62 Changements de l'information professionelle Puregon 300 I.E. |
-Saccharose, citrate de sodium, polysorbate 20, L-méthionine, conservateur (alcool benzylique 10 mg/ml), eau pour préparations injectables.
- +Saccharose, citrate de sodium, polysorbate 20, L-méthionine, conservateur (alcool benzylique 10mg/ml), eau pour préparations injectables.
-·Stérilité par anovulation [y compris syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)].
- +·Stérilité par anovulation [y compris syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)]
-Le traitement par Puregon ne doit être entrepris que par un médecin connaissant bien le traitement des troubles de la fertilité et disposant de tout l'équipement nécessaire pour une surveillance clinique et endocrinienne appropriée du traitement. La première injection de Puregon doit être faite sous surveillance médicale directe.
-Il convient de noter à propos de l'utilisation du Puregon Pen qu'il s'agit d'un instrument de précision qui dispense exactement la dose prévue. On a observé que le Puregon Pen dispense une quantité de FSH supérieure de 18% en moyenne à celle dispensée par une seringue conventionnelle. Il est important de prendre ce point en compte en cas de passage du Puregon Pen à une seringue conventionnelle pendant un cycle de traitement. Tout particulièrement dans le cas du passage d'une seringue au Puregon Pen, de petites adaptations de doses peuvent s'avérer nécessaires pour éviter un surdosage.
- +Le traitement par Puregon ne doit être entrepris que par un / une médecin connaissant bien le traitement des troubles de la fertilité et disposant de tout l'équipement nécessaire pour une surveillance clinique et endocrinienne appropriée du traitement. La première injection de Puregon doit être faite sous surveillance médicale directe.
- +Mode d'administration
- +Les cartouches de Puregon sont destinées à être utilisées par voie sous-cutanée, dans le stylo (= Pen) Puregon. Quand on utilise le Pen, il faut strictement respecter son mode d'emploi.
- +Il faut changer de site d'injection sous-cutanée lors de chaque injection, afin d'éviter une lipoatrophie et aussi en raison du risque de réaction locale à l'alcool benzylique.
- +Les patients ou leurs partenaires peuvent aussi réaliser eux-mêmes les injections sous-cutanées de Puregon à l'aide du Pen après avoir appris avec le / la médecin comment utiliser le stylo. Toutefois, seuls les patients motivés, correctement entraînés et ayant la possibilité de recourir aux conseils d'une personne compétente peuvent s'administrer eux-mêmes le médicament.
-On recommande généralement un schéma de traitement séquentiel. On commence par l'administration quotidienne de 50 U.I. de FSH. Cette dose initiale est maintenue pendant au moins 7 jours. En l'absence de réponse ovarienne, il faut augmenter progressivement la dose quotidienne jusqu'à obtention de la croissance folliculaire et/ou jusqu'à ce que les concentrations plasmatiques d'estradiol montrent une réponse pharmacodynamique suffisante. Si une patiente ne présente pas de réponse au bout de 4 semaines de traitement, il faut arrêter ce cycle de traitement. Une augmentation quotidienne du taux d'estradiol de 40-100% est considérée comme optimale. On maintient ensuite la dose quotidienne jusqu'à l'obtention de conditions préovulatoires. Ces dernières sont obtenues quand l'échographie montre la présence d'un follicule dominant d'au moins 18 mm de diamètre et/ou quand les concentrations plasmatiques d'estradiol atteignent 300-900 pg/ml (1000-3000 pmol/l). En général, il suffit de 7-14 jours de traitement pour obtenir ce résultat. L'administration de Puregon est alors arrêtée et l'ovulation peut être induite par l'administration de 5000 à 10000 U.I. de gonadotrophine chorionique humaine (hCG).
