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Accueil - Information professionnelle sur Dysport 500U - Changements - 26.01.2018
58 Changements de l'information professionelle Dysport 500U
  • -·de la déformation dynamique (fonctionnelle) du pied équin, induite par la spasticité chez les patients avec une parésie cérébrale infantile (à partir de l’âge de 2 ans),
  • +·de la spasticité focale des membres inférieurs chez les adultes, consécutive à un accident vasculaire cérébral,
  • +· de la déformation dynamique (fonctionnelle) du pied équin, induite par la spasticité chez les patients avec une parésie cérébrale infantile (à partir de l’âge de 2 ans),
  • -Posologie / Mode d'emploi
  • +Posologie / Mode demploi
  • -A l’exception de la déformation dynamique du pied équin chez les patients atteints de parésie cérébrale infantile, la sécurité et l’efficacité des dosages de Dysport® n’ont pas été suffisamment étudiées chez l’enfant.
  • +À l’exception de la déformation dynamique du pied équin chez les patients atteints de parésie cérébrale infantile, la sécurité et l’efficacité des dosages de Dysport® n’ont pas été suffisamment étudiées chez l’enfant.
  • -Les injections doivent être répétées environ toutes les 12 semaines ou lorsque nécessaire, afin de prévenir une réapparition des symptômes, mais pas plus fréquemment que toutes les 12 semaines.
  • -Si aucun effet thérapeutique n’est constaté après l’administration de la dose maximale, le patient sera considéré comme échec thérapeutique et le traitement arrêté.
  • +Les injections doivent être répétées environ toutes les 12 semaines ou lorsque cela est nécessaire, afin de prévenir une réapparition des symptômes, mais pas plus fréquemment que toutes les 12 semaines.
  • +Si aucun effet thérapeutique n’est constaté après l’administration de la dose maximale, le patient sera considéré en échec thérapeutique et le traitement arrêté.
  • -Les injections doivent être répétées environ toutes les 16 semaines ou lorsque nécessaire, lors de la réapparition des symptômes, mais pas plus fréquemment que toutes les 12 semaines.
  • +Les injections doivent être répétées environ toutes les 16 semaines ou lorsque cela est nécessaire, lors de la réapparition des symptômes, mais pas plus fréquemment que toutes les 12 semaines.
  • -c) Spasticité des membres supérieurs chez les adultes consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • +c) Spasticité chez l’adulte
  • +Spasticité des membres supérieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • -Flexor carpi radialis (FCR) (muscle fléchisseur radial du carpe) 100-200
  • -Flexor carpi ulnaris (FCU) (muscle fléchisseur ulnaire du carpe) 100-200
  • -Flexor digitorum profundus (FDP) (muscle fléchisseur commun profond des doigts) 100-200
  • -Flexor digitorum superficialis (FDS) (muscle fléchisseur commun superficiel des doigts) 100-200
  • -Flexor pollicis longus (muscle long fléchisseur du pouce) 100-200
  • -Adductor pollicis (muscle adducteur du pouce) 25-50
  • -Brachialis (muscle brachial) 200-400
  • -Brachioradialis (muscle brachio-radial) 100-200
  • -Biceps brachii (BB) (muscle biceps brachial) 200-400
  • -Pronator teres (muscle rond pronateur) 100-200
  • -Triceps brachii (muscle triceps brachial) (long chef) 150-300
  • -Pectoralis major (muscle grand pectoral) 150-300
  • -Subscapularis (muscle subscapulaire) 150-300
  • -Latissimus dorsi (muscle grand dorsal) 150-300
  • +Flexor carpi radialis (FCR) 100-200
  • +Flexor carpi ulnaris (FCU) 100-200
  • +Flexor digitorum profundus (FDP) 100-200
  • +Flexor digitorum superficialis (FDS) 100-200
  • +Flexor pollicis longus 100-200
  • +Adductor pollicis 25-50
  • +Brachialis 200-400
  • +Brachioradialis 100-200
  • +Biceps brachii (BB) 200-400
  • +Pronator teres 100-200
  • +Triceps brachii (long chef) 150-300
  • +Pectoralis major 150-300
  • +Subscapularis 150-300
  • +Latissimus dorsi 150-300
  • -Bien que les sites d’injection proprement dits puissent être repérés par la palpation, le recours à une technique d’injection complémentaire, p. ex. l’électromyographie, la stimulation électrique ou l’échographie, est recommandée afin de déterminer les sites d’injection.
