104 Changements de l'information professionelle Fluoxetin Sandoz |
-Principe actif: Fluoxetinum hydrochloridum ut fluoxetini hydrochloridum.
-Excipients
-Capsules: color E 132, E 104; excipiens pro capsula.
-Comprimés dispersibles: excipiens pro compresso.
- +Principe actif: Fluoxetinum ut fluoxetini hydrochloridum.
- +Excipients: Excipiens pro compresso.
-Capsules
-1 capsule contient 20 mg de fluoxetinum ut fluoxetini hydrochloridum.
-La fluoxétine est indiquée pour le traitement de dépressions d’origine diverse et pour le traitement de la boulimie.
- +La fluoxétine est indiquée pour le traitement de dépressions d'origine diverse et pour le traitement de la boulimie.
-Bien que la fluoxétine ait été administrée à des doses atteignant 80 mg/jour au cours d’essais cliniques, l’effet clinique à la dose de 20 mg/jour a été comparable à celui de doses plus élevées. Si nécessaire dans des cas individuels, la dose peut être augmentée par paliers (de 20 mg) après quelques semaines de traitement. La dose maximale est de 80 mg de fluoxétine par jour.
- +Bien que la fluoxétine ait été administrée à des doses atteignant 80 mg/jour au cours d'essais cliniques, l'effet clinique à la dose de 20 mg/jour a été comparable à celui de doses plus élevées. Si nécessaire dans des cas individuels, la dose peut être augmentée par paliers (de 20 mg) après quelques semaines de traitement. La dose maximale est de 80 mg de fluoxétine par jour.
-Dans certains cas spécifiques (voir plus bas), la fréquence d’administration peut être réduite afin de diminuer la dose, par ex. à 20 mg tous les 2 jours.
- +Dans certains cas spécifiques (voir plus bas), la fréquence d'administration peut être réduite afin de diminuer la dose, par ex. à 20 mg tous les 2 jours.
-Mode d’administration correct
- +Mode d'administration correct
-Les comprimés dispersibles (sécables) peuvent être pris tels quels, entiers ou coupés en deux, ou dissous dans environ 100 ml d’eau.
- +Les comprimés dispersibles (sécables) peuvent être pris tels quels, entiers ou coupés en deux, ou dissous dans environ 100 ml d'eau.
-Le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans n’est pas recommandé (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans n'est pas recommandé (voir «Mises en garde et précautions»).
-Insuffisance rénale: en cas d’insuffisance rénale, une administration répétée de fluoxétine entraîne une accumulation, ce qui nécessite généralement d’adapter la dose.
-Insuffisance hépatique: en raison de l’allongement du métabolisme de la fluoxétine, la dose prévue doit être réduite, soit par ex. à 20 mg tous les 2 jours.
-Médication concomitante: il convient d’envisager d’administrer une dose plus faible ou moins fréquente aux patients prenant plusieurs médicaments.
-Symptômes de sevrage à l’arrêt du traitement par un ISRS: des symptômes de sevrage ont été rapportés en cas d’arrêt soudain du traitement par un ISRS, bien que les éléments disponibles ne permettent pas d’indiquer que ces symptômes soient dus à une dépendance. Ces symptômes incluent souvent vertiges, troubles du sommeil, paresthésies, céphalées, angoisse et nausées; dans la majorité des cas, ces réactions sont légères et spontanément résolutives. L’arrêt de Fluoxétine Sandoz a été associé à des symptômes de ce type. C’est pourquoi, lors de l’arrêt d’un traitement par Fluoxétine Sandoz, la dose doit être réduite par paliers pour diminuer le risque de manifestations de sevrage (voir aussi «Mises en garde et précautions: Réactions de sevrage à l’arrêt d’un traitement par un inhibiteur de la recapture de la sérotonine»).
- +Insuffisance rénale: en cas d'insuffisance rénale, une administration répétée de fluoxétine entraîne une accumulation, ce qui nécessite généralement d'adapter la dose.
- +Insuffisance hépatique: en raison de l'allongement du métabolisme de la fluoxétine, la dose prévue doit être réduite, soit par ex. à 20 mg tous les 2 jours.
- +Médication concomitante: il convient d'envisager d'administrer une dose plus faible ou moins fréquente aux patients prenant plusieurs médicaments.
- +Symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement par un ISRS: des symptômes de sevrage ont été rapportés en cas d'arrêt soudain du traitement par un ISRS, bien que les éléments disponibles ne permettent pas d'indiquer que ces symptômes soient dus à une dépendance. Ces symptômes incluent souvent vertiges, troubles du sommeil, paresthésies, céphalées, angoisse et nausées; dans la majorité des cas, ces réactions sont légères et spontanément résolutives. L'arrêt de Fluoxétine Sandoz a été associé à des symptômes de ce type. C'est pourquoi, lors de l'arrêt d'un traitement par Fluoxétine Sandoz, la dose doit être réduite par paliers pour diminuer le risque de manifestations de sevrage (voir aussi «Mises en garde et précautions: Réactions de sevrage à l'arrêt d'un traitement par un inhibiteur de la recapture de la sérotonine»).
-Hypersensibilité à la fluoxétine ou à l’un des excipients de Fluoxétine Sandoz. En cas d’état maniaque aigu, ne pas instaurer de traitement par la fluoxétine.
-Inhibiteurs de la MAO (irréversibles et réversibles): l’utilisation conjointe de fluoxétine et d’inhibiteurs de la MAO doit être évitée. En cas d’administration concomitante de fluoxétine et d’inhibiteurs de la MAO ou d’antidépresseurs sérotoninergiques (par ex. clomipramine, préparations contenant de l’Hypericum perforatum), des réactions graves ont été rapportées.
-Parmi les symptômes d’une interaction avec un inhibiteur de la MAO, on compte: hyperthermie, rigidité musculaire, myoclonie, instabilité du système nerveux autonome avec variations potentiellement rapides du pouls et de la respiration et modifications de l’état psychique incluant confusion, irritabilité et agitation extrême menant progressivement au délire et au coma.
-Comme la fluoxétine et son métabolite actif ont une longue demi-vie, il est nécessaire de respecter un intervalle d’au moins 5 semaines (environ 5 demi-vies de la norfluoxétine) entre l’arrêt de Fluoxétine Sandoz et l’instauration d’un traitement par inhibiteurs de la MAO. L’administration d’inhibiteurs de la MAO dans les 5 semaines suivant l’arrêt de Fluoxétine Sandoz peut aggraver le risque d’effets secondaires graves. Des décès ont été rapportés après la prise d’un inhibiteur de la MAO peu de temps après l’arrêt de Fluoxétine Sandoz.
-Si la fluoxétine est prescrite de façon chronique et/ou à des doses élevées, il convient d’envisager un intervalle plus long.
-Le traitement par la fluoxétine ne peut commencer que 2 semaines au plus tôt après l’arrêt d’un inhibiteur irréversible de la MAO ou un jour après l’arrêt d’un inhibiteur réversible de la MAO-A.
- +Hypersensibilité à la fluoxétine ou à l'un des excipients de Fluoxétine Sandoz. En cas d'état maniaque aigu, ne pas instaurer de traitement par la fluoxétine.
- +Inhibiteurs de la MAO (irréversibles et réversibles): l'utilisation conjointe de fluoxétine et d'inhibiteurs de la MAO doit être évitée. En cas d'administration concomitante de fluoxétine et d'inhibiteurs de la MAO ou d'antidépresseurs sérotoninergiques (par ex. clomipramine, préparations contenant de l'Hypericum perforatum), des réactions graves ont été rapportées.
