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Accueil - Information professionnelle sur Aranesp 10 Mikrogramm - Changements - 03.05.2019
57 Changements de l'information professionelle Aranesp 10 Mikrogramm
  • +Aranesp peut être administré par voie sous-cutanée par le patient lui-même ou par un aidant après une formation correspondante par un médecin, un soignant ou un pharmacien.
  • -L'administration sous-cutanée est à privilégier chez les patients non hémodialysés, car elle permet d'éviter la ponction des veines périphériques.
  • +L'administration intraveineuse d'Aranesp est à privilégier chez les patients pour lesquels on dispose d'un accès veineux de façon routinière (patients hémodialysés). Lorsqu'il n'y a pas d'accès veineux direct (chez les patients non encore dialysés, les patients sous dialyse péritonéale ou les patients présentant une anémie chimio-induite), Aranesp doit être administré par voie sous-cutanée afin d'éviter la ponction des veines périphériques.
  • -Le taux cible d'hémoglobine est compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l).
  • -Il faut éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) et une augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de 4 semaines.
  • +Le taux cible d'hémoglobine est compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Il faut éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) et une augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de 4 semaines.
  • -La dose initiale est de 0,45 µg/kg de poids corporel, utilisée par voie sous-cutanée ou intraveineuse, en une injection unique une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, Aranesp peut également être administré par voie sous-cutanée en une seule injection aux doses initiales suivantes: 0,75 μg/kg une fois toutes les deux semaines ou 1,5 μg/kg une fois par mois.
  • -Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus d'une fois toutes les quatre semaines.
  • +La dose initiale est de 0,45 µg/kg de poids corporel lors d'une injection intraveineuse (patients dialysés) et sous-cutanée (patients non dialysés) une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, il est également possible de commencer le traitement par des injections sous-cutanées toutes les deux semaines (dose initiale: 0,75 µg/kg) ou une fois par mois (dose initiale: 1,5 µg/kg). Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus souvent qu'une fois toutes les quatre semaines.
  • -Phase d'entretien (passage de rHuEPO à Aranesp)
  • -L'expérience clinique a montré que les patients adultes recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp une fois par semaine et que les patients adultes recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale d'Aranesp (µg/semaine) peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 200. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines, voire toutes les deux semaines.
  • -De plus, des études cliniques ont montré qu'une adaptation posologique était nécessaire lorsque les patients recevant des doses élevées de rHuEPO par voie intraveineuse passaient à Aranesp, afin de corriger une hématopoïèse excessive due à la puissance supérieure d'Aranesp.
  • +Phase d'entretien (passage de r-HuEPO à Aranesp)
  • +L'expérience clinique a montré que les patients adultes recevant de la r-HuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp une fois par semaine et que les patients adultes recevant de la r-HuEPO une fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale d'Aranesp (µg/semaine) peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de r-HuEPO (UI/semaine) par 200. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la r-HuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines, voire toutes les deux semaines.
  • +De plus, des études cliniques ont montré qu'une adaptation posologique était nécessaire lorsque les patients recevant des doses élevées de r-HuEPO par voie intraveineuse passaient à Aranesp, afin de corriger une hématopoïèse excessive due à la puissance supérieure d'Aranesp.
  • -Le traitement de patients pédiatriques âgés de moins d'un an n'a pas été étudié dans des études cliniques randomisées (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -Phase correctrice:
  • -Chez les patients pédiatriques d'un an et plus, la dose initiale utilisée par voie sous-cutanée ou intraveineuse est de 0,45 μg/kg de poids corporel en une seule injection une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, Aranesp peut aussi être administré par voie sous-cutanée à la dose initiale de 0,75 μg/kg de poids corporel en une seule injection une fois toutes les deux semaines. Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus d'une fois toutes les quatre semaines.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, il faut réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • +Le traitement de patients pédiatriques âgés de moins d'un an n'a pas été étudié dans des études cliniques randomisées (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Phase correctrice
  • +Chez les patients pédiatriques dialysés d'un an et plus, la dose initiale utilisée par voie sous-cutanée ou intraveineuse est de 0,45 μg/kg de poids corporel en une seule injection une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, Aranesp peut aussi être administré en une seule injection à la dose initiale de 0,45 μg/kg de poids corporel une fois par semaine ou à la dose initiale de 0,75 μg/kg de poids corporel une fois toutes les deux semaines. Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus souvent qu'une fois toutes les quatre semaines.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, il faut réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • -Phase d'entretien:
  • +Phase d'entretien
  • -Phase d'entretien (passage de rHuEPO à Aranesp)
  • -Des données cliniques obtenues chez des patients pédiatriques ont montré que les patients recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp une fois par semaine et que les patients recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale hebdomadaire d'Aranesp (µg/semaine) à utiliser chez les patients pédiatriques peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 240. La dose initiale d'Aranesp à utiliser toutes les deux semaines (µg/toutes les deux semaines) peut être déterminée en divisant par 240 la dose totale cumulée de rHuEPO, utilisée pendant une période de deux semaines. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines ou toutes les deux semaines.
