106 Changements de l'information professionelle Sifrol 0,125 mg |
-Principe actif:Pramipexolum ut Pramipexoli dihydrochloridum monohydricum.
-Excipients
-Comprimés:Excip. pro compresso.
-Comprimés retard: Excip. pro compresso obducto.
- +Principe actif: Pramipexolum ut Pramipexoli dihydrochloridum monohydricum.
- +Excipients:
- +Comprimés: Excip. pro compresso.
- +Comprimés retard: Excip. pro compresso.
-Comprimés à 0,125 mg, 0,25 mg, 0,5 mg et 1,0 mg de dichlorhydrate de pramipexole monohydraté (correspondant à 0,088 mg, 0,18 mg, 0,35 mg et 0,7 mg de pramipexole base).
-Les comprimés de Sifrol, à l’exception des comprimés de Sifrol à 0,125 mg, peuvent être partagés en deux moitiés égales.
-Comprimés retard à 0,375 mg, 0,75 mg, 1,5 mg, 3,0 mg et 4,5 mg de dichlorhydrate de pramipexole monohydraté (correspondant à 0,26 mg, 0,52 mg, 1,05 mg, 2,1 mg et 3,15 mg de pramipexole base).
-Les comprimésretard de Sifrol ER ne doivent être ni partagés ni écrasés.
- +Comprimés à 0,125 mg, 0,25 mg, 0,5 mg et 1,0 mg de dichlorhydrate de pramipexole monohydraté (correspondant à 0,088 mg, 0,18 mg, 0,35 mg et 0,7 mg de pramipexole base).
- +Les comprimés de Sifrol, à l'exception des comprimés de Sifrol à 0,125 mg, peuvent être partagés en deux moitiés égales.
- +Comprimés retard à 0,375 mg, 0,75 mg, 1,5 mg, 3,0 mg et 4,5 mg de dichlorhydrate de pramipexole monohydraté (correspondant à 0,26 mg, 0,52 mg, 1,05 mg, 2,1 mg et 3,15 mg de pramipexole base).
- +Les comprimés retard de Sifrol ER ne doivent être ni partagés ni écrasés.
-Traitement symptomatique dusyndrome idiopathique des jambes sans repos (Restless Legs Syndrom = RLS).
- +Traitement symptomatique du syndrome idiopathique des jambes sans repos (Restless Legs Syndrom = RLS).
-Les comprimés/comprimés retard sont à prendre par voie orale avec un peu d’eau, au cours ou en dehors des repas. Lors du traitement par les comprimés de Sifrol, la dose journalière, répartie en fractions égales, est à prendre 3 fois par jour.
-Les comprimés retard doivent être pris une fois par jour et chaque jour à peu près à la même heure. Les comprimés retard doivent être avalés entiers et ne doivent être ni mâchés, ni partagés, ni écrasés. Si la prise d’une dose est oubliée, cette dose de Sifrol retard doit être prise dans les 12 heures qui suivent l’heure qui était prévue normalement. Au-delà de 12 heures, la dose oubliée ne doit plus être prise et la dose suivante doit être prise le lendemain à l’heure habituelle.
- +Les comprimés/comprimés retard sont à prendre par voie orale avec un peu d'eau, au cours ou en dehors des repas. Lors du traitement par les comprimés de Sifrol, la dose journalière, répartie en fractions égales, est à prendre 3 fois par jour.
- +Les comprimés retard doivent être pris une fois par jour et chaque jour à peu près à la même heure. Les comprimés retard doivent être avalés entiers et ne doivent être ni mâchés, ni partagés, ni écrasés.
- +Si la prise d'une dose est oubliée, cette dose de Sifrol retard doit être prise dans les 12 heures qui suivent l'heure qui était prévue normalement. Au-delà de 12 heures, la dose oubliée ne doit plus être prise et la dose suivante doit être prise le lendemain à l'heure habituelle.
-En commençant avec une dose initiale de 0,375 mg/jour, augmenter progressivement la posologie de Sifrol/Sifrol ER tous les 5 à 7 jours. A condition qu’aucun effet indésirable grave ne se manifeste, la dose sera augmentée jusqu’à l’obtention d’un succès thérapeutiquemaximal.
- +En commençant avec une dose initiale de 0,375 mg/jour, augmenter progressivement la posologie de Sifrol/Sifrol ER tous les 5 à 7 jours.
- +A condition qu'aucun effet indésirable grave ne se manifeste, la dose sera augmentée jusqu'à l'obtention d'un succès thérapeutique maximal.
-S’il s’avère nécessaire de continuer à augmenter la posologie, la dose journalière peut être augmentée de 0,75 mg par semaine jusqu’à la dose maximale de 4,5 mg/jour.
-Les patients qui prennent déjà des comprimés de Sifrol peuvent passer du jour au lendemain à la même dose quotidienne de comprimés retard de Sifrol ER.
- +S'il s'avère nécessaire de continuer à augmenter la posologie, la dose journalière peut être augmentée de 0,75 mg par semaine jusqu'à la dose maximale de 4,5 mg/jour.
- +Les patients qui prennent déjà des comprimés de Sifrol peuvent passer du jour au lendemain à la même dose quotidienne de comprimés retard de Sifrol ER.
-Traitement d’entretien
-La dose individuelle de Sifrol/Sifrol ER devrait être comprise entre 0,375 et 4,5 mg/jour au maximum.
-L’efficacité d’une dose journalière dès 1,5 mg a pu être démontrée au cours des études cliniques, tant chez les patients à un stade précoce qu'à un stade avancé de la maladie. Chez certains patients, un bénéfice thérapeutique supplémentaire peut être recherché en administrant une dose journalière supérieure à 1,5 mg.
-Ceci concerne avant tout des patients à un stade avancé de la maladie, chez lesquels on cherche à diminuer la posologie de la lévodopa. Il faut cependant noter que l'incidence et la gravité dela somnolence augmentent pour des dosages supérieurs à 1,5 mg par jour.
- +Traitement d'entretien
- +La dose individuelle de Sifrol/Sifrol ER devrait être comprise entre 0,375 et 4,5 mg/jour au maximum.
- +L'efficacité d'une dose journalière dès 1,5 mg a pu être démontrée au cours des études cliniques, tant chez les patients à un stade précoce qu'à un stade avancé de la maladie. Chez certains patients, un bénéfice thérapeutique supplémentaire peut être recherché en administrant une dose journalière supérieure à 1,5 mg.
- +Ceci concerne avant tout des patients à un stade avancé de la maladie, chez lesquels on cherche à diminuer la posologie de la lévodopa. Il faut cependant noter que l'incidence et la gravité de la somnolence augmentent pour des dosages supérieurs à 1,5 mg par jour.
-Chez les patients recevant simultanément de la lévodopa, il est conseillé de réduire la dose de lévodopa, aussi bienen phase de traitement initial que pendant la phase d’entretien avec Sifrol/Sifrol ER, et ce afin d'éviter la possibilité de toute stimulation dopaminergique excessive. Sur la base des données d'une étude contrôlée chez des patients à un stade avancé de la maladie, une réduction de la dose de lévodopa de 25% (ou plus) est conseillée.
- +Chez les patients recevant simultanément de la lévodopa, il est conseillé de réduire la dose de lévodopa, aussi bien en phase de traitement initial que pendant la phase d'entretien avec Sifrol/Sifrol ER, et ce afin d'éviter la possibilité de toute stimulation dopaminergique excessive. Sur la base des données d'une étude contrôlée chez des patients à un stade avancé de la maladie, une réduction de la dose de lévodopa de 25% (ou plus) est conseillée.
-Un arrêt brutal du traitement dopaminergique peut conduire au développement d’un syndrome neuroleptique malin.
-Sifrol/Sifrol ER doivent être arrêtésprogressivement, par paliers de 0,75 mg de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base) par jour, jusqu’à la dose journalière de 0,75 mg de de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base). La dose doit ensuite être diminuée de 0,375 mgde pramipexole (correspondant à 0,26 mg de la forme base) par jour (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Un arrêt brutal du traitement dopaminergique peut conduire au développement d'un syndrome neuroleptique malin.
