60 Changements de l'information professionelle Euthyrox 25 µg |
-Principe actif: Levothyroxinum natricum.
-Excipients: Lactosum, excipiens pro compresso.
- +Principe actif: Levothyroxinum Natricum.
- +Excipients: Mannitolum, Maydis amylum, Gelatina, Carmellosum natricum conexum, Acidum citricum anhydricum, Magnesii stearas pro compresso.
-Comprimés sécables à 25, 50, 75, 100, 125, 150, 175 et 200 µg de Levothyroxinum natricum.
- +Comprimés sécables à 25, 50, 75, 100, 125, 150, 175 et 200 µg de Levothyroxinum Natricum.
-·Substitution d'hormones thyroïdiennes pour adultes et enfants en cas d'hypothyroïdie de toute origine.
-·Hypothyroïdie congénitale.
-·Traitement de suppression et de substitution en cas de malignome de la glande thyroïde, surtout après thyroïdectomie.
-·Traitement associé au traitement thyréostatique d'une hyperthyroïdie après obtention d'un état euthyroïdien.
-·Test de suppression thyroïdienne.
-·Euthyrox peut être utilisé pour prévenir la récidive d'un goitre après résection d'un goitre associé à un état euthyroïdien.
-·Euthyrox peut être utilisé pour traiter un goitre bénin associé à un état euthyroïdien.
- +·Substitution d'hormones thyroïdiennes pour adultes et enfants en cas d'hypothyroïdie de toute origine
- +·Hypothyroïdie congénitale
- +·Traitement de suppression et de substitution en cas de malignome de la glande thyroïde, surtout après thyroïdectomie
- +·Traitement associé au traitement thyréostatique d'une hyperthyroïdie après obtention d'un état euthyroïdien
- +·Test de suppression thyroïdienne
- +·Euthyrox peut être utilisé pour prévenir la récidive d'un goitre après résection d'un goitre associé à un état euthyroïdien
- +·Euthyrox peut être utilisé pour traiter un goitre bénin associé à un état euthyroïdien
-Hypothyroïdie Dose initiale: 25 à 50; augmentation à intervalles de 2 à 4 semaines, de 25 à 50 à chaque foisDose d'entretien: 100 à 200
- +Hypothyroïdie Dose initiale: 25 à 50; augmentation à intervalles de 2 à 4 semaines, de 25 à 50 à chaque fois Dose d'entretien: 100 à 200
-Patients âgés et patients atteints des maladies mentionnées ci-dessous: Chez les patients âgés ou chez les patients atteints d'hypothyroïdie de longue date ou sévère, mais aussi chez des patients atteints d'autres endocrinopathies ou de maladies cardio-vasculaires (ECG anormal), il est recommandé de commencer par une dose initiale faible (25 µg), de l'augmenter avec précaution en respectant de longs intervalles et en procédant à des contrôles fréquents de la concentration des hormones thyroïdiennes, ainsi que d'administrer une dose d'entretien plus faible que celle qui serait nécessaire pour corriger complètement les valeurs de TSH.
-Enfants et adolescents: La posologie doit être déterminée de manière individuelle. Chez l'enfant, les doses nécessaires par kg de poids corporel sont plus élevées que chez l'adulte.
- +·Patients âgés et patients atteints des maladies mentionnées ci-dessous:Chez les patients âgés ou chez les patients atteints d'hypothyroïdie de longue date ou sévère, mais aussi chez les patients atteints d'autres endocrinopathies ou de maladies cardio-vasculaires (ECG anormal), il est recommandé de commencer par une dose initiale faible (25 µg), de l'augmenter avec précaution en respectant de longs intervalles et en procédant à des contrôles fréquents de la concentration des hormones thyroïdiennes, ainsi que d'administrer une dose d'entretien plus faible que celle qui serait nécessaire pour corriger complètement les taux de TSH.
- +·Enfants et adolescents:Les adolescents à partir de 12 ans reçoivent la même posologie que les adultes.Chez les enfants de moins de 12 ans, la posologie doit être déterminée de manière individuelle, car dans ce groupe, les doses nécessaires par kg de poids corporel sont plus élevées que chez l’adulte.
-Les nourrissons reçoivent la dose journalière entière au moins ½ heure avant le premier repas de la journée. Pour ce faire, on laisse les comprimés se désagréger dans un peu d'eau et la suspension (à préparer extemporanément avant chaque administration!) est administrée avec un peu de liquide supplémentaire.