  • +Bien que les sites d’injection proprement dits puissent être repérés par la palpation, le recours à une technique d’injection complémentaire, p. ex. l’électromyographie, la stimulation électrique ou l’échographie, est recommandé afin de déterminer les sites d’injection.
  • +Spasticité focale des membres inférieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • +Posologie
  • +Des doses allant jusqu’à 1500 U peuvent être administrées par voie intramusculaire au cours d’une seule séance de traitement. La posologie exacte lors du premier traitement ainsi que des traitements ultérieurs doit être adaptée à chaque patient, en fonction de la taille et du nombre de muscles concernés, de la sévérité de la spasticité, de la présence d’une faiblesse musculaire locale et de la réponse du patient aux traitements antérieurs. Cependant, il ne faut pas dépasser une dose totale de 1500 U.
  • +Il ne faut habituellement pas administrer plus de 1 ml au même site d’injection.
  • +Patients âgés (≥ 65 ans)
  • +L’expérience clinique n’a pas montré de différence en termes d’efficacité entre les patients âgés et les patients adultes plus jeunes. D’une manière générale, les patients âgés doivent faire l’objet d’une surveillance afin d’évaluer la tolérance de Dysport®, en raison de la fréquence plus élevée de maladies associées ainsi que d’autres traitements médicamenteux.
  • +Technique d’injection
  • +L’injection intramusculaire est recommandée aux dosages et sites d’injection suivants:
  • +Muscle Dose recommandée de Dysport® (U) Nombre de sites d’injection par muscle
  • +Distal
  • +Soleus 300-550 2-4
  • +Gastrocnemius
  • +chef médial 100-450 1-3
  • +chef latéral 100-450 1-3
  • +Tibialis posterior 100-250 1-3
  • +Flexor digitorum longus 50-200 1-2
  • +Flexor digitorum brevis 50-200 1-2
  • +Flexor hallucis longus 50-200 1-2
  • +Flexor hallucis brevis 50-100 1-2
  • +Proximal
  • +Rectus femoris 100-400 1-3
  • +Muscles ischio-jambiers 100-400 1-3
  • +Adductor magnus 100-300 1-3
  • +Gracilis 100-200 1-3
  • +Gluteus maximus 100-400 1-2
  • +
  • +Lors du traitement de la spasticité focale des membres inférieurs chez l’adulte, Dysport® est reconstitué dans une solution de chlorure de sodium à 0,9 %, afin d’obtenir une solution injectable de 100 U par ml, de 200 U par ml ou de 500 U par ml. Dysport® est administré en injection intramusculaire dans les muscles décrits ci-dessus.
  • +Bien que les sites d’injection proprement dits puissent être repérés par la palpation, le recours à une technique d’injection complémentaire, p. ex. l’électromyographie, la stimulation électrique ou l’échographie, est recommandé afin de déterminer précisément les sites d’injection.
  • +Durée du traitement
  • +Le traitement par Dysport® doit être répété toutes les 12 à 16 semaines, le cas échéant de manière plus espacée selon les besoins, en fonction de la réapparition des symptômes cliniques, mais en respectant un intervalle minimal de 12 semaines après l’injection précédente. En fonction du degré et du type de spasticité musculaire observés au moment de la nouvelle injection, il peut s’avérer nécessaire de procéder à un ajustement de la dose de Dysport® et de choisir un autre muscle dans lequel réaliser l’injection.
  • +Spasticité des membres supérieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral et spasticité focale des membres inférieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • +Lorsqu’un traitement des membres supérieurs et des membres inférieurs est nécessaire au cours de la même séance de traitement, la dose de Dysport® à injecter dans chaque membre doit être adaptée à chaque patient sans dépasser la dose totale de 1500 U.
  • -La dose maximale recommandée est de 20 U de Dysport®/kg de poids corporel, la dose totale maximale de 500 U de Dysport®.
  • -S’il convient de ne traiter qu’un seul mollet, la dose maximale ne doit pas dépasser 10 U de Dysport®/kg de poids corporel.
