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Accueil - Information professionnelle sur Viramune - Changements - 14.12.2022
26 Changements de l'information professionelle Viramune
  • -En cas de survenue d'une éruption cutanée au cours de la période initiale de 14 jours avec Viramune comprimés, la dose journalière de Viramune ne doit être augmentée qu'après guérison complète de l'éruption cutanée. En cas d'interruption du traitement: voir «Posologie/Mode d'emploi». Les valeurs hépatiques ASAT et ALAT doivent être contrôlées chez les patients présentant une éruption cutanée susceptible d'être liée au traitement par Viramune. En cas d'augmentation modérée à sévère de ces valeurs (ASAT ou ALAT > 5 fois la valeur maximale normale), le traitement par Viramune doit être définitivement arrêté. L'utilisation de la névirapine à des doses supérieures à celles recommandées peut augmenter la fréquence et la gravité des réactions cutanées.
  • +En cas de survenue d'une éruption cutanée au cours de la période initiale de 14 jours avec Viramune comprimés, la dose journalière de Viramune ne doit être augmentée qu'après guérison complète de l'éruption cutanée. En cas d'interruption du traitement: voir «Posologie/Mode d'emploi». Les valeurs hépatiques ASAT et ALAT doivent être contrôlées chez les patients présentant une éruption cutanée susceptible d'être liée au traitement par Viramune. En cas d'augmentation modérée à sévère de ces valeurs (ASAT ou ALAT > 5 fois la valeur maximale normale), le traitement par Viramune doit être définitivement arrêté. L'utilisation de la névirapine à des doses supérieures à celles recommandées peut augmenter la fréquence et la gravité des réactions cutanées.
  • -Tout patient atteint d'une éruption cutanée sévère ou d'une éruption cutanée s'accompagnant de signes généraux tels que fièvre, phlyctènes, lésions buccales, conjonctivite, œdème de la face, douleurs musculaires ou articulaires ou malaise général, doit arrêter le traitement et consulter son médecin. Le traitement avec Viramune ne doit pas être réadministré à ces patients.
  • +Tout patient atteint d'une éruption cutanée sévère ou d'une éruption cutanée s'accompagnant de signes généraux tels que fièvre, phlyctènes, lésions buccales, conjonctivite, œdème de la face, douleurs musculaires ou articulaires ou malaise général, doit arrêter le traitement et consulter son médecin.
  • +Le traitement avec Viramune ne doit pas être réadministré à ces patients.
  • -Le traitement par Viramune doit être repris avec des contrôles cliniques et des analyses de laboratoire plus fréquents et avec une posologie initiale de 200 mg par jour (un comprimé de Viramune comprimés) pendant les 14 premiers jours (voir «Posologie/Mode d'emploi, Interruption du traitement) ; une dose de 400 mg par jour (deux comprimés de Viramune comprimés ou un comprimé de Viramune comprimés à libération prolongée) peut être administrée ensuite.
  • +Le traitement par Viramune doit être repris avec des contrôles cliniques et des analyses de laboratoire plus fréquents et avec une posologie initiale de 200 mg par jour (un comprimé de Viramune comprimés) pendant les 14 premiers jours (voir «Posologie/Mode d'emploi, Interruption du traitement») ; une dose de 400 mg par jour (deux comprimés de Viramune comprimés ou un comprimé de Viramune comprimés à libération prolongée) peut être administrée ensuite.
  • -Mise en garde en cas d'administration concomitante d'autres médicaments (voir chapitre «Interactions» pour des informations détaillées)
  • -Viramune peut modifier les taux plasmatiques d'autres médicaments et d'autres médicaments peuvent modifier le taux de Viramune. L'association de Viramune n'est pas recommandée avec les médicaments suivants: éfavirenz, rifampicine, kétoconazole, delavirdine, étravirine, rilpivirine, elvitégravir (associé au cobicistat), bocéprévir, télaprévir, millepertuis ; lorsque non co-administré avec le ritonavir faiblement dosé: fosamprénavir, saquinavir, atazanavir.
