ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Sifrol 0,125 mg - Changements - 05.10.2020
60 Changements de l'information professionelle Sifrol 0,125 mg
  • -Les comprimés/comprimés retard sont à prendre par voie orale avec un peu d'eau, au cours ou en dehors des repas. Lors du traitement par les comprimés de Sifrol, la dose journalière, répartie en fractions égales, est à prendre 3 fois par jour.
  • +Les comprimés /comprimés retard sont à prendre par voie orale avec un peu d'eau, au cours ou en dehors des repas. Lors du traitement par les comprimés de Sifrol, la dose journalière, répartie en fractions égales, est à prendre 3 fois par jour.
  • -En commençant avec une dose initiale de 0,375 mg/jour, augmenter progressivement la posologie de Sifrol/Sifrol ER tous les 5 à 7 jours.
  • -A condition qu'aucun effet indésirable grave ne se manifeste, la dose sera augmentée jusqu'à l'obtention d'un succès thérapeutique maximal.
  • +En commençant avec une dose initiale de 0,375 mg/jour, augmenter progressivement la posologie de Sifrol /Sifrol ER tous les 5 à 7 jours. A condition qu'aucun effet indésirable grave ne se manifeste, la dose sera augmentée jusqu'à l'obtention d'un succès thérapeutique maximal.
  • -La dose individuelle de Sifrol/Sifrol ER devrait être comprise entre 0,375 et 4,5 mg/jour au maximum.
  • +La dose individuelle de Sifrol /Sifrol ER devrait être comprise entre 0,375 et 4,5 mg/jour au maximum.
  • -Chez les patients recevant simultanément de la lévodopa, il est conseillé de réduire la dose de lévodopa, aussi bien en phase de traitement initial que pendant la phase d'entretien avec Sifrol/Sifrol ER, et ce afin d'éviter la possibilité de toute stimulation dopaminergique excessive. Sur la base des données d'une étude contrôlée chez des patients à un stade avancé de la maladie, une réduction de la dose de lévodopa de 25% (ou plus) est conseillée.
  • +Chez les patients recevant simultanément de la lévodopa, il est conseillé de réduire la dose de lévodopa, aussi bien en phase de traitement initial que pendant la phase d'entretien avec Sifrol /Sifrol ER, et ce afin d'éviter la possibilité de toute stimulation dopaminergique excessive. Sur la base des données d'une étude contrôlée chez des patients à un stade avancé de la maladie, une réduction de la dose de lévodopa de 25% (ou plus) est conseillée.
  • -Un arrêt brutal du traitement dopaminergique peut conduire au développement d'un syndrome neuroleptique malin.
  • -Sifrol/Sifrol ER doivent être arrêtés progressivement, par paliers de 0,75 mg de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base) par jour, jusqu'à la dose journalière de 0,75 mg de de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base). La dose doit ensuite être diminuée de 0,375 mg de pramipexole (correspondant à 0,26 mg de la forme base) par jour (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Un arrêt brutal du traitement dopaminergique peut conduire au développement d'un syndrome neuroleptique malin ou d'un syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques.
  • +Sifrol / Sifrol ER doivent être arrêtés progressivement, par paliers de 0,75 mg de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base) par jour, jusqu'à la dose journalière de 0,75 mg de de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base). La dose doit ensuite être diminuée de 0,375 mg de pramipexole (correspondant à 0,26 mg de la forme base) par jour (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Un syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques peut également survenir pendant la diminution progressive. Une augmentation temporaire de la dose peut s'avérer nécessaire avant de réduire à nouveau progressivement la dose (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Si la clairance de la créatinine est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière de Sifrol comprimés doit être administrée en une fois, en commençant par 0,125 mg/jour.
  • -La dose maximale de 1,5 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
  • +Si la clairance de la créatinine est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière de Sifrol comprimés doit être administrée en une fois, en commençant par 0,125 mg/jour. La dose maximale de 1,5 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
  • -L'élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale et est étroitement liée à la clairance de la créatinine.
