92 Changements de l'information professionelle Teveten 600 mg |
-Comprimés filmés (blancs) à 600 mg d’éprosartan.
- +Comprimés filmés (blancs) à 600 mg d'éprosartan.
-Traitement de l’hypertension artérielle essentielle.
- +Traitement de l'hypertension artérielle essentielle.
-Lorsqu’une baisse plus importante de la pression artérielle est souhaitée, l’association de Teveten à un autre antihypertenseur (p.ex à un diurétique thiazidique ou à un antagoniste calcique à effet prolongé) peut s’avérer supérieure à une monothérapie pour baisser la pression artérielle.
- +Lorsqu'une baisse plus importante de la pression artérielle est souhaitée, l'association de Teveten à un autre antihypertenseur (p.ex. à un diurétique thiazidique ou à un antagoniste calcique à effet prolongé) peut s'avérer supérieure à une monothérapie pour baisser la pression artérielle (voir les rubriques «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions» et «Propriétés/Effets»).
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients souffrant de troubles légers à modérés de la fonction rénale (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
-Parce que seules des expériences limitées sont disponibles chez les patients présentant une clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min, l’emploi de Teveten requiert une prudence particulière (voir également «Mises en garde et précautions»). Ceci est également valable pour les patients sous dialyse.
- +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients souffrant de troubles légers à modérés de la fonction rénale (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
- +Parce que seules des expériences limitées sont disponibles chez les patients présentant une clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min, l'emploi de Teveten requiert une prudence particulière (voir également «Mises en garde et précautions»). Ceci est également valable pour les patients sous dialyse.
-Les expériences avec les patients souffrant d’insuffisance hépatique sont limitées (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Les expériences avec les patients souffrant d'insuffisance hépatique sont limitées (voir «Mises en garde et précautions»).
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez le patient âgé.
- +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez le patient âgé.
-Parce que ni l’efficacité ni la sécurité d’emploi n’ont été établies chez l’enfant et l’adolescent, le traitement n’est pas recommandé chez l’enfant et l’adolescent.
- +Parce que ni l'efficacité ni la sécurité d'emploi n'ont été établies chez l'enfant et l'adolescent, le traitement n'est pas recommandé chez l'enfant et l'adolescent.
-Hypersensibilité connue au principe actif ou à l’un des excipients.
- +Hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients.
- +Association de Teveten et de médicaments contenant de l'aliskirène chez les patients diabétiques (de type 1 ou de type 2) et les patients insuffisants rénaux (DFG <60 ml/min/1,73 m2) (voir «Interactions» et «Propriétés/Effets»).
- +Association de Teveten et d'IEC chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
- +
-Les données étant limitées chez les patients ayant une clairance de la créatinine <30 ml/min et chez les patients sous dialyse, la prudence est recommandée lors de l’utilisation de Teveten chez ces patients (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Certains patients dont la fonction rénale dépend du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients souffrant d’insuffisance cardiaque sévère, présentant une sténose uni- ou bilatérale de l’artère rénale) ont développé une oligurie et/ou une azotémie progressive, ainsi que, rarement, une défaillance rénale aiguë sous traitement par inhibiteurs de l’ECA. Parce qu’actuellement aucune expérience correspondante n’est disponible chez les patients souffrant d’insuffisance cardiaque sévère ou présentant une sténose de l’artère rénale, une perturbation de la fonction rénale par Teveten, suite à une inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone, ne peut être exclue.
-En cas de traitement chez les patients atteints d’insuffisance rénale, un contrôle de la fonction rénale aura lieu avant le début et régulièrement pendant le traitement.
-Réévaluer le traitement par Teveten lors d’une aggravation de la fonction rénale.
-Les patients souffrant d’intolérance héréditaire au galactose (survient rarement), de déficit en Lapp lactase ou de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre Teveten.
-L’emploi simultané d’un diurétique d’épargne potassique peut provoquer une augmentation du taux sérique de potassium.
- +Les données étant limitées chez les patients ayant une clairance de la créatinine <30 ml/min et chez les patients sous dialyse, la prudence est recommandée lors de l'utilisation de Teveten chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Certains patients dont la fonction rénale dépend du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients souffrant d'insuffisance cardiaque sévère, présentant une sténose uni- ou bilatérale de l'artère rénale) ont développé une oligurie et/ou une azotémie progressive, ainsi que, rarement, une défaillance rénale aiguë sous traitement par antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II. Parce qu'actuellement aucune expérience correspondante n'est disponible chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque sévère ou présentant une sténose de l'artère rénale, une perturbation de la fonction rénale par Teveten, suite à une inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone, ne peut être exclue.
- +En cas de traitement chez les patients atteints d'insuffisance rénale, un contrôle de la fonction rénale aura lieu avant le début et régulièrement pendant le traitement.
- +Réévaluer le traitement par Teveten lors d'une aggravation de la fonction rénale.
- +Les patients souffrant d'intolérance héréditaire au galactose (survient rarement), de déficit en Lapp lactase ou de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre Teveten.
- +L'emploi simultané d'un diurétique d'épargne potassique peut provoquer une augmentation du taux sérique de potassium.
-Parce que les expériences avec les patients souffrant d’insuffisance hépatique sont limitées, la prudence est de mise lors de l’emploi de Teveten.
- +Parce que les expériences avec les patients souffrant d'insuffisance hépatique sont limitées, la prudence est de mise lors de l'emploi de Teveten.
