108 Changements de l'information professionelle Activelle |
-Principes actifs: Estradiolum, Norethisteroni acetas.
-Excipients: Lactosum monohydricum, Maydis amylum, Copovidonum, Talcum, Magnesii stearas, Hypromellosum, Glyceroli triacetas.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Comprimés filmés
-1 comprimé filmé contient: 1 mg Estradiolum (ut Estradiolum hemihydricum) et 0.5 mg Norethisteroni acetas.
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- +Principes actifs
- +Estradiolum (ut Estradiolum hemihydricum), Norethisteroni acetas.
- +Excipients
- +Lactosum monohydricum 37 mg, Maydis amylum, Copovidonum, Talcum, Magnesii stearas, Hypromellosum, Triacetinum (E 1518).
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-Pour le traitement des symptômes de la post-ménopause, la dose efficace la plus faible et la durée de traitement la plus courte doivent être utilisées. Lorsque Activelle est utilisé pour la prévention de l'ostéoporose post-ménopausique, il convient de veiller à un apport suffisant en calcium.
- +Pour le traitement des symptômes de la post-ménopause, la dose efficace la plus faible et la durée de traitement la plus courte doivent être utilisées.
- +Lorsque Activelle est utilisé pour la prévention de l'ostéoporose post-ménopausique, il convient de veiller à un apport suffisant en calcium.
-Les femmes en aménorrhée n'ayant jusqu'alors pas utilisé de THS ou ayant bénéficié d'une autre préparation combinée en continu peuvent commencer le traitement à Activelle à n'importe quel moment. Les femmes qui avaient été traitées jusqu'alors avec un THS séquentiel devraient commencer le traitement à Activelle exactement au moment où leurs hémorragies de privation hormonale cessent. Les symptômes de la ménopause disparaissent chez la plupart des femmes au cours des premières semaines de traitement. L'utilisation de doses plus importantes est indiquée lorsque les symptômes n'ont pas été soulagés de manière satisfaisante après 3 mois de traitement.
- +Les femmes en aménorrhée n'ayant jusqu'alors pas utilisé de THS ou ayant bénéficié d'une autre préparation combinée en continu peuvent commencer le traitement à Activelle à n'importe quel moment. Les femmes qui avaient été traitées jusqu'alors avec un THS séquentiel devraient commencer le traitement à Activelle exactement au moment où leurs hémorragies de privation hormonale cessent.
- +Les symptômes de la ménopause disparaissent chez la plupart des femmes au cours des premières semaines de traitement. Le choix d'une posologie plus élevée est indiqué lorsque les symptômes n'ont pas été soulagés de manière satisfaisante après 3 mois de traitement.
-Si la prise a été oubliée, elle doit être rattrapée le plus vite possible, à moins que la dernière prise ne remonte à plus de 12 heures. Dans ce cas, il faut renoncer à prendre la dose manquante et prendre la dose suivante prescrite à l'heure prévue pour celle-ci.
- +Si la prise a été oubliée, elle doit être rattrapée le plus vite possible. Toutefois, si le moment habituel de la prise oubliée remonte à plus de 12 heures, il faut renoncer à prendre la dose manquante et poursuivre avec la dose suivante prescrite à l'heure de prise prévue pour celle-ci.
-Sous Activelle, les hémorragies apparaissant avec un THS séquentiel sont évitées. Après 9 à 12 mois de traitement avec Activelle, 90% des femmes n'ont plus de saignement. Des saignements légers («spotting») ou sporadiques apparaissent chez 27% des femmes au cours des trois premiers mois de traitement et chez 10% des femmes entre le 10e et le 12e mois de traitement.
-Posologies spéciales:
-Patientes âgées: on ne dispose d'aucune donnée laissant supposer qu'une adaptation de la dose est nécessaire chez les patientes âgées.
-Enfants et adolescents: Activelle n'est pas indiqué dans cette tranche d'âge.
-Insuffisance rénale: Activelle n'a pas été étudié chez les patientes présentant des troubles de la fonction rénale, et aucune recommandation de posologie n'a pu être faite.
-Insuffisance hépatique: Activelle n'a pas été étudié chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique. Chez les femmes atteintes d'affections hépatiques sévères, Activelle est contre-indiqué.
- +Posologies spéciales
- +Patientes âgées
- +On ne dispose d'aucune donnée laissant supposer qu'une adaptation de la dose est nécessaire chez les patientes âgées.
- +Enfants et adolescents
- +Activelle n'est pas indiqué dans cette tranche d'âge.
- +Insuffisance rénale
- +Activelle n'a pas été étudié chez les patientes présentant des troubles de la fonction rénale, et aucune recommandation de posologie n'a pu être faite.
- +Insuffisance hépatique
- +Activelle n'a pas été étudié chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique. Chez les femmes atteintes d'affections hépatiques sévères, Activelle est contre-indiqué.