- +Parmi les symptômes d'une interaction avec un inhibiteur de la MAO, on compte: hyperthermie, rigidité musculaire, myoclonie, instabilité du système nerveux autonome avec variations potentiellement rapides du pouls et de la respiration et modifications de l'état psychique incluant confusion, irritabilité et agitation extrême menant progressivement au délire et au coma.
- +Comme la fluoxétine et son métabolite actif ont une longue demi-vie, il est nécessaire de respecter un intervalle d'au moins 5 semaines (environ 5 demi-vies de la norfluoxétine) entre l'arrêt de Fluoxétine Sandoz et l'instauration d'un traitement par inhibiteurs de la MAO. L'administration d'inhibiteurs de la MAO dans les 5 semaines suivant l'arrêt de Fluoxétine Sandoz peut aggraver le risque d'effets secondaires graves. Des décès ont été rapportés après la prise d'un inhibiteur de la MAO peu de temps après l'arrêt de Fluoxétine Sandoz.
- +Si la fluoxétine est prescrite de façon chronique et/ou à des doses élevées, il convient d'envisager un intervalle plus long.
- +Le traitement par la fluoxétine ne peut commencer que 2 semaines au plus tôt après l'arrêt d'un inhibiteur irréversible de la MAO ou un jour après l'arrêt d'un inhibiteur réversible de la MAO-A.
-Dans les cas de dépression, le risque de pensées suicidaires, d’automutilation et de suicide (ou d’événements liés à une tentative de suicide) est plus élevé. Le risque reste présent jusqu’à rémission complète. Un risque accru de comportements suicidaires peut aussi être associé à d’autres pathologies psychiatriques pour le traitement desquelles Fluoxétine Sandoz peut être utilisé.
-Le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans par Fluoxétine Sandoz n’est pas recommandé car les comportements suicidaires (tentatives de suicide et pensées suicidaires) et hostiles (principalement agressivité, comportement d’opposition et colère), au cours des études cliniques, ont été observés plus souvent chez les enfants et les adolescents traités par des antidépresseurs que chez les sujets sous placebo.
-Bien qu’on n’ait pas pu prouver jusqu’ici l’existence d’une relation causale entre Fluoxétine Sandoz et l’apparition de ces événements, les évaluations de données d’études groupées ont montré que les pensées et/ou comportements suicidaires étaient accrus chez les enfants et les jeunes adultes (moins de 25 ans) sous antidépresseurs comparativement au placebo. Au risque de suicide dû au traitement s’oppose le risque connu d’une dépression insuffisamment traitée.
-En accompagnement de la pharmacothérapie, les patients doivent être étroitement surveillés. Quel que soit l’âge des patients, ils doivent être encouragés par les médecins à discuter avec eux de l’apparition de pensées ou de sentiments déprimants.
-Une analyse d’études contrôlées dans lesquelles des adultes présentant un épisode dépressif selon la classification ICD-10 (ou Major Depressive Disorder [MDD] d’après la classification DSM-IV) avaient été inclus a révélé les facteurs de risque suivants sous placebo et fluoxétine s’agissant de la tendance suicidaire:
- +Dans les cas de dépression, le risque de pensées suicidaires, d'automutilation et de suicide (ou d'événements liés à une tentative de suicide) est plus élevé. Le risque reste présent jusqu'à rémission complète. Un risque accru de comportements suicidaires peut aussi être associé à d'autres pathologies psychiatriques pour le traitement desquelles Fluoxétine Sandoz peut être utilisé.
- +Le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans par Fluoxétine Sandoz n'est pas recommandé car les comportements suicidaires (tentatives de suicide et pensées suicidaires) et hostiles (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère), au cours des études cliniques, ont été observés plus souvent chez les enfants et les adolescents traités par des antidépresseurs que chez les sujets sous placebo.
- +Bien qu'on n'ait pas pu prouver jusqu'ici l'existence d'une relation causale entre Fluoxétine Sandoz et l'apparition de ces événements, les évaluations de données d'études groupées ont montré que les pensées et/ou comportements suicidaires étaient accrus chez les enfants et les jeunes adultes (moins de 25 ans) sous antidépresseurs comparativement au placebo. Au risque de suicide dû au traitement s'oppose le risque connu d'une dépression insuffisamment traitée.
- +En accompagnement de la pharmacothérapie, les patients doivent être étroitement surveillés. Quel que soit l'âge des patients, ils doivent être encouragés par les médecins à discuter avec eux de l'apparition de pensées ou de sentiments déprimants.
- +Une analyse d'études contrôlées dans lesquelles des adultes présentant un épisode dépressif selon la classification ICD-10 (ou Major Depressive Disorder MDD d'après la classification DSM-IV) avaient été inclus a révélé les facteurs de risque suivants sous placebo et fluoxétine s'agissant de la tendance suicidaire:
-– gravité croissante de la dépression,
-– existence de pensées suicidaires.
- +·gravité croissante de la dépression
- +·existence de pensées suicidaires
-– aggravation de la dépression,
-– apparition d’une insomnie.
- +·aggravation de la dépression
- +·apparition d'une insomnie
-Si ce type de tableau clinique est observé avant le début du traitement ou apparaît en cours de traitement, il convient de renforcer la surveillance clinique ou d’envisager de changer de traitement.
-Une modification du schéma thérapeutique, y compris arrêt possible du médicament, doit être envisagée pour les patients dont l’état s’aggrave de manière constante ou chez lesquels le risque suicidaire émergent est marqué, apparaît soudainement ou ne faisait pas partie des symptômes initiaux. Il convient d’attirer l’attention des patients et des personnes qui les soignent sur la survenue possible d’une tendance suicidaire dans le cadre d’un traitement antidépresseur et sur la nécessité absolue de consulter le médecin traitant dans ce cas.
-Les patients doivent être bien surveillés également après l’arrêt du traitement car ces symptômes peuvent apparaître à ce moment-là, aussi bien sous forme de signes de sevrage que de début de rechute.
-Des troubles psychiatriques autres qu’une dépression peuvent aussi entraîner une augmentation du risque de comportement suicidaire.
-De tels diagnostics psychiatriques peuvent aussi survenir dans le cadre d’une dépression. C’est pourquoi les mêmes précautions concernant le risque de suicide que chez les patients dépressifs devront être respectées pour les patients atteints de ces troubles.
-Afin de réduire le risque de surdosage, il conviendra de prescrire la quantité de comprimés ou de capsules la plus faible et la mieux adaptée possible.
-Manie/hypomanie
-Jusqu’à apparition de l’effet antidépresseur (1–3 semaines), il convient de surveiller suffisamment les patients afin de détecter la survenue éventuelle de symptômes maniaques ou hypomaniaques. Comme tout antidépresseur, la fluoxétine doit être arrêtée lorsqu’un patient entre en phase de manie.
-Au cours d’études sur la fluoxétine réalisées aux États-Unis, des états hypomaniaques ou maniaques sont apparus chez 0,1% des patients atteints de dépression et chez 0,7% de l’ensemble des patients.
-Hémorragies
-Les ISRS et IRSN, y compris la fluoxétine, peuvent augmenter le risque d’hémorragies, y compris les saignements gynécologiques et gastro-intestinaux (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient d’être prudent en cas d’utilisation concomitante de fluoxétine et d’anticoagulants oraux et/ou de médicaments dont on sait qu’ils ont une influence sur la fonction plaquettaire (p.ex. AINS, acide acétylsalicylique, neuroleptiques atypiques tels que la clozapine, phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques) et chez les patients présentant une tendance connue aux saignements. Des cas de saignements cutanés de type ecchymose et purpura ont été rapportés en lien avec les ISRS. Pendant le traitement par la fluoxétine, des ecchymoses ont été occasionnellement signalées.
