60 Changements de l'information professionelle Enbrel 25 mg |
-Solution injectable Enbrel et stylo prérempli Enbrel MyClic
- +Solution injectable Enbrel enseringue préremplie et solution injectable Enbrel MyClic en stylo prérempli
-Solution injectable Enbrel
- +Solution injectable Enbrel en seringue préremplie
-Stylo prérempli Enbrel MyClic
- +Solution injectable Enbrel MyClic en stylo prérempli
-La dose recommandée est de 25 mg d'Enbrel administrés 2x par semaine en injection sous-cutanée, à intervalles de 72 à 96 h.
- +La dose recommandée est de 25 mg d'Enbrel administrés 2× par semaine en injection sous-cutanée, à intervalles de 72 à 96 h.
-Si la reprise du traitement par Enbrel est indiquée chez des patients ayant répondu au traitement initial, le même schéma de durée de traitement décrit doit être suivi. La dose doit être de 25 mg administrés 2× par semaine ou de 50 mg 1x par semaine.
- +Si la reprise du traitement par Enbrel est indiquée chez des patients ayant répondu au traitement initial, le même schéma de durée de traitement décrit doit être suivi. La dose doit être de 25 mg administrés 2× par semaine ou de 50 mg 1× par semaine.
-Chez les patients pédiatriques, le dosage se base sur le poids corporel (PC). Les patients d'un PC inférieur à 62.5 kg doivent recevoir la dose appropriée calculée sur la base de la posologie en mg/kg de PC, qui doit être administrée sous la forme d'Enbrel poudre et du solvant pour solution injectable. Les patients dont le PC est égal ou supérieur à 62.5 kg peuvent être traités avec la dose unique fixe d'Enbrel solution injectable en seringue préremplie ou solution injectable en stylo pré-rempli.
- +Chez les patients pédiatriques, le dosage se base sur le poids corporel (PC). Les patients d'un PC inférieur à 62.5 kg doivent recevoir la dose appropriée calculée sur la base de la posologie en mg/kg de PC, qui doit être administrée sous la forme d'Enbrel poudre et du solvant pour solution injectable. Les patients dont le PC est égal ou supérieur à 62.5 kg peuvent être traités avec la dose unique fixe d'Enbrel solution injectable en seringue préremplie ou solution injectable en stylo prérempli.
-L'administration concomitante de l'étanercept et de l''anakinra a été associée à une augmentation du risque d'infections graves et de neutropénies comparativement à l'étanercept lorsqu'il est administré seul. Cette association n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur. Par conséquent l'association d'Enbrel et de l'anakinra n'est pas recommandée (voir «Effets indésirables» et «Interactions»).
- +L'administration concomitante de l'étanercept et de l'anakinra a été associée à une augmentation du risque d'infections graves et de neutropénies comparativement à l'étanercept lorsqu'il est administré seul. Cette association n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur. Par conséquent l'association d'Enbrel et de l'anakinra n'est pas recommandée (voir «Effets indésirables» et «Interactions»).
-De plus, dans un essai contrôlé, en double aveugle, versus placebo, chez des patients adultes recevant un traitement de fond par le méthotrexate, les patients traités par étanercept et l'anakinra ont présenté un taux plus élevé d'infections graves (7%) et de neutropénies que les patients traités par étanercept seul (voir «Mises en garde et précautions»). L'association 'de l'étanercept et de l'anakinra n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur et n'est par conséquent pas recommandée.
- +De plus, dans un essai contrôlé, en double aveugle, versus placebo, chez des patients adultes recevant un traitement de fond par le méthotrexate, les patients traités par étanercept et l'anakinra ont présenté un taux plus élevé d'infections graves (7%) et de neutropénies que les patients traités par étanercept seul (voir «Mises en garde et précautions»). L'association de l'étanercept et de l'anakinra n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur et n'est par conséquent pas recommandée.
