118 Changements de l'information professionelle Aranesp 10 Mikrogramm |
-Principe actif: darbépoétine alfa, produite à partir de cellules CHO (cellules ovariennes de hamster chinois) génétiquement modifiées.
-Excipients: phosphates de sodium (phosphate monosodique, phosphate disodique), chlorure de sodium, polysorbate 80 (produit à partir de maïs génétiquement modifié) et eau pour préparations injectables.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Solution injectable (injectable)
-Seringues préremplies
-Aranesp 10: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 10 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 15: 1 seringue préremplie (0,375 ml) contient 15 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 20: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 20 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 30: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 30 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 40: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 40 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 50: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 50 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 60: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 60 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 80: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 80 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 100: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 100 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 150: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 150 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 300: 1 seringue préremplie (0,6 ml) contient 300 µg de darbépoétine alfa.
-Aranesp 500: 1 seringue préremplie (1,0 ml) contient 500 µg de darbépoétine alfa.
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- +Principes actifs
- +Darbépoétine alfa, produite à partir de cellules CHO (cellules ovariennes de hamster chinois) génétiquement modifiées.
- +Excipients
- +Phosphate monosodique monohydraté, phosphate disodique, chlorure de sodium, polysorbate 80 (produit à partir de maïs génétiquement modifié) et eau pour préparations injectables.
- +Aranesp 10 μg: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 1,51 mg de sodium.
- +Aranesp 20 μg: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 1,89 mg de sodium.
- +Aranesp 30 μg: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 1,14 mg de sodium.
- +Aranesp 40 μg: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 1,51 mg de sodium.
- +Aranesp 50 μg: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 1,89 mg de sodium.
- +Aranesp 60 μg: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 1,14 mg de sodium.
- +Aranesp 80 μg: 1 seringue préremplie (0,4 ml) contient 1,51 mg de sodium.
- +Aranesp 100 μg: 1 seringue préremplie (0,5 ml) contient 1,89 mg de sodium.
- +Aranesp 150 μg: 1 seringue préremplie (0,3 ml) contient 1,14 mg de sodium.
- +Aranesp 300 μg: 1 seringue préremplie (0,6 ml) contient 2,27 mg de sodium.
- +Aranesp 500 μg: 1 seringue préremplie (1,0 ml) contient 3,79 mg de sodium.
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-Pour traiter l'anémie chez les patients adultes présentant un faible besoin de transfusion en cas de syndromes myélodysplasiques des groupes à risque low ou intermediate-1 et de faibles taux d'érythropoïétine endogène.
- +Traitement de l'anémie chez les patients adultes présentant un faible besoin de transfusion en cas de syndromes myélodysplasiques des groupes à risque low ou intermediate-1 et de faibles taux d'érythropoïétine endogène.
-Voir rubrique «Remarques particulières» pour les instructions concernant la manipulation et l'élimination.
- +Voir «Remarques particulières» pour les instructions concernant la manipulation et l'élimination.
- +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments issus de la biotechnologie, il est recommandé d'enregistrer le nom commercial et le numéro de lot pour chaque traitement.
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-Les patients devront être étroitement surveillés afin de s'assurer que la dose minimale efficace d'Aranesp est utilisée pour contrôler les symptômes de l'anémie tout en maintenant une hémoglobinémie inférieure ou égale à 12 g/dl (7,5 mmol/l). Des mesures de prudence sont requises lors de l'augmentation des doses d'Aranesp chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique. Chez les patients présentant une réponse faible du taux d'hémoglobine à Aranesp, d'autres causes expliquant la faible réponse devront être envisagées (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
-En raison de la variabilité intra-individuelle, il est possible qu'un patient présente occasionnellement des taux d'hémoglobine supérieurs ou inférieurs au taux d'hémoglobine souhaité. Il convient de remédier à la variabilité des taux d'hémoglobine en adaptant la dose.
-Le taux cible d'hémoglobine est compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Il faut éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) et une augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de 4 semaines.
-Si l'on observe une augmentation du taux d'hémoglobine au-delà de 12 g/dl (7,5 mmol/l), il convient d'adapter la posologie.
- +Les patients devront être étroitement surveillés afin de s'assurer que la dose minimale efficace d'Aranesp est utilisée pour contrôler les symptômes de l'anémie tout en maintenant une hémoglobinémie inférieure ou égale à 12 g/dl (7,5 mmol/l). Des mesures de prudence sont requises lors de l'augmentation des doses d'Aranesp chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique. Chez les patients présentant une réponse faible du taux d'hémoglobine à Aranesp, d'autres causes expliquant la faible réponse devront être envisagées (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
- +En raison de la variabilité intra-individuelle, il est possible qu'un patient présente occasionnellement des taux d'hémoglobine supérieurs ou inférieurs au taux d'hémoglobine souhaité. Il convient de remédier à la variabilité des taux d'hémoglobine en adaptant la dose. Le taux cible d'hémoglobine est compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Il faut éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) et une augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines. Si l'on observe une augmentation du taux d'hémoglobine au-delà de 12 g/dl (7,5 mmol/l), il convient d'adapter la posologie.
-Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25%.
-Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il convient de réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer.
-A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
- +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25%. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il convient de réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
-Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation.
-Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il convient de réduire la dose d'environ 25%.
-Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
- +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il convient de réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
-Phase d'entretien (passage de r-HuEPO à Aranesp)
- +Phase d'entretien (passage de la r-HuEPO à Aranesp)
-Chez les patients pédiatriques dialysés d'un an et plus, la dose initiale utilisée par voie sous-cutanée ou intraveineuse est de 0,45 μg/kg de poids corporel en une seule injection une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, Aranesp peut aussi être administré en une seule injection à la dose initiale de 0,45 μg/kg de poids corporel une fois par semaine ou à la dose initiale de 0,75 μg/kg de poids corporel une fois toutes les deux semaines. Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus souvent qu'une fois toutes les quatre semaines.
