit être ajustée individuellement en fonction de la réponse clinique et de la tolérance, dans l'intervalle de dose efficace allant de 400 à 800 mg. Les adaptations posologiques doivent être faites par paliers ne dépassant pas 100 mg par jour.
  • -La sécurité et l'efficacité de Seroquel n'ont pas été démontrées pour le traitement de la schizophrénie chez les enfants de moins de 13 ans.
  • +Seroquel doit être administré deux fois par jour chez les patients adolescents âgés de 13 à 17 ans. Selon la réponse clinique et la tolérance du traitement, Seroquel peut cependant aussi être administré 3x par jour. Le médicament peut être pris indépendamment des repas. La posologie des cinq premiers jours du traitement est la suivante: 50 mg le 1er jour, 100 mg le 2e jour, 200 mg le 3e jour, 300 mg le 4e jour et 400 mg le 5e jour. Après le 5e jour de traitement, la dose doit être ajustée individuellement en fonction de la réponse clinique et de la tolérance, dans lintervalle de dose efficace allant de 400 à 800 mg. Les adaptations posologiques doivent être faites par paliers ne dépassant pas 100 mg par jour.
  • +La sécurité et lefficacité de Seroquel nont pas été démontrées pour le traitement de la schizophrénie chez les enfants de moins de 13 ans.
  • -Seroquel doit être administré deux fois par jour chez les enfants et adolescents âgés de 10 à 17 ans. Selon la réponse clinique et la tolérance du traitement, Seroquel peut cependant aussi être administré 3x par jour. Le médicament peut être pris indépendamment des repas. La posologie journalière totale des cinq premiers jours du traitement est la suivante: 50 mg le 1er jour, 100 mg le 2e jour, 200 mg le 3e jour, 300 mg le 4e jour et 400 mg le 5e jour. Après le 5e jour de traitement, la dose doit être ajustée individuellement en fonction de la réponse clinique et de la tolérance, dans l'intervalle de dose efficace allant de 400 à 600 mg. Les adaptations posologiques doivent être faites par paliers ne dépassant pas 100 mg par jour.
  • -La sécurité et l'efficacité de Seroquel n'ont pas été démontrées pour le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans.
  • -L'efficacité et la sécurité ont été étudiées dans le traitement aigu – d'une durée de trois semaines – des épisodes de manie dans le cadre de troubles bipolaires chez des patients pédiatriques âgés de 10 à 17 ans. On ne dispose pas de données sur le maintien de l'efficacité ou sur la prévention des récidives chez les patients de cette tranche d'âge.
  • +Seroquel doit être administré deux fois par jour chez les enfants et adolescents âgés de 10 à 17 ans. Selon la réponse clinique et la tolérance du traitement, Seroquel peut cependant aussi être administré 3x par jour. Le médicament peut être pris indépendamment des repas. La posologie journalière totale des cinq premiers jours du traitement est la suivante: 50 mg le 1er jour, 100 mg le 2e jour, 200 mg le 3e jour, 300 mg le 4e jour et 400 mg le 5e jour. Après le 5e jour de traitement, la dose doit être ajustée individuellement en fonction de la réponse clinique et de la tolérance, dans lintervalle de dose efficace allant de 400 à 600 mg. Les adaptations posologiques doivent être faites par paliers ne dépassant pas 100 mg par jour.
  • +La sécurité et lefficacité de Seroquel nont pas été démontrées pour le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans.
  • +Lefficacité et la sécurité ont été étudiées dans le traitement aigu – dune durée de trois semaines – des épisodes de manie dans le cadre de troubles bipolaires chez des patients pédiatriques âgés de 10 à 17 ans. On ne dispose pas de données sur le maintien de lefficacité ou sur la prévention des récidives chez les patients de cette tranche dâge.
  • -Après l'arrêt brusque des traitements antipsychotiques, y compris la quétiapine, on a décrit des symptômes aigus de sevrage tels qu'insomnie, nausées et vomissements (voir «Effets indésirables»). Il est recommandé d'arrêter le traitement progressivement sur une période d'au moins une ou deux semaines.
  • +Après larrêt brusque des traitements antipsychotiques, y compris la quétiapine, on a décrit des symptômes aigus de sevrage tels quinsomnie, nausées et vomissements (voir «Effets indésirables»). Il est recommandé darrêter le traitement progressivement sur une période dau moins une ou deux semaines.
  • -Seroquel n'est pas homologué pour le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients âgés souffrant de démence (voir «Mises en garde et précautions»). On ne dispose pas de données d'études sur l'utilisation chez les patients âgés de plus de 65 ans lors d'un épisode dépressif dans le cadre d'un trouble bipolaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Comme d'autres neuroleptiques, Seroquel doit être utilisé avec prudence chez les patients âgés, surtout au début du traitement. Selon la réponse individuelle du patient et selon la tolérance du traitement, il peut être nécessaire d'adapter la dose plus lentement et de choisir une dose thérapeutique plus faible que chez les patients plus jeunes. La clairance plasmatique moyenne de la quétiapine était réduite de 30 à 50% chez les patients âgés en comparaison avec les patients plus jeunes (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Seroquel nest pas homologué pour le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients âgés souffrant de démence (voir «Mises en garde et précautions»). On ne dispose pas de données détudes sur lutilisation chez les patients âgés de plus de 65 ans lors dun épisode dépressif dans le cadre dun trouble bipolaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme dautres neuroleptiques, Seroquel doit être utilisé avec prudence chez les patients âgés, surtout au début du traitement. Selon la réponse individuelle du patient et selon la tolérance du traitement, il peut être nécessaire dadapter la dose plus lentement et de choisir une dose thérapeutique plus faible que chez les patients plus jeunes. La clairance plasmatique moyenne de la quétiapine était réduite de 30 à 50% chez les patients âgés en comparaison avec les patients plus jeunes (voir «Pharmacocinétique»).
  • -La sécurité et l'efficacité de Seroquel n'ont pas été démontrées pour le traitement de la schizophrénie chez les enfants et les adolescents de moins de 13 ans et le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans. Seroquel ne doit pas être utilisé sous cette limite d'âge.
  • +La sécurité et lefficacité de Seroquel nont pas été démontrées pour le traitement de la schizophrénie chez les enfants et les adolescents de moins de 13 ans et le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans. Seroquel ne doit pas être utilisé sous cette limite dâge.
  • -Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire.
  • +Aucune adaptation de la dose nest nécessaire.
  • -La quétiapine est largement métabolisée dans le foie. Par conséquent, Seroquel doit être utilisé avec prudence surtout au début du traitement chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique connue. En cas d'insuffisance hépatique, la dose initiale est de 25 mg le premier jour. Elle peut être augmentée par la suite par paliers de 25-50 mg par jour jusqu'à obtention de la dose efficace en fonction de la réponse individuelle du patient et de la tolérance du traitement.
  • +La quétiapine est largement métabolisée dans le foie. Par conséquent, Seroquel doit être utilisé avec prudence, surtout au début du traitement, chez les patients souffrant dune insuffisance hépatique connue. En cas dinsuffisance hépatique, la dose initiale est de 25 mg le premier jour. Elle peut être augmentée par la suite par paliers de 25-50 mg par jour jusquà obtention de la dose efficace en fonction de la réponse individuelle du patient et de la tolérance du traitement.
  • -Seroquel est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à l'un des composants, ainsi qu'en période d'allaitement.
  • -L'utilisation concomitante d'inhibiteurs du CYP3A4 tels que les inhibiteurs de la protéase du VIH, les antifongiques azolés, l'érythromycine, la clarithromycine ou la néfazodone est contre-indiquée (voir «Interactions»).
  • +Seroquel est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à lun des composants, ainsi quen période dallaitement.
  • +Lutilisation concomitante dinhibiteurs du CYP3A4 tels que les inhibiteurs de la protéase du VIH, les antifongiques azolés, lérythromycine, la clarithromycine ou la néfazodone est contre-indiquée (voir «Interactions»).
  • -La prudence est de rigueur lors de l'utilisation de la quétiapine chez des patients dont on sait qu'ils souffrent d'une maladie cardio-vasculaire, d'une maladie cérébrovasculaire ou d'une autre affection prédisposant à une hypotension. La quétiapine peut entraîner une hypotension orthostatique, surtout pendant la phase initiale de titration de la dose. Par conséquent, on envisagera dans de tels cas une réduction de la dose ou une adaptation plus lente de la dose. Chez les patients souffrant d'une maladie cardio-vasculaire connue, on prévoira éventuellement un schéma plus lent d'augmentation de la dose. La prudence est de mise chez les patients présentant une prédisposition à un allongement de l'intervalle QTc.
  • +La prudence est de rigueur lors de lutilisation de la quétiapine chez des patients dont on sait quils souffrent dune maladie cardio-vasculaire, dune maladie cérébrovasculaire ou dune autre affection prédisposant à une hypotension. La quétiapine peut entraîner une hypotension orthostatique, surtout pendant la phase initiale de titration de la dose. Par conséquent, on envisagera dans de tels cas une réduction de la dose ou une adaptation plus lente de la dose. Chez les patients souffrant dune maladie cardio-vasculaire connue, on prévoira éventuellement un schéma plus lent daugmentation de la dose. La prudence est de mise chez les patients présentant une prédisposition à un allongement de lintervalle QTc.
  • -La constipation est un facteur de risque d'occlusion intestinale. Une constipation et une occlusion intestinale ont été rapportées au cours du traitement par la quétiapine (voir «Effets indésirables»), dont des cas mortels chez des patients présentant un risque élevé d'occlusion intestinale, y compris des patients recevant une polymédication diminuant la motilité intestinale, et/ou chez des patients ne signalant éventuellement pas les symptômes de constipation.
  • -Allongement de l'intervalle QT
  • -Dans des études cliniques et lors d'une administration conformément à l'usage prévu, Seroquel n'a pas été associé à un allongement persistant de l'intervalle QT absolu. En revanche, un allongement de l'intervalle QT a été observé lors de surdosages. Comme tous les autres neuroleptiques, Seroquel doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant des affections cardio-vasculaires ou des antécédents familiaux d'allongements de l'intervalle QT. De même, la prudence est de rigueur si Seroquel est administré en même temps que des médicaments connus pour induire un allongement de l'intervalle QTc. Il en va de même pour l'administration concomitante de neuroleptiques, notamment chez les patients âgés et les patients atteints d'un syndrome congénital du QT long, d'insuffisance cardiaque sévère, d'hypertrophie cardiaque, d'hypokaliémie ou d'hypomagnésémie (voir rubrique «Interactions»).
  • +La constipation est un facteur de risque docclusion intestinale. Une constipation et une occlusion intestinale ont été rapportées au cours du traitement par la quétiapine (voir «Effets indésirables»), dont des cas mortels chez des patients présentant un risque élevé docclusion intestinale, y compris des patients recevant une polymédication diminuant la motilité intestinale, et/ou chez des patients ne signalant éventuellement pas les symptômes de constipation.
  • +Allongement de lintervalle QT
  • +Dans des études cliniques et lors dune administration conformément à lusage prévu, Seroquel na pas été associé à un allongement persistant de lintervalle QT absolu. En revanche, un allongement de lintervalle QT a été observé lors de surdosages. Comme tous les autres neuroleptiques, Seroquel doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant des affections cardio-vasculaires ou des antécédents familiaux dallongements de lintervalle QT. De même, la prudence est de rigueur si Seroquel est administré en même temps que des médicaments connus pour induire un allongement de lintervalle QTc. Il en va de même pour ladministration concomitante de neuroleptiques, notamment chez les patients âgés et les patients atteints dun syndrome congénital du QT long, dinsuffisance cardiaque sévère, dhypertrophie cardiaque, dhypokaliémie ou dhypomagnésémie (voir rubrique «Interactions»).
  • -Une cardiomyopathie et une myocardite ont été rapportées au cours d'études cliniques et après la commercialisation; le lien de causalité avec la quétiapine n'a pas pu être exclu. Il convient de reconsidérer le traitement par la quétiapine chez les patients chez qui on suspecte une myocardite ou une myopathie.
  • +Une cardiomyopathie et une myocardite ont été rapportées au cours détudes cliniques et après la commercialisation; le lien de causalité avec la quétiapine na pas pu être exclu. Il convient de reconsidérer le traitement par la quétiapine chez les patients chez qui on suspecte une myocardite ou une myopathie.
  • -Lors du traitement par la quétiapine, des réactions médicamenteuses indésirables pouvant menacer le pronostic vital à type de réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR), y compris syndrome de Stevens-Johnson (SJS), nécrolyse épidermique toxique (NET), pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP) et syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été signalées. Les SCAR surviennent après la première administration de quétiapine, dans la plupart des cas de manière retardée et comprennent fréquemment un ou plusieurs des symptômes: éruption cutanée étendue (pouvant être prurigineuse ou associée à des pustules), dermatite exfoliative (dans le cas du SJS et de la NET, les muqueuses sont atteintes), éosinophilie ou neutrophilie, fièvre, lymphadénopathie, et dans le cas du syndrome DRESS, éventuellement une ou plusieurs complications systémiques telles qu'hépatite, néphrite, pneumonie, myocardite et péricardite. En cas d'apparition de ces réactions, il faut immédiatement arrêter le traitement par la quétiapine.
  • -Crises d'épilepsie
  • -Les études cliniques contrôlées n'ont pas montré de différences entre les patients traités par Seroquel et ceux du groupe placebo sur le plan de la survenue des crises d'épilepsie. Comme les autres antipsychotiques, la quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui ont des antécédents de crises d'épilepsie ou qui souffrent de maladies qui abaissent le seuil épileptogène (par exemple maladie d'Alzheimer) (voir «Effets indésirables»).