  • +Phase d'entretien (passage de r-HuEPO à Aranesp)
  • +Des données cliniques obtenues chez des patients pédiatriques ont montré que les patients recevant de la r-HuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp une fois par semaine et que les patients recevant de la r-HuEPO une fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale hebdomadaire d'Aranesp (µg/semaine) à utiliser chez les patients pédiatriques peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de r-HuEPO (UI/semaine) par 240. La dose initiale d'Aranesp à utiliser toutes les deux semaines (µg/toutes les deux semaines) peut être déterminée en divisant par 240 la dose totale cumulée de r-HuEPO, utilisée pendant une période de deux semaines. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la r-HuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines ou toutes les deux semaines.
  • -Hypersensibilité à la darbépoétine alfa, à la rHuEPO ou à l'un des composants.
  • +Hypersensibilité à la darbépoétine alfa, à la r-HuEPO ou à l'un des composants.
  • -Des cas d'érythroblastopénie (PRCA = Pure Red Cell Aplasia) dus à des anticorps anti-érythropoïétine neutralisants ont été rapportés avec les agents stimulant l'érythropoïèse (ASE), y compris Aranesp. Cela a principalement été rapporté chez des patients présentant une insuffisance rénale chronique et traités par voie sous-cutanée. Ces anticorps présentent une réaction croisée avec tous les ASE. Les patients chez qui la présence d'anticorps anti-érythropoïétine neutralisants est suspectée ou confirmée, ne devront pas être passés à d'autres ASE (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Des cas d'érythroblastopénie (PRCA = pure red cell aplasia) dus à des anticorps anti-érythropoïétine neutralisants ont été rapportés avec les agents stimulant l'érythropoïèse (ASE), y compris Aranesp. Cela a principalement été rapporté chez des patients présentant une insuffisance rénale chronique et traités par voie sous-cutanée. Ces anticorps présentent une réaction croisée avec tous les ASE. Les patients chez qui la présence d'anticorps anti-érythropoïétine neutralisants est suspectée ou confirmée, ne devront pas être passés à d'autres ASE (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -Des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell, pouvant engager le pronostic vital ou être fatales, ont été signalées dans le cadre de traitements à base d'époétine. Des cas plus graves ont été observés lors de l'utilisation d'époétines à longue durée d'action.
  • +Des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR, severe cutaneous adverse reactions), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell, pouvant engager le pronostic vital ou être fatales, ont été signalées dans le cadre de traitements à base d'époétine. Des cas plus graves ont été observés lors de l'utilisation d'époétines à longue durée d'action.
  • -Dans toutes les études sur Aranesp, une pathologie hépatique évolutive représentait un critère d'exclusion. C'est pourquoi aucune donnée n'est disponible chez les patients présentant une insuffisance hépatique. L'administration d'Aranesp à des patients présentant une pathologie hépatique requiert la prudence, étant donné que le foie représente vraisemblablement la voie principale d'élimination de la darbépoétine alfa et de la rHuEPO.
  • +Dans toutes les études sur Aranesp, une pathologie hépatique évolutive représentait un critère d'exclusion. C'est pourquoi aucune donnée n'est disponible chez les patients présentant une insuffisance hépatique. L'administration d'Aranesp à des patients présentant une pathologie hépatique requiert la prudence, étant donné que le foie représente vraisemblablement la voie principale d'élimination de la darbépoétine alfa et de la r-HuEPO.
  • -Les études cliniques contrôlées n'ont pas mis en évidence de bénéfices significatifs attribuables à l'administration d'érythropoïétines, lorsque la concentration d'hémoglobine est augmentée au-delà du niveau permettant de contrôler des symptômes d'anémie et d'éviter une transfusion sanguine.
