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Accueil - Information professionnelle sur Relpax 40 mg - Changements - 30.05.2016
36 Changements de l'information professionelle Relpax 40 mg
  • -La sécurité d’emploi et l’efficacité de l’élétriptan chez le patient âgé de plus de 65 ans n’ont pas été évaluées de manière systématique en raison du faible nombre de patients de ce type inclus dans les essais cliniques. Les effets sur la pression artérielle peuvent être plus marqués dans cette population que chez les adultes plus jeunes (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +La sécurité d’emploi et l’efficacité de l’élétriptan chez le patient âgé de plus de 65 ans n’ont pas été évaluées de manière systématique en raison du faible nombre de patients de ce type inclus dans les essais cliniques. Les effets sur la pression artérielle peuvent être plus marqués dans cette population que chez les adultes plus jeunes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -La sécurité d’emploi et l’efficacité de Relpax n’ont pas été étudiées chez l’enfant. Par conséquent, son utilisation n’est pas recommandée dans cette classe d’âge (voir « Cinétique pour certains groupes de patients »).
  • +La sécurité d’emploi et l’efficacité de Relpax n’ont pas été étudiées chez l’enfant. Par conséquent, son utilisation n’est pas recommandée dans cette classe d’âge (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • -Emploi d’ergotamine ou de dérivés de l’ergotamine (méthysergide compris) dans les 24 heures précédant ou suivant la prise d’élétriptan (voir « Interactions »).
  • +Emploi d’ergotamine ou de dérivés de l’ergotamine (méthysergide compris) dans les 24 heures précédant ou suivant la prise d’élétriptan (voir «Interactions»).
  • -Il n'est pas recommandé d’utiliser l'élétriptan en association avec des inhibiteurs puissants de l'isoenzyme CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, la josamycine et les inhibiteurs de la protéase (ritonavir, indinavir et nelfinavir) (voir « Interactions »).
  • +Il n'est pas recommandé d’utiliser l'élétriptan en association avec des inhibiteurs puissants de l'isoenzyme CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, la josamycine et les inhibiteurs de la protéase (ritonavir, indinavir et nelfinavir) (voir «Interactions»).
  • -Les agonistes des récepteurs 5HT1, comme Relpax, ne doivent pas être utilisés dans le traitement de céphalées atypiques, soit des céphalées liées à des affections sous-jacentes potentiellement graves (AVC, rupture d’anévrisme), pour lesquelles une vasoconstriction cérébrovasculaire pourrait être dangereuse.
  • +Les agonistes des récepteurs 5HT1, comme Relpax, ne doivent pas être utilisés dans le traitement de céphalées «atypiques», soit des céphalées liées à des affections sous-jacentes potentiellement graves (AVC, rupture d’anévrisme), pour lesquelles une vasoconstriction cérébrovasculaire pourrait être dangereuse.
  • -Relpax ne devrait pas être prescrit sans investigation préalable chez les patients chez qui une cardiopathie inconnue est probable ou chez les patients présentant un risque de maladie coronarienne (par ex. patients hypertendus, diabétiques, fumeurs ou patients sous traitement de substitution de la nicotine, hommes de plus de 40 ans, femmes post-ménopausées et patients dont l’anamnèse familiale est positive pour une pathologie coronarienne). Lors de l’investigation cardiologique, il est possible que tous les patients porteurs d’une maladie cardiaque ne soient pas identifiés et que, dans de très rares cas des événements cardiaques graves apparaissent sous traitement par agonistes des récepteurs 5HT1 en l’absence de pathologie cardiovasculaire sous-jacente. Les patients chez qui une maladie coronarienne est évidente ne doivent pas recevoir Relpax (voir « Contre-indications »).
  • +Relpax ne devrait pas être prescrit sans investigation préalable chez les patients chez qui une cardiopathie inconnue est probable ou chez les patients présentant un risque de maladie coronarienne (par ex. patients hypertendus, diabétiques, fumeurs ou patients sous traitement de substitution de la nicotine, hommes de plus de 40 ans, femmes post-ménopausées et patients dont l’anamnèse familiale est positive pour une pathologie coronarienne). Lors de l’investigation cardiologique, il est possible que tous les patients porteurs d’une maladie cardiaque ne soient pas identifiés et que, dans de très rares cas des événements cardiaques graves apparaissent sous traitement par agonistes des récepteurs 5HT1 en l’absence de pathologie cardiovasculaire sous-jacente. Les patients chez qui une maladie coronarienne est évidente ne doivent pas recevoir Relpax (voir «Contre-indications»).
