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Accueil - Information professionnelle sur Atacand plus 8/12.5 mg - Changements - 23.03.2022
124 Changements de l'information professionelle Atacand plus 8/12.5 mg
  • -De plus, elle est incluse dans les doses suivants :
  • -16/12,5 mg : Oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172).
  • -32/12,5 mg : Oxyde de fer jaune (E172).
  • -32/25 mg : Oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172).
  • +De plus, elle est incluse dans les doses suivants:
  • +16/12,5 mg: Oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172)
  • +32/12,5 mg: Oxyde de fer jaune (E172)
  • +32/25 mg: Oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172)
  • -Atacand plus ne doit pas non plus être pris en cas de troubles sévères de la fonction rénale (c’est-à-dire clairance de la créatinine <30 ml/min/1,73 m² de surface corporelle), de troubles graves de la fonction hépatique, de cholestase et de goutte. Atacand plus ne doit pas non plus être pris en cas d’hypokaliémie résistante au traitement, d’hyponatrémie, d’hypercalcémie et d’anurie.
  • -L’utilisation concomitante d’inhibiteurs de l’ECA ou d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (p. ex. Atacand Plus) et de médicaments contenant de l’aliskirène est contre-indiquée chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min/1,73 m2).
  • +Atacand plus ne doit pas non plus être pris en cas de troubles sévères de la fonction rénale (c’est-à-dire clairance de la créatinine < 30 ml/min/1,73 m² de surface corporelle), de troubles graves de la fonction hépatique, de cholestase et de goutte. Atacand plus ne doit pas non plus être pris en cas d’hypokaliémie résistante au traitement, d’hyponatrémie, d’hypercalcémie et d’anurie.
  • +L’utilisation concomitante d’inhibiteurs de l’ECA ou d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (p. ex. Atacand Plus) et de médicaments contenant de l’aliskirène est contre-indiquée chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux (TFG < 60 ml/min/1,73 m2).
  • -Il est prouvé que l’administration concomitante d’inhibiteurs de l’ECA, d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’aliskirène augmente le risque d’hypotension, d’hyperkaliémie et de diminution de la fonction rénale (y compris de défaillance rénale aiguë). Un double blocage du SRAA par l’administration concomitante d’inhibiteurs de l’ECA, d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’aliskirène est donc déconseillé (voir « Interactions »).
  • +Il est prouvé que l’administration concomitante d’inhibiteurs de l’ECA, d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’aliskirène augmente le risque d’hypotension, d’hyperkaliémie et de diminution de la fonction rénale (y compris de défaillance rénale aiguë). Un double blocage du SRAA par l’administration concomitante d’inhibiteurs de l’ECA, d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’aliskirène est donc déconseillé (voir «Interactions»).
  • -Chez certains patients prédisposés, traités par Atacand plus ou d’autres substances inhibant le système rénine-angiotensine-aldostérone, des altérations de la fonction rénale peuvent survenir (voir « Contre-indications »).
  • +Chez certains patients prédisposés, traités par Atacand plus ou d’autres substances inhibant le système rénine-angiotensine-aldostérone, des altérations de la fonction rénale peuvent survenir (voir «Contre-indications»).
  • -L’hydrochlorothiazide provoque une élimination rénale de potassium dose-dépendante ; il peut ainsi causer une hypokaliémie. Cet effet de l’hydrochlorothiazide semble avoir une moindre importance en association avec le candésartan cilexétil. Le risque d’hypokaliémie peut être accru chez les patients souffrant d’une cirrhose du foie, les patients avec une diurèse excessive, les patients ayant un apport oral inapproprié d’électrolytes et les patients prenant concomitamment des corticostéroïdes ou de l’hormone corticotrope (ACTH).
  • +L’hydrochlorothiazide provoque une élimination rénale de potassium dosedépendante; il peut ainsi causer une hypokaliémie. Cet effet de l’hydrochlorothiazide semble avoir une moindre importance en association avec le candésartan cilexétil. Le risque d’hypokaliémie peut être accru chez les patients souffrant d’une cirrhose du foie, les patients avec une diurèse excessive, les patients ayant un apport oral inapproprié d’électrolytes et les patients prenant concomitamment des corticostéroïdes ou de l’hormone corticotrope (ACTH).
  • -Ådème angioneurotique
  • -Chez des patients traités par le candésartan, on a observé, très rarement, des Å“dèmes angioneurotiques du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx. Dans ces cas, il faut immédiatement arrêter le traitement par Atacand plus et surveiller étroitement le patient jusqu'à disparition de la tuméfaction. Les patients qui ont des antécédents d’œdème angioneurotique non imputable à un traitement antihypertenseur pourraient être exposés à un risque accru d’œdème angioneurotique déclenché par le traitement par Atacand plus (voir « Contre-indications »).
