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Accueil - Information professionnelle sur Lucrin Depot 3 Monate - Changements - 23.07.2021
126 Changements de l'information professionelle Lucrin Depot 3 Monate
  • -Principe actif: Leuprorelinum ut Leuprorelini acetas.
  • -Excipients: Mannitolum, Copolymerum ex Acidum lacticum-acidum glycolicum.
  • -Compartiment avec l’agent de suspension (1 ml): Mannitolum, Natriumcarboxymethylcellulosum, Polysorbatum 80, Aqua ad injectabilia.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Une seringue à double compartiment (prefilled dual chamber syringe = PDS) contient 11,25 mg d’acétate de leuproréline. Après reconstitution, on obtient une suspension pour administration sous-cutanée ou intramusculaire.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Leuprorelini acetas.
  • +Excipients
  • +Mannitolum, Acidum polylacticum (PLA).
  • +Compartiment avec le solvant (1 ml): Mannitolum, Carmellosum natricum corresp. sodium max. 0,54 mg/ml, Polysorbatum 80, Acidum aceticum glaciale, Aqua ad injectabilia.
  • +
  • +
  • -Cancer de la prostate: Traitement symptomatique du carcinome de la prostate hormono-dépendant à un stade avancé. Comme traitement alternatif lorsquune orchidectomie ou ladministration dœstrogènes nest pas indiquée ou difficile à imposer au patient.
  • -Carcinome du sein: Traitement adjuvant du carcinome du sein précoce opérable et traitement du carcinome du sein avancé métastasique chez les femmes préménopausiques présentant des tumeurs avec récepteurs positifs et pour lesquelles un traitement hormonal est indiqué.
  • -Endométriose: Endométriose symptomatique confirmée par laparoscopie, en cas dinhibition de la sécrétion des hormones ovariennes, à condition que la maladie nexige pas de traitement chirurgical.
  • -Pour la réduction des symptômes de carence en œstrogènes (y compris lostéoporose – cf. «Mises en garde et précautions»), il est recommandé dadministrer un traitement substitutif (cf. «Propriétés/Effets»).
  • +Cancer de la prostate: Traitement symptomatique du carcinome de la prostate hormono-dépendant à un stade avancé. Comme traitement alternatif lorsqu'une orchidectomie ou l'administration d'œstrogènes n'est pas indiquée ou difficile à imposer au patient.
  • +Carcinome du sein: Traitement adjuvant du carcinome du sein précoce opérable et traitement du carcinome du sein avancé métastatique chez les femmes préménopausées présentant des tumeurs avec récepteurs positifs et pour lesquelles un traitement hormonal est indiqué.
  • +Endométriose: Endométriose symptomatique confirmée par laparoscopie, en cas d'inhibition de la sécrétion des hormones ovariennes, à condition que la maladie n'exige pas de traitement chirurgical.
  • +Pour la réduction des symptômes de carence en œstrogènes (y compris l'ostéoporose – cf. «Mises en garde et précautions»), il est recommandé d'administrer un traitement substitutif (cf. «Propriétés/Effets»).
  • -En début de traitement, lacétate de leuproréline entraîne, comme dautres analogues de la GnRH, une augmentation de courte durée de lœstradiol du sérum et de ce fait une stimulation possible de la croissance tumorale. Chez un petit nombre de patientes présentant un carcinome mammaire métastastatique, cela peut entraîner une augmentation passagère des symptômes liés à la tumeur, «tumor flare» (flambée tumorale), principalement des douleurs provenant des métastases squelettiques ainsi quune hypercalcémie. Une surveillance étroite des patientes est donc indiquée en particulier au cours des 4 premières semaines de traitement.
  • -Dans le traitement adjuvant du carcinome mammaire, le risque de stimulation de la tumeur est important si la suppression ovarienne n’est pas maintenue pendant toute la durée du traitement. C’est la raison pour laquelle en cas de suspicion de suppression hormonale insuffisante, une détermination des œstrogènes est indiqué.
  • +En début de traitement, l'acétate de leuproréline entraîne, comme d'autres analogues de la GnRH, une augmentation de courte durée de l'œstradiol du sérum et de ce fait une stimulation possible de la croissance tumorale. Chez un petit nombre de patientes présentant un carcinome mammaire métastatique, cela peut entraîner une augmentation passagère des symptômes liés à la tumeur, «tumor flare» (flambée tumorale), principalement des douleurs provenant des métastases squelettiques ainsi qu'une hypercalcémie. Une surveillance étroite des patientes est donc indiquée en particulier au cours des 4 premières semaines de traitement.