  • +Les études cliniques contrôlées n'ont pas mis en évidence de bénéfices significatifs attribuables à l'administration d'époétines, lorsque la concentration d'hémoglobine est augmentée au-delà du niveau permettant de contrôler des symptômes d'anémie et d'éviter une transfusion sanguine.
  • -Les effets indésirables identifiés associés à Aranesp sont une hypertension artérielle, des accidents vasculaires cérébraux, des évènements thromboemboliques, des convulsions, des réactions allergiques, un rash/érythème, une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, (PRCA)) et des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -Une douleur au site d’injection attribuable au traitement a été rapportée dans les études où Aranesp a été administré par voie sous-cutanée. Les symptômes au site d’injection étaient généralement légers et transitoires et sont survenus le plus souvent après la première injection.
  • -L’incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d’organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000, incluant des rapports isolés).
  • -La fréquence des effets indésirables a été calculée sur la base des études cliniques suivantes et des expériences issues d’un contexte post-AMM:
  • -·Etudes contrôlées incluant un total de 1357 patients, 766 ayant reçu Aranesp et 591 ayant reçu l’érythropoïétine recombinante humaine (rHuEPO). Dans le groupe sous Aranesp, 83% ont été traités par dialyse et 17% n’ont pas été dialysés. Dans une autre étude clinique (TREAT, voir la section «Propriétés/Effets»), l’AVC a été identifié comme effet indésirable.
  • -·Données regroupées de sept études randomisées en double insu et contrôlées contre placebo avec Aranesp, comprenant un total de 2112 patients (Aranesp 1200, placebo 912). Des patients présentant des tumeurs solides (p. ex. cancer des bronches, du sein, du côlon et des ovaires) et des affections malignes lymphoïdes (p. ex. lymphomes, myélomes multiples) ont été inclus dans ces études.
  • -·Données regroupées de deux études sur Aranesp, administré à des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1. Il s'agissait d'une étude à un bras sur Aranesp, administré à 206 patients, et d’une étude menée en double insu et contrôlée contre placebo sur Aranesp, comprenant un total de 146 patients (Aranesp 98, placebo 48).
  • +Les effets indésirables identifiés associés à Aranesp sont une hypertension artérielle, des accidents vasculaires cérébraux, des évènements thromboemboliques, des convulsions, des réactions allergiques, un rash/érythème, une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) et des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +Une douleur au site d'injection attribuable au traitement a été rapportée dans les études où Aranesp a été administré par voie sous-cutanée. Les symptômes au site d'injection étaient généralement légers et transitoires et sont survenus le plus souvent après la première injection.
  • +L'incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000, incluant des rapports isolés).
  • +La fréquence des effets indésirables a été calculée sur la base des études cliniques suivantes et des expériences issues d'un contexte post-AMM:
  • +·Etudes contrôlées incluant un total de 1357 patients, 766 ayant reçu Aranesp et 591 ayant reçu r-HuEPO. Dans le groupe sous Aranesp, 83% ont été traités par dialyse et 17% n'ont pas été dialysés. Dans une autre étude clinique (TREAT, voir la section «Propriétés/Effets»), l'AVC a été identifié comme effet indésirable.
  • +·Données regroupées de sept études randomisées en double insu et contrôlées contre placebo avec Aranesp, comprenant un total de 2112 patients (Aranesp 1200, placebo 912). Des patients présentant des tumeurs solides (p.ex. cancer des bronches, du sein, du côlon et des ovaires) et des affections malignes lymphoïdes (p.ex. lymphomes, myélomes multiples) ont été inclus dans ces études.
  • +·Données regroupées de deux études sur Aranesp, administré à des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1. Il s'agissait d'une étude à un bras sur Aranesp, administré à 206 patients, et d'une étude menée en double insu et contrôlée contre placebo sur Aranesp, comprenant un total de 146 patients (Aranesp 98, placebo 48).
  • -Très fréquents: Infection des voies urinaires2(15%), nasopharyngite2 (10%).
  • +Très fréquents: Infection des voies urinaires2 (15%), nasopharyngite2 (10%).
  • -Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Fréquents: Pyrexie3, douleurs thoraciques3, douleurs au site d’injection4,5.
  • +Fréquents: Pyrexie3, douleurs thoraciques3, réactions au site d'injection (dont douleurs au site d'injection, ecchymoses au niveau du site d'injection et hémorragie au niveau du site d'injection)1.
