40 Changements de l'information professionelle Flutinase Polynex |
-Excipients: Excip. ad susp. pro 0,4 ml.
- +Excipients: Excip. ad susp. pro 0,4 mL.
-Traitement des polypes nasaux et des symptômes d’obstruction nasale associés, chez les adultes et les adolescents de plus de 16 ans.
- +Traitement des polypes nasaux et des symptômes d'obstruction nasale associés, chez les adultes et les adolescents de plus de 16 ans.
-Flutinase Polynex ne doit être administré que par voie intranasale. Eviter tout contact avec les yeux. Une utilisation régulière est indispensable pour un bénéfice thérapeutique optimal. L'effet thérapeutique maximal ne se faisant ressentir dans certains cas qu'au bout de quelques semaines, il convient d'avertir le patient que l’action peut éventuellement ne pas être immédiate.
- +Flutinase Polynex ne doit être administré que par voie intranasale. Eviter tout contact avec les yeux. Une utilisation régulière est indispensable pour un bénéfice thérapeutique optimal. L'effet thérapeutique maximal ne se faisant ressentir dans certains cas qu'au bout de quelques semaines, il convient d'avertir le patient que l'action peut éventuellement ne pas être immédiate.
-Hypersensibilité à l'un des composants de Flutinase Polynex. Enfants et adolescents de moins de 16 ans.
- +Hypersensibilité à l'un des composants de Flutinase Polynex.
- +Enfants et adolescents de moins de 16 ans.
-Des effets systémiques ont été rapportés chez des patients traités aux corticostéroïdes par voie nasale, en particulier en cas d’administration de doses élevées pendant une période prolongée. La probabilité d’effets systémiques est cependant nettement plus faible que sous corticostéroïdes oraux. L’intensité des effets systémiques peut varier d’un patient à l’autre et d’un corticostéroïde nasal à l’autre.
-L’emploi de glucocorticostéroïdes à des doses excessives ou en traitement prolongé risque d’entraîner des effets secondaires systémiques, y compris un ralentissement de la croissance chez l’enfant et l’adolescent. Chez l’enfant, les effets à long terme produits par les stéroïdes en application intranasale n’ont pas encore été entièrement élucidés. Il est en général admis que la croissance des enfants et des adolescents soumis à un traitement prolongé par glucocorticostéroïdes doit faire l’objet d’une surveillance médicale étroite. Il convient donc de bien peser les effets bénéfiques escomptés d’une glucocorticothérapie et les risques de ralentissement éventuel de la croissance.
-La prudence est de rigueur lorsqu’une corticothérapie systémique est remplacée par Flutinase Polynex, en particulier chez les patients susceptibles de présenter une réduction de la fonction corticosurrénalienne.
- +Des effets systémiques ont été rapportés chez des patients traités aux corticostéroïdes par voie nasale, en particulier en cas d'administration de doses élevées pendant une période prolongée. La probabilité d'effets systémiques est cependant nettement plus faible que sous corticostéroïdes oraux. L'intensité des effets systémiques peut varier d'un patient à l'autre et d'un corticostéroïde nasal à l'autre.
- +L'emploi de glucocorticostéroïdes à des doses excessives ou en traitement prolongé risque d'entraîner des effets secondaires systémiques, y compris un ralentissement de la croissance chez l'enfant et l'adolescent. Chez l'enfant, les effets à long terme produits par les stéroïdes en application intranasale n'ont pas encore été entièrement élucidés. Il est en général admis que la croissance des enfants et des adolescents soumis à un traitement prolongé par glucocorticostéroïdes doit faire l'objet d'une surveillance médicale étroite. Il convient donc de bien peser les effets bénéfiques escomptés d'une glucocorticothérapie et les risques de ralentissement éventuel de la croissance.
- +La prudence est de rigueur lorsqu'une corticothérapie systémique est remplacée par Flutinase Polynex, en particulier chez les patients susceptibles de présenter une réduction de la fonction corticosurrénalienne.
-Les résultats d’une étude portant sur les interactions et réalisée chez des sujets sains ont révélé que le ritonavir (un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4) risquait d’augmenter de façon importante les taux plasmatiques de propionate de fluticasone, pouvant ainsi entraîner une diminution de la concentration en cortisol plasmatique. Depuis le lancement de médicaments contenant du propionate de fluticasone, des interactions significatives sur le plan clinique ont été signalées chez les patients maintenus sous ritonavir et propionate de fluticasone, celles-ci ayant entraîné des effets secondaires systémiques typiques des corticostéroïdes, dont le syndrome de Cushing et l’inhibition de la glande corticosurrénale. Le ritonavir et le propionate de fluticasone ne doivent donc être administrés en association que dans le cas où les bénéfices thérapeutiques escomptés pour le patient l’emportent sur le risque d’effets secondaires systémiques dus aux corticostéroïdes.