  • +Dans le traitement adjuvant du carcinome mammaire, le risque de stimulation de la tumeur est important si la suppression ovarienne n’est pas maintenue pendant toute la durée du traitement. C’est la raison pour laquelle en cas de suspicion de suppression hormonale insuffisante, une détermination des œstrogènes est indiquée.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par seringue à double compartiment, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -En début de traitement par acétate de leuproréline, on observe une augmentation passagère du taux sérique de testostérone ou dœstradiol. Par la suite se manifestent les symptômes du sevrage hormonal.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents observés chez ladulte sous traitement par acétate de leuproréline sont vasodilatation/bouffées de chaleur, augmentation des sueurs, modifications pondérales, baisse de la libido et dysfonction sexuelle (impuissance) chez lhomme.
  • -Dans ce qui suit figurent les effets indésirables observés sous traitement par des préparations dépôt dacétate de leuproréline en fonction des systèmes dorganes pendant les études cliniques et lobservation du marché, la pharmacovigilance. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (de ≥1/100 à <1/10); occasionnel (de ≥1/1000 à <1/100), rare (de ≥1/10000 à <1/1000); très rare (<1/10000); non connu: à lexclusion de rapports pendant la surveillance du marché, la fréquence précise ne peut être donnée.
  • +En début de traitement par acétate de leuproréline, on observe une augmentation passagère du taux sérique de testostérone ou d'œstradiol. Par la suite se manifestent les symptômes du sevrage hormonal.
  • +Les effets indésirables les plus fréquents observés chez l'adulte sous traitement par acétate de leuproréline sont vasodilatation/bouffées de chaleur, augmentation des sueurs, modifications pondérales, baisse de la libido et dysfonction sexuelle (impuissance) chez l'homme.
  • +Dans ce qui suit figurent les effets indésirables observés sous traitement par des préparations dépôt d'acétate de leuproréline en fonction des systèmes d'organes pendant les études cliniques et l'observation du marché, la pharmacovigilance. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (de ≥1/100 à <1/10); occasionnel (de ≥1/1'000 à <1/100), rare (de ≥1/10'000 à <1/1'000); très rare (<1/10'000); non connu: à l'exclusion de rapports pendant la surveillance du marché, la fréquence précise ne peut être donnée.
  • -Infections
  • +Infections et infestations
  • -Cancer
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
  • -Sang et système lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Occasionnel: réactions dhypersensibilité.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnel: réactions d'hypersensibilité.
  • -Troubles endocriniens
  • -Non connu: goître, infarctus de lhypophyse (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Métabolisme et nutrition
  • -Très fréquent: prise de poids (femmes: 80%, hommes: 22%), augmentation de lappétit (femmes jusquà 33%), perte de poids (femmes jusquà 25%).
  • +Affections endocriniennes
  • +Non connu: goître, infarctus de l'hypophyse (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Très fréquent: prise de poids (femmes: 80 %, hommes: 22 %), augmentation de l'appétit (femmes jusqu'à 33%), perte de poids (femmes jusqu'à 25 %).
  • -Non connu: hypokaliémie, augmentation du taux durée, augmentation de la créatinine, hypercalcémie, hyperphosphatémie, hypoprotéinémie, hyperuricémie, hyperlipidémie, diabète sucré.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Très fréquent: baisse de la libido (hommes: 47%, femmes: 11%), labilité émotionnelle (femmes: 24%), nervosité (femmes jusquà 22%), variations de lhumeur (femmes jusquà 20%), insomnie (femmes: 19%), dépression (femmes: 18%).
  • +Non connu: hypokaliémie, augmentation du taux d'urée, augmentation de la créatinine, hypercalcémie, hyperphosphatémie, hypoprotéinémie, hyperuricémie, hyperlipidémie, diabète sucré.
  • +Affections psychiatriques
  • +Très fréquent: baisse de la libido (hommes: 47 %, femmes: 11 %), labilité émotionnelle (femmes: 24 %), nervosité (femmes jusqu'à 22 %), variations de l'humeur (femmes jusqu'à 20 %), insomnie (femmes: 19 %), dépression (femmes: 18 %).
  • -Troubles du système nerveux
  • -Très fréquent: céphalées (femmes jusquà 38%), vertiges (femmes jusquà 15%).
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquent: céphalées (femmes jusqu'à 38 %), vertiges (femmes jusqu'à 15 %).
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Fréquent: acouphènes, douleurs de loreille.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquent: acouphènes, douleurs de l'oreille.
