72 Changements de l'information professionelle Indivina 1 mg/2.5 mg |
-Principes actifs: Estradioli valeras; medroxyprogesteroni acetas.
-Excipients: Excipiens pro compresso.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Indivina 1 mg/2,5 mg comprimés: 1 mg de valérate d'estradiol et 2,5 mg d'acétate de médroxyprogestérone.
-Indivina 1 mg/5 mg comprimés: 1 mg de valérate d'estradiol et 5 mg d'acétate de médroxyprogestérone.
-Indivina 2 mg/5 mg comprimés: 2 mg de valérate d'estradiol et 5 mg d'acétate de médroxyprogestérone.
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- +Principes actifs
- +Estradioli valeras; medroxyprogesteroni acetas.
- +Excipients
- +Indivina 1 mg/2.5 mg, comprimés: Lactosum monohydricum 83.0 mg, Maydis amylum, Gelatina, Magnesii stearas.
- +Indivina 1 mg/5 mg, comprimés: Lactosum monohydricum 80.5 mg, Maydis amylum, Gelatina, Magnesii stearas.
- +Indivina 2 mg/ 5 mg, comprimés: Lactosum monohydricum 79.5 mg, Maydis amylum, Gelatina, Magnesii stearas.
- +
- +
-Il est recommandé de commencer le traitement avec Indivina 1 mg/2,5 mg. Normalement, 2,5 mg d'acétate de médroxyprogestérone (AMP) suffisent à prévenir une hémorragie de privation. Si des hémorragies persistantes apparaissent néanmoins et que l'on ait exclu une pathologie de l'endomètre, la dose d'AMP peut être augmentée à 5 mg (Indivina 1 mg/5 mg).
- +Phase de test
- +Il est recommandé de commencer le traitement avec Indivina 1 mg/2.5 mg. Normalement, 2.5 mg d'acétate de médroxyprogestérone (AMP) suffisent à prévenir une hémorragie de privation. Si des hémorragies persistantes néanmoins apparaissent et que l'on ait exclu une pathologie de l'endomètre, la dose d'AMP peut être augmentée à 5 mg (Indivina 1 mg/5 mg).
- +Ajustement de la posologie / titration
- +
-Oubli de la prise
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +La pharmacocinétique d'Indivina n'a pas été étudié chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique. Il n'est pas possible de faire des recommandations posologiques. On sait cependant que le métabolisme des hormones stéroïdiennes sexuelles est perturbé lors d'insuffisance hépatique. Par conséquent, Indivina est contre-indiqué chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh C).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +La pharmacocinétique d'Indivina n'a pas été étudié chez les patientes atteintes d'insuffisance rénale. Il n'est pas possible de faire des recommandations posologiques.
- +Patients âgés
- +Les expériences chez les patientes âgées de plus de 65 ans sont limitées. Une adaptation posologique en fonction de l'âge n'est cependant probablement pas nécessaire.
- +Enfants et adolescents
- +Il n'existe pas d'indication.
- +Prise retardée
-Recommandations spéciales pour la posologie
-Patientes âgées: Les expériences chez les patientes âgées de plus de 65 ans sont limitées. Une adaptation posologique en fonction de l'âge n'est cependant probablement pas nécessaire.
-Enfants et adolescents: Il n'existe pas d'indication.
-Insuffisance rénale: Indivina n'a pas été étudié chez les patientes atteintes d'insuffisance rénale. Il n'est pas possible de faire des recommandations posologiques.
-Insuffisance hépatique: Indivina n'a pas été étudié chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique. Il n'est pas possible de faire des recommandations posologiques. On sait cependant que le métabolisme des hormones stéroïdiennes sexuelles est perturbé lors d'insuffisance hépatique. Par conséquent, Indivina est contre-indiqué chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh C).