-Les expériences avec les patients souffrant de cardiopathie coronaire sont encore limitées.
-Les précautions citées plus bas reposent sur des expériences réalisées avec d’autres médicaments de cette classe ainsi qu’avec des inhibiteurs de l’ECA.
- +Les expériences avec les patients souffrant de cardiopathie coronaire sont limitées.
- +Les précautions citées plus bas reposent sur des expériences réalisées avec d'autres médicaments de cette classe ainsi qu'avec des inhibiteurs de l'ECA.
-Le risque d’hyperkaliémie peut être augmenté en cas d’association de Teveten à d’autres médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) ou pouvant augmenter le potassium sérique (p.ex. diurétiques épargneurs de potassium, produits contenant du potassium, héparine), notamment chez les patients insuffisants rénaux et/ou cardiaques.
-L’administration d’éprosartan devra être prudente dans de tels cas et nécessitera un contrôle de la kaliémie.
- +Le risque d'hyperkaliémie peut être augmenté en cas d'association de Teveten à d'autres médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) ou pouvant augmenter le potassium sérique (p.ex. diurétiques épargneurs de potassium, produits contenant du potassium, héparine), notamment chez les patients insuffisants rénaux et/ou cardiaques.
- +L'administration d'éprosartan devra être prudente dans de tels cas et nécessitera un contrôle de la kaliémie.
- +Double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
- +Certains éléments indiquent qu'une co-administration d'IEC, d'ARA-II ou d'aliskirène accroît le risque d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et d'insuffisance rénale (pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale aiguë). Une double inhibition du SRAA par la co-administration d'IEC, d'ARA-II ou d'aliskirène n'est donc pas recommandée (voir «Interactions» et «Propriétés/Effets»). Une telle association est contre-indiquée chez certains patients (voir «Contre-indications»).
- +Si le traitement par une double inhibition est jugé absolument nécessaire, il exige une surveillance par un spécialiste ainsi que des contrôles fréquents de la fonction rénale, des taux d'électrolytes et de la tension artérielle.
- +Les IEC et les ARA-II ne doivent pas être utilisés simultanément chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
- +
-Des patients dont la fonction rénale dépend de l’activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients souffrant d’insuffisance cardiaque sévère) ont développé une oligurie et/ou une azotémie progressive ainsi que, dans de rares cas, une défaillance rénale aiguë sous traitement par inhibiteurs de l’ECA. Parce qu’actuellement aucune expérience thérapeutique suffisante n’est disponible chez les patients souffrant d’insuffisance cardiaque sévère, une altération de la fonction rénale par Teveten, suite à une inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone, ne peut être exclue chez ces patients.
- +Des patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients souffrant d'insuffisance cardiaque sévère) ont développé une oligurie et/ou une azotémie progressive ainsi que, dans de rares cas, une défaillance rénale aiguë sous traitement par antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II. Parce qu'actuellement aucune expérience thérapeutique suffisante n'est disponible chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque sévère, une altération de la fonction rénale par Teveten, suite à une inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone, ne peut être exclue chez ces patients.
-Le traitement par Teveten de patients souffrant d’hyperaldostéronisme primaire n’est pas recommandé.
- +Le traitement par Teveten de patients souffrant d'hyperaldostéronisme primaire n'est pas recommandé.
-Comme tous les vasodilatateurs, l’emploi de Teveten chez les patients présentant une sténose aortique ou mitrale, ou une cardiomyopathie hypertrophique aura lieu uniquement avec une prudence particulière.
- +Comme tous les vasodilatateurs, l'emploi de Teveten chez les patients présentant une sténose aortique ou mitrale, ou une cardiomyopathie hypertrophique aura lieu uniquement avec une prudence particulière.
-On ne dispose d’aucune expérience sur le traitement de patients présentant une sténose unilatérale ou bilatérale de l’artère rénale.
- +On ne dispose d'aucune expérience sur le traitement de patients présentant une sténose unilatérale ou bilatérale de l'artère rénale.
-On ne dispose d’aucune expérience sur les patients ayant subi une transplantation rénale récente.
- +On ne dispose d'aucune expérience sur les patients ayant subi une transplantation rénale récente.
-Un traitement à base d’inhibiteurs de l’ECA/d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensive (ARAII) ne doit pas être instauré durant la grossesse. Dans le cas de patientes avec désir de grossesse, le passage à un traitement antihypertenseur alternatif présentant un profil d’innocuité approprié pour la grossesse est requis, sauf si la poursuite du traitement avec des inhibiteurs de l’ECA/ARAII s’impose. Si une grossesse est établie, le traitement à base d’inhibiteurs de l’ECA/d’ARAII doit être arrêté immédiatement et, au besoin, une thérapie alternative doit être instaurée (voir «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
- +Un traitement à base d'inhibiteurs de l'ECA/d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensive (ARAII) ne doit pas être instauré durant la grossesse. Dans le cas de patientes avec désir de grossesse, le passage à un traitement antihypertenseur alternatif présentant un profil d'innocuité approprié pour la grossesse est requis, sauf si la poursuite du traitement avec des inhibiteurs de l'ECA/ARAII s'impose. Si une grossesse est établie, le traitement à base d'inhibiteurs de l'ECA/d'ARAII doit être arrêté immédiatement et, au besoin, une thérapie alternative doit être instaurée (voir «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
-Comme cela est observé avec les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, l’éprosartan et les autres antagonistes de l’angiotensine semblent avoir une efficacité antihypertensive moindre chez les sujets de peau noire que chez les sujets de peau non noire. Cela est probablement dû à la plus grande fréquence d’un taux de rénine bas dans la population hypertendue noire.