- +On recommande généralement un schéma de traitement séquentiel. On commence par l'administration quotidienne de 50 U.I. de FSH. Cette dose initiale est maintenue pendant au moins 7 jours. En l'absence de réponse ovarienne, il faut augmenter progressivement la dose quotidienne jusqu'à obtention de la croissance folliculaire et/ou jusqu'à ce que les concentrations plasmatiques d'estradiol montrent une réponse pharmacodynamique suffisante. Si une patiente ne présente pas de réponse au bout de 4 semaines de traitement, il faut arrêter ce cycle de traitement. Une augmentation quotidienne du taux d'estradiol de 40-100% est considérée comme optimale. On maintient ensuite la dose quotidienne jusqu'à l'obtention de conditions préovulatoires. Ces dernières sont obtenues quand l'échographie montre la présence d'un follicule dominant d'au moins 18 mm de diamètre et de préférence quand des concentrations sériques d'estradiol de 300-900 pg/ml (1000-3000 pmol/l) ont été mesurées. En général, il suffit de 7-14 jours de traitement pour obtenir ce résultat. L'administration de Puregon est alors arrêtée et l'ovulation peut être induite par l'administration de 5000 à 10000 U.I. de gonadotrophine chorionique humaine (hCG).
-Comme les follicules de plus de 14 mm peuvent conduire à une grossesse, la présence de plusieurs follicules préovulatoires de ≥14 mm fait courir le risque de grossesse multiple. Dans ce cas, il ne faut pas administrer d'hCG et éviter une grossesse, afin de prévenir la survenue d'une grossesse multiple.
- +Comme les follicules de plus de 14 mm peuvent conduire à une grossesse, la présence de plusieurs follicules préovulatoires de ≥14 mm fait courir le risque d'une grossesse multiple. Dans ce cas, il ne faut pas administrer d'hCG et éviter les rapports sexuels afin d'éviter la survenue d'une grossesse multiple.
-Divers protocoles de stimulation sont utilisés. Comme dose initiale, on recommande une dose quotidienne de 100-225 U.I. pendant les 4 premiers jours au moins. Ensuite, il faut ajuster la dose au cas par cas en fonction de la réponse ovarienne. Des études cliniques ont montré que des doses d'entretien comprises entre 75 et 375 U.I., administrées pendant 6 à 12 jours, sont généralement suffisantes; néanmoins, un traitement plus long est parfois nécessaire.
-Puregon peut être administré seul ou – pour prévenir une lutéinisation prématurée – en association avec un agoniste de la LH-RH. Dans ce dernier cas, il peut être nécessaire d'utiliser une dose totale de Puregon plus élevée pour obtenir une réaction folliculaire suffisante.
-La réponse ovarienne doit être surveillée par des échographies. Un dosage de l'estradiol sérique peut également être utile. Quand l'échographie indique la présence d'au moins trois follicules de 16-20 mm et que la réponse de l'estradiol est satisfaisante [concentrations plasmatiques de 300-400 pg/ml (1000-1300 pmol/l) par follicule de plus de 18 mm], on induit, 24-48 heures après la dernière injection de Puregon, la phase finale de la maturation folliculaire en administrant de l'hCG à raison de 5000-10000 U.I. Le prélèvement des ovocytes est effectué 34-35 heures plus tard.
-Quand Puregon est utilisé en association avec un agoniste de la LH-RH, on peut, dans les neuf jours suivant le transfert d'embryon, pratiquer 2 ou 3 nouvelles injections de 1000-3000 U.I. d'hCG chacune, pour soutenir la phase lutéale.
- +Divers protocoles de stimulation sont utilisés. Comme dose initiale, on recommande une dose quotidienne de 100-225 U.I. pendant les 4 premiers jours au moins. Ensuite, il faut ajuster la dose au cas par cas en fonction de la réponse ovarienne. Dans des études cliniques, des doses d'entretien comprises entre 75 et 375 U.I., administrées pendant 6 à 12 jours, étaient généralement suffisantes; néanmoins, une durée de traitement plus longue est parfois nécessaire.
- +Puregon peut être administré seul ou – pour prévenir une lutéinisation prématurée – en association avec un agoniste ou un antagoniste de la LH-RH. En cas d'utilisation d'un agoniste de la LH-RH, il peut être nécessaire d'utiliser une dose totale plus élevée pour obtenir une réaction folliculaire suffisante.