-·diabète sucré avec lésions vasculaires manifestes,
- +·diabète mellitus avec lésions vasculaires manifestes,
-Avant chaque thérapie hormonale substitutive (THS), il convient de pratiquer un examen clinique général et gynécologique approfondi, qui doivent être répétés au moins une fois par an. Ces examens comprennent un examen général (y compris mesure de la tension artérielle) et un examen gynécologique (examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens, y compris cytologie du col utérin et éventuellement analyses de laboratoire indiqués). L'anamnèse personnelle et familiale doivent être également considérées. Il est indispensable de peser soigneusement le rapport bénéfice/risque individuel de chaque patiente. Il convient de toujours choisir la dose minimale efficace et la durée d'utilisation la plus courte possible.
-Des hémorragies peuvent survenir durant les premiers mois de traitement. On recherchera la cause gynécologique de toute hémorragie inattendue, y compris, si les circonstances l'exigent, en effectuant un examen d'ultrasons transvaginal et une biopsie de l'endomètre.
- +Avant chaque thérapie hormonale substitutive (THS), il convient de pratiquer un examen clinique général et gynécologique approfondi, qui doivent être répétés au moins une fois par an. Ces examens comprennent un examen général (y compris mesure de la tension artérielle) et un examen gynécologique (examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens, y compris cytologie du col utérin et éventuellement analyses de laboratoire pertinentes). L'anamnèse personnelle et familiale doivent être également considérées. Il est indispensable de peser soigneusement le rapport bénéfice/risque individuel de chaque patiente. Il convient de toujours choisir la dose minimale efficace et la durée d'utilisation la plus courte possible.
- +Des hémorragies peuvent survenir durant les premiers mois de traitement. On recherchera la cause gynécologique de toute hémorragie inattendue, y compris, si les circonstances l'exigent, en effectuant un examen d' ultrasons transvaginal et une biopsie de l'endomètre.
-Un suivi médical de toutes les femmes qui suivent une thérapie hormonale substitutive est important. Lors de saignements récurrents ou persistants, il convient de pratiquer les méthodes diagnostiques appropriées, y compris une biopsie de l'endomètre afin d'exclure une tumeur maligne.
- +Un suivi médical de toutes les femmes qui suivent un THS est important. Lors de saignements récurrents ou persistants, il convient de pratiquer les méthodes diagnostiques appropriées, y compris une biopsie de l'endomètre afin d'exclure une tumeur maligne.
-L'étude Women's Health Initiative (WHI), réalisée sur plus de 8000 patientes ménopausées âgées (âge lors de I'entrée de l'étude 50 à 79 ans, âge moyen 63 ans) a montré pour une durée moyenne d'observation de 5,2 ans un risque cardio-vasculaire plus élevé sous THS avec estrogènes conjugués et acétate de medroxyprogestérone que sous placebo (RR 1,24 [95% CI 1,00–1,54], augmentation absolue du risque de 6 cas pour 10000 années-femmes). Le risque était le plus élevé dans la première année de traitement, (RR 1,81 [95% CI1,09–3,01]). Le risque augmentait avec la durée de la ménopause (ménopause depuis <10 ans, RR 0,89; ménopause entre 10 et19 ans, RR 1,22; ménopause depuis ≥20 ans, RR 1,71). De même, le risque d'attaque cérébrale était plus élevé dans l'étude WHI (RR 1,31 [95% CI 1,02–1,68]).
- +L'étude Women's Health Initiative (WHI), réalisée sur plus de 8000 patientes ménopausées âgées (âge lors de I'entrée de l'étude 50 à 79 ans, âge moyen 63 ans) a montré pour une durée moyenne d'observation de 5,2 ans un risque cardio-vasculaire plus élevé sous THS avec estrogènes conjugués et acétate de medroxyprogestérone que sous placebo (RR 1,24 [95% CI 1,00–1,54], augmentation absolue du risque de 6 cas pour 10000 années-femmes). Le risque était le plus élevé dans la première année de traitement THS, (RR 1,81 [95% CI1,09–3,01]). Le risque augmentait avec la durée de la ménopause (ménopause depuis <10 ans, RR 0,89; ménopause entre 10 et19 ans, RR 1,22; ménopause depuis ≥20 ans, RR 1,71). De même, le risque d'attaque cérébrale était plus élevé dans l'étude WHI (RR 1,31 [95% CI 1,02–1,68]).