-Problèmes cardiovasculaires
- +Si ce type de tableau clinique est observé avant le début du traitement ou apparaît en cours de traitement, il convient de renforcer la surveillance clinique ou d'envisager de changer de traitement.
- +Une modification du schéma thérapeutique, y compris l'arrêt possible du médicament, doit être envisagée pour les patients dont l'état s'aggrave de manière constante ou chez lesquels le risque suicidaire émergent est marqué, apparaît soudainement ou ne faisait pas partie des symptômes initiaux. Il convient d'attirer l'attention des patients et des personnes qui les soignent sur la survenue possible d'une tendance suicidaire dans le cadre d'un traitement antidépresseur et sur la nécessité absolue de consulter le médecin traitant dans ce cas.
- +Les patients doivent être bien surveillés également après l'arrêt du traitement car ces symptômes peuvent apparaître à ce moment-là, aussi bien sous forme de signes de sevrage que de début de rechute.
- +Des troubles psychiatriques autres qu'une dépression peuvent aussi entraîner une augmentation du risque de comportement suicidaire.
- +De tels diagnostics psychiatriques peuvent aussi survenir dans le cadre d'une dépression. C'est pourquoi les mêmes précautions concernant le risque de suicide que chez les patients dépressifs devront être respectées pour les patients atteints de ces troubles.
- +Afin de réduire le risque de surdosage, il conviendra de prescrire la quantité de comprimés la plus faible et la mieux adaptée possible.
- +Manie/hypomanie:
- +Jusqu'à apparition de l'effet antidépresseur (1–3 semaines), il convient de surveiller suffisamment les patients afin de détecter la survenue éventuelle de symptômes maniaques ou hypomaniaques. Comme tout antidépresseur, la fluoxétine doit être arrêtée lorsqu'un patient entre en phase de manie.
- +Au cours d'études sur la fluoxétine réalisées aux États-Unis, des états hypomaniaques ou maniaques sont apparus chez 0,1% des patients atteints de dépression et chez 0,7% de l'ensemble des patients.
- +Hémorragies:
- +Les ISRS et IRSN, y compris la fluoxétine, peuvent augmenter le risque d'hémorragies, y compris les saignements gynécologiques et gastro-intestinaux (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient d'être prudent en cas d'utilisation concomitante de fluoxétine et d'anticoagulants oraux et/ou de médicaments dont on sait qu'ils ont une influence sur la fonction plaquettaire (p.ex. AINS, acide acétylsalicylique, neuroleptiques atypiques tels que la clozapine, phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques) et chez les patients présentant une tendance connue aux saignements.
- +Des cas de saignements cutanés de type ecchymose et purpura ont été rapportés en lien avec les ISRS. Pendant le traitement par la fluoxétine, des ecchymoses ont été occasionnellement signalées.
- +Problèmes cardiovasculaires:
-Puisque la prolongation de l’intervalle QT est un risque potentiel avec la fluoxétine dans certaines circonstances, la fluoxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients souffrant d’affections telles qu’un syndrome du QT long congénital, syndrome du QT long acquis (p.ex. lié à l’utilisation concomitante de médicaments qui prolongent le QT), antécédents familiaux de prolongation du QT, ou tout autre affection clinique qui prédispose aux arythmies (p.ex. hypokaliémie ou hypomagnésémie) ou exposition augmentée à la fluoxétine (p.ex. insuffisance hépatique).
-Interactions/syndrome sérotoninergique
-Pour les inhibiteurs de la MAO, voir «Contre-indications». En cas d’association avec d’autres substances actives sérotoninergiques telles que les triptans, le lithium, le L-tryptophane et/ou d’autres neuroleptiques, un syndrome sérotoninergique peut survenir dans de rares cas. Les symptômes typiques de ce syndrome sont les suivants: hyperréflexie, tremblement, myoclonie, rigidité, altérations de l’état mental de type agitation, angoisse, confusion, hallucinations, irritabilité pouvant atteindre le délire et le coma, ainsi que tachycardie, variations de la tension artérielle, hyperthermie, nausées, vomissements, diarrhées.
-Acathisie/agitation psychomotrice
-L’utilisation de Fluoxétine Sandoz a été associée à l’apparition d’acathisies, caractérisées par une agitation perçue comme déplaisante ou pénible et par la nécessité de se déplacer, souvent en association avec une incapacité à rester assis ou debout tranquillement. Ces symptômes apparaissent surtout pendant les premières semaines de traitement. Une augmentation de la dose peut être néfaste pour les patients présentant ce type de symptômes.
-Réactions de sevrage à l’arrêt d’un traitement par un inhibiteur de la recapture de la sérotonine
-Les réactions de sevrage sont fréquentes à l’arrêt du traitement, en particulier s’il est interrompu soudainement (voir «Effets indésirables»). Au cours des essais cliniques, des effets secondaires sont apparus après l’arrêt du traitement dans le groupe fluoxétine ainsi que dans le groupe placebo chez 60% des patients. Ces effets secondaires ont été graves dans 17% des cas dans le groupe fluoxétine et dans 12% des cas dans le groupe placebo. Le risque de réactions de sevrage peut dépendre de plusieurs facteurs, notamment la durée du traitement, la dose et la vitesse de réduction de la dose. Des vertiges, des troubles de la sensibilité (incluant des paresthésies), des troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), une faiblesse, une agitation ou une angoisse, des nausées et/ou des vomissements, des tremblements et des céphalées sont les réactions les plus souvent rapportées. Généralement, ces symptômes sont légers à modérément graves; ils peuvent être graves chez quelques patients. Ils apparaissent normalement au cours des premiers jours suivant l’arrêt du traitement. Généralement, ces symptômes régressent d’eux-mêmes et disparaissent en deux semaines. Chez quelques personnes, ils peuvent persister plus longtemps (2–3 mois ou plus). Il est donc recommandé, lors de l’arrêt du traitement par Fluoxétine Sandoz, de réduire la dose par paliers en plusieurs semaines ou mois, en fonction des besoins du patient (voir «Posologie/Mode d’emploi: Symptômes de sevrage à l’arrêt du traitement par un ISRS»).
-Éruption cutanée
-Depuis l’introduction du chlorhydrate de fluoxétine, on a observé, chez les patients présentant des éruptions cutanées, des maladies systémiques qui pourraient être liées à une vasculite. Ces cas n’apparaissent certes que rarement mais peuvent avoir des conséquences sérieuses en raison de leur impact sur les poumons, les reins ou le foie. D’après les observations rapportées, ces maladies systémiques peuvent aussi être mortelles. Des cas de manifestations anaphylactiques, par ex. bronchospasme, oedème de Quincke et urticaire, ont été rapportés.
-En cas d’apparition d’une éruption cutanée ou d’autres phénomènes susceptibles d’être de nature allergique et pour lesquels aucune autre cause ne peut être identifiée, il convient d’arrêter la fluoxétine.
-Crises convulsives
-Les crises convulsives sont un risque possible lié aux antidépresseurs. C’est pourquoi il convient d’être prudent, comme avec les autres antidépresseurs, lors de l’instauration d’un traitement par la fluoxétine chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives. En cas d’apparition de crises convulsives ou d’augmentation de la fréquence des crises convulsives chez un patient, le traitement doit être interrompu. Il convient d’éviter le traitement par la fluoxétine chez les patients présentant une épilepsie instable. Les patients présentant une épilepsie bien contrôlée doivent être étroitement surveillés.
-Hyponatrémie
-Des cas d’hyponatrémie (dont quelques-uns avec des concentrations de sodium inférieures à 110 mmol/l) ont été rapportés. Ces cas ont concerné pour la plupart des sujets âgés et des sujets traités par des diurétiques, ou des patients déjà hypovolémiques (voir «Effets indésirables»).
