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Accueil - Information professionnelle sur Epril - Changements - 08.01.2016
126 Changements de l'information professionelle Epril
  • -Principe actif: maléate dénalapril.
  • +Principe actif: maléate d'énalapril.
  • -Epril est disponible sous la forme de comprimés sécables à 5 mg, 10 mg, 20 mg et 40 mg de maléate dénalapril.
  • -Epril 40: comprimé (sécable) à 40 mg de maléate dénalapril.
  • -Epril: comprimé (sécable) à 20 mg de maléate dénalapril.
  • -Epril mite: comprimé (sécable) à 10 mg de maléate dénalapril.
  • -Epril submite: comprimé (sécable) à 5 mg de maléate dénalapril.
  • +Epril est disponible sous la forme de comprimés sécables à 5 mg, 10 mg, 20 mg et 40 mg de maléate d'énalapril.
  • +Epril 40: comprimé (sécable) à 40 mg de maléate d'énalapril.
  • +Epril: comprimé (sécable) à 20 mg de maléate d'énalapril.
  • +Epril mite: comprimé (sécable) à 10 mg de maléate d'énalapril.
  • +Epril submite: comprimé (sécable) à 5 mg de maléate d'énalapril.
  • -Tous les degrés de gravité de lhypertension artérielle essentielle;
  • -hypertension rénovasculaire;
  • -traitement de linsuffisance cardiaque symptomatique;
  • -traitement de la dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique avec une fraction déjection inférieure à 35%, et de ce fait, prévention de linsuffisance cardiaque symptomatique.
  • +·Tous les degrés de gravité de l'hypertension artérielle essentielle;
  • +·hypertension rénovasculaire;
  • +·traitement de l'insuffisance cardiaque symptomatique;
  • +·traitement de la dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique avec une fraction d'éjection inférieure à 35%, et de ce fait, prévention de l'insuffisance cardiaque symptomatique.
  • -La prise daliments ninfluence pas labsorption dEpril. Le produit peut donc être pris avant, pendant et après le repas.
  • +La prise d'aliments n'influence pas l'absorption d'Epril. Le produit peut donc être pris avant, pendant et après le repas.
  • -La dose quotidienne initiale dans lhypertension légère est de 10 mg; dans les hypertensions plus marquées, elle est de 20 mg. Le produit sutilise en une prise par jour.
  • -La dose dentretien est généralement de 1 comprimé à 20 mg par jour, à ajuster individuellement de cas en cas, sans dépasser une dose maximale de 40 mg par jour.
  • +La dose quotidienne initiale dans l'hypertension légère est de 10 mg; dans les hypertensions plus marquées, elle est de 20 mg. Le produit s'utilise en une prise par jour.
  • +La dose d'entretien est généralement de 1 comprimé à 20 mg par jour, à ajuster individuellement de cas en cas, sans dépasser une dose maximale de 40 mg par jour.
  • -La sécurité et lefficacité des comprimés dEpril ont été examinées chez les enfants et des adolescents hypertendus âgés entre 1 mois et 16 ans.
  • -On ne dispose que de données limitées sur lefficacité et la tolérance de lemploi dEpril chez les enfants dun poids corporel situé entre 20 kg et <50 kg (de plus de 6 ans environ). Chez les patients capables davaler des comprimés, la dose doit être adaptée individuellement à létat du patient. La dose initiale recommandée est de 2,5 mg (½ comprimé dEpril submite) pour les patients dun poids corporel situé entre 20 kg et <50 kg et de 5 mg pour les patients dun poids corporel de ≥50 kg.
  • -La posologie doit être choisie en fonction des besoins du patient, un maximum de 20 mg par jour chez les patients dun poids corporel situé entre 20 et <50 kg et de 40 mg par jour chez les patients dun poids corporel ≥50 kg ne devant pas être dépassé.
  • -Epril nest pas recommandé chez les nouveau-nés et les patients pédiatriques présentant un taux de filtration glomérulaire <30 ml/min/1,73 m², étant donné que lon ne dispose pas de données pour ce groupe de patients.
  • +La sécurité et l'efficacité des comprimés d'Epril ont été examinées chez les enfants et des adolescents hypertendus âgés entre 1 mois et 16 ans.
  • +On ne dispose que de données limitées sur l'efficacité et la tolérance de l'emploi d'Epril chez les enfants d'un poids corporel situé entre 20 kg et <50 kg (de plus de 6 ans environ). Chez les patients capables d'avaler des comprimés, la dose doit être adaptée individuellement à l'état du patient. La dose initiale recommandée est de 2,5 mg (½ comprimé d'Epril submite) pour les patients d'un poids corporel situé entre 20 kg et <50 kg et de 5 mg pour les patients d'un poids corporel de ≥50 kg.
  • +La posologie doit être choisie en fonction des besoins du patient, un maximum de 20 mg par jour chez les patients d'un poids corporel situé entre 20 et <50 kg et de 40 mg par jour chez les patients d'un poids corporel ≥50 kg ne devant pas être dépassé.
  • +Epril n'est pas recommandé chez les nouveau-nés et les patients pédiatriques présentant un débit de filtration glomérulaire <30 ml/min/1,73 m², étant donné que l'on ne dispose pas de données pour ce groupe de patients.
  • -Il peut arriver que les hypertendus âgés réagissent davantage à lénalapril que les sujets plus jeunes; la posologie initiale ne devra donc généralement pas excéder 10 mg par jour. Il convient de veiller à ce que la posologie soit adaptée à la fonction rénale, car celle-ci est déterminante pour les paramètres pharmacocinétiques dans cette catégorie de malades (voir sous «Posologie lors dinsuffisance rénale»).
  • +Il peut arriver que les hypertendus âgés réagissent davantage à l'énalapril que les sujets plus jeunes; la posologie initiale ne devra donc généralement pas excéder 10 mg par jour. Il convient de veiller à ce que la posologie soit adaptée à la fonction rénale, car celle-ci est déterminante pour les paramètres pharmacocinétiques dans cette catégorie de malades (voir sous «Posologie lors d'insuffisance rénale»).
  • -La tension artérielle et la fonction rénale pouvant réagir de manière particulièrement sensible à linhibition de lECA chez ces patients, le traitement sera instauré avec une dose initiale réduite (p.ex. 5 mg ou moins). Ajuster ensuite la posologie en fonction des besoins du patient. En général, la dose optimale est de 1 comprimé à 20 mg par jour, pris une fois par jour.
  • -Utilisation concomitante de diurétiques dans lhypertension
  • -Une hypotension symptomatique peut apparaître après la dose initiale dEpril, surtout en cas de traitement préexistant aux diurétiques. La prudence est donc de mise du fait de lhypovolémie et de lhyponatrémie potentielles chez ces patients. Cesser ladministration de diurétiques 2 ou 3 jours avant linstauration du traitement à lEpril. A défaut, Epril sera administré à une dose initiale réduite (5 mg ou moins), afin de permettre lévaluation des premières réactions tensionnelles obtenues. La dose dentretien sera ensuite adaptée en fonction des besoins individuels du patient.
  • -Posologie lors dinsuffisance rénale
  • -En général, les prises dénalapril seront espacées et/ou la posologie sera réduite.
  • -Fonction rénale Clearance de Posologie
  • - la créatinine initiale
  • -Insuffisance 31 à 80 ml/min 5 à 10 mg/jour
  • -légère
  • -Insuffisance 11 à 30 ml/min 2,5 à 5 mg/jour
  • -modérée
  • -Insuffisance 10 ml/min ou moins 2,5 mg le jour
  • -marquée de la dialyse*
  • -(patients
  • -généralement
  • -dialysés)**
  • -
  • -* Lénalaprilate est dialysable. Les jours sans dialyse, la dose sera choisie en fonction de la réaction tensionnelle.
  • +La tension artérielle et la fonction rénale pouvant réagir de manière particulièrement sensible à l'inhibition de l'ECA chez ces patients, le traitement sera instauré avec une dose initiale réduite (p.ex. 5 mg ou moins). Ajuster ensuite la posologie en fonction des besoins du patient. En général, la dose optimale est de 1 comprimé à 20 mg par jour, pris une fois par jour.
  • +Utilisation concomitante de diurétiques dans l'hypertension
  • +Une hypotension symptomatique peut apparaître après la dose initiale d'Epril, surtout en cas de traitement préexistant aux diurétiques. La prudence est donc de mise du fait de l'hypovolémie et de l'hyponatrémie potentielles chez ces patients. Cesser l'administration de diurétiques 2 ou 3 jours avant l'instauration du traitement à l'Epril. A défaut, Epril sera administré à une dose initiale réduite (5 mg ou moins), afin de permettre l'évaluation des premières réactions tensionnelles obtenues. La dose d'entretien sera ensuite adaptée en fonction des besoins individuels du patient.