  • -Dans la fourchette des doses thérapeutiques de l’élétriptan, des hausses légères et passagères de la pression artérielle se sont produites avec des doses de 60 mg ou plus. Les effets sur la pression artérielle étaient essentiellement plus marqués chez les patients atteints d’insuffisance rénale et chez les sujets âgés. Chez les patients atteints d’insuffisance rénale, l’élévation maximale moyenne de la pression artérielle systolique était de 14 à 17 mmHg (normale: 3 mmHg) et celle de la pression artérielle diastolique de 14 à 21 mmHg (normale: 4 mmHg). Chez les patients âgés, l’élévation maximale moyenne de la pression artérielle systolique était de 23 mmHg, par rapport à 13 mmHg chez les adultes jeunes (placebo: 8 mmHg). Après la mise sur le marché, des élévations de la pression artérielle ont aussi été rapportées chez des patients traités par 20 mg ou 40 mg d’élétriptan, ainsi que chez des patients qui n’étaient ni insuffisants rénaux ni âgés.
  • +Dans la fourchette des doses thérapeutiques de l’élétriptan, des hausses légères et passagères de la pression artérielle se sont produites avec des doses de 60 mg ou plus. Les effets sur la pression artérielle étaient essentiellement plus marqués chez les patients atteints d’insuffisance rénale et chez les sujets âgés. Chez les patients atteints d’insuffisance rénale, l’élévation maximale moyenne de la pression artérielle systolique était de 14 mmHg à 17 mmHg (normale: 3 mmHg) et celle de la pression artérielle diastolique de 14 mmHg à 21 mmHg (normale: 4 mmHg). Chez les patients âgés, l’élévation maximale moyenne de la pression artérielle systolique était de 23 mmHg, par rapport à 13 mmHg chez les adultes jeunes (placebo: 8 mmHg). Après la mise sur le marché, des élévations de la pression artérielle ont aussi été rapportées chez des patients traités par 20 mg ou 40 mg d’élétriptan, ainsi que chez des patients qui n’étaient ni insuffisants rénaux ni âgés.
  • -Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique prenant la forme d’un effet indésirable dangereux pour le pronostic vital peut apparaître lors de l’administration concomitante de triptans et d’autres médicaments à effet sérotoninergique. Le syndrome sérotoninergique est caractérisé par l’association variée de certains symptômes qui peuvent typiquement inclure les symptômes suivants: hyperréflexie, tremblements, myoclonies, modifications de l'état psychique comme agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité évoluant vers un délire et un coma ainsi que tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie, nausée, vomissements, diarrhée. Le syndrome sérotoninergique est rare et il apparaît généralement uniquement lorsque deux ou plusieurs médicaments à effet sérotoninergique sont administrés en même temps ou si une posologie est augmentée (voir « Interactions »). Une surveillance étroite du patient est recommandée lorsqu’un traitement concomitant par Relpax et par d’autres médicaments à effet sérotoninergique est cliniquement justifié.
  • +Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique prenant la forme d’un effet indésirable dangereux pour le pronostic vital peut apparaître lors de l’administration concomitante de triptans et d’autres médicaments à effet sérotoninergique. Le syndrome sérotoninergique est caractérisé par l’association variée de certains symptômes qui peuvent typiquement inclure les symptômes suivants: hyperréflexie, tremblements, myoclonies, modifications de l'état psychique comme agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité évoluant vers un délire et un coma ainsi que tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie, nausée, vomissements, diarrhée. Le syndrome sérotoninergique est rare et il apparaît généralement uniquement lorsque deux ou plusieurs médicaments à effet sérotoninergique sont administrés en même temps ou si une posologie est augmentée (voir «Interactions»). Une surveillance étroite du patient est recommandée lorsqu’un traitement concomitant par Relpax et par d’autres médicaments à effet sérotoninergique est cliniquement justifié.