- +La réponse ovarienne doit être surveillée par des échographies. Un dosage de l'estradiol sérique peut également être utile. Le traitement est poursuivi jusqu'à ce qu'un développement folliculaire suffisant soit atteint, c'est-à-dire quand l'échographie indique la présence d'au moins trois follicules de 16-20 mm. Le taux d'estradiol doit alors être d'env. 300-400 pg/ml (1000-1300 pmol/l) par follicule de plus de 18 mm. Pour induire la phase finale de la maturation folliculaire et l'ovulation, une dose d'hCG de 5000-10 000 U.I. doit être administrée 24-48 heures après la dernière injection de Puregon. Le prélèvement des ovocytes est effectué 34-35 heures plus tard.
-Pour obtenir des taux de testostérone normaux, il faut préalablement administrer de l'hCG. Après un traitement par l'hCG en monothérapie à une dose suffisamment forte pour obtenir une virilisation et normaliser le taux de testostérone (>9 mmol/l), il faut administrer Puregon (en association avec de l'hCG) à raison de 450 U.I. par semaine, en fractionnant si possible la dose hebdomadaire en trois doses de 150 U.I. chacune. Un rétablissement de la spermatogenèse ne peut pas être observé avant 3-4 mois de traitement par Puregon en association avec de l'hCG. Si le patient n'a pas répondu au traitement d'association au bout de 3-4 mois, le traitement peut être poursuivi. L'expérience clinique montre qu'une durée de traitement allant jusqu'à 18 mois peut être nécessaire pour l'obtention d'une spermatogenèse.
- +Pour obtenir des taux de testostérone normaux, il faut préalablement administrer de l'hCG. Après un traitement par l'hCG en monothérapie à une dose suffisamment forte pour obtenir une virilisation et normaliser le taux de testostérone (>9 mmol/l), il faut administrer Puregon (en association avec de l'hCG) à raison de 450 U.I. par semaine, en fractionnant si possible la dose hebdomadaire en trois doses de 150 U.I. chacune. Un rétablissement de la spermatogenèse ne peut pas être observé avant une durée de traitement de 3-4 mois par Puregon en association avec de l'hCG. Si le patient n'a pas encore répondu au traitement d'association au bout de 3-4 mois, le traitement peut être poursuivi. L'expérience clinique montre qu'une durée de traitement allant jusqu'à 18 mois peut être nécessaire pour l'obtention d'une spermatogenèse.
-La follitropine bêta n'a pas été étudiée chez l'enfant et l'adolescent; il n'existe pas d'indication pour la population de ce groupe d'âge.
-Insuffisance hépatique
- +La follitropine bêta n'a pas été étudiée chez l'enfant et l'adolescent. Puregon n'est pas indiqué dans ce groupe d'âge.
- +Patients âgés
- +Puregon n'est pas indiqué chez les femmes ménopausées.
- +Si Puregon doit être utilisé chez les hommes > 65 ans, aucun ajustement posologique n'est recommandé.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Insuffisance rénale
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Patients âgés
-Il n'est pas nécessaire d'ajuster la dose en fonction de l'âge.
-Mode d'administration
-Les cartouches de Puregon sont destinées à être utilisées par voie sous-cutanée, dans le stylo (= Pen) Puregon. Quand on utilise le Pen, il faut strictement respecter son mode d'emploi.
-Il faut changer de site d'injection sous-cutanée lors de chaque injection, afin d'éviter une lipoatrophie et aussi en raison du risque de réaction locale à l'alcool benzylique.
-Les patients ou leurs partenaires peuvent aussi réaliser eux-mêmes les injections sous-cutanées de Puregon à l'aide du Pen après avoir appris avec le médecin comment utiliser le stylo. Toutefois, seuls les patients très motivés, correctement entraînés et ayant la possibilité de recourir aux conseils d'une personne compétente peuvent s'administrer eux-mêmes le médicament.
-Chez les femmes anovulatoires qui ont recours à une induction de l'ovulation, il est recommandé de surveiller soigneusement la réaction ovarienne par échographie transvaginale et, le cas échéant, d'adapter la dose de gonadotrophine pour réduire le risque de grossesses multiples. Un dosage sérique de l'estradiol peut également être indiqué.
- +Chez les femmes anovulatoires qui ont recours à une induction de l'ovulation, il est recommandé de surveiller soigneusement la réaction ovarienne par échographie transvaginale et, le cas échéant, d'adapter la dose de gonadotrophine pour réduire le risque d'une grossesse multiple. Un dosage sérique de l'estradiol peut également être indiqué.