  • +Ådème angioneurotique
  • +Chez des patients traités par le candésartan, on a observé, très rarement, des Å“dèmes angioneurotiques du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx. Dans ces cas, il faut immédiatement arrêter le traitement par Atacand plus et surveiller étroitement le patient jusqu'à disparition de la tuméfaction. Les patients qui ont des antécédents d’œdème angioneurotique non imputable à un traitement antihypertenseur pourraient être exposés à un risque accru d’œdème angioneurotique déclenché par le traitement par Atacand plus (voir «Contre-indications»).
  • -Les patients prenant de l’HCTZ doivent être informés du risque de CPNM et de la nécessité de vérifier régulièrement l’état de leur peau afin de détecter toute nouvelle lésion et de signaler toute lésion cutanée suspecte. Afin de réduire le risque de cancer de la peau, des mesures préventives seront conseillées aux patients, par exemple limiter l’exposition au soleil et aux rayons UV et appliquer une protection adéquate en cas d’exposition solaire. Les lésions cutanées suspectes doivent être immédiatement examinées, éventuellement à l’aide d’une analyse histologique de biopsies. L’utilisation d’HCTZ doit éventuellement être reconsidérée chez les patients avec antécédent de CPNM (voir également la rubrique « Effets indésirables »).
  • +Les patients prenant de l’HCTZ doivent être informés du risque de CPNM et de la nécessité de vérifier régulièrement l’état de leur peau afin de détecter toute nouvelle lésion et de signaler toute lésion cutanée suspecte. Afin de réduire le risque de cancer de la peau, des mesures préventives seront conseillées aux patients, par exemple limiter l’exposition au soleil et aux rayons UV et appliquer une protection adéquate en cas d’exposition solaire. Les lésions cutanées suspectes doivent être immédiatement examinées, éventuellement à l’aide d’une analyse histologique de biopsies. L’utilisation d’HCTZ doit éventuellement être reconsidérée chez les patients avec antécédent de CPNM (voir également la rubrique «Effets indésirables»).
  • +Toxicité respiratoire aiguë
  • +De très rares cas graves de toxicité respiratoire aiguë, notamment de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), ont été rapportés après la prise d’hydrochlorothiazide. L’oedème pulmonaire se développe généralement quelques minutes à quelques heures après la prise d’hydrochlorothiazide. Au début, les symptômes comportent dyspnée, fièvre, détérioration pulmonaire et hypotension. Si un diagnostic de SDRA est suspecté, Atacand plus doit être retiré et un traitement approprié doit être administré. L’hydrochlorothiazide ne doit pas être administré à des patients ayant déjà présenté un SDRA à la suite d’une prise d’hydrochlorothiazide.
  • +
  • -Des réactions d’hypersensibilité à l’hydrochlorothiazide peuvent se produire chez des patients avec ou sans antécédents d’allergie comme l’asthme bronchique ; elles sont cependant plus vraisemblables chez les patients avec de tels antécédents.
  • +Des réactions d’hypersensibilité à l’hydrochlorothiazide peuvent se produire chez des patients avec ou sans antécédents d’allergie comme l’asthme bronchique; elles sont cependant plus vraisemblables chez les patients avec de tels antécédents.
  • -Au vu des données recueillies in vitro, on peut escompter qu’in vivo il n’y a pas d'interactions entre le candésartan et les médicaments dont le métabolisme fait intervenir les iso-enzymes suivantes du cytochrome P450 : CYP1A2, CYP2A6, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6, CYP2E1 ou CYP3A4.
  • +Au vu des données recueillies in vitro, on peut escompter qu’in vivo il n’y a pas d'interactions entre le candésartan et les médicaments dont le métabolisme fait intervenir les iso-enzymes suivantes du cytochrome P450: CYP1A2, CYP2A6, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6, CYP2E1 ou CYP3A4.
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) voir « Mises en garde et précautions ».
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
  • +Voir «Mises en garde et précautions».
  • -Les substances suivantes peuvent entraîner des interactions lorsqu’elles sont administrées concomitamment :
  • -Alcool, barbituriques, narcotiques : renforcement de l’hypotension orthostatique.
  • -Antidiabétiques (substances orales et insuline) : un ajustement posologique de la médication antidiabétique peut s’avérer nécessaire.