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Non connu: souffle cardiaque, modifications de lECG (par exemple, signes dischémie myocardique), bloc auriculo-ventriculaire, infarctus du myocarde, prolongation de lintervalle QT (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • +Non connu: souffle cardiaque, modifications de l'ECG (par exemple, signes d'ischémie myocardique), bloc auriculo-ventriculaire, infarctus du myocarde, prolongation de l'intervalle QT (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • -Très fréquent: vasodilatation (femmes: 83%, hommes: 57%), bouffées de chaleur (femmes: 83%, hommes: 52%).
  • +Très fréquent: vasodilatation (femmes: 83 %, hommes: 57 %), bouffées de chaleur (femmes: 83 %, hommes: 52 %).
  • -Troubles respiratoires
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Très fréquent: nausées (femmes jusquà 14%).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Très fréquent: nausées (femmes jusqu'à 14 %).
  • -Troubles hépatobiliaires
  • -Très fréquent: augmentation des AST (hommes jusquà 20%).
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Très fréquent: augmentation des AST (hommes jusqu'à 20 %).
  • -Peau
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Très fréquent: douleurs osseuses (hommes jusquà 14%), arthralgies (femmes jusquà 14%), douleurs dorsales (femmes jusquà 14%), faiblesse musculaire (hommes jusquà 11%).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Très fréquent: douleurs osseuses (hommes jusqu'à 14 %), arthralgies (femmes jusqu'à 14 %), douleurs dorsales (femmes jusqu'à 14 %), faiblesse musculaire (hommes jusqu'à 11 %).
  • -De plus, une ostéoporose a été rapportée au cours dun traitement prolongé (6–12 mois).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Très fréquent: nycturie (hommes jusquà 17%).
  • +De plus, une ostéoporose a été rapportée au cours d'un traitement prolongé (6–12 mois).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Très fréquent: nycturie (hommes jusqu'à 17 %).
  • -Non connu: envies duriner pressantes accrues, spasmes de la vessie, obstruction des voies urinaires.
  • -Troubles généraux et réactions au site dadministration
  • -Très fréquent: induration au site injection (femmes jusquà 31%), accroissement des sueurs (femmes: 78%; hommes: jusquà 42%), asthénie (femmes jusquà 14%), fatigue (hommes jusquà 13%), érythème au site dinjection (hommes jusquà 13%), douleurs au site dinjection (femmes jusquà 13%), œdème périphérique (hommes jusquà 12,5%).
  • -Fréquent: autre réaction au site dinjection (comme prurit, gonflement, hématome, inflammation, abcès), augmentation de la sensation de soif, malaise, bouffées de sueur, sueurs nocturnes, fièvre, frissons, œdème, douleurs thoraciques.
  • +Non connu: envies d'uriner pressantes accrues, spasmes de la vessie, obstruction des voies urinaires.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquent: induration au site injection (femmes jusqu'à 31 %), accroissement des sueurs (femmes: 78%; hommes: jusqu'à 42 %), asthénie (femmes jusqu'à 14 %), fatigue (hommes jusqu'à 13 %), érythème au site d'injection (hommes jusqu'à 13 %), douleurs au site d'injection (femmes jusqu'à 13 %), œdème périphérique (hommes jusqu'à 12,5 %).
  • +Fréquent: autre réaction au site d'injection (comme prurit, gonflement, hématome, inflammation, abcès), augmentation de la sensation de soif, malaise, bouffées de sueur, sueurs nocturnes, fièvre, frissons, œdème, douleurs thoraciques.
  • -Infections
  • +Infections et infestations
  • -Métabolisme et nutrition
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles cardiaques
  • -Très fréquent: flush (34%).
  • +Affections cardiaques
  • +Non connu: mort subite (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections vasculaires
  • +Très fréquent: flush (34 %).
  • -Non connu: hypotension orthostatique, mort subite (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles respiratoires
  • +Non connu: hypotension orthostatique.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles hépatobiliaires
  • -Très fréquent: augmentation des LDH dans le sérum (29%).
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Très fréquent: augmentation des LDH dans le sérum (29 %).
  • -Peau
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Très fréquent: impuissance (45%).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Très fréquent: impuissance (45 %).
  • -Troubles généraux et réactions au site dadministration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Infections
  • +Infections et infestations
  • -Sang et système lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles endocriniens
  • +Affections endocriniennes
  • -Métabolisme et nutrition
  • -Fréquent: diminution de lappétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquent: diminution de l'appétit.
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • -Très fréquent: migraine (13%).
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquent: migraine (13 %).
