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-Apoplexie hypophysaire: Dans le cadre de la pharmacovigilance (surveillance post-commercialisation), de rares cas d'apoplexie hypophysaire (un syndrome clinique secondaire à un infarctus de l'hypophyse) ont été rapportés à la suite de l'administration d'agonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas d'apoplexie hypophysaire se sont produits en l'espace de 2 semaines – et certains même en l'espace d'une heure – après l'administration de la première dose. Chez ces patients, l'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par des céphalées brutales, des vomissements, des anomalies visuelles, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et parfois un collapsus cardio-vasculaire. Un traitement médical immédiat était nécessaire.
- +Apoplexie hypophysaire:
- +Dans le cadre de la pharmacovigilance (surveillance post-commercialisation), de rares cas d'apoplexie hypophysaire (un syndrome clinique secondaire à un infarctus de l'hypophyse) ont été rapportés à la suite de l'administration d'agonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas d'apoplexie hypophysaire se sont produits en l'espace de 2 semaines – et certains même en l'espace d'une heure – après l'administration de la première dose. Chez ces patients, l'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par des céphalées brutales, des vomissements, des anomalies visuelles, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et parfois un collapsus cardio-vasculaire. Un traitement médical immédiat était nécessaire.
-Risque de suicide: Les patients avec des dépressions préexistantes peuvent présenter un risque suicidaire.
-Densité osseuse/risque de fracture: Des modifications de la densité osseuse peuvent survenir pendant un état de déficit en œstrogènes. La diminution de la densité osseuse peut être réversible après l'arrêt de Lucrin Dépôt 3 mois.
- +Risque de suicide:
- +Les patients avec des dépressions préexistantes peuvent présenter un risque suicidaire.
- +Densité osseuse/risque de fracture:
- +Des modifications de la densité osseuse peuvent survenir pendant un état de déficit en œstrogènes. La diminution de la densité osseuse peut être réversible après l'arrêt de Lucrin Dépôt 3 mois.
-Convulsions: Dans le cadre de la pharmacovigilance, on a rapporté la survenue de convulsions en particulier chez la femme et l'enfant. Il s'agissait à cet égard en partie de patients qui présentaient d'autres facteurs de risque de convulsions (comme par exemple, anamnèse d'épilepsie, tumeur intracrânienne, comédication avec des médicaments pour lesquels un risque de convulsions est connu). Toutefois, il existe également des rapports de patients qui ne présentent pas ces facteurs de risque.
- +Convulsions:
- +Dans le cadre de la pharmacovigilance, on a rapporté la survenue de convulsions en particulier chez la femme et l'enfant. Il s'agissait à cet égard en partie de patients qui présentaient d'autres facteurs de risque de convulsions (comme par exemple, anamnèse d'épilepsie, tumeur intracrânienne, comédication avec des médicaments pour lesquels un risque de convulsions est connu). Toutefois, il existe également des rapports de patients qui ne présentent pas ces facteurs de risque.
- +Réactions d'hypersensibilité retardées:
- +Des réactions d'hypersensibilité retardées, y compris des réactions cutanées graves (SCAR) du syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et de la nécrolyse épidermique toxique (NET), ont été très rarement rapportées après la commercialisation en lien avec un traitement par acétate de leuproréline (voir « Effets indésirables »). Dès les premiers signes ou symptômes d'une réaction d'hypersensibilité retardée, le traitement par acétate de leuproréline doit être interrompu et les patients doivent être traités conformément à la pratique clinique habituelle.
- +Modifications métaboliques:
- +L'administration d'un traitement de privation androgénique (TPA), y compris des agonistes de la GnRH, peut être associée à un risque accru de modifications du métabolisme, tels que l'hyperglycémie, le diabète, l'hyperlipidémie et la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD). L'hyperglycémie peut impliquer le développement d'un diabète ou une dégradation du contrôle glycémique chez les patients diabétiques. Les patients qui reçoivent un agoniste de la GnRH doivent être surveillés pour déceler toute apparition de signes et symptômes du syndrome métabolique, y compris par un contrôle des lipides, de la glycémie et/ou de l'hémoglobine glyquée (HbA1c), et être traités conformément à la pratique clinique habituelle (voir «Effets indésirables»).
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-Pseudotumor cerebri / hypertension intracrânienne idiopathique
- +Pseudotumor cerebri / hypertension intracrânienne idiopathique:
-Non connu: dermatite, lésions cutanées, indurations cutanées.
- +Non connu: érythème polymorphe, dermatite, dermatose bulleuse, dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, lésions cutanées, indurations cutanées.
-Non connu: fibrose du petit bassin.
- +Non connu: fibrose pelvienne.
- +Non connu: stéatose hépatique non alcoolique.
-Très fréquent: vaginite (26 %), douleurs thoraciques (13 %).
-Fréquent: augmentation de la taille des seins, symptôme de ménopause, douleurs du bas-ventre, sensation de tension des seins, atrophie des seins, hypersécrétion vaginale, dysménorrhée, ménorragie, métrorragie, galactorrhée, dyspareunie.
- +Très fréquent: vaginite (26 %), douleurs des seins (13 %).
- +Fréquent: augmentation de la taille des seins, symptôme de ménopause, douleurs pelvienne, sensation de tension des seins, atrophie des seins, hypersécrétion vaginale, dysménorrhée, ménorragie, métrorragie, galactorrhée, dyspareunie.
