64 Changements de l'information professionelle Mifegyne 200 mg |
-Mifepristonum
- +Mifepristonum.
-Silica colloidalis anhydrica; Maydis amylum; Povidonum K29-32; Magnesii stearas; Cellulosum microcristallinum
- +Silica colloidalis anhydrica; Maydis amylum; Povidonum K29-32; Magnesii stearas; Cellulosum microcristallinum.
-·Interruption médicamenteuse d’une grossesse intra-utérine en association séquentielle à un analogue des prostaglandines pour des grossesses jusqu’à 49 jours d’aménorrhée.
-·Relâchement et dilatation du col utérin avant une interruption chirurgicale de grossesse intra-utérine au cours du premier trimestre.
-·Préparation à l’action des prostaglandines lors des interruptions de grossesse intra-utérine après le premier trimestre.
- +·Interruption médicamenteuse d’une grossesse intra-utérine en association séquentielle à un analogue des prostaglandines pour des grossesses jusqu’à 49 jours d’aménorrhée;
- +·Relâchement et dilatation du col utérin avant une interruption chirurgicale de grossesse intra-utérine au cours du premier trimestre;
- +·Préparation à l’action des prostaglandines lors des interruptions de grossesse intra-utérine après le premier trimestre;
-Prendre 600 mg de mifépristone (soit 1 comprimé à 600 mg ou 3 comprimés à 200 mg) en dose simple; 36 à 48 heures après, administration orale de l’analogue de la prostaglandine misoprostol 400 µg (cf. «Propriétés/Effets»).
- +Prendre 600 mg de mifépristone (soit 1 comprimé à 600 mg ou 3 comprimés à 200 mg) en dose simple; 36 à 48 heures après, administration orale de l’analogue de la prostaglandine misoprostol 400 µg (cf. « Propriétés/Effets »).
-·Prise impérative d’un analogue de prostaglandine 36 à 48 heures après celle de la mifépristone.
-·Consultation de contrôle impérative dans un délai de 10 à 14 jours après la prise de Mifegyne® afin de vérifier que l’expulsion a été complète.
- +·Prise impérative d’un analogue de prostaglandine 36 à 48 heures après celle de la mifépristone;
- +·Consultation de contrôle impérative dans un délai de 10 à 14 jours après la prise de Mifegyne® afin de vérifier que l’expulsion a été complète;
-·Insuffisance surrénalienne chronique.
-·Asthme bronchique sévère et non contrôlé.
-·Porphyrie congénitale.
-·Hypersensibilité connue à la mifépristone ou à tout autre composant contenu dans la préparation.
-En outre, les contre-indications suivantes s’appliquent à certaines indications :
- +·insuffisance surrénalienne chronique;
- +·asthme bronchique sévère et non contrôlé;
- +·porphyrie congénitale;
- +·hypersensibilité connue à la mifépristone ou à tout autre composant contenu dans la préparation.
- +En outre, les contre-indications suivantes s’appliquent à certaines indications:
-·Grossesse non confirmée par échographie.
-·Grossesse de plus de 49 jours d’aménorrhée.
-·Suspicion de grossesse extra-utérine.
- +·Grossesse non confirmée par échographie;
- +·Grossesse de plus de 49 jours d’aménorrhée;
- +·Suspicion de grossesse extrautérine;
-·Grossesse non confirmée par échographie.
-·Grossesse de plus de 84 jours d’aménorrhée.
- +·Grossesse non confirmée par échographie;
- +·Grossesse de plus de 84 jours d’aménorrhée;
-Au cas où une association avec une prostaglandine est nécessaire, voir les contre-indications de la prostaglandine utilisée.
- +·Au cas où une association avec une prostaglandine est nécessaire, voir les contre-indications de la prostaglandine utilisée.
-La patiente devra être informée du risque de survenue de métrorragies – parfois abondantes – après la prise de mifépristone. On indiquera précisément à la patiente qui contacter et où se rendre en cas de problème, notamment en cas de métrorragies très abondantes. Voir aussi «Mises en garde en fonction des indications».
-Des infections sévères, dont certaines avec issue létale, peuvent apparaître dans de très rares cas après un avortement spontané, chirurgical ou médicamenteux ainsi que d’autres interventions gynécologiques. Voir aussi «Mises en garde en fonction des indications».
-La mifépristone se lie aux récepteurs des glucocorticoïdes. A une dose de 4,5 mg/kg et plus, l’action antiglucocorticoïde chez l’être humain se manifeste par augmentation compensatoire des concentrations en ACTH et cortisol. L‘activité biologique des glucocorticoïdes peut être diminuée pendant quelques jours suivant une prise unique de 200 mg de mifépristone. Les conséquences cliniques de ces changements n’ont pas été identifiées; les patientes sujettes aux nausées et vomissements peuvent présenter une intensification de ces symptômes.