-Surveillance de la glycémie
-Chez les patients diabétiques, des épisodes d’hypoglycémie sont survenus pendant le traitement par la fluoxétine et une hyperglycémie est apparue après l’arrêt du traitement. La dose d’insuline et d’antidiabétiques oraux doit éventuellement être adaptée lors de l’instauration ou de l’arrêt d’un traitement par la fluoxétine.
-Dépendance physique et psychique
-Comme lors de l’administration d’autres médicaments agissant sur le SNC, les médecins doivent examiner attentivement la possibilité d’un antécédent éventuel de dépendance à des médicaments; les patients concernés doivent être surveillés et on devra rechercher chez eux des signes correspondants à un éventuel abus de Fluoxétine Sandoz (par ex. apparition d’une tolérance, augmentation de la dose, demande excessive du médicament).
- +Une prolongation de l'intervalle QT peut survenir sous traitement avec la fluoxétine. Des cas d'arythmie ventriculaire, y compris torsades de pointe, ont été rapportés après la mise sur le marché. La fluoxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients souffrant d'affections telles qu'un syndrome du QT long congénital, syndrome du QT long acquis (p.ex. lié à l'utilisation concomitante de médicaments qui prolongent le QT), antécédents familiaux de prolongation du QT, ou toute autre affection clinique qui prédispose aux arythmies (p.ex. hypokaliémie ou hypomagnésémie) ou exposition augmentée à la fluoxétine (p.ex. insuffisance hépatique).
- +Interactions/syndrome sérotoninergique:
- +Pour les inhibiteurs de la MAO, voir «Contre-indications». En cas d'association avec d'autres substances actives sérotoninergiques telles que les triptans, le lithium, le L-tryptophane et/ou d'autres neuroleptiques, un syndrome sérotoninergique peut survenir dans de rares cas. Les symptômes typiques de ce syndrome sont les suivants: hyperréflexie, tremblement, myoclonie, rigidité, altérations de l'état mental de type agitation, angoisse, confusion, hallucinations, irritabilité pouvant atteindre le délire et le coma, ainsi que tachycardie, variations de la tension artérielle, hyperthermie, nausées, vomissements, diarrhées.
- +Acathisie/agitation psychomotrice:
- +L'utilisation de Fluoxétine Sandoz a été associée à l'apparition d'acathisies, caractérisées par une agitation perçue comme déplaisante ou pénible et par la nécessité de se déplacer, souvent en association avec une incapacité à rester assis ou debout tranquillement. Ces symptômes apparaissent surtout pendant les premières semaines de traitement. Une augmentation de la dose peut être néfaste pour les patients présentant ce type de symptômes.
- +Réactions de sevrage à l'arrêt d'un traitement par un inhibiteur de la recapture de la sérotonine:
- +Les réactions de sevrage sont fréquentes à l'arrêt du traitement, en particulier s'il est interrompu soudainement (voir «Effets indésirables»). Au cours des essais cliniques, des effets secondaires sont apparus après l'arrêt du traitement dans le groupe fluoxétine ainsi que dans le groupe placebo chez 60% des patients. Ces effets secondaires ont été graves dans 17% des cas dans le groupe fluoxétine et dans 12% des cas dans le groupe placebo. Le risque de réactions de sevrage peut dépendre de plusieurs facteurs, notamment la durée du traitement, la dose et la vitesse de réduction de la dose. Des vertiges, des troubles de la sensibilité (incluant des paresthésies), des troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), une faiblesse, une agitation ou une angoisse, des nausées et/ou des vomissements, des tremblements et des céphalées sont les réactions les plus souvent rapportées. Généralement, ces symptômes sont légers à modérément graves; ils peuvent être graves chez quelques patients. Ils apparaissent normalement au cours des premiers jours suivant l'arrêt du traitement. Généralement, ces symptômes régressent d'eux-mêmes et disparaissent en deux semaines. Chez quelques personnes, ils peuvent persister plus longtemps (2–3 mois ou plus). Il est donc recommandé, lors de l'arrêt du traitement par Fluoxétine Sandoz, de réduire la dose par paliers en plusieurs semaines ou mois, en fonction des besoins du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi: symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement par un ISRS»).
- +Éruption cutanée:
- +Depuis l'introduction du chlorhydrate de fluoxétine, on a observé, chez les patients présentant des éruptions cutanées, des maladies systémiques qui pourraient être liées à une vasculite. Ces cas n'apparaissent certes que rarement mais peuvent avoir des conséquences sérieuses en raison de leur impact sur les poumons, les reins ou le foie. D'après les observations rapportées, ces maladies systémiques peuvent aussi être mortelles. Des cas de manifestations anaphylactiques, par ex. bronchospasme, oedème de Quincke et urticaire, ont été rapportés.
- +En cas d'apparition d'une éruption cutanée ou d'autres phénomènes susceptibles d'être de nature allergique et pour lesquels aucune autre cause ne peut être identifiée, il convient d'arrêter la fluoxétine.
- +Crises convulsives:
- +Les crises convulsives sont un risque possible lié aux antidépresseurs. C'est pourquoi il convient d'être prudent, comme avec les autres antidépresseurs, lors de l'instauration d'un traitement par la fluoxétine chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives. En cas d'apparition de crises convulsives ou d'augmentation de la fréquence des crises convulsives chez un patient, le traitement doit être interrompu. Il convient d'éviter le traitement par la fluoxétine chez les patients présentant une épilepsie instable. Les patients présentant une épilepsie bien contrôlée doivent être étroitement surveillés.
- +Hyponatrémie:
- +Des cas d'hyponatrémie (dont quelques-uns avec des concentrations de sodium inférieures à 110 mmol/l) ont été rapportés. Ces cas ont concerné pour la plupart des sujets âgés et des sujets traités par des diurétiques, ou des patients déjà hypovolémiques (voir «Effets indésirables»).
- +Surveillance de la glycémie:
- +Chez les patients diabétiques, des épisodes d'hypoglycémie sont survenus pendant le traitement par la fluoxétine et une hyperglycémie est apparue après l'arrêt du traitement. La dose d'insuline et d'antidiabétiques oraux doit éventuellement être adaptée lors de l'instauration ou de l'arrêt d'un traitement par la fluoxétine.
- +Dépendance physique et psychique:
- +Comme lors de l'administration d'autres médicaments agissant sur le SNC, les médecins doivent examiner attentivement la possibilité d'un antécédent éventuel de dépendance à des médicaments; les patients concernés doivent être surveillés et on devra rechercher chez eux des signes correspondants à un éventuel abus de Fluoxétine Sandoz (par ex. apparition d'une tolérance, augmentation de la dose, demande excessive du médicament).
-Millepertuis (Hypericum perforatum)
-Des effets indésirables peuvent survenir en cas d’utilisation simultanée d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de préparations à base de plantes contenant du millepertuis. En particulier, les effets sérotoninergiques peuvent être accrus, sous la forme d’un syndrome sérotoninergique.
-Mydriase
- +Millepertuis (Hypericum perforatum):
- +Des effets indésirables peuvent survenir en cas d'utilisation simultanée d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de préparations à base de plantes contenant du millepertuis. En particulier, les effets sérotoninergiques peuvent être accrus, sous la forme d'un syndrome sérotoninergique.
- +Mydriase:
-En raison de la demi-vie d’élimination prolongée de la molécule mère et des métabolites, les modifications de la dose ne sont pas reflétées complètement dans les concentrations plasmatiques au cours des premières semaines, ce qui perturbe la détermination du titre final d’une dose éventuelle à administrer et l’interruption éventuelle du traitement (voir «Pharmacocinétique»). Les mêmes considérations s’appliquent à l’apparition possible d’interactions.