-L'étude «Heart and Estrogen/Progestin Replacement study (HERS et HERS II)», une étude prospective, contrôlée contre placebo, randomisée, conduite pendant une durée moyenne de 4,1 ans (HERS) resp. 2,7 ans (HERS II) sur plus de 1300 femmes ménopausées (âge moyen en début d'étude 67 ans, SD 7 ans) avec maladie coronaire préexistante n'a pas montré de réduction du risque cardio-vasculaire sous thérapie hormonale substitutive orale avec estrogènes conjugués et acétate de medroxyprogésterone. Le risque relatif était de 0,99 (95% CI 0,84–1,17). Le risque était le plus élevé pendant la première année du traitement (RR 1,52 [95% CI1,01–2,29]).
- +L'étude «Heart and Estrogen/Progestin Replacement study (HERS et HERS II)», une étude prospective, contrôlée contre placebo, randomisée, conduite pendant une durée moyenne de 4,1 ans (HERS) resp. 2,7 ans (HERS II) sur plus de 1300 femmes ménopausées (âge moyen en début d'étude 67 ans, SD 7 ans) avec maladie coronaire préexistante n'a pas montré de réduction du risque cardio-vasculaire sous thérapie hormonale substitutive orale avec estrogènes conjugués et acétate de medroxyprogésterone. Le risque relatif était de 0,99 (95% CI 0,84–1,17). Le risque était le plus élevé pendant la première année du traitement THS (RR 1,52 [95% CI1,01–2,29]).
-Chez les femmes qui présentent une combinaison de facteurs de risque ou un degré de gravité assez élevé d'un facteur de risque individuel, on tiendra compte du fait que le risque peut être augmenté de façon plus qu'additive. Selon les circonstances, il peut en résulter une contre-indication au traitement de substitution hormonale.
-Le risque de thromboembolie veineuse peut être élevé de manière transitoire par une longue immobilisation, d'importantes interventions chirurgicales ou un traumatisme grave. Chez les femmes sous substitution hormonale, il convient d'accorder une grande attention aux mesures prophylactiques, afin d'éviter des thromboembolies post-opératoires. En fonction de la nature de l'opération et de la durée de l'immobilisation, l'interruption provisoire de la thérapie hormonale substitutive devrait être envisagée. En cas d'opération élective, elle doit avoir lieu 4 à 6 semaines avant l'intervention. Le traitement ne devrait être poursuivi qu'après la totale re-acquisition de la mobilité. Chez les patientes déjà sous anticoagulants, un THS ne doit être prescrit qu'après une évaluation soigneuse du rapport avantages risques.
- +Chez les femmes qui présentent une combinaison de facteurs de risque ou un degré de gravité assez élevé d'un facteur de risque individuel, on tiendra compte du fait que le risque peut être augmenté de façon plus qu'additive. Selon les circonstances, il peut en résulter une contre-indication au TSH.
- +Le risque de thromboembolie veineuse peut être élevé de manière transitoire par une longue immobilisation, d'importantes interventions chirurgicales ou un traumatisme grave. Chez les femmes sous TSH, il convient d'accorder une grande attention aux mesures prophylactiques, afin d'éviter des thromboembolies post-opératoires. En fonction de la nature de l'opération et de la durée de l'immobilisation, l'interruption provisoire du TSH devrait être envisagée. En cas d'opération élective, elle doit avoir lieu 4 à 6 semaines avant l'intervention. Le traitement ne devrait être poursuivi qu'après la totale re-acquisition de la mobilité. Chez les patientes déjà sous anticoagulants, un THS ne doit être prescrit qu'après une évaluation soigneuse du rapport avantages risques.
-Il n'existe aucune relation avérée entre la prise d'un THS et l'apparition d'une hypertension clinique. Bien que des augmentations modérées de la pression artérielle aient été rapportées sous traitement hormonal substitutif, il est rare que l'on observe une augmentation cliniquement significative des valeurs. Si pendant un THS on mesure des valeurs durablement élevées de la tension artérielle, il faut envisager un arrêt du THS.
-Les femmes diabétiques doivent être surveillées étroitement quant à leurs valeurs glycémiques, surtout au début du traitement. Bien qu'un THS puisse influencer l'insulinorésistance périphérique et la tolérance au glucose, il n'est généralement pas nécessaire de modifier le schéma thérapeutique.