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles du conduit auditif et du labyrinthe
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques/vasculaires
  • +Affections cardiaques
  • -On a rapporté chez des patientes traitées par leuproréline des cas dévénements thrombo-emboliques veineux et artériels (comme par exemple thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde, attaque ischémique transitoire et accident vasculaire cérébrale). Toutefois, il existait fréquemment simultanément dautres facteurs de risque pour la survenue de ce type dévénement (y compris la prise de comédications avec le risque correspondant). À ce jour, une relation causale possible avec lutilisation dagonistes de la GnRH nest pas avérée.
  • -Troubles respiratoires
  • +On a rapporté chez des patientes traitées par leuproréline des cas d'événements thrombo-emboliques veineux et artériels (comme par exemple thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde, attaque ischémique transitoire et accident vasculaire cérébrale). Toutefois, il existait fréquemment simultanément d'autres facteurs de risque pour la survenue de ce type d'événement (y compris la prise de comédications avec le risque correspondant). À ce jour, une relation causale possible avec l'utilisation d'agonistes de la GnRH n'est pas avérée.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépatobiliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Peau
  • -Très fréquent: acné (10%).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Très fréquent: acné (10 %).
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Fréquent: douleurs de la nuque, raideur de la nuque, raideur musculo-squelettique, ostéoarthrite.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquent: douleurs de la nuque, raideur de la nuque, raideur musculosquelettique, ostéoarthrite.
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Très fréquent: vaginite (26%), douleurs thoraciques (13%).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Très fréquent: vaginite (26 %), douleurs thoraciques (13 %).
  • -Troubles généraux et réactions au site dadministration
  • -Très fréquent: sensation de chaleur (72%), aggravation de létat général (28%).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquent: sensation de chaleur (72 %), aggravation de l'état général (28 %).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Code ATC: L02AE02
  • -Mécanisme daction et pharmacodynamique
  • +Code ATC
  • +L02AE02
  • +Mécanisme d'action
  • +Pharmacodynamique
  • -Taux dœstradiol chez des patientes traitées par acétate de leuproréline dépôt 3 mois
  • -(population per protocole (PP))
  • -Durée du traitement Patientes étudiées E2 <30 pg/ml
  • +Taux d'œstradiol chez des patientes traitées par acétate de leuproréline dépôt 3 mois (population per protocole (PP))
  • +Durée du traitement Patientes étudiées E2 < 30 pg/ml
  • -Dans les études cliniques, les bénéfices de l'administration d'un principe actif supplémentaire comme l'acétate d'arbiratérone et l'enzalutamide, inhibiteurs de l'axe androgène, les taxanes docétaxel et cabazitaxel ainsi que le radiopharmaceutique Ra-223 en complément des agonistes de la GnRH comme l'acétate de leuproréline ont pu être démontrés chez les patients présentant un cancer métastatique de la prostate résistant à la castration.
  • +Dans les études cliniques, les bénéfices de l'administration d'un principe actif supplémentaire comme l'acétate d'abiratérone et l'enzalutamide, inhibiteurs de l'axe androgène, les taxanes docétaxel et cabazitaxel ainsi que le radiopharmaceutique Ra-223 en complément des agonistes de la GnRH comme l'acétate de leuproréline ont pu être démontrés chez les patients présentant un cancer métastatique de la prostate résistant à la castration.
  • -Cinétique dans des groupes spéciaux de patients
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Les essais de mutagénicité (sur bactéries et sur cellules de mammifères) nont mis en évidence aucun signe de potentiel mutagène de la leuproréline.
  • -Des souris et des rats ont été traités par la leuproréline pendant deux ans au cours dessais de carcinogénicité. Au bout de 24 mois, on a pu observer, chez les rats ayant reçu par voie sous-cutanée 0,6 à 4 mg/kg de leuproréline, une augmentation dose-dépendante dhyperplasies hypophysaires bénignes et dadénomes. De plus, une augmentation indépendante de la dose dadénomes des cellules des îlots pancréatiques chez des rats femelles et des cellules testiculaires interstitielles chez des rats mâles a été constatée. Chez les souris, des doses de leuproréline allant jusquà 60 mg/kg, également administrées pendant deux ans, nont entraîné aucune tumeur ni anomalie hypophysaire.
  • -Chez les patients traités par administration sous-cutanée quotidienne de 10 mg de leuproréline pendant 3 ans ou de 20 mg de leuproréline pendant 2 ans, aucune anomalie hypophysaire nest survenue.
  • +Mutagénicité
  • +Les essais de mutagénicité (sur bactéries et sur cellules de mammifères) n'ont mis en évidence aucun signe de potentiel mutagène de la leuproréline.