-Lors d’un traitement concomitant par des substances agissant sur le SNC, il convient d’être prudent pour la détermination de la dose, car les effets mutuels peuvent être renforcés (voir «Interactions»).
-Comme la fluoxétine est fortement liée aux protéines plasmatiques, l’administration de fluoxétine à des patients prenant déjà un autre médicament également fortement lié aux protéines plasmatiques (par ex. anticoagulants oraux, digitoxine) peut engendrer une différence de concentrations plasmatiques qui peut à son tour entraîner des réactions indésirables (voir «Interactions»).
- +En raison de la demi-vie d'élimination prolongée de la molécule mère et des métabolites, les modifications de la dose ne sont pas reflétées complètement dans les concentrations plasmatiques au cours des premières semaines, ce qui perturbe la détermination du titre final d'une dose éventuelle à administrer et l'interruption éventuelle du traitement (voir «Pharmacocinétique»). Les mêmes considérations s'appliquent à l'apparition possible d'interactions.
- +Lors d'un traitement concomitant par des substances agissant sur le SNC, il convient d'être prudent pour la détermination de la dose, car les effets mutuels peuvent être renforcés (voir «Interactions»).
- +Comme la fluoxétine est fortement liée aux protéines plasmatiques, l'administration de fluoxétine à des patients prenant déjà un autre médicament également fortement lié aux protéines plasmatiques (par ex. anticoagulants oraux, digitoxine) peut engendrer une différence de concentrations plasmatiques qui peut à son tour entraîner des réactions indésirables (voir «Interactions»).
-L’administration concomitante de fluoxétine et d’autres substances sérotoninergiques (inhibiteurs de la MAO, triptans, L-tryptophane, lithium, antidépresseurs tricycliques, préparations contenant du millepertuis, etc.) peut entraîner un syndrome sérotoninergique (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Médicaments métabolisés par l’isoenzyme 2D6 du cytochrome P450: comme la fluoxétine peut inhiber l’isoenzyme 2D6 du cytochrome P450, l’introduction d’un médicament métabolisé principalement par l’enzyme P450 2D6 (par ex. imipramine, désipramine, rispéridone, venlafaxine, halopéridol, clozapine, flécaïnide, propafénone), en particulier s’il a un index thérapeutique étroit, en même temps qu’un traitement par la fluoxétine ou dans les 5 semaines suivant ce traitement, doit être effectuée progressivement ou à une dose réduite.
-Médicaments métabolisés par le CYP3A4 ou le CYP2C: des modifications de la concentration sanguine de l’alprazolam, de la carbamazépine, du diazépam ou de la phénytoïne ont été observées ainsi que, dans quelques cas, des symptômes de toxicité. Des dosages plus prudents pour le produit concomitant et la surveillance de l’état clinique doivent être envisagés.
-Liaison aux protéines: comme la fluoxétine se lie fortement aux protéines plasmatiques, la prise de fluoxétine en plus d’un autre médicament fortement lié aux protéines peut modifier la concentration plasmatique de chacun des deux médicaments.
-Dans quelques cas, des interactions avec la digoxine ont été décrites. En cas d’administration concomitante de fluoxétine et de digoxine, il convient donc de vérifier la concentration de digoxine.
-Warfarine et autres anticoagulants oraux: de rares cas de modification des effets anticoagulants (analyses biologiques et/ou signes et symptômes cliniques) sans tableau symptomatique précis mais avec augmentation du saignement ont été rapportés en cas d’administration de fluoxétine avec la warfarine. La coagulation des patients qui reçoivent concomitamment une préparation à base de coumarine doit être soigneusement surveillée lors de l’instauration ou de l’arrêt d’un traitement par la fluoxétine.
-Électroconvulsivothérapie (ECT): des cas de prolongation de crises épileptiques ont été rapportés chez des patients traités par ECT sous fluoxétine. Il convient donc d’être prudent.
-Demi-vie d’élimination: la demi-vie d’élimination prolongée de la fluoxétine et de son principal métabolite, la norfluoxétine, peut potentiellement avoir des effets après l’arrêt de la fluoxétine lorsque des médicaments interagissant avec l’une de ces substances sont prescrits.
- +L'administration concomitante de fluoxétine et d'autres substances sérotoninergiques (inhibiteurs de la MAO, triptans, L-tryptophane, lithium, antidépresseurs tricycliques, préparations contenant de l'Hypericum perforatum, etc.) peut entraîner un syndrome sérotoninergique (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Médicaments métabolisés par l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450: comme la fluoxétine peut inhiber l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450, l'introduction d'un médicament métabolisé principalement par l'enzyme P450 2D6 (par ex. imipramine, désipramine, rispéridone, venlafaxine, halopéridol, clozapine, flécaïnide, propafénone), en particulier s'il a un index thérapeutique étroit, en même temps qu'un traitement par la fluoxétine ou dans les 5 semaines suivant ce traitement, doit être effectuée progressivement ou à une dose réduite.
- +Médicaments métabolisés par le CYP3A4 ou le CYP2C: des modifications de la concentration sanguine de l'alprazolam, de la carbamazépine, du diazépam ou de la phénytoïne ont été observées ainsi que, dans quelques cas, des symptômes de toxicité. Des dosages plus prudents pour le produit concomitant et la surveillance de l'état clinique doivent être envisagés.
- +Liaison aux protéines: comme la fluoxétine se lie fortement aux protéines plasmatiques, la prise de fluoxétine en plus d'un autre médicament fortement lié aux protéines peut modifier la concentration plasmatique de chacun des deux médicaments.
- +Dans quelques cas, des interactions avec la digoxine ont été décrites. En cas d'administration concomitante de fluoxétine et de digoxine, il convient donc de vérifier la concentration de digoxine.
- +Warfarine et autres anticoagulants oraux: de rares cas de modification des effets anticoagulants (analyses biologiques et/ou signes et symptômes cliniques) sans tableau symptomatique précis mais avec augmentation du saignement ont été rapportés en cas d'administration de fluoxétine avec la warfarine. La coagulation des patients qui reçoivent concomitamment une préparation à base de coumarine doit être soigneusement surveillée lors de l'instauration ou de l'arrêt d'un traitement par la fluoxétine.
- +Électroconvulsivothérapie (ECT): des cas de prolongation de crises épileptiques ont été rapportés chez des patients traités par ECT sous fluoxétine. Il convient donc d'être prudent.
- +Demi-vie d'élimination: la demi-vie d'élimination prolongée de la fluoxétine et de son principal métabolite, la norfluoxétine, peut potentiellement avoir des effets après l'arrêt de la fluoxétine lorsque des médicaments interagissant avec l'une de ces substances sont prescrits.
-L’effet des dépresseurs du système nerveux central peut être renforcé par Fluoxétine Sandoz. De plus, il peut y avoir une élévation de la concentration plasmatique d’autres antidépresseurs en association avec Fluoxétine Sandoz.
- +L'effet des dépresseurs du système nerveux central peut être renforcé par Fluoxétine Sandoz. De plus, il peut y avoir une élévation de la concentration plasmatique d'autres antidépresseurs en association avec Fluoxétine Sandoz.
-La fluoxétine peut entraîner une élévation de la concentration de lithium; un contrôle plus fréquent s’impose donc en cas d’administration concomitante de ces deux substances. Concernant le risque de syndrome sérotoninergique, voir «Mises en garde et précautions».
- +La fluoxétine peut entraîner une élévation de la concentration de lithium; un contrôle plus fréquent s'impose donc en cas d'administration concomitante de ces deux substances. Concernant le risque de syndrome sérotoninergique, voir «Mises en garde et précautions».