-·Cancer du sein actuel ou dans les antécédents, ou suspicion de cancer du sein
-·Tumeurs malignes dépendantes des hormones sexuelles, actuelles ou dans les antécédents, ou suspicion d'une telle tumeur (p.ex. cancer de l'endomètre)
-·Hyperplasie de l'endomètre non traitée
-·Hémorragie génitale d'origine inconnue
-·Tumeur du foie bénigne ou maligne, actuelle ou dans les antécédents
-·Affection hépatique aiguë ou chronique, accompagnée d'une hausse des transaminases
-·Maladie thromboembolique veineuse, actuelle ou dans les antécédents (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire)
-·Affection thromboembolique artérielle actuelle ou récente (p.ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral)
-·Présence de facteurs de risque pour l'apparition de troubles thromboemboliques veineux ou artériels comme thrombophilie connue (p.ex. déficit de protéine C, de protéine S ou d'antithrombine) (voir également sous «Mises en garde et précautions»)
-·Porphyrie
-·Grossesse/allaitement
-·Hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients
- +·cancer du sein actuel ou dans les antécédents, ou suspicion de cancer du sein
- +·tumeurs malignes dépendantes des hormones sexuelles, actuelles ou dans les antécédents, ou suspicion d'une telle tumeur (p.ex. cancer de l'endomètre)
- +·hyperplasie de l'endomètre non traitée
- +·hémorragie génitale d'origine inconnue
- +·tumeur du foie bénigne ou maligne, actuelle ou dans les antécédents
- +·affection hépatique aiguë ou chronique, accompagnée d'une hausse des transaminases
- +·maladie thromboembolique veineuse, actuelle ou dans les antécédents (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire)
- +·affection thromboembolique artérielle actuelle ou récente (p.ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral)
- +·présence de facteurs de risque pour l'apparition de troubles thromboemboliques veineux ou artériels comme thrombophilie connue (p.ex. déficit de protéine C, de protéine S ou d'antithrombine) (voir également sous «Mises en garde et précautions»)
- +·porphyrie
- +·grossesse/allaitement
- +·hypersensibilité connue aux principes actifs ou à l'un des excipients
-·modification bénigne des seins
- +·altérations bénignes des seins
-Des études contrôlées randomisées ainsi que des études épidémiologiques ont montré un risque plus élevé de cancer du sein chez les femmes qui utilisaient un traitement hormonal de substitution sur plusieurs années. Chez toutes les patientes, il convient donc de réaliser un examen médical du sein avant le début d'un THS ainsi qu'ensuite chaque année. Les femmes devraient savoir quels sont les types de modifications au niveau des seins qu'elles doivent rapporter à leur médecin. En fonction de l'âge et des facteurs de risque individuels, une mammographie pourrait en outre être indiquée.
-Une méta-analyse de 51 études épidémiologiques a montré que le risque de développer un cancer du sein augmente avec la durée du THS et diminue après sa cessation. Le risque relatif (RR) de développer un cancer du sein était de 1.35 (95% CI 1.21-1.49) pour les femmes qui utilisaient un THS pendant cinq ans ou plus.
-L'étude Women's Health Initiative (WHI), une étude prospective de grande envergure, contrôlée contre placebo et randomisée montrait une augmentation des carcinomes mammaires invasifs dans le groupe THS combiné aux estrogènes conjugués et à l'acétate de médroxyprogestérone par rapport au groupe placebo, après une durée moyenne de traitement de 5.6 ans. Le risque relatif était de 1.24 [95% CI 1.02-1.50] pour le groupe estrogène/progestatif. On ignore si un risque comparable existe pour une autre préparation de THS combiné. Par contre sous la monothérapie, le risque n'était pas plus élevé (RR 0.77 [95% CI 0.59 -1.01]).
-L'étude Million Women Study, une étude de cohorte non randomisée, a recruté 1'084'110 femmes. L'âge moyen des femmes au moment de l'entrée dans l'étude était de 55.9 ans. La moitié des femmes a reçu un THS avant ou lors de l'entrée dans l'étude, les autres n'ont jamais été traitées par un THS. Au total, 9'364 cas de cancer du sein invasif et 637 décès consécutifs à un cancer du sein ont été enregistrés après des durées moyennes d'observation de 2.6 et de 4.1 ans. Les femmes qui utilisaient un THS au moment de l'entrée dans l'étude montraient un risque significativement plus élevé en termes de morbidité (1.66 [95% CI 1.58-1.75]) ainsi qu'éventuellement à un moindre degré en termes de mortalité due au cancer du sein (1.22 [95% CI 1.00-1.48]). Le risque le plus élevé a été observé sous thérapie estro-progestative combinée (2.00 [95% CI 1.88-2.12]). Par contre sous une monothérapie estrogénique, le risque relatif était de 1.30 [95% CI 1.21 -1.40]. Les résultats étaient comparables pour différents estrogènes et progestatifs, pour différents dosages et modes d'administration ainsi que pour les traitements continus et séquentiels. Pour toutes les modalités de THS, le risque augmente avec la durée d'utilisation. Après arrêt du traitement, le risque diminuait (dernière utilisation avant <5 ans; RR 1.04 [95% CI 0.95-1.12]).
- +Des études contrôlées randomisées ainsi que des études épidémiologiques ont montré un risque plus élevé de cancer du sein chez les femmes qui utilisaient un THS sur plusieurs années. Le risque est particulièrement élevé après une utilisation pendant plus de 5 ans. Dans une méta-analyse d'études épidémiologiques, le risque relatif se situant à 1,35 (IC à 95% 1,21-1,49) chez les femmes qui avaient utilisé un THS pendant 5 ans ou plus. Dans certaines études, une augmentation du risque a toutefois été observée après des thérapies de plus courte durée (1 à 4 an(s)). De manière générale, il existe donc une augmentation du risque sous traitement combiné estrogène-progestatif par rapport à une monothérapie par estrogène.