  • -Lactose: un comprimé de Viramune contient 318 mg de lactose. Un comprimé à libération prolongée de Viramune contient 400 mg de lactose. Les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, comme la galactosémie, un déficit en Lapp lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Mise en garde en cas d'administration concomitante d'autres médicaments (voir chapitre «Interactions» pour des informations détaillées)
  • +Viramune peut modifier les taux plasmatiques dautres médicaments et dautres médicaments peuvent modifier le taux de Viramune. Lassociation de Viramune nest pas recommandée avec les médicaments suivants : éfavirenz, rifampicine, kétoconazole, étravirine, rilpivirine, elvitégravir (associé au cobicistat), millepertuis ; lorsque non co-administré avec le ritonavir faiblement dosé : fosamprénavir, saquinavir, atazanavir.
  • +Lactose
  • +Un comprimé de Viramune contient 318 mg de lactose. Un comprimé à libération prolongée de Viramune contient 400 mg de lactose. Les patients présentant des problèmes héréditaires rares dintolérance au galactose, un déficit congénital en lactase (intolérance absolue au lactase) ou un syndrome de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Un comprimé de Viramune contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c'est-à-dire qu'il est pratiquement «sans sodium».
  • -Occasionnellement, les excipients des comprimés prolongée de Viramune sont éliminés par les selles sous la forme de restes mous gonflés susceptibles de ressembler à un comprimé intact. Les enveloppes de comprimés éliminées n'ont aucune influence sur le taux sanguin ni sur l'effet du médicament.
  • +Un comprimé de Viramune contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, cest-à-dire quil est pratiquement «sans sodium».
  • +Occasionnellement, les excipients des comprimés prolongée de Viramune sont éliminés par les selles sous la forme de restes mous gonflés susceptibles de ressembler à un comprimé intact. Les enveloppes de comprimés éliminées nont aucune influence sur le taux sanguin ni sur leffet du médicament.
  • -L'administration concomitante de névirapine et d'elvitégravir en combinaison au cobicistat ainsi que de névirapine et de bocéprévir et de névirapine et de NNRTI n'est pas recommandée (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucune étude d'interactions n'a été réalisée, mais il faut s'attendre à des interactions en cas d'administration concomitante de télaprévir et de névirapine. Étant donné que l'ampleur de ces interactions n'est pas connue, une administration concomitante est déconseillée.
  • -Aucune étude d'interactions avec la névirapine n'a été réalisée pour les médicaments suivants, mais étant donné qu'ils n'ont aucune influence sur le CYP3A4 et ne sont pas métabolisés par l'intermédiaire du CYP3A4, aucune modification pertinente des paramètres pharmacocinétiques de la névirapine n'est attendue: emtricitabine, abacavir, interférons (interférons pégylés alfa 2a et alfa 2b), entécavir, telbivudine.
  • +Ladministration concomitante de névirapine et delvitégravir en combinaison au cobicistat ainsi que de névirapine et de NNRTI nest pas recommandée (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucune étude dinteractions avec la névirapine na été réalisée pour les médicaments suivants, mais étant donné quils nont aucune influence sur le CYP3A4 et ne sont pas métabolisés par lintermédiaire du CYP3A4, aucune modification pertinente des paramètres pharmacocinétiques de la névirapine nest attendue : emtricitabine, abacavir, interférons (interférons pégylés alfa 2a et alfa 2b), entécavir, telbivudine.
  • -Les données cliniques chez des femmes enceintes (584 et 1044 expositions au cours du premier et du deuxième/troisième trimestre d'après le registre américain Antiretroviral Pregnancy Registry du 31 juillet 2007) n'ont pas montré d'effet tératogène ni de toxicité fœtale ou néonatale. Cependant, aucune étude contrôlée suffisante n'est disponible concernant le traitement de l'infection par le VIH-1 chez la femme enceinte. Aucun effet tératogène n'a été observé lors des études de toxicité sur la reproduction. Le médicament doit être utilisé avec prudence au cours de la grossesse.