  • -Autres antihypertenseurs : effet additif.
  • -Glycosides digitaliques : une hypokaliémie et une hypomagnésémie causées par des diurétiques favorisent un effet cardiotoxique potentiel des glycosides digitaliques et des antiarythmiques. Il est recommandé de contrôler périodiquement la kaliémie lorsqu’Atacand plus est administré concomitamment avec ce type de substances.
  • -Colestyramine et colestipol, résines échangeuses d’ions : l’absorption de l’hydrochlorothiazide diminue en cas d’utilisation de résines échangeuses d’ions. Des doses uniques de colestyramine ou de colestipol lient l’hydrochlorothiazide et réduisent respectivement son absorption gastro-intestinale jusqu’à 85 et 43%.
  • -Corticostéroïdes, ACTH : renforcement de carences électrolytiques, en particulier hypokaliémie.
  • +Les substances suivantes peuvent entraîner des interactions lorsqu’elles sont administrées concomitamment:
  • +Alcool, barbituriques, narcotiques: renforcement de l’hypotension orthostatique.
  • +Antidiabétiques (substances orales et insuline): un ajustement posologique de la médication antidiabétique peut s’avérer nécessaire.
  • +Autres antihypertenseurs: effet additif.
  • +Glycosides digitaliques: une hypokaliémie et une hypomagnésémie causées par des diurétiques favorisent un effet cardiotoxique potentiel des glycosides digitaliques et des antiarythmiques. Il est recommandé de contrôler périodiquement la kaliémie lorsqu’Atacand plus est administré concomitamment avec ce type de substances.
  • +Colestyramine et colestipol, résines échangeuses d’ions: l’absorption de l’hydrochlorothiazide diminue en cas d’utilisation de résines échangeuses d’ions. Des doses uniques de colestyramine ou de colestipol lient l’hydrochlorothiazide et réduisent respectivement son absorption gastro-intestinale jusqu’à 85 et 43%.
  • +Corticostéroïdes, ACTH: renforcement de carences électrolytiques, en particulier hypokaliémie.
  • -Catécholamines (p. ex. adrénaline) : une réduction de l’effet vasopresseur est possible, sans toutefois en interdire l’utilisation.
  • -Myorelaxants non dépolarisants (p. ex. tubocurarine) : un renforcement de l’effet des myorelaxants est possible.
  • -Lithium : on a observé une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium en cas d’administration concomitante de lithium et d’inhibiteurs de l’IECA ou d’hydrochlorothiazide. Bien que l’on n’ait pas observé de tels effets sous Atacand plus, une élévation de la lithémie reste possible. Il est recommandé de la contrôler soigneusement en cas de traitement concomitant par ces substances.
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens : chez certains patients, l’administration d'anti-inflammatoires non stéroïdiens peut réduire l’effet diurétique, natriurétique et antihypertenseur des diurétiques. Chez les patients prédisposés, on a observé dans quelques cas isolés une détérioration de la fonction rénale.
  • -Allopurinol : élévation de la fréquence des réactions d’hypersensibilité à l’allopurinol.
  • -Antinéoplasiques (p. ex. méthotrexate, cyclophosphamide) : réduction de l’élimination rénale des antinéoplasiques.
  • +Catécholamines (p. ex. adrénaline): une réduction de l’effet vasopresseur est possible, sans toutefois en interdire l’utilisation.
  • +Myorelaxants non dépolarisants (p. ex. tubocurarine): un renforcement de l’effet des myorelaxants est possible.
  • +Lithium: on a observé une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium en cas d’administration concomitante de lithium et d’inhibiteurs de l’IECA ou d’hydrochlorothiazide. Bien que l’on n’ait pas observé de tels effets sous Atacand plus, une élévation de la lithémie reste possible. Il est recommandé de la contrôler soigneusement en cas de traitement concomitant par ces substances.
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens: chez certains patients, l’administration d'anti-inflammatoires non stéroïdiens peut réduire l’effet diurétique, natriurétique et antihypertenseur des diurétiques. Chez les patients prédisposés, on a observé dans quelques cas isolés une détérioration de la fonction rénale.
  • +Allopurinol: élévation de la fréquence des réactions d’hypersensibilité à l’allopurinol.
  • +Antinéoplasiques (p. ex. méthotrexate, cyclophosphamide): réduction de l’élimination rénale des antinéoplasiques.
  • -Anticholinergiques (p. ex. atropine, bipéridène) : augmentation de la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • -Vitamine D : renforcement de l’augmentation de la calcémie.