  • +Lors du traitement par la quétiapine, des réactions médicamenteuses indésirables pouvant menacer le pronostic vital à type de réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR), y compris syndrome de Stevens-Johnson (SJS), nécrolyse épidermique toxique (NET), pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP) et syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été signalées. Les SCAR surviennent après la première administration de quétiapine, dans la plupart des cas de manière retardée et comprennent fréquemment un ou plusieurs des symptômes: éruption cutanée étendue (pouvant être prurigineuse ou associée à des pustules), dermatite exfoliative (dans le cas du SJS et de la NET, les muqueuses sont atteintes), éosinophilie ou neutrophilie, fièvre, lymphadénopathie, et dans le cas du syndrome DRESS, éventuellement une ou plusieurs complications systémiques telles quhépatite, néphrite, pneumonie, myocardite et péricardite. En cas dapparition de ces réactions, il faut immédiatement arrêter le traitement par la quétiapine.
  • +Crises dépilepsie
  • +Les études cliniques contrôlées nont pas montré de différences entre les patients traités par Seroquel et ceux du groupe placebo sur le plan de la survenue des crises dépilepsie. Comme les autres antipsychotiques, la quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui ont des antécédents de crises dépilepsie ou qui souffrent de maladies qui abaissent le seuil épileptogène (par exemple maladie dAlzheimer) (voir «Effets indésirables»).
  • -Le traitement par la quétiapine était associé à une somnolence et à des symptômes apparentés tels qu'une sédation (voir «Effets indésirables»). Dans les études cliniques sur le traitement de patients souffrant de dépression dans le cadre d'un trouble bipolaire, les symptômes sont apparus normalement dans les 3 premiers jours du traitement et ont été d'intensité légère à modérée. Les patients en phase de dépression bipolaire qui souffrent d'une somnolence d'intensité sévère doivent être contrôlés plus fréquemment, au moins pendant les deux premières semaines suivant la première apparition de la somnolence ou jusqu'à une régression des symptômes / jusqu'à ce qu'un arrêt du traitement soit envisagé.
  • +Le traitement par la quétiapine était associé à une somnolence et à des symptômes apparentés tels quune sédation (voir «Effets indésirables»). Dans les études cliniques sur le traitement de patients souffrant de dépression dans le cadre dun trouble bipolaire, les symptômes sont apparus normalement dans les 3 premiers jours du traitement et ont été dintensité légère à modérée. Les patients en phase de dépression bipolaire qui souffrent dune somnolence dintensité sévère doivent être contrôlés plus fréquemment, au moins pendant les deux premières semaines suivant la première apparition de la somnolence ou jusquà une régression des symptômes / jusquà ce quun arrêt du traitement soit envisagé.
  • -La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui prennent simultanément un médicament dépresseur du système nerveux central et qui ont des antécédents d'apnée du sommeil ou qui ont un risque d'apnée du sommeil.
  • +La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui prennent simultanément un médicament dépresseur du système nerveux central et qui ont des antécédents dapnée du sommeil ou qui ont un risque dapnée du sommeil.
  • -Les dyskinésies tardives sont des mouvements dyskinétiques involontaires, en partie irréversibles, pouvant se développer chez les patients traités par des neuroleptiques, y compris la quétiapine. Elles peuvent également apparaître peu de temps déjà (quelques mois) après l'instauration d'un traitement par un neuroleptique. S'il apparaît des signes ou symptômes de dyskinésie tardive, il faut envisager une réduction de la dose ou un arrêt du traitement. Les symptômes d'une dyskinésie tardive peuvent encore s'aggraver après la fin du traitement, ou même n'apparaître qu'après la fin du traitement (voir «Effets indésirables»). Dans des études à court terme contrôlées versus placebo auprès de patients adultes en phase dépressive du trouble bipolaire, l'incidence de symptômes extrapyramidaux a été plus élevée chez les patients sous quétiapine que chez les patients sous placebo (8.9% et 3.8% respectivement). L'incidence des différents symptômes extrapyramidaux (par exemple akathisie, troubles extrapyramidaux, tremblements, dyskinésie, dystonie, contractions musculaires involontaires, agitation et rigidité musculaire) a globalement été faible; elle n'excédait pas 4% dans aucun des groupes de traitement. Lors d'études cliniques à court terme contrôlées versus placebo, portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, l'incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été similaire sous toutes les doses thérapeutiques de quétiapine et sous placebo (schizophrénie: quétiapine 7.8% et placebo 8.0%; manie bipolaire: quétiapine 11.2% et placebo 11.4%). Lors d'études à long terme contrôlées versus placebo portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, les EPS observés au cours du traitement se sont manifestés avec une incidence totale (ajustée à la dose) similaire sous quétiapine et sous placebo.
  • +Les dyskinésies tardives sont des mouvements dyskinétiques involontaires, en partie irréversibles, pouvant se développer chez les patients traités par des neuroleptiques, y compris la quétiapine. Elles peuvent également apparaître peu de temps déjà (quelques mois) après linstauration dun traitement par un neuroleptique. Sil apparaît des signes ou symptômes de dyskinésie tardive, il faut envisager une réduction de la dose ou un arrêt du traitement. Les symptômes dune dyskinésie tardive peuvent encore saggraver après la fin du traitement, ou même napparaître quaprès la fin du traitement (voir «Effets indésirables»). Dans des études à court terme contrôlées versus placebo auprès de patients adultes en phase dépressive du trouble bipolaire, lincidence de symptômes extrapyramidaux a été plus élevée chez les patients sous quétiapine que chez les patients sous placebo (8,9% et 3,8% respectivement). Lincidence des différents symptômes extrapyramidaux (par exemple akathisie, troubles extrapyramidaux, tremblements, dyskinésie, dystonie, contractions musculaires involontaires, agitation et rigidité musculaire) a globalement été faible; elle nexcédait pas 4% dans aucun des groupes de traitement. Lors détudes cliniques à court terme contrôlées versus placebo, portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, lincidence totale de symptômes extrapyramidaux a été similaire sous toutes les doses thérapeutiques de quétiapine et sous placebo (schizophrénie: quétiapine 7,8% et placebo 8,0%; manie bipolaire: quétiapine 11,2% et placebo 11,4%). Lors détudes à long terme contrôlées versus placebo portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, les EPS observés au cours du traitement se sont manifestés avec une incidence totale (ajustée à la dose) similaire sous quétiapine et sous placebo.
  • -Dans une étude sur la monothérapie à court terme, réalisée avec contrôle contre placebo auprès d'adolescents (de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, l'incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 12.9% sous Seroquel et de 5.3% sous placebo; l'incidence des EPS individuels (p.ex. akathisie, tremblements, troubles extrapyramidaux, hypokinésie, agitation, hyperactivité psychomotrice, rigidité musculaire, dyskinésie) a toutefois été faible dans l'ensemble; elle n'a dépassé 4.1% dans aucun des groupes de traitement. Dans une étude sur la monothérapie à court terme, réalisée avec contrôle contre placebo auprès d'enfants et d'adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de manie bipolaire, l'incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 3.6% sous Seroquel et de 1.1% sous placebo. Dans une étude à court terme n'ayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, l'incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 1.1% sous quétiapine et de 0.0% sous placebo.
  • +Dans une étude sur la monothérapie à court terme, réalisée avec contrôle contre placebo auprès dadolescents (de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, lincidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 12,9% sous Seroquel et de 5,3% sous placebo; lincidence des EPS individuels (p. ex. akathisie, tremblements, troubles extrapyramidaux, hypokinésie, agitation, hyperactivité psychomotrice, rigidité musculaire, dyskinésie) a toutefois été faible dans lensemble; elle na dépassé 4,1% dans aucun des groupes de traitement. Dans une étude sur la monothérapie à court terme, réalisée avec contrôle contre placebo auprès denfants et dadolescents (de 10 à 17 ans) atteints de manie bipolaire, lincidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 3,6% sous Seroquel et de 1,1% sous placebo. Dans une étude à court terme nayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, lincidence totale de symptômes extrapyramidaux a été de 1,1% sous quétiapine et de 0,0% sous placebo.
  • -Des cas de syndrome malin des neuroleptiques ont été observés sous quétiapine (voir «Effets indésirables»). Cliniquement, ce syndrome se manifeste comme suit: hyperthermie, modification de l'état mental, rigidité musculaire, instabilité végétative et augmentation du taux de créatine phosphokinase. Dans ce cas, il faut arrêter le traitement par la quétiapine et instaurer un traitement médical approprié.
  • +Des cas de syndrome malin des neuroleptiques ont été observés sous quétiapine (voir «Effets indésirables»). Cliniquement, ce syndrome se manifeste comme suit: hyperthermie, modification de létat mental, rigidité musculaire, instabilité végétative et augmentation du taux de créatine phosphokinase. Dans ce cas, il faut arrêter le traitement par la quétiapine et instaurer un traitement médical approprié.
  • -Dans des cas isolés, un syndrome sérotoninergique peut se développer sous traitement par la quétiapine, sans toutefois qu'un rapport de causalité ne soit obligatoirement présent. Le syndrome se manifeste notamment lors de l'administration concomitante de substances sérotoninergiques ainsi que d'autres substances ayant une composante sérotoninergique comme par ex. les inhibiteurs de la MAO et les sels de lithium. Parce que ces syndromes peuvent conduire à des états menaçant le pronostic vital, le traitement par la quétiapine devra être interrompu si de tels cas surviennent (caractérisés par une série de symptômes apparaissant ensemble tels qu'hyperthermie, rigidité, myoclonie, instabilité du système nerveux autonome accompagnée d'éventuelles fluctuations rapides des signes vitaux, modifications de l'état psychique incluant confusion mentale, irritabilité, agitation extrême évoluant vers un délire et un coma) et un traitement symptomatique devra être instauré. Dans certaines conditions, un traitement aux soins intensifs avec des mesures spécifiques peut être nécessaire.
  • +Dans des cas isolés, un syndrome sérotoninergique peut se développer sous traitement par la quétiapine, sans toutefois quun rapport de causalité ne soit obligatoirement présent. Le syndrome se manifeste notamment lors de ladministration concomitante de substances sérotoninergiques ainsi que dautres substances ayant une composante sérotoninergique comme par ex. les inhibiteurs de la MAO et les sels de lithium. Parce que ces syndromes peuvent conduire à des états menaçant le pronostic vital, le traitement par la quétiapine devra être interrompu si de tels cas surviennent (caractérisés par une série de symptômes apparaissant ensemble tels quhyperthermie, rigidité, myoclonie, instabilité du système nerveux autonome accompagnée déventuelles fluctuations rapides des signes vitaux, modifications de létat psychique incluant confusion mentale, irritabilité, agitation extrême évoluant vers un délire et un coma) et un traitement symptomatique devra être instauré. Dans certaines conditions, un traitement aux soins intensifs avec des mesures spécifiques peut être nécessaire.
  • -On peut noter un allongement de l'intervalle QTc, surtout en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs de l'iso-enzyme 3A4 du cytochrome P450.
  • -Lors d'une prise concomitante de quétiapine et d'inducteurs puissants des enzymes hépatiques tels que la carbamazépine ou la phénytoïne, la concentration plasmatique de quétiapine est considérablement réduite, ce qui peut influencer l'efficacité du traitement par la quétiapine. Chez les patients traités par des médicaments inducteurs des enzymes hépatiques, le traitement par la quétiapine ne doit être initié que si le médecin traitant juge que les bénéfices possibles d'un traitement par la quétiapine sont plus importants que le risque associé à un arrêt du médicament inducteur des enzymes hépatiques. Il est important que toute modification concernant le traitement par le médicament inducteur des enzymes hépatiques soit faite progressivement et que le médicament en question soit remplacé au besoin par un agent non inducteur des enzymes hépatiques (p.ex. valproate de sodium).
  • +On peut noter un allongement de lintervalle QTc, surtout en cas dadministration concomitante dinhibiteurs de liso-enzyme 3A4 du cytochrome P450.
  • +Lors dune prise concomitante de quétiapine et dinducteurs puissants des enzymes hépatiques tels que la carbamazépine ou la phénytoïne, la concentration plasmatique de quétiapine est considérablement réduite, ce qui peut influencer lefficacité du traitement par la quétiapine. Chez les patients traités par des médicaments inducteurs des enzymes hépatiques, le traitement par la quétiapine ne doit être initié que si le médecin traitant juge que les bénéfices possibles dun traitement par la quétiapine sont plus importants que le risque associé à un arrêt du médicament inducteur des enzymes hépatiques. Il est important que toute modification concernant le traitement par le médicament inducteur des enzymes hépatiques soit faite progressivement et que le médicament en question soit remplacé au besoin par un agent non inducteur des enzymes hépatiques (p. ex. valproate de sodium).