- +Chez toutes les patientes, il convient donc de réaliser un examen médical du sein avant le début d'un THS ainsi qu'ensuite chaque année pendant le traitement. Les femmes devraient savoir quels sont les types de modifications au niveau des seins qu'elles doivent rapporter à leur médecin. En fonction de l'âge et des facteurs de risque individuels, une mammographie pourrait en outre être indiquée.
- +Deux importantes méta-analyses d'études épidémiologiques ont montré que le risque de développer un cancer du sein augmente avec la durée du THS et diminue après sa cessation. Le délai pour un retour au risque de base correspondant à l'âge dépend de la durée d'utilisation du THS. Pour une durée d'utilisation supérieure à 5 ans, le risque après l'arrêt peut rester plus élevé pendant 10 ans ou plus.
- +L'étude Women's Health Initiative (WHI), une étude prospective de grande envergure, contrôlée contre placebo et randomisée montrait une augmentation des carcinomes mammaires invasifs dans le groupe THS combiné aux estrogènes conjugués (CEE) et à l'acétate de médroxyprogestérone (MPA) par rapport au groupe placebo, après une durée moyenne de traitement de 5,6 ans. Le risque relatif était de 1,24 [IC à 95% 1,02-1,50] pour le groupe estrogène/progestatif. Par contre sous la monothérapie d'estrogène, le risque n'était pas plus élevé (RR 0,77 [IC à 95% 0,59 -1,01]).
- +L'étude Million Women Study, une étude de cohorte non randomisée, a recruté 1'084'110 femmes. L'âge moyen des femmes au moment de l'entrée dans l'étude était de 55,9 ans. La moitié des femmes n'ont jamais été traitées par un THS. Au total, 9'364 cas de cancer du sein invasif et 637 décès consécutifs à un cancer du sein ont été enregistrés après des durées moyennes d'observation de 2,6 et de 4,1 ans. Les femmes qui utilisaient un THS au moment de l'entrée dans l'étude montraient un risque significativement plus élevé en termes de morbidité (1,66 [IC à 95% 1,58-1,75]) ainsi qu'éventuellement à un moindre degré en termes de mortalité due au cancer du sein (1,22 [IC à 95% 1,00-1,48]). Le risque le plus élevé a été observé sous thérapie estro-progestative combinée (2,00 [IC à 95% 1,88-2,12]). Par contre sous une monothérapie estrogénique, le risque relatif était de 1,30 [IC à 95% 1,21 -1,40].
- +Les résultats étaient comparables pour différents estrogènes et progestatifs, pour différents dosages et modes d'administration ainsi que pour les traitements continus et séquentiels. Pour toutes les modalités de THS, le risque augmente avec la durée d'utilisation.
-Dans l'étude WHI prospective, contrôlée contre placebo et randomisée, un accroissement du risque d'une valeur statistiquement non significative était retrouvé (RR 1.41; 95% CI 0.75-2.66).
- +Dans l'étude WHI prospective, contrôlée contre placebo et randomisée, un accroissement du risque d'une valeur statistiquement non significative était retrouvé (RR 1,41; IC à 95% 0,75-2,66).
- +Affections thromboemboliques
- +
-L'étude (WHI) réalisée sur plus de 8'000 patientes ménopausées âgées (âge lors de l'entrée de l'étude 50 à 79 ans, âge moyen 63 ans) a montré, pour une durée moyenne d'observation de 5.2 ans, un risque cardiovasculaire plus élevé sous traitement hormonal combiné oral avec estrogènes conjugués et acétate de médroxyprogestérone (MPA) que sous placebo (RR 1.24 [95% CI 1.00-1.54], augmentation absolue du risque 6 cas pour 10'000 femmes-années). Le risque était plus élevé dans la première année de THS, RR 1.81 (95% CI 1.09-3.01). Le risque augmentait avec la durée de la ménopause (ménopause depuis <10 ans, RR 0.89; ménopause depuis 10 à 19 ans, RR 1.22; ménopause depuis ≥20 ans, RR 1.71). Dans le bras sous monothérapie aux estrogènes, aucune influence significative sur le risque cardiovasculaire n'a pu être démontrée (RR 0.91 [95% CI 0.75-1.12]).
-L'étude Heart and Estrogen/Progestin Replacement Study (HERS et HERS II), une étude prospective, contrôlée contre placebo, randomisée, conduite pendant une durée moyenne de 4.1 ans (HERS) et 2.7 ans (HERS II) avec plus de 1'300 femmes ménopausées (âge moyen au début de l'étude 67 ans, SD 7 ans) avec maladie coronarienne préexistante n'a pas montré de réduction du risque cardiovasculaire sous traitement hormonal de substitution oral avec estrogènes conjugués et acétate de médroxyprogestérone. Le risque relatif était de 0.99 (95% CI 0.84-1.17). Le risque était plus élevé dans la première année de traitement (RR 1.52 [95% CI 1.01-2.29]).