  • -Fréquents: Diminution de l’appétit3.
  • +Fréquents: Diminution de l'appétit3.
  • -Rares: Exfoliation de la peau1, érythème multiforme1, SJS/NET1.
  • +Rares: Exfoliation de la peau1, érythème multiforme1, SSJ/Syndrome de Lyell1.
  • -1 EIM identifiées dans un contexte post-AMM. La fréquence des EIM provenant du contexte post-AMM a été calculée sur la base des données regroupées issues d'études cliniques. Aucun cas de PRCA n’a été rapporté au cours d'études cliniques, raison pour laquelle cette fréquence a été calculée selon la «rule of 3».
  • +1 EIM identifiées dans un contexte post-AMM. La fréquence des EIM provenant du contexte post-AMM a été calculée sur la base des données regroupées issues d'études cliniques. Aucun cas de PRCA n'a été rapporté au cours d'études cliniques, raison pour laquelle cette fréquence a été calculée selon la «rule of 3».
  • -Dans toutes les études pédiatriques sur l’IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n’a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Dans toutes les études pédiatriques sur l'IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n'a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -La darbépoétine alfa stimule l'érythropoïèse selon le même mécanisme que l'hormone endogène. La darbépoétine alfa possède cinq chaînes glucidiques reliées à la protéine par liaison N-glycosidique alors que l'hormone endogène et l'érythropoïétine recombinante humaine (rHuEPO) en possèdent trois. Du point de vue moléculaire, les résidus osidiques additionnels ne se différencient pas de ceux de l'hormone endogène. En raison de sa plus grande teneur glucidique, la darbépoétine alfa a une demi-vie terminale plus longue que celle de la rHuEPO et en conséquence, une activité in vivo supérieure. Malgré ces différences moléculaires, la darbépoétine alfa conserve une très haute spécificité pour le récepteur de l'érythropoïétine.
  • +La darbépoétine alfa stimule l'érythropoïèse selon le même mécanisme que l'hormone endogène. La darbépoétine alfa possède cinq chaînes glucidiques reliées à la protéine par liaison N-glycosidique alors que l'hormone endogène et l'érythropoïétine recombinante humaine (r-HuEPO) en possèdent trois. Du point de vue moléculaire, les résidus osidiques additionnels ne se différencient pas de ceux de l'hormone endogène. En raison de sa plus grande teneur glucidique, la darbépoétine alfa a une demi-vie terminale plus longue que celle de la r-HuEPO et en conséquence, une activité in vivo supérieure. Malgré ces différences moléculaires, la darbépoétine alfa conserve une très haute spécificité pour le récepteur de l'érythropoïétine.
  • -Dans une étude randomisée en double aveugle (n = 358) de correction de l'anémie comparant les schémas posologiques d'une injection toutes les deux semaines et d'une injection une fois par mois chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique non dialysés, le schéma d'administration de la darbépoétine alfa une fois par mois était aussi efficace que le schéma d'administration toutes les deux semaines.
  • -Le temps médian (1er quartile, 3e quartile) pour atteindre une correction de l'hémoglobine (≥10,0 g/dl et ≥1,0 g/dl d'augmentation par rapport au niveau de référence) était de 5 semaines pour les deux schémas d'administration toutes les deux semaines (3, 7 semaines) et une fois par mois (3, 9 semaines).
  • -Lors d'une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo (TREAT) menée chez 4038 patients atteints d'insuffisance rénale chronique, non dialysés, souffrant de diabète de type 2 et avec des taux d'hémoglobine ≤11 g/dl, les patients ont reçu soit un traitement par darbépoétine alfa afin d'atteindre un taux cible d'hémoglobine de 13 g/dl, soit le placebo (avec un traitement de secours par la darbépoétine alfa si le taux d'hémoglobine était inférieur à 9 g/dl). L'étude n'a pas atteint l'objectif principal de démontrer une réduction du risque de mortalité toutes causes confondues ou de morbidité cardiovasculaire (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,05; IC à 95% (0,94; 1,17)), ou une réduction de la mortalité toutes causes confondues ou de l'insuffisance rénale terminale (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,06; IC à 95% (0,95-1,19)). L'analyse des différents composants des critères d'évaluation composites a montré une augmentation statistiquement significative du risque d'accident vasculaire cérébral (RR 1,92 (1,38-2,68)).