- +Chez les patients pédiatriques dialysés d'un an et plus, la dose initiale utilisée par voie sous-cutanée ou intraveineuse est de 0,45 μg/kg de poids corporel en une seule injection une fois par semaine. Chez les patients non dialysés, Aranesp peut aussi être administré en une seule injection sous-cutanée à la dose initiale de 0,45 μg/kg de poids corporel une fois par semaine ou à la dose initiale de 0,75 μg/kg de poids corporel une fois toutes les deux semaines. Si ensuite l'augmentation du taux d'hémoglobine n'est pas suffisante (moins de 1 g/dl [0,6 mmol/l] en quatre semaines), la dose peut être augmentée d'environ 25%. La posologie ne doit pas être augmentée plus souvent qu'une fois toutes les quatre semaines.
-La correction de l'anémie n'a pas été étudiée chez les enfants et les adolescents prenant de l'Aranesp à une fréquence d'une fois par mois.
- +La correction de l'anémie n'a pas été étudiée chez les enfants et les adolescents prenant Aranesp à une fréquence d'une fois par mois.
-Si le taux cible d'hémoglobine a été atteint avec une utilisation toutes les deux semaines, Aranesp peut aussi être utilisé par voie sous-cutanée une fois par mois chez les patients d'onze ans et plus non dialysés. Dans ce cas, la dose devra correspondre au double de la dose utilisée toutes les deux semaines.
-Phase d'entretien (passage de r-HuEPO à Aranesp)
- +Si le taux cible d'hémoglobine a été atteint avec une utilisation toutes les deux semaines, Aranesp peut aussi être utilisé par voie sous-cutanée une fois par mois chez les patients de onze ans et plus non dialysés. Dans ce cas, la dose devra correspondre au double de la dose utilisée toutes les deux semaines.
- +Phase d'entretien (passage de la r-HuEPO à Aranesp)
-En raison de la variabilité intra-individuelle, il est possible qu'un patient présente occasionnellement des taux d'hémoglobine supérieurs ou inférieurs au taux d'hémoglobine souhaité. Il convient de remédier à la variabilité des taux d'hémoglobine en adaptant la dose, le taux d'hémoglobine cible étant situé entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l).
-Il convient d'éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l); lorsque le taux d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l), les recommandations relatives à une adaptation adéquate de la posologie sont décrites ci-après.
-La dose initiale recommandée est de 500 µg (6,75 µg/kg de poids corporel), administrée une fois toutes les 3 semaines, ou de 2,25 µg/kg de poids corporel administrée une fois par semaine. Si la réponse clinique (taux d'hémoglobine) n'est pas satisfaisante après 9 semaines de traitement, la poursuite du traitement s'avérera vraisemblablement inefficace.
- +En raison de la variabilité intra-individuelle, il est possible qu'un patient présente occasionnellement des taux d'hémoglobine supérieurs ou inférieurs au taux d'hémoglobine souhaité. Il convient de remédier à la variabilité des taux d'hémoglobine en adaptant la dose, le taux d'hémoglobine cible étant situé entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Il convient d'éviter le maintien d'un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l); lorsque le taux d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l), les recommandations relatives à une adaptation adéquate de la posologie sont décrites ci-après.
- +La dose initiale recommandée est de 500 µg (6,75 µg/kg de poids corporel), administrée en une seule injection une fois toutes les 3 semaines, ou de 2,25 µg/kg de poids corporel administrée une fois par semaine. Si la réponse clinique (taux d'hémoglobine) n'est pas satisfaisante après 9 semaines de traitement, la poursuite du traitement s'avérera vraisemblablement inefficace.
-Aranesp est à administrer par voie sous-cutanée chez les patients atteints d'anémie (p.ex. concentration en hémoglobine <10 g/dl [6,2 mmol/l]) et présentant de faibles taux d'érythropoïétine endogène <500 mU/ml, afin d'augmenter le taux d'hémoglobine à un maximum de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Les symptômes et séquelles d'une anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et du degré de gravité général de la maladie. C'est pourquoi il est indispensable que l'évolution clinique et l'état de santé du patient soient évalués par un médecin.
- +Aranesp est à administrer par voie sous-cutanée chez les patients atteints d'anémie (p.ex. concentration en hémoglobine <10 g/dl [6,2 mmol/l]) et présentant de faibles taux d'érythropoïétine endogène < 500 mU/ml, afin d'augmenter le taux d'hémoglobine à un maximum de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Les symptômes et les conséquences d'une anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et de la sévérité générale de la maladie; c'est pourquoi l'évolution clinique et l'état de chaque patient doivent être évalués par un médecin.
-Si le taux d'hémoglobine est monté à >12,0 g/dl, le médecin doit arrêter provisoirement le médicament et ce, jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine rechute à <11,0 g/dl; il convient ensuite de reprendre le traitement à une dose réduite par rapport à l'ancienne dose (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) en conservant l'intervalle de dosage précédent.
- +Si le taux d'hémoglobine est monté à plus de 12,0 g/dl, le médecin doit arrêter provisoirement le médicament et ce, jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine rechute à moins de 11,0 g/dl; il convient ensuite de reprendre le traitement à une dose réduite par rapport à l'ancienne dose (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) en conservant l'intervalle de dosage précédent.