  • +Posologie lors d'insuffisance rénale
  • +En général, les prises d'énalapril seront espacées et/ou la posologie sera réduite.
  • +Fonction rénale Clairance de la créatinine Posologie initiale
  • +Insuffisance légère 31 à 80 ml/min 5 à 10 mg/jour
  • +Insuffisance modérée 11 à 30 ml/min 2,5 à 5 mg/jour
  • +Insuffisance marquée (patients généralement dialysés)** 10 ml/min ou moins 2,5 mg le jour de la dialyse*
  • +
  • +* L'énalaprilate est dialysable. Les jours sans dialyse, la dose sera choisie en fonction de la réaction tensionnelle.
  • -La dose initiale pour les patients souffrant dinsuffisance cardiaque symptomatique ou de dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique sera de 2,5 mg (½ comprimé dEpril submite) et devra être administrée sous surveillance médicale stricte pour permettre de déterminer leffet initial sur la tension. Lors du traitement de linsuffisance cardiaque symptomatique, Epril peut être employé avec des diurétiques ou des digitalines.
  • -Une fois le traitement engagé avec succès, il convient daugmenter les doses en fonction de la réponse du patient, jusquà la dose dentretien usuelle de 20 mg. Celle-ci peut être administrée en une prise journalière unique ou en prises fractionnées. Ladaptation posologique peut être obtenue en lespace de 2 à 4 semaines. Des symptômes résiduels dinsuffisance cardiaque peuvent nécessiter une adaptation posologique plus rapide.
  • +La dose initiale pour les patients souffrant d'insuffisance cardiaque symptomatique ou de dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique sera de 2,5 mg (½ comprimé d'Epril submite) et devra être administrée sous surveillance médicale stricte pour permettre de déterminer l'effet initial sur la tension. Lors du traitement de l'insuffisance cardiaque symptomatique, Epril peut être employé avec des diurétiques ou des digitalines.
  • +Une fois le traitement engagé avec succès, il convient d'augmenter les doses en fonction de la réponse du patient, jusqu'à la dose d'entretien usuelle de 20 mg. Celle-ci peut être administrée en une prise journalière unique ou en prises fractionnées. L'adaptation posologique peut être obtenue en l'espace de 2 à 4 semaines. Des symptômes résiduels d'insuffisance cardiaque peuvent nécessiter une adaptation posologique plus rapide.
  • -La tension artérielle et la fonction rénale devraient être surveillées avant et après le traitement par Epril (voir sous «Mises en garde et précautions»), car des cas dhypotension et (dans de rares cas) des troubles de la fonction rénale qui en ont découlé ont été observés.
  • -Dans la mesure du possible, les doses de diurétique devraient être réduites avant le début du traitement. La survenue dune hypotension après la dose initiale dEpril ne préjuge pas dune réapparition de celle-ci lors dun traitement au long cours par Epril et nempêche pas la poursuite du traitement avec le médicament.
  • +La tension artérielle et la fonction rénale devraient être surveillées avant et après le traitement par Epril (voir sous «Mises en garde et précautions»), car des cas d'hypotension et (dans de rares cas) des troubles de la fonction rénale qui en ont découlé ont été observés.
  • +Dans la mesure du possible, les doses de diurétique devraient être réduites avant le début du traitement. La survenue d'une hypotension après la dose initiale d'Epril ne préjuge pas d'une réapparition de celle-ci lors d'un traitement au long cours par Epril et n'empêche pas la poursuite du traitement avec le médicament.
  • -Epril est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité à lun des composants du médicament, chez les patients souffrant dun angioedème héréditaire ou idiopathique ou chez ceux qui ont développé un oedème angioneurotique lors dun traitement antérieur à un inhibiteur de lECA ou à un antagoniste du récepteur de langiotensine II, ainsi que chez les femmes pendant le deuxième et le troisième trimestre de la grossesse.
  • +Epril est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité à l'un des composants du médicament, chez les patients souffrant d'un angiœdème héréditaire ou idiopathique ou chez ceux qui ont développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur à un inhibiteur de l'ECA ou à un antagoniste du récepteur de l'angiotensine II, ainsi que chez les femmes pendant le deuxième et le troisième trimestre de la grossesse.
  • +L'utilisation concomitante d'Epril et de médicaments contenant de l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients souffrant de diabète ou d'insuffisance rénale (DFG <60 ml/min/1,73 m2).
  • +
  • -De rares cas dhypotension symptomatique ont été observés chez des sujets traités pour une hypertension non compliquée. Cette manifestation survient le plus souvent chez lhypertendu présentant une hypovolémie, associée par exemple à ladministration antérieure de diurétiques, à un régime hyposodé ou à la dialyse, ou encore après des diarrhées et ou des vomissements (voir sous «Interactions» et «Effets indésirables»).
  • -Lhypotension symptomatique nest pas rare en cas dinsuffisance cardiaque associée ou non à une insuffisance rénale. Elle peut sobserver essentiellement en cas dinsuffisance cardiaque sévère (caractérisée par des doses élevées de diurétiques de lanse, une hyponatrémie et une insuffisance rénale fonctionnelle). Chez ces patients, une surveillance médicale étroite simpose lors de linstauration dEpril, en cas dajustement posologique et/ou en cas dutilisation complémentaire de diurétiques.
  • -Il en sera de même chez les patients atteints dune cardiopathie ischémique ou de maladie cérébrovasculaire, chez lesquels une chute tensionnelle excessive peut provoquer un infarctus du myocarde ou une attaque cérébrale.
  • -En cas dhypotension artérielle, le malade restera alité en position horizontale et une compensation volémique peut être requise par voie orale ou sous perfusions intraveineuses de soluté physiologique. En général, ladministration dEpril peut être poursuivie après restitution dune volémie et dune tension artérielle satisfaisantes.
  • -Chez certains insuffisants cardiaques normotendus ou hypotendus, Epril peut induire une réduction supplémentaire de la tension systémique. Cette réaction prévisible ne nécessite généralement pas larrêt du traitement. En cas de symptômes dhypotension, une réduction de la posologie ou larrêt des diurétiques et/ou dEpril peut savérer nécessaire.
  • +De rares cas d'hypotension symptomatique ont été observés chez des sujets traités pour une hypertension non compliquée. Cette manifestation survient le plus souvent chez l'hypertendu présentant une hypovolémie, associée par exemple à l'administration antérieure de diurétiques, à un régime hyposodé ou à la dialyse, ou encore après des diarrhées et ou des vomissements (voir sous «Interactions» et «Effets indésirables»).
  • +L'hypotension symptomatique n'est pas rare en cas d'insuffisance cardiaque associée ou non à une insuffisance rénale. Elle peut s'observer essentiellement en cas d'insuffisance cardiaque sévère (caractérisée par des doses élevées de diurétiques de l'anse, une hyponatrémie et une insuffisance rénale fonctionnelle). Chez ces patients, une surveillance médicale étroite s'impose lors de l'instauration d'Epril, en cas d'ajustement posologique et/ou en cas d'utilisation complémentaire de diurétiques.
  • +Il en sera de même chez les patients atteints d'une cardiopathie ischémique ou de maladie cérébrovasculaire, chez lesquels une chute tensionnelle excessive peut provoquer un infarctus du myocarde ou une attaque cérébrale.
  • +En cas d'hypotension artérielle, le malade restera alité en position horizontale et une compensation volémique peut être requise par voie orale ou sous perfusions intraveineuses de soluté physiologique. En général, l'administration d'Epril peut être poursuivie après restauration d'une volémie et d'une tension artérielle satisfaisantes.
  • +Chez certains insuffisants cardiaques normotendus ou hypotendus, Epril peut induire une réduction supplémentaire de la tension systémique. Cette réaction prévisible ne nécessite généralement pas l'arrêt du traitement. En cas de symptômes d'hypotension, une réduction de la posologie ou l'arrêt des diurétiques et/ou d'Epril peut s'avérer nécessaire.
  • -Comme tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de lECA ne devraient être administrés quavec prudence à des patients présentant une obstruction dans la voie déjection du ventricule gauche.
  • +Comme tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de l'ECA ne devraient être administrés qu'avec prudence à des patients présentant une obstruction dans la voie d'éjection du ventricule gauche.