  • -Dans des études cliniques à court terme, en monothérapie et contrôlées contre placebo, une neutropénie sévère sans infections a été occasionnellement rapportée (granulocytes neutrophiles <0.5 x 109/l). Des cas d'agranulocytose (neutropénie sévère accompagnée de la survenue d'infections) ont été rapportés chez des patients traités par la quétiapine tant dans le cadre d'études cliniques (rares) qu'après la commercialisation (y compris des cas mortels). Les cas de neutropénie sévère sont apparus en majorité dans les deux mois suivant le début du traitement par Seroquel, mais des cas isolés sont également connus qui sont apparus plus tard. Aucune dose-dépendance n'était décelable. Dans l'expérience post-commercialisation, la leucopénie et/ou neutropénie a régressé après arrêt du traitement par la quétiapine. Les facteurs de risque possibles pour l'apparition d'une neutropénie sont la présence d'un faible taux de leucocytes ainsi que des antécédents de neutropénie médicamenteuse. Des cas d'agranulocytose ont été observés chez des patients sans facteurs de risque préexistants. Une neutropénie doit être suspectée chez les patients présentant des infections, surtout lorsque ceux-ci ne présentent pas de prédisposition manifeste ou ont une fièvre inexpliquée. La neutropénie doit faire l'objet d'un traitement approprié sur le plan clinique. La quétiapine doit être interrompue chez les patients ayant un taux de granulocytes neutrophiles <1.0 x 109/l. Surveiller les patients à la recherche des signes et symptômes d'une infection et contrôler les taux de granulocytes neutrophiles jusqu'à ce qu'ils dépassent 1.5 x 109/l (voir «Effets indésirables»).
  • +Dans des études cliniques à court terme, en monothérapie et contrôlées contre placebo, une neutropénie sévère sans infections a été occasionnellement rapportée (granulocytes neutrophiles <0,5 x 109/l). Des cas dagranulocytose (neutropénie sévère accompagnée de la survenue dinfections) ont été rapportés chez des patients traités par la quétiapine tant dans le cadre détudes cliniques (rares) quaprès la commercialisation (y compris des cas mortels). Les cas de neutropénie sévère sont apparus en majorité dans les deux mois suivant le début du traitement par Seroquel, mais des cas isolés sont également connus qui sont apparus plus tard. Aucune dose-dépendance nétait décelable. Dans lexpérience post-commercialisation, la leucopénie et/ou neutropénie a régressé après arrêt du traitement par la quétiapine. Les facteurs de risque possibles pour lapparition dune neutropénie sont la présence dun faible taux de leucocytes ainsi que des antécédents de neutropénie médicamenteuse. Des cas dagranulocytose ont été observés chez des patients sans facteurs de risque préexistants. Une neutropénie doit être suspectée chez les patients présentant des infections, surtout lorsque ceux-ci ne présentent pas de prédisposition manifeste ou ont une fièvre inexpliquée. La neutropénie doit faire lobjet dun traitement approprié sur le plan clinique. La quétiapine doit être interrompue chez les patients ayant un taux de granulocytes neutrophiles <1,0 x 109/l. Surveiller les patients à la recherche des signes et symptômes dune infection et contrôler les taux de granulocytes neutrophiles jusquà ce quils dépassent 1,5 x 109/l (voir «Effets indésirables»).
  • -Une hyperglycémie et/ou le développement ou l'aggravation d'un diabète – occasionnellement avec acidocétose ou coma – ont été rapportés. Certains de ces cas ont été mortels (voir «Effets indésirables»). Une prise de poids ayant précédé de tels effets indésirables a été rapportée dans certains cas et pourrait éventuellement avoir joué le rôle de facteur prédisposant. Une surveillance clinique appropriée en accord avec les directives en usage pour les maladies psychotiques est recommandée. Il convient de prêter attention aux signes et symptômes éventuels d'une hyperglycémie (par exemple polydipsie, polyurie, polyphagie et état de faiblesse) chez les patients traités avec des médicaments antipsychotiques tels que la quétiapine. Les patients diabétiques ou à risque de développer un diabète doivent être soumis à des examens réguliers pour détecter toute détérioration du contrôle glycémique. Le poids corporel doit être contrôlé régulièrement.
  • +Une hyperglycémie et/ou le développement ou laggravation dun diabète – occasionnellement avec acidocétose ou coma – ont été rapportés. Certains de ces cas ont été mortels (voir «Effets indésirables»). Une prise de poids ayant précédé de tels effets indésirables a été rapportée dans certains cas et pourrait éventuellement avoir joué le rôle de facteur prédisposant. Une surveillance clinique appropriée en accord avec les directives en usage pour les maladies psychotiques est recommandée. Il convient de prêter attention aux signes et symptômes éventuels dune hyperglycémie (par exemple polydipsie, polyurie, polyphagie et état de faiblesse) chez les patients traités avec des médicaments antipsychotiques tels que la quétiapine. Les patients diabétiques ou à risque de développer un diabète doivent être soumis à des examens réguliers pour détecter toute détérioration du contrôle glycémique. Le poids corporel doit être contrôlé régulièrement.
  • -La prudence est de rigueur lors de l'utilisation de la quétiapine chez les patients présentant une hépatopathie préexistante, chez les patients qui sont traités par des médicaments potentiellement hépatotoxiques, ou si des signes ou symptômes d'une perturbation de la fonction hépatique surviennent pendant le traitement par la quétiapine. De très rares cas de défaillance hépatique, y compris des cas mortels, ont été rapportés depuis la commercialisation. De rares cas d'hépatites sont survenus au cours des études cliniques. Depuis la commercialisation, on a enregistré de rares cas d'hépatites (avec ou sans ictère) chez les patients avec ou sans antécédents. Des stéatoses hépatiques et des lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes sont également survenues rarement après commercialisation. Il est recommandé de réaliser un examen clinique standard, y compris une mesure des transaminases, chez les patients qui, avant le traitement par la quétiapine, présentent une fonction hépatique anormale connue ou suspectée. Pour ces patients, ainsi que pour les patients qui développent pendant le traitement par la quétiapine des signes ou symptômes indiquant une nouvelle flambée de la maladie hépatique, il est recommandé de réaliser une réévaluation clinique périodique par la mesure des taux de transaminases.
  • +La prudence est de rigueur lors de lutilisation de la quétiapine chez les patients présentant une hépatopathie préexistante, chez les patients qui sont traités par des médicaments potentiellement hépatotoxiques, ou si des signes ou symptômes dune perturbation de la fonction hépatique surviennent pendant le traitement par la quétiapine. De très rares cas de défaillance hépatique, y compris des cas mortels, ont été rapportés depuis la commercialisation. De rares cas dhépatites sont survenus au cours des études cliniques. Depuis la commercialisation, on a enregistré de rares cas dhépatites (avec ou sans ictère) chez les patients avec ou sans antécédents. Des stéatoses hépatiques et des lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes sont également survenues rarement après commercialisation. Il est recommandé de réaliser un examen clinique standard, y compris une mesure des transaminases, chez les patients qui, avant le traitement par la quétiapine, présentent une fonction hépatique anormale connue ou suspectée. Pour ces patients, ainsi que pour les patients qui développent pendant le traitement par la quétiapine des signes ou symptômes indiquant une nouvelle flambée de la maladie hépatique, il est recommandé de réaliser une réévaluation clinique périodique par la mesure des taux de transaminases.
  • -Des cas de pancréatites ont été rapportés lors des études cliniques et après commercialisation, sans qu'un rapport de causalité puisse être démontré. Parmi les cas rapportés après commercialisation, de nombreux patients présentaient des facteurs connus de prédisposition à des pancréatites tels qu'un taux de triglycérides élevés (voir «Lipides» ci-dessus), des calculs biliaires et une consommation d'alcool.
  • +Des cas de pancréatites ont été rapportés lors des études cliniques et après commercialisation, sans quun rapport de causalité puisse être démontré. Parmi les cas rapportés après commercialisation, de nombreux patients présentaient des facteurs connus de prédisposition à des pancréatites tels quun taux de triglycérides élevés (voir «Lipides» ci-dessus), des calculs biliaires et une consommation dalcool.
  • -Des réductions des taux d'hormones thyroïdiennes ont été observées sous quétiapine, surtout pendant les premières semaines du traitement. Les patients dont on sait qu'ils présentent une hyperthyroïdie doivent être soumis à des contrôles réguliers des hormones thyroïdiennes (voir «Effets indésirables»).
  • -Syndrome de sécrétion inadéquate d'ADH (SIADH)
  • -Dans des cas isolés, un syndrome de sécrétion inadéquate d'ADH peut apparaître, sans toutefois qu'un rapport de causalité ne soit obligatoirement présent. Un contrôle régulier des électrolytes est recommandé.
  • +Des réductions des taux dhormones thyroïdiennes ont été observées sous quétiapine, surtout pendant les premières semaines du traitement. Les patients dont on sait quils présentent une hyperthyroïdie doivent être soumis à des contrôles réguliers des hormones thyroïdiennes (voir «Effets indésirables»).
  • +Syndrome de sécrétion inadéquate dADH (SIADH)
  • +Dans des cas isolés, un syndrome de sécrétion inadéquate dADH peut apparaître, sans toutefois quun rapport de causalité ne soit obligatoirement présent. Un contrôle régulier des électrolytes est recommandé.
  • -Les mêmes mises en garde et précautions que chez l'adulte sont applicables également chez les patients de 10 à 17 ans. De plus, on a observé des changements de la tension artérielle, des changements aux tests de la fonction thyroïdienne, des prises de poids et des augmentations du taux de prolactine; il convient de prendre les mesures cliniques appropriées (voir «Effets indésirables»). On ne dispose pas pour la quétiapine de données à long terme de plus de 26 semaines sur la sécurité en ce qui concerne la croissance, la maturation et le développement du comportement chez les enfants et les adolescents de 10 à 17 ans.
  • -Patients âgés (>65 ans) souffrant d'une démence
  • -La quétiapine n'est pas autorisée dans le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients souffrant de démence et n'est donc pas recommandée dans ce groupe de patients.
  • -Dans des études randomisées et contrôlées contre placebo auprès d'une population de patients souffrant de démence, on a observé sous certains neuroleptiques atypiques un risque environ triplé d'effets indésirables cérébrovasculaires. On ignore quel mécanisme est à l'origine de cette augmentation du risque. Une augmentation du risque dans ce sens ne peut pas être exclue pour d'autres neuroleptiques ou pour d'autres populations de patients. La prudence est donc de mise lors d'une utilisation de la quétiapine chez des patients présentant des facteurs de risque d'accidents vasculaires cérébraux.
  • -Une méta-analyse effectuée sur les neuroleptiques atypiques a montré que les patients âgés souffrant d'une psychose due à la démence ont un risque de mortalité plus élevé dans le cadre d'un traitement par ces agents en comparaison avec les patients de ce type sous placebo. Dans deux études de 10 semaines sur la quétiapine, contrôlées versus placebo auprès de la même population de patients (n = 710, âge moyen 83 ans [56 à 99 ans]), le taux de mortalité des patients sous quétiapine a toutefois été de 5.5% par rapport à 3.2% sous placebo. Les causes de décès constatées chez les patients de ces études étaient très variées et correspondaient aux risques attendus dans une telle population. Ces données ne démontrent par conséquent aucun rapport causal entre la quétiapine et une mortalité accrue chez les patients déments âgés.
  • +Les mêmes mises en garde et précautions que chez ladulte sont applicables également chez les patients de 10 à 17 ans. De plus, on a observé des changements de la tension artérielle, des changements aux tests de la fonction thyroïdienne, des prises de poids et des augmentations du taux de prolactine; il convient de prendre les mesures cliniques appropriées (voir «Effets indésirables»). On ne dispose pas pour la quétiapine de données à long terme de plus de 26 semaines sur la sécurité en ce qui concerne la croissance, la maturation et le développement du comportement chez les enfants et les adolescents de 10 à 17 ans.
  • +Patients âgés (>65 ans) souffrant dune démence
  • +La quétiapine nest pas autorisée dans le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients souffrant de démence et nest donc pas recommandée dans ce groupe de patients.
  • +Dans des études randomisées et contrôlées contre placebo auprès dune population de patients souffrant de démence, on a observé sous certains neuroleptiques atypiques un risque environ triplé deffets indésirables cérébrovasculaires. On ignore quel mécanisme est à lorigine de cette augmentation du risque. Une augmentation du risque dans ce sens ne peut pas être exclue pour dautres neuroleptiques ou pour dautres populations de patients. La prudence est donc de mise lors dune utilisation de la quétiapine chez des patients présentant des facteurs de risque daccidents vasculaires cérébraux.
  • +Une méta-analyse effectuée sur les neuroleptiques atypiques a montré que les patients âgés souffrant dune psychose due à la démence ont un risque de mortalité plus élevé dans le cadre dun traitement par ces agents en comparaison avec les patients de ce type sous placebo. Dans deux études de 10 semaines sur la quétiapine, contrôlées versus placebo auprès de la même population de patients (n = 710, âge moyen 83 ans [56 à 99 ans]), le taux de mortalité des patients sous quétiapine a toutefois été de 5,5% par rapport à 3,2% sous placebo. Les causes de décès constatées chez les patients de ces études étaient très variées et correspondaient aux risques attendus dans une telle population. Ces données ne démontrent par conséquent aucun rapport causal entre la quétiapine et une mortalité accrue chez les patients déments âgés.
  • -Les dépressions sont associées à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (événements de type suicidaire). Ce risque reste présent jusqu'à ce qu'une rémission notable soit atteinte. L'amélioration n'étant pas forcément obtenue dès les premières semaines du traitement, les patients doivent être surveillés étroitement jusqu'à une amélioration. L'expérience clinique montre que le risque de suicide peut être accru ou réapparaître au moment où le patient commence à guérir. Les patients (et le personnel soignant) devront être avertis de la nécessité de surveiller l'apparition d'une aggravation éventuelle de l'état (y compris le développement de nouveaux symptômes), de pensées d'auto-agression et/ou d'idées ou de comportements suicidaires, et qu'ils demandent immédiatement une assistance médicale lorsque ces symptômes surviennent. Le risque d'idées suicidaires et de tentatives de suicide est accru chez les patients ayant déjà présenté par le passé des idées ou comportements suicidaires. La littérature décrit une série d'autres facteurs de risque tels que par exemple les symptômes extrapyramidaux (EPS).
