66 Changements de l'information professionelle DaTSCAN TM 123 I-Ioflupane (INN) |
-Ioflupanum [123I] 74 MBq/ml au moment de la calibration (correspondant à 0,07 – 0,13 µg d’ioflupanum par ml).
- +Ioflupanum (123I) 74 MBq/ml au moment de la calibration (correspondant à 0,07 – 0,13 µg d’ioflupanum par ml).
-Ioflupanum [127I], Acidum aceticum, Natrii acetas trihydricus (correspond à 3,3 mg de sodium), Ethanolum anhydricum (100 mg), Aqua ad iniectabilia.
- +Ioflupanum (127I), Acidum aceticum, Natrii acetas trihydricus (correspond à 3,3 mg de sodium), Ethanolum anhydricum (100 mg), Aqua ad iniectabilia.
-Activité spécifique : 2,5 – 4,5 × 1014 Bq/mmol au moment de la calibration.
-Pureté radiochimique : ≥ 96 %.
-Pureté du radionucléide : ≥ 99,9 %.
-Impuretés les plus importantes : 123I- ≤ 4 %, [123I]-acide d’ioflupane ≤ 2 %.
-Moment de la calibration : voir le bon de livraison et les étiquettes sur l’emballage.
- +Activité spécifique: 2,5 – 4,5 × 1014 Bq/mmol au moment de la calibration
- +Pureté radiochimique: ≥ 96 %
- +Pureté du radionucléide: ≥ 99,9 %
- +Impuretés les plus importantes: 123I- ≤ 4 %, (123I)-acide d’ioflupane ≤ 2 %.
- +Moment de la calibration: voir le bon de livraison et les étiquettes sur l’emballage.
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-DaTSCAN est destiné à déterminer la perte de terminaisons neuronales dopaminergiques fonctionnelles dans le striatum (lors de maladies telles que la maladie de Parkinson, l’atrophie multisystématisée, la paralysie supranucléaire progressive, la dégénérescence cortico-basale, l’ataxie spinocérébelleuse (de types 1, 2 et 3), la démence parkinsonienne (PDD) et la démence à corps de Lewy) chez les patients présentant des symptômes parkinsoniens cliniquement vagues et sert comme mesure de soutien dans le diagnostic différentiel entre un tremblement essentiel et des syndromes parkinsoniens liés à la maladie de Parkinson idiopathique, à l’atrophie multisystématisée ou à la paralysie supranucléaire progressive. DaTSCAN ne permet pas de différencier entre une maladie de Parkinson et une atrophie multisystématisée ou une paralysie supranucléaire progressive.
- +Produit radiodiagnostique. DaTSCAN est destiné à déterminer la perte de terminaisons neuronales dopaminergiques fonctionnelles dans le striatum (lors de maladies telles que la maladie de Parkinson, l’atrophie multisystématisée, la paralysie supranucléaire progressive, la dégénérescence cortico-basale, l’ataxie spinocérébelleuse (de types 1, 2 et 3), la démence parkinsonienne (PDD) et la démence à corps de Lewy) chez les patients présentant des symptômes parkinsoniens cliniquement vagues et sert comme mesure de soutien dans le diagnostic différentiel entre un tremblement essentiel et des syndromes parkinsoniens liés à la maladie de Parkinson idiopathique, à l’atrophie multisystématisée ou à la paralysie supranucléaire progressive. DaTSCAN ne permet pas de différencier entre une maladie de Parkinson et une atrophie multisystématisée ou une paralysie supranucléaire progressive.
-Produit radiodiagnostique.
- +Posologie usuelle
-L’examen par tomographie par émission monophotonique (TEMP) doit être effectué dans les 3 à 6 heures suivant l’injection. Pour l’acquisition des images, il est conseillé d’utiliser une gamma-caméra munie d’un collimateur à haute résolution calibrée sur le pic d’émission photonique de 159 keV avec une fenêtre d’énergie de ± 10 %. L’échantillonnage angulaire ne doit pas être inférieur à 120 projections sur une rotation de 360 degrés. Pour les collimateurs à haute résolution, le rayon de rotation doit être maintenu constant et réglé aussi petit que possible (généralement 11 à 15 cm). Des études expérimentales effectuées sur un fantôme striatal indiquent que les meilleures images possibles sont obtenues lorsque la taille de la matrice et le zoom sont réglés de sorte à obtenir une taille de pixel de 3,5 à 4,5 mm. Pour réaliser des images optimales, un compte d’au moins 500 000 doit être obtenu. Les clichés normaux se caractérisent par deux aires symétriques en forme de croissant d’intensité identique.