  • -Chez certains patients atteints dinsuffisance rénale, la survenue dune hypotension sous Epril peut favoriser une aggravation de la fonction rénale. Des cas de défaillance rénale aiguë – généralement réversibles – ont été signalés dans ce contexte.
  • -Chez linsuffisant rénale, une réduction de la posologie et/ou un espacement des prises peuvent être requis (voir sous «Posologie/Mode demploi»). Certains hypertendus dépourvus de signes daffection rénale préexistante et placés sous traitement associant Epril et un diurétique ont présenté une légère élévation généralement transitoire de lurémie et de la créatininémie. La réduction de la posologie et/ou larrêt des diurétiques et/ou dEpril peut savérer nécessaire.
  • +Chez certains patients atteints d'insuffisance cardiaque, la survenue d'une hypotension sous Epril peut favoriser une aggravation de la fonction rénale. Des cas de défaillance rénale aiguë – généralement réversibles – ont été signalés dans ce contexte.
  • +Chez l'insuffisant rénal, une réduction de la posologie et/ou un espacement des prises peuvent être requis (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»). Certains hypertendus dépourvus de signes d'affection rénale préexistante et placés sous traitement associant Epril et un diurétique ont présenté une légère élévation généralement transitoire de l'urémie et de la créatininémie. La réduction de la posologie et/ou l'arrêt des diurétiques et/ou d'Epril peut s'avérer nécessaire.
  • +«Double blocage» du système rénine-angiotensine-aldostérone
  • +Voir sous «Interactions».
  • +
  • -Epril peut être utilisé lorsquune intervention chirurgicale ne peut être envisagée, ou en phase préopératoire. En cas de sténose artérielle rénale bilatérale ou unilatérale, une augmentation du taux sanguin durée et une hypercréatininémie ont été relevées, mais ces réactions se sont avérées réversibles après arrêt du traitement. Ces manifestations sobservent plus particulièrement chez les insuffisants rénaux et sont attribuables au rôle fonctionnel de langiotensine II dans le maintien de la pression de filtration glomérulaire.
  • -Hypersensibilité/oedème de Quincke
  • -Dans de rares cas, les sujets traités par des inhibiteurs de lECA – y compris Epril – ont présenté un oedème de Quincke au niveau du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir également sous «Effets indésirables»). Dans de tels cas, cesser immédiatement ladministration dEpril et placer le patient sous surveillance étroite jusquà disparition de l’oedème. Même en cas d’oedème limité à la langue, sans difficulté respiratoire, une surveillance prolongée simpose, car le traitement aux antihistaminiques et aux corticostéroïdes peuvent s’avérer insuffisants.
  • -Dans de très rares cas, des décès ont été rapportés lors d’oedème angioneurotique accompagné d’un oedème du larynx et de la langue. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, il existe un risque dobstruction des voies respiratoires, en particulier chez les patients ayant subi une opération des voies respiratoires. Lorsque la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il convient de mettre immédiatement en oeuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure linjection sous-cutanée dune solution dadrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures destinées à garantir louverture des voies respiratoires. Le patient doit faire lobjet dune surveillance médicale étroite.
  • -Chez les patients noirs ayant reçu des inhibiteurs de lECA, une incidence plus élevée dangiooedèmes par rapport à des patients non noirs a été rapportée.
  • -Les patients qui présentent dans leur anamnèse un épisode d’oedème de Quincke sans rapport avec un traitement par un inhibiteur de lECA (p.ex. dans le cadre dun traitement à des antagonistes du récepteur de langiotensine II) peuvent être exposés à un risque plus élevé de développer un oedème de Quincke sous traitement par un inhibiteur de lECA (voir aussi sous «Contre-indications»).
  • -Réactions anaphylactiques lors de la désensibilisation au venin dhyménoptères
  • -Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités par des inhibiteurs de lECA pendant une désensibilisation au venin dinsecte. Ces réactions ont pu être prévenues par une interruption provisoire du traitement par linhibiteur de lECA avant la désensibilisation. En outre, dans ces cas, linhibiteur de lECA ne doit en aucun cas être remplacé par un bêtabloquant. Dans de rares cas, une réaction anaphylactique a pu survenir suite à une piqûre dinsecte.
  • +Epril peut être utilisé lorsqu'une intervention chirurgicale ne peut être envisagée, ou en phase préopératoire. En cas de sténose artérielle rénale bilatérale ou unilatérale, une augmentation du taux sanguin d'urée et une hypercréatininémie ont été relevées, mais ces réactions se sont avérées réversibles après arrêt du traitement. Ces manifestations s'observent plus particulièrement chez les insuffisants rénaux et sont attribuables au rôle fonctionnel de l'angiotensine II dans le maintien de la pression de filtration glomérulaire.
  • +Hypersensibilité/œdème de Quincke
  • +Dans de rares cas, les sujets traités par des inhibiteurs de l'ECA – y compris Epril – ont présenté un œdème de Quincke au niveau du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir également sous «Effets indésirables»). Dans de tels cas, cesser immédiatement l'administration d'Epril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de ldème. Même en cas ddème limité à la langue, sans difficulté respiratoire, une surveillance prolongée s'impose, car le traitement aux antihistaminiques et aux corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant.
  • +Dans de très rares cas, des décès ont été rapportés lors ddème angioneurotique accompagné d'un œdème du larynx et de la langue. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, il existe un risque d'obstruction des voies respiratoires, en particulier chez les patients ayant subi une opération des voies respiratoires. Lorsque la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il convient de mettre immédiatement en œuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure l'injection sous-cutanée d'une solution d'adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures destinées à garantir l'ouverture des voies respiratoires. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance médicale étroite.
  • +Chez les patients noirs ayant reçu des inhibiteurs de l'ECA, une incidence plus élevée d'angiœdème par rapport à des patients non noirs a été rapportée.
  • +Les patients qui présentent dans leur anamnèse un épisode ddème de Quincke sans rapport avec un traitement par un inhibiteur de l'ECA (p.ex. dans le cadre d'un traitement à des antagonistes du récepteur de l'angiotensine II) peuvent être exposés à un risque plus élevé de développer un œdème de Quincke sous traitement par un inhibiteur de l'ECA (voir aussi sous «Contre-indications»).
  • +Réactions anaphylactiques lors de la désensibilisation au venin d'hyménoptères
  • +Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités par des inhibiteurs de l'ECA pendant une désensibilisation au venin d'insecte. Ces réactions ont pu être prévenues par une interruption provisoire du traitement par l'inhibiteur de l'ECA avant la désensibilisation. En outre, dans ces cas, l'inhibiteur de l'ECA ne doit en aucun cas être remplacé par un bêtabloquant. Dans de rares cas, une réaction anaphylactique a pu survenir suite à une piqûre d'insecte.
  • -Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités à des inhibiteurs de lECA durant une LDL-aphérèse au sulfate de dextrane. Ces réactions ont pu être évitées par linterruption provisoire du traitement à linhibiteur de lECA avant la LDL-aphérèse.
  • +Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités à des inhibiteurs de l'ECA durant une LDL-aphérèse au sulfate de dextrane. Ces réactions ont pu être évitées par l'interruption provisoire du traitement à l'inhibiteur de l'ECA avant la LDL-aphérèse.
  • -Chez des patients soumis à une dialyse par membranes «High-Flux» (p.ex. AN69®) et traités simultanément par un inhibiteur de lECA, on a pu observer des réactions anaphylactoïdes. Chez ces patients, il convient demployer un autre type de membrane, ou de prendre en considération un antihypertenseur dune autre classe de substance.
  • +Chez des patients soumis à une dialyse par membranes «High-Flux» (p.ex. AN69®) et traités simultanément par un inhibiteur de l'ECA, on a pu observer des réactions anaphylactoïdes. Chez ces patients, il convient d'employer un autre type de membrane, ou de prendre en considération un antihypertenseur d'une autre classe de substance.
  • -On a observé de la toux en relation avec la prise dinhibiteurs de lECA. Cette toux présente la caractéristique dêtre non productive, rebelle, mais réversible à larrêt du traitement. Lors du diagnostic différentiel de la toux, il faut tenir compte dun traitement par inhibiteur de lECA.
  • -Passage des bêtabloquants à lEpril
  • -Ne pas cesser brusquement ladministration de bêtabloquants, mais en réduire progressivement la posologie par titrage après linstauration du traitement à lEpril (se conformer à linformation professionnelle concernant les médicaments du bêtabloquant en question).
  • +On a observé de la toux en relation avec la prise d'inhibiteurs de l'ECA. Cette toux présente la caractéristique d'être non productive, rebelle, mais réversible à l'arrêt du traitement. Lors du diagnostic différentiel de la toux, il faut tenir compte d'un traitement par inhibiteur de l'ECA.