- +L'étude (WHI) réalisée sur plus de 8'000 patientes ménopausées âgées (âge lors de l'entrée de l'étude 50 à 79 ans, âge moyen 63 ans) a montré, pour une durée moyenne d'observation de 5.2 ans, un risque cardiovasculaire plus élevé sous traitement hormonal combiné oral avec estrogènes conjugués et acétate de médroxyprogestérone (MPA) que sous placebo (risque relatif [RR] 1,24 [IC à 95% 1,00-1,54], augmentation absolue du risque 6 cas pour 10'000 femmes-années). Le risque était plus élevé dans la première année de THS, RR 1,81 (IC à 95% 1,09-3,01). Le risque augmentait avec la durée de la ménopause (ménopause depuis <10 ans, RR 0,89; ménopause depuis 10 à 19 ans, RR 1,22; ménopause depuis ≥20 ans, RR 1,71). Dans le bras sous monothérapie aux estrogènes, aucune influence significative sur le risque cardiovasculaire n'a pu être démontrée (RR 0,91 [IC à 95% 0,75-1,12]).
- +L'étude Heart and Estrogen/Progestin Replacement Study (HERS et HERS II), une étude prospective, contrôlée contre placebo, randomisée, conduite pendant une durée moyenne de 4,1 ans (HERS) et 2,7 ans (HERS II) avec plus de 1'300 femmes ménopausées (âge moyen au début de l'étude 67 ans, SD 7 ans) avec maladie coronarienne préexistante n'a pas montré de réduction du risque cardiovasculaire sous traitement hormonal de substitution oral avec estrogènes conjugués et acétate de médroxyprogestérone. Le risque relatif était de 0,99 (IC à 95% 0,84-1,17). Le risque était plus élevé dans la première année de traitement de THS (risque relatif 1,52 [IC à 95% 1,01-2,29]).
-Dans un sous-groupe de l'étude WHI, n=10'739 femmes hystérectomisées âgées entre 50 et 79 ans ont reçu soit une monothérapie avec des estrogènes équins conjugués (0.625 mg/jour), soit du placebo. La durée moyenne du suivi était de 6,8 ans. Sous le THS, le risque d'accidents cérébraux vasculaires était accru (RR 1.39 [95% CI 1.10 -1.77]). L'augmentation du risque s'est manifestée après la première année du traitement et a persisté pour le reste de la durée du traitement.
- +Dans un sous-groupe de l'étude WHI, n=10'739 femmes hystérectomisées âgées entre 50 et 79 ans ont reçu soit une monothérapie avec des estrogènes équins conjugués (0,625 mg/jour), soit du placebo. La durée moyenne du suivi était de 6,8 ans. Sous le THS, le risque d'accidents cérébraux vasculaires était accru (RR 1,39 [IC à 95% 1,10-1,77]). L'augmentation du risque s'est manifestée après la première année du traitement et a persisté pour le reste de la durée du traitement.
-L'étude WHI montrait notamment une incidence plus élevée d'embolies pulmonaires. Le risque absolu supplémentaire chez les femmes traitées par un THS s'élevait à 8 cas par 10'000 femmes-années (15 contre 7) et le risque relatif était de 2.13 (95% CI 1.39-3.25).
- +L'étude WHI montrait notamment une incidence plus élevée d'embolies pulmonaires. Le risque absolu supplémentaire chez les femmes traitées par un THS s'élevait à 8 cas par 10'000 femmes-années (15 contre 7) et le risque relatif de 2,13 (IC à 95% 1,39-3,25).
-Dans le bras de la monothérapie aux estrogènes de l'étude WHI aussi, le risque de thromboembolie veineuse présentait une tendance à être plus élevé. Le risque relatif de thrombose veineuse profonde était de 1.47 [95% CI 0.87-2.47], celui d'embolie pulmonaire de 1.34 [95% CI 0.70-2.55].
- +Dans le bras de la monothérapie aux estrogènes de l'étude WHI aussi, le risque de thromboembolie veineuse présentait une tendance à être plus élevé. Le risque relatif de thrombose veineuse profonde était de 1,47 [IC à 95% 0,87-2,47], celui d'embolie pulmonaire de 1,34 [IC à 95% 0,70-2,55].
-En cas d'apparition de symptômes correspondants à une TEV ou de soupçon d'une TEV, le traitement doit être interrompu immédiatement. Les patientes doivent savoir qu'elles doivent immédiatement prendre contact avec le médecin si elles remarquent des symptômes possibles d'une TEV (comme des gonflements douloureux d'une jambe, une dyspnée ou des douleurs soudaines de la cage thoracique).
- +En cas d'apparition de symptômes correspondants à une TEV ou de soupçon d'une TEV, le traitement doit être interrompu immédiatement. Les patientes doivent savoir qu'elles doivent immédiatement prendre contact avec un médecin si elles remarquent des symptômes possibles d'une TEV (comme des gonflements douloureux d'une jambe, une dyspnée ou des douleurs soudaines de la cage thoracique).
-Lors de l'étude Women's Health Initiative Memory Study (WHIMS), une étude randomisée, contrôlée contre placebo, subordonnée à l'étude WHI, près de 2 000 femmes âgées de plus de 65 ans (âge moyen 71 ans) ont été traitées avec une préparation orale d'estrogènes équins conjugués et d'acétate de médroxyprogestérone et surveillées pendant 4 ans en moyenne.