- +Acquisition des images
- +L’examen par tomographie par émission monophotonique (TEMP) doit être effectué dans les 3 à 6 heures suivant l’injection.
- +Pour l’acquisition des images, il est conseillé d’utiliser une gamma-caméra munie d’un collimateur à haute résolution calibrée sur le pic d’émission photonique de 159 keV avec une fenêtre d’énergie de ± 10 %. L’échantillonnage angulaire ne doit pas être inférieur à 120 projections sur une rotation de 360 degrés. Pour les collimateurs à haute résolution, le rayon de rotation doit être maintenu constant et réglé aussi petit que possible (généralement 11 à 15 cm). Des études expérimentales effectuées sur un fantôme striatal indiquent que les meilleures images possibles sont obtenues lorsque la taille de la matrice et le zoom sont réglés de sorte à obtenir une taille de pixel de 3,5 à 4,5 mm dans les systèmes utilisés à l’heure actuelle. Pour réaliser des images optimales, un compte d’au moins 500 000 doit être obtenu.
-Exposition aux radiations
-L’exposition aux radiations d’un patient adulte (70 kg) après injection intraveineuse d’ioflupane [123I] est représentée dans le tableau ci-dessous. Le calcul des doses radioactives absorbées est basé sur une vessie vidée à intervalles de 4,8 heures et sur un blocage adéquat de la thyroïde.
-Afin de minimiser l’exposition aux radiations, le patient doit être invité à uriner fréquemment après l’administration de la dose.
- +Exposition aux rayonnements
- +L’exposition aux rayonnements d’un patient adulte (70 kg) moyen après injection intraveineuse d’ioflupanum (123I) est représentée dans le tableau ci-dessous. Le calcul des doses radioactives absorbées est basé sur une vessie vidée à intervalles de 4,8 heures et sur un blocage adéquat de la thyroïde.
- +Afin de minimiser l’exposition aux rayonnements, le patient doit être invité à uriner fréquemment après l’administration de la dose.
-La dose efficace (DE, pondération selon la CIPR 128) résultant de l’injection de 185 MBq de DaTSCAN, s’élève à 4,63 mSv pour un adulte de 70 kg de poids corporel.
-Les données indiquées ci-dessus sont valables en cas de distribution pharmacocinétique normale. La dose efficace et la dose radioactive absorbée par les organes peuvent être augmentées en cas d’insuffisance rénale ou hépatique consécutive à une affection concomitante ou à un traitement antérieur.
- +La dose efficace (DE, pondération selon la CIPR 128) résultant de l’injection de 185 MBq de DaTSCAN, s’élève à 4,63 mSv pour un adulte de 70 kg de poids corporel. Les données indiquées ci-dessus sont valables en cas de distribution pharmacocinétique normale.
- +La dose efficace et la dose radioactive absorbée par les organes peuvent être augmentées en cas d’insuffisance rénale ou hépatique consécutive à une affection concomitante ou à un traitement antérieur.
-Grossesse, période d’allaitement.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition.
- +·Grossesse, allaitement.
- +·Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition.
-Toute utilisation de produits radiopharmaceutiques chez les patients relève exclusivement de la compétence et de la responsabilité d’un médecin. Des examens ne sont indiqués que si leur bénéfice potentiel dépasse le risque lié à l’exposition aux radiations. L’administration doit dans tous les cas être effectuée en respectant les règles de radioprotection. Des méthodes d’examen alternatives réalisées sans radiations ionisantes doivent être envisagées.
-Aucune étude clinique n’a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique. En l’absence de données, l’utilisation de DaTSCAN n’est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale modérée à sévère.
-Ce médicament contient au maximum 100 mg d’alcool (éthanol) par flacon-ampoule perforable, équivalant à 5% V/V, ce qui équivaut à moins de 2 ml de bière ou 1 ml de vin. La faible quantité d’alcool contenue dans ce médicament n’est pas susceptible d’entraîner d’effet notable.
- +Toute utilisation de produits radiopharmaceutiques chez les patients relève exclusivement de la compétence et de la responsabilité d’un médecin. Des examens ne sont indiqués que si leur bénéfice potentiel dépasse le risque lié à l’exposition aux rayonnements. L’administration doit dans tous les cas être effectuée en respectant les règles de radioprotection. Des méthodes d’examen alternatives réalisées sans radiations ionisantes doivent être envisagées.