  • +Passage des bêtabloquants à l'Epril
  • +Ne pas cesser brusquement l'administration de bêtabloquants, mais en réduire progressivement la posologie par titrage après l'instauration du traitement à l'Epril (se conformer à l'information professionnelle concernant le bêtabloquant en question).
  • -Lors dinterventions chirurgicales majeures ou en cas dutilisation danesthésiques potentiellement hypotenseurs, Epril bloque la formation dangiotensine II, compensant secondairement la libération de rénine. Une expansion volémique permet de remédier à une baisse tensionnelle attribuée à ce mécanisme.
  • +Lors d'interventions chirurgicales majeures ou en cas d'utilisation d'anesthésiques potentiellement hypotenseurs, Epril bloque la formation d'angiotensine II, compensant secondairement la libération de rénine. Une expansion volémique permet de remédier à une baisse tensionnelle attribuée à ce mécanisme.
  • -Les facteurs de risque pour le développement dune hyperkaliémie englobent linsuffisance rénale, le diabète et lutilisation concomitante de diurétiques épargneurs de potassium (par exemple spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium (voir «Interactions»).
  • -La prise de suppléments de potassium, de principes actifs épargneurs de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium peut, en particulier chez les patients insuffisants rénaux, provoquer une élévation significative du taux sérique de potassium. Lhyperkaliémie peut entraîner des arythmies sérieuses, parfois mortelles.
  • -Si lutilisation dEpril en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Interactions» – «Potassium sérique»).
  • +Les facteurs de risque pour le développement d'une hyperkaliémie englobent l'insuffisance rénale, le diabète et l'utilisation concomitante de diurétiques épargneurs de potassium (par exemple spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium (voir «Interactions»).
  • +La prise de suppléments de potassium, de principes actifs épargneurs de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium peut, en particulier chez les patients insuffisants rénaux, provoquer une élévation significative du taux sérique de potassium. L'hyperkaliémie peut entraîner des arythmies sérieuses, parfois mortelles.
  • +Si l'utilisation d'Epril en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Interactions» – «Potassium sérique»).
  • -Les patients diabétiques qui sont traités avec des antidiabétiques oraux ou avec linsuline et chez lesquels un nouveau traitement avec un inhibiteur de lECA est instauré seront informés quils doivent contrôler très strictement leur glycémie pour éviter une hypoglycémie, en particulier au cours des premiers mois dutilisation concomitante (voir également sous «Interactions» – «Antidiabétiques»).
  • +Les patients diabétiques qui sont traités avec des antidiabétiques oraux ou avec l'insuline et chez lesquels un nouveau traitement avec un inhibiteur de l'ECA est instauré seront informés qu'ils doivent contrôler très strictement leur glycémie pour éviter une hypoglycémie, en particulier au cours des premiers mois d'utilisation concomitante (voir également sous «Interactions» – «Antidiabétiques»).
  • -On ne dispose que dexpériences limitées relatives à lefficacité et à la sécurité chez les enfants hypertendus de plus de 6 ans. On ne dispose daucune expérience pour dautres indications chez les enfants. Des données pharmacocinétiques limitées sont disponibles pour les enfants dès 2 mois (voir également sous «Posologie/Mode demploi», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»). Epril nest pas recommandé chez les enfants pour dautres indications que lhypertension artérielle.
  • -Vu labsence de données, les comprimés dEpril ne sont pas recommandés chez les nouveau-nés et les enfants qui présentent un taux de filtration glomérulaire <30 ml/min/1,73 m² (voir également sous «Posologie/Mode demploi»).
  • +On ne dispose que d'expériences limitées relatives à l'efficacité et à la sécurité chez les enfants hypertendus de plus de 6 ans. On ne dispose d'aucune expérience pour d'autres indications chez les enfants. Des données pharmacocinétiques limitées sont disponibles pour les enfants dès 2 mois (voir également sous «Posologie/Mode d'emploi», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»). Epril n'est pas recommandé chez les enfants pour d'autres indications que l'hypertension artérielle.
  • +Vu l'absence de données, les comprimés d'Epril ne sont pas recommandés chez les nouveau-nés et les enfants qui présentent un taux de filtration glomérulaire <30 ml/min/1,73 m² (voir également sous «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Ladministration concomitante dEpril et dautres antihypertenseurs peut entraîner une action hypotensive accrue; les diurétiques sont plus particulièrement concernés.
  • -Il a été établi que lassociation dEpril avec des bêtabloquants, la méthyldopa ou des antagonistes de calcium renforcent l’action antihypertensive dEpril.
  • -Ladministration simultanée dEpril et de suppléments potassiques ou de diurétiques dépargne potassique (p.ex. spironolactone, triamtérène ou amiloride) peut favoriser une élévation significative de la kaliémie, notamment chez les patients atteints dinsuffisance rénale (voir sous «Potassium sérique»).
  • +L'administration concomitante d'Epril et d'autres antihypertenseurs peut entraîner une action hypotensive accrue; les diurétiques sont plus particulièrement concernés.
  • +Il a été établi que l'association d'Epril avec des bêtabloquants, la méthyldopa ou des antagonistes de calcium renforce l'action antihypertensive d'Epril.
  • +L'administration simultanée d'Epril et de suppléments potassiques ou de diurétiques d'épargne potassique (p.ex. spironolactone, triamtérène ou amiloride) peut favoriser une élévation significative de la kaliémie, notamment chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir sous «Potassium sérique»).
  • -Lors des études cliniques, la kaliémie est restée généralement dans la norme. Une élévation moyenne de 0,2 mmol/l de la kaliémie a été observée chez certains patients hypertendus traités sous Epril seul pendant une période atteignant 48 semaines. Ladministration simultanée dun diurétique thiazidique na pratiquement pas influencé la kaliémie.
  • -LorsquEpril est administré en même temps quun diurétique hypokaliémiant, lhypokaliémie provoquée par le diurétique est réduite.
  • -Les facteurs de risque ci-après favorisent le développement dune hyperkaliémie: insuffisance rénale, diabète sucré et administration simultanée de diurétiques épargneurs de potassium (p.ex. spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments potassiques ou de sels diététiques contenant du potassium.
  • -Ces médicaments et substances ne seront pris en même temps quEpril quavec prudence et avec des contrôles fréquents de la kaliémie, en particulier chez linsuffisant rénal (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hyperkaliémie»).
  • +Lors des études cliniques, la kaliémie est restée généralement dans la norme. Une élévation moyenne de 0,2 mmol/l de la kaliémie a été observée chez certains patients hypertendus traités sous Epril seul pendant une période atteignant 48 semaines. L'administration simultanée d'un diurétique thiazidique n'a pratiquement pas influencé la kaliémie.
  • +Lorsqu'Epril est administré en même temps qu'un diurétique hypokaliémiant, l'hypokaliémie provoquée par le diurétique est réduite.
  • +Les facteurs de risque ci-après favorisent le développement d'une hyperkaliémie: insuffisance rénale, diabète sucré et administration simultanée de diurétiques épargneurs de potassium (p.ex. spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments potassiques ou de sels diététiques contenant du potassium.
  • +Ces médicaments et substances ne seront pris en même temps qu'Epril qu'avec prudence et avec des contrôles fréquents de la kaliémie, en particulier chez l'insuffisant rénal (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hyperkaliémie»).
  • -Des études épidémiologiques ont suggéré que lutilisation concomitante dinhibiteurs de lECA et de médicaments antidiabétiques (insulines ou hypoglycémiants oraux) peut provoquer une réduction accrue de la glycémie avec risque dhypoglycémie. Ce phénomène semble se produire plus souvent dans les premières semaines du traitement concomitant ainsi que chez les patients insuffisants rénaux. Chez les patients diabétiques traités aux antidiabétiques oraux ou à linsuline, la glycémie doit être contrôlée de près pour détecter une éventuelle hypoglycémie, surtout pendant les premiers mois de traitement avec un inhibiteur de lECA (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hypoglycémie»).
  • +Des études épidémiologiques ont suggéré que l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'ECA et de médicaments antidiabétiques (insulines ou hypoglycémiants oraux) peut provoquer une réduction accrue de la glycémie avec risque d'hypoglycémie. Ce phénomène semble se produire plus souvent dans les premières semaines du traitement concomitant ainsi que chez les patients insuffisants rénaux. Chez les patients diabétiques traités aux antidiabétiques oraux ou à l'insuline, la glycémie doit être contrôlée de près pour détecter une éventuelle hypoglycémie, surtout pendant les premiers mois de traitement avec un inhibiteur de l'ECA (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hypoglycémie»).