- +Comme cela est observé avec les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, l'éprosartan et les autres antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II semblent avoir une efficacité antihypertensive moindre chez les sujets de peau noire que chez les sujets de peau non noire. Cela est probablement dû à la plus grande fréquence d'un taux de rénine bas dans la population hypertendue noire.
-La preuve a été faite que Teveten n’exerce aucun effet sur la pharmacocinétique de la digoxine ni sur la pharmacodynamie de la warfarine et du glibenclamide. De même, la ranitidine, le kétoconazole et le fluconazole n’ont aucune influence sur la pharmacocinétique de l’éprosartan.
-L’effet hypotenseur de Teveten peut être potentialisé lors de la prise concomitante d’autres antihypertenseurs.
-Diurétiques thiazidiques et antagonistes du Ca
-Teveten a été administré en même temps que des diurétiques thiazidiques (par ex. l’hydrochlorothiazide) et des antagonistes calciques à effet prolongé (par ex. la nifédipine), sans qu’une interaction cliniquement significative ne soit apparue.
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- +L'effet hypotenseur de Teveten peut être potentialisé lors de la prise concomitante d'autres antihypertenseurs.
-L’administration concomitante de Teveten et de ces produits peut augmenter le risque d’hyperkaliémie, surtout chez les patients présentant une insuffisance rénale et cardiaque.
-Inhibiteurs de l’ECA, double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAA)
-Voir «Mises en garde et précautions».
-AINS
-Comme avec les inhibiteurs de l’ECA, l’administration concomitante d’antagonistes de l’angiotensine II et d’AINS peut augmenter le risque de détérioration de la fonction rénale, avec possibilité d’une défaillance rénale aigüe et d’une augmentation du potassium sérique, en particulier chez les patients atteints d’une insuffisance rénale préexistante. Cette association devra être administrée avec prudence, notamment chez les patients âgés.
- +L'administration concomitante de Teveten et de ces produits peut augmenter le risque d'hyperkaliémie, surtout chez les patients présentant une insuffisance rénale et cardiaque.
- +Double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
- +Les données d'études cliniques ont montré qu'une double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par une co-administration d'IEC, d'ARA-II ou d'aliskirène est associée à un taux accru d'effets indésirables tels qu'hypotension, syncope, hyperkaliémie et insuffisance rénale (y compris insuffisance rénale aiguë) en comparaison avec une monothérapie agissant sur le SRAA (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +AINS, y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 (anti COX2)
- +Comme avec les inhibiteurs de l'ECA, l'administration concomitante d'ARA-II et d'AINS, y compris inhibiteurs sélectifs de la COX2, acide acétylsalicylique et autres AINS non sélectifs, peut augmenter le risque de détérioration de la fonction rénale, avec possibilité d'une défaillance rénale aigüe et d'une augmentation du potassium sérique, en particulier chez les patients atteints d'une insuffisance rénale préexistante. Cette association devra être administrée avec prudence, notamment chez les patients âgés.
- +L'utilisation concomitante d'un ARA-II (par ex. Teveten) et d'un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) – y compris inhibiteur sélectif de la COX2, acide acétylsalicylique ou autre AINS non sélectif – peut entraîner une atténuation de la baisse de la tension artérielle.
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-Des tests in vitro ont montré que l’éprosartan n’exerce pas d’effet inhibiteur sur les enzymes du cytochrome P450 suivantes: CYP1A, 2A6, 2C9/8, 2C19, 2D6, 2E et 3A.
- +Des tests in vitro ont montré que l'éprosartan n'exerce pas d'effet inhibiteur sur les enzymes du cytochrome P450 suivantes: CYP1A, 2A6, 2C9/8, 2C19, 2D6, 2E et 3A.
-Une toxicité et une augmentation réversible de la concentration sérique du lithium ont été rapportées sous traitement simultané par préparations à base de lithium et par inhibiteurs de l’ECA. La possibilité d’un effet similaire sous éprosartan ne peut pas être exclu et une surveillance étroite du taux sérique de lithium est recommandée lors d’une administration simultanée.
- +Une toxicité et une augmentation réversible de la concentration sérique du lithium ont été rapportées sous traitement simultané par préparations à base de lithium et par inhibiteurs de l'ECA. La possibilité d'un effet similaire sous éprosartan ne peut pas être exclu et une surveillance étroite du taux sérique de lithium est recommandée lors d'une administration simultanée.
-En raison de l’effet du principe actif de ce médicament durant la grossesse, l’administration de Teveten n’est pas recommandée durant le premier trimestre (voir «Mises en garde et précautions»).
-L’administration de Teveten est contre-indiquée durant le deuxième et le troisième trimestre, voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Des données épidémiologiques concluantes concernant un risque tératogène après utilisation d’inhibiteurs de l’ECA durant le premier trimestre de grossesse ne sont pas disponibles. Toutefois, un risque légèrement accru ne peut pas être exclu. Même si des données épidémiologiques concernant le risque des antagonistes de récepteurs de l’angiotensine II (ARAII) ne sont pas disponibles, il existe probablement des risques comparables pour cette classe de médicament. Dans la mesure où la poursuite d’une thérapie avec des inhibiteurs de l’ECA/ARAII est avérée nécessaire, les patientes avec désir de grossesse devraient passer à un traitement antihypertenseur alternatif présentant un profil d’innocuité approprié pour la grossesse. Si une grossesse est établie, tout traitement à base d’inhibiteurs de l’ECA/ARAII doit être arrêté immédiatement et, au besoin, une thérapie alternative doit être instaurée.