  • -De plus, les médecins doivent tenir compte du risque potentiel de suicides, d'idées suicidaires ou d'auto-agression après l'arrêt abrupt du traitement par la quétiapine.
  • -Les autres troubles psychiatriques pour lesquels Seroquel est prescrit peuvent également être associés à un risque accru d'événements de type suicidaire. De plus, ces maladies peuvent être accompagnées d'épisodes dépressifs (épisodes dépressifs majeurs). Les mêmes précautions que pour le traitement d'épisodes dépressifs (épisodes dépressifs majeurs) doivent donc être appliquées au traitement des patients souffrant d'autres maladies psychiatriques.
  • -Dans des études cliniques auprès de patients en phase de dépression sévère dans le cadre du trouble bipolaire, le risque de suicide, d'idées suicidaires et d'auto-agression était plus élevé sous quétiapine que sous placebo (3% vs 0%) chez les jeunes adultes de moins de 25 ans. Une étude effectuée auprès d'enfants et d'adolescents (de 10 à 17 ans) souffrant de dépression bipolaire n'a pas permis de démontrer l'efficacité du traitement. L'incidence des événements de type suicidaire a été de 1% (1/92) sous quétiapine et de 0% (0/100) sous placebo. En rapport avec cette étude, on a observé au cours du traitement de suivi (c'est-à-dire après l'étude proprement dite) deux événements supplémentaires de type suicidaire chez deux patients, dont un était traité par la quétiapine au moment de l'événement.
  • -Une méta-analyse réalisée par la FDA, portant sur des études cliniques contrôlées par placebo qui avaient examiné des antidépresseurs chez environ 4400 enfants et adolescents et chez 77000 adultes souffrant de maladies psychiatriques, a révélé un risque plus élevé de comportements suicidaires sous antidépresseurs que sous placebo chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes de moins de 25 ans. La quétiapine n'était pas incluse dans cette méta-analyse (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique»).
  • +Les dépressions sont associées à un risque accru didées suicidaires, dauto-agression et de suicide (événements de type suicidaire). Ce risque reste présent jusquà ce quune rémission notable soit atteinte. Lamélioration nétant pas forcément obtenue dès les premières semaines du traitement, les patients doivent être surveillés étroitement jusquà une amélioration. Lexpérience clinique montre que le risque de suicide peut être accru ou réapparaître au moment où le patient commence à guérir. Les patients (et le personnel soignant) devront être avertis de la nécessité de surveiller lapparition dune aggravation éventuelle de létat (y compris le développement de nouveaux symptômes), de pensées dauto-agression et/ou didées ou de comportements suicidaires, et quils demandent immédiatement une assistance médicale lorsque ces symptômes surviennent. Le risque didées suicidaires et de tentatives de suicide est accru chez les patients ayant déjà présenté par le passé des idées ou comportements suicidaires. La littérature décrit une série dautres facteurs de risque tels que par exemple les symptômes extrapyramidaux (EPS).
  • +De plus, les médecins doivent tenir compte du risque potentiel de suicides, didées suicidaires ou dauto-agression après larrêt abrupt du traitement par la quétiapine.
  • +Les autres troubles psychiatriques pour lesquels Seroquel est prescrit peuvent également être associés à un risque accru dévénements de type suicidaire. De plus, ces maladies peuvent être accompagnées dépisodes dépressifs (épisodes dépressifs majeurs). Les mêmes précautions que pour le traitement dépisodes dépressifs (épisodes dépressifs majeurs) doivent donc être appliquées au traitement des patients souffrant dautres maladies psychiatriques.
  • +Dans des études cliniques auprès de patients en phase de dépression sévère dans le cadre du trouble bipolaire, le risque de suicide, didées suicidaires et dauto-agression était plus élevé sous quétiapine que sous placebo (3% vs 0%) chez les jeunes adultes de moins de 25 ans. Une étude effectuée auprès denfants et dadolescents (de 10 à 17 ans) souffrant de dépression bipolaire na pas permis de démontrer lefficacité du traitement. Lincidence des événements de type suicidaire a été de 1% (1/92) sous quétiapine et de 0% (0/100) sous placebo. En rapport avec cette étude, on a observé au cours du traitement de suivi (cest-à-dire après létude proprement dite) deux événements supplémentaires de type suicidaire chez deux patients, dont un était traité par la quétiapine au moment de lévénement.
  • +Une méta-analyse réalisée par la FDA, portant sur des études cliniques contrôlées par placebo qui avaient examiné des antidépresseurs chez environ 4400 enfants et adolescents et chez 77000 adultes souffrant de maladies psychiatriques, a révélé un risque plus élevé de comportements suicidaires sous antidépresseurs que sous placebo chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes de moins de 25 ans. La quétiapine nétait pas incluse dans cette méta-analyse (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique»).
  • -La norquétiapine, un métabolite actif de la quétiapine, possède une affinité modérée à forte pour différents sous-types de récepteurs muscariniques. Ceci engendre des effets indésirables attribués aux effets anticholinergiques, lorsque la quétiapine est administrée aux doses recommandées ou en cas d'administration concomitante de quétiapine et de médicaments avec des propriétés anticholinergiques, et lors de surdosage. La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui prennent un médicament avec des effets anticholinergiques (muscariniques). La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant un diagnostic ou des antécédents de rétention urinaire, une hypertrophie prostatique cliniquement significative, une occlusion intestinale ou un état similaire, une pression intra-oculaire élevée ou un glaucome à angle fermé (voir «Interactions», «Effets indésirables», «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique et Mécanisme d'action» et «Surdosage»).
  • +La norquétiapine, un métabolite actif de la quétiapine, possède une affinité modérée à forte pour différents sous-types de récepteurs muscariniques. Ceci engendre des effets indésirables attribués aux effets anticholinergiques, lorsque la quétiapine est administrée aux doses recommandées ou en cas dadministration concomitante de quétiapine et de médicaments avec des propriétés anticholinergiques, et lors de surdosage. La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui prennent un médicament avec des effets anticholinergiques (muscariniques). La quétiapine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant un diagnostic ou des antécédents de rétention urinaire, une hypertrophie prostatique cliniquement significative, une occlusion intestinale ou un état similaire, une pression intra-oculaire élevée ou un glaucome à angle fermé (voir «Interactions», «Effets indésirables», «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique et Mécanisme daction» et «Surdosage»).
  • -Des cas de mésusage et d'abus ont été rapportés. La prudence est requise lorsque la quétiapine est prescrite aux patients ayant des antécédents d'alcoolisme ou de toxicomanie.
  • +Des cas de mésusage et dabus ont été rapportés. La prudence est requise lorsque la quétiapine est prescrite aux patients ayant des antécédents dalcoolisme ou de toxicomanie.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. quil est essentiellement «sans sodium».
  • -Étant donné que la quétiapine agit sur le système nerveux central, il faut être prudent quand on l'associe à d'autres médicaments d'effet central et éviter la consommation concomitante d'alcool.
  • -Le cytochrome P450 (CYP) 3A4 est la principale enzyme responsable du métabolisme de la quétiapine dépendant du cytochrome P450. Dans une étude d'interaction menée auprès de volontaires sains, l'administration concomitante de quétiapine (25 mg) et de kétoconazole a provoqué une augmentation de 5 à 8 fois de l'AUC de la quétiapine. C'est pourquoi l'administration concomitante de Seroquel et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 est contre-indiquée. De même, le patient ne doit pas consommer de jus de pamplemousse pendant le traitement par Seroquel.
  • -Les paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine sont restés inchangés lors d'une administration concomitante de cimétidine, un inhibiteur modérément puissant du CYP2D6 et du CYP3A4. L'administration de quétiapine en association avec des antidépresseurs tels que l'imipramine (un inhibiteur du CYP2D6) ou la fluoxétine (un inhibiteur du CYP3A4 et du CYP2D6) n'a pas entraîné de modifications significatives des paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine.
  • -La prudence est de mise lors de l'administration à des patients qui sont traités par d'autres médicaments exerçant des effets anticholinergiques (muscariniques) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Étant donné que la quétiapine agit sur le système nerveux central, il faut être prudent quand on lassocie à dautres médicaments deffet central et éviter la consommation concomitante dalcool.
  • +Le cytochrome P450 (CYP) 3A4 est la principale enzyme responsable du métabolisme de la quétiapine dépendant du cytochrome P450. Dans une étude dinteraction menée auprès de volontaires sains, ladministration concomitante de quétiapine (25 mg) et de kétoconazole a provoqué une augmentation de 5 à 8 fois de lAUC de la quétiapine. Cest pourquoi ladministration concomitante de Seroquel et dinhibiteurs puissants du CYP3A4 est contre-indiquée. De même, le patient ne doit pas consommer de jus de pamplemousse pendant le traitement par Seroquel.
  • +Les paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine sont restés inchangés lors dune administration concomitante de cimétidine, un inhibiteur modérément puissant du CYP2D6 et du CYP3A4. Ladministration de quétiapine en association avec des antidépresseurs tels que limipramine (un inhibiteur du CYP2D6) ou la fluoxétine (un inhibiteur du CYP3A4 et du CYP2D6) na pas entraîné de modifications significatives des paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine.
  • +La prudence est de mise lors de ladministration à des patients qui sont traités par dautres médicaments exerçant des effets anticholinergiques (muscariniques) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -L'administration concomitante de rispéridone ou d'halopéridol (des antipsychotiques) ne modifie pas notablement les paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine.
  • -Une étude avec des doses multiples a examiné la pharmacocinétique de 300 mg de quétiapine avant et pendant un traitement simultané avec 200 mg de carbamazépine (un inducteur enzymatique microsomal connu). L'administration simultanée de 200 mg de carbamazépine a entraîné, par rapport à la prise de quétiapine seule, une hausse significative de la clairance de la quétiapine, qui a provoqué une diminution de la biodisponibilité de la quétiapine (mesure de l'AUC) jusqu'à 13% en moyenne. Cet effet a même été observé de manière renforcée chez quelques patients. En raison de cette interaction marquée, le traitement simultané par la carbamazépine, qui ne s'est d'ailleurs pas montré supérieur au traitement par la carbamazépine seule, n'est pas recommandé.
  • -L'administration concomitante de quétiapine et de phénytoïne a entraîné une augmentation de la clairance de la quétiapine d'environ 450%. Chez les patients traités par des médicaments inducteurs des enzymes hépatiques, le traitement par la quétiapine ne doit être initié que si les bénéfices possibles d'un traitement par la quétiapine sont plus importants que le risque associé à un arrêt du médicament inducteur des enzymes hépatiques. Toute modification concernant l'inducteur des enzymes hépatiques doit être faite progressivement. Au besoin, l'inducteur doit être remplacé par un agent non inducteur des enzymes hépatiques (p.ex. valproate de sodium).
  • -Chez des patients qui prenaient de la quétiapine, des résultats faux positifs des tests immuno-enzymatiques de détection de la méthadone et des antidépresseurs tricycliques ont été rapportés. En cas de résultats douteux de tests immunologiques, il est recommandé de procéder à une vérification à l'aide de méthodes chromatographiques appropriées.
  • -Grossesse, allaitement
  • +Ladministration concomitante de rispéridone ou dhalopéridol (des antipsychotiques) ne modifie pas notablement les paramètres pharmacocinétiques de la quétiapine.
  • +Une étude avec des doses multiples a examiné la pharmacocinétique de 300 mg de quétiapine avant et pendant un traitement simultané avec 200 mg de carbamazépine (un inducteur enzymatique microsomal connu). Ladministration simultanée de 200 mg de carbamazépine a entraîné, par rapport à la prise de quétiapine seule, une hausse significative de la clairance de la quétiapine, qui a provoqué une diminution de la biodisponibilité de la quétiapine (mesure de lAUC) jusquà 13% en moyenne. Cet effet a même été observé de manière renforcée chez quelques patients. En raison de cette interaction marquée, le traitement simultané par la carbamazépine, qui ne sest dailleurs pas montré supérieur au traitement par la carbamazépine seule, nest pas recommandé.
  • +Ladministration concomitante de quétiapine et de phénytoïne a entraîné une augmentation de la clairance de la quétiapine denviron 450%. Chez les patients traités par des médicaments inducteurs des enzymes hépatiques, le traitement par la quétiapine ne doit être initié que si les bénéfices possibles dun traitement par la quétiapine sont plus importants que le risque associé à un arrêt du médicament inducteur des enzymes hépatiques. Toute modification concernant linducteur des enzymes hépatiques doit être faite progressivement. Au besoin, linducteur doit être remplacé par un agent non inducteur des enzymes hépatiques (p. ex. valproate de sodium).
  • +Chez des patients qui prenaient de la quétiapine, des résultats faux positifs des tests immuno-enzymatiques de détection de la méthadone et des antidépresseurs tricycliques ont été rapportés. En cas de résultats douteux de tests immunologiques, il est recommandé de procéder à une vérification à laide de méthodes chromatographiques appropriées.