  • -Les patients hypersensibles aux colorants azoïques, à l’acide acétylsalicylique ainsi qu’aux autres inhibiteurs des prostaglandines ne devraient pas utiliser Relpax (voir « Effets indésirables »).
  • +Les patients hypersensibles aux colorants azoïques, à l’acide acétylsalicylique ainsi qu’aux autres inhibiteurs des prostaglandines ne devraient pas utiliser Relpax (voir «Effets indésirables»).
  • -Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique peut apparaître prenant la forme d’un effet indésirables dangereux pour le pronostic vital lors de l’administration concomitante de triplans et d’autres médicaments à effet sérotoninergique plus ou moins prononcé comme entre autres les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine/noradrénaline (SNRI), les inhibiteurs de la MAO, le L-tryptophane, le lithium, les antidépresseurs tricycliques, les opiacés, le millepertuis (Hypericum perforatum) e.a. (voir « Mises en garde et précautions »).
  • -Dans les études cliniques, la concentration plasmatique maximale (Cmax) de l'élétriptan était augmentée d’un facteur 1,1 lors d’une prise avec du propranolol (160 mg), d’un facteur 2,2 lors d’une prise avec du vérapamil (480 mg) et d’un facteur 1,4 lors d’une prise avec du fluconazole (100 mg), tandis que son aire sous la courbe (AUC) était augmentée de respectivement 1,3, 2,7 et 2 fois. Ces effets ne sont pas considérés comme cliniquement pertinents car, en comparaison avec les effets observés sous élétriptan administré en monothérapie, ils n'étaient pas associés à une élévation de la pression artérielle ou à une augmentation des effets secondaires.
  • -Dans les études cliniques conduites avec de l’érythromycine (1000 mg) et du kétoconazole, qui sont des inhibiteurs spécifiques et puissants du CYP3A4, des augmentations significatives de la Cmax (facteurs 2 et 2,7) et de l’AUC (facteurs 3,6 et 5,9) de l’élétriptan ont été observées. Cette augmentation de l'exposition était accompagnée d’un allongement de la demi-vie (t1/2) de l’élétriptan, qui est passée de 4,6 à 7,1 heures avec l'érythromycine et de 4,8 à 8,3 heures avec le kétoconazole (voir « Pharmacocinétique »). Il n'est donc pas recommandé d’utiliser Relpax en association avec des inhibiteurs puissants de l'isoenzyme CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, la josamycine et les inhibiteurs de la protéase (ritonavir, indinavir et nelfinavir).
  • +Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique peut apparaître prenant la forme d’un effet indésirables dangereux pour le pronostic vital lors de l’administration concomitante de triplans et d’autres médicaments à effet sérotoninergique plus ou moins prononcé comme entre autres les «inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine» (SSRI), les «inhibiteurs de la recapture de la sérotonine/noradrénaline» (SNRI), les inhibiteurs de la MAO, le L-tryptophane, le lithium, les antidépresseurs tricycliques, les opiacés, le millepertuis (Hypericum perforatum) e.a. (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les études cliniques, la concentration plasmatique maximale (Cmax) de l'élétriptan était augmentée d’un facteur 1.1 lors d’une prise avec du propranolol (160 mg), d’un facteur 2.2 lors d’une prise avec du vérapamil (480 mg) et d’un facteur 1.4 lors d’une prise avec du fluconazole (100 mg), tandis que son aire sous la courbe (AUC) était augmentée de respectivement 1.3, 2.7 et 2 fois. Ces effets ne sont pas considérés comme cliniquement pertinents car, en comparaison avec les effets observés sous élétriptan administré en monothérapie, ils n'étaient pas associés à une élévation de la pression artérielle ou à une augmentation des effets secondaires.