  • -Le traitement commencera par un dosage faible chez les patients nécessitant simultanément des injections dans d’autres groupes de muscles, ou si l’on soupçonne que la dose indiquée pourrait entraîner un affaiblissement excessif des muscles cibles, par exemple chez des patients dont les muscles sont petits.
  • -Le dosage des traitements suivants doit être adapté en fonction de la réponse au traitement et être situé entre 10 et 20 U de Dysport®/kg de poids corporel. La dose maximale de 20 U de Dysport®/kg de poids corporel (répartie sur les deux jambes) ou la dose totale maximale de 500 U de Dysport®, selon le dosage qui est le plus faible, ne doit pas être dépassée.
  • +La posologie lors du premier traitement ainsi que des traitements ultérieurs doit être adaptée à chaque patient, en fonction de la taille, du nombre et de la localisation des muscles concernés, de la sévérité de la spasticité, de la présence d’une faiblesse musculaire locale, de la réponse du patient aux traitements antérieurs et/ou des antécédents d’effets indésirables liés à la toxine botulique. Lors du premier traitement, il faut envisager de commencer avec la plus faible dose possible, en se référant au tableau ci-dessous (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • +La dose totale maximale de Dysport®, administrée au cours d’une séance de traitement, ne doit pas dépasser 15 unités/kg pour des injections unilatérales ou 30 unités/kg pour des injections bilatérales dans les membres inférieurs. La dose maximale par jambe ne doit pas dépasser 500 unités. En outre, la dose totale de Dysport® par séance de traitement ne doit pas dépasser 1000 unités ou 30 unités/kg, selon la dose qui est la plus faible. La dose totale administrée doit être répartie entre les différents muscles spastiques des membres inférieurs. Si possible, la dose doit être répartie sur plusieurs sites d’injection dans chaque muscle. La dose de 0,5 ml de Dysport® administrée au niveau d’un seul site d’injection ne doit pas être dépassée. Les posologies recommandées figurent dans le tableau suivant.
  • +Muscle Intervalle posologique recommandé par muscle et par jambe (unités/kg de poids corporel) Nombre de sites d’injection par muscle
  • +Gastrocnemius de 5 à 15 jusqu’à 4
  • +Soleus de 4 à 6 jusqu’à 2
  • +Tibialis posterior de 3 à 5 jusqu’à 2
  • +Dose totale jusqu’à 15 unités/kg/jambe
  • +
  • -L’injection strictement intramusculaire est appliquée dans le chef latéral et médial du muscle gastrocnémien à un ou deux endroits (voir illustration) en respectant un maximum de 125 U de Dysport® par point d’injection et un maximum de 250 U de Dysport® par groupe de muscles. Selon les observations cliniques, une injection au niveau du muscle soléaire et au niveau du muscle tibial postérieur doit également être envisagée.
  • -(image)
  • +Lors du traitement d’une déformation dynamique du pied équin (parésie cérébrale infantile) chez l’enfant, Dysport® est reconstitué dans une solution de chlorure de sodium à 0,9 % et est injecté par voie intramusculaire comme décrit plus haut.
  • +Bien que les sites d’injection proprement dits puissent être repérés par la palpation, le recours à une technique d’injection complémentaire, p. ex. l’électromyographie, la stimulation électrique ou l’échographie, est recommandé afin de déterminer les sites d’injection.
  • -Une amélioration de la spasticité peut être attendue au cours des 2 semaines suivant l’injection.
  • -Les injections doivent être répétées environ toutes les 16 semaines ou lorsque nécessaire, lors de la réapparition des symptômes, mais pas plus fréquemment que toutes les 12 semaines.
  • +Le traitement par Dysport® doit être répété lorsque l’effet de l’injection précédente s’est atténué, mais en respectant un intervalle minimal de 12 semaines après l’injection précédente. La majorité des patients inclus dans les études cliniques ont de nouveau reçu un traitement après environ 16 à 22 semaines; chez certains patients, l’effet a toutefois duré plus longtemps, jusqu’à 28 semaines. En fonction du degré et du type de spasticité musculaire observés au moment de la nouvelle injection, il peut s’avérer nécessaire de procéder à un ajustement de la dose de Dysport® et de choisir un autre muscle dans lequel réaliser l’injection.