  • -Ciclosporine : augmentation du risque d’hyperuricémie et de complications liées à la goutte.
  • -Sels de calcium : les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer une hypercalcémie en augmentant la réabsorption tubulaire du calcium.
  • -Diazoxide : renforcement de l’effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • +Anticholinergiques (p. ex. atropine, bipéridène): augmentation de la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • +Vitamine D: renforcement de l’augmentation de la calcémie.
  • +Ciclosporine: augmentation du risque d’hyperuricémie et de complications liées à la goutte.
  • +Sels de calcium: les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer une hypercalcémie en augmentant la réabsorption tubulaire du calcium.
  • +Diazoxide: renforcement de l’effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • -L’utilisation d’Atacand plus est contre-indiquée pendant la grossesse (voir « Contre-indications »). Les patientes sous Atacand plus doivent en être instruites avant d’envisager une grossesse, afin qu’elles puissent discuter les options appropriées avec le médecin traitant. Si une grossesse est constatée, il faut immédiatement arrêter le traitement par Atacand plus et éventuellement initier un traitement alternatif.
  • +L’utilisation d’Atacand plus est contre-indiquée pendant la grossesse (voir «Contre-indications»). Les patientes sous Atacand plus doivent en être instruites avant d’envisager une grossesse, afin qu’elles puissent discuter les options appropriées avec le médecin traitant. Si une grossesse est constatée, il faut immédiatement arrêter le traitement par Atacand plus et éventuellement initier un traitement alternatif.
  • -On ignore si le candésartan passe dans le lait maternel humain. Chez la rate, le candésartan a été retrouvé dans le lait. L’hydrochlorothiazide passe dans le lait maternel. Atacand plus est contre-indiqué pendant la période d’allaitement. Pour exclure le risque d’effets indésirables potentiels chez le nourrisson, il est recommandé de le sevrer si le traitement de la mère par Atacand plus est indispensable (voir « Contre-indications »).
  • +On ignore si le candésartan passe dans le lait maternel humain. Chez la rate, le candésartan a été retrouvé dans le lait. L’hydrochlorothiazide passe dans le lait maternel. Atacand plus est contre-indiqué pendant la période d’allaitement. Pour exclure le risque d’effets indésirables potentiels chez le nourrisson, il est recommandé de le sevrer si le traitement de la mère par Atacand plus est indispensable (voir «Contre-indications»).
  • -La fréquence des effets indésirables est définie comme suit : très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100), rares (≥1/10‘000, <1/1000), très rares (<1/10‘000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100), rares (≥1/10‘000, <1/1000), très rares (<1/10‘000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquents : Vertiges.
  • +Fréquents: vertiges
  • -Fréquents : infections des voies respiratoires.
  • +Fréquents: infections des voies respiratoires
  • -Très rares : leucopénie, neutropénie, agranulocytose.
  • +Très rares: leucopénie, neutropénie, agranulocytose
  • -Très rares : hyperkaliémie, hyponatrémie.
  • +Très rares: hyperkaliémie, hyponatrémie
  • -Fréquents : obnubilation/vertiges, céphalées.
  • -Très rares : vertiges.
  • +Fréquents: obnubilation/vertiges, céphalées
  • +Très rares: vertiges
  • -Très rares : hypotension.
  • +Très rares: hypotension
  • -Très rares : toux.
  • +Très rares: toux, syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA)
  • -Très rares : nausées.
  • +Très rares: nausées
  • -Très rares : élévation des valeurs des enzymes hépatiques, anomalie des fonctions hépatiques, hépatite.
  • +Très rares: élévation des valeurs des enzymes hépatiques, anomalie des fonctions hépatiques, hépatite
  • -Très rares : angio-Å“dème, rash, urticaire, prurit.
  • +Très rares: angio-Å“dème, rash, urticaire, prurit
  • -Fréquents : douleurs dorsales.
  • -Très rares : arthralgie, myalgie.
  • +Fréquents: douleurs dorsales
  • +Très rares: arthralgie, myalgie
  • -Très rares : insuffisance rénale, y compris défaillance rénale chez le patient sensible (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +Très rares: insuffisance rénale, y compris défaillance rénale chez le patient sensible (voir «Mises en garde et précautions»)
  • -Très rares : élévation des taux de créatinine, d’urée et de potassium.
  • -Les autres effets indésirables observés pendant les études cliniques sont les suivants : douleurs thoraciques, albuminurie, fièvre, paresthésies, tachycardie, palpitations, augmentation du taux de créatine-phosphokinase, hyperglycémie, hypertriglycéridémie, hyperuricémie, épistaxis, anxiété, dépression, dyspnée, hématurie, angine de poitrine, Å“dèmes et infarctus du myocarde.