  • +Carcinogénicité
  • +Des souris et des rats ont été traités par la leuproréline pendant deux ans au cours d'essais de carcinogénicité. Au bout de 24 mois, on a pu observer, chez les rats ayant reçu par voie sous-cutanée 0,6 à 4 mg/kg de leuproréline, une augmentation dose-dépendante d'hyperplasies hypophysaires bénignes et d'adénomes. De plus, une augmentation indépendante de la dose d'adénomes des cellules des îlots pancréatiques chez des rats femelles et des cellules testiculaires interstitielles chez des rats mâles a été constatée. Chez les souris, des doses de leuproréline allant jusqu'à 60 mg/kg, également administrées pendant deux ans, n'ont entraîné aucune tumeur ni anomalie hypophysaire.
  • +Chez les patients traités par administration sous-cutanée quotidienne de 10 mg de leuproréline pendant 3 ans ou de 20 mg de leuproréline pendant 2 ans, aucune anomalie hypophysaire n'est survenue.
  • -Des études portant sur ladministration sous-cutanée de doses de leuproréline allant jusquà 10 µg/kg à des rates et allant jusquà 1 µg/kg à des lapines nont pas mis en évidence de signes dun potentiel tératogène. Des effets embryotoxiques/embryolétaux ont été observés chez les rates à une dose de 10 µg/kg et chez les lapines à des doses supérieures à 0,1 µg/kg.
  • +Des études portant sur l'administration sous-cutanée de doses de leuproréline allant jusqu'à 10 µg/kg à des rates et allant jusqu'à 1 µg/kg à des lapines n'ont pas mis en évidence de signes d'un potentiel tératogène. Des effets embryotoxiques/embryolétaux ont été observés chez les rates à une dose de 10 µg/kg et chez les lapines à des doses supérieures à 0,1 µg/kg.
  • -Chez la femme, ladministration dacétate de leuproréline dépôt entraîne linhibition du système de régulation hypophyso-gonadique. Habituellement, sa fonction normale est rétablie dans les trois mois suivant larrêt du traitement par acétate de leuproréline. Cest pourquoi les tests diagnostiques des fonctions hypophysaire, gonadotropique et gonadique peuvent être erronés pendant le traitement et jusquà trois mois après larrêt du traitement par acétate de leuproréline.
  • +Chez la femme, l'administration d'acétate de leuproréline dépôt entraîne l'inhibition du système de régulation hypophyso-gonadique. Habituellement, sa fonction normale est rétablie dans les trois mois suivant l'arrêt du traitement par acétate de leuproréline. C'est pourquoi les tests diagnostiques des fonctions hypophysaire, gonadotropique et gonadique peuvent être erronés pendant le traitement et jusqu'à trois mois après l'arrêt du traitement par acétate de leuproréline.
  • -Nutiliser le médicament que jusquà la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «Exp».
  • +N'utiliser le médicament que jusqu'à la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «Exp».
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Conserver à température ambiante (1525 °C). Ne pas congeler. Conserver dans lemballage dorigine, à labri de la lumière.
  • +Conserver à température ambiante (15 - 25 °C). Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière.
  • -Seringue à double compartiment: la mise en suspension se fait uniquement avec l’agent de suspension joint. Le solvant est vidé dans le compartiment contenant les microparticules par une pression lente du piston dans le cylindre. Une suspension homogène dapparence laiteuse se forme lorsque lon mélange soigneusement.
  • -La suspension doit être jetée si elle nest pas administrée juste après sa reconstitution, étant donné que Lucrin Dépôt 3 mois ne contient aucun agent conservateur.
  • -Une aiguille de 23 gauges (p.ex. 0,6× 25 mm) est recommandée pour linjection.
  • +Seringue à double compartiment: la mise en suspension se fait uniquement avec le solvant joint. Le solvant est vidé dans le compartiment contenant les microparticules par une pression lente du piston dans le cylindre. Une suspension homogène d'apparence laiteuse se forme lorsque l'on mélange soigneusement.
  • +La suspension doit être jetée si elle n'est pas administrée juste après sa reconstitution, étant donné que Lucrin Dépôt 3 mois ne contient aucun agent conservateur.
  • +Une aiguille de 23 gauges (p.ex. 0,6 x 25 mm) est recommandée pour l'injection.
  • -Juillet 2018.
  • +Mai 2021
  • -Pour une manipulation correcte de la seringue pré-remplie à double compartiment de Lucrin Dépôt, nous vous prions de lire les instructions suivantes et de les suivre scrupuleusement.
  • +Pour une manipulation correcte de la seringue préremplie à double compartiment de Lucrin Dépôt, nous vous prions de lire les instructions suivantes et de les suivre scrupuleusement.
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