-Des études de toxicité sur la reproduction réalisées chez le rat et le lapin n'ont pas mis en évidence de dommage pour le foetus ou pour le rat nouveau-né qui serait dû à Enbrel. Il n'existe pas de données précliniques disponibles sur la toxicité péri- et postnatale de l'étanercept, ni sur les effets de l'étanercept sur la fertilité et la fonction reproductrice en général.
- +Des études de toxicité sur la reproduction réalisées chez le rat et le lapin n'ont pas mis en évidence de dommage pour le foetus ou pour le rat nouveau-né qui serait dû à étanercept. Il n'existe pas de données précliniques disponibles sur la toxicité péri- et postnatale de l'étanercept, ni sur les effets de l'étanercept sur la fertilité et la fonction reproductrice en général.
-L'utilisation 'de l'étanercept a également été étudiée pendant une durée maximale de 6 mois dans 5 études contrôlées en double aveugle versus placebo chez 1''492 patients atteints de psoriasis en plaques. Parmi les patients atteints de psoriasis en plaques et traités dans les essais contrôlés versus placebo, la fréquence des événements indésirables graves était d'environ 1.4% des 1'341 patients traités par étanercept comparé à 1.4% des 766 patients traités par placebo.
- +L'utilisation de l'étanercept a également été étudiée pendant une durée maximale de 6 mois dans 5 études contrôlées en double aveugle versus placebo chez 1'492 patients atteints de psoriasis en plaques. Parmi les patients atteints de psoriasis en plaques et traités dans les essais contrôlés versus placebo, la fréquence des événements indésirables graves était d'environ 1.4% des 1'341 patients traités par étanercept comparé à 1.4% des 766 patients traités par placebo.
-Très fréquents: Infections (29%) (y compris infections des voies respiratoires supérieures, bronchite, cystite, infections cutanées)*.
-Occasionnels: Infections graves (y compris pneumonie, cellulite phlegmoneuse, arthrite septique, septicémie et infections parasitaires)*.
-Rares: Tuberculose, infections opportunistes (incluant infections fongiques, à protozoaires, bactériennes, mycobactériennes atypiques et par virus, invasives et Legionella).
- +Très fréquents: Infection (39.6%) (y compris infection des voies respiratoires supérieures, bronchite, cystite, infection cutanée)*.
- +Occasionnels: Infection grave (y compris pneumonie, cellulite, arthrite bactérienne, septicémie et infection parasitaire)*.
- +Rares: Tuberculose, infection opportuniste (incluant infections fongiques, à protozoaires, bactériennes, mycobactériennes atypiques et par virus, invasives et Legionella).
-Rares: Lymphome, cancer cutané*.
-Indéterminées: Leucémie, carcinome à cellules de Merkel* (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rares: Mélanome malin*, leucémie, lymphome.
- +Indéterminées: Carcinome à cellules de Merkel* (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: Thrombocytopénie.
-Rares: Anémie, leucopénie, neutropénie, pancytopénie*.
- +Occasionnels: Anémie, leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie.
- +Rares: Pancytopénie*.
- +Indéterminées: Histiocytose hématophagique (syndrome d'activation macrophagique).*
-Fréquents: Réactions allergiques (voir «Troubles de la peau et du tissu sous-cutané»), formation d'auto-anticorps*.
-Occasionnels: Vascularite systémique (y compris vascularite positive aux anticorps anticytoplasmiques de neutrophiles).
-Rares: Réactions allergiques/anaphylactiques graves (y compris angioedème, bronchospasme), sarcoïdose.
-Indéterminées: Syndrome d'activation macrophagique*, aggravation des symptômes d'une dermatomyosite.
- +Fréquents: Réaction allergique (voir «Troubles de la peau et du tissu sous-cutané»), formation d'auto-anticorps*.
- +Occasionnels: Vascularite (y compris vascularite positive aux anticorps anticytoplasmiques de neutrophiles).