  • -Chez les patients atteints de telles maladies sous-jacentes, Dysport® ne doit être utilisé que sous le contrôle et la surveillance étroite d’un spécialiste et uniquement si on estime que les avantages du traitement l’emportent sur les risques éventuels.
  • +Chez les patients atteints de telles maladies sous-jacentes, Dysport® ne doit être utilisé que sous le contrôle et la surveillance étroite d’un spécialiste et uniquement si l’on estime que les avantages du traitement l’emportent sur les risques éventuels.
  • -Le traitement de la déformation dynamique du pied équin (parésie cérébrale infantile) par Dysport® n’est possible que chez les enfants à partir de 2 ans.
  • +La prudence est recommandée lors du traitement de patients adultes et notamment de patients âgés atteints d’une spasticité focale des membres inférieurs, car ils pourraient avoir un risque plus élevé de chutes. Au cours des études cliniques contrôlées contre placebo dans lesquelles des patients ont été traités pour une spasticité focale des membres inférieurs, des chutes sont survenues chez respectivement 6,3 % et 3,7 % des patients dans les groupes sous Dysport® et sous placebo.
  • +Dans le cadre du traitement de la déformation dynamique du pied équin (parésie cérébrale infantile) chez l’enfant, Dysport® ne doit être utilisé qu’à partir de l’âge de 2 ans.
  • -Affections gastrointestinales:
  • +Affections gastro-intestinales:
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques:
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif :
  • -Lors de traitements par d’autres préparations de toxine botulique, on a rapporté des dysphagies avec risque d’aspiration dans des cas isolés. La dysphagie semble dépendre de la dose utilisée et survient le plus souvent après une injection dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien. L’administration d’aliments mous peut être nécessaire jusqu’à la disparition des symptômes. D’autres mesures (par ex. sonde gastrique) peuvent le cas échéant s’avérer nécessaires.
  • -c) Spasticité des membres supérieurs chez les adultes consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • -Affections gastrointestinales:
  • -Occasionnels: dysphagie*
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques:
  • -Fréquents: faiblesse musculaire, douleurs musculo-squelettiques
  • +Lors de traitements par d’autres préparations à base de toxine botulique, on a rapporté des dysphagies avec risque d’aspiration dans des cas isolés. La dysphagie semble dépendre de la dose utilisée et survient le plus souvent après une injection dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien. L’administration d’aliments mous peut être nécessaire jusqu’à la disparition des symptômes. D’autres mesures (par ex. sonde gastrique) peuvent le cas échéant s’avérer nécessaires.
  • +c) Spasticité chez l’adulte
  • +Spasticité des membres supérieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • +Affections gastro-intestinales:
  • +Occasionnels: dysphagie*.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif :
  • +Fréquents: faiblesse musculaire, douleurs musculo-squelettiques.
  • -Fréquents: chute**
  • -* La fréquence de la dysphagie a été déterminée à partir des données groupées des études ouvertes. La dysphagie n'a pas été observée au cours des études en double aveugle pour l'indication «Spasticité des membres supérieurs chez les adultes».
  • -**Incidence des chutes: 2,0 % chez les sujets traités par Dysport®, 2,2 % chez les sujets traités par le placebo
  • -d) Déformation dynamique du pied équin (parésie cérébrale infantile)
  • -Affections du système nerveux:
  • -Fréquents: trouble de la marche.
  • -Affections gastrointestinales:
  • -Fréquents: incontinence fécale.
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques:
  • +Fréquents: chute**.
  • +* La fréquence de la dysphagie a été déterminée à partir des données groupées des études ouvertes. La dysphagie na pas été observée au cours des études en double aveugle pour lindication «Spasticité des membres supérieurs chez les adultes».
  • +**Incidence des chutes: 2,0 % chez les sujets traités par Dysport®, 2,2 % chez les sujets traités par le placebo.
  • +Spasticité focale des membres inférieurs, consécutive à un accident vasculaire cérébral
  • +Affections gastro-intestinales:
  • +Fréquents: dysphagie.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures:
  • +Fréquents: chute.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration:
  • +Fréquents: asthénie, fatigue, affection de type grippal, réaction au site d’injection (douleur, hématome, éruption, prurit).