- +Sifrol/Sifrol ER doivent être arrêtés progressivement, par paliers de 0,75 mg de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base) par jour, jusqu'à la dose journalière de 0,75 mg de de pramipexole (correspondant à 0,54 mg de la forme base). La dose doit ensuite être diminuée de 0,375 mg de pramipexole (correspondant à 0,26 mg de la forme base) par jour (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
-La dose initiale recommandée de Sifrol est de 0,125 mg à prendre une fois par jour 2 à 3 heures avant le coucher.Pour les patients nécessitant un soulagement supplémentaire deleurs symptômes, la dose peut être augmentée tous les 4 à 7 jours, par paliers de 0,125 mg jusqu’à la dose maximale de 0,75 mg par jour.
- +La dose initiale recommandée de Sifrol est de 0,125 mg à prendre une fois par jour 2 à 3 heures avant le coucher. Pour les patients nécessitant un soulagement supplémentaire de leurs symptômes, la dose peut être augmentée tous les 4 à 7 jours, par paliers de 0,125 mg jusqu'à la dose maximale de 0,75 mg par jour.
-Posologie chez les patientsparkinsoniens dont la fonction rénale est réduite
-L’élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale. Le schéma posologique recommandé en début de traitement est le suivant:
-Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 50 ml/min, aucune diminution de la dose journalière ou de la fréquence des prises n'est nécessaire.
- +Posologie chez les patients parkinsoniens dont la fonction rénale est réduite
- +L'élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale. Le schéma posologique recommandé en début de traitement est le suivant:
- +Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 50 ml/min, aucune diminution de la dose journalière ou de la fréquence des prises n'est nécessaire.
-Chez les patients dont la clairance de la créatinine est de 20 à 50 ml/min, la dose journalière initiale de Sifrol comprimés doit êtreréduite à deux prises distinctes en commençant par 0,125 mg chacune (0,25 mg/jour).
-La dose maximale de 2,25 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
-Si la clairance de la créatinine est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière de Sifrol comprimés doit être administrée en une fois, en commençant par 0,125 mg/jour. La dose maximale de 1,5 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
-En cas dediminution de la fonction rénale au cours du traitement d’entretien, la dose journalière de Sifrol doit être réduite d'autant de pour-cent que la clairance de la créatinine diminue. Si la clairance de la créatinine diminue par exemple de 30%, la dose journalière de Sifrol doit être réduite de 30%. Lorsque la clairance de la créatinine est de 20 à 50 ml/min, la dose journalière peut être répartie en deux prises; si elle est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière peut être administrée en une fois.
-Sifrol ER comprimés retard
-Chez les patients dont la clairance de la créatinine est de 30 à 50 ml/min, le traitement doit être initié par 0,375 mg de Sifrol ER comprimés retard un jour sur deux.
-Il faut être prudent avant d’augmenter la dose journalière après une semaine et évaluer soigneusement la réponse thérapeutique et la tolérance. S’il s’avère nécessaire de continuer à augmenter la posologie, la dose journalière sera augmentée de 0,375 mg de pramipexol toutes les semaines jusqu’à une dose maximale de 2,25 mg de pramipexole par jour.
-On ne dispose pas de données sur le traitement par Sifrol ER comprimés retard de patients présentant une clearance de la créatinine <30 ml/min. L’utilisation de Sifrol comprimés doit être envisagée. Il faut tenir compte des recommandations ci-dessus en cas d’apparition d’une insuffisance rénale au cours du traitement.
- +Chez les patients dont la clairance de la créatinine est de 20 à 50 ml/min, la dose journalière initiale de Sifrol comprimés doit être réduite à deux prises distinctes en commençant par 0,125 mg chacune (0,25 mg/jour).
- +La dose maximale de 2,25 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
- +Si la clairance de la créatinine est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière de Sifrol comprimés doit être administrée en une fois, en commençant par 0,125 mg/jour.
- +La dose maximale de 1,5 mg de pramipexole par jour ne doit pas être dépassée.
- +En cas de diminution de la fonction rénale au cours du traitement d'entretien, la dose journalière de Sifrol doit être réduite d'autant de pour-cent que la clairance de la créatinine diminue. Si la clairance de la créatinine diminue par exemple de 30%, la dose journalière de Sifrol doit être réduite de 30%. Lorsque la clairance de la créatinine est de 20 à 50 ml/min, la dose journalière peut être répartie en deux prises; si elle est inférieure à 20 ml/min, la dose journalière peut être administrée en une fois.
- +Sifrol ER comprimés retard
- +Chez les patients dont la clairance de la créatinine est de 30 à 50 ml/min, le traitement doit être initié par 0,375 mg de Sifrol ER comprimés retard un jour sur deux.
- +Il faut être prudent avant d'augmenter la dose journalière après une semaine et évaluer soigneusement la réponse thérapeutique et la tolérance. S'il s'avère nécessaire de continuer à augmenter la posologie, la dose journalière sera augmentée de 0,375 mg de pramipexol toutes les semaines jusqu'à une dose maximale de 2,25 mg de pramipexole par jour.
- +On ne dispose pas de données sur le traitement par Sifrol ER comprimés retard de patients présentant une clearance de la créatinine <30 ml/min. L'utilisation de Sifrol comprimés doit être envisagée. Il faut tenir compte des recommandations ci-dessus en cas d'apparition d'une insuffisance rénale au cours du traitement.
-L’utilisation de Sifrol n’a pas été étudiée chez les patients atteints du syndrome des jambes sans repos et dont la fonction rénale est réduite.
-L’élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale et est étroitement liée à la clairance de la créatinine.
-Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 20 ml/min, aucune diminution de la dose journalière n'est nécessaire.
-Lors d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.) et conformément aux recommandations posologiques pour la maladie de Parkinson, la dose journalière de Sifrol doit être réduite d'autant de pour-cent que la clairance de la créatinine diminue.
- +L'utilisation de Sifrol n'a pas été étudiée chez les patients atteints du syndrome des jambes sans repos et dont la fonction rénale est réduite.
- +L'élimination du pramipexole est dépendante de la fonction rénale et est étroitement liée à la clairance de la créatinine.
- +Chez les patients dont la clairance de la créatinine est supérieure à 20 ml/min, aucune diminution de la dose journalière n'est nécessaire.
- +Lors d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.) et conformément aux recommandations posologiques pour la maladie de Parkinson, la dose journalière de Sifrol doit être réduite d'autant de pour-cent que la clairance de la créatinine diminue.
-L’influence possible d’uneinsuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de Sifrol/Sifrol ER n’a pas été étudiée.
-Lors d’une insuffisance hépatique, une diminution de la posologie n’est pas nécessaire, puisqu'environ 90% de la dose absorbée est éliminée par voie rénale.
-Posologiechez les enfants et les adolescents
-L’efficacité et la sécurité d’emploi de Sifrol/Sifrol ER n’ont pas été établies chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
- +L'influence possible d'une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de Sifrol/Sifrol ER n'a pas été étudiée.
- +Lors d'une insuffisance hépatique, une diminution de la posologie n'est pas nécessaire, puisqu'environ 90% de la dose absorbée est éliminée par voie rénale.
- +Posologie chez les enfants et les adolescents
- +L'efficacité et la sécurité d'emploi de Sifrol/Sifrol ER n'ont pas été établies chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
-En cas de prescription de Sifrol/Sifrol ER à un patient atteint d’insuffisance rénale, il est recommandé de réduire la posologie selon les recommandations formulées dans le chapitre «Posologie/Mode d'emploi».
- +Insuffisance rénale
- +En cas de prescription de Sifrol/Sifrol ER à un patient atteint d'insuffisance rénale, il est recommandé de réduire la posologie selon les recommandations formulées dans le chapitre «Posologie/Mode d'emploi».