- +La patiente devra être informée du risque de survenue de métrorragies – parfois abondantes – après la prise de mifépristone. On indiquera précisément à la patiente qui contacter et où se rendre en cas de problème, notamment en cas de métrorragies très abondantes. Voir aussi « Mises en garde en fonction des indications ».
- +Des infections sévères, dont certaines avec issue létale, peuvent apparaître dans de très rares cas après un avortement spontané, chirurgical ou médicamenteux ainsi que d’autres interventions gynécologiques. Voir aussi « Mises en garde en fonction des indications ».
- +La mifépristone se lie aux récepteurs des glucocorticoïdes. A une dose de 4.5 mg/kg et plus, l’action antiglucocorticoïde chez l’être humain se manifeste par augmentation compensatoire des concentrations en ACTH et cortisol. L‘activité biologique des glucocorticoïdes peut être diminuée pendant quelques jours suivant une prise unique de 200 mg de mifépristone. Les conséquences cliniques de ces changements n’ont pas été identifiées; les patientes sujettes aux nausées et vomissements peuvent présenter une intensification de ces symptômes.
-·Insuffisance rénale.
-·Insuffisance hépatique.
-·Malnutrition.
-Lorsque l’administration de mifépristone en monothérapie ou en association à des prostaglandines n’a pas entraîné d’interruption de grossesse, il existe un risque de malformations chez le fœtus (voir «Grossesse/allaitement»). Les patientes devront être informées que, compte tenu du risque d’échec de l’interruption médicamenteuse de grossesse et des risques inconnus encourus par les fœtus, elles devront impérativement se soumettre à une visite de contrôle.
- +·insuffisance rénale;
- +·insuffisance hépatique;
- +·malnutrition.
- +Lorsque l’administration de mifépristone en monothérapie ou en association à des prostaglandines n’a pas entraîné d’interruption de grossesse, il existe un risque de malformations chez le fœtus (voir « Grossesse/allaitement »). Les patientes devront être informées que, compte tenu du risque d’échec de l’interruption médicamenteuse de grossesse et des risques inconnus encourus par les fœtus, elles devront impérativement se soumettre à une visite de contrôle.
-Si la patiente envisage la poursuite de sa grossesse, il ne faut pas oublier que la quantité de données existantes est insuffisante pour justifier l’interruption naturelle d’une grossesse exposée. Dans ce cas, une surveillance échographique étroite s’impose (avec observation particulière des membres).
- +Si la patiente envisage la poursuite de sa grossesse, il ne faut pas oublier que la quantité de données existantes est insuffisante pour justifier la conclusion naturelle d’une grossesse exposée. Dans ce cas, une surveillance échographique étroite s’impose (avec observation particulière des membres).
- +Des effets indésirables cutanés sévères, y compris des cas de nécrolyse épidermique toxique et de pustulose exanthématique aiguë généralisée, ont été rapportés en association avec la mifépristone (voir « Effets indésirables »). Chez les patientes confrontées à des effets indésirables cutanés sévères, le traitement par la mifépristone doit être immédiatement arrêté. Une reprise du traitement par la mifépristone est déconseillée.
- +
-Les taux de réussite varient en fonction de l’étude clinique et du type de prostaglandines utilisé. Le taux d’échec est de l’ordre de 1,3 à 7,5% avec les méthodes séquentielles au cours desquelles Mifegyne® est utilisé avant un analogue de prostaglandine. Ces échecs se décomposent de la manière suivante:
-·0 à 1,5% de grossesses évolutives;
-·de 1,3 à 4,6% de grossesses arrêtées mais avec une expulsion incomplète du fœtus;
-·de 0 à 1,4% de gestes endo-utérins à visée hémostatique (curetage).
- +Les taux de réussite varient en fonction de l’étude clinique et du type de prostaglandines utilisé. Le taux d’échec est de l’ordre de 1.3 à 7.5 % avec les méthodes séquentielles au cours desquelles Mifegyne® est utilisé avant un analogue de prostaglandine. Ces échecs se décomposent de la manière suivante:
- +·0 à 1.5 % de grossesses évolutives;
- +·de 1.3 à 4.6 % de grossesses arrêtées mais avec une expulsion incomplète du fœtus;
- +·de 0 à 1.4 % de gestes endo-utérins à visée hémostatique (curetage).
-L’expulsion peut déjà avoir lieu avant l’administration des prostaglandines (dans environ 3% des cas). Dans ce cas, une visite de contrôle s’impose malgré tout pour vérifier que l’expulsion a été complète et que la cavité utérine est vide.
- +L’expulsion peut déjà avoir lieu avant l’administration des prostaglandines (dans environ 3 % des cas). Dans ce cas, une visite de contrôle s’impose malgré tout pour vérifier que l’expulsion a été complète et que la cavité utérine est vide.