  • -Comme dans le cas dautres médicaments qui favorisent une élimination du sodium, lélimination du lithium peut se trouver réduite. Par conséquent, les taux de lithium doivent être soigneusement surveillés dans le cas dun traitement aux sels de lithium.
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2
  • -Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxagénase-2 (inhibiteurs de la COX-2) peuvent réduire leffet des diurétiques et dautres médicaments antihypertenseurs. Cest pourquoi leffet antihypertenseur des inhibiteurs de lECA peut être réduit par des AINS, y compris par des inhibiteurs de la COX-2.
  • -Chez certains patients présentant une fonction rénale diminuée (par exemple patients âgés ou hypovolémiques, y compris patients sous diurétiques) qui sont traités aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris avec des inhibiteurs de la cyclooxygénase-2, ladministration simultanée dantagonistes des récepteurs de langiotensine II ou dinhibiteurs de lECA peut provoquer une péjoration supplémentaire de la fonction rénale. Ces effets sont habituellement réversibles.
  • +Comme dans le cas d'autres médicaments qui favorisent une élimination du sodium, l'élimination du lithium peut se trouver réduite. Par conséquent, les taux de lithium doivent être soigneusement surveillés dans le cas d'un traitement aux sels de lithium.
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2
  • +Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 (inhibiteurs de la COX-2) peuvent réduire l'effet des diurétiques et d'autres médicaments antihypertenseurs. C'est pourquoi l'effet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou des inhibiteurs de l'ECA peut être réduit par des AINS, y compris par des inhibiteurs de la COX-2.
  • +Chez certains patients présentant une fonction rénale diminuée (par exemple patients âgés ou hypovolémiques, y compris patients sous diurétiques) qui sont traités aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris avec des inhibiteurs de la cyclo-oxygénase-2, l'administration simultanée d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou d'inhibiteurs de l'ECA peut provoquer une péjoration supplémentaire de la fonction rénale pouvant aller jusqu'à une éventuelle défaillance rénale aiguë. Ces effets sont habituellement réversibles. Par conséquent, ces traitements seront associés avec prudence chez des patients présentant une fonction rénale diminuée.
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
  • +Il existe des données indiquant que l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de l'aliskirène augmente le risque d'hypotension, d'hyperkaliémie et de diminution de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aiguë). C'est pour cette raison qu'un double blocage du SRAA par l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de l'aliskirène n'est pas recommandé.
  • +Si le traitement par double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit avoir lieu exclusivement sous la supervision d'un spécialiste et sous contrôle étroit de la fonction rénale, des valeurs électrolytiques et de la pression artérielle.
  • +Les inhibiteurs de l'ECA et les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ne doivent pas être utilisés simultanément chez des patients souffrant de néphropathie diabétique.
  • -On a rapporté dans de rares cas des réactions nitritoïdes (avec des symptômes englobant un rougissement du visage, des nausées, des vomissements et une hypotension) chez des patients traités à la fois avec une solution dor injectable (aurothiomalate sodique) et un inhibiteur de lECA, énalapril compris.
  • +On a rapporté dans de rares cas des réactions nitritoïdes (avec des symptômes englobant un rougissement du visage, des nausées, des vomissements et une hypotension) chez des patients traités à la fois avec une solution d'or injectable (aurothiomalate sodique) et un inhibiteur de l'ECA, énalapril compris.
  • -Il existe des indices laissant clairement supposer lexistence de risques pour le foetus humain. Cest pourquoi Epril ne doit pas être utilisé durant la grossesse. Si une grossesse est constatée, le traitement avec Epril doit être interrompu, sauf sil est considéré comme vital pour la mère. Chez les femmes qui pourraient tomber enceintes, une contraception fiable doit être utilisée.
  • -Une étude épidémiologique rétrospective publiée suggère que les enfants dont la mère a été traitée avec un inhibiteur de lECA pendant le premier trimestre de la grossesse ont un risque accru (risque relatif = 2,71, intervalle de confiance à 95% 1,72 à 4,27) de présenter des malformations congénitales sévères en comparaison avec les enfants dont la mère na pas été exposée aux inhibiteurs de lECA pendant le premier trimestre de la grossesse. Le nombre des cas de malformations est faible et les résultats de cette étude nont pas pu être répétés jusquà présent.
  • -Les inhibiteurs de lECA sont en mesure de provoquer une morbidité et une mortalité foetale et néonatale lorsquils sont administrés au cours du deuxième ou du troisième trimestre.
  • -Lemploi dinhibiteurs de lECA au cours du deuxième et du troisième trimestre a été associé à des lésions foetales et néonatales, y compris hypotension artérielle, défaillance rénale, hyperkaliémie et/ou hypoplasie crânienne chez le nouveau-né.
  • -On a rapporté chez la mère des cas doligohydramnios, qui étaient vraisemblablement liés à une fonction rénale foetale diminuée et susceptibles dentraîner des contractures de la musculature des membres, de même que des malformations cranio-faciales et des hypoplasies pulmonaires. Dans quelques cas exceptionnels, dans lesquels le spécialiste évalue tout de même lemploi dun inhibiteur de lECA au cours dune grossesse (en raison du fait que dautres substances ont insuffisamment agi ou sont contre-indiquées), il convient dinformer la patiente des dangers potentiels que court le foetus.
  • -Dans les très rares cas où lemploi des inhibiteurs de lECA pendant la grossesse est inévitable, il conviendrait de procéder, à intervalles réguliers, à des examens par ultrasons, afin de déceler des altérations intra-amniotiques.
  • +Il existe des indices laissant clairement supposer l'existence de risques pour le fœtus humain. C'est pourquoi Epril ne doit pas être utilisé durant la grossesse. Si une grossesse est constatée, le traitement avec Epril doit être interrompu, sauf s'il est considéré comme vital pour la mère. Chez les femmes qui pourraient tomber enceintes, une contraception fiable doit être utilisée.
  • +Une étude épidémiologique rétrospective publiée suggère que les enfants dont la mère a été traitée avec un inhibiteur de l'ECA pendant le premier trimestre de la grossesse ont un risque accru (risque relatif = 2,71, intervalle de confiance à 95% 1,72 à 4,27) de présenter des malformations congénitales sévères en comparaison avec les enfants dont la mère n'a pas été exposée aux inhibiteurs de l'ECA pendant le premier trimestre de la grossesse. Le nombre des cas de malformations est faible et les résultats de cette étude n'ont pas pu être répétés jusqu'à présent.
  • +Les inhibiteurs de l'ECA sont en mesure de provoquer une morbidité et une mortalité fœtale et néonatale lorsqu'ils sont administrés au cours du deuxième ou du troisième trimestre.
  • +L'emploi d'inhibiteurs de l'ECA au cours du deuxième et du troisième trimestre a été associé à des lésions fœtales et néonatales, y compris hypotension artérielle, défaillance rénale, hyperkaliémie et/ou hypoplasie crânienne chez le nouveau-né.
  • +On a rapporté chez la mère des cas d'oligohydramnios, qui étaient vraisemblablement liés à une fonction rénale fœtale diminuée et susceptibles d'entraîner des contractures de la musculature des membres, de même que des malformations cranio-faciales et des hypoplasies pulmonaires. Dans quelques cas exceptionnels, dans lesquels le spécialiste évalue tout de même l'emploi d'un inhibiteur de l'ECA au cours d'une grossesse (en raison du fait que d'autres substances ont insuffisamment agi ou sont contre-indiquées), il convient d'informer la patiente des dangers potentiels que court le fœtus.
  • +Dans les très rares cas où l'emploi des inhibiteurs de l'ECA pendant la grossesse est inévitable, il conviendrait de procéder, à intervalles réguliers, à des examens par ultrasons, afin de déceler des altérations intra-amniotiques.
  • -Toutefois, le médecin et la patiente devraient être conscients du fait quun oligohydramnios peut survenir alors que le foetus a déjà subi des lésions irréversibles.
  • +Toutefois, le médecin et la patiente devraient être conscients du fait qu'un oligohydramnios peut survenir alors que le fœtus a déjà subi des lésions irréversibles.
  • -Etant donné quEpril passe la barrière placentaire, on a pu, dans certains cas, grâce à la dialyse péritonéale, léliminer avec succès du système circulatoire du nouveau-né. Théoriquement ceci pourrait également être réalisé par exsanguino-transfusion.