  • +Lors du traitement simultané des membres supérieurs et inférieurs par une dose totale de Dysport® allant jusqu’à 1500 U, aucune information importante relative à la sécurité n’a été enregistrée en plus des effets attendus lors du traitement séparé des muscles des membres supérieurs ou inférieurs.
  • +d) Déformation dynamique du pied équin (parésie cérébrale infantile)
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • +Fréquents: myalgie, faiblesse musculaire.
  • -Fréquents: incontinence urinaire (suite à une relaxation réflexe de la musculature spastique pelvienne).
  • +Fréquents: incontinence urinaire.
  • -Fréquents: fatigue, asthénie.
  • -Occasionnels: affections de type grippal
  • +Fréquents: affection de type grippal, réaction au site d’injection (p. ex. douleur, érythème, hématome, etc.), trouble de la marche, fatigue.
  • +Occasionnels: asthénie.
  • -Affections de la peau et du tissu souscutané:
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • -Classe pharmacothérapeutique: autres myorelaxants à action périphérique, Code ATC: M03AX01.
  • -Classe pharmacothérapeutique: antisudoraux, Code ATC: D11AA.
  • +Classe pharmacothérapeutique: autres myorelaxants à action périphérique, code ATC: M03AX01.
  • +Classe pharmacothérapeutique: antisudoraux, code ATC: D11AA.
  • -Le critère principal d’efficacité était le tonus musculaire du principal groupe musculaire ciblé (primary targeted muscle group, PTMG) à la 4e semaine, celui-ci étant mesuré à l’aide de l’échelle d’Ashworth modifiée (MAS). Le premier critère d’évaluation secondaire était l’appréciation globale du médecin (Physician Global Assessment, PGA) concernant la réponse au traitement. Les principaux résultats, obtenus à la 4e et à la 12e semaine, figurent cidessous:
  • +Le critère principal d’efficacité était le tonus musculaire du principal groupe musculaire ciblé (primary targeted muscle group, PTMG) à la 4e semaine, celui-ci étant mesuré à l’aide de l’échelle d’Ashworth modifiée (MAS). Le premier critère d’évaluation secondaire était l’appréciation globale du médecin (Physician Global Assessment, PGA) concernant la réponse au traitement. Les principaux résultats, obtenus à la 4e et à la 12e semaine, figurent ci-dessous:
  • -Pour analyser les effets du traitement sur la limitation fonctionnelle, des évaluations ont été réalisées à l’aide du Disability Assessment Scale (DAS). Les scores DAS des répondeurs pour l’objectif du traitement proprement dit (population intention-totreat, ITT) figurent cidessous:
  • +Pour analyser les effets du traitement sur la limitation fonctionnelle, des évaluations ont été réalisées à l’aide du Disability Assessment Scale (DAS). Les scores DAS des répondeurs pour l’objectif du traitement proprement dit (population intention-totreat, ITT) figurent ci-dessous:
  • -* Les domaines inclus dans le DAS comprennent l’hygiène, la position des membres, l’habillage et la douleur.
  • +Les domaines inclus dans le DAS comprennent l’hygiène, la position des membres, l’habillage et la douleur.
  • +Dans le cadre d’une étude d’extension en ouvert réalisée ultérieurement, des patients souffrant d’une spasticité simultanée des membres inférieurs ont pu recevoir des injections de 500 U de Dysport® dans les membres inférieurs atteints, en plus des 1000 U dans les membres supérieurs, sans dépasser une dose maximale de 1500 U.
  • +L’efficacité et la sécurité de Dysport® dans le traitement de la spasticité des membres inférieurs ont été évaluées dans le cadre d’une étude pivot randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée contre placebo, menée chez 385 patients (255 traités par Dysport® et 130 traités par un placebo) souffrant de spasticité des membres inférieurs après un accident vasculaire cérébral ou un traumatisme cérébral. Le critère d’évaluation principal était le score obtenu sur l’échelle d’Ashworth modifiée (MAS) pour l’articulation de la cheville.
  • +Un volume total de 7,5 ml de Dysport® 1000 U (N = 125), de Dysport® 1500 U (N = 128) ou de placebo (N = 128) a été réparti entre les muscles gastrocnémien et soléaire et au moins un autre muscle des membres inférieurs en fonction du tableau clinique.