  • -Les effets indésirables suivants ont été décrits sous une monothérapie d'hydrochlorothiazide (généralement à des doses de 25 mg ou plus élevées) :
  • +Très rares: élévation des taux de créatinine, d’urée et de potassium
  • +Les autres effets indésirables observés pendant les études cliniques sont les suivants: douleurs thoraciques, albuminurie, fièvre, paresthésies, tachycardie, palpitations, augmentation du taux de créatine-phosphokinase, hyperglycémie, hypertriglycéridémie, hyperuricémie, épistaxis, anxiété, dépression, dyspnée, hématurie, angine de poitrine, Å“dèmes et infarctus du myocarde.
  • +Les effets indésirables suivants ont été décrits sous une monothérapie d'hydrochlorothiazide (généralement à des doses de 25 mg ou plus élevées):
  • -Fréquence indéterminée : cancer de la peau non-mélanome [CPNM] (carcinome basocellulaire [CBC] et carcinome spinocellulaire [CSC]).
  • +Fréquence indéterminée: cancer de la peau non-mélanome [CPNM] (carcinome basocellulaire [CBC] et carcinome spinocellulaire [CSC])
  • -Rares : leucopénie, neutropénie, agranulocytose, thrombocytopénie (parfois avec purpura), dépression médullaire, anémie aplasique et anémie hémolytique.
  • +Rares: leucopénie, neutropénie, agranulocytose, thrombocytopénie (parfois avec purpura), dépression médullaire, anémie aplasique et anémie hémolytique
  • -Rares : réactions anaphylactiques.
  • +Rares: réactions anaphylactiques
  • -Fréquents : hyperglycémie, hyperuricémie, troubles électrolytiques (y compris hyponatrémie, hypokaliémie, hypomagnésiémie, hypercalcémie).
  • -Rares : détérioration d’un état métabolique diabétique.
  • -Cas isolés : alcalose hypochlorémique.
  • +Fréquents: hyperglycémie, hyperuricémie, troubles électrolytiques (y compris hyponatrémie, hypokaliémie, hypomagnésiémie, hypercalcémie)
  • +Rares: détérioration d’un état métabolique diabétique
  • +Cas isolés: alcalose hypochlorémique
  • -Rares : troubles du sommeil, dépression, agitation.
  • +Rares: troubles du sommeil, dépression, agitation
  • -Fréquents : obnubilation, vertiges.
  • -Rares : paresthésies.
  • +Fréquents: obnubilation, vertiges
  • +Rares: paresthésies
  • -Rares : troubles visuels.
  • -Très rares : myopie aiguë, glaucome aigu à angle fermé.
  • -Fréquence indéterminée : épanchement choroïdien (choroidal effusion).
  • +Rares: troubles visuels
  • +Très rares: myopie aiguë, glaucome aigu à angle fermé
  • +Fréquence indéterminée: épanchement choroïdien (choroidal effusion)
  • -Occasionnels : hypotension orthostatique, qui peut être renforcée par l’alcool, les anesthésiques ou les sédatifs.
  • -Rares : troubles du rythme cardiaque, angéite nécrosante (vasculite).
  • +Occasionnels: hypotension orthostatique, qui peut être renforcée par l’alcool, les anesthésiques ou les sédatifs
  • +Rares: troubles du rythme cardiaque, angéite nécrosante (vasculite)
  • -Rares : troubles respiratoires, y compris pneumonie et Å“dème pulmonaire.
  • +Rares: troubles respiratoires, y compris pneumonie et Å“dème pulmonaire
  • -Occasionnels : anorexie, perte d’appétit, troubles gastro-intestinaux (y compris légères nausées, vomissements, troubles abdominaux), diarrhée, constipation.
  • -Rares : pancréatite.
  • +Occasionnels: anorexie, perte d’appétit, troubles gastro-intestinaux (y compris légères nausées, vomissements, troubles abdominaux), diarrhée, constipation
  • +Rares: pancréatite
  • -Rares : ictère (ictère intra-hépatique cholestatique).
  • +Rares: ictère (ictère intra-hépatique cholestatique)
  • -Occasionnels : rash, urticaire, photosensibilisation.
  • -Rares : nécrolyse épidermique toxique, lupus érythémateux systémique, lupus érythémateux cutané.
