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Accueil - Information professionnelle sur Imodium duo - Changements - 10.08.2017
72 Changements de l'information professionelle Imodium duo
  • -Imodium duo est indiqué dans le traitement symptomatique de la diarrhée aiguë chez ladulte et ladolescent dès lâge de 12 ans, lorsque la diarrhée aiguë saccompagne de troubles abdominaux dus à la formation de gaz, comme par exemple ballonnements, crampes ou flatulence.
  • +Imodium duo est indiqué dans le traitement symptomatique de la diarrhée aiguë chez l'adulte et l'adolescent dès l'âge de 12 ans, lorsque la diarrhée aiguë s'accompagne de troubles abdominaux dus à la formation de gaz, comme par exemple ballonnements, crampes ou flatulence.
  • -Les comprimés présentent une rainure de fragmentation décorative (il nexiste aucun résultat de tests de fragmentation; le comprimé peut être fragmenté pour faciliter la prise du médicament).
  • +Les comprimés présentent une rainure de fragmentation décorative (il n'existe aucun résultat de tests de fragmentation; le comprimé peut être fragmenté pour faciliter la prise du médicament).
  • -Aucune adaptation posologique nest nécessaire pour les patients âgés.
  • -Patients atteints d’insuffisance rénale
  • -Aucune adaptation posologique nest nécessaire pour les patients atteints dinsuffisance rénale.
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour les patients âgés.
  • +Patients avec diminution de la fonction rénale
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour les patients atteints d'insuffisance rénale.
  • -Ladministration est contre-indiquée en cas de troubles graves de la fonction hépatique.
  • +L'administration est contre-indiquée en cas de troubles graves de la fonction hépatique.
  • -Imodium duo est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue aux principes actifs ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +Imodium duo est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue aux principes actifs ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • -·patients souffrant dune colite ulcéreuse aiguë,
  • -·patients souffrant dune entérocolite bactérienne occasionnée par des organismes invasifs y compris par des salmonelles, des shigelles et des campylobacters,
  • -·patients atteints dune colite pseudomembraneuse secondaire à la prise dantibiotiques à large spectre.
  • -Imodium duo ne doit pas être utilisé lorsque linhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme liléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique. Il faut interrompre immédiatement la prise dImodium duo lorsquune constipation, des ballonnements ou un iléus se développent.
  • +·patients souffrant d'une colite ulcéreuse aiguë,
  • +·patients souffrant d'une entérocolite bactérienne occasionnée par des organismes invasifs y compris par des salmonelles, des shigelles et des campylobacters,
  • +·patients atteints d'une colite pseudomembraneuse secondaire à la prise d'antibiotiques à large spectre.
  • +Imodium duo ne doit pas être utilisé lorsque l'inhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme l'iléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique. Il faut interrompre immédiatement la prise d'Imodium duo lorsqu'une constipation, des ballonnements ou un iléus se développent.
  • -Le traitement de la diarrhée par Imodium duo est purement symptomatique. À chaque fois que la cause dune maladie sous-jacente peut être constatée, un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
  • -Les (fortes) diarrhées peuvent provoquer une carence hydro-électrolytique. Dans ces cas, la mesure la plus importante est dassurer une substitution appropriée de liquide et délectrolytes.
  • -Si la diarrhée ne sest pas améliorée après 48 heures, interrompre le traitement et procéder à des examens médicales plus poussés.
  • -Chez les patients atteints du sida qui reçoivent du lopéramide comme antidiarrhéique, le traitement doit être interrompu dès les premiers signes de ballonnements abdominaux. Une constipation avec risque majoré de mégacôlon toxique a pu être observée dans des cas isolés après traitement dune colite infectieuse dorigine virale ou bactérienne chez ce type de patients.
  • -Bien quaucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, Imodium duo doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit. Ce médicament doit être utilisé prudemment en cas de troubles de la fonction hépatique, car un relatif surdosage peut alors se produire et entraîner une toxicité vis-à-vis du SNC.