- +Il convient de toujours prendre en compte la possibilité d’une hypersensibilité, y compris de réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes. En cas d’apparition de réactions d’hypersensibilité, l’administration du médicament doit être immédiatement interrompue et un traitement intraveineux doit être instauré le cas échéant. Avant l’administration, il faut s’assurer de disposer du matériel de réanimation approprié.
- +Aucune étude clinique n’a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique. En l’absence de données, l’utilisation de DaTSCAN n’est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique modérée à sévère.
- +Ce médicament contient au maximum 100 mg d’alcool (éthanol) par flacon-ampoule perforable, équivalant à 5 % V/V, ce qui équivaut à moins de 2 ml de bière ou 1 ml de vin. La faible quantité d’alcool contenue dans ce médicament n’est pas susceptible d’entraîner d’effet notable.
- +Interprétation des images DaTSCAN
- +Les images DaTSCAN sont interprétées visuellement en fonction de l’apparence du striatum.
- +La représentation optimale des images reconstruites en vue de leur interprétation visuelle consiste en la réalisation de coupes transaxiales parallèles à la ligne commissure antérieure – commissure postérieure (AC-PC). Pour déterminer si une image est normale ou anormale, on apprécie l’étendue (indiquée par la forme) et l’intensité (par rapport au bruit de fond) du signal du striatum.
- +Les images normales se caractérisent par deux zones symétriques en forme de croissant d’intensité identique. Les images anormales sont soit asymétriques soit symétriques avec une intensité du signal inégale ou réduite et/ou une perte de la forme en croissant.
- +En complément, l’appréciation visuelle peut être assistée par une évaluation semi-quantitative à l’aide d’un logiciel marqué CE permettant de comparer la fixation de DaTSCAN dans le striatum avec celle dans une région de référence et de comparer les ratios avec ceux d’une base de données de sujets sains appariés selon l’âge. L’interprétation des ratios et de la fixation de DaTSCAN (symétrie) dans le striatum gauche/droit ou le noyau caudé/putamen peut en outre être utile pour l’appréciation de l’image.
- +Le recours à des méthodes semi-quantitatives impose les précautions suivantes:
- +·La semi-quantification ne doit être utilisée qu’en complément de l’interprétation visuelle.
- +·Seul un logiciel marqué CE doit être utilisé.
- +·Les utilisateurs doivent être formés à l’utilisation du logiciel marqué CE par le fabricant et suivre les recommandations de l’EANM pour l’acquisition, la reconstruction et l’interprétation des images.
- +·Les évaluateurs doivent procéder à une interprétation visuelle des images, puis réaliser une analyse semi-quantitative conforme aux instructions du fabricant, y compris des contrôles de qualité concernant le processus de quantification:
- +oDes techniques ROI/VOI doivent être utilisées pour comparer la fixation dans le striatum à celle de la région de référence.
- +oUne comparaison avec une base de données de sujets sains appariés selon l’âge est recommandée pour tenir compte de la diminution de la fixation dans le striatum liée à l’âge.
- +oLes paramètres de reconstruction et de filtres utilisés (y compris la correction d’atténuation) peuvent influencer les valeurs semi-quantitatives. Les paramètres de reconstruction et de filtres recommandés par le fabricant du logiciel marqué CE doivent être respectés et correspondre à ceux utilisés pour la semi-quantification de la base de données de sujets sains.
- +oL’intensité du signal du striatum, mesurée par SBR (ratio de la fixation dans le striatum) et l’asymétrie, de même que le rapport noyau caudé/putamen fournissent des valeurs numériques objectives qui correspondent aux paramètres d’interprétation visuelle et peuvent être utiles dans les cas difficilement interprétables.
- +oSi les valeurs semi-quantitatives ne correspondent pas à l’interprétation visuelle, il faut vérifier le placement adéquat des ROI/VOI, l’orientation correcte de l’image et les paramètres appropriés pour l’acquisition des images et la correction d’atténuation. Certains logiciels sont capables de prendre en charge ces processus pour diminuer la variabilité dépendante de l’utilisateur.
- +oL’évaluation finale doit toujours tenir compte à la fois de l’interprétation visuelle et des résultats semi-quantitatifs.
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-L’ioflupane se lie au transporteur de la dopamine. Les médicaments ou substances caractérisés par une forte affinité pour le transporteur de la dopamine peuvent donc compromettre le diagnostic par DaTSCAN ; en font par ex. partie l’amphétamine, la benzatropine, le bupropion, la cocaïne, le mazindol, le méthylphénidate, la norpseudoéphédrine et la sertraline. En règle générale, les substances mentionnées ci-dessus ou d’autres substances similaires ne doivent donc pas être administrées en même temps que DaTSCAN ou à un intervalle rapproché. Il faut tenir compte du traitement médicamenteux lors de l’évaluation des résultats.