- +Il n'existe aucune relation avérée entre la prise d'un THS et l'apparition d'une hypertension clinique. Bien que des augmentations modérées de la pression artérielle aient été rapportées sous TSH, il est rare que l'on observe une augmentation cliniquement significative des valeurs. Si pendant un THS on mesure des valeurs durablement élevées de la tension artérielle, il faut envisager un arrêt de la thérapie.
- +Les femmes diabétiques doivent être surveillées étroitement quant à leurs valeurs glycémiques, surtout au début du traitement. Bien qu'un THS puisse influencer l' insulinorésistance périphérique et la tolérance au glucose, il n'est généralement pas nécessaire de modifier le schéma thérapeutique.
-Les comprimés d'Indivina contiennent du lactose. Les patients touchés par la rare intolérance héréditaire au galactose, un déficit en Lapp-lactase ou une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre de comprimés d'Indivina.
- +Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique des hormones sexuelles
-Inducteurs enzymatiques: le métabolisme des estrogènes et des progestatifs peut être accéléré lors d'une co-administration d'agents actifs stimulant l'activité des enzymes impliquées dans le métabolisme, qui incluent en particulier les enzymes du cytochrome P450. Parmi ces agents actifs, on compte entre autres les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, l'éfavirenz, le felbamate, le modafinil, la névirapine, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que les préparations contenant du millepertuis (Hypericum perforatum). Bien que le ritonavir et le nelfinavir soient connus pour être des inhibiteurs puissants, ils ont également présenté des propriétés inductrices lors d'une co-administration avec des hormones stéroïdiennes. Cliniquement, un métabolisme accru des estrogènes et des progestatifs peut réduire l'efficacité et causer des irrégularités des règles. L'induction enzymatique maximale est généralement observée au bout de 2 à 3 semaines et peut persister au moins 4 semaines ou plus longtemps après l'arrêt d'administration de ces médicaments.
-Inhibiteurs enzymatiques: les inhibiteurs du CYP3A4 – par exemple antimycotiques azolés ou macrolides ou jus de pamplemousse – peuvent faire augmenter les concentrations plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs, et causer ainsi une survenue accrue d'effets indésirables.
-Influence des hormones sexuelles sur la pharmacocinétique d'autres médicaments:
- +Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique d'hormones sexuelles
- +Inducteurs enzymatiques
- +Le métabolisme des estrogènes et des progestatifs peut être accéléré lors d'une co-administration d'agents actifs stimulant l'activité des enzymes impliquées dans le métabolisme, qui incluent en particulier les enzymes du cytochrome P450. Parmi ces agents actifs, on compte entre autres les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, l'éfavirenz, le felbamate, le modafinil, la névirapine, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que les préparations contenant du millepertuis (Hypericum perforatum). Bien que le ritonavir et le nelfinavir soient connus pour être des inhibiteurs puissants, ils ont également présenté des propriétés inductrices lors d'une co-administration avec des hormones stéroïdiennes. Cliniquement, un métabolisme accru des estrogènes et des progestatifs peut réduire l'efficacité et causer des irrégularités des règles. L'induction enzymatique maximale est généralement observée au bout de 2 à 3 semaines et peut persister au moins 4 semaines ou plus longtemps après l'arrêt d'administration de ces médicaments.
- +Inhibiteurs enzymatiques
- +Les inhibiteurs du CYP3A4 – par exemple antimycotiques azolés ou macrolides ou jus de pamplemousse – peuvent faire augmenter les concentrations plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs, et causer ainsi une survenue accrue d'effets indésirables.
- +Influence des hormones sexuelles sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
-Interactions au mécanisme inconnu
- +Autres interactions
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
- +Allaitement
-Infections
- +Infections et infestations
-Néoplasies
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Cœur, Vaisseaux
-Occasionnels: élévation de la tension artérielle.
- +Affections cardiaques et vasculaires
- +Occasionnels: élévation de la tension arterielle.
-Fréquence inconnue: embolie pulmonaire, événements thromboemboliques artériels (angina pectoris, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, attaque d'apoplexie).