-Les hallucinations et la confusion sont des effets indésirables connus lors d'un traitement par des agonistes dopaminergiques et par la lévodopa. Des hallucinations se sont manifestées plus fréquemment chez les patients à un stade avancé de la maladie, recevant Sifrol/Sifrol ER en même temps que la lévodopa, que chez ceux qui reçoivent Sifrol en monothérapie à un stade précoce de la maladie. Durant le programme de développement clinique pour l’autorisation du syndrome des jambessans repos, un cas d’hallucination a été rapporté. Il faut informer les patients que des hallucinations (le plus souvent visuelles) peuvent se manifester.
- +Les hallucinations et la confusion sont des effets indésirables connus lors d'un traitement par des agonistes dopaminergiques et par la lévodopa. Des hallucinations se sont manifestées plus fréquemment chez les patients à un stade avancé de la maladie, recevant Sifrol/Sifrol ER en même temps que la lévodopa, que chez ceux qui reçoivent Sifrol en monothérapie à un stade précoce de la maladie. Durant le programme de développement clinique pour l'autorisation du syndrome des jambes sans repos, un cas d'hallucination a été rapporté. Il faut informer les patients que des hallucinations (le plus souvent visuelles) peuvent se manifester.
-Des dyskinésies peuvent se produire au cours du traitement initial par Sifrol/Sifrol ER,surtout lors de l'utilisation de Sifrol /Sifrol ER en association avec la lévodopa. Si elles surviennent, il faut réduire la dose de lévodopa.
- +Des dyskinésies peuvent se produire au cours du traitement initial par Sifrol/Sifrol ER, surtout lors de l'utilisation de Sifrol/Sifrol ER en association avec la lévodopa. Si elles surviennent, il faut réduire la dose de lévodopa.
-Comme lors du traitement par d’autres agonistes de la dopamine et la lévodopa,une somnolence (très fréquente) et un endormissement subit (occasionnel) ont été rapportés sous le traitement par pramipexole, surtout chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson. Ces manifestations ont conduit à des accidents ou des accidentsmanqués de peu lors d’activités dangereuses comme la conduite automobile et peut mettre la vie du patient et d’autres personnes en danger. Généralement, cet endormissement subit survient sans signe annonciateur. Si de tels cas d’endormissement subit sont observés, une réduction de la posologie ou un arrêt du traitement doit être envisagé(e). Les patients souspramipexole doivent être informés de la mise en danger éventuelle de leur sécurité et de celle d’autrui en cas d’apparition de ces effets indésirableslors de la conduite automobile ou l’utilisation de machines. Il convient de déconseiller ces activités aux patients souffrant de somnolence ou d’endormissement subit. En raison des éventuels effets additifs, il faut recommander une vigilance toute particulière lorsque les patients prennent d’autres médicaments sédatifs ou de l’alcool en même temps que le pramipexole (voir également les rubriques «Interactions», «Effet sur l´aptitude à la conduite et l´utilisation de machines», «Effets indésirables»).
- +Comme lors du traitement par d'autres agonistes de la dopamine et la lévodopa, une somnolence (très fréquente) et un endormissement subit (occasionnel) ont été rapportés sous le traitement par pramipexole, surtout chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson. Ces manifestations ont conduit à des accidents ou des accidents manqués de peu lors d'activités dangereuses comme la conduite automobile et peut mettre la vie du patient et d'autres personnes en danger. Généralement, cet endormissement subit survient sans signe annonciateur. Si de tels cas d'endormissement subit sont observés, une réduction de la posologie ou un arrêt du traitement doit être envisagé(e). Les patients sous pramipexole doivent être informés de la mise en danger éventuelle de leur sécurité et de celle d'autrui en cas d'apparition de ces effets indésirables lors de la conduite automobile ou l'utilisation de machines. Il convient de déconseiller ces activités aux patients souffrant de somnolence ou d'endormissement subit. En raison des éventuels effets additifs, il faut recommander une vigilance toute particulière lorsque les patients prennent d'autres médicaments sédatifs ou de l'alcool en même temps que le pramipexole (voir également les rubriques «Interactions», «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines», «Effets indésirables»).
-L’addiction au jeu, une augmentation de la libido et une hypersexualité ont été rapportées en cas de maladie de Parkinson traitée par des agonistes de la dopamine, y compris le pramipexole. Les patients et les personnes soignantes doivent savoir que des manifestations supplémentaires sont possibles comme des troubles du contrôle des pulsions ou des comportements compulsifs comme la boulimie, l’hyperphagie et l’achat compulsif. Une réduction de la posologie ou un arrêt progressif du traitement doit être envisagé(e).
- +L'addiction au jeu, une augmentation de la libido et une hypersexualité ont été rapportées en cas de maladie de Parkinson traitée par des agonistes de la dopamine, y compris le pramipexole. Les patients et les personnes soignantes doivent être informés que des manifestations supplémentaires sont possibles comme des troubles du contrôle des pulsions ou des comportements compulsifs comme la boulimie, l'hyperphagie et l'achat compulsif. Une réduction de la posologie ou un arrêt progressif du traitement doit être envisagé(e).
- +Comportement maniaque et délire
- +Les patients doivent être surveillés régulièrement à la recherche du développement d'une manie et d'un délire. L'attention des patients et des personnes soignantes doit être attirée sur le fait qu'une manie et un délire peuvent survenir chez les patients traités par le pramipexole. Une réduction de la dose ou un arrêt progressif peuvent être envisagés lorsque de tels symptômes surviennent.
- +
-Les patients atteints de troubles psychotiques ne doivent être traités par des agonistes dopaminergiques que si le bénéfice potentiel domine les risques.
- +Les patients atteints de troubles psychotiques ne doivent être traités par des agonistes dopaminergiques que si le bénéfice potentiel domine les risques. L'administration concomitante de médicaments antipsychotiques et de pramipexole est déconseillée (voir «Interactions»).
-La prudence est de rigueur en cas de maladie cardiovasculaire sévère. En raison du risque général d'hypotension orthostatique au cours d'un traitement dopaminergique, il est recommandé de contrôler la pression,particulièrement en début de traitement.
- +La prudence est de rigueur en cas de maladie cardiovasculaire sévère. En raison du risque général d'hypotension orthostatique au cours d'un traitement dopaminergique, il est recommandé de contrôler la pression, particulièrement en début de traitement.
-Une dégénération de la rétine avec perte de photorécepteurs a été observée chez le rat albinos soumis à un surdosage de pramipexole au cours d’études de cancérogénicité. Ces modifications pathologiques n'ont été observées dans aucune des autres espèces examinées (souris albinos, rats pigmentés, singes, minipigs). Sur la base du mécanisme universel concerné, il convient de ne pas négliger ces informations eu égard à l'homme. Toutefois, les étudesmenées jusqu’ici chez l’homme n'ont pas donné d'indications quant à la survenue de processus semblables.
-Des examens oculaires sont recommandés à des intervalles réguliers ou en cas d’apparition de troubles de la vue (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Données précliniques»).
- +Une dégénération de la rétine avec perte de photorécepteurs a été observée chez le rat albinos soumis à un surdosage de pramipexole au cours d'études de cancérogénicité. Ces modifications pathologiques n'ont été observées dans aucune des autres espèces examinées (souris albinos, rats pigmentés, singes, minipigs). Sur la base du mécanisme universel concerné, il convient de ne pas négliger ces informations eu égard à l'homme. Toutefois, les études menées jusqu'ici chez l'homme n'ont pas donné d'indications quant à la survenue de processus semblables.
- +Des examens oculaires sont recommandés à des intervalles réguliers ou en cas d'apparition de troubles de la vue (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Données précliniques»).
-Des études épidémiologiques ont montré que les patients atteints de maladie de Parkinson ont un risque plus élevé (2 à 6 fois) de développer un mélanome que la population générale. Il n’est pas encore clair si l’augmentation du risque est à imputer à la maladie de Parkinson ou à d’autres facteurs tels que des médicaments pour le traitement de la maladie. Pour ces raisons évoquées, il est conseillé aux patients et aux médecins traitants de porter attention aux mélanomes lors de l’administration du pramipexole ou d’autres médicaments dopaminergiques.