  • +Une amélioration statistiquement significative du score MAS a été observée à la dose de 1500 U lors de l’évaluation de l’articulation de la cheville avec le genou en extension (impliquant tous les fléchisseurs plantaires). Une amélioration statistiquement significative du score MAS a été observée aux doses de 1000 U et 1500 U lors de l’évaluation de l’articulation de la cheville avec le genou en flexion (impliquant tous les fléchisseurs plantaires à l’exception du muscle gastrocnémien).
  • +Des améliorations de la spasticité de l’articulation de la cheville ont également été démontrées lors de l’utilisation de l’échelle de Tardieu (TS), avec des améliorations significatives du degré de sévérité de la spasticité observées aux doses de 1000 U et de 1500 U. Le traitement par Dysport® a également été associé à une amélioration clinique statistiquement significative aux deux doses, mesurée au moyen du score obtenu sur l’échelle d’appréciation globale du médecin (Physician Global Assessment, PGA).
  • +Dans le sous-groupe de patients atteints de spasticité focale des membres inférieurs après un traumatisme crânio-cérébral, aucune efficacité statistiquement significative par rapport au placebo n’a été observée.
  • +À la fin de cette étude, 345 patients ont été inclus dans une étude d’extension en ouvert, au cours de laquelle le renouvellement du traitement par Dysport® 1000 U ou 1500 U a été déterminé en fonction des besoins cliniques. Les patients présentant également une spasticité des membres supérieurs ont pu recevoir des injections de 500 U de Dysport® dans les membres supérieurs atteints, en plus des 1000 U dans les membres inférieurs, sans dépasser une dose maximale de 1500 U. Les améliorations des paramètres d’efficacité (MAS, PGA, TS), observées après 4 semaines de traitement en double aveugle par Dysport® dans les membres inférieurs, ont augmenté de manière continue avec le renouvellement des traitements. Dans l’étude en double aveugle, aucune amélioration de la vitesse de marche n’est survenue après un traitement unique, mais une amélioration a été observée après des traitements répétés.
  • +Une étude multicentrique, en double aveugle, contrôlée contre placebo (Y-55-52120-141) a été réalisée chez des enfants atteints de déformation dynamique (fonctionnelle) du pied équin induite par une spasticité liée à une parésie cérébrale. Au total, 235 patients (prétraités ou non par la toxine botulique) présentant un degré 2 ou plus sur l’échelle d’Ashworth modifiée (MAS) ont été inclus pour recevoir 10 unités de Dysport®/kg/jambe, 15 unités de Dysport®/kg/jambe ou un placebo. 41 % des patients ont reçu un traitement bilatéral, soit une dose totale de Dysport® de 20 unités/kg ou de 30 unités/kg. Le critère d’efficacité principal était la variation moyenne du score MAS par rapport à la valeur initiale à la 4ème semaine, mesuré pour les fléchisseurs plantaires de l’articulation tibio-tarsienne. Les critères d’efficacité secondaires étaient le score moyen PGA (Physician Global Assessment, appréciation globale du médecin) et le score GAS (Goal Attainment Scaling, échelle de réalisation des objectifs) mesurés à la 4ème semaine. Après le traitement, les patients ont fait l’objet d’un suivi pendant au moins 12 semaines et jusqu’à au maximum 28 semaines. À la fin de cette étude, les patients ont été invités à participer à une étude d’extension en ouvert (Y-55-52120-147).
  • +Variation du score MAS par rapport à la valeur initiale à la 4ème semaine et à la 12ème semaine et scores PGA et GAS à la 4ème semaine et à la 12ème semaine (population en ITT (intention-totreat))
  • +Paramètre Placebo (N = 77) Dysport®
  • +10 unités/kg/jambe (N = 79) 15 unités/kg/jambe (N = 79)
  • +Variation de la moyenne des LS du score MAS par rapport à la valeur initiale pour les fléchisseurs plantaires de l’articulation tibio-tarsienne
  • +4ème semaine -0,5 -0,9 ** -1,0 ***
  • +12ème semaine -0,5 -0,8 * -1,0 ***
  • +Moyenne des LS du score PGA évaluant la réponse au traitement
  • +4ème semaine 0,7 1,5 *** 1,5 ***
  • +12ème semaine 0,4 0,8 * 1,0 **
  • +Moyenne des LS du score GAS [a]
  • +4ème semaine 46,2 51,5 *** 50,9 **
  • +12ème semaine 45,9 52,5 *** 50,5 *
  • +*p ≤ 0,05; **p ≤ 0,003; ***p ≤ 0,0006 par rapport au placebo; LS=least square (moindres carrés) [a] Le score GAS mesure le niveau de réalisation des objectifs choisis à l’état initial dans une liste incluant douze catégories. Les cinq objectifs les plus fréquemment choisis étaient l’amélioration de la marche (70,2 %), l’amélioration de l’équilibre (32,3 %), la réduction de la fréquence des chutes (31,1 %), la réduction de la fréquence du trébuchement (19,6 %) et l’amélioration de l’endurance (17,0 %).