- +Rares: Réaction allergique/anaphylactique grave (y compris angioedème, bronchospasme), sarcoïdose.
- +Indéterminées: Aggravation des symptômes d'une dermatomyosite.
-Rares: Convulsions; épisodes de démyélinisation du SNC pouvant évoquer une sclérose en plaques ou un tableau de démyélinisation localisée telle qu'une névrite optique ou une myélite transverse.
-Très rares: Maladies démyélinisantes périphériques, y compris syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie chronique démyélinisante inflammatoire, polyneuropathie démyélinisante et neuropathie motrice multifocale (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rares: Convulsion; épisodes de démyélinisation du SNC (y compris sclérose en plaques ou tableau de démyélinisation localisée telle qu'une névrite optique ou une myélite transverse), maladies démyélinisantes périphériques, y compris syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie chronique démyélinisante inflammatoire, polyneuropathie démyélinisante et neuropathie motrice multifocale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Rares: Insuffisance cardiaque congestive (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Occasionnels: Aggravation d'une insuffisance cardiaque congestive.
- +Rares: Apparition nouvelle d'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: Maladies pulmonaires interstitielles (incluant la fibrose pulmonaire et la pneumopathie)*.
- +Rares: Maladies pulmonaires interstitielles (incluant la fibrose pulmonaire et la pneumopathie)*.
-Fréquents: Prurit.
-Occasionnels: Angio-œdème, urticaire, éruption cutanée, éruption psoriasiforme, psoriasis (y compris une première poussée ou aggravation et de type pustuleux, principalement palmo-plantaires).
-Rares: Vascularite cutanée (y compris vascularite leucocytoclastique), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe.
- +Fréquents: Eruption cutanée, prurit.
- +Occasionnels: Urticaire, psoriasis (d'apparition nouvelle ou aggravation, y compris toutes les sous-types), angio-œdème, éruption psoriasiforme.
- +Rares: Vascularite cutanée (y compris vascularite d'hypersensibilité), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe.
-Rares: Lupus érythémateux cutané subaigu, lupus érythémateux discoïde, syndrome lupique.
- +Rares: Syndrome lupique, lupus érythémateux cutané subaigu, lupus érythémateux cutané.
-Très fréquents: Réactions au site d'injection (37%) (y compris saignement, contusion, érythème, démangeaison, douleur, gonflement)*.
-Fréquents: Fièvre*.
- +Très fréquents: Réactions au site d'injection (19.2%) (y compris saignement, contusion, érythème, démangeaison, douleur, gonflement)*.
- +Fréquents: Pyrexie*.
-Au cours des essais cliniques, les infections les plus fréquemment rapportées chez les patients traités par étanercept comme chez les patients traités par placebo étaient des infections des voies respiratoires supérieures («rhumes») et des sinusites. Dans des essais contrôlés contre placebo, l'incidence des infections des voies respiratoires supérieures était de 17% dans le groupe placebo contre 22% dans le groupe étanercept. Chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde participant aux essais contrôlés contre placebo, ceci correspondait à 0.68 infection par année-patient dans le groupe placebo contre 0.82 dans le groupe étanercept, en prenant en considération la durée d'observation plus longue avec l'étanercept. Dans les essais contre placebo, aucune augmentation de l'incidence des infections graves n'a été observée avec l'étanercept (1.3% pour le placebo, 0.9% pour l'étanercept). Des infections graves sont survenues chez 6.3% des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par étanercept jusqu'à 48 mois. Ces infections incluaient des abcès (diverses localisations), bactériémie, bronchite, bursite, cellulite infectieuse, cholécystite, diarrhée, diverticulite, endocardite (suspectée), gastro-entérite, hépatite B, herpès, ulcère de la jambe, infection buccale, ostéomyélite, otite, péritonite, pneumonie, pyélonéphrite, septicémie, arthrite septique, sinusite, infection cutanée, ulcère de la peau, infection urinaire, vascularite et plaie infectée. Dans l'étude contrôlée versus traitement actif d'une durée de 2 ans, dans laquelle les patients étaient traités soit par l'étanercept seul, soit par le méthotrexate seul, soit par l'étanercept associé au méthotrexate, les taux d'infections graves étaient similaires parmi les groupes de traitement. Cependant, il ne peut être exclu que l'association 'de l'étanercept au méthotrexate puisse être associée à une augmentation du taux d'infections.