- +Les résultats d'une étude portant sur les interactions et réalisée chez des sujets sains ont révélé que le ritonavir (un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4) risquait d'augmenter de façon importante les taux plasmatiques de propionate de fluticasone, pouvant ainsi entraîner une diminution de la concentration en cortisol plasmatique. Depuis le lancement de médicaments contenant du propionate de fluticasone, des interactions significatives sur le plan clinique ont été signalées chez les patients maintenus sous ritonavir et propionate de fluticasone, celles-ci ayant entraîné des effets secondaires systémiques typiques des corticostéroïdes, dont le syndrome de Cushing et l'inhibition de la glande corticosurrénale. Le ritonavir et le propionate de fluticasone ne doivent donc être administrés en association que dans le cas où les bénéfices thérapeutiques escomptés pour le patient l'emportent sur le risque d'effets secondaires systémiques dus aux corticostéroïdes.
-En raison de son métabolisme de premier passage marqué et de sa clairance plasmatique élevée dans l’intestin et le foie, due au cytochrome P450 3A4, Flutinase Polynex utilisé en inhalation entraîne, normalement, de faibles concentrations plasmatiques en propionate de fluticasone.
-Les résultats d’une étude portant sur les interactions et réalisée chez des sujets sains ont révélé que le ritonavir (un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4) risquait d’augmenter de façon importante les taux plasmatiques du propionate de fluticasone, pouvant ainsi entraîner une diminution de la concentration en cortisol plasmatique. Depuis le lancement de médicaments contenant du propionate de fluticasone, des interactions significatives sur le plan clinique ont été signalées chez les patients maintenus sous ritonavir et propionate de fluticasone, celles-ci ayant entraîné des effets secondaires systémiques typiques des corticostéroïdes, dont le syndrome de Cushing et l’inhibition de la glande corticosurrénale. Le ritonavir et le propionate de fluticasone ne doivent donc être administrés en association que dans le cas où les bénéfices thérapeutiques escomptés pour le patient l’emportent sur le risque d’effets secondaires systémiques dus aux corticostéroïdes.
-Certaines études ont montré que d’autres inhibiteurs du cytochrome P450 3A4 (l’érythromycine, le kétoconazole) ne provoquaient qu’une faible augmentation des taux plasmatiques de propionate de fluticasone, sans entraîner une réduction importante de la concentration en cortisol plasmatique. Néanmoins, une administration concomitante de Flutinase Polynex et d’un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4 (p.ex. le kétoconazole) doit être attentivement surveillée car elle comporte le risque d’une exposition systémique plus élevée au propionate de fluticasone.
- +En raison de son métabolisme de premier passage marqué et de sa clairance plasmatique élevée dans l'intestin et le foie, due au cytochrome P450 3A4, Flutinase Polynex utilisé en inhalation entraîne, normalement, de faibles concentrations plasmatiques en propionate de fluticasone.
- +Les résultats d'une étude portant sur les interactions et réalisée chez des sujets sains ont révélé que le ritonavir (un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4) risquait d'augmenter de façon importante les taux plasmatiques du propionate de fluticasone, pouvant ainsi entraîner une diminution de la concentration en cortisol plasmatique. Depuis le lancement de médicaments contenant du propionate de fluticasone, des interactions significatives sur le plan clinique ont été signalées chez les patients maintenus sous ritonavir et propionate de fluticasone, celles-ci ayant entraîné des effets secondaires systémiques typiques des corticostéroïdes, dont le syndrome de Cushing et l'inhibition de la glande corticosurrénale. Le ritonavir et le propionate de fluticasone ne doivent donc être administrés en association que dans le cas où les bénéfices thérapeutiques escomptés pour le patient l'emportent sur le risque d'effets secondaires systémiques dus aux corticostéroïdes.
- +Certaines études ont montré que d'autres inhibiteurs du cytochrome P450 3A4 (l'érythromycine, le kétoconazole) ne provoquaient qu'une faible augmentation des taux plasmatiques de propionate de fluticasone, sans entraîner une réduction importante de la concentration en cortisol plasmatique. Néanmoins, une administration concomitante de Flutinase Polynex et d'un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4 (p.ex. le kétoconazole) doit être attentivement surveillée car elle comporte le risque d'une exposition systémique plus élevée au propionate de fluticasone.
-Grossesse
-Les effets tératogènes/embryotoxiques caractéristiques des puissants corticoïdes (fente palatine, suppression corticosurrénalienne) n'ont été mis en évidence par l'expérimentation animale qu'à des doses systémiques élevées. L'application intranasale ne déploie certes qu'un effet systémique mineur. En l'absence de données chez la femme enceinte, Flutinase Polynex ne devrait toutefois être utilisé durant la grossesse qu'en cas d’indication impérative.