  • +Grossesse, Allaitement
  • -Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi chez la femme enceinte. Des troubles de la fertilité et du développement fœtal sont apparus chez des animaux à des doses élevées, toxiques pour la mère. C'est pourquoi la quétiapine ne devrait pas être utilisée durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Si une interruption du traitement est nécessaire pendant la grossesse, l'arrêt de l'administration ne doit pas être abrupt (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Il nexiste pas de données cliniques concernant lemploi chez la femme enceinte. Des troubles de la fertilité et du développement fœtal sont apparus chez des animaux à des doses élevées, toxiques pour la mère. Cest pourquoi la quétiapine ne devrait pas être utilisée durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Si une interruption du traitement est nécessaire pendant la grossesse, larrêt de ladministration ne doit pas être abrupt (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Effets non tératogènes: Les nouveau-nés dont les mères ont pris des neuroleptiques (y compris la quétiapine) pendant le troisième trimestre de la grossesse ont un risque de symptômes extrapyramidaux et/ou de symptômes de sevrage après la naissance (voir «Effets indésirables»). Ces symptômes chez le nouveau-né peuvent inclure une agitation, un tonus musculaire anormalement augmenté ou réduit, des tremblements, une somnolence, des difficultés respiratoires ou des difficultés d'alimentation. Ces complications peuvent se manifester avec une intensité variable. Elles ont été autolimitées dans certains cas, tandis qu'elles ont exigé dans d'autres cas une surveillance du nouveau-né à l'unité des soins intensifs ou une hospitalisation prolongée du nouveau-né.
  • +Effets non tératogènes: Les nouveau-nés dont les mères ont pris des neuroleptiques (y compris la quétiapine) pendant le troisième trimestre de la grossesse ont un risque de symptômes extrapyramidaux et/ou de symptômes de sevrage après la naissance (voir «Effets indésirables»). Ces symptômes chez le nouveau-né peuvent inclure une agitation, un tonus musculaire anormalement augmenté ou réduit, des tremblements, une somnolence, des difficultés respiratoires ou des difficultés dalimentation. Ces complications peuvent se manifester avec une intensité variable. Elles ont été autolimitées dans certains cas, tandis quelles ont exigé dans dautres cas une surveillance du nouveau-né à lunité des soins intensifs ou une hospitalisation prolongée du nouveau-né.
  • -Des rapports publiés ont montré que la quétiapine est sécrétée dans le lait maternel. Le degré de cette sécrétion a cependant été inégal. C'est pourquoi les mères ne doivent pas allaiter pendant un traitement par la quétiapine.
  • +Des rapports publiés ont montré que la quétiapine est sécrétée dans le lait maternel. Le degré de cette sécrétion a cependant été inégal. Cest pourquoi les mères ne doivent pas allaiter pendant un traitement par la quétiapine.
  • -En raison de son effet central, Seroquel peut perturber les activités qui exigent une bonne vigilance intellectuelle. C'est pourquoi les patients ne doivent ni conduire des véhicules ni utiliser des machines tant que leur sensibilité individuelle à ces effets n'est pas déterminée.
  • +En raison de son effet central, Seroquel peut perturber les activités qui exigent une bonne vigilance intellectuelle. Cest pourquoi les patients ne doivent ni conduire des véhicules ni utiliser des machines tant que leur sensibilité individuelle à ces effets nest pas déterminée.
  • -Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquents: leucopénie (réduction d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie à <3x109 leucocytes par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), neutropénie.
  • -Occasionnels: anémie1, thrombocytopénie.
  • -Rares: agranulocytose (neutropénie sévère (<0.5 x 109/l) avec survenue d'infections, la fréquence fait référence aux données de toutes les études cliniques).
  • +Fréquents: leucopénie (réduction dune valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie à <3x109 leucocytes par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), neutropénie
  • +Occasionnels: anémie1, thrombocytopénie
  • +Rares: agranulocytose (neutropénie sévère (<0,5 x 109/l) avec survenue dinfections, la fréquence fait référence aux données de toutes les études cliniques)
  • -Occasionnels: hypersensibilité.
  • -Très rares: choc anaphylactique.
  • +Occasionnels: hypersensibilité
  • +Très rares: choc anaphylactique
  • -Très fréquents: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): chez les adultes 8 à 23%; chez les enfants et adolescents atteints de schizophrénie ou de manie bipolaire, traités par Seroquel: 12% au bout de 3 semaines, 21% au bout de 6 semaines et 45% au bout de 26 semaines. Pour assurer la prise en compte de la croissance normale au cours des 26 semaines, une prise de poids correspondant à un écart-type d'au moins 0.5 du BMI initial a été considérée comme un changement cliniquement significatif; 18.3% des patients sous Seroquel présentaient ce critère au bout de 26 semaines de traitement. Dans une étude à court terme n'ayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, 12.5% des enfants et adolescents ont présenté une prise de poids de >7% en l'espace de 8 semaines sous quétiapine. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque). Appétit accru chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Fréquents: appétit accru.
  • -Occasionnels: perte de poids1.
  • -Très rares: diabète sucré, troubles diabétiques de l'équilibre hydrique, avec déshydratation ou hyperhydratation (celle-ci entre autres dans le cadre d'un SIADH, syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique).
  • +Très fréquents: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): chez les adultes 8 à 23%; chez les enfants et adolescents atteints de schizophrénie ou de manie bipolaire, traités par Seroquel: 12% au bout de 3 semaines, 21% au bout de 6 semaines et 45% au bout de 26 semaines. Pour assurer la prise en compte de la croissance normale au cours des 26 semaines, une prise de poids correspondant à un écarttype dau moins 0.5 du BMI initial a été considérée comme un changement cliniquement significatif; 18,3% des patients sous Seroquel présentaient ce critère au bout de 26 semaines de traitement. Dans une étude à court terme nayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, 12,5% des enfants et adolescents ont présenté une prise de poids de >7% en lespace de 8 semaines sous quétiapine. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque). Appétit accru chez lenfant et ladolescent.
  • +Fréquents: appétit accru
  • +Occasionnels: perte de poids1
  • +Très rares: diabète sucré, troubles diabétiques de léquilibre hydrique, avec déshydratation ou hyperhydratation (celle-ci entre autres dans le cadre dun SIADH, syndrome de sécrétion inappropriée dhormone antidiurétique).
  • -Fréquents: rêves inhabituels et cauchemars, idées et comportements suicidaires. Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant un traitement par la quétiapine ou peu après l'arrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents: rêves inhabituels et cauchemars, idées et comportements suicidaires. Des cas didées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant un traitement par la quétiapine ou peu après larrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquence indéterminée: agitation2.
  • +Fréquence indéterminée: agitation2
  • -Très fréquents: somnolence (31.3%), surtout pendant les deux premières semaines du traitement; vertige (11.3%). Le vertige et la somnolence peuvent provoquer des chutes. Symptômes extrapyramidaux (de façon générale).
  • -Fréquents: dysarthrie, syncope chez les enfants et les adolescents.
  • -Occasionnels: crises convulsives, syndrome des jambes sans repos, dystonie aiguë, dyskinésie tardive, syncope (peut provoquer des chutes), état confusionnel.
  • -Très rares: hyperkinésie1.
  • -Fréquence indéterminée: akathisie2.
  • +Très fréquents: somnolence (31,3%), surtout pendant les deux premières semaines du traitement; vertige (11,3%). Le vertige et la somnolence peuvent provoquer des chutes. Symptômes extrapyramidaux (de façon générale).
  • +Fréquents: dysarthrie, syncope chez les enfants et les adolescents
  • +Occasionnels: crises convulsives, syndrome des jambes sans repos, dystonie aiguë, dyskinésie tardive, syncope (peut provoquer des chutes), état confusionnel
  • +Très rares: hyperkinésie1
  • +Fréquence indéterminée: akathisie2
  • -Fréquents: vision trouble.
  • +Fréquents: vision trouble
  • -Très fréquents: tension artérielle accrue chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Fréquents: tachycardie, palpitations cardiaques, hypotension artérielle orthostatique (peut provoquer des chutes).
  • -Occasionnels: vasodilatation, migraine, bradycardie, ischémie cérébrale, pouls irrégulier, anormalité de l'onde T, bloc AV, événements cérébrovasculaires, thrombose veineuse profonde, inversion de l'onde T.
  • -Rares: angine de poitrine, fibrillation auriculaire, bloc AV du 1er degré, insuffisance cardiaque congestive, sus-décalage du segment ST, thrombophlébite, aplatissement de l'onde T, anomalies du segment ST, allongement de l'espace QRS, allongement de l'intervalle QTc.
  • -Fréquence indéterminée: cardiomyopathie, myocardite.
  • +Très fréquents: tension artérielle accrue chez lenfant et ladolescent
  • +Fréquents: tachycardie, palpitations cardiaques, hypotension artérielle orthostatique (peut provoquer des chutes)
  • +Occasionnels: vasodilatation, migraine, bradycardie, ischémie cérébrale, pouls irrégulier, anormalité de londe T, bloc AV, événements cérébrovasculaires, thrombose veineuse profonde, inversion de londe T
  • +Rares: angine de poitrine, fibrillation auriculaire, bloc AV du 1er degré, insuffisance cardiaque congestive, sus-décalage du segment ST, thrombophlébite, aplatissement de londe T, anomalies du segment ST, allongement de lespace QRS, allongement de lintervalle QTc
  • +Fréquence indéterminée: cardiomyopathie, myocardite
  • -Fréquents: pharyngite1, toux accrue1, dyspnée1, rhinite chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Occasionnels: rhinite, asthme1, épistaxis1.
  • -Rares: hyperventilation1, hoquet1.
  • +Fréquents: pharyngite1, toux accrue1, dyspnée1, rhinite chez lenfant et ladolescent
  • +Occasionnels: rhinite, asthme1, épistaxis1
  • +Rares: hyperventilation1, hoquet1
  • -Très fréquents: sécheresse buccale, vomissements chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Fréquents: constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, vomissements (surtout chez les patients âgés de plus de 65 ans).
  • -Rares: occlusion intestinale.
  • -Très rares: dysphagie, pancréatite1.
  • +Très fréquents: sécheresse buccale, vomissements chez lenfant et ladolescent
  • +Fréquents: constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, vomissements (surtout chez les patients âgés de plus de 65 ans)
  • +Rares: occlusion intestinale
  • +Très rares: dysphagie, pancréatite1
  • -Fréquents: élévation de l'alanine aminotransférase sérique (ALAT), augmentation des taux de γ-GT.
  • -Occasionnels: augmentation du taux sérique d'aspartate aminotransférase (ASAT).
  • -Rares: hépatite (avec ou sans ictère).
  • -Très rares: stéatose hépatique, lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes après commercialisation.
  • +Fréquents: élévation de lalanine aminotransférase sérique (ALAT), augmentation des taux de γ-GT
  • +Occasionnels: augmentation du taux sérique daspartate aminotransférase (ASAT)
  • +Rares: hépatite (avec ou sans ictère)
  • +Très rares: stéatose hépatique, lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes après commercialisation
  • -Fréquents: rash.
  • -Très rares: angioœdème.
  • -Fréquence indéterminée: nécrolyse épidermique toxique², syndrome de Stevens-Johnson², pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP), syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ou complications (voir également «Mises en garde et précautions»), vascularite cutanée.
  • +Fréquents: rash
  • +Très rares: angioœdème
  • +Fréquence indéterminée: nécrolyse épidermique toxique2, syndrome de Stevens-Johnson2, pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP), syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ou complications (voir également «Mises en garde et précautions»), vascularite cutanée
  • -Rares: augmentation du taux de CPK.
  • -Très rares: rhabdomyolyse2.
  • +Rares: augmentation du taux de CPK
  • +Très rares: rhabdomyolyse2
  • -Occasionnels: rétention urinaire.
  • +Occasionnels: rétention urinaire
  • -Fréquence indéterminée: symptômes moteurs extrapyramidaux et/ou symptômes de sevrage chez le nouveau-né.
  • +Fréquence indéterminée: symptômes moteurs extrapyramidaux et/ou symptômes de sevrage chez le nouveau-né
  • -Rares: priapisme, galactorrhée.
  • +Rares: priapisme, galactorrhée
  • -Très fréquents: céphalées, symptômes de sevrage (12%) tels qu'insomnie, nausées, diarrhées, vomissements, vertiges et irritabilité. Dans les études correspondantes, les symptômes de sevrage ont généralement disparu une semaine après l'arrêt du traitement.
  • -Fréquents: asthénie, œdèmes périphériques, irritabilité, fièvre.
  • -Rares: syndrome malin des neuroleptiques (voir également «Mises en garde et précautions»), hypothermie.
  • -Très rares: syndrome sérotoninergique.
  • +Très fréquents: céphalées, symptômes de sevrage (12%) tels quinsomnie, nausées, diarrhées, vomissements, vertiges et irritabilité. Dans les études correspondantes, les symptômes de sevrage ont généralement disparu une semaine après larrêt du traitement.
  • +Fréquents: asthénie, œdèmes périphériques, irritabilité, fièvre
  • +Rares: syndrome malin des neuroleptiques (voir également «Mises en garde et précautions»), hypothermie
  • +Très rares: syndrome sérotoninergique
  • -Très fréquents: augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine [patients <18 ans]: >20 μg/l chez les garçons; >26 μg/l chez les filles à un moment quelconque. Moins de 1% des patients présentaient une augmentation du taux de prolactine >100 μg/l). Réduction des taux d'hémoglobine (au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme: chez 11% des patients sous quétiapine dans le cadre d'études cliniques, y compris l'étude d'extension ouverte. Dans le cadre d'études à court terme contrôlées par placebo, au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme chez 8.3% des patients sous quétiapine, par rapport à 6.2% des patients sous placebo).