  • -Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 20 ml/min, aucune diminution de la dose journalière n'est nécessaire.
  • +L'élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale et est étroitement liée à la clairance de la créatinine. Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 20 ml/min, aucune diminution de la dose journalière n'est nécessaire.
  • -L'influence possible d'une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de Sifrol/Sifrol ER n'a pas été étudiée.
  • +L'influence possible d'une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de Sifrol / Sifrol ER n'a pas été étudiée.
  • -L'efficacité et la sécurité d'emploi de Sifrol/Sifrol ER n'ont pas été établies chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • +L'efficacité et la sécurité d'emploi de Sifrol/ Sifrol ER n'ont pas été établies chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • -En cas de prescription de Sifrol/Sifrol ER à un patient atteint d'insuffisance rénale, il est recommandé de réduire la posologie selon les recommandations formulées dans le chapitre «Posologie/Mode d'emploi».
  • +En cas de prescription de Sifrol / Sifrol ER à un patient atteint d'insuffisance rénale, il est recommandé de réduire la posologie selon les recommandations formulées dans le chapitre «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Les hallucinations et la confusion sont des effets indésirables connus lors d'un traitement par des agonistes dopaminergiques et par la lévodopa. Des hallucinations se sont manifestées plus fréquemment chez les patients à un stade avancé de la maladie, recevant Sifrol/Sifrol ER en même temps que la lévodopa, que chez ceux qui reçoivent Sifrol en monothérapie à un stade précoce de la maladie. Durant le programme de développement clinique pour l'autorisation du syndrome des jambes sans repos, un cas d'hallucination a été rapporté. Il faut informer les patients que des hallucinations (le plus souvent visuelles) peuvent se manifester.
  • +Les hallucinations et la confusion sont des effets indésirables connus lors d'un traitement par des agonistes dopaminergiques et par la lévodopa. Des hallucinations se sont manifestées plus fréquemment chez les patients à un stade avancé de la maladie, recevant Sifrol / Sifrol ER en même temps que la lévodopa, que chez ceux qui reçoivent Sifrol en monothérapie à un stade précoce de la maladie. Durant le programme de développement clinique pour l'autorisation du syndrome des jambes sans repos, un cas d'hallucination a été rapporté. Il faut informer les patients que des hallucinations (le plus souvent visuelles) peuvent se manifester.
  • -Des dyskinésies peuvent se produire au cours du traitement initial par Sifrol/Sifrol ER, surtout lors de l'utilisation de Sifrol/Sifrol ER en association avec la lévodopa. Si elles surviennent, il faut réduire la dose de lévodopa.
  • +Des dyskinésies peuvent se produire au cours du traitement initial par Sifrol / Sifrol ER, surtout lors de l'utilisation de Sifrol /Sifrol ER en association avec la lévodopa. Si elles surviennent, il faut réduire la dose de lévodopa.
  • -Chez certains patients traités par Sifrol/Sifrol ER, un syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) a été observé. Il s'agit d'une dépendance qui mène à une utilisation excessive de ce médicament ou d'un autre médicament dopaminergique. Avant d'instaurer le traitement, le patient et la personne responsable du patient doivent être avertis du risque potentiel de développement d'un SDD (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»).
  • +Chez certains patients traités par Sifrol / Sifrol ER, un syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) a été observé. Il s'agit d'une dépendance qui mène à une utilisation excessive de ce médicament ou d'un autre médicament dopaminergique. Avant d'instaurer le traitement, le patient et la personne responsable du patient doivent être avertis du risque potentiel de développement d'un SDD (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»).