  • -Lénalapril et lénalaprilate sont éliminés en très faibles quantités par le lait maternel. Il convient dêtre prudent en matière de prescription dEpril à des mères qui allaitent.
  • +Etant donné qu'Epril passe la barrière placentaire, on a pu, dans certains cas, grâce à la dialyse péritonéale, l'éliminer avec succès du système circulatoire du nouveau-né. Théoriquement ceci pourrait également être réalisé par exsanguino-transfusion.
  • +L'énalapril et l'énalaprilate sont éliminés en très faibles quantités par le lait maternel. Il convient d'être prudent en matière de prescription d'Epril à des mères qui allaitent.
  • -La réponse individuelle au médicament peut varier dune personne à lautre. Certains effets indésirables rapportés avec Epril peuvent influencer la capacité de conduire des véhicules ou dutiliser des machines (voir sous «Effets Indésirables»), surtout au début du traitement et lors dune consommation dalcool.
  • +La réponse individuelle au médicament peut varier d'une personne à l'autre. Certains effets indésirables rapportés avec Epril peuvent influencer la capacité de conduire des véhicules ou d'utiliser des machines (voir sous «Effets Indésirables»), surtout au début du traitement et lors d'une consommation d'alcool.
  • -Les effets indésirables ci-après ont été observés durant des études cliniques contrôlées ou après lintroduction du médicament sur le marché:
  • -(Très fréquent [≥1/10], fréquent [≥1/100, <1/10], peu fréquent [≥1/1000, <1/100], rare [≥1/10000, <1/1000] et très rare [<1/10000], y compris des cas isolés rapportés).
  • -* Si lon considère lensemble des expériences faites dans des études cliniques sur lénalapril (ce qui inclut les «SOLVD Treatment and Prevention Trials» auprès de patients présentant une dysfonction significative du ventricule gauche), les effets indésirables «très fréquents» englobent des vertiges (30,6%), une vision floue (12,6%), de la toux (20,4%), des nausées (12,6%) et une asthénie (31,4%). Dans les études auprès de patients hypertendus, lincidence est cependant nettement plus faible: peu fréquent: vision floue (0,17%); fréquent: vertiges (4,3%), toux (1,3%), envies de vomir (1,4%) et fatigue/asthénie (3,0%).
  • +Les effets indésirables ci-après ont été observés durant des études cliniques contrôlées ou après l'introduction du médicament sur le marché:
  • +(très fréquents [≥1/10], fréquents [≥1/100, <1/10], occasionnels [≥1/1'000, <1/100], rares [≥1/10'000, <1/1'000] et très rares [<1/10'000], y compris des cas isolés rapportés).
  • +* Si l'on considère l'ensemble des expériences faites dans des études cliniques sur l'énalapril (ce qui inclut les «SOLVD Treatment and Prevention Trials» auprès de patients présentant une dysfonction significative du ventricule gauche), les effets indésirables «très fréquents» englobent des vertiges (30,6%), une vision floue (12,6%), de la toux (20,4%), des nausées (12,6%) et une asthénie (31,4%). Dans les études auprès de patients hypertendus, l'incidence est cependant nettement plus faible: occasionnels: vision floue (0,17%); fréquents: vertiges (4,3%), toux (1,3%), envies de vomir (1,4%) et fatigue/asthénie (3,0%).
  • -Rare: neutropénie, diminutions de lhémoglobine, baisse de lhématocrite, thrombocytopénie, agranulocytose, dépression de la moelle osseuse.
  • +Rares: neutropénie, diminutions de l'hémoglobine, baisse de l'hématocrite, thrombocytopénie, agranulocytose, dépression de la moelle osseuse.
  • -Très rare: syndrome de sécrétion inappropriée dhormone antidiurétique (SIADH).
  • +Très rares: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH).
  • -Peu fréquent: cas dhypoglycémie chez des patients diabétiques traités aux antidiabétiques ou à linsuline.
  • +Occasionnels: cas d'hypoglycémie chez des patients diabétiques traités aux antidiabétiques ou à l'insuline.
  • -Très fréquent: vertiges (30,6%)*.
  • -Fréquent: maux de tête, dépression, syncope, altérations du goût.
  • -Peu fréquent: confusion mentale, somnolence, insomnie, nervosité, paresthésies, vertiges, diminution de la libido.
  • -Rare: rêves anormaux.
  • +Très fréquents: vertiges (30,6%)*.
  • +Fréquents: maux de tête, dépression, syncope, altérations du goût.
  • +Occasionnels: confusion mentale, somnolence, insomnie, nervosité, paresthésies, vertiges, diminution de la libido.
  • +Rares: rêves anormaux.
  • -Très fréquent: troubles de la vision (vision floue) (12,6%)*.
  • -Troubles de loreille et du conduit auditif
  • -Peu fréquent: tinnitus.
  • +Très fréquents: troubles de la vision (vision floue) (12,6%)*.
  • +Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Occasionnels: tinnitus.
  • -Fréquent: hypotension y compris hypotension orthostatique, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral, possiblement comme conséquence dune hypotension artérielle excessive chez des patients à haut risque (voir sous «Mises en garde et précautions»), douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, angine de poitrine.
  • -Peu fréquent: hypotension orthostatique, palpitations, rougissement.
  • -Rare: syndrome de Raynaud.
  • +Fréquents: hypotension y compris hypotension orthostatique, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral, possiblement comme conséquence d'une hypotension artérielle excessive chez des patients à haut risque (voir sous «Mises en garde et précautions»), douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, angine de poitrine.
  • +Occasionnels: hypotension orthostatique, palpitations, rougissement.
  • +Rares: syndrome de Raynaud.
  • -Très fréquent: toux (20,4%)*.
  • -Fréquent: dyspnée, pneumonie.
  • -Peu fréquent: rhinorrhée, inflammation de la gorge et enrouement, bronchospasmes/asthme, bronchite.
  • -Rare: infiltrations pulmonaires.
  • +Très fréquents: toux (20,4%)*.
  • +Fréquents: dyspnée, pneumonie.
  • +Occasionnels: rhinorrhée, inflammation de la gorge et enrouement, bronchospasmes/asthme, bronchite.
  • +Rares: infiltrations pulmonaires.
  • -Très fréquent: envies de vomir (12,6%)*.
  • -Fréquent: diarrhée, douleurs abdominales.
  • -Peu fréquent: iléus, pancréatite, vomissements, dyspepsie, constipation, anorexie, sécheresse buccale.
  • -Rare: stomatite, glossite.
  • -Dans de très rares cas, un angiooedème intestinal associé à des inhibiteurs de l’ECA y compris lénalapril a été rapporté.
  • +Très fréquents: envies de vomir (12,6%)*.
  • +Fréquents: diarrhée, douleurs abdominales.
  • +Occasionnels: iléus, pancréatite, vomissements, dyspepsie, constipation, anorexie, sécheresse buccale.
  • +Rares: stomatite, glossite.
  • +Dans de très rares cas, un angiœdème intestinal associé à des inhibiteurs de l'ECA, y compris l'énalapril, a été rapporté.
  • -Rare: défaillance hépatique, hépatite hépatocellulaire ou cholestatique, jaunisse.
  • +Rares: défaillance hépatique, hépatite hépatocellulaire ou cholestatique, jaunisse.
  • -Fréquent: hypersensibilité, oedème angioneurotique.
  • -Les sujets traités à des inhibiteurs de lECA – y compris Epril – ont présenté un oedème de Quincke au niveau du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir sous «Mises en garde et précautions»). Dans de tels cas, cesser immédiatement ladministration dEpril et placer le patient sous surveillance étroite jusquà disparition de l’oedème. En cas d’oedème limité au visage et aux lèvres, létat se normalise généralement sans traitement. Toutefois, les antihistaminiques se sont souvent révélés utiles pour soulager les symptômes.
  • -Un oedème angioneurotique accompagné d’un oedème du larynx peut mettre en jeu le pronostic vital. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, ce qui comporte un risque dobstruction des voies respiratoires, il convient de mettre immédiatement en oeuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure linjection sous-cutanée dune solution dadrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures destinées à garantir louverture des voies respiratoires.
  • -Peu fréquent: diaphorèse, hyperhydrose, prurit, urticaire, alopécie.
  • -Rare: érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, dermatite exfoliative, nécrolyse épidermique toxique, pemphigus.
  • -Un ensemble de symptômes, pouvant comprendre certains ou tous les symptômes suivants: fièvre, sérosité, vasculite, myalgie/myosite, arthralgie/arthrite, anticorps antinucléaires positifs, hausse de la sédimentation des érythrocytes, éosinophilie et leucocytose, a été décrit. Des éruptions cutanées, une sensibilité à la lumière ou dautres manifestations dermatologiques peuvent apparaître en même temps.