  • -Chez des femmes infectées par le VIH-1 en cours d'accouchement, la demi-vie de la névirapine après administration unique d'une dose orale de 200 mg est prolongée (60-70 h) et la clairance orale varie de manière importante (2,1 ± 1,5 L/h selon le stress physiologique au cours de l'accouchement). Les résultats d'une étude pharmacocinétique menée chez 10 femmes enceintes infectées par le VIH-1 et recevant une dose orale unique de 100 ou 200 mg de Viramune 5,8 heures (médiane) avant la naissance de l'enfant montrent que la névirapine franchit la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
  • +Les données du registre américain Antiretroviral Pregnancy Registry chez des femmes enceintes (1171 et 1529 expositions à la névirapine au cours du premier et du deuxième/troisième trimestre) de juin 2021 n'ont pas montré une augmentation du taux de malformations ni une toxicité fœtale ou néonatale. Cependant, aucune étude contrôlée suffisante n'est disponible concernant le traitement de l'infection par le VIH-1 chez la femme enceinte. Aucun effet tératogène n'a été observé lors des études de toxicité sur la reproduction. Le médicament doit être utilisé avec prudence au cours de la grossesse.
  • +Chez des femmes infectées par le VIH-1 en cours d'accouchement, la demi-vie de la névirapine après administration unique d'une dose orale de 200 mg est prolongée (60-70 h) et la clairance orale varie de manière importante (2,1 ± 1,5 L/h selon le stress physiologique au cours de l'accouchement).
  • +Les résultats d'une étude pharmacocinétique menée chez 10 femmes enceintes infectées par le VIH-1 et recevant une dose orale unique de 100 ou 200 mg de Viramune 5,8 heures (médiane) avant la naissance de l'enfant montrent que la névirapine franchit la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose pas de données concernant la fertilité chez l'être humain.
  • +Des études de toxicité sur la reproduction ont montré une altération de la fertilité chez le rat (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +
  • -Les manifestations les plus fréquentes de la toxicité de Viramune sont des éruptions cutanées. Celles-ci ont été observées lors des études cliniques contrôlées chez 13,6 % des patients ayant reçu Viramune comprimés en association à d'autres antirétroviraux. Lors de ces études cliniques, des éruptions cutanées ont été constatées chez 24 % des patients traités par Viramune comprimés contre 15 % dans les groupes témoins. Des éruptions cutanées graves ou menaçant le pronostic vital sont survenues chez 1,7 % des patients traités par Viramune comprimés et 0,2 % dans les groupes témoins.
  • -Les éruptions cutanées sont habituellement d'intensité légère à modérée et à type d'éruptions érythémateuses maculo-papuleuses s'accompagnant ou non de prurit et localisées au tronc, à la face et aux membres. Des réactions allergiques telles que réaction anaphylactique, angioœdème et urticaire ont été rapportées. Les éruptions cutanées surviennent seules ou dans un contexte de manifestation d'hypersensibilité caractérisée par une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi qu'une ou plusieurs manifestations suivantes: modifications de la formule sanguine (éosinophilie, granulocytopénie) ou atteintes viscérales (hépatite, atteinte rénale). Des éruptions cutanées sévères, mettant en jeu le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par Viramune, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique. Des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et des réactions d'hypersensibilité fatals ont été rapportés.
  • +Les manifestations les plus fréquentes de la toxicité de Viramune sont des éruptions cutanées. Celles-ci ont été observées lors des études cliniques contrôlées chez 13,6 % des patients ayant reçu Viramune comprimés en association à d'autres antirétroviraux. Lors de ces études cliniques, des éruptions cutanées ont été constatées chez 24 % des patients traités par Viramune comprimés contre 15 % dans les groupes témoins.