-Chez les patients dont le taux d'hémoglobine a augmenté de <1,5 g/dl après deux prises à raison de trois fois par semaine et chez lesquels aucune transfusion d'érythrocytes n'a été réalisée au cours des 28 derniers jours, la dose est augmentée de 500 µg toutes les trois semaines à 500 µg toutes les deux semaines. En l'absence de réponse du taux d'hémoglobine, même après augmentation de la dose dans un délai ≤3 mois, Aranesp doit être arrêté.
- +Chez les patients dont le taux d'hémoglobine a augmenté de moins de 1,5 g/dl après deux administrations une fois toutes les trois semaines et chez lesquels aucune transfusion d'érythrocytes n'a été réalisée au cours des 28 derniers jours, la dose est augmentée de 500 µg toutes les trois semaines à 500 µg toutes les deux semaines. En l'absence de réponse du taux d'hémoglobine, même après augmentation de la dose, dans un délai maximal de 3 mois, Aranesp doit être arrêté.
-Si le taux d'hémoglobine n'augmente pas de >1,5 g/dl au cours d'une période donnée de 21 jours avec administration de la dose toutes les trois semaines ou de >1,0 g/dl au cours d'une période donnée de 14 jours avec administration de la dose toutes les deux semaines, sans qu'une transfusion d'érythrocytes n'ait été réalisée, il convient de réduire la posologie par rapport à la dose précédente (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) et de conserver l'intervalle de dosage précédent, afin d'éviter un dépassement du seuil d'hémoglobine de 12,0 g/dl.
- +Si le taux d'hémoglobine n'augmente pas de plus de 1,5 g/dl au cours d'une période donnée de 21 jours avec administration de la dose toutes les trois semaines ou de plus de 1,0 g/dl au cours d'une période donnée de 14 jours avec administration de la dose toutes les deux semaines, sans qu'une transfusion d'érythrocytes n'ait été réalisée, il convient de réduire la posologie par rapport à la dose précédente (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) et de conserver l'intervalle de dosage précédent, afin d'éviter un dépassement du seuil d'hémoglobine de 12,0 g/dl.
-Hypersensibilité à la darbépoétine alfa, à la r-HuEPO ou à l'un des composants.
- +Hypersensibilité à la darbépoétine alfa, à la r-HuEPO ou à l'un des autres composants.
-Des cas d'érythroblastopénie (PRCA = pure red cell aplasia) dus à des anticorps anti-érythropoïétine neutralisants ont été rapportés avec les agents stimulant l'érythropoïèse (ASE), y compris Aranesp. Cela a principalement été rapporté chez des patients présentant une insuffisance rénale chronique et traités par voie sous-cutanée. Ces anticorps présentent une réaction croisée avec tous les ASE. Les patients chez qui la présence d'anticorps anti-érythropoïétine neutralisants est suspectée ou confirmée, ne devront pas être passés à d'autres ASE (voir rubrique «Effets indésirables»).
- +Des cas d'érythroblastopénie (PRCA = pure red cell aplasia) dus à des anticorps anti-érythropoïétine neutralisants ont été rapportés avec les agents stimulant l'érythropoïèse (ASE), y compris Aranesp. Cela a principalement été rapporté chez des patients présentant une insuffisance rénale chronique et traités par voie sous-cutanée. Ces anticorps présentent une réaction croisée avec tous les ASE. Les patients chez qui la présence d'anticorps anti-érythropoïétine neutralisants est suspectée ou confirmée, ne devront pas être passés à d'autres ASE (voir «Effets indésirables»).
-Une diminution paradoxale de l'hémoglobine et le développement d'une anémie sévère, associés à un nombre faible de réticulocytes, doit inciter à interrompre rapidement le traitement par l'époétine et à effectuer une recherche d'anticorps anti-érythropoïétine.
- +Une diminution paradoxale de l'hémoglobine et le développement d'une anémie sévère, associés à un nombre faible de réticulocytes, doivent inciter à interrompre rapidement le traitement par l'époétine et à effectuer une recherche d'anticorps anti-érythropoïétine.
- +Sodium
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, le taux d'hémoglobine durant la phase d'entretien ne doit pas dépasser la limite supérieure du taux cible d'hémoglobine recommandé dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi». Au cours des études cliniques, un risque accru de mortalité, d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires graves, y compris d'accidents vasculaires cérébraux, et de thromboses vasculaires au niveau du shunt a été observé lorsque des agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) étaient administrés dans le but d'atteindre un taux cible d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l).
-La prudence s'impose en cas d'augmentations de la dose d'Aranesp chez les patients ayant une insuffisance rénale chronique, car des doses cumulatives d'époétine élevées peuvent être associées à un risque accru de mortalité et d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires graves. Chez les patients présentant une réponse faible du taux d'hémoglobine aux époétines, d'autres causes expliquant la faible réponse devront être envisagées (voir rubriques «Posologie/Mode d’emploi» et «Propriétés/Effets»).
- +Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, le taux d'hémoglobine durant la phase d'entretien ne doit pas dépasser la limite supérieure du taux cible d'hémoglobine recommandé dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Au cours des études cliniques, un risque accru de mortalité, d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires graves, y compris d'accidents vasculaires cérébraux, et de thromboses vasculaires au niveau du shunt a été observé lorsque des agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) étaient administrés dans le but d'atteindre un taux cible d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l).
- +La prudence s'impose en cas d'augmentations de la dose d'Aranesp chez les patients ayant une insuffisance rénale chronique, car des doses cumulatives d'époétine élevées peuvent être associées à un risque accru de mortalité et d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires graves. Chez les patients présentant une réponse faible du taux d'hémoglobine aux époétines, d'autres causes expliquant la faible réponse devront être envisagées (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Propriétés/Effets»).