  • +Fréquents: hypersensibilité, œdème angioneurotique.
  • +Les sujets traités à des inhibiteurs de l'ECA – y compris Epril – ont présenté un œdème de Quincke au niveau du visage, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir sous «Mises en garde et précautions»). Dans de tels cas, cesser immédiatement l'administration d'Epril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de ldème. En cas ddème limité au visage et aux lèvres, l'état se normalise généralement sans traitement. Toutefois, les antihistaminiques se sont souvent révélés utiles pour soulager les symptômes.
  • +Un œdème angioneurotique accompagné d'un œdème du larynx peut mettre en jeu le pronostic vital. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, ce qui comporte un risque d'obstruction des voies respiratoires, il convient de mettre immédiatement en œuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure l'injection sous-cutanée d'une solution d'adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures destinées à garantir l'ouverture des voies respiratoires.
  • +Occasionnels: diaphorèse, hyperhidrose, prurit, urticaire, alopécie.
  • +Rares: érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, dermatite exfoliative, nécrolyse épidermique toxique, pemphigus.
  • +Un ensemble de symptômes, pouvant comprendre certains ou tous les symptômes suivants: fièvre, sérosité, vasculite, myalgie/myosite, arthralgie/arthrite, anticorps antinucléaires positifs, hausse de la sédimentation des érythrocytes, éosinophilie et leucocytose, a été décrit. Des éruptions cutanées, une sensibilité à la lumière ou d'autres manifestations dermatologiques peuvent apparaître en même temps.
  • -Peu fréquent: crampes musculaires.
  • +Occasionnels: crampes musculaires.
  • -Peu fréquent: troubles de la fonction rénale, défaillance rénale.
  • -Rare: oligurie.
  • +Occasionnels: troubles de la fonction rénale, défaillance rénale.
  • +Rares: oligurie.
  • -Peu fréquent: impuissance.
  • +Occasionnels: impuissance.
  • -Très fréquent: asthénie (31,4%)*.
  • -Fréquent: fatigue.
  • +Très fréquents: asthénie (31,4%)*.
  • +Fréquents: fatigue.
  • -Fréquent: hyperkaliémie, élévation de la créatinine sérique.
  • -Peu fréquent: élévations de lurée sanguine, hyponatrémie.
  • -Rare: élévations des enzymes hépatiques, augmentations de la bilirubine sérique.
  • +Fréquents: hyperkaliémie, élévation de la créatinine sérique.
  • +Occasionnels: élévations de l'urée sanguine, hyponatrémie.
  • +Rares: élévations des enzymes hépatiques, augmentations de la bilirubine sérique.
  • -Les cas rapportés de surdosage dEpril chez lhomme sont rares. Les réactions les plus marquées ont consisté en une hypotension prononcée, résultant du blocage du système RAA près de 6 heures après lingestion des comprimés, et un état de stupeur.
  • -Des cas délévation du taux sérique dénalaprilate 100 à 200 fois supérieure à la norme thérapeutique ont été observés après ingestion de doses de 300 mg et 440 mg dénalapril.
  • -En cas de surdosage, on conseille de placer le patient sous perfusion intraveineuse de soluté physiologique. Si disponible, une perfusion dangiotensine II peut être utile. Si lingestion est récente, un émétique doit permettre dobtenir des résultats efficaces. Lénalaprilate peut être éliminé de la circulation par hémodialyse (voir sous «Mises en garde et précautions» – «Patients sous hémodialyse»).
  • +Les cas rapportés de surdosage d'Epril chez l'homme sont rares. Les réactions les plus marquées ont consisté en une hypotension prononcée, résultant du blocage du système RAA près de 6 heures après l'ingestion des comprimés, et un état de stupeur.
  • +Des cas d'élévation du taux sérique d'énalaprilate 100 à 200 fois supérieure à la norme thérapeutique ont été observés après ingestion de doses de 300 mg et 440 mg d'énalapril.
  • +En cas de surdosage, on conseille de placer le patient sous perfusion intraveineuse de soluté physiologique. Si disponible, une perfusion d'angiotensine II peut être utile. Si l'ingestion est récente, un émétique doit permettre d'obtenir des résultats efficaces. L'énalaprilate peut être éliminé de la circulation par hémodialyse (voir sous «Mises en garde et précautions» – «Patients sous hémodialyse»).
  • -Epril (maléate dénalapril) est le sel maléate de lénalapril, un dérivé de deux acides aminés, la L-alanine et la L-proline. Lénalapril est rapidement absorbé après administration orale et est hydrolysé en énalaprilate, un inhibiteur spécifique de lECA (enzyme de conversion de langiotensine), de longue durée daction, dépourvu de sulfhydryle.
  • +Epril (maléate d'énalapril) est le sel maléate de l'énalapril, un dérivé de deux acides aminés, la L-alanine et la L-proline. L'énalapril est rapidement absorbé après administration orale et est hydrolysé en énalaprilate, un inhibiteur spécifique de l'ECA (enzyme de conversion de l'angiotensine), de longue durée d'action, dépourvu de sulfhydryle.
  • -En général, Epril administré seul agit efficacement dans lhypertension de tout degré de gravité. Si laction antihypertensive savère insuffisante, lon peut associer à lEpril un diurétique et/ou un bêtabloquant. Il a été démontré que le risque dhypokaliémie et dhyperuricémie inhérent aux dérivés thiazidiques est minime sous Epril.
  • +En général, Epril administré seul agit efficacement dans l'hypertension de tout degré de gravité. Si l'action antihypertensive s'avère insuffisante, l'on peut associer à l'Epril un diurétique et/ou un bêtabloquant. Il a été démontré que le risque d'hypokaliémie et d'hyperuricémie inhérent aux dérivés thiazidiques est minime sous Epril.
  • -Epril déploie son activité dans lheure qui suit ladministration et son action persiste généralement pendant 24 heures.
  • +Epril déploie son activité dans l'heure qui suit l'administration et son action persiste généralement pendant 24 heures.
  • -Epril soulage la précharge et la postcharge, doù un rendement accru de la pompe cardiaque et un ralentissement de la fréquence (qui est généralement augmentée dans linsuffisance cardiaque). Une hypotension artérielle ne peut être exclue, notamment en début de traitement (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Le seuil de tolérance à leffort est souvent amélioré, permettant au patient un meilleur rendement au quotidien.
  • -Leffet du énalapril a été examiné chez 6797 patients souffrant dune dysfonction ventriculaire gauche (SOLVD) au cours dune étude multicentrique menée en double aveugle, incluant un groupe placebo.
  • -Un total de 2569 patients présentant tous les degrés dune insuffisance cardiaque symptomatique (le plus souvent sous forme légère ou moyenne, classes II et III selon les critères de la NYHA) ont été inclus après randomisation dans le «bras traité», et 4228 patients présentant une dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique, dans le «bras de prévention». Si lon combine les résultats des deux bras, on observe une diminution globale du risque de développement daccidents ischémiques majeurs. Enalapril a entraîné une baisse de lincidence des infarctus du myocarde, ainsi que du nombre dhospitalisations pour angine de poitrine instable, chez tous les patients atteints dune dysfonction ventriculaire gauche.
  • -Par ailleurs, dans le «bras de prévention», lénalapril a prévenu, de façon significative, le développement dune insuffisance cardiaque symptomatique, et a diminué le nombre dhospitalisations pour insuffisance cardiaque.
  • -Dans le «bras traité», lénalapril administré comme adjuvant à la thérapie conventionnelle a réduit significativement la mortalité, ainsi que le nombre dhospitalisations par suite dinsuffisance cardiaque, et amélioré le statut des patients selon la classification de la NYHA.
  • -Dans une étude semblable (CONSENSUS Trial) ayant inclus 253 patients présentant une insuffisance cardiaque grave (NYHA classe IV), énalapril en association avec la thérapie conventionnelle a entraîné une réduction significative de la mortalité et une amélioration visible des symptômes.
  • +Epril soulage la précharge et la postcharge, d'où un rendement accru de la pompe cardiaque et un ralentissement de la fréquence (qui est généralement augmentée dans l'insuffisance cardiaque). Une hypotension artérielle ne peut être exclue, notamment en début de traitement (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Le seuil de tolérance à l'effort est souvent amélioré, permettant au patient un meilleur rendement au quotidien.