  • -Fréquents: augmentation du nombre de granulocytes éosinophiles (passant d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie comme >1x109 granulocytes éosinophiles par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), augmentation du taux de sucre dans le sang allant jusqu'au niveau de l'hyperglycémie (au moins une fois une glycémie ≥126 mg/dl à jeun ou une glycémie ≥200 mg/dl pas à jeun) (voir «Mises en garde et précautions»), augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine chez les patients âgés de ≥18 ans: >20 μg/l chez les hommes, >30 μg/l chez les femmes à un moment quelconque), variations des taux d'hormones thyroïdiennes (réduction du taux de T4 totale, de T4 libre et de T3 totale; augmentation du taux de TSH; sur la base d'un passage de valeurs initiales normales à des valeurs pouvant être cliniquement significatives à un moment quelconque de toutes les études. Les variations des taux de T4 totale, de T4 libre, de T3 totale et de T3 libre étaient définies comme <0.8 x la LIN (pmol/l) et les variations des taux de TSH comme >5 mUI/l à un moment quelconque).
  • -Occasionnels: réduction du taux de T3 libre.
  • -Des élévations asymptomatiques (augmentations à plus de 3x la limite supérieure de la normale à un moment quelconque) des transaminases sériques (ALAT, ASAT) ou des taux de γ-GT ont été observées chez quelques patients. Ses élévations étaient normalement réversibles lors de la poursuite du traitement.
  • -Rares: augmentation des taux sanguins de créatinine phosphokinase. Les augmentations des taux sanguins de créatine phosphokinase signalées dans le cadre des études cliniques n'étaient pas associées à un syndrome malin des neuroleptiques.
  • -Taux d'hormones thyroïdiennes
  • -Le traitement par Seroquel s'est accompagné de diminutions dose-dépendantes des taux des hormones thyroïdiennes. Dans des études à court terme contrôlées par placebo, les incidences des variations des taux d'hormones thyroïdiennes pouvant être cliniquement significatives ont été les suivantes: T4 totale: 3.4% sous quétiapine versus 0.6% sous placebo; T4 libre: 0.7% sous quétiapine versus 0.1% sous placebo; T3 totale: 0.54% sous quétiapine versus 0.0% sous placebo; T3 libre: 0.2% sous quétiapine versus 0.0% sous placebo. L'incidence des variations des taux de TSH a été de 3.2% sous quétiapine versus 2.7% sous placebo. Dans les études de monothérapie à court terme contrôlées par placebo, l'incidence des variations réciproques des taux de T3 et de TSH pouvant être cliniquement significatives a été de 0.0% aussi bien sous quétiapine que sous placebo et l'incidence des variations du taux de T4 et de TSH a été de 0.1% sous quétiapine versus 0.0% sous placebo. D'une manière générale, de telles variations des taux d'hormones thyroïdiennes ne sont pas associées à une hypothyroïdie cliniquement symptomatique. La réduction des taux de T4 totale et de T4 libre était maximale pendant les six premières semaines de traitement par Seroquel. Cette diminution ne s'est pas accentuée pendant la poursuite du traitement (traitement au long cours). Dans presque tous les cas, la diminution des taux de T4 totale et de T4 libre a été réversible après l'arrêt du traitement, indépendamment de la durée d'administration de Seroquel. Chez 8 patients dont le taux de TBG (thyroxine binding globuline) a été déterminé, celui-ci était resté inchangé.
  • +Très fréquents: augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine [patients <18 ans]: >20 μg/l chez les garçons; >26 μg/l chez les filles à un moment quelconque. Moins de 1% des patients présentaient une augmentation du taux de prolactine >100 μg/l). Réduction des taux dhémoglobine (au moins une fois une réduction du taux dhémoglobine à ≤13 g/dl chez lhomme ou à ≤12 g/dl chez la femme: chez 11% des patients sous quétiapine dans le cadre détudes cliniques, y compris létude dextension ouverte. Dans le cadre détudes à court terme contrôlées par placebo, au moins une fois une réduction du taux dhémoglobine à ≤13 g/dl chez lhomme ou à ≤12 g/dl chez la femme chez 8,3% des patients sous quétiapine, par rapport à 6,2% des patients sous placebo).
  • +Fréquents: augmentation du nombre de granulocytes éosinophiles (passant dune valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie comme >1x109 granulocytes éosinophiles par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), augmentation du taux de sucre dans le sang allant jusquau niveau de lhyperglycémie (au moins une fois une glycémie ≥ 126 mg/dl à jeun ou une glycémie ≥ 200 mg/dl pas à jeun) (voir «Mises en garde et précautions»), augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine chez les patients âgés de ≥18 ans: >20 μg/l chez les hommes, >30 μg/l chez les femmes à un moment quelconque), variations des taux dhormones thyroïdiennes (réduction du taux de T4 totale, de T4 libre et de T3 totale; augmentation du taux de TSH; sur la base dun passage de valeurs initiales normales à des valeurs pouvant être cliniquement significatives à un moment quelconque de toutes les études. Les variations des taux de T4 totale, de T4 libre, de T3 totale et de T3 libre étaient définies comme <0,8 x la LIN (pmol/l) et les variations des taux de TSH comme >5 mUI/l à un moment quelconque).
  • +Occasionnels: réduction du taux de T3 libre
  • +Des élévations asymptomatiques (augmentations à plus de 3x la limite supérieure de la normale à un moment quelconque) des transaminases sériques (ALAT, ASAT) ou des taux de g-GT ont été observées chez quelques patients. Ses élévations étaient normalement réversibles lors de la poursuite du traitement.
  • +Rares: augmentation des taux sanguins de créatinine phosphokinase. Les augmentations des taux sanguins de créatine phosphokinase signalées dans le cadre des études cliniques nétaient pas associées à un syndrome malin des neuroleptiques.
  • +Taux dhormones thyroïdiennes
  • +Le traitement par Seroquel sest accompagné de diminutions dose-dépendantes des taux des hormones thyroïdiennes. Dans des études à court terme contrôlées par placebo, les incidences des variations des taux dhormones thyroïdiennes pouvant être cliniquement significatives ont été les suivantes: T4 totale: 3,4% sous quétiapine versus 0,6% sous placebo; T4 libre: 0,7% sous quétiapine versus 0,1% sous placebo; T3 totale: 0,54% sous quétiapine versus 0,0% sous placebo; T3 libre: 0,2% sous quétiapine versus 0,0% sous placebo. Lincidence des variations des taux de TSH a été de 3,2% sous quétiapine versus 2,7% sous placebo. Dans les études de monothérapie à court terme contrôlées par placebo, lincidence des variations réciproques des taux de T3 et de TSH pouvant être cliniquement significatives a été de 0,0% aussi bien sous quétiapine que sous placebo et lincidence des variations du taux de T4 et de TSH a été de 0,1% sous quétiapine versus 0,0% sous placebo. Dune manière générale, de telles variations des taux dhormones thyroïdiennes ne sont pas associées à une hypothyroïdie cliniquement symptomatique. La réduction des taux de T4 totale et de T4 libre était maximale pendant les six premières semaines de traitement par Seroquel. Cette diminution ne sest pas accentuée pendant la poursuite du traitement (traitement au long cours). Dans presque tous les cas, la diminution des taux de T4 totale et de T4 libre a été réversible après larrêt du traitement, indépendamment de la durée dadministration de Seroquel. Chez 8 patients dont le taux de TBG (thyroxine binding globuline) a été déterminé, celui-ci était resté inchangé.
  • -L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Un décès après un surdosage de 13.6 g de quétiapine (monothérapie) a été rapporté pendant une étude clinique. Dans le cadre des observations post-commercialisation, on a également enregistré des cas de décès après l'administration de doses de quétiapine à partir de 6 g déjà (monothérapie). En revanche, dans des études cliniques, des patients ont survécu à des surdosages aigus allant jusqu'à 30 g de quétiapine. La plupart des patients qui avaient ingéré une surdose n'ont rapporté aucun effet indésirable ou se sont rétablis sans séquelles ultérieures.
  • +Un décès après un surdosage de 13,6 g de quétiapine (monothérapie) a été rapporté pendant une étude clinique. Dans le cadre des observations post-commercialisation, on a également enregistré des cas de décès après ladministration de doses de quétiapine à partir de 6 g déjà (monothérapie). En revanche, dans des études cliniques, des patients ont survécu à des surdosages aigus allant jusquà 30 g de quétiapine. La plupart des patients qui avaient ingéré une surdose nont rapporté aucun effet indésirable ou se sont rétablis sans séquelles ultérieures.
  • -Les symptômes observés étaient généralement imputables à un renforcement des effets pharmacologiques connus, c'est-à-dire somnolence et sédation, tachycardie, hypotension et effets anticholinergiques.
  • -Dans le cadre des observations post-commercialisation, on a enregistré de rares cas de surdosage de quétiapine en monothérapie ayant entraîné le décès du patient ou un coma ou un allongement de l'intervalle QTc.
  • -Les effets d'un surdosage peuvent représenter un risque pour les patients ayant une affection cardio-vasculaire sévère préexistante.
  • +Les symptômes observés étaient généralement imputables à un renforcement des effets pharmacologiques connus, cest-à-dire somnolence et sédation, tachycardie, hypotension et effets anticholinergiques.
  • +Dans le cadre des observations post-commercialisation, on a enregistré de rares cas de surdosage de quétiapine en monothérapie ayant entraîné le décès du patient ou un coma ou un allongement de lintervalle QTc.
  • +Les effets dun surdosage peuvent représenter un risque pour les patients ayant une affection cardio-vasculaire sévère préexistante.
  • -On ne connaît pas d'antidote spécifique de la quétiapine. Dans les cas graves, il faut se demander si plusieurs médicaments ne sont pas en cause. Envisager un lavage gastrique (après intubation si le patient est sans connaissance) puis l'administration de charbon activé et d'un laxatif. Il est recommandé de traiter le patient en réanimation, avec notamment maintien de la respiration et surveillance du système cardio-vasculaire. En relation avec les symptômes anticholinergiques, des rapports publiés décrivent la suppression d'effets sévères sur le SNC, y compris d'un coma et d'un délire, suite à l'administration IV de physostigmine (1-2 mg) sous surveillance ECG continue.
  • -Dans le cas d'un surdosage de quétiapine, on traitera une hypotension réfractaire et une syncope par des mesures appropriées telles qu'un apport liquidien i.v. et/ou une administration d'agents sympathomimétiques. On évitera l'administration d'adrénaline et de dopamine, étant donné qu'une stimulation β-adrénergique peut aggraver une hypotension lors d'un blocage α-adrénergique induit par la quétiapine.
  • -Il faut étroitement surveiller le patient jusqu'à son rétablissement.
  • +On ne connaît pas dantidote spécifique de la quétiapine. Dans les cas graves, il faut se demander si plusieurs médicaments ne sont pas en cause. Envisager un lavage gastrique (après intubation si le patient est sans connaissance) puis ladministration de charbon activé et dun laxatif. Il est recommandé de traiter le patient en réanimation, avec notamment maintien de la respiration et surveillance du système cardio-vasculaire. En relation avec les symptômes anticholinergiques, des rapports publiés décrivent la suppression deffets sévères sur le SNC, y compris dun coma et dun délire, suite à ladministration IV de physostigmine (1-2 mg) sous surveillance ECG continue.
  • +Dans le cas dun surdosage de quétiapine, on traitera une hypotension réfractaire et une syncope par des mesures appropriées telles quun apport liquidien i.v. et/ou une administration dagents sympathomimétiques. On évitera ladministration dadrénaline et de dopamine, étant donné quune stimulation β-adrénergique peut aggraver une hypotension lors dun blocage α-adrénergique induit par la quétiapine.
  • +Il faut étroitement surveiller le patient jusquà son rétablissement.
  • -Code ATC
  • -N05AH04
  • -Mécanisme d'action
  • -La quétiapine est un antipsychotique atypique. La quétiapine et son métabolite actif norquétiapine (N-désalkyl-quétiapine) dans le plasma humain réagissent avec de nombreux types de récepteurs des neurotransmetteurs. La quétiapine et la norquétiapine présentent une affinité pour les récepteurs cérébraux de la sérotonine (récepteurs 5-HT2) et de la dopamine (récepteurs D1 et D2). On suppose que la combinaison de l'antagonisme des récepteurs (sélectivité plus importante pour les récepteurs 5HT2 que pour les récepteurs D2) explique les propriétés antipsychotiques de Seroquel et la rareté des symptômes extrapyramidaux (EPS) en comparaison avec les neuroleptiques typiques. La quétiapine n'a pas d'affinité pour le transporteur de la noradrénaline (NET) et a une faible affinité pour le récepteur sérotoninergique 5-HT1A, tandis que la norquétiapine présente une forte affinité pour les deux. On suppose que l'inhibition du NET et l'activité agoniste partielle au niveau du site 5-HT1A provoquées par la norquétiapine contribuent à l'efficacité thérapeutique antidépressive de Seroquel. La quétiapine et la norquétiapine ont une forte affinité pour les récepteurs histaminiques et α1-adrénergiques et une affinité modérée pour les récepteurs α2-adrénergiques. En outre, la quétiapine a une affinité faible ou nulle pour les récepteurs muscariniques, tandis que la norquétiapine a une affinité modérée à élevée pour différents sous-types de récepteurs muscariniques, ce qui permet d'expliquer les effets anticholinergiques (muscariniques).