- +Des études épidémiologiques ont montré que les patients atteints de maladie de Parkinson ont un risque plus élevé (2 à 6 fois) de développer un mélanome que la population générale. Il n'est pas encore clair si l'augmentation du risque est à imputer à la maladie de Parkinson ou à d'autres facteurs tels que des médicaments pour le traitement de la maladie. Pour ces raisons évoquées, il est conseillé aux patients et aux médecins traitants de porter attention aux mélanomes lors de l'administration du pramipexole ou d'autres médicaments dopaminergiques.
-Les symptômes d’un syndrome malin neuroleptique ont été observés suite à l’interruption brusque d’un traitement dopaminergique (voir la rubrique «Posologie/Mode d’emploi, maladie de Parkinson, interruption du traitement»).
- +Les symptômes d'un syndrome malin neuroleptique ont été observés suite à l'interruption brusque d'un traitement dopaminergique (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi, maladie de Parkinson, interruption du traitement»).
-Des rapports de la littérature indiquent que le traitement du syndrome des jambes sans repos par des médicaments dopaminergiques peut provoquer un phénomène d’augmentation des symptômes.
-Ceci se manifeste par une apparition plus précoce dessymptômes le soir (voire même dans l’après-midi), une aggravation des symptômes et/ou leur propagation à d’autres extrémités. Le cas échéant, un arrêt du traitement par Sifrol ou une adaptation de la thérapie médicamenteuse est alors nécessaire.
-Le phénomène d’augmentation a été spécialement examiné au cours d’une étude clinique contrôlée pendant 26 semaines. Une augmentation a été notée chez 11,8 % des patients dans le groupe sous pramipexole (n= 152) et chez 9,4% des patients dans le groupe sous placebo (n= 149). L’analyse de Kaplan-Meier de la durée jusqu’à l’apparition d’une augmentation n’a pas montré de différence significative entre le groupe sous pramipexole et le groupe sous placebo.
- +Des rapports de la littérature indiquent que le traitement du syndrome des jambes sans repos par des médicaments dopaminergiques peut provoquer un phénomène d'augmentation des symptômes.
- +Ceci se manifeste par une apparition plus précoce des symptômes le soir (voire même dans l'après-midi), une aggravation des symptômes et/ou leur propagation à d'autres extrémités. Le cas échéant, un arrêt du traitement par Sifrol ou une adaptation de la thérapie médicamenteuse est alors nécessaire.
- +Le phénomène d'augmentation a été spécialement examiné au cours d'une étude clinique contrôlée pendant 26 semaines. Une augmentation a été notée chez 11,8% des patients dans le groupe sous pramipexole (n=152) et chez 9,4% des patients dans le groupe sous placebo (n=149). L'analyse de Kaplan-Meier de la durée jusqu'à l'apparition d'une augmentation n'a pas montré de différence significative entre le groupe sous pramipexole et le groupe sous placebo.
-Aucune étude sur l’effet du pramipexole sur la féconditéchez l’homme n’a été conduite. Dans les études chez l’animal, le pramipexole a affecté les cycles œstraux et réduit la fertilité des femelles comme cela est attendu avec un agoniste dopaminergique. Cependant, ces études n’ont pas montré d’effets nocifs directs ou indirects sur la fécondité des mâles (voir aussi «Données précliniques»).
- +Aucune étude sur l'effet du pramipexole sur la fécondité chez l'homme n'a été conduite. Dans les études chez l'animal, le pramipexole a affecté les cycles œstraux et réduit la fertilité des femelles comme cela est attendu avec un agoniste dopaminergique. Cependant, ces études n'ont pas montré d'effets nocifs directs ou indirects sur la fécondité des mâles (voir aussi «Données précliniques»).
- +Restes dans les selles
- +La survenue de restes dans les selles pouvant ressembler à des comprimés retard de Sifrol intacts a été rapportée. Lorsqu'un patient rapporte ce fait, la réponse du patient au traitement doit à nouveau être contrôlée.
- +
-Une interaction avec d'autres médicaments influençant la liaison aux protéines ou le métabolisme est improbable. La cimétidine réduit la clairance rénale du pramipexole d'environ 34%, probablement par inhibition du système de transport sécrétoire cationique des tubules rénaux. Le pramipexole et les médicaments qui inhibent la sécrétion tubulaire rénale active ou qui sont excrétés par cette voie peuvent s'influencer mutuellement et conduire à une diminution de la clairance de l'un ou des deux médicaments. Les médicaments qui, outre la cimétidine, appartiennent à cette catégorie sont l’amantatine, le diltiazem, la quinidine, la quinine, la ranitidine, le triamtérène, le vérapamil, la digoxine, le procaïnamide et le triméthoprime. Si l'un de ces médicaments est administré conjointement avec Sifrol/Sifrol ER, il faut prendre garde à tout signe d'hyperstimulation dopaminergique tels que dyskinésies, agitation ou hallucinations. Dans de tels cas, une réduction posologique est indispensable.
-La sélégiline et la lévodopa ne modifient pas la pharmacocinétique du pramipexole. Dans une petite étude pharmacocinétique (n= 9) on a constaté que l'étendue de la résorption totale etde l'élimination de la lévodopa n'était pas modifiée par l'administration simultanée de pramipexole. Un traitement combiné peut cependant provoquer une stimulation dopaminergique excessive.
-La vitesse d’absorption initiale de la lévodopa a augmenté chez 4des 9 sujets de l'étude, tous féminins.
- +Liaison aux protéines plasmatiques
- +Une interaction avec d'autres médicaments influençant la liaison aux protéines ou le métabolisme est improbable.
- +Inhibiteurs, resp. compétiteurs de l'élimination rénale active
- +La cimétidine réduit la clairance rénale du pramipexole d'environ 34%, probablement par inhibition du système de transport sécrétoire cationique des tubules rénaux. Le pramipexole et les médicaments qui inhibent la sécrétion tubulaire rénale active ou qui sont excrétés par cette voie peuvent s'influencer mutuellement et conduire à une diminution de la clairance de l'un ou des deux médicaments. Les médicaments qui, outre la cimétidine, appartiennent à cette catégorie sont l'amantatine, le diltiazem, la quinidine, la quinine, la ranitidine, le triamtérène, le vérapamil, la digoxine, le procaïnamide, la zidovudine, le cisplatine et le triméthoprime. Si l'un de ces médicaments est administré conjointement avec Sifrol/Sifrol ER, il faut prendre garde à tout signe d'hyperstimulation dopaminergique tels que dyskinésies, agitation ou hallucinations. Dans de tels cas, une réduction posologique est indispensable.
- +Association à la sélégiline et à la lévodopa
- +La sélégiline et la lévodopa ne modifient pas la pharmacocinétique du pramipexole. Dans une petite étude pharmacocinétique (n = 9) on a constaté que l'étendue de la résorption totale et de l'élimination de la lévodopa n'était pas modifiée par l'administration simultanée de pramipexole. Un traitement combiné peut cependant provoquer une stimulation dopaminergique excessive.
- +La vitesse d'absorption initiale de la lévodopa a augmenté chez 4 des 9 sujets de l'étude, tous féminins.
- +Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, il est recommandé de diminuer la posologie de la lévodopa lorsque l'on augmente les doses de Sifrol/Sifrol ER et de maintenir constante la posologie d'autres antiparkinsoniens (voir «Posologie chez les patients traités en association avec la lévodopa»).
- +Anticholinergiques et amantadine
- +
-En raison de possibles effets additifs, la plus grande prudence est de mise lorsque les patients prennent d'autres médicaments sédatifs ou de l'alcool en combinaison avecpramipexole ainsi que lors de l’utilisation concomitante de médicaments augmentant les concentrations plasmatiques du pramipexole (p.ex. la cimétidine).
-Comme l'excrétion des anticholinergiques a lieu principalement par le métabolisme hépatique, le risque pharmacocinétique d'interaction avec le pramipexole est plutôt improbable.
-Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, il est recommandé de diminuer la posologie de la lévodopa lorsque l'on augmente les doses de Sifrol/Sifrol ER et de maintenir constante la posologie d'autres antiparkinsoniens (voir «Posologie chez les patientstraités en association avec la lévodopa»).
- +Etant donné que l'élimination des anticholinergiques a lieu principalement par le métabolisme hépatique, une interaction pharmacocinétique avec le pramipexole est plutôt improblable.
- +Médicaments antipsychotiques
- +L'administration concomitante de médicaments antipsychotiques avec le pramipexole est déconseillée, p.ex. lorsqu'il faut s'attendre à des effets antagonistes de la dopamine (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Autres médicaments/Alcool
- +En raison de possibles effets additifs, la plus grande prudence est de mise lorsque les patients prennent d'autres médicaments sédatifs ou de l'alcool en combinaison avec pramipexole ainsi que lors de l'utilisation concomitante de médicaments augmentant les concentrations plasmatiques du pramipexole (p.ex. la cimétidine).
-L’effet de Sifrol sur la grossesse n’a pas été étudié chez l'être humain. Des études réalisées sur des lapins et des rongeurs n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes. Aux doses toxiques pour la mère, le pramipexole s’est également montré toxique pour l’embryon chez le rat (voir la rubrique «Données précliniques»). Sifrol/Sifrol ER ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
- +L'effet de Sifrol sur la grossesse n'a pas été étudié chez l'être humain. Des études réalisées sur des lapins et des rongeurs n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes. Aux doses toxiques pour la mère, le pramipexole s'est également montré toxique pour l'embryon chez le rat (voir la rubrique «Données précliniques»). Sifrol/Sifrol ER ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
-Le passage du pramipexole dans le lait maternel n'a pas étudié chez l’être humain. Chez les rats, la concentration du pramipexole et de ses métabolites (mesurée par la radioactivité du 14 C) dans le lait maternel était supérieure à celle du plasma.
-Le pramipexole inhibant la sécrétion de la prolactine chez l’être humain, il faut s'attendre à une inhibition de la lactation.
-En l’absence de données cliniques chez l’homme, Sifrol/Sifrol ER ne doit, si possible, pas être administré pendant l’allaitement. Si l’utilisation du médicament est inévitable, il convient de cesser l’allaitement.
- +Le passage du pramipexole dans le lait maternel n'a pas étudié chez l'être humain. Chez les rats, la concentration du pramipexole et de ses métabolites (mesurée par la radioactivité du 14C) dans le lait maternel était supérieure à celle du plasma.
- +Le pramipexole inhibant la sécrétion de la prolactine chez l'être humain, il faut s'attendre à une inhibition de la lactation.
- +En l'absence de données cliniques chez l'homme, Sifrol/Sifrol ER ne doit, si possible, pas être administré pendant l'allaitement. Si l'utilisation du médicament est inévitable, il convient de cesser l'allaitement.
-Le patient doit être conscient du fait que des hallucinations peuvent survenir et influencer l’aptitude à la conduite.
-Les patients doivent être prévenus des éventuels effets sédatifs (y compris somnolence et endormissement subit durant les activités quotidiennes) qui ont été associés à Sifrol/Sifrol ER.
-Une somnolence et un endormissement subit pouvant avoir des conséquences potentiellement dangereuses, les patients doivent être informés qu’ils devront s’abstenir de conduire, d’utiliser des machines ou d’effectuer d’autres activités à risque. Ceci est valable jusqu'à ce que l’on dispose d’une expérience suffisante avec Sifrol/Sifrol ER pour pouvoir évaluer si les capacités mentales et/ou motrices sont influencées négativement par Sifrol/Sifrol ER. En cas de somnolence et d’épisodes d’endormissement subit pendant les activités quotidiennes (par ex. conversations, repas, etc…)qui peuvent survenir à tout moment du traitement, les patients doivent contacter leur médecin (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
- +Le patient doit être conscient du fait que des hallucinations peuvent survenir et influencer l'aptitude à la conduite.
- +Les patients doivent être prévenus des éventuels effets sédatifs (y compris somnolence et endormissement subit durant les activités quotidiennes) qui ont été associés à Sifrol/Sifrol ER. Une somnolence et un endormissement subit pouvant avoir des conséquences potentiellement dangereuses, les patients doivent être informés qu'ils devront s'abstenir de conduire, d'utiliser des machines ou d'effectuer d'autres activités à risque. Ceci est valable jusqu'à ce que l'on dispose d'une expérience suffisante avec Sifrol/Sifrol ER pour pouvoir évaluer si les capacités mentales et/ou motrices sont influencées négativement par Sifrol/Sifrol ER. En cas de somnolence et d'épisodes d'endormissement subit pendant les activités quotidiennes (par ex. conversations, repas, etc…) qui peuvent survenir à tout moment du traitement, les patients doivent contacter leur médecin (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
-Les effets indésirables mentionnés ci-dessous reposent sur l’analyse d’études regroupées, contrôlées contre placebo avec un total de 210 patients sous Sifrol ER, 1568 patients sous Sifrol et 1297 patients sous placebo, ainsi que d’études post-marketing:
-(%: Sifrol comprimés/Sifrol ER comprimés retard).
- +Les effets indésirables mentionnés ci-dessous reposent sur l'analyse d'études regroupées, contrôlées contre placebo avec un total de 210 patients sous Sifrol ER, 1568 patients sous Sifrol et 1297 patients sous placebo, ainsi que d'études post-marketing:
- +(%: Sifrol comprimés/Sifrol ER comprimés retard).
-Occasionnel:pneumonie.
-Troubles endocriniens
-Occasionnel: sécrétion d’ADH inadéquate*.
-En cas d’apparition d’une hyponatrémie, un diagnostic différentiel est recommandé en raison de l’éventualité d’un syndrome caractérisé par une sécrétion d’ADH inadéquate (SIADH) et les autres causes doivent être exclues. Un SIADH peut se manifester cliniquement par exemple par des troubles de la conscience y compris le coma, des hallucinations, des convulsions, des maux de tête, des troubles de la concentration et de la mémoire, des crampes musculaires.
-Troubles psychiatriques
-Fréquent: insomnie, hallucinations, confusion, rêves inhabituels, troubles du comportement se traduisant par des perturbations du contrôle des pulsions et un comportement compulsif.
-Occasionnel:troubles de la libido, hypersexualité, idées délirantes, paranoïa, jeu pathologique, achat compulsif, agitation, épisodes boulimiques*, hyperphagie*.
-Système nerveux
-Très fréquent: vertiges (18,4%/5,2%), dyskinésie (16,8%/7,6%), somnolence (11,7%/18,6%).
-Fréquent:céphalées.
-Occasionnel: hyperkinésie, endormissement subit, syncope, amnésie.
-L'incidence de la somnolence augmente pour des dosages supérieurs à 1,5 mg (voir également la rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Troubles oculaires
-Fréquent:troubles de la vue incluant la diplopie, vision floue, diminution de l’acuité visuelle.
-Cœur
-Occasionnel:défaillance cardiaque*.
-Au cours des études cliniques et de l’acquisition de l’expérience suivant sa commercialisation, une insuffisance cardiaque a été rapportée chez des patients sous pramipexole. Au cours d’une étude pharma-épidémiologique, une augmentation du risque d’insuffisance cardiaque a été constatée sous pramipexole par rapport à la non utilisation de ce médicament.
-Troubles vasculaires
-Fréquent: hypotension.
- +Occasionnel: pneumonie.
- +Affections endocriniennes
- +Occasionnel: sécrétion d'ADH inadéquate*.
- +En cas d'apparition d'une hyponatrémie, un diagnostic différentiel est recommandé en raison de l'éventualité d'un syndrome caractérisé par une sécrétion d'ADH inadéquate (SIADH) et les autres causes doivent être exclues. Un SIADH peut se manifester cliniquement par exemple par des troubles de la conscience y compris le coma, des hallucinations, des convulsions, des maux de tête, des troubles de la concentration et de la mémoire, des crampes musculaires.