-Chez les enfants en bas âge de moins d'un an, il faut, si nécessaire, administrer la dose journalière correspondante (diviser les comprimés en deux en cas de besoin) sous une forme appropriée (avec une bouillie ou du liquide) en veillant à la prise complète de la dose.
-Insuffisance rénale: La pharmacocinétique de la lévothyroxine n'a pas été étudiée chez des patients atteints d'insuffisance rénale. C'est la raison pour laquelle aucune recommandation posologique ne peut être faite. Il convient de tenir compte d'éventuelles modifications de la liaison protéique.
-Insuffisance hépatique: La pharmacocinétique de la lévothyroxine n'a pas été étudiée chez des patients atteints d'insuffisance hépatique. C'est la raison pour laquelle aucune recommandation posologique ne peut être faite. En ce qui concerne l'effet d'une modification de la liaison protéique, voir «Pharmacocinétique», rubrique «Modification de la liaison protéique».
- +Les nourrissons et les enfants de moins d'un an reçoivent la dose journalière entière au moins ½ heure avant le premier repas de la journée. Pour ce faire, on laisse le comprimé se désagréger dans un peu d'eau et on administre la suspension (à préparer extemporanément avant chaque administration!) avec un peu plus d'eau, en veillant à ce que la dose complète soit prise.
- +·Insuffisance rénale:La pharmacocinétique de la lévothyroxine n'a pas été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance rénale. C'est la raison pour laquelle aucune recommandation posologique ne peut être faite. Il convient de tenir compte d'éventuelles modifications de la liaison protéique.
- +·Insuffisance hépatique:La pharmacocinétique de la lévothyroxine n'a pas été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. C'est la raison pour laquelle aucune recommandation posologique ne peut être faite. En ce qui concerne l'effet d'une modification de la liaison protéique, voir «Pharmacocinétique», rubrique «Modification de la liaison protéique».
-·insuffisance cardiaque accompagnée d'une accélération de la fréquence cardiaque;
-·pancardite aiguë;
-·myocardite aiguë;
-·infarctus aigu du myocarde;
-·angine de poitrine;
-·troubles de la fonction hypophysaire non traités;
-·troubles de la fonction surrénalienne non traités;
- +·insuffisance cardiaque accompagnée d'une accélération de la fréquence cardiaque
- +·pancardite aiguë
- +·myocardite aiguë
- +·infarctus aigu du myocarde
- +·angine de poitrine
- +·troubles de la fonction hypophysaire non traités
- +·troubles de la fonction surrénalienne non traités
-·pendant la grossesse, comme traitement associé au traitement thyréostatique d'une hyperthyroïdie (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»);
-·hypersensibilité à la lévothyroxine, au lactose ou à un autre excipient.
- +·pendant la grossesse, comme traitement associé au traitement thyréostatique d'une hyperthyroïdie (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»)
- +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition
-Avant un traitement aux hormones thyroïdiennes ou avant un test de suppression thyroïdienne, il faut exclure ou traiter les maladies suivantes: insuffisance cardiaque, angine de poitrine, maladie vasculaire généralisée grave, hypertension, troubles de la fonction hypophysaire ou surrénalienne, autonomie fonctionnelle de la glande thyroïde et hyperthyroïdie subclinique.
- +Les maladies suivantes doivent être exclues ou traitées avant tout traitement aux hormones thyroïdiennes ou avant tout test de suppression thyroïdienne: insuffisance cardiaque, angine de poitrine, maladie vasculaire généralisée grave, hypertension, troubles de la fonction hypophysaire ou surrénalienne, autonomie fonctionnelle de la glande thyroïde et hyperthyroïdie subclinique.
-Chez les patients chez lesquels le risque de troubles psychotiques est élevé, il est recommandé de commencer le traitement par une dose de lévothyroxine faible et de n'augmenter la dose que lentement. Il est indiqué de surveiller le patient. En cas de signes d'un trouble psychotique, il convient d'envisager une diminution de la dose de lévothyroxine.
- +Chez les patients présentant un risque de troubles psychotiques élevé, il est recommandé de commencer le traitement par une faible dose de lévothyroxine et de n'augmenter la dose que lentement. Il convient de surveiller le patient. En cas de signes de trouble psychotique, une diminution de la dose de lévothyroxine doit être envisagée.
-Euthyrox est contre-indiqué pour le traitement de l'obésité. Il n'est pas démontré que les hormones thyroïdiennes présentent un effet amaigrissant chez les personnes euthyroïdiennes obèses. Des doses élevées peuvent causer des effets indésirables graves, voire mettant la vie en danger.