  • +Code ATC: N05AH04
  • +Mécanisme daction
  • +La quétiapine est un antipsychotique atypique. La quétiapine et son métabolite actif norquétiapine (Ndésalkyl-quétiapine) dans le plasma humain réagissent avec de nombreux types de récepteurs des neurotransmetteurs. La quétiapine et la norquétiapine présentent une affinité pour les récepteurs cérébraux de la sérotonine (récepteurs 5-HT2) et de la dopamine (récepteurs D1 et D2). On suppose que la combinaison de lantagonisme des récepteurs (sélectivité plus importante pour les récepteurs 5HT2 que pour les récepteurs D2) explique les propriétés antipsychotiques de Seroquel et la rareté des symptômes extrapyramidaux (EPS) en comparaison avec les neuroleptiques typiques. La quétiapine na pas daffinité pour le transporteur de la noradrénaline (NET) et a une faible affinité pour le récepteur sérotoninergique 5-HT1A, tandis que la norquétiapine présente une forte affinité pour les deux. On suppose que linhibition du NET et lactivité agoniste partielle au niveau du site 5-HT1A provoquées par la norquétiapine contribuent à lefficacité thérapeutique antidépressive de Seroquel. La quétiapine et la norquétiapine ont une forte affinité pour les récepteurs histaminiques et α1-adrénergiques et une affinité modérée pour les récepteurs α2-adrénergiques. En outre, la quétiapine a une affinité faible ou nulle pour les récepteurs muscariniques, tandis que la norquétiapine a une affinité modérée à élevée pour différents sous-types de récepteurs muscariniques, ce qui permet dexpliquer les effets anticholinergiques (muscariniques).
  • -La quétiapine se montre efficace dans les tests d'activité antipsychotique tels que le test «d'évitement conditionné». De plus, elle neutralise l'effet des agonistes dopaminergiques tel qu'évalué sur la base de l'électrophysiologie ou de l'observation du comportement et provoque une augmentation de la concentration de métabolites de la dopamine, ce qui constitue un signe neurochimique de blocage des récepteurs D2.
  • -Dans des études précliniques permettant de tirer des conclusions au sujet des EPS, la quétiapine se distingue des neuroleptiques standard et présente un profil atypique. La quétiapine administrée de façon chronique ne provoque pas une hypersensibilité du récepteur dopaminergique D2. À des doses provoquant un blocage efficace des récepteurs dopaminergiques D2, la quétiapine ne provoque qu'un faible degré de catalepsie. Après une administration chronique, on observe une sélectivité de la quétiapine envers le système limbique, avec bloc dépolarisant des neurones dopaminergiques mésolimbiques, mais non nigrostriaux. Chez des singes du genre Cebus avec ou sans sensibilisation à l'halopéridol, la quétiapine en administration à court terme ou chronique ne provoque qu'une dystonie minimale (voir «Effets indésirables»).
  • -Bien que la demi-vie de la quétiapine soit d'environ 7 heures, des études cliniques ont démontré l'efficacité de Seroquel en deux prises par jour. Cette constatation est en outre confirmée par une étude menée par tomographie avec émission de positrons (TEP) qui montre que la quétiapine bloque les récepteurs 5-HT2 et les récepteurs D2 jusqu'à 12 heures. La sécurité et l'efficacité de doses supérieures à 800 mg par jour n'ont pas été étudiées.
  • +La quétiapine se montre efficace dans les tests dactivité antipsychotique tels que le test «dévitement conditionné». De plus, elle neutralise leffet des agonistes dopaminergiques tel quévalué sur la base de lélectrophysiologie ou de lobservation du comportement et provoque une augmentation de la concentration de métabolites de la dopamine, ce qui constitue un signe neurochimique de blocage des récepteurs D2.
  • +Dans des études précliniques permettant de tirer des conclusions au sujet des EPS, la quétiapine se distingue des neuroleptiques standard et présente un profil atypique. La quétiapine administrée de façon chronique ne provoque pas une hypersensibilité du récepteur dopaminergique D2. À des doses provoquant un blocage efficace des récepteurs dopaminergiques D2, la quétiapine ne provoque quun faible degré de catalepsie. Après une administration chronique, on observe une sélectivité de la quétiapine envers le système limbique, avec bloc dépolarisant des neurones dopaminergiques mésolimbiques, mais non nigrostriaux. Chez des singes du genre Cebus avec ou sans sensibilisation à lhalopéridol, la quétiapine en administration à court terme ou chronique ne provoque quune dystonie minimale (voir «Effets indésirables»).
  • +Bien que la demi-vie de la quétiapine soit denviron 7 heures, des études cliniques ont démontré lefficacité de Seroquel en deux prises par jour. Cette constatation est en outre confirmée par une étude menée par tomographie avec émission de positrons (TEP) qui montre que la quétiapine bloque les récepteurs 5-HT2 et les récepteurs D2 jusquà 12 heures. La sécurité et lefficacité de doses supérieures à 800 mg par jour nont pas été étudiées.
  • -Le potentiel d'induction d'une cataracte de Seroquel et de la rispéridone a été évalué dans une étude clinique sur le traitement au long cours chez des patients souffrant de schizophrénie ou d'une maladie schizo-affective. Seroquel, administré à des doses de 200 à 800 mg/jour, n'a pas été inférieur à la rispéridone, administrée à des doses de 2 à 8 mg/jour, en ce qui concerne le taux à 2 ans des événements caractérisés par une augmentation du degré d'opacité du cristallin (opacification du noyau, opacification corticale, opacification postérieure/sous-capsulaire) estimé selon le système LOCS II de classification de l'opacité du cristallin, chez des patients traités pendant au moins 21 mois (voir aussi à ce sujet «Données précliniques»). La surveillance dans d'autres études cliniques n'a révélé aucune opacification cornéenne d'origine médicamenteuse chez l'homme.
  • +Le potentiel dinduction dune cataracte de Seroquel et de la rispéridone a été évalué dans une étude clinique sur le traitement au long cours chez des patients souffrant de schizophrénie ou dune maladie schizo-affective. Seroquel, administré à des doses de 200 à 800 mg/jour, na pas été inférieur à la rispéridone, administrée à des doses de 2 à 8 mg/jour, en ce qui concerne le taux à 2 ans des événements caractérisés par une augmentation du degré dopacité du cristallin (opacification du noyau, opacification corticale, opacification postérieure/sous-capsulaire) estimé selon le système LOCS II de classification de lopacité du cristallin, chez des patients traités pendant au moins 21 mois (voir aussi à ce sujet «Données précliniques»). La surveillance dans dautres études cliniques na révélé aucune opacification cornéenne dorigine médicamenteuse chez lhomme.
  • -Deux études cliniques menées sur 8 semaines et incluant des patients bipolaires I, bipolaires II et des patients avec et sans cyclicité rapide ont montré que Seroquel est efficace en doses journalières de 300 mg et de 600 mg chez les patients en phase aiguë de la dépression bipolaire. Toutefois, aucun bénéfice supplémentaire n'a été observé avec la dose de 600 mg dans des études de 8 semaines.
  • -Dans les deux études, Seroquel était meilleur que le placebo concernant la diminution du score total MADRS. Un effet de Seroquel était significatif au jour 8 (semaine 1) et a persisté jusqu'à la fin des études (semaine 8). Le traitement par 300 mg ou par 600 mg de Seroquel le soir avant le coucher a réduit les symptômes de dépression et d'anxiété chez les patients présentant une dépression bipolaire. Aux deux posologies de Seroquel, les épisodes maniaques provoqués par le traitement étaient moins nombreux que sous placebo.
  • +Deux études cliniques menées sur 8 semaines et incluant des patients bipolaires I, bipolaires II et des patients avec et sans cyclicité rapide ont montré que Seroquel est efficace en doses journalières de 300 mg et de 600 mg chez les patients en phase aiguë de la dépression bipolaire. Toutefois, aucun bénéfice supplémentaire na été observé avec la dose de 600 mg dans des études de 8 semaines.
  • +Dans les deux études, Seroquel était meilleur que le placebo concernant la diminution du score total MADRS. Un effet de Seroquel était significatif au jour 8 (semaine 1) et a persisté jusquà la fin des études (semaine 8). Le traitement par 300 mg ou par 600 mg de Seroquel le soir avant le coucher a réduit les symptômes de dépression et danxiété chez les patients présentant une dépression bipolaire. Aux deux posologies de Seroquel, les épisodes maniaques provoqués par le traitement étaient moins nombreux que sous placebo.
  • -Deux études cliniques sur Seroquel dans le traitement de la dépression bipolaire ont démontré la persistance de l'efficacité antidépressive. Les deux études ont montré chez des patients répondeurs au traitement par Seroquel comprimés pelliculés aux doses de 300 ou de 600 mg qu'un traitement au long cours était efficace versus placebo pour combattre les symptômes de dépression, mais non les symptômes de manie. Ces études ont inclus une phase de 8 semaines de traitement aigu contrôlé versus placebo, suivi d'une phase d'entretien également contrôlée versus placebo, d'une durée minimale de 26 semaines et d'une durée maximale de 52 semaines. Les patients devaient être stabilisés à la fin de la phase aiguë pour pouvoir être randomisés pour une participation à la phase d'entretien.
  • -Dans une étude à long terme (jusqu'à 2 années de traitement) pour l'évaluation de la prévention des récidives chez des patients souffrant d'épisodes maniaques, dépressifs ou mixtes, le traitement par la quétiapine s'est montré supérieur au traitement par un placebo: la période jusqu'à un nouvel épisode aigu (maniaque, dépressif ou mixte) chez les patients atteints d'un trouble bipolaire de type I a été prolongée. Le nombre des patients subissant de nouveaux épisodes a été de 91 (22.5%) dans le groupe sous quétiapine, de 208 (51.5%) dans le groupe sous placebo et de 95 (26.1%) dans le groupe sous lithium. Chez les patients qui ont répondu à la quétiapine, les résultats ont montré qu'en comparaison avec une poursuite du traitement par la quétiapine, un passage au traitement par le lithium ne semble pas être associé à une prolongation de la durée jusqu'à la survenue d'un nouvel épisode affectant l'humeur.
  • -Dans deux études de prévention des récidives pour l'évaluation de traitements associant Seroquel à des thymorégulateurs chez des patients souffrant d'épisodes maniaques, dépressifs ou mixtes, le traitement associé à Seroquel s'est montré supérieur aux thymorégulateurs seuls: il a prolongé la période jusqu'à un nouvel épisode aigu (maniaque, dépressif ou mixte). Seroquel a été administré deux fois par jour à des doses quotidiennes de 400 à 800 mg, en association avec du lithium ou du valproate.
  • +Deux études cliniques sur Seroquel dans le traitement de la dépression bipolaire ont démontré la persistance de lefficacité antidépressive. Les deux études ont montré chez des patients répondeurs au traitement par Seroquel comprimés pelliculés aux doses de 300 ou de 600 mg quun traitement au long cours était efficace versus placebo pour combattre les symptômes de dépression, mais non les symptômes de manie. Ces études ont inclus une phase de 8 semaines de traitement aigu contrôlé versus placebo, suivi dune phase dentretien également contrôlée versus placebo, dune durée minimale de 26 semaines et dune durée maximale de 52 semaines. Les patients devaient être stabilisés à la fin de la phase aiguë pour pouvoir être randomisés pour une participation à la phase dentretien.
  • +Dans une étude à long terme (jusquà 2 années de traitement) pour lévaluation de la prévention des récidives chez des patients souffrant dépisodes maniaques, dépressifs ou mixtes, le traitement par la quétiapine sest montré supérieur au traitement par un placebo: la période jusquà un nouvel épisode aigu (maniaque, dépressif ou mixte) chez les patients atteints dun trouble bipolaire de type I a été prolongée. Le nombre des patients subissant de nouveaux épisodes a été de 91 (22,5%) dans le groupe sous quétiapine, de 208 (51,5%) dans le groupe sous placebo et de 95 (26,1%) dans le groupe sous lithium. Chez les patients qui ont répondu à la quétiapine, les résultats ont montré quen comparaison avec une poursuite du traitement par la quétiapine, un passage au traitement par le lithium ne semble pas être associé à une prolongation de la durée jusquà la survenue dun nouvel épisode affectant lhumeur.
  • +Dans deux études de prévention des récidives pour lévaluation de traitements associant Seroquel à des thymorégulateurs chez des patients souffrant dépisodes maniaques, dépressifs ou mixtes, le traitement associé à Seroquel sest montré supérieur aux thymorégulateurs seuls: il a prolongé la période jusquà un nouvel épisode aigu (maniaque, dépressif ou mixte). Seroquel a été administré deux fois par jour à des doses quotidiennes de 400 à 800 mg, en association avec du lithium ou du valproate.
  • -L'efficacité de Seroquel dans le traitement de la schizophrénie chez l'adolescent (de 13 à 17 ans) a été démontrée dans une étude clinique de six semaines réalisée en double aveugle avec contrôle contre placebo. Les patients – qui remplissaient les critères de diagnostic de la schizophrénie selon le DSM-IV – ont été randomisés en trois groupes de traitement: Seroquel 400 mg par jour (n=73), Seroquel 600 mg par jour (n=74) ou placebo (n=75). Le traitement de l'étude a commencé par une dose de 50 mg le 1er jour, après quoi la dose quotidienne a été augmentée à 100 mg le 2e jour, puis par paliers de 100 mg par jour jusqu'à la dose cible de 400 ou de 800 mg (répartition de la dose sur 2 ou 3 prises par jour). Le critère primaire d'efficacité était défini comme la variation moyenne du score PANSS total versus valeur initiale.