-La patiente et son partenaire doivent être instruits avant le début du traitement au sujet des risques potentiels associés aux grossesses multiples.
- +La patiente et son partenaire doivent être instruits avant le début du traitement au sujet des risques potentiels associés à une grossesse multiple.
-Malformations
- +Malformations congénitales
-Il existe des rapports de torsions ovariennes après un traitement par des gonadotrophines, y compris Puregon. La torsion ovarienne est éventuellement en rapport avec d'autres facteurs de risque tels qu'un syndrome d'HSO, une grossesse, un antécédent de chirurgie abdominale, un antécédent de torsion ovarienne et un antécédent ou une présence de kystes ovariens/d'ovaires polykystiques. Les lésions ovariennes dues à une diminution de l'irrigation sanguine peuvent être réduites par un diagnostic précoce et une détorsion immédiate.
- +Il existe des rapports de torsions ovariennes après un traitement par des gonadotrophines, y compris Puregon. La torsion ovarienne est éventuellement en rapport avec d'autres facteurs de risque tels qu'un syndrome d'HSO, une grossesse, un antécédent de chirurgie abdominale, un antécédent de torsion ovarienne et un antécédent ou une présence de kystes ovariens / d'ovaires polykystiques. Le risque de lésions ovariennes dues à une diminution de l'irrigation sanguine peut être réduit par un diagnostic précoce et une détorsion immédiate.
-Des événements thromboemboliques ont été rapportés pendant ou après le traitement par des préparations à base de gonadotrophine, telles que Puregon (en particulier en lien avec un syndrome d'HSO, mais également en l'absence d'une hyperstimulation). Chez les femmes présentant des facteurs de risque connus pour des événements thromboemboliques, tels que des antécédents personnels ou familiaux, une obésité [index de masse corporelle (IMC) supérieur à 30 kg/m2] ou une thrombophilie, il y a une augmentation du risque de survenue de thromboembolies veineuses et/ou artérielles pendant ou après le traitement par des gonadotrophines. Chez ces femmes, il faut mettre en balance les bénéfices et les risques d'une administration de gonadotrophines. On relèvera néanmoins que la grossesse elle-même augmente également le risque d'événements thromboemboliques.
- +Des événements thromboemboliques ont été rapportés pendant ou après le traitement par des préparations à base de gonadotrophine, telles que Puregon (en particulier en lien avec un syndrome d'HSO, mais également en l'absence d'une hyperstimulation). Chez les femmes présentant des facteurs de risque connus pour des événements thromboemboliques, tels que des antécédents personnels ou familiaux, une obésité [index de masse corporelle (IMC) supérieur à 30 kg/m2] ou une thrombophilie, il y a une augmentation du risque de survenue de thromboembolies veineuses et/ou artérielles pendant ou après le traitement par des gonadotrophines. Chez ces femmes, il faut mettre en balance les bénéfices et les risques d'une administration de gonadotrophines. On relèvera que la grossesse elle-même augmente également le risque d'événements thromboemboliques.
-On a signalé des néoplasmes ovariens et autres néoplasies bénignes ou malignes de l'appareil de reproduction chez des femmes traitées sur plusieurs cycles pour une infertilité. On ne sait pas exactement si le traitement par les gonadotrophines augmente le risque de survenue de telles tumeurs chez les femmes infertiles.
- +On a signalé des néoplasmes des ovaires et autres néoplasies bénignes ou malignes de l'appareil de reproduction chez des femmes traitées sur plusieurs cycles pour une infertilité. On ne sait pas exactement si le traitement par les gonadotrophines augmente le risque de survenue de telles tumeurs chez les femmes infertiles.
- +Grossesse
- +Allaitement
- +
-L'utilisation clinique de Puregon administré par voie sous-cutanée ou intramusculaire peut provoquer (chez 3% de l'ensemble des patients) des réactions locales au niveau du site d'injection, par exemple rougeurs, tuméfaction, douleurs, hématomes et prurit. Ces réactions sont le plus souvent légères et transitoires. Occasionnellement (chez env. 0,2% de l'ensemble des patients), on a observé des réactions généralisées d'hypersensibilité.