  • +Dans les études cliniques conduites avec de l’érythromycine (1000 mg) et du kétoconazole, qui sont des inhibiteurs spécifiques et puissants du CYP3A4, des augmentations significatives de la Cmax (facteurs 2 et 2.7) et de l’AUC (facteurs 3.6 et 5.9) de l’élétriptan ont été observées. Cette augmentation de l'exposition était accompagnée d’un allongement de la demi-vie (t1/2) de l’élétriptan, qui est passée de 4.6 à 7.1 heures avec l'érythromycine et de 4,8 à 8,3 heures avec le kétoconazole (voir «Pharmacocinétique»). Il n'est donc pas recommandé d’utiliser Relpax en association avec des inhibiteurs puissants de l'isoenzyme CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, la josamycine et les inhibiteurs de la protéase (ritonavir, indinavir et nelfinavir).
  • -L’élétriptan passe dans le lait maternel. Dans une étude portant sur huit femmes qui avaient reçu une dose unique de 80 mg d’élétriptan, la quantité totale d’élétriptan retrouvée dans le lait maternel au cours des 24 heures suivantes représentait en moyenne 0.02 % de la dose. Il est donc conseillé de renoncer à allaiter pendant au moins les 24 heures qui suivent la prise de Relpax.
  • +L’élétriptan passe dans le lait maternel. Dans une étude portant sur huit femmes qui avaient reçu une dose unique de 80 mg d’élétriptan, la quantité totale d’élétriptan retrouvée dans le lait maternel au cours des 24 heures suivantes représentait en moyenne 0.02% de la dose. Il est donc conseillé de renoncer à allaiter pendant au moins les 24 heures qui suivent la prise de Relpax.
  • -Après administration orale, l’élétriptan est efficacement et rapidement absorbé par le tractus gastro-intestinal (81% au moins). La biodisponibilité orale absolue de l’élétriptan chez l’homme et chez la femme est d’environ 50 %. Après prise par voie orale, le Tmax moyen est d’environ 1.5 heures. La pharmacocinétique est linéaire pour toute la fourchette des doses cliniques (de 20 à 80 mg).
  • +Après administration orale, l’élétriptan est efficacement et rapidement absorbé par le tractus gastro-intestinal (81% au moins). La biodisponibilité orale absolue de l’élétriptan chez l’homme et chez la femme est d’environ 50%. Après prise par voie orale, le Tmax moyen est d’environ 1.5 heures. La pharmacocinétique est linéaire pour toute la fourchette des doses cliniques (de 20 à 80 mg).
  • -L’administration de 20 mg d’élétriptan toutes les 8 heures pendant 7 jours a entraîné une accumulation : au jour 7, l’AUC0-8h était 1.9 fois plus importante qu’au jour 1. Lors de l’administration de 40 mg trois fois par jour, la deuxième dose ayant été appliquée 2 heures plus tard et la troisième 10 heures plus tard, ainsi que lors de l’administration de 80 mg deux fois par jour à intervalle de 2 heures, l’AUC0-24h au jour 7 était 1.4 fois plus importante que l’AUC0-24h au jour 1.
  • +L’administration de 20 mg d’élétriptan toutes les 8 heures pendant 7 jours a entraîné une accumulation: au jour 7, l’AUC0-8h était 1.9 fois plus importante qu’au jour 1. Lors de l’administration de 40 mg trois fois par jour, la deuxième dose ayant été appliquée 2 heures plus tard et la troisième 10 heures plus tard, ainsi que lors de l’administration de 80 mg deux fois par jour à intervalle de 2 heures, l’AUC0-24h au jour 7 était 1.4 fois plus importante que l’AUC0-24h au jour 1.
  • -Après administration intraveineuse, le volume de distribution de l’élétriptan est de 138 litres, ce qui indique une distribution tissulaire. L’élétriptan ne se lie que modérément aux protéines plasmatiques (environ 85 %).
  • +Après administration intraveineuse, le volume de distribution de l’élétriptan est de 138 litres, ce qui indique une distribution tissulaire. L’élétriptan ne se lie que modérément aux protéines plasmatiques (environ 85%).
  • -Les comprimés pelliculés de Relpax ne doivent pas être utilisés au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur l’emballage.
  • +Les comprimés pelliculés de Relpax ne doivent pas être utilisés au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • -55218 (Swissmedic)
  • +55218 (Swissmedic).
  • -Pfizer AG, Zürich
  • +Pfizer PFE Switzerland GmbH, Zürich.
  • -Novembre 2013
  • -LLD V007
  • +Novembre 2013.
  • +LLD V009
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