  • -Les résultats de l'étude ont démontré l'efficacité de Seroquel 400 mg par jour et 800 mg par jour en comparaison avec le placebo. Aucune supériorité de l'efficacité n'a été constatée pour la dose de 800 mg par rapport à celle de 400 mg.
  • +Lefficacité de Seroquel dans le traitement de la schizophrénie chez ladolescent (de 13 à 17 ans) a été démontrée dans une étude clinique de six semaines réalisée en double aveugle avec contrôle contre placebo. Les patients – qui remplissaient les critères de diagnostic de la schizophrénie selon le DSM-IV – ont été randomisés en trois groupes de traitement: Seroquel 400 mg par jour (n=73), Seroquel 600 mg par jour (n=74) ou placebo (n=75). Le traitement de létude a commencé par une dose de 50 mg le 1er jour, après quoi la dose quotidienne a été augmentée à 100 mg le 2e jour, puis par paliers de 100 mg par jour jusquà la dose cible de 400 ou de 800 mg (répartition de la dose sur 2 ou 3 prises par jour). Le critère primaire defficacité était défini comme la variation moyenne du score PANSS total versus valeur initiale.
  • +Les résultats de létude ont démontré lefficacité de Seroquel 400 mg par jour et 800 mg par jour en comparaison avec le placebo. Aucune supériorité de lefficacité na été constatée pour la dose de 800 mg par rapport à celle de 400 mg.
  • -L'efficacité de Seroquel dans le traitement des épisodes de manie chez les enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) souffrant d'une maladie bipolaire I a été démontrée dans une étude multicentrique de trois semaines effectuée en double aveugle avec contrôle contre placebo. Les patients – qui remplissaient les critères de diagnostic d'épisodes de manie selon le DSM-IV – ont été randomisés en trois groupes de traitement: Seroquel 400 mg par jour (n=95), Seroquel 600 mg par jour (n=98) ou placebo (n=91). Le traitement de l'étude a commencé par une dose de 50 mg le 1er jour, après quoi la dose quotidienne a été augmentée à 100 mg le 2e jour, puis par paliers de 100 mg par jour jusqu'à la dose cible de 400 ou de 600 mg (répartition de la dose sur 2 ou 3 prises par jour). Le critère primaire d'efficacité était défini comme la variation moyenne du score YMRS total versus valeur initiale.
  • -Les résultats de l'étude ont démontré une meilleure efficacité de Seroquel 400 mg par jour et 600 mg par jour en comparaison avec le placebo. Aucune supériorité de l'efficacité n'a été constatée pour la dose de 600 mg par rapport à celle de 400 mg.
  • +Lefficacité de Seroquel dans le traitement des épisodes de manie chez les enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) souffrant dune maladie bipolaire I a été démontrée dans une étude multicentrique de trois semaines effectuées en double aveugle avec contrôle contre placebo. Les patients – qui remplissaient les critères de diagnostic dépisodes de manie selon le DSM-IV – ont été randomisés en trois groupes de traitement: Seroquel 400 mg par jour (n=95), Seroquel 600 mg par jour (n=98) ou placebo (n=91). Le traitement de létude a commencé par une dose de 50 mg le 1er jour, après quoi la dose quotidienne a été augmentée à 100 mg le 2e jour, puis par paliers de 100 mg par jour jusquà la dose cible de 400 ou de 600 mg (répartition de la dose sur 2 ou 3 prises par jour). Le critère primaire defficacité était défini comme la variation moyenne du score YMRS total versus valeur initiale.
  • +Les résultats de létude ont démontré une meilleure efficacité de Seroquel 400 mg par jour et 600 mg par jour en comparaison avec le placebo. Aucune supériorité de lefficacité na été constatée pour la dose de 600 mg par rapport à celle de 400 mg.
  • -Après administration orale, la quétiapine est bien résorbée. La prise concomitante d'un repas n'affecte pas sa biodisponibilité.
  • +Après administration orale, la quétiapine est bien résorbée. La prise concomitante dun repas naffecte pas sa biodisponibilité.
  • -Le taux de liaison de la quétiapine aux protéines plasmatiques est d'environ 83%. Le volume de distribution est d'environ 10 ± 4 litres/kg de poids corporel. À l'état d'équilibre, la concentration molaire maximale de son métabolite actif, la norquétiapine (N-désalkyl-quétiapine) représente 35% de la valeur observée pour la quétiapine.
  • +Le taux de liaison de la quétiapine aux protéines plasmatiques est denviron 83%. Le volume de distribution est denviron 10 ± 4 litres/kg de poids corporel. À létat déquilibre, la concentration molaire maximale de son métabolite actif, la norquétiapine (Ndésalkyl-quétiapine) représente 35% de la valeur observée pour la quétiapine.
  • -La quétiapine est largement métabolisée dans le foie. Dans la fourchette des doses autorisées, la pharmacocinétique de la quétiapine et de la norquétiapine est linéaire. Moins de 5% de la fraction molaire moyenne de quétiapine libre et de norquétiapine sont excrétés dans les urines. Des études menées avec de la quétiapine marquée par un isotope radioactif montrent que moins de 5% de la molécule mère sont excrétés sous forme inchangée dans les urines et les selles. Environ 73% de la radioactivité sont excrétés dans l'urine et 21% dans les selles. Des études menées in vitro montrent que c'est essentiellement l'iso-enzyme CYP3A4 du cytochrome P450 qui est responsable du métabolisme de la quétiapine. La norquétiapine est essentiellement formée et éliminée par l'iso-enzyme CYP3A4. On a observé in vitro que la quétiapine et plusieurs de ses métabolites (y compris la norquétiapine) inhibaient faiblement les isoenzymes 1A2, 2C9, 2C19, 2D6 et 3A4 du cytochrome P450 humain; ce phénomène n'a toutefois été observé qu'à des concentrations 5 à 50 fois supérieures à celles obtenues avec la dose journalière recommandée, qui est de 300 mg à 800 mg. Au vu de ces données obtenues in vitro, il est peu vraisemblable que l'administration concomitante de quétiapine et d'autres médicaments induise une inhibition cliniquement notable du métabolisme cytochrome P450-dépendant des autres substances.
  • +La quétiapine est largement métabolisée dans le foie. Dans la fourchette des doses autorisées, la pharmacocinétique de la quétiapine et de la norquétiapine est linéaire. Moins de 5% de la fraction molaire moyenne de quétiapine libre et de norquétiapine sont excrétés dans les urines. Des études menées avec de la quétiapine marquée par un isotope radioactif montrent que moins de 5% de la molécule mère sont excrétés sous forme inchangée dans les urines et les selles. Environ 73% de la radioactivité sont excrétés dans lurine et 21% dans les selles. Des études menées in vitro montrent que cest essentiellement liso-enzyme CYP3A4 du cytochrome P450 qui est responsable du métabolisme de la quétiapine. La norquétiapine est essentiellement formée et éliminée par liso-enzyme CYP3A4. On a observé in vitro que la quétiapine et plusieurs de ses métabolites (y compris la norquétiapine) inhibaient faiblement les iso-enzymes 1A2, 2C9, 2C19, 2D6 et 3A4 du cytochrome P450 humain; ce phénomène na toutefois été observé quà des concentrations 5 à 50 fois supérieures à celles obtenues avec la dose journalière recommandée, qui est de 300 mg à 800 mg. Au vu de ces données obtenues in vitro, il est peu vraisemblable que ladministration concomitante de quétiapine et dautres médicaments induise une inhibition cliniquement notable du métabolisme cytochrome P450-dépendant des autres substances.
  • -La demi-vie d'élimination de la quétiapine et de la norquétiapine est respectivement d'environ 7 et 12 heures. La pharmacocinétique de la quétiapine est linéaire, sans différences entre les sexes.
  • +La demi-vie délimination de la quétiapine et de la norquétiapine est respectivement denviron 7 et 12 heures. La pharmacocinétique de la quétiapine est linéaire, sans différences entre les sexes.
  • -Chez les patients âgés, la clairance moyenne de la quétiapine est réduite d'environ 30 à 50% par rapport à celle des adultes âgés de 18 à 65 ans.
  • +Chez les patients âgés, la clairance moyenne de la quétiapine est réduite denviron 30 à 50% par rapport à celle des adultes âgés de 18 à 65 ans.
  • -Chez l'enfant et l'adolescent, la pharmacocinétique de la quétiapine à l'état d'équilibre était similaire à celle observée chez l'adulte, tandis que l'AUC du métabolite actif norquétiapine était supérieure de 45% et la Cmax supérieure de 31% par rapport aux valeurs observées chez l'adulte. Après ajustement en fonction du poids chez l'enfant et l'adolescent, l'AUC de la quétiapine était plus faible de 41%, la Cmax plus faible de 39% et le métabolite norquétiapine similaire en comparaison avec les valeurs correspondantes observées chez l'adulte (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Les données relatives aux enfants de moins de 12 ans et avec un poids corporel inférieur à 40 kg sont limitées.
  • +Chez lenfant et ladolescent, la pharmacocinétique de la quétiapine à létat déquilibre était similaire à celle observée chez ladulte, tandis que lAUC du métabolite actif norquétiapine était supérieure de 45% et la Cmax supérieure de 31% par rapport aux valeurs observées chez ladulte. Après ajustement en fonction du poids chez lenfant et ladolescent, lAUC de la quétiapine était plus faible de 41%, la Cmax plus faible de 39% et le métabolite norquétiapine similaire en comparaison avec les valeurs correspondantes observées chez ladulte (voir «Posologie/Mode demploi»). Les données relatives aux enfants de moins de 12 ans et avec un poids corporel inférieur à 40 kg sont limitées.
  • -Il n'y a pas de différence entre les sexes du point de vue de la cinétique de la quétiapine.
  • +Il ny a pas de différence entre les sexes du point de vue de la cinétique de la quétiapine.
  • -Chez des patients souffrant d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min/1.73 m²), on a observé une diminution d'environ 25% de la clairance plasmatique moyenne de la quétiapine, mais les valeurs individuelles de la clairance se situaient dans la fourchette normale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Chez des patients souffrant dinsuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min/1,73 m²), on a observé une diminution denviron 25% de la clairance plasmatique moyenne de la quétiapine, mais les valeurs individuelles de la clairance se situaient dans la fourchette normale (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -En cas d'insuffisance hépatique (cirrhose alcoolique stable), la clairance plasmatique moyenne de la quétiapine est réduite d'environ 25%. Étant donné que la quétiapine est largement métabolisée dans le foie, les concentrations plasmatiques peuvent être augmentées en cas d'insuffisance hépatique, ce qui exige un ajustement de la dose chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +En cas dinsuffisance hépatique (cirrhose alcoolique stable), la clairance plasmatique moyenne de la quétiapine est réduite denviron 25%. Étant donné que la quétiapine est largement métabolisée dans le foie, les concentrations plasmatiques peuvent être augmentées en cas dinsuffisance hépatique, ce qui exige un ajustement de la dose chez ces patients (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Une série d'études in vitro et in vivo sur la génotoxicité n'ont montré aucun signe indiquant une génotoxicité. En expérimentation animale, les modifications suivantes ont été observées après exposition cliniquement significative, sans toutefois être confirmées par des études cliniques à long terme: des dépôts de pigments ont été observés dans la thyroïde du rat; une hypertrophie des cellules thyroïdiennes folliculaires, une diminution du taux plasmatique de la T3 ainsi qu'une diminution de l'hémoglobinémie, des érythrocytes et des leucocytes ont été notées chez le singe cynomolgus.
  • -Des opacités du cristallin et des cataractes ont été observées chez le chien. Les cataractes postérieures triangulaires observées chez des chiens au bout de 6 mois d'administration de doses de 100 mg/kg/jour étaient en accord avec l'inhibition de la biosynthèse de cholestérol dans le cristallin. Aucune cataracte n'a été observée chez des singes cynomolgus traités avec des doses allant jusqu'à 225 mg/kg/jour ni chez des rongeurs (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique» pour des informations sur la clinique).
  • +Une série détudes in vitro et in vivo sur la génotoxicité nont montré aucun signe indiquant une génotoxicité. En expérimentation animale, les modifications suivantes ont été observées après exposition cliniquement significative, sans toutefois être confirmées par des études cliniques à long terme: des dépôts de pigments ont été observés dans la thyroïde du rat; une hypertrophie des cellules thyroïdiennes folliculaires, une diminution du taux plasmatique de la T3 ainsi quune diminution de lhémoglobinémie, des érythrocytes et des leucocytes ont été notées chez le singe cynomolgus.
  • +Des opacités du cristallin et des cataractes ont été observées chez le chien. Les cataractes postérieures triangulaires observées chez des chiens au bout de 6 mois dadministration de doses de 100 mg/kg/jour étaient en accord avec linhibition de la biosynthèse de cholestérol dans le cristallin. Aucune cataracte na été observée chez des singes cynomolgus traités avec des doses allant jusquà 225 mg/kg/jour ni chez des rongeurs (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique» pour des informations sur la clinique).
  • -Conserver dans l'emballage d'origine.
  • +Conserver dans lemballage dorigine.
  • -Seroquel 25 mg: 60 comprimés pelliculés. [B]
  • -Seroquel 100 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés. [B]
  • -Seroquel 200 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés. [B]
  • -Seroquel 300 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés. [B]
  • +Seroquel 25 mg: 60 comprimés pelliculés [B]
  • +Seroquel 100 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés [B]
  • +Seroquel 200 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés [B]
  • +Seroquel 300 mg: 60 et 100 comprimés pelliculés [B]
  • -AstraZeneca AG, 6340 Baar
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