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Accueil - Information professionnelle sur Xeloda 150 mg - Changements - 14.09.2016
10 Changements de l'information professionelle Xeloda 150 mg
  • -Xeloda peut déclencher un syndrome main-pied (érythrodysesthésie palmo-plantaire ou érythème acral induit par la chimiothérapie) d’intensité 1 à 3. Sous monothérapie par Xeloda, le délai médian jusqu’à son apparition a été de 79 jours (11–360 jours). Le syndrome main-pied de degré 1 est caractérisé par une sensation d’engourdissement, des dysesthésies/paresthésies, des picotements, des érythèmes ou des tuméfactions indolores au niveau des mains et/ou des pieds. Ces troubles n’affectent pas les activités quotidiennes. Le degré 2 est défini comme un érythème douloureux et une tuméfaction des mains et/ou des pieds et/ou des troubles limitant les activités quotidiennes du patient. Le degré 3 se traduit par des desquamations suintantes, par la formation d’ulcères et d’ampoules ainsi que par de fortes douleurs au niveau des mains et/ou des pieds et/ou des troubles qui empêchent le patient de travailler ou de se livrer à ses activités quotidiennes. En présence d’un syndrome main-pied de degré 2 ou 3, il convient d’adapter la dose de Xeloda (voir «Posologie/Mode d’emploi, Adaptation de la posologie en cours de traitement»).
  • +Xeloda peut déclencher un syndrome main-pied (érythrodysesthésie palmo-plantaire ou érythème acral induit par la chimiothérapie) d’intensité 1 à 3. Un syndrome main-pied persistant ou sévère (degré 2 ou plus) peut même entraîner la perte des empreintes digitales, ce qui peut affecter l'identification du patient concerné. Sous monothérapie par Xeloda, le délai médian jusqu’à son apparition a été de 79 jours (11–360 jours). Le syndrome main-pied de degré 1 est caractérisé par une sensation d’engourdissement, des dysesthésies/paresthésies, des picotements, des érythèmes ou des tuméfactions indolores au niveau des mains et/ou des pieds. Ces troubles n’affectent pas les activités quotidiennes. Le degré 2 est défini comme un érythème douloureux et une tuméfaction des mains et/ou des pieds et/ou des troubles limitant les activités quotidiennes du patient. Le degré 3 se traduit par des desquamations suintantes, par la formation d’ulcères et d’ampoules ainsi que par de fortes douleurs au niveau des mains et/ou des pieds et/ou des troubles qui empêchent le patient de travailler ou de se livrer à ses activités quotidiennes. En présence d’un syndrome main-pied de degré 2 ou 3, il convient d’adapter la dose de Xeloda (voir «Posologie/Mode d’emploi, Adaptation de la posologie en cours de traitement»).
  • -Une modification des paramètres de la coagulation et/ou des hémorragies ont été signalées chez des patients ayant pris de la capécitabine en même temps que des dérivés de la coumarine tels que la warfarine et la phenprocoumone (substrats du CYP2C9). Ces effets indésirables sont survenus plusieurs jours à plusieurs mois après le début du traitement par la capécitabine; dans quelques cas isolés, ils sont apparus jusqu’à un mois après l’arrêt de la capécitabine. Lors d’une étude clinique consacrée aux interactions, des patients sous Xeloda ayant reçu une dose unique de 20 mg de warfarine ont présenté une augmentation de 57% de l’AUC de la s-warfarine ainsi qu’une augmentation de 91% de l’INR. Les patients traités simultanément par la capécitabine et des anticoagulants du type de la coumarine (y compris l’acénocoumarol) doivent se soumettre à des contrôles réguliers (temps de thromboplastine ou INR) visant à dépister d’éventuelles modifications des paramètres de la coagulation, et la dose d’anticoagulant doit être adaptée en conséquence.
  • +Une modification des paramètres de la coagulation et/ou des hémorragies ont été signalées chez des patients ayant pris de la capécitabine en même temps que des dérivés de la coumarine tels que la warfarine et la phenprocoumone (substrats du CYP2C9). Ces effets indésirables sont survenus plusieurs jours à plusieurs mois après le début du traitement par la capécitabine; dans quelques cas isolés, ils sont apparus jusqu’à un mois après l’arrêt de la capécitabine. Lors d’une étude clinique consacrée aux interactions, des patients sous Xeloda ayant reçu une dose unique de 20 mg de warfarine ont présenté une augmentation de 57% de l’AUC de la swarfarine ainsi qu’une augmentation de 91% de l’INR. Les patients traités simultanément par la capécitabine et des anticoagulants du type de la coumarine (y compris l’acénocoumarol) doivent se soumettre à des contrôles réguliers (temps de thromboplastine ou INR) visant à dépister d’éventuelles modifications des paramètres de la coagulation, et la dose d’anticoagulant doit être adaptée en conséquence.
  • -Très fréquemment: syndrome main-pied ou érythrodysesthésie palmo-plantaire (2263%, grades 3/4 4–24%), dermatite (<1–10%, grades 3/4 <1%), modifications des ongles (1–14%, grade 3/4 02%; p.ex. dyscoloration des ongles, onycholyse), alopécie (principalement en combinaison avec le docétaxel ou le cisplatine avec ou sans épirubicine: 1–82,5%, grades 3/4 047,4%).
  • +Très fréquemment: syndrome main-pied ou érythrodysesthésie palmo-plantaire (22-63%, grades 3/4 4-24%; sur la base des expériences faites après l'introduction sur le marché, une érythrodysesthésie palmo-plantaire persistante ou sévère peut même entraîner la perte des empreintes digitales (voir «Mises en garde et précautions»), dermatite (<1–10%, grades 3/4 <1%), modifications des ongles (1–14%, grade 3/4 0-2%; p.ex. dyscoloration des ongles, onycholyse), alopécie (principalement en combinaison avec le docétaxel ou le cisplatine avec ou sans épirubicine: 1–82,5%, grades 3/4 0-47,4%).
  • -Cette association a été évaluée au total dans quatre études de phase II, ayant inclus 262 patientes. Dans toutes les études, les patientes ont reçu 1000 mg/m² de Xeloda deux fois par jour pendant 14 jours, période suivie d’une pause thérapeutique de sept jours. La vinorelbine a été administrée par voie orale à 92 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1, 8 et 15, à 115 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1 et 8 et à 55 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1 et 8 du 1er cycle et de 80 mg/m² aux jours 1 et 8 de tous les cycles suivants.
  • +Cette association a été évaluée au total dans quatre études de phase II, ayant inclus 262 patientes. Dans toutes les études, les patientes ont reçu 1000 mg/m² de Xeloda deux fois par jour pendant 14 jours, période suivie d’une pause thérapeutique de sept jours. La vinorelbine a été administrée par voie orale à 92 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1, 8 et 15, à 115 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1 et 8 et à 55 patientes à la dose de 60 mg/m² aux jours 1 et 8 du 1er cycle et de 80 mg/m² aux jours 1 et 8 de tous les cycles suivants, respectivement.
  • -Avril 2016.
  • +Août 2016.
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