-En outre, 1'464 femmes hystérectomisées âgées de 65 à 79 ans ont été traitées avec des estrogènes équins conjugués oraux seuls et suivies pendant 5.2 ans en moyenne. Ni le traitement aux estrogènes conjugués et à l'acétate de médroxyprogestérone ni la monothérapie aux estrogènes n'a montré d'effet bénéfique sur la fonction cognitive. Le risque de survenue d'une démence probable était même accru sous THS combiné (RR 2.05 [95% CI 1.21-3.48]). Ceci signifie en chiffres absolus 23 cas supplémentaires par an pour 10'000 femmes traitées.
- +Lors de l'étude Women's Health Initiative Memory Study (WHIMS), une étude randomisée, contrôlée contre placebo, subordonnée à l'étude WHI, près de 2'000 femmes âgées de plus de 65 ans (âge moyen 71 ans) ont été traitées avec une préparation orale d'estrogènes équins conjugués et d'acétate de médroxyprogestérone et surveillées pendant 4 ans en moyenne.
- +En outre, 1'464 femmes hystérectomisées âgées de 65 à 79 ans ont été traitées avec des estrogènes équins conjugués oraux seuls et suivies pendant 5,2 ans en moyenne. Ni le traitement aux estrogènes conjugués et à l'acétate de médroxyprogestérone ni la monothérapie aux estrogènes n'a montré d'effet bénéfique sur la fonction cognitive. Le risque de survenue d'une démence probable était même accru sous THS combiné (risque relatif 2,05 [IC à 95% 1,21-3,48]). Ceci signifie en chiffres absolus 23 cas supplémentaires par an pour 10'000 femmes traitées.
-Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. C'est pourquoi le risque d'affections de la vésicule biliaire (surtout la cholélithiase) est accru chez certaines femmes sous une estrogénothérapie.
- +Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Plusieurs études épidémiologiques ont mis en évidence sous THS une élévation du risque faible, mais staistiquement significative, d'affections de la vésicule biliaire (surtout la cholélithiase) et respectivement, une élévation de l'incidence des cholécystectomies. Il faudrait en tenir compte en particulier chez les patients qui présentent d'autres facteurs de risque de cholélithiase (p.ex. obésité, hyperlipidémie).
-L'apport exogène d'estrogène entraîne une augmentation de la concentration sérique de la globuline liant la thyroxine (GLT). Chez les femmes présentant une fonction thyroïdienne normale, cela n'a pas de signification clinique. Des études laissent supposer que chez les patientes sous traitement substitutif à des hormones thyroïdiennes, l'administration supplémentaire d'une préparation estrogénique (comme Activelle) pourrait augmenter le besoin en thyroxine. Chez les patientes sous traitement substitutif à des hormones thyroïdiennes, la fonction thyroïdienne devrait donc être surveillée régulièrement (au moyen d'une détermination de la TSH), en particulier durant les premier mois d'un THS.
- +L'apport exogène d'estrogène entraîne une augmentation de la concentration sérique de la globuline liant la thyroxine (GLT). Chez les femmes présentant une fonction thyroïdienne normale, cela n'a pas de signification clinique. Des études laissent supposer que chez les patientes sous traitement substitutif à des hormones thyroïdiennes, l'administration supplémentaire d'une préparation estrogénique (comme Activelle) pourrait augmenter le besoin en thyroxine. Chez les patientes sous traitement substitutif à des hormones thyroïdiennes, la fonction thyroïdienne devrait donc être surveillée régulièrement (au moyen d'une détermination de la TSH), en particulier durant les premiers mois d'un THS.
-Activelle contient 37 mg de lactose par comprimé filmé. Les patientes présentant un déficit sévère en lactase devraient prendre cette quantité en considération. Les patientes souffrant d'une forme rare héréditaire d'intolérance au galactose ou de malabsorption du glucose et du galactose ne devraient pas prendre ce médicament.
- +Activelle contient 37 mg de lactose par comprimé filmé. Les patientes présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
- +Interactions pharmacocinétiques
- +
-Inducteurs enzymatiques: le métabolisme des estrogènes et des progestatifs peut être accéléré lors de l'administration simultanée de médicaments induisant les enzymes hépatiques, en particulier les enzymes du cytochrome P450. Ce phénomène peut entraîner une diminution de l'efficacité ainsi que des troubles hémorragiques. L'induction enzymatique maximale se manifeste généralement seulement après 2 à 3 semaines, mais peut persister durant au moins 4 semaines après l'arrêt du traitement.
- +Inducteurs enzymatiques
- +Le métabolisme des estrogènes et des progestatifs peut être accéléré lors de l'administration simultanée de médicaments induisant les enzymes hépatiques, en particulier les enzymes du cytochrome P450. Cela peut entraîner une diminution de l'efficacité ainsi que des troubles hémorragiques. L'induction enzymatique maximale se manifeste généralement seulement après 2 à 3 semaines, mais peut persister durant au moins 4 semaines après l'arrêt du traitement.
-Interférence avec la circulation entéro-hépatique: en cas d'administration simultanée de courte durée (jusqu'à 10 jours) avec des antibiotiques, qui n'interagissent pas avec le système enzymatique CYP3A4, il ne faut pas s'attendre à des interactions pharmacocinétiques. Quant à de possibles interactions lors de comédication à long terme avec des antibiotiques (p.ex. en cas de borréliose ou d'ostéomyélite), il n'existe pas suffisamment de données. Une réduction du taux de principes actifs suite à une influence de la circulation entéro-hépatique (p.ex. pénicillines, tétracyclines) ne peut pas être exclue.