- +Au cours des essais cliniques, les infections les plus fréquemment rapportées chez les patients traités par étanercept comme chez les patients traités par placebo étaient des infections des voies respiratoires supérieures («rhumes») et des sinusites. Dans des essais contrôlés contre placebo, l'incidence des infections des voies respiratoires supérieures était de 17% dans le groupe placebo contre 22% dans le groupe étanercept. Chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde participant aux essais contrôlés contre placebo, ceci correspondait à 0.68 infection par année-patient dans le groupe placebo contre 0.82 dans le groupe étanercept, en prenant en considération la durée d'observation plus longue avec l'étanercept. Dans les essais contre placebo, aucune augmentation de l'incidence des infections graves n'a été observée avec l'étanercept (1.3% pour le placebo, 0.9% pour l'étanercept). Des infections graves sont survenues chez 6.3% des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par étanercept jusqu'à 48 mois. Ces infections incluaient des abcès (diverses localisations), bactériémie, bronchite, bursite, cellulite infectieuse, cholécystite, diarrhée, diverticulite, endocardite (suspectée), gastro-entérite, hépatite B, herpès, ulcère de la jambe, infection buccale, ostéomyélite, otite, péritonite, pneumonie, pyélonéphrite, septicémie, arthrite septique, sinusite, infection cutanée, ulcère de la peau, infection urinaire, vascularite et plaie infectée. Dans l'étude contrôlée versus traitement actif d'une durée de 2 ans, dans laquelle les patients étaient traités soit par l'étanercept seul, soit par le méthotrexate seul, soit par l'étanercept associé au méthotrexate, les taux d'infections graves étaient similaires parmi les groupes de traitement. Cependant, il ne peut être exclu que l'association de l'étanercept au méthotrexate puisse être associée à une augmentation du taux d'infections.
- +Maladie pulmonaire interstitielle
- +Au cours des études cliniques contrôlées portant sur l'étanercept dans toutes les indications, la fréquence (incidence cumulée) de la maladie pulmonaire interstitielle était de 0.06% chez les patients ayant reçu de l'étanercept sans méthotrexate associé (fréquence: rare). Au cours des études cliniques contrôlées qui autorisaient une administration concomitante d'étanercept et de méthotrexate, la fréquence (incidence cumulée) de la maladie pulmonaire interstitielle a été de 0.47% (fréquence: occasionnel). Après commercialisation, des cas de maladie pulmonaire interstitielle (incluant la pneumopathie et la fibrose pulmonaire) ont été rapportés, dont certains ont eu une issue fatale.
- +Hépatite auto-immune
- +Au cours des études cliniques contrôlées portant sur l'étanercept dans toutes les indications, la fréquence (incidence cumulée) de l'hépatite auto-immune était de 0.02% chez les patients ayant reçu de l'étanercept sans méthotrexate associé (fréquence: rare). Au cours d'études cliniques contrôlées dans lesquelles un traitement simultané par étanercept et méthotrexate était autorisé, la fréquence (incidence cumulée) de l'hépatite auto-immune s'élevait à 0.24% (fréquence: occasionnel).
- +
-Après l'arrêt 'de l'étanercept, les symptômes d'arthrite sont généralement réapparus au cours du mois suivant. Selon les résultats des études en ouvert, la reprise du traitement par étanercept après des arrêts allant jusqu'à 24 mois, a entrainé la même amplitude de réponse que chez les patients recevant l'étanercept sans interruption de traitement. Des réponses stables et durables ont été observées chez des patients recevant l'étanercept sans interruption jusqu'à 10 ans dans les études en ouvert (phase d'extension des études thérapeutiques).