-L’exposition aux inhibiteurs de l’ECA/ARAII au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard de l’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkalémie) (voir «Données précliniques»). En cas d’exposition à des inhibiteurs de l’ECA/ARAII à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
-Les nourrissons dont la mère a pris des inhibiteurs de l’ECA/ARAII devraient faire l’objet d’une surveillance scrupuleuse en matière d’hypotension (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
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- +En raison de l'effet du principe actif de ce médicament durant la grossesse, l'administration de Teveten n'est pas recommandée durant le premier trimestre (voir «Mises en garde et précautions»).
- +L'administration de Teveten est contre-indiquée durant le deuxième et le troisième trimestre, voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Des données épidémiologiques concluantes concernant un risque tératogène après utilisation d'antagonistes de récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II) durant le premier trimestre de grossesse ne sont pas disponibles. Toutefois, un risque légèrement accru ne peut pas être exclu.
- +L'exposition aux ARA-II au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une fœtotoxité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnion, retard de l'ossification du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkalémie) (voir «Données précliniques»).
- +En cas d'exposition à des inhibiteurs de ARA-II à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
-En l’absence de connaissances concernant l’utilisation de Teveten durant l’allaitement, Teveten n’est pas recommandé. Un traitement antihypertenseur alternatif associé à un profil d’innocuité plus approprié doit être prévu durant l’allaitement, plus particulièrement en cas d’allaitement de nouveau-nés ou de prématurés.
- +En l'absence de connaissances concernant l'utilisation de Teveten durant l'allaitement, Teveten n'est pas recommandé. Un traitement antihypertenseur alternatif associé à un profil d'innocuité plus approprié doit être prévu durant l'allaitement, plus particulièrement en cas d'allaitement de nouveau-nés ou de prématurés.
- +Les nourrissons dont la mère a pris des inhibiteurs de l'ECA/ARAII devraient faire l'objet d'une surveillance scrupuleuse en matière d'hypotension (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
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-Aucune étude correspondante n’a été effectuée. En se basant sur les propriétés pharmacodynamiques de Teveten, il est peu probable que celui-ci ait un effet durable sur l’aptitude à la conduite et sur l’utilisation de machines. Des effets indésirables tels que céphalées, vertiges, fatigue, nausées et vomissements peuvent survenir occasionnellement, surtout au début d’un traitement par Teveten.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. En se basant sur les propriétés pharmacodynamiques de Teveten, il est peu probable que celui-ci ait un effet durable sur l'aptitude à la conduite et sur l'utilisation de machines. Des effets indésirables tels que céphalées, vertiges, fatigue, nausées et vomissements peuvent survenir occasionnellement, surtout au début d'un traitement par Teveten.
-La fréquence totale des événements indésirables rapportés sous éprosartan était comparable à celle observée sous placebo. Les événements indésirables étaient généralement faibles et passagers, et n’ont provoqué un arrêt du traitement que chez 4,1% des patients sous éprosartan (6,5% sous placebo).
-Des études cliniques ont montré que des doses journalières pouvant aller jusqu’à 1200 mg, administrées pendant 8 semaines, étaient efficaces, sans provoquer une augmentation de l’incidence des effets secondaires.
- +La fréquence totale des événements indésirables rapportés sous éprosartan était comparable à celle observée sous placebo. Les événements indésirables étaient généralement faibles et passagers, et n'ont provoqué un arrêt du traitement que chez 4,1% des patients sous éprosartan (6,5% sous placebo).
- +Des études cliniques ont montré que des doses journalières pouvant aller jusqu'à 1200 mg, administrées pendant 8 semaines, étaient efficaces, sans provoquer une augmentation de l'incidence des effets secondaires.
-Aucun rapport avec l’éprosartan n’a pas pu être établie dans tous les cas.
- +Aucun rapport avec l'éprosartan n'a pas pu être établie dans tous les cas.
-En plus des effets indésirables relevés dans les études cliniques, les effets indésirables suivants ont été rapportés spontanément. Les données disponibles ne permettent pas d’estimer une incidence (inconnue).
- +En plus des effets indésirables relevés dans les études cliniques, les effets indésirables suivants ont été rapportés spontanément. Les données disponibles ne permettent pas d'estimer une incidence (inconnue).
-Au cours d’études cliniques contrôlées par placebo, une hausse significative des concentrations sériques de potassium a été constatée chez 0,9% des patients sous éprosartan et chez 0,3% des patients sous placebo.
-Une baisse significative des taux d’hémoglobine a été observée chez 0,1% des patients traités par éprosartan et chez 0% des patients sous placebo.
-Dans de rares cas, des augmentations de l’urée sanguine chez des patients traités par éprosartan ont été rapportées. Des élévations des paramètres de la fonction hépatique ont également été observées dans des cas rares, sans qu’un lien causal avec le traitement par éprosartan n’ait été établi.
- +Au cours d'études cliniques contrôlées par placebo, une hausse significative des concentrations sériques de potassium a été constatée chez 0,9% des patients sous éprosartan et chez 0,3% des patients sous placebo.