  • +
  • +À la fin de cette étude, 216 patients ont été inclus dans une étude réalisée en ouvert (étude Y-55-52120-147), au cours de laquelle ils ont pu à nouveau recevoir un traitement en fonction de leurs besoins cliniques. Les injections dans les muscles distaux (gastrocnémien, soléaire et tibial postérieur), les injections dans les muscles proximaux (ischio-jambiers et adducteurs de la hanche), ainsi que les injections combinées étaient autorisées. L’efficacité, évaluée par les scores MAS, PGA et GAS, a été observée au cours de traitements répétés et sur une période allant jusqu’à 1 an.
  • -Métabolisme / Elimination
  • +Métabolisme / Élimination
  • +Une étude de toxicité chronique, réalisée chez le rat avec des doses allant jusqu’à 12 unités/animal, n’a pas révélé de signes de toxicité systémique.
  • +
  • -Une étude de toxicité chronique menée sur des rats avec des doses allant jusqu’à 12 unités/animal n’a pas révélé de signes de toxicité systémique. Les effets observés lors d’études non cliniques portant sur la reproduction et la toxicité chronique se limitaient aux modifications dans le muscle injecté en relation avec le mécanisme d’action de la toxine botulique A.
  • -L’utilisation de toxine botulique A chez les lapins n’a pas induit d’irritation oculaire.
  • +Une étude de toxicité chez le rat juvénile, dans laquelle la toxine botulique A a été injectée toutes les semaines pendant 10 semaines à partir du sevrage au 21ème jour après la naissance (doses totales cumulées allant jusqu’à 75,1 unités/kg, soit jusqu’à 2,5 fois la dose maximale de 30 unités/kg chez l’enfant), ce qui correspond chez l’être humain à une tranche d’âge de 2 ans jusqu’à l’âge adulte jeune, n’a révélé aucun effet indésirable sur la croissance postnatale (y compris sur le squelette) et le développement reproductif et neurologique, ni aucune modification du comportement.
  • +Les effets observés lors d’études non cliniques portant sur la reproduction et la toxicité juvénile et chronique se sont limités aux modifications dans le muscle injecté en relation avec le mécanisme d’action de la toxine botulique A.
  • +L’utilisation de la toxine botulique A chez les lapins n’a pas induit d’irritation oculaire.
  • -Conserver à 2-8°C (au réfrigérateur) dans l’emballage original.
  • +Conserver à 2-8 °C (au réfrigérateur) dans l’emballage original.
  • +Pour le traitement de la déformation dynamique du pied équin chez l’enfant (parésie cérébrale infantile), la posologie étant calculée en unités par kg de poids corporel, une dilution supplémentaire peut s’avérer nécessaire pour obtenir le volume d’injection final.
  • +
  • -Après reconstitution, la stabilité a été démontrée pendant 24 heures à une température comprise entre 2 et 8°C.
  • -D’un point de vue microbiologique, la solution injectable prête à l’emploi doit être utilisée immédiatement. Si elle n’est pas utilisée immédiatement, l’utilisateur est responsable de la durée et des conditions de conservation qui ne doit pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 et 8°C. Ne pas congeler pour une utilisation ultérieure.
  • +Après reconstitution, la stabilité a été démontrée pendant 24 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C.
  • +D’un point de vue microbiologique, la solution injectable prête à l’emploi doit être utilisée immédiatement. Si elle n’est pas utilisée immédiatement, l’utilisateur est responsable de la durée et des conditions de conservation qui ne doit pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C. Ne pas congeler pour une utilisation ultérieure.
  • -Avril 2017
  • +Décembre 2017
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