- +Affections psychiatriques
- +Fréquent: insomnie, hallucinations, confusion, rêves inhabituels, troubles du comportement se traduisant par des perturbations du contrôle des pulsions et un comportement compulsif.
- +Occasionnel: troubles de la libido, hypersexualité, idées délirantes, paranoïa, jeu pathologique, achat compulsif, agitation, épisodes boulimiques*, hyperphagie*, délire.
- +Rare: manie.
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquent: vertiges (18,4%/5,2%), dyskinésie (16,8%/7,6%), somnolence (11,7%/18,6%).
- +Fréquent: céphalées.
- +Occasionnel: hyperkinésie, endormissement subit, syncope, amnésie.
- +L'incidence de la somnolence augmente pour des dosages supérieurs à 1,5 mg (voir également la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Affections oculaires
- +Fréquent: troubles de la vue incluant la diplopie, vision floue, diminution de l'acuité visuelle.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnel: défaillance cardiaque*.
- +Au cours des études cliniques et de l'acquisition de l'expérience suivant sa commercialisation, une insuffisance cardiaque a été rapportée chez des patients sous pramipexole. Au cours d'une étude pharma-épidémiologique, une augmentation du risque d'insuffisance cardiaque a été constatée sous pramipexole par rapport à la non utilisation de ce médicament.
- +Affections vasculaires
- +Fréquent: hypotension.
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
-Occasionnel:dyspnée, hoquet.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquent: nausées (17,8%/14,3%).
-Fréquent: vomissements, constipation.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Occasionnel: exanthème, prurit et autres réactions d’hypersensibilité.
-Troubles généraux
-Fréquent: œdèmes périphériques, fatigue.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnel: dyspnée, hoquet.
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquent: nausées (17,8%/14,3%).
- +Fréquent: vomissements, constipation.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnel: exanthème, prurit et autres réactions d'hypersensibilité.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquent: œdèmes périphériques, fatigue.
-Fréquent:perte de poids y compris baisse de l’appétit.
-Occasionnel:prise de poids.
-* Cet effet indésirable a été observéaprès la mise du médicament sur le marché. Il y a 95% de chances que sa catégorie de fréquence ne soit pas plus élevée qu’«occasionnelle» mais elle peut être plus faible. Une estimation plus précise de sa fréquence n’est pas possible car cet effet indésirable n’est pas documenté dans les études cliniques avec n= 2762 patients traités par le pramipexole et souffrant de la maladie de Parkinson.
-Des signes de dépendance pathologique au jeu (jeu pathologique), de libido accrue et d’hypersexualité ont été observés chez des patients traités par des agonistes dopaminergiques, y compris Sifrol, dans le traitement de la maladie de Parkinson, particulièrement à des doses élevées. Ces signes ont généralement régressé après réduction de la dose ou arrêt du traitement. Des cas d’augmentation de la prise de nourriture (hyperphagie) ont également été rapportés.
- +Fréquent: perte de poids y compris baisse de l'appétit.
- +Occasionnel: prise de poids.
- +* Cet effet indésirable a été observé après la mise du médicament sur le marché. Il y a 95% de chances que sa catégorie de fréquence ne soit pas plus élevée qu'«occasionnelle» mais elle peut être plus faible. Une estimation plus précise de sa fréquence n'est pas possible car cet effet indésirable n'est pas documenté dans les études cliniques avec n=2762 patients traités par le pramipexole et souffrant de la maladie de Parkinson.
- +Des signes de dépendance pathologique au jeu (jeu pathologique), de libido accrue et d'hypersexualité ont été observés chez des patients traités par des agonistes dopaminergiques, y compris Sifrol, dans le traitement de la maladie de Parkinson, particulièrement à des doses élevées. Ces signes ont généralement régressé après réduction de la dose ou arrêt du traitement. Des cas d'augmentation de la prise de nourriture (hyperphagie) ont également été rapportés.
-Les effets indésirables mentionnés ci-dessous reposent sur l’analyse d’études regroupées, contrôlées contre placebo avec un total de 1036 patients sous Sifrol et 610 patients sous placebo, ainsi que d’études post-marketing.
- +Les effets indésirables mentionnés ci-dessous reposent sur l'analyse d'études regroupées, contrôlées contre placebo avec un total de 1036 patients sous Sifrol et 610 patients sous placebo, ainsi que d'études post-marketing.
-Occasionnel:pneumonie*.
-Troubles endocriniens
-Occasionnel: sécrétion d’ADH inadéquate*.
-En cas d’apparition d’une hyponatrémie, un diagnostic différentiel est recommandé en raison de l’éventualité d’un syndrome caractérisé par une sécrétion d’ADH inadéquate (SIADH) et les autres causes doivent être exclues. Un SIADH peut se manifester cliniquement par exemple par des troubles de la conscience y compris le coma, des hallucinations, des convulsions, des maux de tête, des troubles de la concentration et de la mémoire, des crampes musculaires.
-Troubles psychiatriques
-Fréquent: insomnie, rêves inhabituels.
-Occasionnel:hallucinations, confusion, agitation, troubles de la libido, idées délirantes*, paranoïa*, troubles du comportement* se traduisant par des perturbations du contrôle des pulsions et un comportement compulsif comme les épisodes boulimiques*, l’hyperphagie*, les achats compulsifs*, l’hypersexualité* et le jeu pathologique*.
-Système nerveux
-Fréquent: vertiges, somnolence, céphalées.
-Occasionnel:dyskinésie, endormissement subit (voir aussi «Mises en garde et précautions»), syncope, amnésie*, hyperkinésie*.
-Troubles oculaires
-Occasionnel:troubles de la vue incluant la diplopie, vision floue, diminution de l’acuité visuelle.
-Cœur
-Occasionnel:défaillance cardiaque*.
-Au cours des études cliniques et de l’acquisition de l’expérience suivant sa commercialisation, une insuffisance cardiaque a été rapportée chez des patients sous pramipexole. Au cours d’une étude pharma-épidémiologique, une augmentation du risque d’insuffisance cardiaque a été constatée sous pramipexole par rapport à la non utilisation de ce médicament*.
-Troubles vasculaires
-Occasionnel:hypotension.
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
-Occasionnel:dyspnée, hoquet.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquent: nausées (12,3%).
-Fréquent: vomissements, constipation.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Occasionnel: exanthème, prurit et autres réactions d’hypersensibilité.
-Troubles généraux
-Fréquent: fatigue.
-Occasionnel: œdèmes périphériques.
- +Occasionnel: pneumonie*.
- +Affections endocriniennes
- +Occasionnel: sécrétion d'ADH inadéquate*.
- +En cas d'apparition d'une hyponatrémie, un diagnostic différentiel est recommandé en raison de l'éventualité d'un syndrome caractérisé par une sécrétion d'ADH inadéquate (SIADH) et les autres causes doivent être exclues. Un SIADH peut se manifester cliniquement par exemple par des troubles de la conscience y compris le coma, des hallucinations, des convulsions, des maux de tête, des troubles de la concentration et de la mémoire, des crampes musculaires.
- +Affections psychiatriques
- +Fréquent: insomnie, rêves inhabituels.
- +Occasionnel: hallucinations, confusion, agitation, troubles de la libido, idées délirantes*, paranoïa*, troubles du comportement* se traduisant par des perturbations du contrôle des pulsions et un comportement compulsif comme les épisodes boulimiques*, l'hyperphagie*, les achats compulsifs*, l'hypersexualité* et le jeu pathologique*, manie* et délire*.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquent: vertiges, somnolence, céphalées.
- +Occasionnel: dyskinésie, endormissement subit (voir aussi «Mises en garde et précautions»), syncope, amnésie*, hyperkinésie*.
- +Affections oculaires
- +Occasionnel: troubles de la vue incluant la diplopie, vision floue, diminution de l'acuité visuelle.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnel: défaillance cardiaque*.