- +Les hormones thyroïdiennes ne doivent pas être utilisées dans un objectif de réduction pondérale. La lévothyroxine ne montre aucun effet de réduction pondérale chez les patients euthyroïdiens. Des doses élevées peuvent, en particulier lorsqu’elles sont associées à des substances visant une réduction pondérale ou des médicaments aux propriétés sympathomimétiques, provoquer des effets indésirables graves (et le cas échéant engageant le pronostic vital) pouvant aller jusqu’à la crise thyréotoxique (voir également «Interactions» et «Surdosage»). L’utilisation abusive peut également entraîner une réduction de la densité osseuse, en particulier chez les femmes postménopausées. Le patient doit être informé de ces risques et du fait qu’il ne doit pas augmenter la dose de lévothyroxine sans l’accord du médecin.
-Lors d'un changement de traitement aux hormones thyroïdiennes, la dose doit être ajustée en fonction de la réponse du patient et des résultats d'analyses diagnostiques de laboratoire.
-Comme Euthyrox contient du lactose, il n'est pas recommandé aux patients atteints d'intolérance au galactose, de déficit en lactase ou de malabsorption du glucose-galactose de prendre Euthyrox.
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- +Lors d'un changement de traitement à base d’hormones thyroïdiennes, la dose doit être ajustée en fonction de la réponse du patient et des résultats d'analyses diagnostiques de laboratoire.
-·médicaments contenant de l'aluminium ou du calcium ainsi que préparations orales à base de fer: la lévothyroxine devrait être prise au moins 2 heures avant ces médicaments;
- +·sels d’aluminium, de fer et de calcium: la lévothyroxine devrait être prise au moins 2 heures avant ces médicaments.
-Les produits à base de soja peuvent aussi réduire la résorption de lévothyroxine. Au début ou à la fin d'une alimentation supplémentée en produits à base de soja, un ajustement posologique de lévothyroxine peut de ce fait être nécessaire.
-Influence sur le métabolisme hépatique: les inducteurs d'enzymes microsomales hépatiques (p.ex. barbituriques, carbamazépine, rifampicine, millepertuis) peuvent augmenter la clairance hépatique de la lévothyroxine et ainsi en diminuer l'effet.
- +Les produits à base de soja peuvent aussi réduire la résorption de la lévothyroxine. Un ajustement posologique de lévothyroxine peut ainsi être nécessaire au début ou à la fin d’une alimentation supplémentée en produits à base de soja.
- +Influence sur le métabolisme hépatique: les inducteurs d'enzymes microsomales hépatiques (p.ex. barbituriques, carbamazépine, éfavirenz, rifampicine, millepertuis) peuvent augmenter la clairance hépatique de la lévothyroxine et ainsi en diminuer l'effet.
-En cas d'administration concomitante des médicaments mentionnés ci-dessous, le besoin en lévothyroxine peut être accru (le cas échéant, accompagné d'une augmentation correspondante de la concentration sérique de TSH). Au début et à la fin d'un traitement concomitant, les taux d'hormones thyroïdiennes doivent par conséquent être étroitement surveillés et, le cas échéant, la dose de lévothyroxine ajustée.
-·Bêtabloquants, glucocorticoïdes, agents de contraste iodés, propylthiouracile: par inhibition de la transformation périphérique de T4 en T3.
-·Chloroquine/proguanil.
-·Œstrogènes (contraceptifs hormonaux ou traitement postménopausal de substitution hormonale).
-·Sertraline.
-·Inhibiteurs de la tyrosine kinase (p.ex. imatinib, sunitinib).
- +L’administration concomitante des médicaments mentionnés ci-dessous peut entraîner un besoin accru en lévothyroxine (le cas échéant, accompagné d’une augmentation correspondante de la concentration sérique de TSH). Les taux d’hormones thyroïdiennes doivent par conséquent être étroitement surveillés au début et à la fin d’un traitement concomitant et, le cas échéant, la dose de lévothyroxine ajustée.
- +·Bêtabloquants, glucocorticoïdes, agents de contraste iodés, propylthiouracile: par inhibition de la transformation périphérique de T4 en T3
- +·Chloroquine/proguanil
- +·Œstrogènes (contraceptifs hormonaux ou traitement postménopausique de substitution hormonale)
- +·Sertraline
- +·Inhibiteurs de la tyrosine kinase (p. ex. imatinib, sunitinib)
-·Antidépresseurs tricycliques (délai d'action plus rapide).