  • +L'effet du énalapril a été examiné chez 6'797 patients souffrant d'une dysfonction ventriculaire gauche (SOLVD) au cours d'une étude multicentrique menée en double aveugle, incluant un groupe sous placebo.
  • +Un total de 2'569 patients présentant tous les degrés d'une insuffisance cardiaque symptomatique (le plus souvent sous forme légère ou moyenne, classes II et III selon les critères de la NYHA) ont été inclus après randomisation dans le «bras traité», et 4'228 patients présentant une dysfonction ventriculaire gauche asymptomatique, dans le «bras de prévention». Si l'on combine les résultats des deux bras, on observe une diminution globale du risque de développement d'accidents ischémiques majeurs. Enalapril a entraîné une baisse de l'incidence des infarctus du myocarde, ainsi que du nombre d'hospitalisations pour angine de poitrine instable, chez tous les patients atteints d'une dysfonction ventriculaire gauche.
  • +Par ailleurs, dans le «bras de prévention», l'énalapril a prévenu, de façon significative, le développement d'une insuffisance cardiaque symptomatique, et a diminué le nombre d'hospitalisations pour insuffisance cardiaque.
  • +Dans le «bras traité», l'énalapril administré comme adjuvant à la thérapie conventionnelle a réduit significativement la mortalité, ainsi que le nombre d'hospitalisations par suite d'insuffisance cardiaque, et amélioré le statut des patients selon la classification de la NYHA.
  • +Dans une étude semblable (CONSENSUS Trial) ayant inclus 253 patients présentant une insuffisance cardiaque grave (NYHA classe IV), énalapril en association avec la thérapie conventionnelle a entraîné une réduction significative de la mortalité et une amélioration des symptômes.
  • -Au cours dune étude clinique ayant inclus 110 patients hypertendus âgés entre 6 et 16 ans, les patients dun poids inférieur à 50 kilos ont reçu soit 0,625, 2,5 ou 20 mg dénalapril par jour, et les patients dun poids ≥50 kg ont reçu soit 1,25, 5 ou 40 mg dénalapril par jour. Dans la fourchette des doses entre 2,5 et 20 mg et entre 5 mg et 40 mg, un effet antihypertenseur suffisant a été obtenu, alors quà des doses de 0,625 et de 1,25 mg, aucun effet consistant na été noté. La dose maximale examinée était de 0,58 mg/kg (jusquà 40 mg) une fois par jour.
  • +Au cours d'une étude clinique ayant inclus 110 patients hypertendus âgés entre 6 et 16 ans, les patients d'un poids inférieur à 50 kilos ont reçu soit 0,625, 2,5 ou 20 mg d'énalapril par jour, et les patients d'un poids ≥50 kg ont reçu soit 1,25, 5 ou 40 mg d'énalapril par jour. Dans la fourchette des doses entre 2,5 et 20 mg et entre 5 mg et 40 mg, un effet antihypertenseur suffisant a été obtenu, alors qu'à des doses de 0,625 et de 1,25 mg, aucun effet consistant n'a été noté. La dose maximale examinée était de 0,58 mg/kg (jusqu'à 40 mg) une fois par jour.
  • -Lénalapril est rapidement absorbé après administration orale, les pics sériques d’énalapril apparaissant en lespace dune heure. Les quantités mises en évidence dans lurine permettent détablir que labsorption de lénalapril après administration orale dénalapril est de lordre de 60%. Les pics sériques de lénalaprilate sont observés 3 à 4 heures suivant ladministration dune dose orale dénalapril. Labsorption du Epril au niveau du tractus gastro-intestinal nest pas influencée par la prise daliments. Labsorption de lénalapril est indépendante de la dose dans les limites des concentrations thérapeutiques recommandées.
  • +L'énalapril est rapidement absorbé après administration orale, les pics de concentration sérique d'énalapril apparaissant en l'espace d'une heure. Les quantités mises en évidence dans l'urine permettent d'établir que l'absorption de l'énalapril après administration orale d'énalapril est de l'ordre de 60%. Les pics de concentration sérique de l'énalaprilate sont observés 3 à 4 heures suivant l'administration d'une dose orale d'énalapril. L'absorption du Epril au niveau du tractus gastro-intestinal n'est pas influencée par la prise d'aliments. L'absorption de l'énalapril est indépendante de la dose dans les limites des concentrations thérapeutiques recommandées.
  • -La courbe des concentrations sériques de lénalaprilate révèle une phase terminale prolongée, sans doute en rapport avec la liaison à lECA. Chez les personnes ayant une fonction rénale normale, les concentrations sériques de lénalaprilate se stabilisent au quatrième jour après le début de ladministration dénalapril («steady state»). La demi-vie délimination de lénalaprilate cumulé par suite de la prise de doses multiples est de 11 heures.
  • +La courbe des concentrations sériques de l'énalaprilate révèle une phase terminale prolongée, sans doute en rapport avec la liaison à l'ECA. Chez les personnes ayant une fonction rénale normale, les concentrations sériques de l'énalaprilate se stabilisent au quatrième jour après le début de l'administration d'énalapril («steady state»). La demi-vie d'élimination de l'énalaprilate accumulé par suite de la prise de doses multiples est de 11 heures.
  • -Après absorption, lénalapril est rapidement et presque complètement hydrolysé en énalaprilate, qui constitue le principe actif à proprement parler. Outre sa biotransformation en énalaprilate, on ne trouve aucun indice dun métabolisme significatif du énalapril. Lhydrolyse de lénalapril est indépendante de la dose dans les limites des concentrations thérapeutiques recommandées.
  • -Elimination
  • -Enalapril est éliminé principalement par la voie rénale. Les principaux composants retrouvés dans lurine sont lénalaprilate, à raison denviron 40% de la dose administrée, et lénalapril sous forme inchangée.
  • +Après absorption, l'énalapril est rapidement et presque complètement hydrolysé en énalaprilate, qui constitue le principe actif à proprement parler. Outre sa biotransformation en énalaprilate, on ne trouve aucun indice d'un métabolisme significatif du énalapril. L'hydrolyse de l'énalapril est indépendante de la dose dans les limites des concentrations thérapeutiques recommandées.
  • +Élimination
  • +Enalapril est éliminé principalement par la voie rénale. Les principaux composants retrouvés dans l'urine sont l'énalaprilate, à raison d'environ 40% de la dose administrée, et l'énalapril sous forme inchangée.
  • -Au cours dune étude pharmacocinétique avec des doses répétées chez 40 patients pédiatriques hypertendus âgés de plus de 2 mois, les paramètres pharmacocinétiques de lénalapril étaient comparables aux valeurs chez les adultes.
  • +Au cours d'une étude pharmacocinétique avec des doses répétées chez 40 patients pédiatriques hypertendus âgés de plus de 2 mois, les paramètres pharmacocinétiques de l'énalapril étaient comparables aux valeurs chez les adultes.
  • -Des examens ponctuels et réguliers (répétés) nont montré aucun indice laissant supposer lexistence dune toxicité significative, et les études sur la mutagénicité et la carcinogénité nont montré aucun risque pour lêtre humain. Les inhibiteurs de lECA ont incontestablement un effet toxique pour le foetus lorsquils sont administrés pendant le deuxième ou le troisième trimestre (voir sous «Grossesse/Allaitement»).
  • +Des examens ponctuels et réguliers (répétés) n'ont montré aucun indice laissant supposer l'existence d'une toxicité significative, et les études sur la mutagénicité et la carcinogénité n'ont montré aucun risque pour l'être humain. Les inhibiteurs de l'ECA ont incontestablement un effet toxique pour le fœtus lorsqu'ils sont administrés pendant le deuxième ou le troisième trimestre (voir sous «Grossesse/Allaitement»).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver le médicament dans lemballage original, à température ambiante (1525 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Epril 40 cpr 40 mg 30 (sécables). (B)
  • -Epril 40 cpr 40 mg 100 (sécables). (B)
  • -Epril cpr 20 mg 30 (sécables). (B)
  • -Epril cpr 20 mg 100 (sécables). (B)
  • -Epril mite cpr 10 mg 30 (sécables). (B)
  • -Epril mite cpr 10 mg 100 (sécables). (B)
  • -Epril submite cpr 5 mg 30 (sécables). (B)
  • +Epril 40 comprimés (sécables) à 40 mg: 30 et 100. [B]
  • +Epril comprimés (sécables) à 20 mg: 30 et 100. [B]
  • +Epril mite comprimés (sécables) à 10 mg: 30 et 100. [B]
  • +Epril submite comprimés (sécables) à 5 mg: 30. [B]
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
  • -Domicile
  • -Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • -Mai 2010.
  • +Juin 2015.
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