  • +Des éruptions cutanées graves ou menaçant le pronostic vital sont survenues chez 1,7 % des patients traités par Viramune comprimés et 0,2 % dans les groupes témoins.
  • +Les éruptions cutanées sont habituellement d'intensité légère à modérée et à type d'éruptions érythémateuses maculo-papuleuses s'accompagnant ou non de prurit et localisées au tronc, à la face et aux membres.
  • +Des réactions allergiques telles que réaction anaphylactique, angioœdème et urticaire ont été rapportées.
  • +Les éruptions cutanées surviennent seules ou dans un contexte de manifestation d'hypersensibilité caractérisée par une éruption cutanée accompagnée de symptômes généraux tels que fièvre, arthralgie, myalgie, lymphadénopathie, ainsi qu'une ou plusieurs manifestations suivantes: modifications de la formule sanguine (éosinophilie, granulocytopénie) ou atteintes viscérales (hépatite, atteinte rénale). Des éruptions cutanées sévères, mettant en jeu le pronostic vital, sont survenues chez des patients traités par Viramune, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique. Des cas de syndrome de Stevens-Johnson, de nécrolyse épidermique toxique et des réactions d'hypersensibilité fatals ont été rapportés.
  • -Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients naïfs de traitement ont reçu une dose initiale de Viramune comprimés 200 mg une fois par jour pendant 14 jours, avant d'être randomisés pour recevoir soit Viramune comprimés 200 mg deux fois par jour, soit Viramune comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond. Un critère d'inclusion était un taux de CD4 inférieur à 250 cellules/mm3 (femmes) ou inférieur à 400 cellules/mm3 (hommes). L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 0,5 % au cours de la phase d'initiation. Après la phase d'initiation, l'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 2,4 % chez les patients sous Viramune comprimés, et de 1,6 % sous Viramune comprimés à libération prolongée. L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était comparable chez les hommes et chez les femmes.
  • -Les valeurs élevées d'ASAT ou ALAT et/ou une hépatite B et/ou C séropositive étaient associées à un risque plus élevé d'effets indésirables hépatiques (patients traités avec Viramune comprimés ou par placebo). Le risque de manifestation hépatique était de moins de 2 % chez les patients séronégatifs pour l'hépatite B et/ou C après un an de traitement par Viramune comprimés. Une surveillance étroite pendant les 18 premières semaines de traitement, puis régulière, est fortement recommandée (voir «Posologie/Mode d'emploi»). En cas d'élévation des paramètres hépatiques: voir les recommandations précises dans «Mises en garde et précautions».
  • +Au cours de l'étude 1100.1486 (VERxVE), des patients naïfs de traitement ont reçu une dose initiale de Viramune comprimés 200 mg une fois par jour pendant 14 jours, avant d'être randomisés pour recevoir soit Viramune comprimés 200 mg deux fois par jour, soit Viramune comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour. Tous les patients ont reçu l'association ténofovir + emtricitabine en traitement de fond. Un critère d'inclusion était un taux de CD4 inférieur à 250 cellules/mm3 (femmes) ou inférieur à 400 cellules/mm3 (hommes). L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 0,5 % au cours de la phase d'initiation. Après la phase d'initiation, l'incidence des complications hépatiques symptomatiques était de 2,4 % chez les patients sous Viramune comprimés, et de 1,6 % sous Viramune comprimés à libération prolongée.
  • +L'incidence des complications hépatiques symptomatiques était comparable chez les hommes et chez les femmes.
  • +Les valeurs élevées d'ASAT ou ALAT et/ou une hépatite B et/ou C séropositive étaient associées à un risque plus élevé d'effets indésirables hépatiques (patients traités avec Viramune comprimés ou par placebo). Le risque de manifestation hépatique était de moins de 2 % chez les patients séronégatifs pour l'hépatite B et/ou C après un an de traitement par Viramune comprimés. Une surveillance étroite pendant les 18 premières semaines de traitement, puis régulière, est fortement recommandée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +En cas d'élévation des paramètres hépatiques: voir les recommandations précises dans «Mises en garde et précautions».