  • +Le traitement de la diarrhée par Imodium duo est purement symptomatique. À chaque fois que la cause d'une maladie sous-jacente peut être constatée, un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
  • +Les (fortes) diarrhées peuvent provoquer une carence hydro-électrolytique. Dans ces cas, la mesure la plus importante est d'assurer une substitution appropriée de liquide et d'électrolytes.
  • +Si la diarrhée ne s'est pas améliorée après 48 heures, interrompre le traitement et procéder à des examens médicales plus poussés.
  • +Chez les patients atteints du sida qui reçoivent d'Imodium duo comme antidiarrhéique, le traitement doit être interrompu dès les premiers signes de ballonnements abdominaux. Une constipation avec risque majoré de mégacôlon toxique a pu être observée dans des cas isolés après traitement d'une colite infectieuse d'origine virale ou bactérienne chez ce type de patients.
  • +Bien qu'aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, Imodium duo doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit. Ce médicament doit être utilisé prudemment en cas de troubles de la fonction hépatique, car un relatif surdosage peut alors se produire et entraîner une toxicité vis-à-vis du SNC.
  • +Chez les personnes présentant une dépendance aux opiacés, une utilisation abusive ou non conforme du lopéramide comme substitut des opiacés a été décrite (voir «Surdosage»).
  • +
  • -Il ressort de données non cliniques que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p. Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou de ritonavir – tous deux inhibiteurs de la glycoprotéine-p – sest traduite par un doublement, voire un triplement des taux plasmatiques de lopéramide. On ignore limportance clinique de cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine-p lors dune utilisation du lopéramide aux posologies recommandées.
  • -Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 4 mg) et ditraconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a triplé, voire quadruplé les taux plasmatiques de lopéramide. Dans la même étude, linhibiteur du CYP2C8 gemfibrozil a environ doublé les valeurs du lopéramide. Avec une association ditraconazole et de gemfibrozil, les pics plasmatiques de lopéramide ont quadruplé et lexposition plasmatique totale a été multipliée par 13. Il na pas été observé deffet opiacé central.
  • -Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a quintuplé les taux plasmatiques de lopéramide. Il na pas été observé deffet opiacé central.
  • -Ladministration simultanée de desmopressine orale sest traduite par un triplement des taux plasmatiques de desmopressine, ceci étant selon toute vraisemblance à mettre sur le compte dune motilité gastro-intestinale réduite.
  • -Il faut supposer que les médicaments aux propriétés pharmacologiques semblables renforcent laction du lopéramide, alors que les accélérateurs du transit-gastrointestinal la contrarient.
  • -Labsorption gastro-instestinale du siméthicone est nulle, aussi ny a-t-il lieu de sattendre à une quelconque interaction notable entre ce principe actif et dautres médicaments.
  • +Il ressort de données non cliniques que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p. L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou de ritonavir – tous deux inhibiteurs de la glycoprotéine-p – s'est traduite par un doublement, voire un triplement des taux plasmatiques de lopéramide. On ignore l'importance clinique de cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine-p lors d'une utilisation du lopéramide aux posologies recommandées.
  • +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 4 mg) et d'itraconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a triplé, voire quadruplé les taux plasmatiques de lopéramide. Dans la même étude, l'inhibiteur du CYP2C8 gemfibrozil a environ doublé les valeurs du lopéramide. Avec une association d'itraconazole et de gemfibrozil, les pics plasmatiques de lopéramide ont quadruplé et l'exposition plasmatique totale a été multipliée par 13. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
  • +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a quintuplé les taux plasmatiques de lopéramide. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
  • +L'administration simultanée de desmopressine orale s'est traduite par un triplement des taux plasmatiques de desmopressine, ceci étant selon toute vraisemblance à mettre sur le compte d'une motilité gastro-intestinale réduite.
  • +Il faut supposer que les médicaments aux propriétés pharmacologiques semblables renforcent l'action du lopéramide, alors que les accélérateurs du transit-gastrointestinal la contrarient.
  • +L'absorption gastro-instestinale du siméthicone est nulle, aussi n'y a-t-il lieu de s'attendre à une quelconque interaction notable entre ce principe actif et d'autres médicaments.
  • -Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide ou de la siméthicone. Imodium duo ne doit être administré à la femme enceinte quen cas de nécessité absolue.