-Allaitement
-Le passage du propionate de fluticasone dans le lait maternel n'a pas été étudié chez l’humain. Cependant, la présence de cette substance a pu être démontrée dans le lait maternel lors de la mesure de taux plasmatiques supérieurs à la limite de détection chez le rat (suite à une administration sous-cutanée). Chez l'humain, les taux plasmatiques à escompter suite à une administration intranasale conforme à la posologie recommandée sont faibles. Néanmoins, il faudrait éviter d’allaiter pendant l’utilisation de Flutinase Polynex, sauf en cas d’indication impérative.
- +Grossesse:
- +Les effets tératogènes/embryotoxiques caractéristiques des puissants corticoïdes (fente palatine, suppression corticosurrénalienne) n'ont été mis en évidence par l'expérimentation animale qu'à des doses systémiques élevées. L'application intranasale ne déploie certes qu'un effet systémique mineur. En l'absence de données chez la femme enceinte, Flutinase Polynex ne devrait toutefois être utilisé durant la grossesse qu'en cas d'indication impérative.
- +Allaitement:
- +Le passage du propionate de fluticasone dans le lait maternel n'a pas été étudié chez l'humain. Cependant, la présence de cette substance a pu être démontrée dans le lait maternel lors de la mesure de taux plasmatiques supérieurs à la limite de détection chez le rat (suite à une administration sous-cutanée). Chez l'humain, les taux plasmatiques à escompter suite à une administration intranasale conforme à la posologie recommandée sont faibles. Néanmoins, il faudrait éviter d'allaiter pendant l'utilisation de Flutinase Polynex, sauf en cas d'indication impérative.
-Aucune étude correspondante n’a été réalisée.
- +Aucune étude correspondante n'a été réalisée.
-Les effets indésirables sont répertoriés en fonction de la classe organique et de leur fréquence. Les définitions suivantes décrivent les fréquences: effets «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 et <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 et <1/100), «rares» (≥1/10’000 et <1/1000), «très rares» (<1/10’000), observations isolées comprises. L’incidence d’effets indésirables très fréquents, fréquents ou occasionnels, est généralement établie dans des études cliniques. Les taux d’effets indésirables survenus dans les groupes placebo n’ont pas été pris en considération lors du classement en catégories de fréquence car ils ont en général été comparables à ceux observés dans le groupe traité par la substance active étudiée. Les événements indésirables rares et très rares rapportés proviennent généralement de déclarations spontanées.
- +Les effets indésirables sont répertoriés en fonction de la classe organique et de leur fréquence. Les définitions suivantes décrivent les fréquences: effets «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 et <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 et <1/100), «rares» (≥1/10'000 et <1/1000), «très rares» (<1/10'000), observations isolées comprises. L'incidence d'effets indésirables très fréquents, fréquents ou occasionnels, est généralement établie dans des études cliniques. Les taux d'effets indésirables survenus dans les groupes placebo n'ont pas été pris en considération lors du classement en catégories de fréquence car ils ont en général été comparables à ceux observés dans le groupe traité par la substance active étudiée. Les événements indésirables rares et très rares rapportés proviennent généralement de déclarations spontanées.
-Très rares: réactions d’hypersensibilité (exanthème, urticaire, œdème du visage ou de la langue), épisodes d'anaphylaxie/chocs anaphylactiques, bronchospasme.
- +Très rares: réactions d'hypersensibilité (exanthème, urticaire, œdème du visage ou de la langue), épisodes d'anaphylaxie/chocs anaphylactiques, bronchospasme.
-Des rapports spontanés isolés de problèmes oculaires suite à une application prolongée ont été enregistrés. Les résultats d’études cliniques menées sur une durée thérapeutique allant jusqu’à un an n’ont fourni aucun indice d’une incidence majorée de troubles oculaires après l’application intranasale de propionate de fluticasone (y compris glaucome, pression intraoculaire élevée et cataracte).
-Mécanisme d’action
- +Mécanisme d'action:
-Aux doses thérapeutiques, le produit n’engendre aucun effet secondaire systémique inhérent aux corticoïdes.
- +Aux doses thérapeutiques, le produit n'engendre aucun effet secondaire systémique inhérent aux corticoïdes.
- +Expérience clinique
- +Dans une étude cas-témoins sur un échantillon, incluant 42'426 cas et 247'376 contrôles, l'administration locale intranasale de 17-propionate de fluticasone a montré un Odds ratio significativement accru de 1,47 (IC à 95%: 1,37 à 1,58) pour les glaucomes/l'hypertension intra-oculaire et un Odds ratio significativement accru de 1,61 (IC à 95%: 1,50 à 1,71) pour les cataractes. Plus de 80% des cas examinés ont reçu le traitement pendant plus de 90 jours.