-L'efficacité de l'étanercept a été comparée avec le méthotrexate dans une étude randomisée, contrôlée contre traitement actif avec des examens radiographiques réalisés en aveugle comme critère principal d'évaluation, chez 632 patients adultes ayant une polyarthrite rhumatoïde active (de durée <3 ans) qui n'avaient jamais reçu de traitement par méthotrexate. Les patients devaient avoir >12 articulations sensibles à la pression, >10 articulations gonflées, et soit une vitesse de sédimentation (VS) >28 mm/h, soit une concentration sérique de CRP >2.0 mg/dl, soit une raideur matinale >45 minutes. Des doses de 10 mg ou de 25 mg de l'étanercept ont été administrées par voie sous-cutanée 2x par semaine jusqu'à 24 mois. Les doses de méthotrexate ont été augmentées de 7.5 mg/semaine à 20 mg/semaine maximum au cours des 8 premières semaines de l'essai et maintenues jusqu'à 24 mois. Avec étanercept 25 mg l'amélioration clinique, y compris le délai d'action sous deux semaines, a été similaire à celle observée lors des essais précédents, et s'est maintenue jusqu'à 24 mois. Le temps de latence a été plus court avec la dose de 25 mg d'étanercept qu'avec le méthotrexate. A l'inclusion, les patients avaient un degré d'invalidité modéré, avec des scores moyens de HAQ de 1.4 à 1.5. Le traitement par étanercept à 25 mg a entraîné une amélioration importante à 12 mois, avec environ 44% de patients obtenant un score de HAQ normal (moins de 0.5). Ce bénéfice a été maintenu la deuxième année de cette étude.
- +Après l'arrêt de l'étanercept, les symptômes d'arthrite sont généralement réapparus au cours du mois suivant. Selon les résultats des études en ouvert, la reprise du traitement par étanercept après des arrêts allant jusqu'à 24 mois, a entrainé la même amplitude de réponse que chez les patients recevant l'étanercept sans interruption de traitement. Des réponses stables et durables ont été observées chez des patients recevant l'étanercept sans interruption jusqu'à 10 ans dans les études en ouvert (phase d'extension des études thérapeutiques).
- +L'efficacité de l'étanercept a été comparée avec le méthotrexate dans une étude randomisée, contrôlée contre traitement actif avec des examens radiographiques réalisés en aveugle comme critère principal d'évaluation, chez 632 patients adultes ayant une polyarthrite rhumatoïde active (de durée <3 ans) qui n'avaient jamais reçu de traitement par méthotrexate. Les patients devaient avoir >12 articulations sensibles à la pression, >10 articulations gonflées, et soit une vitesse de sédimentation (VS) >28 mm/h, soit une concentration sérique de CRP >2.0 mg/dl, soit une raideur matinale >45 minutes. Des doses de 10 mg ou de 25 mg de l'étanercept ont été administrées par voie sous-cutanée 2× par semaine jusqu'à 24 mois. Les doses de méthotrexate ont été augmentées de 7.5 mg/semaine à 20 mg/semaine maximum au cours des 8 premières semaines de l'essai et maintenues jusqu'à 24 mois. Avec étanercept 25 mg l'amélioration clinique, y compris le délai d'action sous deux semaines, a été similaire à celle observée lors des essais précédents, et s'est maintenue jusqu'à 24 mois. Le temps de latence a été plus court avec la dose de 25 mg d'étanercept qu'avec le méthotrexate. A l'inclusion, les patients avaient un degré d'invalidité modéré, avec des scores moyens de HAQ de 1.4 à 1.5. Le traitement par étanercept à 25 mg a entraîné une amélioration importante à 12 mois, avec environ 44% de patients obtenant un score de HAQ normal (moins de 0.5). Ce bénéfice a été maintenu la deuxième année de cette étude.