-·Glycosides cardiaques.
-·Catécholamines (sensibilité accrue des récepteurs adrénergiques aux catécholamines).
-·Sympathomimétiques.
-La lévothyroxine peut diminuer l'effet hypoglycémiant des antidiabétiques. Chez les patients diabétiques, la glycémie doit par conséquent être contrôlée régulièrement, surtout au début d'un traitement par des hormones thyroïdiennes et, le cas échéant, la posologie des antidiabétiques doit être ajustée.
- +·Antidépresseurs tricycliques (délai d'action plus rapide)
- +·Glycosides cardiaques
- +·Catécholamines (sensibilité accrue des récepteurs adrénergiques aux catécholamines)
- +·Sympathomimétiques
- +La lévothyroxine peut diminuer l'effet hypoglycémiant des antidiabétiques. Chez les patients diabétiques, la glycémie doit par conséquent être contrôlée régulièrement, surtout au début d'un traitement par des hormones thyroïdiennes et la posologie des antidiabétiques doit le cas échéant être ajustée.
-La prise d'hormones thyroïdiennes ne doit pas être interrompue pendant la grossesse et l'allaitement. Etant donné que, pendant la grossesse, le taux de TSH de 75% des patientes hypothyroïdiennes peut augmenter en partie considérablement (en raison de l'augmentation de la concentration de globuline liant la thyroxine TBG [thyroxine binding globulin]), une dose plus élevée de lévothyroxine peut même être indiquée pendant la grossesse.
-Le traitement de maladies thyroïdiennes pendant la grossesse nécessite une surveillance étroite des valeurs des hormones thyroïdiennes et ne doit être effectué que par des spécialistes.
-Les hormones thyroïdiennes ne passent qu'en faible partie la barrière placentaire. L'expérience clinique avec les doses thérapeutiques recommandées pendant la grossesse n'indique aucun effet indésirable sur le fœtus, ni malformations. Des doses très élevées de lévothyroxine pendant la grossesse peuvent avoir une influence négative sur le développement fœtal et postnatal.
-Pendant la grossesse, l'utilisation de lévothyroxine en tant que traitement associé à un traitement thyréostatique d'une hyperthyroïdie est contre-indiquée, car une dose plus élevée de thyréostatiques serait alors nécessaire. Les thyréostatiques peuvent passer la barrière placentaire et provoquer une hypothyroïdie chez le nouveau-né.
-Il ne faut pas procéder à des tests de suppression thyroïdienne pendant la grossesse, car l'emploi de substances radioactives est contre-indiqué chez la femme enceinte.
- +Le traitement d’affections de la thyroïde pendant la grossesse requiert une surveillance étroite des paramètres thyroïdiens et ne devrait être effectué que par des spécialistes. Dans la mesure du possible, il est préférable que ce spécialiste suive déjà la patiente avant même la survenue de la grossesse.
- +Pendant la grossesse et l’allaitement, il convient de continuer la prise d’hormones thyroïdiennes sans aucune interruption. Une dose plus élevée de lévothyroxine peut même s’avérer nécessaire en raison d’une augmentation de la concentration en globuline TBG fixant la thyroxine.
- +Après l’accouchement, la TSH baisse rapidement pour retrouver un taux correspondant à celui d’avant la grossesse. Par conséquent, la dose de lévothyroxine devrait être réduite immédiatement après l’accouchement à la dose prise avant la grossesse. La TSH devrait être contrôlée 6-8 semaines après l’accouchement.
- +Les hormones thyroïdiennes ne passent la barrière placentaire qu’en faibles quantités. L’expérience clinique avec les doses thérapeutiques recommandées durant la grossesse ne fournit pas d’indices d’anomalies congénitales ou d’autres effets indésirables sur le fœtus. De très hautes doses de lévothyroxine pendant la grossesse peuvent avoir une influence négative sur le développement fœtal et postnatal.
- +Pendant la grossesse, l’utilisation de lévothyroxine est contre-indiquée en traitement adjuvant d’une thérapie thyréostatique d’une hyperthyroïdie, car une dose thyréostatique plus élevée serait alors nécessaire. Les thyréostatiques peuvent passer la barrière placentaire et provoquer une hypothyroïdie chez le nouveau-né.
- +Les tests de suppression de la fonction thyroïdienne sont proscrits durant la grossesse, car l’emploi de substances radioactives est contre-indiqué chez la femme enceinte.