-Les effets indésirables les plus graves en rapport avec l'utilisation de FSH sont décrits sous «Mises en garde et précautions». Les effets indésirables listés ci-dessous, classés par systèmes d'organes et catégories de fréquence, ont été observés dans les études sur Puregon ou après la commercialisation de Puregon. Les fréquences sont définies comme suit: effets indésirables fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100) et rares (<1/1000).
- +Les effets indésirables les plus graves en rapport avec l'utilisation de FSH sont décrits sous «Mises en garde et précautions».
- +Les effets indésirables observés sous Puregon dans les études cliniques et/ou après la commercialisation sont listés par classe de système d'organes selon la classification MedDRA et par fréquence en respectant la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000), fréquence inconnue (comme il s'agit essentiellement de rapports spontanés issus de la surveillance post-commercialisation, la fréquence exacte ne peut pas être estimée).
-Occasionnels: réaction d'hypersensibilité généralisée (par exemple rougeur cutanée, exanthème, prurit, urticaire; dans des cas isolés, on a rapporté également une dyspnée et/ou les symptômes d'un angioœdème).
- +Occasionnels: réaction d'hypersensibilité généralisée (par exemple rougeur cutanée, exanthème, prurit, urticaire; dans des cas isolés, on a rapporté également une dyspnée et/ou les symptômes d'un angio-œdème).
- +Fréquence inconnue: réactions anaphylactiques
- +
-Rares: thromboembolies veineuses ou artérielles (même en l'absence d'un syndrome d'HSO).
- +Rares: thromboembolies veineuses ou artérielles (même en l'absence d'un syndrome d'HSO)
-Fréquents: ballonnements, douleurs abdominales.
- +Fréquents: ballonnements, douleurs abdominales
-Fréquents: exanthème, acné.
- +Fréquents: exanthème, acné
-Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Mécanisme d'action / Pharmacodynamique
-Chez la femme:
- +Chez la femme
-Chez l'homme:
-Une étude clinique multicentrique ouverte a permis d'évaluer l'efficacité et la sécurité de Puregon sur un effectif global de 30 hommes souffrant d'hypogonadisme hypogonadotrope. Les patients ont reçu une dose hebdomadaire de 450 U.I. de Puregon, fractionnée en 2-3 injections. La durée moyenne de traitement a été de 323 jours. Pour évaluer l'efficacité du traitement, on a pratiqué une analyse du sperme et déterminé la concentration des hormones dans le sérum toutes les 6 semaines. Le traitement a été considéré comme efficace chez 43% des hommes étudiés. Après une durée médiane de traitement de 165 jours, ces patients présentaient plus d'un million de spermatozoïdes par ml. Aucun effet indésirable cliniquement notable n'a été enregistré à l'occasion de ce traitement de presque un an. Même après un traitement de 48 semaines, on n'a pas décelé d'anticorps dirigés contre la FSH ou contre les cellules ovariennes de hamster chinois.
- +Chez l'homme
- +Une étude clinique multicentrique ouverte a permis d'évaluer l'efficacité et la sécurité de Puregon sur un effectif global de 30 hommes souffrant d'hypogonadisme hypogonadotrope. Les patients ont reçu une dose hebdomadaire de 450 U.I. de Puregon, fractionnée en 2-3 injections. La durée moyenne de traitement a été de 323 jours. Pour évaluer l'efficacité du traitement, on a pratiqué une analyse du sperme et déterminé la concentration des hormones dans le sérum toutes les 6 semaines. Le traitement a été considéré comme efficace chez 43% des hommes étudiés. Après une durée médiane de traitement de 165 jours, ces patients présentaient plus d'un million de spermatozoïdes par ml.
-Absorption/Distribution
-Après administration de Puregon par voie intramusculaire ou sous-cutanée, les taux sériques maximaux de FSH sont atteints en l'espace d'environ 12 heures. Après administration répétée de la même dose, les concentrations plasmatiques de FSH à l'état stationnaire (lequel est atteint au bout de 4 jours de traitement) sont, en raison d'une demi-vie d'élimination relativement longue, environ 1,5 à 2,5 fois plus élevées qu'après administration unique. Cette augmentation permet d'atteindre les concentrations thérapeutiques de FSH.