-Inhibiteurs enzymatiques: les médicaments qui inhibent l'effet des enzymes intervenant dans le métabolisme (p.ex. les antifongiques azolés ou les macrolides) peuvent augmenter les taux plasmatiques des principes actifs des comprimés filmés d'Activelle et renforcer ainsi leurs effets médicamenteux et leurs effets indésirables.
- +Interférence avec la circulation entéro-hépatique
- +En cas d'administration simultanée de courte durée (jusqu'à 10 jours) avec des antibiotiques, qui n'interagissent pas avec le système enzymatique CYP3A4, il ne faut pas s'attendre à des interactions pharmacocinétiques. Quant à de possibles interactions lors de comédication à long terme avec des antibiotiques (p.ex. en cas de borréliose ou d'ostéomyélite), il n'existe pas suffisamment de données. Une réduction du taux de principes actifs suite à une influence de la circulation entéro-hépatique (p.ex. pénicillines, tétracyclines) ne peut pas être exclue.
- +Inhibiteurs enzymatiques
- +Les médicaments qui inhibent l'effet des enzymes intervenant dans le métabolisme (p.ex. les antifongiques azolés ou les macrolides) peuvent augmenter les taux plasmatiques des principes actifs des comprimés filmés d'Activelle et renforcer ainsi leurs effets médicamenteux et leurs effets indésirables.
-Interactions pharmacodynamiques
-Suite à des modifications de la tolérance au glucose, des diabétiques soumises à un traitement médicamenteux peuvent connaître une modification de leur état métabolique, ce qui peut nécessiter une adaptation du traitement antidiabétique.
-Au cours d'études cliniques, on notait une élévation des ALAT cliniquement significative (notamment des cas d'élévation de plus de cinq fois la limite supérieure de la norme) apparaissant de manière significativement plus fréquente chez les patientes prenant simultanément des contraceptifs combinés contenant de l'éthinylestradiol et des principes actifs utilisés en association dans le traitement du VHC tels que l'ombitasvir/le paritaprévir/le ritonavir, avec ou sans dasabuvir, par rapport aux patientes qui avaient été traitées uniquement par des principes actifs antiviraux. En cas d'utilisation d'autres estrogènes (en particulier l'estradiol, celui contenu dans Activelle), l'incidence de l'élévation des transaminases n'était par contre pas supérieure à celle des patients ne prenant pas d'estrogénothérapie. En raison du nombre limité de femmes qui prenait un autre type d'estrogène, la prudence est en principe recommandée en cas d'utilisation simultanée d'estrogène et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir.
- +Au cours d'études cliniques, on notait une élévation des ALAT cliniquement significative (notamment des cas d'élévation de plus de cinq fois la limite supérieure de la norme) apparaissant de manière significativement plus fréquente chez les patientes prenant simultanément des contraceptifs combinés contenant de l'éthinylestradiol et certains principes actifs utilisés en association dans le traitement du VHC (ombitasvir/ paritaprévir/ ritonavir, avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir; sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir) par rapport aux patientes qui avaient été traitées uniquement par des principes actifs antiviraux. En cas d'utilisation d'autres estrogènes (en particulier l'estradiol, celui contenu dans Activelle), l'incidence de l'élévation des transaminases n'était par contre pas supérieure à celle des patients ne prenant pas d'estrogénothérapie. En raison du nombre limité de femmes qui prenait un autre type d'estrogène, la prudence est en principe recommandée en cas d'utilisation simultanée d'estrogène et de l'une des associations de principes actifs mentionnées.
- +Grossesse
-Si une grossesse survient ou est suspectée sous Activelle, la patiente doit immédiatement arrêter le traitement et consulter un médecin.
- +Si une grossesse survient ou est suspectée sous Activelle, la patiente doit immédiatement arrêter le traitement et consulter le médecin.
-Étant donné que la production de lait et que la qualité du lait pourraient être altérées et que de faibles quantités de principe actif passent dans le lait maternel, Activelle ne doit pas être administré à des femmes qui allaitent leur enfant.
- +Allaitement
- +Le médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement, car la production et la qualité du lait peuvent être altérées et de faibles quantités de principe actif peuvent passer dans le lait.
-Aucune étude à ce sujet n'a été menée. On ne connaît pas d'effets indésirables d'Activelle sur la capacité à conduire ou sur l'aptitude à utiliser des machines.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. On ne connaît pas d'effets indésirables d'Activelle sur la capacité à conduire ou sur l'aptitude à utiliser des machines.
-Les effets indésirables les plus sévères observés dans le cadre de la prise d'un THS sont également décrits sous «Mises en garde et précautions» (veuillez consulter ce paragraphe).
- +Les effets indésirables les plus sévères observés dans le cadre de l'utilisation d'un THS sont également décrits sous «Mises en garde et précautions» (voir là-bas).
-La liste ci-après mentionne les effets indésirables d'après le système organique et la fréquence observée dans les études cliniques avec Activelle ou durant la surveillance de post-marketing.
-Les fréquences des effets indésirables ont été définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1 000, <1/100), rares (≥1/10'000, <1/1'000), très rares (<1/10'000).
-Infections
-Fréquents: mycose vulvovaginale ou vaginite.
-Néoplasies
-Très rares: carcinome de l'endomètre.
- +La liste ci-après mentionne les effets indésirables d'après la classe de systèmes d'organes MedDRA et la fréquence observée dans les études cliniques avec Activelle ou durant la pharmacovigilance.