  • +Syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques (SSAD)
  • +Des cas de SSAD ont été rapportés avec des agonistes dopaminergiques, dont le pramipexole (voir rubrique «Effets indésirables»). Pour arrêter le traitement chez des patients atteints de la maladie de Parkinson, le pramipexole doit être diminué progressivement (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). Des données limitées suggèrent que les patients présentant des troubles du contrôle des impulsions ou recevant une dose journalière élevée et/ou des doses cumulées élevées d'agonistes dopaminergiques sont davantage exposés au risque de SSAD. Les symptômes de sevrage ne répondent pas à la lévodopa et peuvent inclure: apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation et douleurs. Les patients doivent être informés du risque de survenue de symptômes de sevrage avant de réduire progressivement la dose de pramipexole et d'arrêter le traitement. Les patients doivent être étroitement surveillés durant la diminution progressive et après l'arrêt du traitement. En cas de symptômes de sevrage sévères et/ou persistants, la reprise temporaire du traitement par pramipexole à la dose efficace la plus faible peut être envisagée.
  • +
  • -La cimétidine réduit la clairance rénale du pramipexole d'environ 34%, probablement par inhibition du système de transport sécrétoire cationique des tubules rénaux. Le pramipexole et les médicaments qui inhibent la sécrétion tubulaire rénale active ou qui sont excrétés par cette voie peuvent s'influencer mutuellement et conduire à une diminution de la clairance de l'un ou des deux médicaments. Les médicaments qui, outre la cimétidine, appartiennent à cette catégorie sont l'amantatine, le diltiazem, la quinidine, la quinine, la ranitidine, le triamtérène, le vérapamil, la digoxine, le procaïnamide, la zidovudine, le cisplatine et le triméthoprime. Si l'un de ces médicaments est administré conjointement avec Sifrol/Sifrol ER, il faut prendre garde à tout signe d'hyperstimulation dopaminergique tels que dyskinésies, agitation ou hallucinations. Dans de tels cas, une réduction posologique est indispensable.
  • +La cimétidine réduit la clairance rénale du pramipexole d'environ 34%, probablement par inhibition du système de transport sécrétoire cationique des tubules rénaux. Le pramipexole et les médicaments qui inhibent la sécrétion tubulaire rénale active ou qui sont excrétés par cette voie peuvent s'influencer mutuellement et conduire à une diminution de la clairance de l'un ou des deux médicaments. Les médicaments qui, outre la cimétidine, appartiennent à cette catégorie sont l'amantatine, le diltiazem, la quinidine, la quinine, la ranitidine, le triamtérène, le vérapamil, la digoxine, le procaïnamide, la zidovudine, le cisplatine et le triméthoprime. Si l'un de ces médicaments est administré conjointement avec Sifrol /Sifrol ER, il faut prendre garde à tout signe d'hyperstimulation dopaminergique tels que dyskinésies, agitation ou hallucinations. Dans de tels cas, une réduction posologique est indispensable.
  • -Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, il est recommandé de diminuer la posologie de la lévodopa lorsque l'on augmente les doses de Sifrol/Sifrol ER et de maintenir constante la posologie d'autres antiparkinsoniens (voir «Posologie chez les patients traités en association avec la lévodopa»).
  • +Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, il est recommandé de diminuer la posologie de la lévodopa lorsque l'on augmente les doses de Sifrol / Sifrol ER et de maintenir constante la posologie d'autres antiparkinsoniens (voir «Posologie chez les patients traités en association avec la lévodopa»).
  • -Autres médicaments/Alcool
  • +Autres médicaments / Alcool
  • -L'effet de Sifrol sur la grossesse n'a pas été étudié chez l'être humain. Des études réalisées sur des lapins et des rongeurs n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes. Aux doses toxiques pour la mère, le pramipexole s'est également montré toxique pour l'embryon chez le rat (voir la rubrique «Données précliniques»). Sifrol/Sifrol ER ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +L'effet de Sifrol sur la grossesse n'a pas été étudié chez l'être humain. Des études réalisées sur des lapins et des rongeurs n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes. Aux doses toxiques pour la mère, le pramipexole s'est également montré toxique pour l'embryon chez le rat (voir la rubrique «Données précliniques»). Sifrol / Sifrol ER ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -En l'absence de données cliniques chez l'homme, Sifrol/Sifrol ER ne doit, si possible, pas être administré pendant l'allaitement. Si l'utilisation du médicament est inévitable, il convient de cesser l'allaitement.