- +Au cours des études cliniques et de l'acquisition de l'expérience suivant sa commercialisation, une insuffisance cardiaque a été rapportée chez des patients sous pramipexole. Au cours d'une étude pharma-épidémiologique, une augmentation du risque d'insuffisance cardiaque a été constatée sous pramipexole par rapport à la non utilisation de ce médicament*.
- +Affections vasculaires
- +Occasionnel: hypotension.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnel: dyspnée, hoquet.
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquent: nausées (12,3%).
- +Fréquent: vomissements, constipation.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnel: exanthème, prurit et autres réactions d'hypersensibilité.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquent: fatigue.
- +Occasionnel: œdèmes périphériques.
-Occasionnel:prise ou perte de poids y compris baisse de l’appétit
-* Cet effet indésirable a été observé après la mise du médicament sur le marché. Il y a 95% de chances que sa catégorie de fréquence ne soit pas plus élevée qu’«occasionnelle» mais elle peut être plusfaible. Une estimation plus précise de sa fréquence n’est pas possible car cet effet indésirable n’est pas documenté dans les études cliniques avec n= 1395 patients traités par le pramipexole et souffrant du syndrome des jambes sans repos.
- +Occasionnel: prise ou perte de poids y compris baisse de l'appétit.
- +* Cet effet indésirable a été observé après la mise du médicament sur le marché. Il y a 95% de chances que sa catégorie de fréquence ne soit pas plus élevée qu'«occasionnelle» mais elle peut être plus faible. Une estimation plus précise de sa fréquence n'est pas possible car cet effet indésirable n'est pas documenté dans les études cliniques avec n=1395 patients traités par le pramipexole et souffrant du syndrome des jambes sans repos.
-On ne connaît aucun antidote pour traiter un surdosage en agonistes dopaminergiques. L'administration d'un neuroleptique peut être indiquée en présence de signes de stimulation nerveuse centrale. Le traitement d'un surdosage peut nécessiter des mesures générales de soutien, ainsi qu'un lavage gastrique, un apport liquidien intraveineux, l’administration de charbon actif et une surveillance de l'ECG.
- +On ne connaît aucun antidote pour traiter un surdosage en agonistes dopaminergiques. L'administration d'un neuroleptique peut être indiquée en présence de signes de stimulation nerveuse centrale. Le traitement d'un surdosage peut nécessiter des mesures générales de soutien, ainsi qu'un lavage gastrique, un apport liquidien intraveineux, l'administration de charbon actif et une surveillance de l'ECG.
-Le pramipexole, substance active de Sifrol et de Sifrol ER, est un agoniste dopaminergique non ergolin qui se lie très sélectivement et spécifiquement aux récepteurs de la dopamine de la sous-famille D 2 , et préférentiellement aux récepteurs D 3 . Le pramipexole possède une efficacité intrinsèque complète. En cas de maladie de Parkinson, le pramipexole diminue les crises motrices en stimulant les récepteurs dopaminergiques situés dans le corps strié.
- +Le pramipexole, substance active de Sifrol et de Sifrol ER, est un agoniste dopaminergique non ergolin qui se lie très sélectivement et spécifiquement aux récepteurs de la dopamine de la sous-famille D2, et préférentiellement aux récepteurs D3.
- +Le pramipexole possède une efficacité intrinsèque complète. En cas de maladie de Parkinson, le pramipexole diminue les crises motrices en stimulant les récepteurs dopaminergiques situés dans le corps strié.
-Le mécanisme d’action exact de Sifrol dans le traitement du syndrome des jambes sans repos (RLS) n’est pas connu. Bien que la physiopathologie du syndrome des jambes sans repos soit largement inconnue, des données neuropharmacologiques suggèrent que le système dopaminergique primaire est impliqué dans ce syndrome.
-Des études tomographiques d'émission de positrons (PET) suggèrent qu'un léger dysfonctionnement dopaminergique présynaptique puisse être impliqué dans la pathogénie du syndrome des jambes sans repos. Les études in vitro montrent que le pramipexole protège les neurones de l'effet neurotoxique de la lévodopa. On a observé chez les sujets testés une diminution dose-dépendante de la concentration de prolactine.
-Dans une étude clinique réalisée avec desvolontaires sains, chez lesquels la dose de Sifrol ER comprimés retard a été augmentée à 4,5 mg par jour plus rapidement que recommandé (tous les 3 jours), une élévation de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque a été observée. Cet effet n’a pas été observé dans les études cliniques réalisées avec des patients.
- +Le mécanisme d'action exact de Sifrol dans le traitement du syndrome des jambes sans repos (RLS) n'est pas connu. Bien que la physiopathologie du syndrome des jambes sans repos soit largement inconnue, des données neuropharmacologiques suggèrent que le système dopaminergique primaire est impliqué dans ce syndrome.
- +Des études tomographiques d'émission de positrons (PET) suggèrent qu'un léger dysfonctionnement dopaminergique présynaptique puisse être impliqué dans la pathogénie du syndrome des jambes sans repos.
- +Les études in vitro montrent que le pramipexole protège les neurones de l'effet neurotoxique de la lévodopa.
- +On a observé chez les sujets testés une diminution dose-dépendante de la concentration de prolactine.
- +Dans une étude clinique réalisée avec des volontaires sains, chez lesquels la dose de Sifrol ER comprimés retard a été augmentée à 4,5 mg par jour plus rapidement que recommandé (tous les 3 jours), une élévation de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque a été observée. Cet effet n'a pas été observé dans les études cliniques réalisées avec des patients.
-L’efficacité de Sifrol a été étudiée durant 6 mois dans le cadre d’études cliniques contrôlées. Dans les études à long terme, on dispose d’une expérience allant jusqu’à 4 ans.
-L’efficacité et la tolérance du remplacement du jour au lendemain de Sifrol comprimés par Sifrol ER comprimés retard à la même dose quotidienne ont été évaluées dans une étude clinique en double aveugle chez les patients atteints de maladie de Parkinson austade précoce. La substitution a été considérée comme un succès si le score UPDRS section II+III ne s’est pas détérioré de plus de 15% par rapport à la valeur initiale et si aucun événement indésirable dû au médicament et ayant entraîné l’arrêt du médicament n’est apparu. La substitution thérapeutique a été couronnée de succès chez 87 des 103 patients randomisés pour recevoir le traitement par Sifrol ER comprimés retard; aucune adaptation de la dose n’a été effectuée chez 72 de ces 87 patients.
- +L'efficacité de Sifrol a été étudiée durant 6 mois dans le cadre d'études cliniques contrôlées. Dans les études à long terme, on dispose d'une expérience allant jusqu'à 4 ans.
- +L'efficacité et la tolérance du remplacement du jour au lendemain de Sifrol comprimés par Sifrol ER comprimés retard à la même dose quotidienne ont été évaluées dans une étude clinique en double aveugle chez les patients atteints de maladie de Parkinson au stade précoce. La substitution a été considérée comme un succès si le score UPDRS section II+III ne s'est pas détérioré de plus de 15% par rapport à la valeur initiale et si aucun événement indésirable dû au médicament et ayant entraîné l'arrêt du médicament n'est apparu. La substitution thérapeutique a été couronnée de succès chez 87 des 103 patients randomisés pour recevoir le traitement par Sifrol ER comprimés retard; aucune adaptation de la dose n'a été effectuée chez 72 de ces 87 patients.
-L’efficacité de Sifrol a été évaluée dans quatre essais cliniques contrôlés contre placebo chez environ 1000 patients atteints de syndrome idiopathique des jambes sans repos, d’intensité modérée à très sévère. Le traitement s’estavéré efficace dans des études contrôlées chez des patients traités jusqu’à 12 semaines et une efficacité continue sur une période de 9 mois a pu être montré. L’efficacité du Sifrol a persisté lors de la poursuite des études en mode open-label pendant un an. Dans une autre étude contrôlée contre placebo, l’efficacité du pramipexole a été confirmée sur une période de 26 semaines chez des patients souffrant de RLS, de modéré à sévère.