- +Les fréquences des effets indésirables ont été définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000).
- +Infections et infestations
- +Fréquents: mycose vulvovaginale ou vaginite
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
- +Très rares: carcinome de l'endomètre
-Occasionnels: réactions d'hypersensibilité (dans de rares cas pouvant aller jusqu'au choc anaphylactique).
-Très rares: œdème angioneurotique.
- +Occasionnels: réactions d'hypersensibilité (dans de rares cas pouvant aller jusqu'au choc anaphylactique)
- +Très rares: œdème angioneurotique
-Fréquents: rétention liquidienne, prise de poids.
-Très rares: perte de poids.
- +Fréquents: rétention liquidienne, prise de poids
- +Très rares: perte de poids
-Fréquents: dépression ou aggravation d'une dépression préexistante.
- +Fréquents: dépression ou aggravation d'une dépression préexistante
-Très rares: anxiété, modifications de la libido (aussi bien augmentation que diminution).
- +Très rares: anxiété, modifications de la libido (aussi bien augmentation que diminution)
-Fréquents: céphalées, migraine ou aggravation d'une migraine préexistante.
-Très rares: vertiges, troubles du sommeil.
-Affections cardiaques/Affections vasculaires
-Occasionnels: thrombophlébite superficielle.
-Rares: thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire.
-Très rares: hausse de la pression sanguine, aggravation d'une hypertension artérielle préexistante, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral.
- +Fréquents: céphalées, migraine ou aggravation d'une migraine préexistante
- +Très rares: vertiges, troubles du sommeil
-Très rares: troubles visuels.
- +Très rares: troubles visuels
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: thrombophlébite superficielle
- +Rares: thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire
- +Très rares: hausse de la pression sanguine, aggravation d'une hypertension artérielle préexistante, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral
-Fréquents: nausées.
-Occasionnels: ballonnements, douleurs abdominales.
-Très rares: dyspepsie, vomissements.
- +Fréquents: nausées
- +Occasionnels: ballonnements, douleurs abdominales
- +Très rares: dyspepsie, vomissements
-Très rares: affections de la vésicule biliaire (surtout la cholélithiase).
- +Très rares: affections de la vésicule biliaire (surtout la cholélithiase)
-Occasionnels: alopécie, hirsutisme, acné, prurit, urticaire.
-Très rares: éruption cutanée, séborrhée.
- +Occasionnels: alopécie, hirsutisme, acné, prurit, urticaire
- +Très rares: éruption cutanée, séborrhée
-Fréquents: douleurs dorsales.
-Occasionnels: crampes des mollets.
- +Fréquents: douleurs dorsales
- +Occasionnels: crampes des mollets
-Très fréquents: douleurs ou tensions mammaires, saignements vaginaux.
-Fréquents: œdèmes ou agrandissement des seins, augmentation de la taille (ou récidive) de myomes utérins.
-Très rares: prurit vulvo-vaginal, hyperplasie de l'endomètre.
- +Très fréquents: douleurs ou tensions mammaires (10-20%), saignements vaginaux (10-20%)
- +Fréquents: œdèmes ou agrandissement des seins, augmentation de la taille (ou récidive) de myomes utérins
- +Très rares: prurit vulvo-vaginal, hyperplasie de l'endomètre
-Fréquents: œdèmes périphériques.
-D'autres effets secondaires, rapportés en association avec un traitement par estrogènes/progestatifs sont:
-fibroadénome des seins, cancer du sein, hypertriglycéridémie, variations de l'humeur, palpitations, valeurs hépatiques anormales, ictère cholestatique, chloasma, érythème noueux, érythème multiforme, purpura vasculaire, sécrétions vaginales, douleurs du bas ventre.
- +Fréquents: œdèmes périphériques
- +Autres effets secondaires, rapportés en association avec un traitement par estrogènes/progestatifs:
- +Fibroadénome des seins, cancer du sein, hypertriglycéridémie, variations de l'humeur, palpitations, valeurs hépatiques anormales, ictère cholestatique, chloasma, érythème noueux, érythème multiforme, purpura vasculaire, sécrétions vaginales, douleurs du bas ventre.
- +L'annonce deffets secondaires après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Code ATC:
- +Code ATC
- +Pharmacodynamique
- +Voir «Mécanisme d'action»
-Activelle influence des processus métaboliques. Des études contrôlées par placebo ont montré qu'Activelle diminue le taux du cholestérol total, du cholestérol LDL et du Lp(a). Une diminution progressive du cholestérol HDL a été constatée, sans que cela modifie le rapport LDL/HDL. Activelle n'augmente pas les triglycérides. En outre, la tolérance au glucose ou la sensibilité à l'insuline ne sont pas changées par Activelle.
- +Activelle influence des processus métaboliques. Dans les études cliniques, aucune augmentation des triglycérides, ni aucune modification du rapport LDL/HDL n'ont été constatées. De même, la tolérance au glucose et la sensibilité à l'insuline n'ont pas été modifiées.
-Des études contrôlées par placebo ont pu montrer qu'Activelle augmente la densité osseuse des vertèbres lombaires, de la hanche, de l'avant-bras, ainsi que la densité osseuse dans l'ensemble. En outre, Activelle a provoqué une diminution de l'excrétion des marqueurs de la résorption osseuse et de la formation osseuse, en les ramenant à des valeurs pré-ménopausiques, ce qui laisse supposer un retour à la normale du remaniement osseux.