-Dans une autre étude contrôlée versus traitement actif, randomisée, en double aveugle, l'efficacité clinique, la tolérance, et l'évolution radiographique chez des patients atteints de PR traités par étanercept seul (25 mg 2× par semaine), ou méthotrexate seul (7.5 à 20 mg par semaine, dose médiane 20 mg) ou l'étanercept associé au méthotrexate débutés simultanément, ont été comparées chez 682 patients adultes ayant une polyarthrite rhumatoïde active d'ancienneté de 6 mois à 20 ans (médiane 5 ans) et qui avaient eu une réponse insuffisante à au moins un traitement de fond autre que le méthotrexate.
- +Dans une autre étude contrôlée versus traitement actif, randomisée, en double aveugle, l'efficacité clinique, la tolérance, et l'évolution radiographique chez des patients atteints de PR traités par étanercept seul (25 mg 2× par semaine), ou méthotrexate seul (7.5 à 20 mg par semaine, dose médiane 20 mg) ou l'étanercept associé au méthotrexate débutés simultanément, ont été comparées chez 682 patients adultes ayant une polyarthrite rhumatoïde active d'ancienneté de 6 mois à 20 ans (médiane 5 ans) et qui avaient eu une réponse insuffisante à au moins un DMARD autre que le méthotrexate.
-Dans une quatrième étude, effectuée en double aveugle, contrôlée versus placebo chez 356 patients atteints de spondylarthrite ankylosante, on a évalué la tolérance et l'efficacité de 50 mg d'étanercept (deux injections sous-cutanées de 25 mg) administré 1× par semaine versus 25 mg d'étanercept administré 2× par semaine. Les profils de tolérance et d'efficacité des 2 schémas posologiques (50 mg 1x par semaine et 25 mg 2× par semaine) ont été similaires.
- +Dans une quatrième étude, effectuée en double aveugle, contrôlée versus placebo chez 356 patients atteints de spondylarthrite ankylosante, on a évalué la tolérance et l'efficacité de 50 mg d'étanercept (deux injections sous-cutanées de 25 mg) administré 1× par semaine versus 25 mg d'étanercept administré 2× par semaine. Les profils de tolérance et d'efficacité des 2 schémas posologiques (50 mg 1× par semaine et 25 mg 2× par semaine) ont été similaires.
-L'étude 4 a évalué 142 patients et les critères d'inclusion étaient similaires à ceux des études 2 et 3. Dans cette étude, les patients ont reçu une dose de 50 mg d'étanercept ou du placebo 1× par semaine pendant 12 semaines; puis tous les patients ont reçu 50 mg d'étanercept 1× par semaine en ouvert pendant 12 semaines supplémentaires.
- +L'étude 4 a évalué 142 patients et les critères d'inclusion étaient similaires à ceux des études 1 et 2. Dans cette étude, les patients ont reçu une dose de 50 mg d'étanercept ou du placebo 1× par semaine pendant 12 semaines; puis tous les patients ont reçu 50 mg d'étanercept 1× par semaine en ouvert pendant 12 semaines supplémentaires.
-Solution injectable en seringue préremplie et en stylo pré-rempli
- +Solution injectable en seringue préremplie et en stylo prérempli
-Poudre et solvant pour préparation d'une solution injectable
- +Poudre et solvant pour solution injectable
-Solution injectable en stylo pré-rempli
- +Solution injectable en stylo prérempli
-Solution injectable en stylo pré-rempli
-Enbrel MyClic 50 mg/1.0 ml: emballages de 2 stylos pré-remplis et 2 tampons imbibés d'alcool. [B]
- +Solution injectable en stylo prérempli
- +Enbrel MyClic 50 mg/1.0 ml: emballages de 2 stylos préremplis et 2 tampons imbibés d'alcool. [B]
-Janvier 2018.
-LLD V040
- +Mars 2018.
- +LLD V042
|
|