-Troubles gastro-intestinaux
-Fréquents: nausées, troubles abdominaux.
- +Fréquence inconnue: embolie pulmonaire, événements thromboemboliques artériels (agina pectoris, infarctus du myocard, accident ischémique transitoire, attaque d'apoplexie).
- +Affections gastrointestinales
- +Fréquents: nausées, troubles abdominales.
-Troubles hépatobiliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Peau
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Fréquence inconnue: acné, chloasma, érythème multiforme, érythème noueux, purpura vasculaire.
-Système musculo-squelettique
- +Fréquence inconnue: acné, chloasme, érythème multiforme, érythème noueux, purpura vasculaire.
- +Affections musculosquelettique et du tissu conjonctif
-Système de reproduction et seins
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Un surdosage d'estrogènes peut causer des céphalées, des nausées et des hémorragies utérines. De nombreux rapports sur des enfants qui ont pris de fortes doses de contraceptifs à base d'estrogène montraient pas d'effets négatifs sérieux. De fortes doses d'AMP comparables à celles qui sont administrées pour le traitement anticancéreux n'ont pas montré d'effets indésirables nécessitant un traitement.Il n'existe aucun antidote spécifique. Le traitement d'un surdosage est symptomatique.
- +De nombreux rapports sur des enfants qui ont pris de fortes doses de contraceptifs à base d'estrogène montraient pas d'effets négatifs sérieux. De fortes doses d'AMP comparables à celles qui sont administrées pour le traitement anticancéreux n'ont pas montré d'effets indésirables nécessitant un traitement.
- +Signes et symptômes
- +Un surdosage d'estrogènes peut causer des céphalées, des nausées et des hémorragies utérines.
- +Traitement
- +Il n'existe aucun antidote spécifique. Le traitement d'un surdosage est symptomatique.
-Code ATC: G03FA12
- +Code ATC
- +G03FA12
- +Pharmacodynamique
- +Voir «Mechanisme d'action».
- +
-Valérate d'estradiol
-Après administration orale, le valérate d'estradiol est absorbé dans le tractus gastro-intestinal et rapidement hydrolysé en estradiol par des estérases. Les taux plasmatiques maximaux d'estradiol sont atteints après environ 4 à 6 heures et se situent aux environs de 165 pmol/l pour une dose de 1 mg de valérate d'estradiol et de 308 pmol/-l pour une dose de 2 mg. L'AUC(0–24) s'élève à 2950 (pmol/l) × h resp. à 5482 (pmol/l) × h.
-Distribution
-Dans le plasma, l'estradiol est principalement lié à la SHBG (sex hormone binding globulin) et à l'albumine, tandis que seulement ~2% de l'estradiol dans la circulation est présent sous forme de stéroïde libre. Le volume de distribution se situe entre 9 et 15 l. L'estradiol traverse la barrière placentaire et passe en très faibles quantités dans le lait maternel.
-Métabolisme
-Le valérate d'estradiol subit une biotransformation complète, surtout dans le foie. Le valérate d'estradiol est d'abord hydrolysé en estradiol, qui donne ensuite l'estrone qui est pharmacologiquement moins actif. Les métabolites sont ensuite glucuro- et sulfoconjugués.
-Elimination
-Les métabolites d'estradiol sont essentiellement excrétés par voie rénale, en majorité sous forme de glucuronides ou sulfates conjugués, seule 5-10% sont éliminés dans les fèces. Seule une faible proportion est excrétée par les reins sous forme intact. Les métabolites sont soumis à un cycle entéro-hépatique. La demi-vie plasmatique de l'estradiol s'élève à 70 min. environ, celle de l'estrone à 15 à 20 h.
- +Valérate d'estradiol
- +Après administration orale, le valérate d'estradiol est absorbé dans le tractus gastro-intestinal et rapidement hydrolysé en estradiol par des estérases. Les taux plasmatiques maximaux d'estradiol sont atteints après environ 4 à 6 heures et se situent aux environs de 165 pmol/l pour une dose de 1 mg de valérate d'estradiol et de 308 pmol/-l pour une dose de 2 mg. L'AUC(0–24) s'élève à 2950 (pmol/l)×h resp. à 5482 (pmol/l)×h.