  • +En l'absence de données cliniques chez l'homme, Sifrol / Sifrol ER ne doit, si possible, pas être administré pendant l'allaitement. Si l'utilisation du médicament est inévitable, il convient de cesser l'allaitement.
  • -Les patients doivent être prévenus des éventuels effets sédatifs (y compris somnolence et endormissement subit durant les activités quotidiennes) qui ont été associés à Sifrol/Sifrol ER. Une somnolence et un endormissement subit pouvant avoir des conséquences potentiellement dangereuses, les patients doivent être informés qu'ils devront s'abstenir de conduire, d'utiliser des machines ou d'effectuer d'autres activités à risque. Ceci est valable jusqu'à ce que l'on dispose d'une expérience suffisante avec Sifrol/Sifrol ER pour pouvoir évaluer si les capacités mentales et/ou motrices sont influencées négativement par Sifrol/Sifrol ER. En cas de somnolence et d'épisodes d'endormissement subit pendant les activités quotidiennes (par ex. conversations, repas, etc…) qui peuvent survenir à tout moment du traitement, les patients doivent contacter leur médecin (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Les patients doivent être prévenus des éventuels effets sédatifs (y compris somnolence et endormissement subit durant les activités quotidiennes) qui ont été associés à Sifrol / Sifrol ER. Une somnolence et un endormissement subit pouvant avoir des conséquences potentiellement dangereuses, les patients doivent être informés qu'ils devront s'abstenir de conduire, d'utiliser des machines ou d'effectuer d'autres activités à risque. Ceci est valable jusqu'à ce que l'on dispose d'une expérience suffisante avec Sifrol / Sifrol ER pour pouvoir évaluer si les capacités mentales et/ou motrices sont influencées négativement par Sifrol / Sifrol ER. En cas de somnolence et d'épisodes d'endormissement subit pendant les activités quotidiennes (par ex. conversations, repas, etc…) qui peuvent survenir à tout moment du traitement, les patients doivent contacter leur médecin (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -(%: Sifrol comprimés/Sifrol ER comprimés retard).
  • +(%: Sifrol comprimés / Sifrol ER comprimés retard).
  • -Le syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) est une addiction qui a été observée chez certains patients traités par Sifrol/Sifrol ER. Les patients concernés abusent de manière compulsive de médicaments dopaminergiques et utilisent des doses plus élevées que celle nécessaire pour le contrôle adéquat des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson. Dans certains cas, ceci peut entraîner de graves dyskinésies (voir aussi la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Le syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) est une addiction qui a été observée chez certains patients traités par Sifrol / Sifrol ER. Les patients concernés abusent de manière compulsive de médicaments dopaminergiques et utilisent des doses plus élevées que celle nécessaire pour le contrôle adéquat des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson. Dans certains cas, ceci peut entraîner de graves dyskinésies (voir aussi la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquent: vertiges (18,4%/5,2%), dyskinésie (16,8%/7,6%), somnolence (11,7%/18,6%).
  • +Très fréquent: vertiges (18,4% / 5,2%), dyskinésie (16,8% / 7,6%), somnolence (11,7% / 18,6%).
  • -Très fréquent: nausées (17,8%/14,3%).
  • +Très fréquent: nausées (17,8% / 14,3%).
  • +Fréquence non connue: syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques (incluant apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation et douleurs) (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence non connue: syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques (incluant apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation et douleurs) (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Description de certains effets indésirables
  • +Syndrome de sevrage des agonistes dopaminergiques
  • +Des effets indésirables non moteurs peuvent apparaître lorsque l'on diminue progressivement la dose ou que l'on arrête les agonistes dopaminergiques, tel que le pramipexole. Les symptômes comprennent l'apathie, l'anxiété, la dépression, la fatigue, une sudation et des douleurs (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Des études tomographiques d'émission de positrons (PET) suggèrent qu'un léger dysfonctionnement dopaminergique présynaptique puisse être impliqué dans la pathogénie du syndrome des jambes sans repos.