-Si la pression artérielle reste difficilement contrôlable malgré l'instauration de mesures appropriées, le taux d'hémoglobine peut éventuellement être réduit en diminuant ou en arrêtant les doses d'Aranesp (voir rubrique «Posologie/Mode d’emploi»). Des cas de crises hypertensives graves, d'encéphalopathie hypertensive et de convulsions ont été observés chez des patients atteints d'insuffisance rénale chronique traités par Aranesp.
- +Si la pression artérielle reste difficilement contrôlable malgré l'instauration de mesures appropriées, le taux d'hémoglobine peut éventuellement être réduit en diminuant ou en arrêtant les doses d'Aranesp (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des cas de crises hypertensives graves, d'encéphalopathie hypertensive et de convulsions ont été observés chez des patients atteints d'insuffisance rénale chronique traités par Aranesp.
-Des récepteurs à l'érythropoïétine peuvent être exprimés à la surface de différents types de cellules tumorales. Comme avec tout facteur de croissance, on craint que les époétines puissent stimuler la croissance tumorale.
-Dans plusieurs études contrôlées, les époétines n'ont entraîné aucune amélioration de la survie globale ou aucune diminution du risque de progression tumorale chez les patients atteints d'une anémie associée à un cancer.
-Au cours d'études cliniques contrôlées, l'utilisation d'Aranesp et d'autres agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) ont montré:
- +Des récepteurs à l'érythropoïétine peuvent être exprimés à la surface de différents types de cellules tumorales. Comme avec tout facteur de croissance, on craint que les époétines puissent stimuler la croissance tumorale. Dans plusieurs études contrôlées, les époétines n'ont entraîné aucune amélioration de la survie globale ou aucune diminution du risque de progression tumorale chez les patients atteints d'une anémie associée à un cancer.
- +Au cours d'études cliniques contrôlées, l'utilisation d'Aranesp et d'autres agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) a montré:
-·une non-infériorité par rapport au placebo en termes de survie globale et de survie sans progression dans une étude de non-infériorité sur Aranesp avec un taux cible d'hémoglobine de 12 g/dl chez des patients anémiques présentant un cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé (voir «Propriétés/Effets».
- +·une non-infériorité par rapport au placebo en termes de survie globale et de survie sans progression dans une étude de non-infériorité sur Aranesp avec un taux cible d'hémoglobine de 12 g/dl chez des patients anémiques présentant un cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé (voir «Propriétés/Effets»).
-Si le taux d'hémoglobine est supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) chez les patients atteints de tumeurs solides ou de pathologies malignes lymphoprolifératives, respecter strictement l'adaptation posologique décrite au paragraphe «Posologie/Mode d’emploi», afin de minimiser les risques éventuels d'évènements thromboemboliques. Le nombre de plaquettes et le taux d'hémoglobine doivent également être surveillés à intervalles réguliers.
- +Si le taux d'hémoglobine est supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) chez les patients atteints de tumeurs solides ou de pathologies malignes lymphoprolifératives, respecter strictement l'adaptation posologique décrite dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi», afin de minimiser les risques éventuels d'événements thromboemboliques. Le nombre de plaquettes et le taux d'hémoglobine doivent également être surveillés à intervalles réguliers.
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
- +Allaitement
-Les effets indésirables identifiés associés à Aranesp sont une hypertension artérielle, des accidents vasculaires cérébraux, des événements thromboemboliques, des convulsions, des réactions allergiques, un rash/érythème, une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) et des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
- +Résumé du profil de sécurité
- +Les effets indésirables identifiés associés à Aranesp sont une hypertension artérielle, des accidents vasculaires cérébraux, des événements thromboemboliques, des convulsions, des réactions allergiques, un rash/érythème, une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) et des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell; voir «Mises en garde et précautions».
-L'incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000, incluant des rapports isolés).
- +Liste des effets indésirables
- +L'incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10 000, <1/1000); très rares (<1/10 000, incluant des rapports isolés).
-·Etudes contrôlées incluant un total de 1357 patients, 766 ayant reçu Aranesp et 591 ayant reçu r-HuEPO. Dans le groupe sous Aranesp, 83% ont été traités par dialyse et 17% n'ont pas été dialysés. Dans une autre étude clinique (TREAT, voir rubrique «Propriétés/Effets»), l'AVC a été identifié comme effet indésirable.
-·Données regroupées de sept études randomisées en double insu et contrôlées contre placebo avec Aranesp, comprenant un total de 2112 patients (Aranesp 1200, placebo 912). Des patients présentant des tumeurs solides (p.ex. cancer des bronches, du sein, du côlon et des ovaires) et des affections malignes lymphoïdes (p.ex. lymphomes, myélomes multiples) ont été inclus dans ces études.
-·Données regroupées de deux études sur Aranesp, administré à des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1. Il s'agissait d'une étude à un bras sur Aranesp, administré à 206 patients, et d'une étude menée en double insu et contrôlée contre placebo sur Aranesp, comprenant un total de 146 patients (Aranesp 98, placebo 48).
-Affections hématologiques et du système lymphatique
-Rares: Erythroblastopénie (PRCA)1.
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- +·Etudes contrôlées incluant un total de 1357 patients, 766 ayant reçu Aranesp et 591 ayant reçu r-HuEPO. Dans le groupe sous Aranesp, 83% ont été traités par dialyse et 17% n'ont pas été dialysés. Dans une autre étude clinique (TREAT, voir «Propriétés/Effets»), l'AVC a été identifié comme effet indésirable.