-La lévothyroxine ne passe qu'en très faibles quantités dans le lait maternel. Après l'administration de doses thérapeutiques, la concentration de lévothyroxine dans le lait maternel est trop faible pour provoquer une hyperthyroïdie ou diminuer la sécrétion de TSH chez le nourrisson. Euthyrox peut donc être utilisé pendant l'allaitement.
- +La lévothyroxine ne passe qu’en très faibles quantités dans le lait maternel. Après l’administration de doses thérapeutiques, la concentration en lévothyroxine dans le lait maternel est trop faible pour provoquer une hyperthyroïdie ou inhiber la sécrétion de TSH chez le nourrisson. Par conséquent, Euthyrox peut être utilisé pendant l’allaitement.
- +Le passage dans le lait maternel doit cependant être pris en compte lors de l’examen de la fonction thyroïdienne du nourrisson.
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-Une mauvaise tolérance du dosage dans des cas isolés ou une augmentation trop rapide de la dose au début du traitement peut entraîner l'apparition de symptômes tels qu'ils peuvent aussi survenir lors d'une hyperthyroïdie, p. ex.: tachycardie, troubles du rythme cardiaque (p.ex. fibrillations auriculaires et extrasystoles), états pectangineux, trémulation, anxiété, céphalées, crises convulsives, insomnies, hyperhidrose, perte de poids ou diarrhée ainsi qu'éventuellement symptômes psychotiques. Si tel est le cas, la dose journalière doit être réduite ou la prise d'Euthyrox interrompue pendant plusieurs jours. Dès que les effets indésirables ont disparu, le traitement peut être repris en le dosant avec prudence.
- +Une mauvaise tolérance du dosage dans des cas isolés ou une augmentation trop rapide de la dose au début du traitement peut entraîner l'apparition de symptômes tels qu'ils peuvent aussi survenir lors d'une hyperthyroïdie, p. ex.: tachycardie, troubles du rythme cardiaque (p.ex. fibrillations auriculaires et extrasystoles), états pectangineux, tremblement, agitation intérieure, céphalées, crises convulsives, insomnies, hyperhidrose, perte de poids ou diarrhée ainsi qu'éventuellement symptômes psychotiques. Dans ce cas, la dose journalière doit être réduite ou la prise d'Euthyrox interrompue pendant plusieurs jours. Dès que les effets indésirables ont disparu, le traitement peut être repris en le dosant avec prudence.
-Des réactions d'hypersensibilité (surtout des réactions allergiques de la peau et du tractus respiratoire) ont été observées, y compris des cas d'angio-œdèmes.
- +Des réactions d'hypersensibilité (surtout des réactions allergiques de la peau et du tractus respiratoire) ont été observées, y compris des cas d’angiœdèmes.
-En cas de surdosage, mais aussi en cas d'augmentation trop rapide de la dose au début du traitement, des symptômes d'une augmentation marquée du métabolisme de même que d'une hyperthyroïdie peuvent survenir (voir rubrique «Effets indésirables»). Un surdosage peut aussi déclencher des symptômes d'une psychose aiguë (par ex., hallucinations, agitation, confusion mentale), notamment chez des patients chez lesquels le risque de troubles psychotiques est élevé.
-C'est notamment un taux plasmatique accru de T3 qui indique un surdosage. Il est recommandé d'interrompre la prise de comprimés pendant plusieurs jours et de procéder à des examens de contrôle. En cas de doses massives (tentative de suicide), il faut procéder à un traitement symptomatique. Le lavage gastrique ou les vomissements provoqués ne sont indiqués que dans les quelques heures qui suivent un surdosage. Un bêtabloquant peut atténuer des symptômes bêta-sympathomimétiques importants tels que: tachycardie, états anxieux, excitation ou hyperkinésie. D'autres symptômes peuvent être maîtrisés à l'aide de diazépam et/ou de chlorpromazine. Les thyréostatiques ne sont pas indiqués, car la thyroïde se trouve déjà totalement au repos. Une plasmaphérèse peut s'avérer utile après des doses massives.
-La toxicité aiguë de la lévothyroxine est très faible. Sauf en cas de maladie cardiaque coronaire, des complications sérieuses ne doivent pas être escomptées. Des cas de mort cardiaque subite ont été décrits après une consommation abusive de lévothyroxine pendant des années.