  • -La pharmacocinétique de Viramune comprimés à libération prolongée a été étudiée au cours d'une étude pharmacocinétique à doses multiples (étude 1100.1489) auprès de 24 patients infectés par le VIH-1 dont le traitement au long cours par Viramune comprimés a été converti en Viramune comprimés à libération prolongée. L'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine, mesurées après 19 jours d'administration à jeun de Viramune comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, étaient respectivement d'environ 80 % et 90 % de l'ASC0-24,ss et de la Cmin,ss mesurées lors de l'administration de Viramune comprimés 200 mg deux fois par jour. La moyenne géométrique de la Cmin,ss de la névirapine était de 2770 ng/ml. Lorsque Viramune comprimés à libération prolongée était pris avec un repas riche en matières grasses, l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine étaient d'environ 94 % et 98 % respectivement de l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss mesurées après l'administration de Viramune comprimés. Les différences observées dans la pharmacocinétique de la névirapine après l'administration de Viramune comprimés à libération prolongée à jeun et après un repas ne sont pas considérées comme cliniquement significatives. Viramune comprimés à libération prolongée peut être pris avec ou sans nourriture.
  • +La pharmacocinétique de Viramune comprimés à libération prolongée a été étudiée au cours d'une étude pharmacocinétique à doses multiples (étude 1100.1489) auprès de 24 patients infectés par le VIH-1 dont le traitement au long cours par Viramune comprimés a été converti en Viramune comprimés à libération prolongée. L'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine, mesurées après 19 jours d'administration à jeun de Viramune comprimés à libération prolongée 400 mg une fois par jour, étaient respectivement d'environ 80 % et 90 % de l'ASC0-24,ss et de la Cmin,ss mesurées lors de l'administration de Viramune comprimés 200 mg deux fois par jour. La moyenne géométrique de la Cmin,ss de la névirapine était de 2770 ng/ml.
  • +Lorsque Viramune comprimés à libération prolongée était pris avec un repas riche en matières grasses, l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss de la névirapine étaient d'environ 94 % et 98 % respectivement de l'ASC0-24,ss et la Cmin,ss mesurées après l'administration de Viramune comprimés. Les différences observées dans la pharmacocinétique de la névirapine après l'administration de Viramune comprimés à libération prolongée à jeun et après un repas ne sont pas considérées comme cliniquement significatives. Viramune comprimés à libération prolongée peut être pris avec ou sans nourriture.
  • -Des études de toxicité ont montré une toxicité cutanée et lymphopoïétique chez deux espèces (rat et chien). Chez le rat, des indices suggèrent que les lésions cutanées observées peuvent être mises en relation avec la formation de complexes dans les organes cibles dus à la toxicité des métabolites de la névirapine et ainsi induire des réactions immunotoxiques (idiosyncrasie). Des études précliniques complémentaires ne sont toutefois pas disponibles. Une observation précise des mesures visant à diminuer les risques, mentionnées dans le paragraphe « Mises en garde et précautions », est par conséquent essentielle et le bénéfice potentiel de l'utilisation de la névirapine doit être évalué en fonction des risques évoqués.
  • +Des études de toxicité ont montré une toxicité cutanée et lymphopoïétique chez deux espèces (rat et chien). Chez le rat, des indices suggèrent que les lésions cutanées observées peuvent être mises en relation avec la formation de complexes dans les organes cibles dus à la toxicité des métabolites de la névirapine et ainsi induire des réactions immunotoxiques (idiosyncrasie). Des études précliniques complémentaires ne sont toutefois pas disponibles. Une observation précise des mesures visant à diminuer les risques, mentionnées dans le paragraphe «Mises en garde et précautions», est par conséquent essentielle et le bénéfice potentiel de l'utilisation de la névirapine doit être évalué en fonction des risques évoqués.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur le récipient.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Octobre 2020.
  • +Novembre 2022
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