- +Une baisse significative des taux d'hémoglobine a été observée chez 0,1% des patients traités par éprosartan et chez 0% des patients sous placebo.
- +Dans de rares cas, des augmentations de l'urée sanguine chez des patients traités par éprosartan ont été rapportées. Des élévations des paramètres de la fonction hépatique ont également été observées dans des cas rares, sans qu'un lien causal avec le traitement par éprosartan n'ait été établi.
-Les données disponibles sur le surdosage de Teveten chez l’être humain sont limitées.
-La prise de doses allant jusqu’à 12’000 mg d’éprosartan a été rapportée dans des cas isolés.
-La réaction la plus probable lors d’un surdosage est une chute de la pression artérielle. En cas de surdosage, des mesures thérapeutiques appropriées, générales et spécifiques, devront être prises. La surveillance et la stabilisation du système cardio-circulatoire et d’autres paramètres vitaux peuvent s’avérer nécessaires.
- +Les données disponibles sur le surdosage de Teveten chez l'être humain sont limitées.
- +La prise de doses allant jusqu'à 12'000 mg d'éprosartan a été rapportée dans des cas isolés.
- +La réaction la plus probable lors d'un surdosage est une chute de la pression artérielle. En cas de surdosage, des mesures thérapeutiques appropriées, générales et spécifiques, devront être prises.
- +La surveillance et la stabilisation du système cardio-circulatoire et d'autres paramètres vitaux peuvent s'avérer nécessaires.
-Mécanisme d’action
-Les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II sont divisés selon leur structure chimique en trois groupes: les non-tétrazoles biphényles, les tétrazoles biphényles et les non-hétérocycles. L’éprosartan est un antagoniste synthétique puissant des récepteurs de l’angiotensine II, actif par voie orale, appartenant au groupe des non-tétrazoles biphényles. L’éprosartan se lie sélectivement aux récepteurs de l’AT1.
-L’angiotensine II est un vasoconstricteur puissant et la principale hormone active du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui joue un rôle important dans la physiopathologie de l’hypertension artérielle. L’angiotensine II se lie au récepteur AT1, présent dans de nombreux tissus organiques (par ex. la musculature lisse des vaisseaux, les surrénales, les reins et le coeur), où elle contrôle différents effets biologiques importants, comme la vasoconstriction, la rétention sodée et la libération d’aldostérone.
-Depuis peu, l’angiotensine II est mise en relation avec le développement de l’hypertrophie cardiaque et vasculaire en raison de son effet sur la croissance des cellules cardiaques et des cellules musculaires lisses.
-Chez les volontaires sains, l’éprosartan antagonise l’effet de l’angiotensine II sur la pression artérielle, le flux sanguin rénal et la libération d’aldostérone.
- +Mécanisme d'action
- +Les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II sont divisés selon leur structure chimique en trois groupes: les non-tétrazoles biphényles, les tétrazoles biphényles et les non-hétérocycles. L'éprosartan est un antagoniste synthétique puissant des récepteurs de l'angiotensine II, actif par voie orale, appartenant au groupe des non-tétrazoles biphényles. L'éprosartan se lie sélectivement aux récepteurs de l'AT1.
- +L'angiotensine II est un vasoconstricteur puissant et la principale hormone active du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui joue un rôle important dans la physiopathologie de l'hypertension artérielle. L'angiotensine II se lie au récepteur AT1, présent dans de nombreux tissus organiques (par ex. la musculature lisse des vaisseaux, les surrénales, les reins et le coeur), où elle contrôle différents effets biologiques importants, comme la vasoconstriction, la rétention sodée et la libération d'aldostérone.
- +L'angiotensine II est mise en relation avec le développement de l'hypertrophie cardiaque et vasculaire en raison de son effet sur la croissance des cellules cardiaques et des cellules musculaires lisses.
- +Chez les volontaires sains, l'éprosartan antagonise l'effet de l'angiotensine II sur la pression artérielle, le flux sanguin rénal et la libération d'aldostérone.
-Une baisse maximale de la pression artérielle a été obtenue après deux à trois semaines chez la majorité des patients. La baisse de la pression artérielle obtenue chez les hypertendus est indépendante de la prise de la dose journalière, qu’elle soit une dose unique ou qu’elle soit répartie sur deux doses. Le contrôle de la pression artérielle reste constant durant 24 heures, sans qu’une hypotension orthostatique ne se manifeste après la première administration. L’arrêt de Teveten ne provoque pas une hausse rapide de la pression artérielle (rebond).
-Chez les patients souffrant d’hypertension artérielle, la baisse de la pression artérielle ne provoque pas de modification de la fréquence cardiaque.
-Chez les patients présentant une hypertension artérielle, l’éprosartan n’a aucun effet sur les taux de cholestérol total, de triglycérides et de cholestérol LDL à jeun. En outre, il n’a aucune influence sur la glycémie à jeun.
-L’éprosartan n’a pas d’effet sur les mécanismes d’autorégulation rénale. Chez les hommes jeunes sains, la preuve a été faite que l’éprosartan ne provoque pas d’augmentation du flux plasmatique rénal effectif moyen. Chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle ou chez les patients souffrant d’insuffisance rénale, la fonction rénale est maintenue lors de l’emploi de Teveten.
-L’éprosartan ne diminue pas le taux de filtration glomérulaire ni chez les hommes sains, ni chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle ou chez les patients souffrant d’insuffisance rénale de différents degrés de gravité.