  • +Occasionnels: rash, urticaire, photosensibilisation
  • +Rares: nécrolyse épidermique toxique, lupus érythémateux systémique, lupus érythémateux cutané
  • -Rares : spasmes musculaires.
  • +Rares: spasmes musculaires
  • -Fréquents : glycosurie.
  • -Rares : dysfonction rénale, néphrite interstitielle.
  • +Fréquents: glycosurie
  • +Rares: dysfonction rénale, néphrite interstitielle
  • -Fréquents : faiblesse.
  • -Rares : fièvre, céphalées.
  • +Fréquents: faiblesse
  • +Rares: fièvre, céphalées
  • -Fréquents : augmentation du cholestérol et des triglycérides.
  • -Rares : augmentation du BUN et de la créatinine sérique.
  • +Fréquents: augmentation du cholestérol et des triglycérides
  • +Rares: augmentation du BUN et de la créatinine sérique
  • -Cancers de la peau non-mélanome (CBC et CSC) : Sur la base des données disponibles issues d’études épidémiologiques, une relation dépendant de la dose cumulée a été observée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide (HCTZ) et le développement d’un CPNM (voir également les rubriques « Mises en garde et précautions » et « Propriétés/Effets »).
  • +Cancers de la peau non-mélanome (CBC et CSC): Sur la base des données disponibles issues d’études épidémiologiques, une relation dépendant de la dose cumulée a été observée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide (HCTZ) et le développement d’un CPNM (voir également les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Mécanisme d’action/ Pharmacodynamique
  • -L’angiotensine II est l’hormone vasoactive la plus importante du système rénine-angiotensine-aldostérone ; elle joue un rôle significatif dans la pathophysiologie de l’hypertension et d’autres maladies cardiovasculaires. Elle joue aussi un rôle important dans la pathogenèse de l’hypertrophie et des dégâts aux organes cibles. Les principaux effets physiologiques de l’angiotensine II, comme la vasoconstriction, la stimulation de la production d’aldostérone, la régulation du bilan hydrosodé et la stimulation de la croissance cellulaire, sont provoqués par l’intermédiaire des récepteurs de type 1 (AT1).
  • +Mécanisme d’action/Pharmacodynamique
  • +L’angiotensine II est l’hormone vasoactive la plus importante du système rénine-angiotensinealdostérone; elle joue un rôle significatif dans la pathophysiologie de l’hypertension et d’autres maladies cardiovasculaires. Elle joue aussi un rôle important dans la pathogenèse de l’hypertrophie et des dégâts aux organes cibles. Les principaux effets physiologiques de l’angiotensine II, comme la vasoconstriction, la stimulation de la production d’aldostérone, la régulation du bilan hydrosodé et la stimulation de la croissance cellulaire, sont provoqués par l’intermédiaire des récepteurs de type 1 (AT1).
  • -L’hydrochlorothiazide inhibe la réabsorption active du sodium principalement au niveau du tubule distal ; il stimule l’excrétion de sodium, de chlorure et d’eau. L’excrétion rénale de potassium et de magnésium augmente de façon dose-dépendante, alors que la réabsorption du calcium s’élève. L’hydrochlorothiazide provoque une réduction du volume plasmatique et du liquide extracellulaire, réduisant ainsi l’éjection cardiaque et la tension artérielle.
  • +L’hydrochlorothiazide inhibe la réabsorption active du sodium principalement au niveau du tubule distal; il stimule l’excrétion de sodium, de chlorure et d’eau. L’excrétion rénale de potassium et de magnésium augmente de façon dose-dépendante, alors que la réabsorption du calcium s’élève. L’hydrochlorothiazide provoque une réduction du volume plasmatique et du liquide extracellulaire, réduisant ainsi l’éjection cardiaque et la tension artérielle.