-Au cours des études cliniques, aucune interaction n’a été constatée entre autres avec les principes actifs suivants :
- +L’ioflupanum se lie au transporteur de la dopamine. Les médicaments ou substances caractérisés par une forte affinité pour le transporteur de la dopamine peuvent donc compromettre le diagnostic par DaTSCAN ; en font par ex. partie l’amphétamine, la benzatropine, le bupropion, la cocaïne, le mazindol, le méthylphénidate, la norpseudoéphédrine et la sertraline. En règle générale, les substances mentionnées ci-dessus ou d’autres substances similaires ne doivent donc pas être administrées en même temps que DaTSCAN ou à un intervalle rapproché. Il faut tenir compte du traitement médicamenteux lors de l’évaluation des résultats.
- +Au cours des études cliniques, aucune interaction n’a été constatée entre autres avec les principes actifs suivants:
-Aucune altération de l’imagerie par DaTSCAN n’est attendue en ce qui concerne les agonistes et les antagonistes de la dopamine qui se lient aux récepteurs dopaminergiques post-synaptiques. Ces traitements peuvent donc être poursuivis en cas de nécessité. L’expérimentation animale a montré que le pergolide n’interagit pas avec DaTSCAN.
- +Aucune altération de l’imagerie par DaTSCAN n’est attendue en ce qui concerne les agonistes et les antagonistes de la dopamine qui se lient aux récepteurs dopaminergiques post-synaptiques. Ces traitements peuvent donc être poursuivis en cas de nécessité.
- +L’expérimentation animale a montré que le pergolide n’interagit pas avec DaTSCAN.
-L’utilisation de DaTSCAN est contre-indiquée pendant la grossesse (voir rubrique « Contre-indications »).
- +L’utilisation de DaTSCAN est contre-indiquée pendant la grossesse (voir rubrique «Contre-indications»).
-On ignore si l’ioflupane [123I] passe dans le lait maternel.
- +On ignore si l’ioflupanum (123I) passe dans le lait maternel.
-Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit :
-« très fréquents » (≥ 1/10), « fréquents » (≥ 1/100 à < 1/10), « occasionnels » (≥ 1/1000 à < 1/100), « rares » (≥ 1/10 000 à < 1/1000), « très rares » (< 1/10 000) et « fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de sévérité.
- +Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit:
- +«très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (≥ 1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1000 à < 1/100), «rares» (≥ 1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000) et «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de sévérité.
-Fréquence inconnue : hypersensibilité
- +Fréquence inconnue: hypersensibilité
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-Occasionnels : appétit augmenté
- +Occasionnels: appétit augmenté
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-Fréquents : céphalée
-Occasionnels : sensation vertigineuse, fourmillements (paresthésie), perturbations du sens troubles du goût
- +Fréquents: céphalée
- +Occasionnels: sensation vertigineuse, fourmillements (paresthésie), dysgueusie
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-Occasionnels : vertige
-Affections vasculaires
-Fréquence inconnue : hypotension
-Affections respiratoires, médiastinales et thoraciques
-Fréquence inconnue : dyspnée
-Affections gastro-intestinales
-Occasionnels : nausée, bouche sèche
-Fréquence inconnue : vomissement
- +Occasionnels: vertige
-Fréquence inconnue : érythème, prurit, rash, urticaire, hyperhidrose
- +Fréquence inconnue: érythème, prurit, rash, urticaire, hyperhidrose
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- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Fréquence inconnue: dyspnée
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- +Affections gastro-intestinales
- +Occasionnels: nausée, bouche sèche
- +Fréquence inconnue: vomissement
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- +Affections vasculaires
- +Fréquence inconnue: pression artérielle diminuée
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-Occasionnels : douleur au site d’injection (douleurs intenses ou sensation de brûlure après l’injection dans de petites veines)
-Fréquence inconnue : sensation de chaud
- +Occasionnels: douleur au site d’injection (douleurs intenses ou sensation de brûlure après l’injection dans de petites veines)
- +Fréquence inconnue: sensation de chaud
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- +L’exposition aux rayonnements ionisants est associée à l’induction d’affections cancéreuses et à un risque de maladies héréditaires. Comme la dose efficace est de 4,63 mSv lorsque l’on administre l’activité maximale recommandée de 185 MBq, la probabilité de tels événements indésirables devrait être faible.