- +·Données regroupées de sept études randomisées en double aveugle et contrôlées contre placebo avec Aranesp, comprenant un total de 2112 patients (Aranesp 1200, placebo 912). Des patients présentant des tumeurs solides (p.ex. cancer des bronches, du sein, du côlon et des ovaires) et des affections malignes lymphoïdes (p.ex. lymphomes, myélomes multiples) ont été inclus dans ces études.
- +·Données regroupées de deux études sur Aranesp, administré à des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1. Il s'agissait d'une étude à un bras sur Aranesp, administré à 206 patients, et d'une étude menée en double aveugle et contrôlée contre placebo sur Aranesp, comprenant un total de 146 patients (Aranesp 98, placebo 48).
-Très fréquents: Infection des voies urinaires2 (15%), nasopharyngite2 (10%).
-Fréquents: Cellulite2, sinusite2.
-Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
-Fréquents: Chute2, contusion2.
- +Très fréquents: infection des voies urinaires2 (15%), nasopharyngite2 (10%)
- +Fréquents: cellulite2, sinusite2
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Rares: érythroblastopénie (PRCA)1
-Très fréquents: hypersensibilité4,5,a (14%).
-Occasionnels: Bronchospasme allergique1.
-Rares: Réaction anaphylactique1, angio-œdème1.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Très fréquents: Fatigue3 (25%).
-Fréquents: Pyrexie3, douleurs thoraciques3, douleurs au site d'injection4,5,d, œdème4.
-Occasionnels: ecchymoses au niveau du site d'injection1, hémorragie au niveau du site d'injection1.
- +Très fréquents: hypersensibilité4,5,a (14%)
- +Occasionnels: bronchospasme allergique1
- +Rares: réaction anaphylactique1, angio-œdème1
-Très fréquents: Hypoglycémie2 (14%).
-Fréquents: Diminution de l'appétit3.
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Fréquents: Douleurs dorsales3, myalgie3.
- +Très fréquents: hypoglycémie2 (14%)
- +Fréquents: diminution de l'appétit3
-Très fréquents: Vertiges2 (12%).
-Fréquents: Céphalées2,3, accident vasculaire cérébral2.
-Occasionnels: Crampes/convulsions1.
-Affections du rein et des voies urinaires
-Très fréquents: Insuffisance rénale chronique2 (15%).
- +Très fréquents: vertiges2 (12%)
- +Fréquents: céphalées2,3, accident vasculaire cérébral2
- +Occasionnels: crampes / convulsions1
- +Affections vasculaires
- +Très fréquents: hypertension5 (29%)
- +Fréquents: hypertension2, hypotension2, événements thromboemboliques3,4,5,b
- +Occasionnels: thrombose de l'accès vasculaire utilisé pour la dialyse1,b
-Fréquents: Embolie pulmonaire4.
- +Fréquents: embolie pulmonaire4
-Fréquents: Eruption cutanée/érythème2,4,5,c, ulcère cutané2.
-Occasionnels: Urticaire1, formation de cloques1.
-Rares: Exfoliation de la peau1, érythème multiforme1, SSJ/Syndrome de Lyell1.
-Affections vasculaires
-Très fréquents: Hypertension5 (29%).
-Fréquents: Hypertension2, hypotension2, événements thromboemboliques3,4,5,b.
-Occasionnels: thrombose de l'accès vasculaire utilisé pour la dialyse1,b.
-1 EIM identifiées dans un contexte post-AMM. La fréquence des EIM provenant du contexte post-AMM a été calculée sur la base des données regroupées issues d'études cliniques. Aucun cas de PRCA n'a été rapporté au cours d'études cliniques, raison pour laquelle cette fréquence a été calculée selon la «rule of 3».
- +Fréquents: éruption cutanée / érythème2,4,5,c, ulcère cutané2
- +Occasionnels: urticaire1, formation de cloques1
- +Rares: exfoliation de la peau1, érythème multiforme1, SSJ / Syndrome de Lyell1
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Fréquents: douleurs dorsales3, myalgie3
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Très fréquents: insuffisance rénale chronique2 (15%)
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Très fréquents: fatigue3 (25%)
- +Fréquents: pyrexie3, douleurs thoraciques3, douleurs au site d'injection4,5,d, œdème4
- +Occasionnels: ecchymoses au niveau du site d'injection1, hémorragie au niveau du site d'injection1
- +Lésions, intoxications et complications d'interventions
- +Fréquents: chute2, contusion2
- +1 EIM identifiés dans un contexte post-AMM. La fréquence des EIM provenant du contexte post-AMM a été calculée sur la base des données regroupées issues d'études cliniques. Aucun cas de PRCA n'a été rapporté au cours d'études cliniques, raison pour laquelle cette fréquence a été calculée selon la « rule of 3 ».
-c L'EIM «éruption/érythème» comprend les PT éruption, éruption avec démangeaisons, éruption maculeuse, éruption généralisée, érythème, éruption papuleuse, éruption exfoliatrice, éruption maculopapuleuse, éruption cutanée bulleuse et éruption pustuleuse de la SOC «Infections et infestations»
- +c L'EIM «éruption / érythème» comprend les PT éruption, éruption avec démangeaisons, éruption maculeuse, éruption généralisée, érythème, éruption papuleuse, éruption exfoliatrice, éruption maculopapuleuse, éruption cutanée bulleuse et éruption pustuleuse de la SOC «Infections et infestations».
-Population pédiatrique insuffisante rénale chronique
-Dans toutes les études pédiatriques sur l'IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n'a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
- +Enfants et adolescents insuffisants rénaux chroniques
- +Dans toutes les études pédiatriques sur l'IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n'a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir «Propriétés/Effets»).