  • +Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide ou de la siméthicone. Imodium duo ne doit être administré à la femme enceinte qu'en cas de nécessité absolue.
  • -Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle Imodium duo ne doit pas être utilisé pendant lallaitement.
  • +Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle Imodium duo ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • -Dans le cadre dune diarrhée traitée par Imodium duo peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états dobnubilation. Cest pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines.
  • +Dans le cadre d'une diarrhée traitée par Imodium duo peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états d'obnubilation. C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines.
  • -Données provenant détudes cliniques
  • -La sécurité demploi du lopéramide/siméthicone a été évaluée chez 2040 patients dans le cadre de cinq études cliniques. Toutes concernaient des patients présentant une diarrhée aiguë accompagnée de gêne due à la formation de gaz, qui ont été traités par un comprimé à croquer de lopéramide/siméthicone. Quatre de ces études comparaient le lopéramide/ siméthicone au lopéramide, au siméthicone et à un placebo et la cinquième comparait deux formulations différentes de lopéramide/siméthicone à un placebo.
  • +Données provenant d'études cliniques
  • +La sécurité d'emploi du lopéramide/siméthicone a été évaluée chez 2040 patients dans le cadre de cinq études cliniques. Toutes concernaient des patients présentant une diarrhée aiguë accompagnée de gêne due à la formation de gaz, qui ont été traités par un comprimé à croquer de lopéramide/siméthicone. Quatre de ces études comparaient le lopéramide/siméthicone au lopéramide, au siméthicone et à un placebo et la cinquième comparait deux formulations différentes de lopéramide/siméthicone à un placebo.
  • -Les effets indésirables suivants du médicament ont été observés lors de l'administration de lopéramide/siméthicone dans le cadre détudes cliniques. A titre complémentaire sont également cités les effets indésirables signalés sous lopéramide HCl seul.
  • +Les effets indésirables suivants du médicament ont été observés lors de l'administration de lopéramide/siméthicone dans le cadre d'études cliniques. A titre complémentaire sont également cités les effets indésirables signalés sous chlorhydrate de lopéramide seul.
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinalesux
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Occasionnels: éruption cutanée.
  • -Troubles généraux
  • +Affections de la peau de du tissu sous-cutané
  • +Occasionnels: éruption cutanée
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -a sur la base des effets indésirables rapportés à loccasion des études cliniques avec le lopéramide HCl. Lattribution de la catégorie de fréquence se fonde sur les études du lopéramide HCl dans la diarrhée aigüe (N= 2755).
  • +a sur la base des effets indésirables rapportés à l'occasion des études cliniques avec le lopéramide HCl. L'attribution de la catégorie de fréquence se fonde sur les études du lopéramide HCl dans la diarrhée aigüe (N = 2755).
  • -Les effets indésirables suivants du médicament ont été signalés dans le cadre de la pharmacovigilance de l’association lopéramide-siméthicone et du lopéramide HCl.
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Les effets indésirables suivants ont été constatés postérieurement à la mise sur le marché du lopéramide-siméthicone et du chlorhydrate de lopéramide.
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles du système nerveux
  • -Somnolencea, obnubilationb, perte de consciencea, restriction de la consciencea, stupeura, hypertensiona, troubles de la coordinationa.
  • -Troubles oculaires
  • +Affections du système nerveux
  • +Somnolencea, obnubilationb, perte de consciencea, restriction de la consciencea, stupeura, hypertoniea, troubles de la coordinationa.
  • +Affections oculaires
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinaux
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau de du tissu sous-cutané
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections rénaux et urinaires
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -a sur la base de la pharmacovigilance du lopéramide HCL.
  • -b sur la base de la pharmacovigilance de lassociation lopéramide-siméthicone. Lobnubilation et les ballonnements abdominaux ont également été identifiés dans les études cliniques comme des effets indésirables du lopéramide HCl.
  • +a sur la base de la pharmacovigilance du lopéramide HCL
  • +b sur la base de la pharmacovigilance de l'association lopéramide-siméthicone. L'obnubilation et les ballonnements abdominaux ont également été identifiés dans les études cliniques comme des effets indésirables du lopéramide HCl.