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-En cas de surdosage, il faut inciter le patient à uriner et déféquer fréquemment afin de réduire à un minimum l’exposition aux radiations.
- +En cas de surdosage, il faut inciter le patient à uriner et déféquer fréquemment afin de réduire à un minimum l’exposition aux rayonnements.
-L’iode-123 a une demi-vie physique de 13,2 heures. L’iode-123 se désintègre par capture d’électrons en Te-123 plus stable en émettant un rayonnement gamma. Les principales fractions du rayonnement gamma ont une énergie de 159 keV (83 %), 440 keV (0,4 %) et 529 keV (1,4 %).
- +L’123I a une demi-vie physique de 13,2 heures. L123I se désintègre par capture d’électrons en Te-123 plus stable en émettant un rayonnement gamma. Les principales fractions du rayonnement gamma ont une énergie de 159 keV (83 %), 440 keV (0,4 %) et 529 keV (1,4 %).
-Voir rubrique « Propriétés physiques »
- +Voir rubrique «Propriétés physiques».
-En raison de la faible quantité d’ioflupane injectée, aucun effet pharmacologique n’est attendu après l’administration intraveineuse de DaTSCAN à la posologie recommandée.
-L’ioflupane est un analogue de la cocaïne. Des études expérimentales menées chez l’animal ont montré que l’ioflupane présente une forte affinité pour la protéine de transport présynaptique de la dopamine. L’intégrité des neurones dopaminergiques nigrostriataux peut donc être examinée avec l’ioflupane [123I] radiomarqué en tant que marqueur de substitution.
-L’ioflupane se lie également aux protéines de transport de la sérotonine des neurones 5-HT, mais avec une affinité de liaison environ 10 fois plus faible.
- +En raison de la faible quantité d’ioflupanum injectée, aucun effet pharmacologique n’est attendu après l’administration intraveineuse de DaTSCAN à la posologie recommandée.
- +L’ioflupanum est un analogue de la cocaïne. Des études expérimentales menées chez l’animal ont montré que l’ioflupanum présente une forte affinité pour la protéine de transport présynaptique de la dopamine. L’intégrité des neurones dopaminergiques nigrostriataux peut donc être examinée avec l’ioflupanum (123I) radiomarqué en tant que marqueur de substitution.
- +L’ioflupanum se lie également aux protéines de transport de la sérotonine des neurones 5-HT, mais avec une affinité de liaison environ 10 fois plus faible.
- +Études cliniques démontrant l’utilisation complémentaire d’informations semi-quantitatives pour l’interprétation des images: la fiabilité de l’utilisation d’informations semi-quantitatives en complément de l’examen visuel a été analysée dans le cadre de quatre études cliniques ayant comparé la sensibilité, la spécificité et la précision globale des deux méthodes d’interprétation des images.
- +Un logiciel de semi-quantification DaTSCAN marqué CE a été utilisé lors de ces quatre études (n = 578 au total). Les différences (c.-à-d. les améliorations apportées à l’interprétation visuelle par l’adjonction des informations semi-quantitatives) étaient comprises entre 0,1 % et 5,5 % pour la sensibilité, entre 0,0 % et 2,0 % pour la spécificité et entre 0,0 % et 12,0 % pour la précision globale.
- +La plus grande de ces quatre études a évalué rétrospectivement un total de 304 examens DaTSCAN provenant d’études de phase 3 ou 4 réalisées antérieurement ayant inclus des patients avec un diagnostic clinique de syndrome parkinsonien (SP), de syndrome non parkinsonien (principalement tremblement essentiel (TE)), de démence à corps de Lewy probable (DCL) et de démence non à corps de Lewy (essentiellement maladie d’Alzheimer (AD)). Cinq spécialistes en médecine nucléaire n’ayant qu’une expérience limitée dans l’interprétation DaTSCAN ont procédé à deux évaluations des images (seules ou combinées avec les données semi-quantitatives fournies par le logiciel DaTQUANT) à un mois d’intervalle au minimum. Ces résultats ont été comparés au diagnostic de suivi à 1 et 3 ans des patients pour déterminer la précision diagnostique. Les améliorations de la sensibilité et de la spécificité (avec des intervalles de confiance à 95 %) étaient de 0,1 % (-6,2 %, 6,4 %) et 2,0 % (-3,0 %, 7,0 %). Les résultats de l’évaluation combinée étaient aussi associés à une augmentation de la confiance dans la lecture des résultats.