- +
-Après administration intranasale de propionate de fluticasone (200 µg/jour), les concentrations plasmatiques maximales à l’état d’équilibre n’étaient pas quantifiables chez la majorité des volontaires (<0,01 ng/ml). La Cmax mesurée la plus élevée était de 0,017 ng/ml. La résorption directe dans le nez est négligeable en raison de la faible solubilité dans l’eau et de la quantité importante de la dose avalée. La biodisponibilité systémique de Flutinase Polynex est très faible (en moyenne 0,06%), d’une part, en raison de la résorption gastro-intestinale incomplète et, d’autre part, du métabolisme de premier passage marqué. La totalité de la résorption systémique, soit la résorption nasale et la résorption orale de la quantité de dose avalée, est donc négligeable.
- +Après administration intranasale de propionate de fluticasone (200 µg/jour), les concentrations plasmatiques maximales à l'état d'équilibre n'étaient pas quantifiables chez la majorité des volontaires (<0,01 ng/mL). La Cmax mesurée la plus élevée était de 0,017 ng/mL. La résorption directe dans le nez est négligeable en raison de la faible solubilité dans l'eau et de la quantité importante de la dose avalée. La biodisponibilité systémique de Flutinase Polynex est très faible (en moyenne 0,06%), d'une part, en raison de la résorption gastro-intestinale incomplète et, d'autre part, du métabolisme de premier passage marqué. La totalité de la résorption systémique, soit la résorption nasale et la résorption orale de la quantité de dose avalée, est donc négligeable.
-La distribution du propionate de fluticasone se caractérise par une clairance plasmatique élevée (1150 ml/min), un important volume de distribution à l’état d’équilibre (env. 300 l) et une demi-vie terminale d’environ 8 heures. La liaison aux protéines plasmatiques est élevée (91%).
- +La distribution du propionate de fluticasone se caractérise par une clairance plasmatique élevée (1150 mL/min), un important volume de distribution à l'état d'équilibre (env. 300 l) et une demi-vie terminale d'environ 8 heures. La liaison aux protéines plasmatiques est élevée (91%).
-Le taux d’élimination du propionate de fluticasone administré par voie intraveineuse est linéaire sur une zone posologique de 250-1000 µg et se caractérise par une clairance plasmatique élevée (1,1 l/min). La clairance rénale du propionate de fluticasone est négligeable (<0,2%) et inférieure à 5 % pour le métabolite. Le propionate de fluticasone et ses métabolites sont principalement éliminés (87-100%) par les fèces.
- +Le taux d'élimination du propionate de fluticasone administré par voie intraveineuse est linéaire sur une zone posologique de 250-1000 µg et se caractérise par une clairance plasmatique élevée (1,1 l/min). La clairance rénale du propionate de fluticasone est négligeable (<0,2%) et inférieure à 5% pour le métabolite. Le propionate de fluticasone et ses métabolites sont principalement éliminés (87-100%) par les fèces.
-Le propionate de fluticasone ne possède aucune activité mutagène, ni dans des conditions in vitro, ni in vivo; chez les rongeurs également, aucun potentiel tumorigène n’a été observé. Dans des modèles animaux, le propionate de fluticasone s’est avéré non irritant et non sensibilisant.
- +Le propionate de fluticasone ne possède aucune activité mutagène, ni dans des conditions in vitro, ni in vivo; chez les rongeurs également, aucun potentiel tumorigène n'a été observé. Dans des modèles animaux, le propionate de fluticasone s'est avéré non irritant et non sensibilisant.
-Stabilité
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date de péremption («EXP») figurant sur l’emballage.
-Remarques concernant le stockage
-Une fois que la feuille d’aluminium a été ôtée, les doses unitaires ne se conservent que 28 jours au maximum. Conserver Flutinase Polynex dans l'emballage original, à l’abri de la lumière et à une température inférieure à 30 °C. Ne pas congeler!
- +Stabilité:
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date de péremption («EXP») figurant sur l'emballage.
- +Remarques concernant le stockage:
- +Une fois que la feuille d'aluminium a été ôtée, les doses unitaires ne se conservent que 28 jours au maximum. Conserver Flutinase Polynex dans l'emballage original, à l'abri de la lumière et à une température inférieure à 30 °C. Ne pas congeler!
-Flutinase Polynex: 28 doses unitaires de 400 µg destinées aux lavements nasaux. (B)
- +Flutinase Polynex: 28 doses unitaires de 400 µg destinées aux lavements nasaux, B.
-Mai 2013.
- +Juillet 2015.
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