  • -Lors d'une étude randomisée prospective, 1432 patients anémiques présentant une insuffisance rénale chronique sans dialyse ont été soumis à un traitement par époétine alfa (rHuEPO), dont l'objectif était de maintenir une concentration d'hémoglobine à 13,5 g/dl ou à 11,3 g/dl. Dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine la plus élevée, 125 patients sur 715 (18%) ont présenté un événement cardiovasculaire grave (décès, infarctus du myocarde, AVC ou hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque), en comparaison avec 97 patients sur 717 (14%) dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine plus faible [risque relatif (RR) 1,3; IC à 95% 1,0-1,7 et p = 0,03].
  • +Dans une étude randomisée en double aveugle (n = 358) de correction de l'anémie comparant les schémas posologiques d'une injection toutes les deux semaines et d'une injection une fois par mois chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique non dialysés, le schéma d'administration de la darbépoétine alfa une fois par mois était aussi efficace que le schéma d'administration toutes les deux semaines. Le temps médian (1er quartile, 3e quartile) pour atteindre une correction de l'hémoglobine (≥10,0 g/dl et ≥1,0 g/dl d'augmentation par rapport au niveau de référence) était de 5 semaines pour les deux schémas d'administration toutes les deux semaines (3, 7 semaines) et une fois par mois (3, 9 semaines).
  • +Lors d'une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo (TREAT) menée chez 4038 patients atteints d'insuffisance rénale chronique, non dialysés, souffrant de diabète de type 2 et avec des taux d'hémoglobine ≤11 g/dl, les patients ont reçu soit un traitement par darbépoétine alfa afin d'atteindre un taux cible d'hémoglobine de 13 g/dl, soit le placebo (avec un traitement de secours par la darbépoétine alfa si le taux d'hémoglobine était inférieur à 9 g/dl). L'étude n'a pas atteint l'objectif principal de démontrer une réduction du risque de mortalité toutes causes confondues ou de morbidité cardiovasculaire (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,05; IC à 95% (0,94; 1,17)), ou une réduction de la mortalité toutes causes confondues ou de l'insuffisance rénale terminale (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,06; IC à 95% (0,95; 1,19)). L'analyse des différents composants des critères d'évaluation composites a montré une augmentation statistiquement significative du risque d'accident vasculaire cérébral (RR 1,92 (1,38; 2,68)).
  • +Lors d'une étude randomisée prospective, 1432 patients anémiques présentant une insuffisance rénale chronique sans dialyse ont été soumis à un traitement par époétine alfa (r-HuEPO), dont l'objectif était de maintenir une concentration d'hémoglobine à 13,5 g/dl ou à 11,3 g/dl. Dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine la plus élevée, 125 patients sur 715 (18%) ont présenté un événement cardiovasculaire grave (décès, infarctus du myocarde, AVC ou hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque), en comparaison avec 97 patients sur 717 (14%) dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine plus faible [risque relatif (RR) 1,3; IC à 95% 1,0-1,7 et p = 0,03].
  • -Dans une étude clinique, 124 patients pédiatriques âgés de 1 à 18 ans, présentant une insuffisance rénale chronique, dialysés ou non et stabilisés sous époétine alfa ont été randomisés soit pour recevoir la darbépoétine alfa une fois par semaine (par voie sous-cutanée ou intraveineuse) en utilisant un facteur de conversion de dose de 238/1 soit pour continuer le traitement par époétine alfa sans modification de la dose, du schéma posologique et de la voie d'administration utilisés jusque-là. Le principal critère d'évaluation de l'efficacité (modification du taux d'hémoglobine entre la valeur initiale et le moment de l'évaluation [semaine 21-28]) était comparable entre les deux groupes. Le taux d'hémoglobine moyen pour la rHuEPO et la darbépoétine alfa à l'inclusion était de 11,1 (ET 0,7) g/dl et 11,3 (ET 0,6) g/dl. Le taux d'hémoglobine moyen à la semaine 28 était de 11,1 (ET 1,4) g/dl pour la rHuEPO et de 11,1 (ET 1,1) g/dl pour la darbépoétine alfa.