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-La quantité maximale d'Aranesp qui peut être administrée en toute sécurité à des doses uniques ou multiples n'a pas été déterminée. Le traitement par Aranesp peut entraîner une polyglobulie si le taux d'hémoglobine n'est pas étroitement surveillé et la dose correctement ajustée. Des cas d'hypertension artérielle sévère ont été observés après un surdosage avec Aranesp (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Interrompre provisoirement le traitement par Aranesp lors d'une polyglobulie (voir rubrique «Posologie/Mode d’emploi»). En cas d'indication clinique, pratiquer éventuellement une phlébotomie.
- +La quantité maximale d'Aranesp qui peut être administrée en toute sécurité à des doses uniques ou multiples n'a pas été déterminée.
- +Signes et symptômes
- +Le traitement par Aranesp peut entraîner une polyglobulie si le taux d'hémoglobine n'est pas étroitement surveillé et la dose correctement ajustée. Des cas d'hypertension artérielle sévère ont été observés après un surdosage avec Aranesp (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Traitement
- +Interrompre provisoirement le traitement par Aranesp lors d'une polyglobulie (voir «Posologie/Mode d'emploi»). En cas d'indication clinique, pratiquer éventuellement une phlébotomie.
-Code ATC: B03XA02
-La darbépoétine alfa est une glycoprotéine hautement purifiée, composée de 165 acides aminés. Elle est obtenue par génie génétique à partir d'une lignée cellulaire de mammifère (CHO, cellules ovariennes de hamster chinois) dans laquelle le gène codant pour l'érythropoïétine modifiée a été introduit par des techniques recombinantes. La darbépoétine alfa se différencie de l'érythropoïétine humaine recombinante par l'addition de résidus glucidiques supplémentaires, faisant passer ainsi le poids moléculaire de la molécule de 30'000 à 37'000 daltons.
-
- +Code ATC
- +B03XA02
-L'érythropoïétine humaine est une hormone glycoprotéique endogène. Elle est le principal régulateur de l'érythropoïèse par son interaction spécifique avec le récepteur de l'érythropoïétine situé sur les précurseurs érythroïdes de la moelle osseuse. L'érythropoïétine est produite et régulée principalement par les reins, en réponse à des modifications de l'oxygénation tissulaire. Chez les patients insuffisants rénaux chroniques, la production de l'érythropoïétine endogène est diminuée et la cause principale de leur anémie est une déficience en érythropoïétine. Chez les patients cancéreux recevant une chimiothérapie, l'étiologie de l'anémie est multifactorielle. Chez ces patients, un déficit en érythropoïétine et une diminution de la réponse des précurseurs érythroïdes à l'érythropoïétine endogène contribuent tous deux significativement à leur anémie. Chez les patients présentant des syndromes myélodysplasiques, l'anémie est survenue principalement par suite d'une prolifération et d'une différenciation insuffisantes des progéniteurs érythroïdes, conduisant à une érythropoïèse inefficace.
- +La darbépoétine alfa est une glycoprotéine hautement purifiée, composée de 165 acides aminés. Elle est obtenue par génie génétique à partir d'une lignée cellulaire de mammifère (CHO, cellules ovariennes de hamster chinois) dans laquelle le gène codant pour l'érythropoïétine modifiée a été introduit par des techniques recombinantes. La darbépoétine alfa se différencie de l'érythropoïétine humaine recombinante par l'addition de résidus glucidiques supplémentaires, faisant passer ainsi le poids moléculaire de la molécule de 30'000 à 37'000 daltons.
- +L'érythropoïétine humaine est une hormone glycoprotéique endogène. Elle est le principal régulateur de l'érythropoïèse par son interaction spécifique avec le récepteur de l'érythropoïétine situé sur les précurseurs érythroïdes de la moelle osseuse. L'érythropoïétine est produite et régulée principalement par les reins, en réponse à des modifications de l'oxygénation tissulaire. Chez les patients insuffisants rénaux chroniques, la production de l'érythropoïétine endogène est diminuée et la cause principale de leur anémie est une déficience en érythropoïétine. Chez les patients cancéreux recevant une chimiothérapie, l'étiologie de l'anémie est multifactorielle. Chez ces patients, un déficit en érythropoïétine et une diminution de la réponse des précurseurs érythroïdes à l'érythropoïétine endogène contribuent tous deux significativement à leur anémie. Chez les patients présentant des syndromes myélodysplasiques, l'anémie est survenue principalement par suite d'une prolifération et d'une différenciation insuffisantes des précurseurs érythroïdes, conduisant à une érythropoïèse inefficace.
- +Efficacité clinique
- +
-Dans une étude randomisée en double aveugle (n = 358) de correction de l'anémie comparant les schémas posologiques d'une injection toutes les deux semaines et d'une injection une fois par mois chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique non dialysés, le schéma d'administration de la darbépoétine alfa une fois par mois était aussi efficace que le schéma d'administration toutes les deux semaines. Le temps médian (1er quartile, 3e quartile) pour atteindre une correction de l'hémoglobine (≥10,0 g/dl et ≥1,0 g/dl d'augmentation par rapport au niveau de référence) était de 5 semaines pour les deux schémas d'administration toutes les deux semaines (3, 7 semaines) et une fois par mois (3, 9 semaines).