- +L'efficacité de Sifrol a été évaluée dans quatre essais cliniques contrôlés contre placebo chez environ 1000 patients atteints de syndrome idiopathique des jambes sans repos, d'intensité modérée à très sévère. Le traitement s'est avéré efficace dans des études contrôlées chez des patients traités jusqu'à 12 semaines et une efficacité continue sur une période de 9 mois a pu être montré. L'efficacité du Sifrol a persisté lors de la poursuite des études en mode open-label pendant un an. Dans une autre étude contrôlée contre placebo, l'efficacité du pramipexole a été confirmée sur une période de 26 semaines chez des patients souffrant de RLS, de modéré à sévère.
-L’absorption du pramipexole administré par voie orale est rapide et complète. La biodisponibilité absolue est supérieure à 90%.
-Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 1 à 3 heures après la prise de Sifrol comprimés. La concentration plasmatique maximale est atteinte après env.6 heures après la prise de Sifrol ER retard.
- +L'absorption du pramipexole administré par voie orale est rapide et complète. La biodisponibilité absolue est supérieure à 90%.
- +Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 1 à 3 heures après la prise de Sifrol comprimés. La concentration plasmatique maximale est atteinte après env. 6 heures après la prise de Sifrol ER retard.
-Chez l'homme, la liaison protéique du pramipexole est faible (<20%). Le volume de distribution est important (400 l). On a mesuré chez les rats des concentrations de principe actif importantes au niveaudu cerveau (elles atteignaient environ 8 fois la concentration plasmatique).
- +Chez l'homme, la liaison protéique du pramipexole est faible (<20%). Le volume de distribution est important (400 l). On a mesuré chez les rats des concentrations de principe actif importantes au niveau du cerveau (elles atteignaient environ 8 fois la concentration plasmatique).
-L'excrétion rénale de pramipexole sous forme inchangée représente la principale voie d'élimination; environ 80% de la dose sont ainsi éliminés. Près de 90% d'une dose marquée au 14 C sont excrétés par voie rénale, alors que l'on en retrouve moins de 2% dans les fèces. La clairance totale du pramipexole est d'environ 500 ml/min et la clairance rénale d'environ 400 ml/min. La demi-vie d'élimination (t ½ ) va de 8 heures chez les jeunes patients à 12 heures chez les patients âgés.
- +L'excrétion rénale de pramipexole sous forme inchangée représente la principale voie d'élimination; environ 80% de la dose sont ainsi éliminés. Près de 90% d'une dose marquée au 14C sont excrétés par voie rénale, alors que l'on en retrouve moins de 2% dans les fèces. La clairance totale du pramipexole est d'environ 500 ml/min et la clairance rénale d'environ 400 ml/min. La demi-vie d'élimination (t½) va de 8 heures chez les jeunes patients à 12 heures chez les patients âgés.
-Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale de sévérité variable, la clairance du pramipexole présentait une bonne corrélation avec la clairance de la créatinine. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine d'environ 20 ml/min), la clairance du pramipexole diminuait d'environ 75%; elle s'abaissait d'environ 60% chez les patients souffrant d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine d'environ 40 ml/min). La clairance du pramipexole est extrêmement faible chez les patients dialysés, car le pramipexole n'est éliminé par la dialysequ'en proportion négligeable.
- +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale de sévérité variable, la clairance du pramipexole présentait une bonne corrélation avec la clairance de la créatinine. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine d'environ 20 ml/min), la clairance du pramipexole diminuait d'environ 75%; elle s'abaissait d'environ 60% chez les patients souffrant d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine d'environ 40 ml/min). La clairance du pramipexole est extrêmement faible chez les patients dialysés, car le pramipexole n'est éliminé par la dialyse qu'en proportion négligeable.
-Les études de toxicité après doses réitérées ont montré que le pramipexole exerce des effets fonctionnels principalement au niveau du système nerveux central et du système génital femelle, probablement par exacerbation deson activité pharmacodynamique.
- +Les études de toxicité après doses réitérées ont montré que le pramipexole exerce des effets fonctionnels principalement au niveau du système nerveux central et du système génital femelle, probablement par exacerbation de son activité pharmacodynamique.
-Les effets potentiels du pramipexole sur la reproduction et le développement ont été étudiés chez le rat et le lapin. Le pramipexole n'a pas montré d'effet tératogène pour ces deux espèces, mais des effets embryotoxiques ont été mis en évidence chez le ratà des doses maternotoxiques.
-En raison de l'effet hypoprolactinémiant de la substance et du rôle particulier de la prolactine dans la fonction reproductrice chez le rat femelle, les effets du pramipexole sur la grossesse et la fertilité femelle n'ont pasété entièrement élucidés.
-Un retard du développement sexuel (séparation préputiale et ouverture du vagin) a été observé chez les rats. La pertinence de ces données chez l'homme n'est pas connue.
- +Les effets potentiels du pramipexole sur la reproduction et le développement ont été étudiés chez le rat et le lapin. Le pramipexole n'a pas montré d'effet tératogène pour ces deux espèces, mais des effets embryotoxiques ont été mis en évidence chez le rat à des doses maternotoxiques.
- +En raison de l'effet hypoprolactinémiant de la substance et du rôle particulier de la prolactine dans la fonction reproductrice chez le rat femelle, les effets du pramipexole sur la grossesse et la fertilité femelle n'ont pas été entièrement élucidés. Un retard du développement sexuel (séparation préputiale et ouverture du vagin) a été observé chez les rats. La pertinence de ces données chez l'homme n'est pas connue.
-Le pramipexole n'a pas montré d'effet génotoxique. Dans une étude de carcinogénèse, des rats mâles ont développé des hyperplasies et des adénomes des cellules de Leydig, dus à l'effet inhibiteur du pramipexole sur la prolactine. Cette observation n'apparaît pas cliniquement pertinente pour l'homme. Au cours de la même étude, il a été observé que l'administration de pramipexole à des doses supérieures ou égales à 2 mg/kg (de la forme sel) était associée à des dégénérescences de la rétine chez le rat albinos.Cette dernière manifestation n'a pas été mise en évidence chez le rat pigmenté, ni lors d'une étude de carcinogénèse de deux ans chez la souris albinos, ni chez les autres espèces étudiées.
- +Le pramipexole n'a pas montré d'effet génotoxique. Dans une étude de carcinogénèse, des rats mâles ont développé des hyperplasies et des adénomes des cellules de Leydig, dus à l'effet inhibiteur du pramipexole sur la prolactine. Cette observation n'apparaît pas cliniquement pertinente pour l'homme. Au cours de la même étude, il a été observé que l'administration de pramipexole à des doses supérieures ou égales à 2 mg/kg (de la forme sel) était associée à des dégénérescences de la rétine chez le rat albinos. Cette dernière manifestation n'a pas été mise en évidence chez le rat pigmenté, ni lors d'une étude de carcinogénèse de deux ans chez la souris albinos, ni chez les autres espèces étudiées.
- +À conserver hors de portée des enfants.
- +
-Sifrol comprimés: conserver dans l’emballage original à l’abri de la lumière et à température ambiante (15‑25 °C).
-Sifrol ER comprimés retard: conserver dans l’emballage original à température ambiante (15‑25 °C) et à l’abri de l’humidité.
- +Sifrol comprimés: conserver dans l'emballage original à l'abri de la lumière et à température ambiante (15-25 °C).
- +Sifrol ER comprimés retard: conserver dans l'emballage original à température ambiante (15-25 °C) et à l'abri de l'humidité.
-Comprimés retard à 0,375 mg: 10 (B)
-Comprimés retard à 0,75 mg: 10, 30 (B)
-Comprimés retardà 1,5 mg: 30 (B)
-Comprimés retard à 3,0 mg: 30 (B)
-Comprimés retard à 4,5 mg: 30 (B)
- +Comprimés retard à 0,375 mg: 10 (B)
- +Comprimés retard à 0,75 mg: 10, 30 (B)
- +Comprimés retard à 1,5 mg: 30 (B)
- +Comprimés retard à 3,0 mg: 30 (B)
- +Comprimés retard à 4,5 mg: 30 (B)
-Février 2013.
- +Septembre 2016.
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