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Accueil - Information professionnelle sur Seroquel 25 mg - Changements - 10.02.2025
30 Changements de l'information professionelle Seroquel 25 mg
  • -Seroquel doit être pris une fois par jour avant le coucher. Seroquel doit être administré progressivement comme suit: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4). L’effet antidépresseur a été évalué lors d’études menées avec des doses de 300 mg et 600 mg de Seroquel. Aucun bénéfice supplémentaire n’a été constaté avec la dose plus élevée dans les études réalisées à ce jour sur la dépression dans le cadre du trouble bipolaire (traitements ayant duré jusqu’à 8 semaines).
  • +Seroquel doit être pris une fois par jour avant le coucher. Seroquel doit être administré progressivement comme suit: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4). L’effet antidépresseur a été évalué lors d’études menées avec des doses de 300 mg et 600 mg de Seroquel. Aucun bénéfice supplémentaire n’a été constaté avec la dose plus élevée dans les études réalisées à ce jour sur la dépression dans le cadre du trouble bipolaire (traitements ayant duré jusqu’à 8 semaines).
  • -La sécurité et l’efficacité de Seroquel n’ont pas été démontrées pour le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans.
  • -L’efficacité et la sécurité ont été étudiées dans le traitement aigu – d’une durée de trois semaines – des épisodes de manie dans le cadre de troubles bipolaires chez des patients pédiatriques âgés de 10 à 17 ans. On ne dispose pas de données sur le maintien de l’efficacité ou sur la prévention des récidives chez les patients de cette tranche d’âge.
  • +La sécurité et l’efficacité de Seroquel n’ont pas été démontrées pour le traitement de la manie bipolaire chez les enfants de moins de 10 ans. L’efficacité et la sécurité ont été étudiées dans le traitement aigu – d’une durée de trois semaines – des épisodes de manie dans le cadre de troubles bipolaires chez des patients pédiatriques âgés de 10 à 17 ans. On ne dispose pas de données sur le maintien de l’efficacité ou sur la prévention des récidives chez les patients de cette tranche d’âge.
  • -Système cardio-vasculaire
  • +Système cardiovasculaire
  • -Les dyskinésies tardives sont des mouvements dyskinétiques involontaires, en partie irréversibles, pouvant se développer chez les patients traités par des neuroleptiques, y compris la quétiapine. Elles peuvent également apparaître peu de temps déjà (quelques mois) après l’instauration d’un traitement par un neuroleptique. S’il apparaît des signes ou symptômes de dyskinésie tardive, il faut envisager une réduction de la dose ou un arrêt du traitement. Les symptômes d’une dyskinésie tardive peuvent encore s’aggraver après la fin du traitement, ou même n’apparaître qu’après la fin du traitement (voir «Effets indésirables»). Dans des études à court terme contrôlées versus placebo auprès de patients adultes en phase dépressive du trouble bipolaire, l’incidence de symptômes extrapyramidaux a été plus élevée chez les patients sous quétiapine que chez les patients sous placebo (8,9% et 3,8% respectivement). L’incidence des différents symptômes extrapyramidaux (par exemple akathisie, troubles extrapyramidaux, tremblements, dyskinésie, dystonie, contractions musculaires involontaires, agitation et rigidité musculaire) a globalement été faible; elle n’excédait pas 4% dans aucun des groupes de traitement. Lors d’études cliniques à court terme contrôlées versus placebo, portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, l’incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été similaire sous toutes les doses thérapeutiques de quétiapine et sous placebo (schizophrénie: quétiapine 7,8% et placebo 8,0%; manie bipolaire: quétiapine 11,2% et placebo 11,4%). Lors d’études à long terme contrôlées versus placebo portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, les EPS observés au cours du traitement se sont manifestés avec une incidence totale (ajustée à la dose) similaire sous quétiapine et sous placebo.