  • -Cancers de la peau non-mélanome (CPNM) : sur la base des données disponibles issues d’études épidémiologiques, une relation dépendant de la dose cumulée a été observée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide (HCTZ) et le développement d’un CPNM. Une étude a inclus une population de 71'553 cas de CBC et 8'629 cas de CSC ainsi que 1'430'883 ou 172'462 contrôles correspondants. Une exposition élevée à l’HCTZ (dose cumulée ≥ 50'000 mg) était associée à des quotients de probabilité (OR) ajustés de 1,29 (IC à 95% : 1,23-1,35) pour le CBC et de 3,98 (IC à 95% : 3,68-4,31) pour le CSC. Une relation dose cumulée-effet manifeste a été observée tant pour le CBC que pour le CSC. Une autre étude a indiqué une relation possible entre l’exposition à l’HCTZ et le cancer des lèvres (CSC) : 633 cas de cancer des lèvres ont été comparés à 63'067 contrôles correspondants à l’aide d’une stratégie « Risk set sampling ». Une relation dose cumulée-effet a été observée avec une élévation des OR ajustés de 2,1 (IC à 95% : 1,7-2,6) à 3,9 (IC à 95% : 3,0-4,9) en cas de dose cumulée élevée (≥ 25'000 mg) et à 7,7 (IC à 95% : 5,7-10,5) pour la dose cumulée la plus élevée (≥ 100'000 mg) (voir également la rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • +Cancers de la peau non-mélanome (CPNM): sur la base des données disponibles issues d’études épidémiologiques, une relation dépendant de la dose cumulée a été observée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide (HCTZ) et le développement d’un CPNM. Une étude a inclus une population de 71'553 cas de CBC et 8'629 cas de CSC ainsi que 1'430'883 ou 172'462 contrôles correspondants. Une exposition élevée à l’HCTZ (dose cumulée ≥ 50'000 mg) était associée à des quotients de probabilité (OR) ajustés de 1,29 (IC à 95%: 1,23-1,35) pour le CBC et de 3,98 (IC à 95%: 3,68-4,31) pour le CSC. Une relation dose cumulée-effet manifeste a été observée tant pour le CBC que pour le CSC. Une autre étude a indiqué une relation possible entre l’exposition à l’HCTZ et le cancer des lèvres (CSC): 633 cas de cancer des lèvres ont été comparés à 63'067 contrôles correspondants à l’aide d’une stratégie «Risk set sampling». Une relation dose cumulée-effet a été observée avec une élévation des OR ajustés de 2,1 (IC à 95%: 1,7-2,6) à 3,9 (IC à 95%: 3,0-4,9) en cas de dose cumulée élevée (≥ 25'000 mg) et à 7,7 (IC à 95%: 5,7-10,5) pour la dose cumulée la plus élevée (≥ 100'000 mg) (voir également la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Accident vasculaire cérébral non mortel 68 93 0,72 (0,53-0,99) 0,04
  • +Apoplexie cérébrale non mortelle 68 93 0,72 (0,53-0,99) 0,04
  • -Dans une étude clinique randomisée et en double aveugle auprès de 1975 patients insuffisamment contrôlés par 32 mg de candésartan cilexétil par jour, l’ajout de 12,5 mg ou de 25 mg d’hydrochlorothiazide a permis des baisses supplémentaires de la tension artérielle. L’association candésartan cilexétil/hydrochlorothiazide 32 mg/25 mg a été significativement plus efficace que la posologie de 32 mg/12,5 mg ; les réductions moyennes de la tension ont été de 16/10 mm Hg et de 13/9 mm Hg respectivement.
  • +Dans une étude clinique randomisée et en double aveugle auprès de 1975 patients insuffisamment contrôlés par 32 mg de candésartan cilexétil par jour, l’ajout de 12,5 mg ou de 25 mg d’hydrochlorothiazide a permis des baisses supplémentaires de la tension artérielle. L’association candésartan cilexétil/hydrochlorothiazide 32 mg/25 mg a été significativement plus efficace que la posologie de 32 mg/12,5 mg; les réductions moyennes de la tension ont été de 16/10 mm Hg et de 13/9 mm Hg respectivement.
  • -Voir aussi sous « Absorption ».
  • +Voir aussi sous «Absorption».
  • -Le candésartan est excrété essentiellement sous forme inchangée par voie urinaire et biliaire ; il n’est éliminé qu’en faible proportion par métabolisation hépatique (CYP2C9). La demi-vie terminale du candésartan est d’environ 9 heures. Il n’y a pas d’accumulation après administration répétée.
  • +Le candésartan est excrété essentiellement sous forme inchangée par voie urinaire et biliaire; il n’est éliminé qu’en faible proportion par métabolisation hépatique (CYP2C9). La demi-vie terminale du candésartan est d’environ 9 heures. Il n’y a pas d’accumulation après administration répétée.
  • -L'hydrochlorothiazide n’est pas métabolisée ; il est excrété sous forme inchangée presque totalement par filtration glomérulaire et par sécrétion tubulaire active. Sa demi-vie terminale atteint env. 8 heures. Près de 70% de la dose administrée par voie orale sont éliminés par voie urinaire dans les 48 heures.
  • +L'hydrochlorothiazide n’est pas métabolisée; il est excrété sous forme inchangée presque totalement par filtration glomérulaire et par sécrétion tubulaire active. Sa demi-vie terminale atteint env. 8 heures. Près de 70% de la dose administrée par voie orale sont éliminés par voie urinaire dans les 48 heures.