-Absorption
-L'AMP est absorbé dans le tractus gastro-intestinal sans effet notable de premier passage. Après la prise d'un comprimé d'Indivina, les taux plasmatiques maximaux sont atteints après environ 1 à 2 heures et se situent aux environs de 0,37 ng/ml pour une dose de 2,5 mg d'AMP et de 0,64 ng/ml pour une dose de 5 mg. L'AUC(0–24) s'élève à 2,566 (ng/ml) × h resp. à 4,960 (ng/ml) × h.
- +L'AMP est absorbé dans le tractus gastro-intestinal sans effet notable de premier passage. Après la prise d'un comprimé d'Indivina, les taux plasmatiques maximaux sont atteints après environ 1 à 2 heures et se situent aux environs de 0,37 ng/ml pour une dose de 2,5 mg d'AMP et de 0,64 ng/ml pour une dose de 5 mg. L'AUC(0–24) s'élève à 2,566 (ng/ml)×h resp. à 4,960 (ng/ml)×h.
- +Valérate d'estradiol
- +Dans le plasma, l'estradiol est principalement lié à la SHBG (sex hormone binding globulin) et à l'albumine, tandis que seulement ~2 % de l'estradiol dans la circulation est présent sous forme de stéroïde libre. Le volume de distribution se situe entre 9 et 15 l. L'estradiol traverse la barrière placentaire et passe en très faibles quantités dans le lait maternel.
- +Acétate de médroxyprogestérone
- +Valérate d'estradiol
- +Le valérate d'estradiol subit une biotransformation complète, surtout dans le foie. Le valérate d'estradiol est d'abord hydrolysé en estradiol, qui donne ensuite l'estrone qui est pharmacologiquement moins actif. Les métabolites sont ensuite glucuro- et sulfoconjugués.
- +Acétate de médroxyprogestérone
-Elimination
- +Élimination
- +Valérate d'estradiol
- +Les métabolites d'estradiol sont essentiellement excrétés par voie rénale, en majorité sous forme de glucuronides ou sulfates conjugués, seule 5-10% sont éliminés dans les fèces. Seule une faible proportion est excrétée par les reins sous forme intact. Les métabolites sont soumis à un cycle entéro-hépatique. La demi-vie plasmatique de l'estradiol s'élève à 70 min. environ, celle de l'estrone à 15 à 20 h.
- +Acétate de médroxyprogestérone
- +
-Cinétique pour des populations particulières
-La pharmacocinétique de l'Indivina n'a pas été étudié chez les patientes agées ou les patientes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale, mais on sait que les estrogènes induisent la synthèse de protéines dans le foie, ce qui ralentie le métabolisme des estrogènes dans l'insuffisance hépatique. (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Troubles de la fonction hépatique
- +La pharmacocinétique d'Indivina n'a pas été étudié chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique. On sait cependant que les estrogènes induisent la synthèse de protéines dans le foie, ce qui ralentie le métabolisme des estrogènes dans l'insuffisance hépatique (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Troubles de la fonction rénale
- +La pharmacocinétique d'Indivina n'a pas été étudiée chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale.
- +Patients âgés
- +La pharmacocinétique d'Indivina n'a pas été étudiée chez les patientes agées.
- +
-Effet sur les méthodes diagnostiques
- +Influence sur les méthodes de diagnostic
-Le médicament ne peut pas être utilisé au-delà de la date figurant sur l'emballage avec la mention «EXP».
-Remarques concernant le stockage
-Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de l'humidité, pas au-dessus de 25 °C et hors de la portée des enfants.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
- +Conserver dans l'emballage d'origine, afin de proteger le contenu de l'humidité.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Emballages de 3× 28 comprimés. [B]
- +Indivina 1 mg/2.5 mg: 3 x 28 comprimés. [B]
- +Indivina 1 mg/5 mg: 3 x 28 comprimés. [B]
- +Indivina 2 mg/5 mg: 3 x 28 comprimés. [B]
-Décembre 2016.
- +Septembre 2020.
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