-L’éprosartan exerce un effet natriurétique chez les personnes saines qui suivent un régime pauvre en sel. L’éprosartan peut être employé en toute sécurité chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle et chez ceux souffrant d’insuffisance rénale de divers degrés de gravité, sans provoquer de rétention sodée ou d’aggravation de la fonction rénale.
-L’éprosartan n’exerce pas d’effet significatif sur l’élimination d’acide urique dans les urines.
-Les effets associés à la bradykinine, comme la toux, ne sont pas renforcés par l’éprosartan. Une étude prospective a démontré que l’incidence de la toux sèche chez les patients traités par éprosartan (1,5%) était significativement inférieure (p <0,05) à celle observée chez les patients traités par un inhibiteur de l’ECA (5,4%). De même, l’incidence de toux de tous types sous traitement par éprosartan était significativement inférieure (p <0,05) à celle constatée chez les patients traités par inhibiteurs de l’ECA (21,1% vs 29,9%).
-Dans le cadre d’une autre étude, incluant des patients ayant souffert de toux lors d’un traitement précédent par inhibiteur de l’ECA, l’incidence sous éprosartan était de 2,6%, sous inhibiteurs de l’ECA de 25% et sous placebo de 2,7%. Ainsi, l’incidence de la toux sèche sous éprosartan était significativement inférieure à celle observée sous l’inhibiteur de l’ECA (p <0,01); la différence n’était pas significative par rapport au placebo. L’incidence de toux de tous types était également significativement plus basse (p <0,01) sous éprosartan (24%) que sous l’inhibiteur de l’ECA (57%), mais pas significativement différente de celle sous placebo (25%). En outre, une analyse de 6 études cliniques menées en double aveugle incluant un total de 1554 patients a montré que l’incidence de la toux signalée spontanément par les patients se situait dans le même intervalle sous éprosartan (3,5%) et sous placebo (2,6%).
- +Une baisse maximale de la pression artérielle a été obtenue après deux à trois semaines chez la majorité des patients. La baisse de la pression artérielle obtenue chez les hypertendus est indépendante de la prise de la dose journalière, qu'elle soit une dose unique ou qu'elle soit répartie sur deux doses. Le contrôle de la pression artérielle reste constant durant 24 heures, sans qu'une hypotension orthostatique ne se manifeste après la première administration. L'arrêt de Teveten ne provoque pas une hausse rapide de la pression artérielle (rebond).
- +Chez les patients souffrant d'hypertension artérielle, la baisse de la pression artérielle ne provoque pas de modification de la fréquence cardiaque.
- +Chez les patients présentant une hypertension artérielle, l'éprosartan n'a aucun effet sur les taux de cholestérol total, de triglycérides et de cholestérol LDL à jeun. En outre, il n'a aucune influence sur la glycémie à jeun.
- +L'éprosartan n'a pas d'effet sur les mécanismes d'autorégulation rénale. Chez les hommes jeunes sains, la preuve a été faite que l'éprosartan ne provoque pas d'augmentation du flux plasmatique rénal effectif moyen. Chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle ou chez les patients souffrant d'insuffisance rénale, la fonction rénale est maintenue lors de l'emploi de Teveten.
- +L'éprosartan ne diminue pas le taux de filtration glomérulaire ni chez les hommes sains, ni chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle ou chez les patients souffrant d'insuffisance rénale de différents degrés de gravité.
- +L'éprosartan exerce un effet natriurétique chez les personnes saines qui suivent un régime pauvre en sel. L'éprosartan peut être employé en toute sécurité chez les patients présentant une hypertension artérielle essentielle et chez ceux souffrant d'insuffisance rénale de divers degrés de gravité, sans provoquer de rétention sodée ou d'aggravation de la fonction rénale.
- +L'éprosartan n'exerce pas d'effet significatif sur l'élimination d'acide urique dans les urines.
- +Les effets associés à la bradykinine, comme la toux, ne sont pas renforcés par l'éprosartan. Une étude prospective a démontré que l'incidence de la toux sèche chez les patients traités par éprosartan (1,5%) était significativement inférieure (p<0,05) à celle observée chez les patients traités par un inhibiteur de l'ECA (5,4%). De même, l'incidence de toux de tous types sous traitement par éprosartan était significativement inférieure (p<0,05) à celle constatée chez les patients traités par inhibiteurs de l'ECA (21,1% vs 29,9%).
- +Dans le cadre d'une autre étude, incluant des patients ayant souffert de toux lors d'un traitement précédent par inhibiteur de l'ECA, l'incidence sous éprosartan était de 2,6%, sous inhibiteurs de l'ECA de 25% et sous placebo de 2,7%. Ainsi, l'incidence de la toux sèche sous éprosartan était significativement inférieure à celle observée sous l'inhibiteur de l'ECA (p<0,01); la différence n'était pas significative par rapport au placebo. L'incidence de toux de tous types était également significativement plus basse (p<0,01) sous éprosartan (24%) que sous l'inhibiteur de l'ECA (57%), mais pas significativement différente de celle sous placebo (25%). En outre, une analyse de 6 études cliniques menées en double aveugle incluant un total de 1554 patients a montré que l'incidence de la toux signalée spontanément par les patients se situait dans le même intervalle sous éprosartan (3,5%) et sous placebo (2,6%).