  • -Voir aussi sous « Métabolisme ».
  • +Voir aussi sous «Métabolisme».
  • -Chez les patients âgés (plus de 65 ans), la Cmax présente une élévation de 50% et l’ASC une élévation de 80% par rapport à celles de patients jeunes. L’effet sur la tension artérielle et la survenue d’effets indésirables après administration d’Atacand plus est comparable chez les patients âgés et jeunes (voir « Posologie/Mode d'emploi »).
  • +Chez les patients âgés (plus de 65 ans), la Cmax présente une élévation de 50% et l’ASC une élévation de 80% par rapport à celles de patients jeunes. L’effet sur la tension artérielle et la survenue d’effets indésirables après administration d’Atacand plus est comparable chez les patients âgés et jeunes (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -L’expérience acquise en matière d’utilisation d’Atacand plus chez les patients présentant des maladies hépatiques graves (Child-Pugh Score >9) et/ou une cholestase est limitée (voir « Posologie/Mode d’emploi » et « Contre-indications »).
  • +L’expérience acquise en matière d’utilisation d’Atacand plus chez les patients présentant des maladies hépatiques graves (Child-Pugh Score >9) et/ou une cholestase est limitée (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Contre-indications»).
  • -Dans des études de sécurité d’emploi précliniques, le candésartan administré à hautes doses à la souris, au rat, au chien et au singe a montré des effets sur les reins et sur la lignée sanguine des globules rouges. Le candésartan a entraîné une baisse des paramètres dépendants de la lignée érythrocytaire (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite). Le candésartan a également démontré des effets sur les reins (renouvellement, agrandissement et basophilie des tubules ; augmentation des concentrations plasmatiques de l’urée et de la créatinine). Ces effets pourraient être secondaires à l’action hypotensive qui entraîne une modification de l’irrigation sanguine rénale. L’adjonction de l’hydrochlorothiazide potentialise la néphrotoxicité du candésartan. De plus, le candésartan a entraîné une hyperplasie/une hypertrophie des cellules juxtaglomérulaires rénales. On suppose que ces modifications sont dues à l’effet pharmacologique du candésartan et que leur pertinence clinique est faible.
  • +Dans des études de sécurité d’emploi précliniques, le candésartan administré à hautes doses à la souris, au rat, au chien et au singe a montré des effets sur les reins et sur la lignée sanguine des globules rouges. Le candésartan a entraîné une baisse des paramètres dépendants de la lignée érythrocytaire (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite). Le candésartan a également démontré des effets sur les reins (renouvellement, agrandissement et basophilie des tubules; augmentation des concentrations plasmatiques de l’urée et de la créatinine). Ces effets pourraient être secondaires à l’action hypotensive qui entraîne une modification de l’irrigation sanguine rénale. L’adjonction de l’hydrochlorothiazide potentialise la néphrotoxicité du candésartan. De plus, le candésartan a entraîné une hyperplasie/une hypertrophie des cellules juxtaglomérulaires rénales. On suppose que ces modifications sont dues à l’effet pharmacologique du candésartan et que leur pertinence clinique est faible.
  • -Les résultats des études de développement fÅ“tal menées chez le rat, la souris et le lapin n’ont pas été influencés de manière significative par l’adjonction d’hydrochlorothiazide (voir « Grossesse, Allaitement »).
  • +Les résultats des études de développement fÅ“tal menées chez le rat, la souris et le lapin n’ont pas été influencés de manière significative par l’adjonction d’hydrochlorothiazide (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Comprimés (avec sillon de sécabilité) 8/12,5 mg : 28, 30 et 98 [B]
  • -Comprimés (avec sillon de sécabilité) 16/12,5 mg : 28, 30 et 98 [B]
  • -Comprimés (avec sillon de sécabilité) 32/12,5 mg : 28 et 98 [B]
  • -Comprimés (avec sillon de sécabilité) 32/25 mg : 28 et 98 [B]
  • +Comprimés (avec sillon de sécabilité) 8/12,5 mg: 28, 30 et 98 [B]
  • +Comprimés (avec sillon de sécabilité) 16/12,5 mg: 28, 30 et 98 [B]
  • +Comprimés (avec sillon de sécabilité) 32/12,5 mg: 28 et 98 [B]
  • +Comprimés (avec sillon de sécabilité) 32/25 mg: 28 et 98 [B]
  • -Juillet 2020
  • +Mars 2022
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