-Lors d'une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo (TREAT) menée chez 4038 patients atteints d'insuffisance rénale chronique, non dialysés, souffrant de diabète de type 2 et avec des taux d'hémoglobine ≤11 g/dl, les patients ont reçu soit un traitement par darbépoétine alfa afin d'atteindre un taux cible d'hémoglobine de 13 g/dl, soit le placebo (avec un traitement de secours par la darbépoétine alfa si le taux d'hémoglobine était inférieur à 9 g/dl). L'étude n'a pas atteint l'objectif principal de démontrer une réduction du risque de mortalité toutes causes confondues ou de morbidité cardiovasculaire (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,05; IC à 95% (0,94; 1,17)), ou une réduction de la mortalité toutes causes confondues ou de l'insuffisance rénale terminale (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,06; IC à 95% (0,95; 1,19)). L'analyse des différents composants des critères d'évaluation composites a montré une augmentation statistiquement significative du risque d'accident vasculaire cérébral (RR 1,92 (1,38; 2,68)).
-Lors d'une étude randomisée prospective, 1432 patients anémiques présentant une insuffisance rénale chronique sans dialyse ont été soumis à un traitement par époétine alfa (r-HuEPO), dont l'objectif était de maintenir une concentration d'hémoglobine à 13,5 g/dl ou à 11,3 g/dl. Dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine la plus élevée, 125 patients sur 715 (18%) ont présenté un événement cardiovasculaire grave (décès, infarctus du myocarde, AVC ou hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque), en comparaison avec 97 patients sur 717 (14%) dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine plus faible [risque relatif (RR) 1,3; IC à 95% 1,0-1,7 et p = 0,03].
-Un risque accru d'événements cardiovasculaires graves a également été mis en évidence dans une étude randomisée prospective chez 1265 patients hémodialysés présentant une maladie cardiaque cliniquement manifeste (cardiopathie ischémique ou insuffisance cardiaque). Dans cette étude, les patients ont été soumis à un traitement par époétine alfa dans le but de maintenir le taux d'hémoglobine à un niveau de 14 ± 1 g/dl ou de 10 ± 1 g/dl. Le taux de mortalité était plus élevé chez les 634 patients avec un taux d'hémoglobine cible de 14 g/dl (35%) que chez les 631 patients avec un taux d'hémoglobine cible de 10 g/dl (29%). La raison de l'augmentation du taux de mortalité observée dans cette étude est inconnue, cependant l'incidence des infarctus du myocarde non mortels, des thromboses dans l'abord vasculaire et d'autres événements thrombotiques était également plus élevée dans le groupe avec un taux d'hémoglobine cible de 14 g/dl.
-Des analyses combinées post-hoc des études cliniques concernant les ASE ont été effectuées chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique (dialysés et non-dialysés, diabétiques et non-diabétiques). Une tendance à l'augmentation du risque de mortalité toutes causes confondues et d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires a été observée en association avec des doses cumulatives d'ASE élevées, mais indépendamment du fait que les patients soient dialysés ou diabétiques (voir rubriques «Posologie/Mode d’emploi» et «Mises en garde et précautions»).
- +Dans une étude randomisée en double aveugle (n=358) de correction de l'anémie comparant les schémas posologiques d'une injection toutes les deux semaines et d'une injection une fois par mois chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique non dialysés, le schéma d'administration de la darbépoétine alfa une fois par mois était aussi efficace que le schéma d'administration toutes les deux semaines. Le temps médian (1er quartile, 3e quartile) pour atteindre une correction de l'hémoglobine (≥10,0 g/dl et ≥1,0 g/dl d'augmentation par rapport au niveau de référence) était de 5 semaines pour les deux schémas d'administration toutes les deux semaines (3, 7 semaines) et une fois par mois (3, 9 semaines).
- +Lors d'une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo (TREAT) menée chez 4038 patients atteints d'insuffisance rénale chronique, non dialysés, souffrant de diabète de type 2 et avec des taux d'hémoglobine ≤11 g/dl, les patients ont reçu soit un traitement par darbépoétine alfa afin d'atteindre un taux cible d'hémoglobine de 13 g/dl, soit le placebo (avec un traitement de secours par la darbépoétine alfa si le taux d'hémoglobine était inférieur à 9 g/dl). L'étude n'a pas atteint l'objectif principal de démontrer une réduction du risque de mortalité toutes causes confondues ou de morbidité cardiovasculaire (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,05; IC à 95% [0,94; 1,17]), ou une réduction de la mortalité toutes causes confondues ou de l'insuffisance rénale terminale (darbépoétine alfa versus placebo; RR 1,06; IC à 95% [0,95; 1,19]). L'analyse des différents composants des critères d'évaluation composites a montré une augmentation statistiquement significative du risque d'accident vasculaire cérébral (RR 1,92 [1,38; 2,68]).
- +Lors d'une étude randomisée prospective, 1432 patients anémiques présentant une insuffisance rénale chronique sans dialyse ont été soumis à un traitement par époétine alfa (r-HuEPO), dont l'objectif était de maintenir une concentration d'hémoglobine à 13,5 g/dl ou à 11,3 g/dl. Dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine la plus élevée, 125 patients sur 715 (18%) ont présenté un événement cardiovasculaire grave (décès, infarctus du myocarde, AVC ou hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque), en comparaison avec 97 patients sur 717 (14%) dans le groupe présentant la concentration d'hémoglobine plus faible [risque relatif (RR) 1,3; IC à 95% 1,0-1,7 et p=0,03].
- +Un risque accru d'événements cardiovasculaires graves a également été mis en évidence dans une étude randomisée prospective chez 1265 patients hémodialysés présentant une maladie cardiaque cliniquement manifeste (cardiopathie ischémique ou insuffisance cardiaque). Dans cette étude, les patients ont été soumis à un traitement par époétine alfa dans le but de maintenir le taux d'hémoglobine à un niveau de 14±1 g/dl ou de 10±1 g/dl. Le taux de mortalité était plus élevé chez les 634 patients avec un taux d'hémoglobine cible de 14 g/dl (35%) que chez les 631 patients avec un taux d'hémoglobine cible de 10 g/dl (29%). La raison de l'augmentation du taux de mortalité observée dans cette étude est inconnue, cependant l'incidence des infarctus du myocarde non mortels, des thromboses dans l'abord vasculaire et d'autres événements thrombotiques était également plus élevée dans le groupe avec un taux d'hémoglobine cible de 14 g/dl.