  • -Tout porte à croire que la fréquence, la nature et le degré de sévérité des effets indésirables chez lenfant sont comparables à ceux qui sobservent chez ladulte.
  • +Tout porte à croire que la fréquence, la nature et le degré de sévérité des effets indésirables chez l'enfant sont comparables à ceux qui s'observent chez l'adulte.
  • +Un allongement de l'intervalle QT et/ou de graves arythmies ventriculaires sont survenus chez des personnes ayant ingéré intentionnellement une quantité excessive de chlorhydrate de lopéramide (doses allant de 40 mg à 792 mg par jour). Des cas de décès sont également connus.
  • +
  • -Le traitement est symptomatique et de soutien. Chez un patient qui n’a pas vomi, pratiquer un lavage gastrique avant d’administrer du charbon actif qui, administré dans les 3 heures suivant la prise de lopéramide/siméthicone, en réduit l’absorption. La naloxone peut être administrée comme antidote en présence de symptômes de surdosage. Parce que l’effet du lopéramide dure plus longtemps que celui du naloxone (1–3 heures), ladministration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de léventualité dune dépression du SNC.
  • +En cas de surdosage, une surveillance de l'ECG à la recherche d'un allongement de l'intervalle QT doit être effectuée.
  • +Le traitement est symptomatique. De la naloxone peut être administrée comme antidote en présence de symptômes touchant le SNC consécutifs à un surdosage. Comme l'effet du lopéramide dure plus longtemps que celui de la naloxone (1–3 heures), l'administration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de l'éventualité d'une dépression du SNC.
  • -Le lopéramide possède une forte affinité pour les récepteurs µ des opiacées de la paroi intestinale. Il se distingue par une entrée en action rapide et une durée daction prolongée. Le lopéramide bloque la libération dacétylcholine et de prostaglandine, ce qui freine le péristaltisme propulsif et prolonge le transit intestinal. Il augmente en outre le tonus du sphincter anal, ce qui diminue lincontinence et les épreintes. Le lopéramide naffecte pas la flore intestinale.
  • -Le siméthicone est physiologiquement inerte. Il provoque lélimination des gaz intestinaux par un biais purement physique, grâce à son activité de surface et à ses propriétés anti-mousse.
  • -Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aigüe ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité avec le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures après la prise dune dose de 4 mg de lopéramide (soit 2 comprimés ou capsules). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
  • +Le lopéramide possède une forte affinité pour les récepteurs µ des opiacées de la paroi intestinale. Il se distingue par une entrée en action rapide et une durée d'action prolongée. Le lopéramide bloque la libération d'acétylcholine et de prostaglandine, ce qui freine le péristaltisme propulsif et prolonge le transit intestinal. Il augmente en outre le tonus du sphincter anal, ce qui diminue l'incontinence et les épreintes. Le lopéramide n'affecte pas la flore intestinale.
  • +Le siméthicone est physiologiquement inerte. Il provoque l'élimination des gaz intestinaux par un biais purement physique, grâce à son activité de surface et à ses propriétés anti-mousse.
  • +Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aigüe ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité avec le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures après la prise d'une dose de 4 mg de lopéramide (soit 2 comprimés ou capsules). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
  • -Une grande partie du lopéramide ingéré est absorbée au niveau intestinal, mais sa biodisponibilité systémique ne se situe, en raison dun effet de premier passage prononcé, quaux alentours de 0,3%.
  • -Les concentrations plasmatiques maximales sont mesurées environ 4 heures après la prise.
  • -Le siméthicone nest pas résorbé.
  • +Une grande partie du lopéramide ingéré est absorbée au niveau intestinal, mais sa biodisponibilité systémique ne se situe, en raison d'un effet de premier passage prononcé, qu'aux alentours de 0,3%. Les concentrations plasmatiques maximales sont mesurées environ 4 heures après la prise.
  • +Le siméthicone n'est pas résorbé.
  • -Des études effectuées chez le rat ont montré que le lopéramide possède une grande affinité pour la paroi intestinale, et quil se lie préférentiellement aux récepteurs de la couche musculaire longitudinale.