-Il convient d’éviter de consommer de l’alcool pendant le traitement bien que des études spécifiques n’aient pas révélé de renforcement de l’effet de l’alcool par Fluoxétine Sandoz.
- +Il convient d'éviter de consommer de l'alcool pendant le traitement bien que des études spécifiques n'aient pas révélé de renforcement de l'effet de l'alcool par Fluoxétine Sandoz.
-Aucune interaction n’a été observée jusqu’à présent en cas de prise simultanée d’alcool, de barbituriques, d’autres tranquillisants et somnifères, de diurétiques thiazidiques, de médicaments pour la pression sanguine et d’analgésiques, d’hormones thyroïdiennes, d’antihistaminiques, d’antibiotiques, de cimétidine et d’autres antiacides.
- +Aucune interaction n'a été observée jusqu'à présent en cas de prise simultanée d'alcool, de barbituriques, d'autres tranquillisants et somnifères, de diurétiques thiazidiques, de médicaments pour la pression sanguine et d'analgésiques, d'hormones thyroïdiennes, d'antihistaminiques, d'antibiotiques, de cimétidine et d'autres antiacides.
-Des effets indésirables peuvent survenir en cas d’utilisation simultanée d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de préparations à base de plantes contenant du millepertuis.
- +Des effets indésirables peuvent survenir en cas d'utilisation simultanée d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de préparations à base de plantes contenant du millepertuis.
-Grossesse
-Les résultats de plusieurs études épidémiologiques sur les risques d’une exposition à la fluoxétine en début de grossesse ont été inconsistants et n’ont jusqu’ici pas apporté de preuve concluante d’un risque augmenté de malformation congénitale. Cependant, une méta-analyse montre un risque potentiel d‘anomalies cardiovasculaires chez les enfants dont les mères avaient reçu de la fluoxétine durant le premier trimestre de la grossesse, comparé aux enfants dont les mères n’avaient pas reçu de fluoxétine.
- +Grossesse:
- +Les résultats de plusieurs études épidémiologiques sur les risques d'une exposition à la fluoxétine en début de grossesse ont été inconsistants et n'ont jusqu'ici pas apporté de preuve concluante d'un risque augmenté de malformation congénitale. Cependant, une méta-analyse montre un risque potentiel d'anomalies cardiovasculaires chez les enfants dont les mères avaient reçu de la fluoxétine durant le premier trimestre de la grossesse, comparé aux enfants dont les mères n'avaient pas reçu de fluoxétine.
-Il convient d’être particulièrement prudent en fin de grossesse car, après l’administration de fluoxétine et d’autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, les symptômes de sevrage suivants sont apparus chez quelques nouveau-nés: troubles de l’alimentation et du sommeil, difficultés respiratoires, crises convulsives, variations de la température, hypoglycémie, tremblements, hypotonie musculaire, hyperréflexie, vomissements, agitation passagère, irritabilité anormale et pleurs constants.
-Les nouveau-nés dont les mères ont pris un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS) en fin de grossesse peuvent avoir un risque augmenté d‘hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (PPHN).
-Allaitement
-La fluoxétine est excrétée dans le lait maternel. Lorsqu’un traitement par Fluoxétine Sandoz est nécessaire, l’allaitement doit être stoppé.
-Travail et accouchement
-L’effet de la fluoxétine sur le travail et l’accouchement chez la femme n’est pas connu.
- +Il convient d'être particulièrement prudent en fin de grossesse car, après l'administration de fluoxétine et d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, les symptômes de sevrage suivants sont apparus chez quelques nouveau-nés: troubles de l'alimentation et du sommeil, difficultés respiratoires, crises convulsives, variations de la température, hypoglycémie, tremblements, hypotonie musculaire, hyperréflexie, vomissements, agitation passagère, irritabilité anormale et pleurs constants.
- +Les nouveau-nés dont les mères ont pris un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS) en fin de grossesse peuvent avoir un risque augmenté d'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (PPHN).
- +Allaitement:
- +La fluoxétine est excrétée dans le lait maternel. Lorsqu'un traitement par Fluoxétine Sandoz est nécessaire, l'allaitement doit être stoppé.
- +Travail et accouchement:
- +L'effet de la fluoxétine sur le travail et l'accouchement chez la femme n'est pas connu.
-Comme une somnolence et des vertiges ont été rapportés sous Fluoxétine Sandoz, il convient d’être prudent lors de la conduite de véhicules ou lors de l’utilisation de machines jusqu’à ce que la réaction individuelle au médicament soit manifeste. La consommation simultanée d’alcool ou d’autres médicaments (voir «Interactions») entraîne une perturbation supplémentaire des capacités de réaction et des capacités psychomotrices. Il convient de rendre les patients attentifs à ce danger.
- +Comme une somnolence et des vertiges ont été rapportés sous Fluoxétine Sandoz, il convient d'être prudent lors de la conduite de véhicules ou lors de l'utilisation de machines jusqu'à ce que la réaction individuelle au médicament soit manifeste. La consommation simultanée d'alcool ou d'autres médicaments (voir «Interactions») entraîne une perturbation supplémentaire des capacités de réaction et des capacités psychomotrices. Il convient de rendre les patients attentifs à ce danger.
-Définition des fréquences: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10’000 et <1/1000), très rare (<1/10’000).
- +Définition des fréquences: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000 et <1/1000), très rare (<1/10'000).
-Fréquent: diminution de l’appétit (y compris anorexie), perte de poids.
- +Fréquent: diminution de l'appétit (y compris anorexie), perte de poids.
-Des cas de sécrétion inappropriée d’ADH réversibles avec hyponatrémie et oedème cérébral ont été rapportés (la plupart chez des patients âgés et des patients traités par des diurétiques).
-Des cas d’hypoglycémie ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
-Des cas d’hypokaliémie ont été rapportés.
- +Des cas de sécrétion inappropriée d'ADH réversibles avec hyponatrémie et oedème cérébral ont été rapportés (la plupart chez des patients âgés et des patients traités par des diurétiques).
- +Des cas d'hypoglycémie ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Des cas d'hypokaliémie ont été rapportés.
-Fréquent: troubles de l’attention, vertiges, dysgueusie, léthargie, somnolence (y compris hypersomnie et sédation), tremblements.
-Occasionnel: hyperactivité psychomotrice, dyskinésie, ataxie, troubles de l’équilibre, myoclonus, syncopes.
-Rare:convulsions, acathisie, syndrome buccoglossal, coma.
- +Fréquent: troubles de l'attention, vertiges, dysgueusie, léthargie, somnolence (y compris hypersomnie et sédation), tremblements.
- +Occasionnel: hyperactivité psychomotrice, dyskinésie, ataxie, troubles de l'équilibre, myoclonus, syncopes.
- +Rare: convulsions, acathisie, syndrome buccoglossal, coma.
- +Prolongation de l'intervalle QT sur l'ECG (QTcF ≥450 msec, sur la base de mesures d'ECG provenant des études cliniques).
- +
-Rare: troubles de la conduction et de l’excitabilité cardiaque.
- +Rare: troubles de la conduction et de l'excitabilité cardiaque.
- +Des cas d'arythmie ventriculaire, y compris torsades de pointe, ont été rapportés rarement dans les études cliniques.
- +
-Des cas d’épistaxis ont été rapportés.
- +Des cas d'épistaxis ont été rapportés.
-Des cas d’érythème multiforme ont été rapportés, qui peuvent mener à un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell).
- +Des cas d'érythème multiforme ont été rapportés, qui peuvent mener à un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell).
-Fréquent: besoin fréquent d’uriner (y compris pollakiurie).
- +Fréquent: besoin fréquent d'uriner (y compris pollakiurie).
-Fréquent: saignements gynécologiques, dysfonction érectile, troubles de l’éjaculation.