-Dans une étude clinique de phase III comportant n= 537 patientes en préménopause et périménopause, atteintes d’un carcinome mammaire (taille de la tumeur T 1–3, avec ganglions locaux positifs (N+), toutefois sans métastases à distance (M0)), l’efficacité de Lucrin Dépôt 3 mois en traitement adjuvant a été comparée à celle du protocole CMF (cyclophosphamide, méthotrexate et 5-fluorouracil). Les taux d’œstradiol sous Lucrin Dépôt pendant une durée de 24 mois figurent dans le tableau suivant.
- +Dans une étude clinique de phase III comportant n=537 patientes en préménopause et périménopause, atteintes d’un carcinome mammaire (taille de la tumeur T 1–3, avec ganglions locaux positifs (N+), toutefois sans métastases à distance (M0)), l’efficacité de Lucrin Dépôt 3 mois en traitement adjuvant a été comparée à celle du protocole CMF (cyclophosphamide, méthotrexate et 5-fluorouracil). Les taux d’œstradiol sous Lucrin Dépôt pendant une durée de 24 mois figurent dans le tableau suivant.
-Dans une étude en double aveugle à 4 bras réalisée chez n= 201 patientes atteints d’endométriose présentant une symptomatologie douloureuse modérée à sévère, on a comparé une durée de traitement de 12 mois de leuproréline 3,75 mg en monothérapie toutes les 4 semaines avec un traitement substitutif («add back») avec soit 5 mg d’acétate denoréthistérone (NETA)/jour, 5 mg NETA + 0,625 mg d’œstrogènes équins conjugués (EEC) ou bien 5 mg NETA + 1,25 mg d’EEC. Les patientes incluses étaient aussi bien des patientes qui n’avaient jamais reçu de traitement («patientes naïves») que des patientes présentant des symptômes persistants ou une récidive après un traitement chirurgical ou médicamenteux. Outre l’efficacité (amélioration de la symptomatologie douloureuse évaluée sur l’échelle de Biberoglu et Behrman), cette étude a permis de mesurer aussi la densité osseuse (BMD, par la méthode DEXA) au bout de 6 et 12 mois (et aussi 24 mois après la fin du traitement) ainsi que les symptômes vasomoteurs. Dans tous les 4 bras de traitement, on a relevé une amélioration significative de la symptomatologie de l’endométriose comparativement à l’état initial; l’amélioration sous traitement substitutif de 5 mg NETA + 1,25 mg EEC étant un peu moins prononcé que dans les autres groupes. Les patientes sous traitement substitutif de 5 mg NETA/jour ont rapporté des bouffées de chaleur de façon significativement plus rare que les patientes sous monothérapie de leuproréline (60% vs 88%, p <0,05). La BMD, qui n’a toutefois été étudiée que comme critère de jugement secondaire, a diminué dans un délai de 12 mois de 6,3% sous monothérapie par leuproréline, mais est restée stable en grande partie dans les groupes de traitement substitutif (5 mg NETA: réduction de 0,9%; 5 mg NETA + 0,625 mg EEC: réduction de 0,2%; 5 mg NETA + 1,25 mg EEC: augmentation de 0,6%). À la fin des 24 mois de suivi, la valeur initiale était atteinte à nouveau chez les patientes des groupes de traitement substitutif, tandis que dans le bras en monothérapie, la BMD était encore environ 1% plus faible qu’avant le début du traitement.
- +Dans une étude en double aveugle à 4 bras réalisée chez n=201 patientes atteints d’endométriose présentant une symptomatologie douloureuse modérée à sévère, on a comparé une durée de traitement de 12 mois de leuproréline 3,75 mg en monothérapie toutes les 4 semaines avec un traitement substitutif («add back») avec soit 5 mg d’acétate denoréthistérone (NETA)/jour, 5 mg NETA + 0,625 mg d’œstrogènes équins conjugués (EEC) ou bien 5 mg NETA + 1,25 mg d’EEC. Les patientes incluses étaient aussi bien des patientes qui n’avaient jamais reçu de traitement («patientes naïves») que des patientes présentant des symptômes persistants ou une récidive après un traitement chirurgical ou médicamenteux. Outre l’efficacité (amélioration de la symptomatologie douloureuse évaluée sur l’échelle de Biberoglu et Behrman), cette étude a permis de mesurer aussi la densité osseuse (BMD, par la méthode DEXA) au bout de 6 et 12 mois (et aussi 24 mois après la fin du traitement) ainsi que les symptômes vasomoteurs. Dans tous les 4 bras de traitement, on a relevé une amélioration significative de la symptomatologie de l’endométriose comparativement à l’état initial; l’amélioration sous traitement substitutif de 5 mg NETA + 1,25 mg EEC étant un peu moins prononcé que dans les autres groupes. Les patientes sous traitement substitutif de 5 mg NETA/jour ont rapporté des bouffées de chaleur de façon significativement plus rare que les patientes sous monothérapie de leuproréline (60% vs 88%, p<0,05). La BMD, qui n’a toutefois été étudiée que comme critère de jugement secondaire, a diminué dans un délai de 12 mois de 6,3% sous monothérapie par leuproréline, mais est restée stable en grande partie dans les groupes de traitement substitutif (5 mg NETA: réduction de 0,9%; 5 mg NETA + 0,625 mg EEC: réduction de 0,2%; 5 mg NETA + 1,25 mg EEC: augmentation de 0,6%). À la fin des 24 mois de suivi, la valeur initiale était atteinte à nouveau chez les patientes des groupes de traitement substitutif, tandis que dans le bras en monothérapie, la BMD était encore environ 1% plus faible qu’avant le début du traitement.
-Juillet 2023
- +Novembre 2023
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