  • +Les dyskinésies tardives sont des mouvements dyskinétiques involontaires, en partie irréversibles, pouvant se développer chez les patients traités par des neuroleptiques, y compris la quétiapine. Elles peuvent également apparaître peu de temps déjà (quelques mois) après l’instauration d’un traitement par un neuroleptique. S’il apparaît des signes ou symptômes de dyskinésie tardive, il faut envisager une réduction de la dose ou un arrêt du traitement. Les symptômes d’une dyskinésie tardive peuvent encore s’aggraver après la fin du traitement, ou même n’apparaître qu’après la fin du traitement (voir «Effets indésirables»). Dans des études à court terme contrôlées versus placebo auprès de patients adultes en phase
  • +dépressive du trouble bipolaire, l’incidence de symptômes extrapyramidaux a été plus élevée chez les patients sous quétiapine que chez les patients sous placebo (8,9% et 3,8% respectivement). L’incidence des différents symptômes extrapyramidaux (par exemple akathisie, troubles extrapyramidaux, tremblements, dyskinésie, dystonie, contractions musculaires involontaires, agitation et rigidité musculaire) a globalement été faible; elle n’excédait pas 4% dans aucun des groupes de traitement. Lors d’études cliniques à court terme contrôlées versus placebo, portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, l’incidence totale de symptômes extrapyramidaux a été similaire sous toutes les doses thérapeutiques de quétiapine et sous placebo (schizophrénie: quétiapine 7,8% et placebo 8,0%; manie bipolaire: quétiapine 11,2% et placebo 11,4%). Lors d’études à long terme contrôlées versus placebo portant sur la schizophrénie ou la manie bipolaire chez des patients adultes, les EPS observés au cours du traitement se sont manifestés avec une incidence totale (ajustée à la dose) similaire sous quétiapine et sous placebo.
  • -Dans des études cliniques à court terme, en monothérapie et contrôlées contre placebo, une neutropénie sévère sans infections a été occasionnellement rapportée (granulocytes neutrophiles <0,5 x 109/l). Des cas d’agranulocytose (neutropénie sévère accompagnée de la survenue d’infections) ont été rapportés chez des patients traités par la quétiapine tant dans le cadre d’études cliniques (rares) qu’après la commercialisation (y compris des cas mortels). Les cas de neutropénie sévère sont apparus en majorité dans les deux mois suivant le début du traitement par Seroquel, mais des cas isolés sont également connus qui sont apparus plus tard. Aucune dose-dépendance n’était décelable. Dans l’expérience post-commercialisation, la leucopénie et/ou neutropénie a régressé après arrêt du traitement par la quétiapine. Les facteurs de risque possibles pour l’apparition d’une neutropénie sont la présence d’un faible taux de leucocytes ainsi que des antécédents de neutropénie médicamenteuse. Des cas d’agranulocytose ont été observés chez des patients sans facteurs de risque préexistants. Une neutropénie doit être suspectée chez les patients présentant des infections, surtout lorsque ceux-ci ne présentent pas de prédisposition manifeste ou ont une fièvre inexpliquée. La neutropénie doit faire l’objet d’un traitement approprié sur le plan clinique. La quétiapine doit être interrompue chez les patients ayant un taux de granulocytes neutrophiles <1,0 x 109/l. Surveiller les patients à la recherche des signes et symptômes d’une infection et contrôler les taux de granulocytes neutrophiles jusqu’à ce qu’ils dépassent 1,5 x 109/l (voir «Effets indésirables»).
  • +Dans des études cliniques à court terme, en monothérapie et contrôlées contre placebo, une neutropénie sévère sans infections a été occasionnellement rapportée (granulocytes neutrophiles <0,5 x 109/l). Des cas d’agranulocytose (neutropénie sévère accompagnée de la survenue d’infections) ont été rapportés chez des patients traités par la quétiapine tant dans le cadre d’études cliniques (rares) qu’après la commercialisation (y compris des cas mortels). Les cas de neutropénie sévère sont apparus en majorité dans les deux mois suivant le début du traitement par Seroquel, mais des cas isolés sont également connus qui sont apparus plus tard. Aucune dose-dépendance n’était décelable. Dans l’expérience post-commercialisation, la leucopénie et/ou neutropénie a régressé après arrêt du traitement par la quétiapine. Les facteurs de risque possibles pour l’apparition d’une neutropénie sont la présence d’un faible taux de leucocytes ainsi que des antécédents de neutropénie médicamenteuse. Des cas d’agranulocytose ont été observés chez des patients sans facteurs de risque préexistants. Une neutropénie doit être suspectée chez les patients présentant des infections, surtout lorsque ceux-ci ne présentent pas de prédisposition manifeste ou ont une fièvre inexpliquée. La neutropénie doit faire l’objet d’un traitement approprié sur le plan clinique. La quétiapine doit être interrompue chez les patients
  • +ayant un taux de granulocytes neutrophiles <1,0 x 109/l. Surveiller les patients à la recherche des signes et symptômes d’une infection et contrôler les taux de granulocytes neutrophiles jusqu’à ce qu’ils dépassent 1,5 x 109/l (voir «Effets indésirables»).