-Il n'existe pas de différences pharmacocinétiques significatives selon que Puregon est administré par voie intramusculaire ou sous-cutanée. Dans les deux cas, la biodisponibilité absolue est d'environ 77%.
-Métabolisme/Élimination
-Du point de vue biochimique, la FSH recombinante est très similaire à la FSH humaine d'origine urinaire; elle est distribuée, métabolisée et excrétée de la même façon. On n'a toutefois pas spécifiquement étudié la distribution, le métabolisme et l'excrétion de Puregon.
-Etant donné que la libération au site d'injection est retardée et que la demi-vie d'élimination est d'environ 40 heures (fourchette entre 12 et 70 heures), les taux de FSH restent augmentés pendant 24-48 heures.
- +La distribution, le métabolisme et l'excrétion de la FSH recombinante (rFSH) n'ont pas été spécifiquement étudiés. Du point de vue biochimique, la rFSH est toutefois similaire à la FSH humaine d'origine urinaire, de sorte qu'on peut s'attendre à des propriétés pharmacocinétiques semblables.
- +Absorption
- +Après administration de Puregon par voie sous-cutanée, les concentrations sériques maximales de FSH sont atteintes en l'espace d'environ 13 heures.
- +La biodisponibilité absolue de la rFSH après administration sous-cutanée est d'env. 77,8%.
- +Après administration répétée une fois par jour pendant 4 jours, les concentrations de FSH à l'état stationnaire sont environ 1,5 à 2,5 fois plus élevées qu'après administration d'une dose unique, ce qui est important pour atteindre les concentrations thérapeutiques de FSH.
- +Distribution
- +On s'attend à ce que la rFSH soit distribuée de la même manière que la FSH native.
- +Métabolisme
- +On s'attend à ce que la rFSH soit métabolisée de la même manière que la FSH humaine.
- +Élimination
- +On s'attend à ce que la rFSH soit éliminée de la même manière que la FSH humaine. La demi-vie d'élimination de la rFSH est d'environ 40 heures.
-La pharmacocinétique de la follitropin-beta après administration de Puregon n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale.
- +La pharmacocinétique de la follitropine bêta après administration de Puregon n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale.
-Après une administration unique de Puregon à des rats, on n'a constaté aucun effet toxique. Même après l'administration répétée d'une dose représentant jusqu'à 100 fois la dose utilisée en clinique, on n'a pas observé d'effets toxiques significatifs chez des rats (traités pendant 2 semaines) et des chiens (traités pendant 13 semaines). Ni le test d'Ames, ni la recherche d'aberrations chromosomiques dans des lymphocytes humains in vitro n'ont montré d'effets mutagènes de Puregon.
- +Après une administration unique de Puregon à des rats, on n'a constaté aucun effet toxique. Même après l'administration répétée d'une dose représentant jusqu'à 100 fois la dose utilisée en clinique, on n'a pas observé d'effets toxiques pertinents chez des rats (traités pendant 2 semaines) et des chiens (traités pendant 13 semaines). Ni le test d'Ames, ni la recherche d'aberrations chromosomiques dans des lymphocytes humains in vitro n'ont montré d'effets mutagènes de Puregon.
-Conservation
-Puregon ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Stabilité
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver au réfrigérateur à une température comprise entre 2 et 8 °C. Ne pas congeler.
- +Conserver au réfrigérateur (2-8 °C). Ne pas congeler.
-1.Conserver au réfrigérateur à une température comprise entre 2 et 8 °C. Ne pas congeler.
- +1.Conserver au réfrigérateur (2-8 °C). Ne pas congeler.
-Conserver Puregon dans le conditionnement d'origine, à l'abri de la lumière.
-Une fois que le bouchon de caoutchouc de la cartouche a été percé, la solution pour injections peut encore être utilisée pendant 28 jours au maximum.
- +Conserver dans l'emballage d'origine. Conserver les cartouches dans leur carton pour les protéger de la lumière et de l'humidité.
- +Une fois que le bouchon de caoutchouc de la cartouche a été percé, la solution injectable peut encore être utilisée pendant 28 jours au maximum.
-Janvier 2020.
-S-CCDS-MK8328-SOi-062019/RCN000003411
- +Mars 2024.
- +S-CCDS-OG8328-SOi-082023/RCN-100003210-CH
|
|