  • -La concentration de lopéramide dans le sang nest pas suffisante pour quil pénètre dans le système nerveux central. La liaison aux protéines plasmatiques est de lordre de 95%, essentiellement à lalbumine. Daprès des données non cliniques, le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
  • +Des études effectuées chez le rat ont montré que le lopéramide possède une grande affinité pour la paroi intestinale, et qu'il se lie préférentiellement aux récepteurs de la couche musculaire longitudinale.
  • +La concentration de lopéramide dans le sang n'est pas suffisante pour qu'il pénètre dans le système nerveux central. La liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 95%, essentiellement à l'albumine. D'après des données non cliniques, le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
  • -La demi-vie plasmatique du lopéramide sétablit dans la fourchette de 9 à 14 heures, avec une valeur moyenne de 11 heures environ. Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour lessentiel éliminés par les selles. Le lopéramide nest pas éliminé dans lurine.
  • +Chez l'être humain, la demi-vie plasmatique du lopéramide s'établit dans la fourchette de 9 à 14 heures, avec une valeur moyenne de 11 heures environ. Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour l'essentiel éliminés par les selles. Le lopéramide n'est pas éliminé dans l'urine.
  • -Aucune étude pharmacocinétique na été réalisée chez des patients de pédiatrie. On suppose toutefois une analogie de la pharmacocinétique et des interactions avec dautres médicaments au sein de cette population de patients avec celles observées dans la population adulte.
  • +Aucune étude pharmacocinétique n'a été réalisée chez des patients de pédiatrie. On suppose toutefois une analogie de la pharmacocinétique et des interactions avec d'autres médicaments au sein de cette population de patients avec celles observées dans la population adulte.
  • -Des études sur la toxicité aiguë et chronique nont démontrées aucune toxicité spécifique pour le lopéramide. Le lopéramide n’était pas génotoxique dans plusieurs études in vivo et in vitro. Aucun potentiel cancérigène na été constaté. Lors des études de reproduction chez la rate gravide et/ou allaitant, des doses très élevées de lopéramide (40 mg/kg/jour = 240 fois la posologie maximale humaine) ont eu pour conséquence des manifestations toxiques chez les mères, une baisse de leur fertilité et une survie réduite des fœtus/de la progéniture.
  • -A des doses moindres, il n’y a pas eu d’effet sur la santé tant maternelle que fœtale et pas d’influence sur le développement péri- et postnatal.
  • +Dans une étude in vitro menée sur des cellules HEK exprimant des canaux potassiques hERG de manière stable, le lopéramide a inhibé le courant potassique à une IC50 de 0,39 µM. Cela correspond à une concentration plasmatique de lopéramide libre supérieure à 1000 fois la dose thérapeutique maximale recommandée. Dans une étude in vivo menées sur des cochons d'Inde, un allongement significatif de l'intervalle QTc a été constaté à une concentration plasmatique de lopéramide correspondant à 109 fois les doses thérapeutiques utilisées chez l'être humain. Ces données sont consistantes avec un allongement de l'intervalle QT en cas de surdosage important chez l'être humain (voir «Surdosage»).
  • +Des études sur la toxicité aiguë et chronique n'ont démontrées aucune toxicité spécifique pour le lopéramide. Le lopéramide n'a pas été génotoxique dans plusieurs études in vivo et in vitro. Aucun potentiel cancérigène n'a été constaté. Lors des études de reproduction chez la rate gravide et/ou allaitante à des doses de lopéramide de 40 mg/kg/jour, des manifestations toxiques chez les mères, une baisse de leur fertilité et une survie réduite des fœtus/de la progéniture ont été constatés. A des doses de 10 mg/kg, aucun effet sur la santé tant maternelle que fœtale et aucune d'influence sur le développement péri- et postnatal n'ont été observés.
  • -Prière dobserver la date de péremption imprimée sur lemballage.
  • +Prière d'observer la date de péremption imprimée sur l'emballage.
  • -IMODIUM duo cpr 8 pce. (C)
  • +Imodium duo, comprimés: 8 (C)
  • -Janssen-Cilag AG, Zug, ZG.
  • +Janssen-Cilag AG, Zoug, ZG.
  • -Décembre 2011.
  • +Juin 2017.
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