  • -Une étude avec des doses multiples a examiné la pharmacocinétique de 300 mg de quétiapine avant et pendant un traitement simultané avec 200 mg de carbamazépine (un inducteur enzymatique microsomal connu). L’administration simultanée de 200 mg de carbamazépine a entraîné, par rapport à la prise de quétiapine seule, une hausse significative de la clairance de la quétiapine, qui a provoqué une diminution de la biodisponibilité de la quétiapine (mesure de l’AUC) jusqu’à 13% en moyenne. Cet effet a même été observé de manière renforcée chez quelques patients. En raison de cette interaction marquée, le traitement simultané par la carbamazépine, qui ne s’est d’ailleurs pas montré supérieur au traitement par la carbamazépine seule, n’est pas recommandé.
  • +Une étude avec des doses multiples a examiné la pharmacocinétique de 300 mg de quétiapine avant et pendant un traitement simultané avec 200 mg de carbamazépine (un inducteur enzymatique microsomal connu). L’administration simultanée de 200 mg de carbamazépine a entraîné,
  • +par rapport à la prise de quétiapine seule, une hausse significative de la clairance de la quétiapine, qui a provoqué une diminution de la biodisponibilité de la quétiapine (mesure de l’AUC) jusqu’à 13% en moyenne. Cet effet a même été observé de manière renforcée chez quelques patients. En raison de cette interaction marquée, le traitement simultané par la carbamazépine, qui ne s’est d’ailleurs pas montré supérieur au traitement par la carbamazépine seule, n’est pas recommandé.
  • -Très fréquents: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): chez les adultes 8 à 23%; chez les enfants et adolescents atteints de schizophrénie ou de manie bipolaire, traités par Seroquel: 12% au bout de 3 semaines, 21% au bout de 6 semaines et 45% au bout de 26 semaines. Pour assurer la prise en compte de la croissance normale au cours des 26 semaines, une prise de poids correspondant à un écarttype d’au moins 0.5 du BMI initial a été considérée comme un changement cliniquement significatif; 18,3% des patients sous Seroquel présentaient ce critère au bout de 26 semaines de traitement. Dans une étude à court terme n’ayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, 12,5% des enfants et adolescents ont présenté une prise de poids de >7% en l’espace de 8 semaines sous quétiapine. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque). Appétit accru chez l’enfant et l’adolescent.
  • +Très fréquents: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): chez les adultes 8 à 23%; chez les enfants et adolescents atteints de schizophrénie ou de manie bipolaire, traités par Seroquel: 12% au bout de 3 semaines, 21% au bout de 6 semaines et 45% au bout de 26 semaines. Pour assurer la prise en compte de la croissance normale au cours des 26 semaines, une prise de poids correspondant à un écart-type d’au moins 0.5 du BMI initial a été considérée comme un changement cliniquement significatif; 18,3% des patients sous Seroquel présentaient ce critère au bout de 26 semaines de traitement. Dans une étude à court terme n’ayant pas permis de démontrer une efficacité du traitement par monothérapie versus placebo chez des enfants et adolescents (de 10 à 17 ans) atteints de dépression bipolaire, 12,5% des enfants et adolescents ont présenté une prise de poids de >7% en l’espace de 8 semaines sous quétiapine. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque). Appétit accru chez l’enfant et l’adolescent.