-Occasionnel: dysfonction sexuelle (parfois persistant après l’arrêt du traitement), galactorrhée.
-Rare: hyperprolactinémie (aménorrhée, augmentation de la taille des seins, etc.).
- +Fréquent: saignements gynécologiques, dysfonction érectile, troubles de l'éjaculation.
- +Occasionnel: dysfonction sexuelle (parfois persistant après l'arrêt du traitement).
- +Rare: hyperprolactinémie (aménorrhée, augmentation de la taille des seins, etc.), galactorrhée.
-Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
- +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
-On ignore si ces effets secondaires systémiques et les éruptions cutanées ont une cause sous-jacente commune où s’ils ont une pathogenèse différente. Aucune relation immunobiologique n’a pu être identifiée à ce jour.
- +On ignore si ces effets secondaires systémiques et les éruptions cutanées ont une cause sous-jacente commune où s'ils ont une pathogenèse différente. Aucune relation immunobiologique n'a pu être identifiée à ce jour.
-Les cas de surdosage de la fluoxétine seule sont habituellement d’évolution peu sévère. Les symptômes d’un surdosage sont les suivants: nausées, vomissements, crises épileptiques, troubles de la fonction cardiaque pouvant aller d’arythmies asymptomatiques (y compris le rythme nodal et arythmies ventriculaires) ou modifications de l’ECG indiquant une prolongation de l’intervalle QT, à un arrêt cardiaque (y compris des cas très rares de Torsades de Pointe), troubles de la fonction pulmonaire et signes d’une modification du SNC pouvant aller de l’agitation au coma. Les décès en rapport avec un surdosage de la fluoxétine seule sont extrêmement rares.
- +Les cas de surdosage de la fluoxétine seule sont habituellement d'évolution peu sévère. Les symptômes d'un surdosage sont les suivants: nausées, vomissements, crises épileptiques, troubles de la fonction cardiaque pouvant aller d'arythmies asymptomatiques (y compris le rythme nodal et arythmies ventriculaires) ou modifications de l'ECG indiquant une prolongation de l'intervalle QT, à un arrêt cardiaque (y compris des cas très rares de Torsades de Pointe), troubles de la fonction pulmonaire et signes d'une modification du SNC pouvant aller de l'agitation au coma. Les décès en rapport avec un surdosage de la fluoxétine seule sont extrêmement rares.
-Une surveillance des paramètres cardiaques et des signes vitaux est recommandée, ainsi que l’application de mesures générales symptomatiques et de soutien. Aucun antidote spécifique n’est connu. La diurèse forcée, la dialyse, l’hémoperfusion et l’exsanguino-transfusion sont peu bénéfiques en raison du volume de distribution important de la fluoxétine. Lors du traitement d’un surdosage, il convient de tenir compte du fait que plusieurs médicaments ont pu être pris par le patient.
- +Une surveillance des paramètres cardiaques et des signes vitaux est recommandée, ainsi que l'application de mesures générales symptomatiques et de soutien. Aucun antidote spécifique n'est connu. La diurèse forcée, la dialyse, l'hémoperfusion et l'exsanguino-transfusion sont peu bénéfiques en raison du volume de distribution important de la fluoxétine. Lors du traitement d'un surdosage, il convient de tenir compte du fait que plusieurs médicaments ont pu être pris par le patient.
-La fluoxétine est un antidépresseur par voie orale qui n’est apparenté sur le plan chimique ni aux antidépresseurs tricycliques ou tétracycliques ni à aucun autre antidépresseur. Les études sur l’animal font penser que la fluoxétine, à la différence des antidépresseurs tricycliques, n’a aucune influence directe sur les neurones noradrénergiques ou dopaminergiques.
-L’effet clinique se fonde probablement sur une inhibition de la recapture de la sérotonine dans les neurones présynaptiques. Chez des sujets ayant reçu pendant une semaine 30 mg de fluoxétine par jour, la capture de la sérotonine par les plaquettes sanguines a diminué de plus de 60%.
- +La fluoxétine est un antidépresseur par voie orale qui n'est apparenté sur le plan chimique ni aux antidépresseurs tricycliques ou tétracycliques ni à aucun autre antidépresseur. Les études sur l'animal font penser que la fluoxétine, à la différence des antidépresseurs tricycliques, n'a aucune influence directe sur les neurones noradrénergiques ou dopaminergiques.
- +L'effet clinique se fonde probablement sur une inhibition de la recapture de la sérotonine dans les neurones présynaptiques. Chez des sujets ayant reçu pendant une semaine 30 mg de fluoxétine par jour, la capture de la sérotonine par les plaquettes sanguines a diminué de plus de 60%.
-La fluoxétine est bien absorbée (au moins 85%) après administration orale. La concentration plasmatique maximale intervient 6 heures après l’administration. Des concentrations plasmatiques maximales comprises entre 15 et 55 ng/ml sont observées 6–8 heures après administration orale unique d’une dose de 40 mg. Après administration d’une dose de 40 mg/jour pendant 30 jours, des concentrations plasmatiques de 91–302 ng/ml de fluoxétine et de 72–258 ng/ml de norfluoxétine ont été observées. La vitesse de résorption ralentit légèrement en cas d’absorption simultanée d’aliments, mais l’ampleur de la résorption n’est pas affectée.
- +La fluoxétine est bien absorbée (au moins 85%) après administration orale. La concentration plasmatique maximale intervient 6 heures après l'administration. Des concentrations plasmatiques maximales comprises entre 15 et 55 ng/ml sont observées 6–8 heures après administration orale unique d'une dose de 40 mg. Après administration d'une dose de 40 mg/jour pendant 30 jours, des concentrations plasmatiques de 91–302 ng/ml de fluoxétine et de 72–258 ng/ml de norfluoxétine ont été observées. La vitesse de résorption ralentit légèrement en cas d'absorption simultanée d'aliments, mais l'ampleur de la résorption n'est pas affectée.
-Pour environ 3 à 10% de la population saine, en raison d’un défaut génétique, on observe une diminution de l’activité de l’isoenzyme 2D6 du cytochrome P450. Ces personnes sont nommées «métaboliseurs lents» de substances comme la débrisoquine, le dextrométhorphane et les antidépresseurs tricycliques. De nombreuses substances, dont les principaux antidépresseurs comme par exemple la fluoxétine et d’autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, sont métabolisées par cette isoenzyme et les propriétés pharmacologiques ainsi que la proportion relative des métabolites sont modifiées chez ces «métaboliseurs lents». Cependant, dans le cas de la fluoxétine et de ses métabolites, la somme de la concentration plasmatique des 4 énantiomères actifs est comparable chez les «métaboliseurs lents» et les «métaboliseurs rapides».
- +Pour environ 3 à 10% de la population saine, en raison d'un défaut génétique, on observe une diminution de l'activité de l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450. Ces personnes sont nommées «métaboliseurs lents» de substances comme la débrisoquine, le dextrométhorphane et les antidépresseurs tricycliques. De nombreuses substances, dont les principaux antidépresseurs comme par exemple la fluoxétine et d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, sont métabolisées par cette isoenzyme et les propriétés pharmacologiques ainsi que la proportion relative des métabolites sont modifiées chez ces «métaboliseurs lents». Cependant, dans le cas de la fluoxétine et de ses métabolites, la somme de la concentration plasmatique des 4 énantiomères actifs est comparable chez les «métaboliseurs lents» et les «métaboliseurs rapides».
-La fluoxétine subit une métabolisation extensive et la quantité de molécule mère intacte excrétée dans l’urine est très limitée. Lors d’études utilisant une substance radiomarquée, on a retrouvé, après 5 semaines, 60% de la radioactivité dans l’urine et 16% dans les fèces. Un métabolite connu est la désméthylé norfluoxétine qui inhibe aussi sélectivement la capture de la sérotonine.