- +Deux grandes études randomisées et contrôlées (ONTARGET [ONgoing Telmisartan Alone and in combination with Ramipril Global Endpoint Trial] et VA NEPHRON-D [The Veterans Affairs Nephropathy in Diabetes]) ont examiné l'utilisation concomitante d'un IEC et d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II). L'étude ONTARGET a été menée auprès de patients ayant des antécédents de maladie cardio-vasculaire ou cérébrovasculaire ou présentant un diabète de type 2 avec des lésions organiques établies. L'étude VA NEPHRON-D a été menée auprès de patients diabétiques de type 2 qui présentaient une néphropathie diabétique. Ces études n'ont révélé aucun avantage significatif concernant les critères rénaux et/ou cardio-vasculaires ou la mortalité, mais elles ont mis en évidence des risques accrus d'hyperkaliémie, de détérioration rénale aiguë et/ou d'hypotension par rapport à la monothérapie. En raison des propriétés pharmacodynamiques similaires, ces résultats sont extrapolables aussi à d'autres IEC et ARA-II. Les IEC et les ARA-II ne doivent donc pas être utilisés simultanément chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
- +L'étude ALTITUDE (Aliskiren Trial in Type 2 Diabetes Using Cardiovascular and Renal Disease Endpoints) devait examiner si l'utilisation d'aliskirène en plus d'un traitement standard par un IEC ou un ARA-II offrait des avantages supplémentaires chez les patients diabétiques de type 2 présentant une maladie rénale chronique et/ou une maladie cardio-vasculaire. Cette étude a été terminée prématurément à cause d'un risque accru d'effets indésirables. Aussi bien les décès de cause cardio-vasculaire que les accidents vasculaires cérébraux étaient numériquement plus fréquents dans le groupe recevant de l'aliskirène que dans le groupe sous placebo. Les effets indésirables, dont en particulier des effets indésirables sérieux (hyperkaliémie, hypotension, insuffisance rénale), étaient également plus fréquents.
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-Trois études cliniques incluant un total de 791 volontaires ont montré que l’effet de l’éprosartan sur la pression artérielle était aussi marqué que celui de l’inhibiteur de l’ECA énalapril.
- +Trois études cliniques incluant un total de 791 volontaires ont montré que l'effet de l'éprosartan sur la pression artérielle était aussi marqué que celui de l'inhibiteur de l'ECA énalapril.
-La biodisponibilité systémique de l’éprosartan après une dose orale de 300 mg se monte à 13% en raison d’une absorption orale limitée. Les concentrations plasmatiques maximales de l’éprosartan sont atteintes 1–2 heures après la prise d’une dose à jeun. Les taux plasmatiques sont proportionnels à la posologie aux doses situées entre 100 et 200 mg, et augmentent de manière non proportionnelle aux doses entre 400 et 800 mg.
- +La biodisponibilité systémique de l'éprosartan après une dose orale de 300 mg se monte à 13% en raison d'une absorption orale limitée. Les concentrations plasmatiques maximales de l'éprosartan sont atteintes 1-2 heures après la prise d'une dose à jeun. Les taux plasmatiques sont proportionnels à la posologie aux doses situées entre 100 et 200 mg, et augmentent de manière non proportionnelle aux doses entre 400 et 800 mg.
-La prise simultanée de nourriture ralentit l’absorption dans des proportions variables, alors que des modifications inférieures à 25% ont été constatées pour la concentration plasmatique maximale (cmax) et la surface sous la courbe (AUC). Toutefois, ces modifications n’ont aucune conséquence clinique.
- +La prise simultanée de nourriture ralentit l'absorption dans des proportions variables, alors que des modifications inférieures à 25% ont été constatées pour la concentration plasmatique maximale (cmax) et la surface sous la courbe (AUC). Toutefois, ces modifications n'ont aucune conséquence clinique.
-La liaison de l’éprosartan aux protéines plasmatiques est de 98% environ. Cette valeur reste constante dans l’intervalle des concentrations thérapeutiques. La proportion de la liaison aux protéines n’est modifiée ni par le sexe ou l’âge, ni par une insuffisance hépatique ou par une insuffisance rénale légère à modérée. Toutefois, lors d’insuffisance rénale sévère, une diminution du taux de liaison aux protéines a été constatée chez quelques patients.
-Le volume de distribution de l’éprosartan est de 13 litres environ.
- +La liaison de l'éprosartan aux protéines plasmatiques est de 98% environ. Cette valeur reste constante dans l'intervalle des concentrations thérapeutiques. La proportion de la liaison aux protéines n'est modifiée ni par le sexe ou l'âge, ni par une insuffisance hépatique ou par une insuffisance rénale légère à modérée. Toutefois, lors d'insuffisance rénale sévère, une diminution du taux de liaison aux protéines a été constatée chez quelques patients.
- +Le volume de distribution de l'éprosartan est de 13 litres environ.
-Après administration intraveineuse et orale chez l’être humain d’éprosartan radiomarqué au 14C, seule la forme non modifiée de l’éprosartan a été trouvée dans le plasma et les selles. Dans les urines, près de 20% de la radioactivité a été retrouvée sous forme d’acylglucuronide de l’éprosartan, et les 80% restants sous forme d’éprosartan non modifié.
- +Après administration intraveineuse et orale chez l'être humain d'éprosartan radiomarqué au 14C, seule la forme non modifiée de l'éprosartan a été trouvée dans le plasma et les selles. Dans les urines, près de 20% de la radioactivité a été retrouvée sous forme d'acylglucuronide de l'éprosartan, et les 80% restants sous forme d'éprosartan non modifié.