  • -Affections oculaires
  • -Fréquents: vision trouble
  • +Affections oculaires Fréquents: vision trouble
  • -Affections gastro-intestinales
  • +Affections gastrointestinales
  • -Fréquence indéterminée: symptômes moteurs extrapyramidaux et/ou symptômes de sevrage chez le nouveau-
  • +Fréquence indéterminée: symptômes moteurs extrapyramidaux et/ou symptômes de sevrage chez le nouveauné
  • -(2) Sur la base de rapports post-commercialisation
  • +(2) Sur la base de rapports postcommercialisation
  • -La quétiapine est un antipsychotique atypique. La quétiapine et son métabolite actif norquétiapine (Ndésalkyl-quétiapine) dans le plasma humain réagissent avec de nombreux types de récepteurs des neurotransmetteurs. La quétiapine et la norquétiapine présentent une affinité pour les récepteurs cérébraux de la sérotonine (récepteurs 5-HT2) et de la dopamine (récepteurs D1 et D2). On suppose que la combinaison de l’antagonisme des récepteurs (sélectivité plus importante pour les récepteurs 5HT2 que pour les récepteurs D2) explique les propriétés antipsychotiques de Seroquel et la rareté des symptômes extrapyramidaux (EPS) en comparaison avec les neuroleptiques typiques. La quétiapine n’a pas d’affinité pour le transporteur de la noradrénaline (NET) et a une faible affinité pour le récepteur sérotoninergique 5-HT1A, tandis que la norquétiapine présente une forte affinité pour les deux. On suppose que l’inhibition du NET et l’activité agoniste partielle au niveau du site 5-HT1A provoquées par la norquétiapine contribuent à l’efficacité thérapeutique antidépressive de Seroquel. La quétiapine et la norquétiapine ont une forte affinité pour les récepteurs histaminiques et α1-adrénergiques et une affinité modérée pour les récepteurs α2-adrénergiques. En outre, la quétiapine a une affinité faible ou nulle pour les récepteurs muscariniques, tandis que la norquétiapine a une affinité modérée à élevée pour différents sous-types de récepteurs muscariniques, ce qui permet d’expliquer les effets anticholinergiques (muscariniques).
  • +La quétiapine est un antipsychotique atypique. La quétiapine et son métabolite actif norquétiapine (N-désalkyl-quétiapine) dans le plasma humain réagissent avec de nombreux types de récepteurs des neurotransmetteurs. La quétiapine et la norquétiapine présentent une affinité pour les récepteurs cérébraux de la sérotonine (récepteurs 5-HT2) et de la dopamine (récepteurs D1 et D2). On suppose que la combinaison de l’antagonisme des récepteurs (sélectivité plus importante pour les récepteurs 5HT2 que pour les récepteurs D2) explique les propriétés antipsychotiques de Seroquel et la rareté des symptômes extrapyramidaux (EPS) en comparaison avec les neuroleptiques typiques. La quétiapine n’a pas d’affinité pour le transporteur de la noradrénaline (NET) et a une faible affinité pour le récepteur sérotoninergique 5-HT1A, tandis que la norquétiapine présente une forte affinité pour les deux. On suppose que l’inhibition du NET et l’activité agoniste partielle au niveau du site 5-HT1A provoquées par la norquétiapine contribuent à l’efficacité thérapeutique antidépressive de Seroquel. La quétiapine et la norquétiapine ont une forte affinité pour les récepteurs histaminiques et α1-adrénergiques et une affinité modérée pour les récepteurs α2-adrénergiques. En outre, la quétiapine a une affinité faible ou nulle pour les récepteurs muscariniques, tandis que la norquétiapine a une affinité modérée à élevée pour différents sous-types de récepteurs muscariniques, ce qui permet d’expliquer les effets anticholinergiques (muscariniques).
  • -Deux études cliniques menées sur 8 semaines et incluant des patients bipolaires I, bipolaires II et des patients avec et sans cyclicité rapide ont montré que Seroquel est efficace en doses journalières de 300 mg et de 600 mg chez les patients en phase aiguë de la dépression bipolaire. Toutefois, aucun bénéfice supplémentaire n’a été observé avec la dose de 600 mg dans des études de 8 semaines.
  • +Deux études cliniques menées sur 8 semaines et incluant des patients bipolaires I, bipolaires II et des patients avec et sans cyclicité rapide ont montré que Seroquel est efficace en doses journalières de 300 mg et de 600 mg chez les patients en phase aiguë de la dépression bipolaire.
  • +Toutefois, aucun bénéfice supplémentaire n’a été observé avec la dose de 600 mg dans des études de 8 semaines.
  • -Le taux de liaison de la quétiapine aux protéines plasmatiques est d’environ 83%. Le volume de distribution est d’environ 10 ± 4 litres/kg de poids corporel. À l’état d’équilibre, la concentration molaire maximale de son métabolite actif, la norquétiapine (Ndésalkyl-quétiapine) représente 35% de la valeur observée pour la quétiapine.
  • +Le taux de liaison de la quétiapine aux protéines plasmatiques est d’environ 83%. Le volume de distribution est d’environ 10 ± 4 litres/kg de poids corporel. À l’état d’équilibre, la concentration molaire maximale de son métabolite actif, la norquétiapine (N-désalkyl-quétiapine) représente 35% de la valeur observée pour la quétiapine.
  • -CPS Cito Pharma Services GmbH, 8610 Uster
  • +CHEPLAPHARM Schweiz GmbH, 4102 Binningen
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