-Chez les sujets sains, la demi-vie de la fluoxétine est de 4–6 jours et celle du métabolite desméthylfluoxétine (norfluoxétine) est de 4–16 jours.
-La clairance plasmatique de la fluoxétine est d’environ 20 litres/heure et celle de la desméthylfluoxétine est d’environ 9 litres/heure.
- +La fluoxétine subit une métabolisation extensive et la quantité de molécule mère intacte excrétée dans l'urine est très limitée. Lors d'études utilisant une substance radiomarquée, on a retrouvé, après 5 semaines, 60% de la radioactivité dans l'urine et 16% dans les fèces. Un métabolite connu est la desméthylfluoxétine norfluoxétine qui inhibe aussi sélectivement la capture de la sérotonine.
- +Chez les sujets sains, la demi-vie de la fluoxétine est de 4–6 jours et celle du métabolite déméthylé (norfluoxétine) est de 4–16 jours.
- +La clairance plasmatique de la fluoxétine est d'environ 20 litres/heure et celle de la desméthylfluoxétine est d'environ 9 litres/heure.
-Les concentrations plasmatiques à l’équilibre sont atteintes après 2–3 semaines. Des concentrations sériques efficaces ou mesurables persistent pendant 5 demi-vies après l’arrêt du médicament.
-Les concentrations à l’équilibre atteintes sont proportionnelles à la dose mais varient considérablement d’un patient à l’autre.
- +Les concentrations plasmatiques à l'équilibre sont atteintes après 2–3 semaines. Des concentrations sériques efficaces ou mesurables persistent pendant 5 demi-vies après l'arrêt du médicament.
- +Les concentrations à l'équilibre atteintes sont proportionnelles à la dose mais varient considérablement d'un patient à l'autre.
-Le profil pharmacocinétique des sujets âgés après administration d’une dose unique ne diffère pas considérablement de celui des sujets plus jeunes.
-En cas d’insuffisance rénale, une administration répétée de fluoxétine entraîne une accumulation, ce qui nécessite généralement d’adapter la dose.
-Chez les patients atteints d’une cirrhose du foie avancée, l’élimination de la fluoxétine est nettement réduite. La demi-vie de la fluoxétine s’allonge en moyenne jusqu’à 7,6 jours (contre 4–6 jours habituellement), celle de la norfluoxétine jusqu’à 12 jours (contre 4–16 jours habituellement).
-Dans ces 3 situations, une adaptation de la dose est recommandée (voir la rubrique «Posologie/Mode d’emploi»).
-Aucune donnée n’est disponible actuellement pour l’homme concernant la distribution de la fluoxétine dans le liquide céphalo-rachidien ni le passage de la barrière placentaire.
- +Le profil pharmacocinétique des sujets âgés après administration d'une dose unique ne diffère pas considérablement de celui des sujets plus jeunes.
- +En cas d'insuffisance rénale, une administration répétée de fluoxétine entraîne une accumulation, ce qui nécessite généralement d'adapter la dose.
- +Chez les patients atteints d'une cirrhose du foie avancée, l'élimination de la fluoxétine est nettement réduite. La demi-vie de la fluoxétine s'allonge en moyenne jusqu'à 7,6 jours (contre 4–6 jours habituellement), celle de la norfluoxétine jusqu'à 12 jours (contre 4–16 jours habituellement).
- +Dans ces 3 situations, une adaptation de la dose est recommandée (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Aucune donnée n'est disponible actuellement pour l'homme concernant la distribution de la fluoxétine dans le liquide céphalo-rachidien ni le passage de la barrière placentaire.
-Les études in vitro et les études réalisées sur l’animal n’ont révélé aucun indice de carcinogénicité ni de mutagénicité. Chez les animaux adultes, on n’a observé aucune perturbation de la fertilité à des doses atteignant 12,5 mg/kg/jour (soit environ 1,5 fois la dose maximale recommandée pour l’homme en mg/m²).
- +Les études in vitro et les études réalisées sur l'animal n'ont révélé aucun indice de carcinogénicité ni de mutagénicité. Chez les animaux adultes, on n'a observé aucune perturbation de la fertilité à des doses atteignant 12,5 mg/kg/jour (soit environ 1,5 fois la dose maximale recommandée pour l'homme en mg/m²).
-Des études du développement foeto-embryonnaire chez le rat et le lapin après administration de doses atteignant 12,5 et 15 mg/kg/jour respectivement (soit 1,5 et 3,6 fois la dose maximale recommandée pour l’homme, de 80 mg, sur une base en mg/m²) pendant l’ensemble de l’organogenèse n’ont indiqué aucun signe de tératogénicité. Au cours d’études de la reproduction chez le rat, on a toutefois observé une augmentation du nombre de mort-nés, une diminution du poids et une augmentation de la mortalité des jeunes animaux pendant les 7 premiers jours du post-partum lorsque les mères avaient reçu 12 mg/kg/jour (soit 1,5 fois la dose maximale recommandée pour l’homme sur une base en mg/m²) pendant la gestation ou 7,5 mg/kg/jour (soit 0,9 fois la dose maximale recommandée pour l’homme sur une base en mg/m²) pendant la gestation et l’allaitement. Chez les descendants survivants de rates traitées pendant la gestation à une dose de 12 mg/kg/jour, aucun signe de neurotoxicité développementale n’a été observé. La dose sans effet pour la mortalité post-partum chez le rat s’est élevée à 5 mg/kg/jour (soit 0,6 fois la dose maximale recommandée par l’homme sur une base en mg/m²).
- +Des études du développement foeto-embryonnaire chez le rat et le lapin après administration de doses atteignant 12,5 et 15 mg/kg/jour respectivement (soit 1,5 et 3,6 fois la dose maximale recommandée pour l'homme, pour un homme de 80 mg sur une base en mg/m²) pendant l'ensemble de l'organogenèse n'ont indiqué aucun signe de tératogénicité. Au cours d'études de la reproduction chez le rat, on a toutefois observé une augmentation du nombre de mort-nés, une diminution du poids et une augmentation de la mortalité des jeunes animaux pendant les 7 premiers jours du post-partum lorsque les mères avaient reçu 12 mg/kg/jour (soit 1,5 fois la dose maximale recommandée pour l'homme sur une base en mg/m²) pendant la gestation ou 7,5 mg/kg/jour (soit 0,9 fois la dose maximale recommandée pour l'homme sur une base en mg/m²) pendant la gestation et l'allaitement. Chez les descendants survivants de rates traitées pendant la gestation à une dose de 12 mg/kg/jour, aucun signe de neurotoxicité développementale n'a été observé. La dose sans effet pour la mortalité post-partum chez le rat s'est élevée à 5 mg/kg/jour (soit 0,6 fois la dose maximale recommandée par l'homme sur une base en mg/m²).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver le médicament dans l’emballage original, à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants.
- +Conserver le médicament dans l'emballage original, à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
-54492, 57175 (Swissmedic).
- +57175 (Swissmedic).
-Fluoxétine Sandoz caps 14. (B)
-Fluoxétine Sandoz caps 30. (B)
-Fluoxétine Sandoz caps 100. (B)
-Fluoxétine Sandoz cpr 14 (dispersibles, sécables). (B)
-Fluoxétine Sandoz cpr 28 (dispersibles, sécables). (B)
-Fluoxétine Sandoz cpr 100 (dispersibles, sécables). (B)
- +Emballages à 14, 28 et 100 comprimés dispersibles (sécables). [B]
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
-Domicile
-Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
-Mai 2012.
- +Septembre 2014.
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