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- +En cas de surdosage, mais aussi lorsque la dose augmente trop rapidement en début de traitement, des symptômes marqués d’élévation du métabolisme ainsi que d’une hyperthyroïdie peuvent survenir (voir «Effets indésirables»). Un surdosage (abusif) volontaire (dans le but de perdre du poids) peut en particulier entraîner des effets indésirables menaçant le pronostic vital. En outre, un surdosage peut également déclencher des symptômes de psychose aiguë (p. ex. des hallucinations, une agitation, une confusion), en particulier chez les patients présentant un risque accru de troubles psychotiques.
- +Un taux plasmatique élevé de T3 constitue en particulier un signe de surdosage.
- +La toxicité aiguë de la lévothyroxine est très faible. Hormis en cas de maladie coronaire, des complications sérieuses ne sont pas à craindre. Des cas de mort subite d’origine cardiaque ont été décrits après une consommation abusive de lévothyroxine pendant des années.
- +En cas de surdosage, il est recommandé d’interrompre la prise de comprimés pendant plusieurs jours et de procéder à des examens de contrôle. En cas de doses massives (tentative de suicide), un traitement symptomatique s’impose. Le lavage gastrique et les vomissements provoqués ne sont indiqués que dans les heures qui suivent le surdosage. Les bêtabloquants peuvent soulager les symptômes d’une forte stimulation du système nerveux sympathique, tels que tachycardie, états anxieux, excitation ou hyperkinésie. D’autres symptômes peuvent être maîtrisés par l’administration de diazépam et/ou de chlorpromazine. Les substances thyréostatiques ne sont pas indiquées, car la thyroïde est déjà totalement au repos. Une plasmaphérèse peut s’avérer utile après des doses massives.
-La lévothyroxine ne passe la barrière placentaire qu'en quantités pharmacologiquement inactives et ne passe aussi qu'en faible quantité dans le lait maternel.
- +La lévothyroxine ne passe la barrière placentaire qu'en quantités pharmacologiquement inactives et ne passe aussi qu'en faibles quantités dans le lait maternel.
-Elimination
- +Élimination
-La fraction de la dose extrarénale Q0 de la lévothyroxine est de 1.0. L'élimination se produit essentiellement par les fèces. Les dérivés conjugués suivent un cycle entéro-hépatique.
- +La lévothyroxine et ses métabolites sont excrétés principalement par les fèces; il n’y a pas d’élimination rénale. Les conjugués suivent un cycle entérohépatique.
-On a observé une augmentation de la capacité de liaison des protéines plasmatiques aux hormones thyroïdiennes et donc une demi-vie plasmatique prolongée pendant la grossesse et après un traitement œstrogénique. La capacité de liaison peut se voir diminuer en cas d'hypoprotéinémie marquée (cirrhose du foie), en rapport avec des pathologies graves, ou encore par des interactions médicamenteuses (voir rubrique «Interactions»).
- +On a observé une augmentation de la capacité de liaison des protéines plasmatiques aux hormones thyroïdiennes et donc une demi-vie plasmatique prolongée pendant la grossesse et après un traitement œstrogénique. La capacité de liaison peut diminuer en cas d’hypoprotéinémie marquée (cirrhose du foie), en rapport avec des pathologies graves, ou encore en raison d’interactions médicamenteuses (voir rubrique «Interactions»).
-En raison de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, la lévothyroxine n'est présente qu'en faible quantité dans l'hémodialysat.
- +En raison de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, la lévothyroxine n'est présente qu'en faibles quantités dans l'hémodialysat.
-On ne doit s'attendre à aucun effet toxicologique en cas d'utilisation adéquate.
- +Aucun effet toxicologique n’est attendu en cas d’utilisation adéquate.
-Influence sur les méthodes de diagnostic
-Les méthodes de détermination des concentrations des hormones thyroïdiennes sont influencées, entre autres, par la présence d'une hépatite ou d'une grossesse, ainsi que par de nombreux médicaments tels que les œstrogènes, les androgènes, les corticostéroïdes, les salicylés et la phénylbutazone.
-Lors de l'examen de la fonction thyroïdienne chez le nourrisson, il faut tenir compte du fait qu'en cas de traitement de la mère, de faibles quantités de lévothyroxine passent dans le lait maternel.
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- +Influence sur les méthodes diagnostiques
- +Les méthodes de détermination des concentrations d’hormones thyroïdiennes sont influencées par différents facteurs, tels que la présence d’une hépatite ou d’une grossesse, ainsi que par de nombreux médicaments tels que les estrogènes, androgènes, corticostéroïdes, salicylés et phénylbutazone.
-Conserver le médicament hors de portée des enfants.
- +Conserver le médicament hors de la portée des enfants.
-Février 2015.
- +Mars 2018.
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