  • +Dans une étude clinique, 124 patients pédiatriques âgés de 1 à 18 ans, présentant une insuffisance rénale chronique, dialysés ou non et stabilisés sous époétine alfa ont été randomisés soit pour recevoir la darbépoétine alfa une fois par semaine (par voie sous-cutanée ou intraveineuse) en utilisant un facteur de conversion de dose de 238:1 soit pour continuer le traitement par époétine alfa sans modification de la dose, du schéma posologique et de la voie d'administration utilisés jusque-là. Le principal critère d'évaluation de l'efficacité (modification du taux d'hémoglobine entre la valeur initiale et le moment de l'évaluation [semaine 21-28]) était comparable entre les deux groupes. Le taux d'hémoglobine moyen pour la r-HuEPO et la darbépoétine alfa à l'inclusion était de 11,1 (ET 0,7) g/dl et 11,3 (ET 0,6) g/dl. Le taux d'hémoglobine moyen à la semaine 28 était de 11,1 (ET 1,4) g/dl pour la r-HuEPO et de 11,1 (ET 1,1) g/dl pour la darbépoétine alfa.
  • -En raison de sa plus grande teneur glucidique, la concentration de darbépoétine alfa dans le sang circulant reste supérieure à la concentration minimale nécessaire à la stimulation de l'érythropoïèse, pendant une durée 3 fois plus longue que celle de la dose équimolaire de rHuEPO. Ceci permet une administration moins fréquente de darbépoétine alfa pour obtenir la même réponse biologique.
  • +En raison de sa plus grande teneur glucidique, la concentration de darbépoétine alfa dans le sang circulant reste supérieure à la concentration minimale nécessaire à la stimulation de l'érythropoïèse, pendant une durée 3 fois plus longue que celle de la dose équimolaire de r-HuEPO. Ceci permet une administration moins fréquente de darbépoétine alfa pour obtenir la même réponse biologique.
  • -Les données de 809 patients ayant reçu Aranesp dans le cadre d'études cliniques européennes ont été analysées pour déterminer la dose nécessaire au maintien du taux d'hémoglobine; aucune différence n'a été observée entre les doses moyennes hebdomadaires administrées par voie intraveineuse ou sous-cutanée. De plus, des études cliniques ont montré qu'une adaptation posologique était nécessaire lorsque les patients recevant de hautes doses de rHuEPO par voie intraveineuse passaient à Aranesp, afin de corriger une hématopoïèse excessive due à la puissance supérieure d'Aranesp.
  • +Les données de 809 patients ayant reçu Aranesp dans le cadre d'études cliniques européennes ont été analysées pour déterminer la dose nécessaire au maintien du taux d'hémoglobine; aucune différence n'a été observée entre les doses moyennes hebdomadaires administrées par voie intraveineuse ou sous-cutanée. De plus, des études cliniques ont montré qu'une adaptation posologique était nécessaire lorsque les patients recevant de hautes doses de r-HuEPO par voie intraveineuse passaient à Aranesp, afin de corriger une hématopoïèse excessive due à la puissance supérieure d'Aranesp.
  • -Pour permettre une utilisation en ambulatoire, Aranesp peut être conservé une seule fois, pendant une période maximale de 7 jours à température ambiante (jusqu'à 25 °C). Lorsque Aranesp a été sorti du réfrigérateur et a atteint la température ambiante (jusqu'à 25 °C), il doit être utilisé dans les 7 jours ou jeté.
  • +Pour permettre une utilisation en ambulatoire, Aranesp peut être conservé une seule fois, pendant une période maximale de 7 jours à température ambiante jusqu'à 25 °C. Lorsque Aranesp a été sorti du réfrigérateur et a atteint la température ambiante (jusqu'à 25 °C), il doit être utilisé dans les 7 jours ou jeté.
  • -Les seringues préremplies avec ou sans système de protection automatique de l'aiguille sont présentées sous plaquette thermoformée (boîte de 1 et 4 seringues). Les seringues préremplies sans système de protection automatique de l'aguille sont également présentées sans plaquette thermoformée (boîte de 1 seringue uniquement). Aranesp 10 est uniquement disponible sans système de protection automatique de l'aiguille.
  • +Les seringues préremplies avec ou sans système de protection automatique de l'aiguille sont présentées sous plaquette thermoformée (boîte de 1 et 4 seringues). Les seringues préremplies sans système de protection automatique de l'aiguille sont également présentées sans plaquette thermoformée (boîte de 1 seringue uniquement). Aranesp 10 est uniquement disponible sans système de protection automatique de l'aiguille.
  • -Mars 2018.
  • -Version #080118
  • +Février 2019.
  • +Version #160119
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