-La demi-vie d’élimination terminale de l’éprosartan après administration orale varie dans la plupart des cas entre 5 et 9 heures. La clairance plasmatique de l’éprosartan s’élève à 130 ml/min. Aussi bien l’élimination biliaire que l’élimination rénale contribuent à l’élimination de l’éprosartan. Après administration intraveineuse d’éprosartan radiomarqué au 14C, 61% de la radioactivité sont retrouvés dans les selles et 37% dans les urines. Après administration orale d’éprosartan radiomarqué au 14C, 90% de la radioactivité sont retrouvés dans les selles et 7% dans les urines. L’éprosartan ne s’accumule pas lors d’emploi prolongé.
- +La demi-vie d'élimination terminale de l'éprosartan après administration orale varie dans la plupart des cas entre 5 et 9 heures. La clairance plasmatique de l'éprosartan s'élève à 130 ml/min. Aussi bien l'élimination biliaire que l'élimination rénale contribuent à l'élimination de l'éprosartan. Après administration intraveineuse d'éprosartan radiomarqué au 14C, 61% de la radioactivité sont retrouvés dans les selles et 37% dans les urines. Après administration orale d'éprosartan radiomarqué au 14C, 90% de la radioactivité sont retrouvés dans les selles et 7% dans les urines. L'éprosartan ne s'accumule pas lors d'emploi prolongé.
-Chez les personnes âgées, aussi bien l’AUC que les concentrations plasmatiques maximales augmentent d’un facteur deux environ. Toutefois, cette augmentation ne nécessite pas d’adaptation posologique.
-Chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique, les valeurs pour l’AUC ont augmenté de 40% environ en moyenne après l’administration d’une dose unique de 100 mg d’éprosartan, mais non les concentrations plasmatiques maximales. Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine située entre 30 et 59 ml/min), les valeurs moyennes pour l’AUC et les concentrations plasmatiques maximales étaient plus élevées de 30% environ par rapport à des patients ayant une fonction rénale normale. Chez un petit nombre de patients souffrant d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine située entre 5 et 29 ml/min), les AUC moyennes et les concentrations plasmatiques maximales étaient près de 50% supérieures à celles mesurées chez les personnes saines.
-La pharmacocinétique de l’éprosartan est indépendante du sexe.
- +Chez les personnes âgées, aussi bien l'AUC que les concentrations plasmatiques maximales augmentent d'un facteur deux environ. Toutefois, cette augmentation ne nécessite pas d'adaptation posologique.
- +Chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique, les valeurs pour l'AUC ont augmenté de 40% environ en moyenne après l'administration d'une dose unique de 100 mg d'éprosartan, mais non les concentrations plasmatiques maximales.
- +Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine située entre 30 et 59 ml/min), les valeurs moyennes pour l'AUC et les concentrations plasmatiques maximales étaient plus élevées de 30% environ par rapport à des patients ayant une fonction rénale normale.
- +Chez un petit nombre de patients souffrant d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine située entre 5 et 29 ml/min), les AUC moyennes et les concentrations plasmatiques maximales étaient près de 50% supérieures à celles mesurées chez les personnes saines.
- +La pharmacocinétique de l'éprosartan est indépendante du sexe.
-Aucune toxicité pertinente liée au principe actif n’a été observée après l’administration de doses d’éprosartan par voie orale allant jusqu’à 1000 mg/kg/jour pendant jusqu’à 6 mois chez le rat et pendant jusqu’à 1 an chez le chien.
- +Aucune toxicité pertinente liée au principe actif n'a été observée après l'administration de doses d'éprosartan par voie orale allant jusqu'à 1000 mg/kg/jour pendant jusqu'à 6 mois chez le rat et pendant jusqu'à 1 an chez le chien.
-L’éprosartan, administré chez la lapine gravide durant la phase finale de la gestation, a montré une mortalité maternelle et foetale à des doses de 10 mg/kg du poids corporel par jour. Cet effet est principalement à rapporter au système rénine-angiotensione-aldostérone. Une toxicité maternelle, mais pas une toxicité foetale, a été observée à 3 mg/kg de poids corporel par jour.
- +L'éprosartan, administré chez la lapine gravide durant la phase finale de la gestation, a montré une mortalité maternelle et foetale à des doses de 10 mg/kg du poids corporel par jour. Cet effet est principalement à rapporter au système rénine-angiotensione-aldostérone. Une toxicité maternelle, mais pas une toxicité foetale, a été observée à 3 mg/kg de poids corporel par jour.
-Aucun effet génotoxique n’a été observé dans une série de tests menés in vitro et in vivo.
- +Aucun effet génotoxique n'a été observé dans une série de tests menés in vitro et in vivo.
-Aucun effet carcinogène n’a été observé chez le rat et la souris à des doses de 600 mg ou 2000 mg/kg de poids corporel par jour pendant 2 ans.
- +Aucun effet carcinogène n'a été observé chez le rat et la souris à des doses de 600 mg ou 2000 mg/kg de poids corporel par jour pendant 2 ans.
-Teveten cpr pell 28 (emballage-calendrier). (B)
-Teveten cpr pell 98 (emballage-calendrier). (B)
- +Teveten 600 mg: comprimés filmés (emballage calendrier): 28 et 98. (B)
-Janvier 2012.
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- +Mars 2015.
- +[Version 102 F]
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