-Compte tenu de la survenue de métrorragies très abondantes dans 1,4% des cas lors de l’interruption médicamenteuse de grossesse, la prudence s’impose chez les patientes souffrant de diathèse hémorragique (troubles de la coagulation), hypocoagulabilité incluse, ou d’anémie. C’est le médecin spécialiste qui décidera dans ces cas de la méthode d’interruption de grossesse utilisée (médicamenteuse ou chirurgicale) et ce, en fonction du type de diathèse hémorragique et de l’importance de l’anémie.
- +Compte tenu de la survenue de métrorragies très abondantes dans 1.4 % des cas lors de l’interruption médicamenteuse de grossesse, la prudence s’impose chez les patientes souffrant de diathèse hémorragique (troubles de la coagulation), hypocoagulabilité incluse, ou d’anémie. C’est le médecin spécialiste qui décidera dans ces cas de la méthode d’interruption de grossesse utilisée (médicamenteuse ou chirurgicale) et ce, en fonction du type de diathèse hémorragique et de l’importance de l’anémie.
-Afin d’obtenir une efficacité thérapeutique totale, il est impératif d’effectuer l’interruption chirurgicale de grossesse 36 à 48 heures après l’administration de Mifegyne® (il ne faut en aucun cas dépasser ce délai!).
-La patiente devra être informée de l’éventualité, dans de rares cas (0,9%), d’une expulsion avant l’interruption chirurgicale de grossesse.
- +Afin d’obtenir une efficacité thérapeutique totale, il est impératif d’effectuer l’interruption chirurgicale de grossesse 36 à 48 heures après l’administration de Mifegyne® (il ne faut en aucun cas dépasser ce délai !).
- +La patiente devra être informée de l’éventualité, dans de rares cas (0.9 %), d’une expulsion avant l’interruption chirurgicale de grossesse.
-Les données disponibles se révèlent insuffisantes pour déterminer si la mifépristone présente un effet tératogène chez l’être humain (voir «Données précliniques»).
- +Les données disponibles se révèlent insuffisantes pour déterminer si la mifépristone présente un effet tératogène chez l’être humain (voir « Données précliniques »).
-Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et après la mise sur le marché sont listés ci-dessous par système organique et par fréquence. Les indications des fréquences sont les suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000) et très rares (<1/10'000).
- +Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et après la mise sur le marché sont listés ci-dessous par classe de système d’organes de la classification MedDRA et par fréquence. Les indications des fréquences sont les suivantes: « très fréquents » (≥1/10), « fréquents » (≥1/100 à <1/10), « occasionnels » (≥1/1000 à <1/100) , « rares » (≥1/10’000 à <1/1000), « très rares » (<1/10'000) et « fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Très rares: choc toxique grave à mortel, induit par un agent pathogène de type Clostridium sordellii endometritis ou Escherichia coli avec ou sans fièvre et autres symptômes visibles d’infection (voir également «Mises en garde et précautions»).
- +Très rares: choc toxique grave à mortel, induit par un agent pathogène de type Clostridium sordellii endometritis ou Escherichia coli avec ou sans fièvre et autres symptômes visibles d’infection (voir également « Mises en garde et précautions »).
-Très fréquents: nausées (jusqu’à 29% des cas), vomissements (jusqu’à 21% des cas).
- +Très fréquents: nausées (jusqu’à 29 % des cas), vomissements (jusqu’à 21 % des cas).
-Très rares: urticaire, érythrodermie, érythème noueux, nécrolyse épidermique.
- +Rares: nécrolyse épidermique.
- +Très rares: urticaire, érythrodermie, érythème noueux.
- +Fréquence inconnue: pustulose exanthématique aiguë généralisée.
-Très fréquents: contractions ou crampes utérines (dans 10-45% des cas) dans les heures suivants la prise de prostaglandines.
-Fréquents: saignements abondants (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: rupture de l’utérus (voir «Mises en garde et précautions»)).
-Des cas isolés d’hémorragies sévères, mettant en jeu le pronostic vital, ont été rapportés.
- +Très fréquents: contractions ou crampes utérines (dans 10–45 % des cas) dans les heures suivants la prise de prostaglandines.
- +Fréquents: saignements abondants (voir « Mises en garde et précautions »).
- +Occasionnels: rupture de l’utérus (voir « Mises en garde et précautions »).
- +Fréquence inconnue: hémorragies sévères, mettant en jeu le pronostic vital.
-La mifépristone se lie au récepteur des glucocorticoïdes, mais pas aux récepteurs des minéralocorticoïdes, c’est pourquoi le risque d’une insuffisance corticosurrénale aiguë lors de la prise de mifépristone est négligeable. Chez l’animal, à des doses de 10 à 25 mg/kg, elle inhibe l’action de la dexaméthasone. Chez l’homme, l’action antiglucocorticoïde se manifeste à une dose égale ou supérieure à 4,5 mg/kg par une élévation compensatoire de l’ACTH et du cortisol.