- +Dans des études contrôlées par placebo, Activelle a entrainé une augmentation de la densité osseuse, non seulement globalement, mais également des vertèbres lombaires, de la hanche et de l'avant-bras. En outre, Activelle a provoqué une diminution de l'excrétion des biomarqueurs de la résorption osseuse et de la formation osseuse, en les ramenant à des valeurs pré-ménopausiques, ce qui laisse supposer un retour à la normale du remaniement osseux.
- +Activelle a permis d'éviter les saignements mensuels présents sous THS séquentiel. Dans les études, 90% des femmes ne présentaient plus aucun saignement après 9 à 12 mois de traitement par Activelle. Des spottings ou saignements sporadiques ont été observés chez 27% des femmes au cours des trois premiers mois de traitement, et chez 10% des femmes pendant les mois 10 à 12 de traitement.
- +
-Estradiol:
- +Estradiol
-Le métabolisme du 17-β-estradiol se fait essentiellement dans le foie et l'intestin et comprend la formation de métabolites moins actifs ou inactifs tels que l'estrone, le catéchol-estrogène, divers sulfates et glucuronides d'estrogène.
- +Le métabolisme du 17β-estradiol se fait essentiellement dans le foie et l'intestin et comprend la formation de métabolites moins actifs ou inactifs tels que l'estrone, le catéchol-estrogène, divers sulfates et glucuronides d'estrogène.
-La demi-vie du 17-β-estradiol se situe entre 12 et 14 heures. L'estradiol et ses métabolites sont éliminés par voie biliaire et sont soumis à une circulation entéro-hépatique. 90 à 95% sont éliminés dans les urines sous forme de glucuronides et de sulfates conjugués biologiquement inactifs, 5 à 10% sont éliminés dans les selles, généralement sous forme non conjuguée.
-Acétate de noréthistérone (NETA):
- +La demi-vie du 17β-estradiol se situe entre 12 et 14 heures. L'estradiol et ses métabolites sont éliminés par voie biliaire et sont soumis à une circulation entéro-hépatique. 90 à 95% sont éliminés dans les urines sous forme de glucuronides et de sulfates biologiquement inactifs, 5 à 10% sont éliminés dans les selles, généralement sous forme non conjuguée.
- +Acétate de noréthistérone (NETA)
-Le NETA est rapidement absorbé après administration orale et transformé en noréthistérone. Des concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 0.5 à 1.5 heures. La biodisponibilité s'élève à environ 60% de la dose administrée.
- +Le NETA est rapidement absorbé après administration orale et transformé en noréthistérone. Des concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 0,5 à 1,5 heures. La biodisponibilité s'élève à environ 60% de la dose administrée.
-La demi-vie de l'acétate de noréthistérone se situe entre 8 et 11 heures. Les métabolites sont essentiellement éliminés dans les urines sous forme de glucuronides et de sulfates conjugués.
- +La demi-vie de l'acétate de noréthistérone se situe entre 8 et 11 heures. Les métabolites sont essentiellement éliminés dans les urines sous forme de glucuronides et de sulfates.
-Patientes âgées: la pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes de 65 ans ou plus.
-Insuffisance rénale: la pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
-Insuffisance hépatique: la pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique. On sait toutefois que le métabolisme des hormones sexuelles est ralenti lors de troubles de la fonction hépatique.
- +Patientes âgées
- +La pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes de 65 ans ou plus.
- +Insuffisance rénale
- +La pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
- +Insuffisance hépatique
- +La pharmacocinétique de l'estradiol et du NETA n'a pas été examinée chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique. On sait toutefois que le métabolisme des hormones sexuelles est ralenti lors de troubles de la fonction hépatique.
-Toxicité pour la reproduction
- +Toxicité sur la reproduction
-Les hormones sexuelles peuvent influencer les résultats de certains tests de laboratoires, tels que des paramètres biochimiques du foie, de la glande thyroïde, la fonction des glandes surrénales ou la fonction rénale, les taux plasmatiques de protéines de liaison et la fraction lipides/lipoprotéines, des paramètres du métabolisme des hydrates de carbones, de la coagulation et de la fibrinolyse.
- +Les hormones sexuelles peuvent influencer les résultats de certains tests de laboratoires, tels que des paramètres biochimiques du foie, de la glande thyroïde, la fonction des glandes surrénales et la fonction rénale, les taux plasmatiques de protéines de liaison et la fraction lipides/lipoprotéines, des paramètres du métabolisme des hydrates de carbones, de la coagulation et de la fibrinolyse.
-Activelle ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Tenir hors de la portée des enfants. Conserver à température ambiante (15-25 °C). Ne pas conserver au réfrigérateur. Tenir à l'abri de la lumière, dans l'emballage d'origine.
- +Conserver à température ambiante (15-25°C).
- +Ne pas conserver au réfrigérateur.
- +Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de la lumière.
- +Tenir hors de la portée des enfants.
-54708 (Swissmedic).
- +54708 (Swissmedic)
-Novo Nordisk Pharma AG, Kloten
-Domicile: Zürich
- +Novo Nordisk Pharma SA, Kloten
- +Domicile: Zurich
-Mars 2017.
- +Décembre 2021
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