- +
-Voir rubrique « Distribution »
- +Voir rubrique «Distribution».
-Après injection intraveineuse, l’ioflupane [123I] est rapidement éliminé du sang et seuls 5 % de la radioactivité administrée restent dans le sang total 5 minutes après l’injection.
-La fixation cérébrale est rapide et l’activité absorbée atteint environ 7 % de la dose injectée 10 minutes après l’injection et diminue à 3 % après 5 heures. Environ 30 % de la radioactivité cérébrale totale sont à mettre sur le compte de la fixation de l’ioflupane par le striatum. Comme l’ioflupane se caractérise par une faible affinité de liaison pour la protéine de transport de la sérotonine, une radioactivité est également constatée dans le thalamus et dans le néocortex.
- +Après injection intraveineuse, l’ioflupanum (123I) est rapidement éliminé du sang et seuls 5 % de la radioactivité administrée restent dans le sang total 5 minutes après l’injection.
- +La fixation cérébrale est rapide et l’activité absorbée atteint environ 7 % de la dose injectée 10 minutes après l’injection et diminue à 3 % après 5 heures. Environ 30 % de la radioactivité cérébrale totale sont à mettre sur le compte de la fixation de l’ioflupanum par le striatum. Comme l’ioflupanum se caractérise par une faible affinité de liaison pour la protéine de transport de la sérotonine, une radioactivité est également constatée dans le thalamus et dans le néocortex.
-Voir rubrique « Métabolisme »
- +Voir rubrique «Métabolisme».
-Des études de toxicité ont été menées sur des rats, des lapins et des chiens soumis à une injection intraveineuse unique et à une administration répétée d’ioflupane. Des études de toxicité aiguë ont en outre été menées sur des singes après une administration unique. Aucune mortalité ou aucun autre signe de toxicité n’ont pu être observés à des doses 5500 fois supérieures à la posologie clinique maximale de DaTSCAN ; des réactions pharmacologiques comme une mydriase ou une hyperactivité ont été observées chez certaines espèces soumises à des doses 1500 fois supérieures à la dose clinique maximale.
-Au cours des études de mutagénicité réalisées in vitro et in vivo, aucun indice suggérant un potentiel mutagène de l’ioflupane n’a été constaté. Aucune étude n’a été effectuée dans le but d’évaluer le potentiel toxique sur la reproduction et le potentiel carcinogène de l’ioflupane.
- +Des études de toxicité ont été menées sur des rats, des lapins et des chiens soumis à une injection intraveineuse unique et à une administration répétée d’ioflupanum. Des études de toxicité aiguë ont en outre été menées sur des singes après une administration unique. Aucune mortalité ou aucun autre signe de toxicité n’ont pu être observés à des doses 5500 fois supérieures à la posologie clinique maximale de DaTSCAN; des réactions pharmacologiques comme une mydriase ou une hyperactivité ont été observées chez certaines espèces soumises à des doses 1500 fois supérieures à la dose clinique maximale.
- +Au cours des études de mutagénicité réalisées in vitro et in vivo, aucun indice suggérant un potentiel mutagène de l’ioflupanum n’a été constaté.
- +Aucune étude n’a été effectuée dans le but d’évaluer le potentiel toxique sur la reproduction et le potentiel carcinogène de l’ioflupanum.
-Le médicament doit être utilisé au maximum dans les 7 heures qui suivent le moment de la calibration indiqué sur l’étiquette (40 heures à partir de la fin de la fabrication).
-Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur l’emballage.
- +Le médicament doit être utilisé au maximum dans les 7 heures qui suivent le moment de la calibration indiqué sur l’étiquette.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Conserver à température ambiante (15–25°C).
-Ne pas congeler.
- +Conserver à température ambiante (15–25°C). Ne pas congeler.
-1 flacon-ampoule perforable (A) : DaTSCAN est livré dans des flacons-ampoules perforables en verre incolore scellés par un bouchon en caoutchouc et munis d’un capuchon à rebords en aluminium.
-Au moment de la calibration, chaque flacon-ampoule contient 185 MBq dans 2,5 ml de solution.
- +1 flacon-ampoule perforable (A): DaTSCAN est livré dans des flacons-ampoules perforables en verre incolore scellés par un bouchon en caoutchouc et munis d’un capuchon à rebords en aluminium.
- +Au moment de la calibration, chaque flacon-ampoule perforable contient 185 MBq dans 2,5 ml de solution.
-Janvier 2021
- +Juillet 2021
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