  • -Les études in vitro montrent que le pramipexole protège les neurones de l'effet neurotoxique de la lévodopa.
  • -On a observé chez les sujets testés une diminution dose-dépendante de la concentration de prolactine.
  • +Des études tomographiques d'émission de positrons (PET) suggèrent qu'un léger dysfonctionnement dopaminergique présynaptique puisse être impliqué dans la pathogénie du syndrome des jambes sans repos. Les études in vitro montrent que le pramipexole protège les neurones de l'effet neurotoxique de la lévodopa. On a observé chez les sujets testés une diminution dose-dépendante de la concentration de prolactine.
  • -L'excrétion rénale de pramipexole sous forme inchangée représente la principale voie d'élimination; environ 80% de la dose sont ainsi éliminés. Près de 90% d'une dose marquée au 14C sont excrétés par voie rénale, alors que l'on en retrouve moins de 2% dans les fèces. La clairance totale du pramipexole est d'environ 500 ml/min et la clairance rénale d'environ 400 ml/min. La demi-vie d'élimination (t½) va de 8 heures chez les jeunes patients à 12 heures chez les patients âgés.
  • +L'excrétion rénale de pramipexole sous forme inchangée représente la principale voie d'élimination; environ 80% de la dose sont ainsi éliminés. Près de 90% d'une dose marquée au 14C sont excrétés par voie rénale, alors que l'on en retrouve moins de 2% dans les fèces. La clairance totale du pramipexole est d'environ 500 ml/min et la clairance rénale d'environ 400 ml/min. La demi-vie d'élimination (t1/2) va de 8 heures chez les jeunes patients à 12 heures chez les patients âgés.
  • -- Génotoxicité et cancérogénicité
  • -Le pramipexole n'a pas montré d'effet génotoxique.
  • -Dans une étude de carcinogénèse, des rats mâles ont développé des hyperplasies et des adénomes des cellules de Leydig, dus à l'effet inhibiteur du pramipexole sur la prolactine. Cette observation n'apparaît pas cliniquement pertinente pour l'homme. Au cours de la même étude, il a été observé que l'administration de pramipexole à des doses supérieures ou égales à 2 mg/kg (de la forme sel) était associée à des dégénérescences de la rétine chez le rat albinos. Cette dernière manifestation n'a pas été mise en évidence chez le rat pigmenté, ni lors d'une étude de carcinogénèse de deux ans chez la souris albinos, ni chez les autres espèces étudiées.
  • +Génotoxicité et cancérogénicité
  • +Le pramipexole n'a pas montré d'effet génotoxique. Dans une étude de carcinogénèse, des rats mâles ont développé des hyperplasies et des adénomes des cellules de Leydig, dus à l'effet inhibiteur du pramipexole sur la prolactine. Cette observation n'apparaît pas cliniquement pertinente pour l'homme. Au cours de la même étude, il a été observé que l'administration de pramipexole à des doses supérieures ou égales à 2 mg/kg (de la forme sel) était associée à des dégénérescences de la rétine chez le rat albinos. Cette dernière manifestation n'a pas été mise en évidence chez le rat pigmenté, ni lors d'une étude de carcinogénèse de deux ans chez la souris albinos, ni chez les autres espèces étudiées.
  • -54277, 60057 (Swissmedic)
  • +54277, 60057 (Swissmedic).
  • -Comprimés à 0,25 mg: 30, 100 (B)
  • -Comprimés à 0,5 mg: 100 (B)
  • -Comprimés à 1,0 mg: 100 (B)
  • +Comprimés (sécables) à 0,25 mg: 30, 100 (B)
  • +Comprimés (sécables) à 0,5 mg: 100 (B)
  • +Comprimés (sécables) à 1,0 mg: 100 (B)
  • -Boehringer Ingelheim (Schweiz) GmbH, Bâle
  • +Boehringer Ingelheim (Schweiz) GmbH, Bâle.
  • -Février 2020
  • +Mai 2020.
2024 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home