- +La mifépristone se lie au récepteur des glucocorticoïdes, mais pas aux récepteurs des minéralocorticoïdes, c’est pourquoi le risque d’une insuffisance corticosurrénale aiguë lors de la prise de mifépristone est négligeable. Chez l’animal, à des doses de 10 à 25 mg/kg, elle inhibe l’action de la dexaméthasone. Chez l’homme, l’action antiglucocorticoïde se manifeste à une dose égale ou supérieure à 4.5 mg/kg par une élévation compensatoire de l’ACTH et du cortisol.
-Dans l’interruption volontaire de grossesse, l’utilisation d’un analogue des prostaglandines administré après la prise de mifépristone (schéma séquentiel) permet d’augmenter la fréquence du succès (environ 95%) et d’accélérer l’expulsion de l’embryon.
-Dans le cadre d’études cliniques, on a administré 400 µg de misoprostol per os (grossesse de 49 jours d’aménorrhée au maximum) ou 1 mg de géméprost par voie vaginale (grossesse de 63 jours d’aménorrhée au maximum). Le taux de succès a été de 95,7% pour le misoprostol pour des grossesses de 49 jours d’aménorrhée au maximum et de 98,7% pour le géméprost pour des grossesses de 49 jours d’aménorrhée au maximum et de 94,8% pour des grossesses de 63 jours d’aménorrhée au maximum.
- +Dans l’interruption volontaire de grossesse, l’utilisation d’un analogue des prostaglandines administré après la prise de mifépristone (schéma séquentiel) permet d’augmenter la fréquence du succès (environ 95 %) et d’accélérer l’expulsion de l’embryon.
- +Dans le cadre d’études cliniques, on a administré 400 µg de misoprostol per os (grossesse de 49 jours d’aménorrhée au maximum) ou 1 mg de géméprost par voie vaginale (grossesse de 63 jours d’aménorrhée au maximum). Le taux de succès a été de 95.7 % pour le misoprostol pour des grossesses de 49 jours d’aménorrhée au maximum et de 98.7 % pour le géméprost pour des grossesses de 49 jours d’aménorrhée au maximum et de 94.8 % pour des grossesses de 63 jours d’aménorrhée au maximum.
-En cas de mort fœtale in utero, la mifépristone utilisée en monothérapie permet dans environ 60% des cas d’obtenir l’expulsion fœtale dans les 72 heures qui suivent la première prise et dans ce cas elle permet donc de se dispenser de l’administration de prostaglandine ou d’ocytocique.
- +En cas de mort fœtale in utero, la mifépristone utilisée en monothérapie permet dans environ 60 % des cas d’obtenir l’expulsion fœtale dans les 72 heures qui suivent la première prise et dans ce cas elle permet donc de se dispenser de l’administration de prostaglandine ou d’ocytocique.
-Après l’administration orale d’une dose unique de 600 mg de mifépristone, la concentration maximale de 1,98 mg/l a été atteinte après 1,5 heures. La biodisponibilité absolue est de 69%.
- +Après l’administration orale d’une dose unique de 600 mg de mifépristone, la concentration maximale de 1.98 mg/l a été atteinte après 1.30 heures. La biodisponibilité absolue est de 69 %.
-Dans le plasma, la mifépristone est fixée à 98% sur les protéines plasmatiques (albumine et essentiellement α-1-glycoprotéine acide); la fixation est saturable. En raison de cette fixation spécifique, le volume de distribution et la clairance plasmatique de la mifépristone sont inversement proportionnels à la concentration plasmatique de l’α-1-glycoprotéine acide.
- +Dans le plasma, la mifépristone est fixée à 98 % sur les protéines plasmatiques (albumine et essentiellement α-1-glycoprotéine acide); la fixation est saturable. En raison de cette fixation spécifique, le volume de distribution et la clairance plasmatique de la mifépristone sont inversement proportionnels à la concentration plasmatique de l’α-1-glycoprotéine acide.
-Plus de 90% de la mifépristone sont éliminés par les fèces et le reste par les urines.
- +Plus de 90 % de la mifépristone sont éliminés par les fèces et le reste par les urines.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur le récipient.
-Conserver à température ambiante (15-25°C) et à l’abri de la lumière dans son emballage d’origine.
- +Conserver à température ambiante (15–25 °C) et à l’abri de la lumière dans son emballage d’origine.
-3 comprimés de 200 mg. [A]
-1 comprimé de 600 mg. [A]
- +3 comprimés à 200 mg. [A]
- +1 comprimé à 600 mg. [A]
-Mai 2020
- +Août 2021
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