- +Des analyses combinées post-hoc des études cliniques concernant les ASE ont été effectuées chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique (dialysés et non dialysés, diabétiques et non-diabétiques). Une tendance à l'augmentation du risque de mortalité toutes causes confondues et d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires a été observée en association avec des doses cumulatives d'ASE élevées, mais indépendamment du fait que les patients soient dialysés ou diabétiques (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
-Dans une étude clinique randomisée, la darbépoétine alfa a été utilisée une fois par semaine (n = 58) ou une fois toutes les deux semaines (n = 56) pour corriger l'anémie de 114 patients pédiatriques âgés de 2 à 18 ans, dialysés ou non, présentant une insuffisance rénale chronique et une anémie (taux d'hémoglobine <10,0 g/dl), et qui n'avaient pas été traités par ASE. Le principal critère d'évaluation de l'efficacité était le pourcentage de patients atteignant une correction de l'hémoglobine ≥10,0 g/dl à chaque moment pris en compte après la première dose et sans transfusion de globules rouges après la randomisation et au cours des 90 jours précédant la mesure du taux d'hémoglobine.
-Plus de 98% (p <0,001) des patients pédiatriques ayant reçu la darbépoétine alfa une fois par semaine et 84% (p = 0,293) de ceux l'ayant reçu une fois toutes les deux semaines ont atteint un taux d'hémoglobine ≥10 g/dl. Le principal critère d'évaluation a été atteint dans le bras traité une fois par semaine, mais non dans le bras traité toutes les deux semaines. Au moment où le taux d'hémoglobine ≥10,0 mg/dl a été atteint pour la première fois, la dose moyenne (ET, écart type) ajustée en fonction du poids corporel était de 0,48 (0,24) µg/kg (intervalle: de 0,0 à 1,7 µg/kg) dans le groupe traité une fois par semaine et de 0,76 (0,21) µg/kg (intervalle: de 0,3 à 1,5 µg/kg) dans le groupe traité toutes les deux semaines.
- +Dans une étude clinique randomisée, la darbépoétine alfa a été utilisée une fois par semaine (n=58) ou une fois toutes les deux semaines (n=56) pour corriger l'anémie de 114 patients pédiatriques âgés de 2 à 18 ans, dialysés ou non, présentant une insuffisance rénale chronique et une anémie (taux d'hémoglobine <10,0 g/dl), et qui n'avaient pas été traités par ASE. Le principal critère d'évaluation de l'efficacité était le pourcentage de patients atteignant une correction de l'hémoglobine ≥10,0 g/dl à chaque moment pris en compte après la première dose et sans transfusion de globules rouges après la randomisation et au cours des 90 jours précédant la mesure du taux d'hémoglobine.
- +Plus de 98% (p<0,001) des patients pédiatriques ayant reçu la darbépoétine alfa une fois par semaine et 84% (p=0,293) de ceux l'ayant reçu une fois toutes les deux semaines ont atteint un taux d'hémoglobine ≥10 g/dl. Le principal critère d'évaluation a été atteint dans le bras traité une fois par semaine, mais non dans le bras traité toutes les deux semaines. Au moment où le taux d'hémoglobine ≥10,0 mg/dl a été atteint pour la première fois, la dose moyenne (ET, écart type) ajustée en fonction du poids corporel était de 0,48 (0,24) µg/kg (intervalle: de 0,0 à 1,7 µg/kg) dans le groupe traité une fois par semaine et de 0,76 (0,21) µg/kg (intervalle: de 0,3 à 1,5 µg/kg) dans le groupe traité toutes les deux semaines.
-Dans ces études, aucune différence pertinente n'a été relevée entre le profil de sécurité des enfants et des adolescents et le profil de sécurité précédemment rapporté chez les patients adultes (voir rubrique «Effets indésirables»).
- +Dans ces études, aucune différence pertinente n'a été relevée entre le profil de sécurité des enfants et des adolescents et le profil de sécurité précédemment rapporté chez les patients adultes (voir «Effets indésirables»).
-Dans une étude de phase III, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, menée chez 2549 adultes anémiques recevant une chimiothérapie pour traiter un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) à un stade avancé, les patients ont été randomisés selon un ratio 2:1 et ont reçu soit de la darbépoétine alfa, soit un placebo jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine atteigne 12 g/dl au maximum. Les résultats ont prouvé la non-infériorité de la darbépoétine alfa par rapport au placebo en termes de survie globale, le principal critère d'évaluation. La survie médiane sous darbépoétine alfa versus placebo s'est élevée respectivement à 9,46 et 9,26 mois (hazard ratio stratifié 0,92; IC à 95%: 0,83-1,01), et le critère d'évaluation secondaire, la survie sans progression, a été respectivement de 4,80 et 4,34 mois (hazard ratio stratifié 0,95; IC à 95%: 0,87-1,04), l'augmentation du risque de 15%, précédemment fixée, ayant été exclue.
- +Dans une étude de phase III, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, menée chez 2549 adultes anémiques recevant une chimiothérapie pour traiter un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) à un stade avancé, les patients ont été randomisés selon un ratio 2:1 et ont reçu soit de la darbépoétine alfa, soit un placebo jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine atteigne 12 g/dl au maximum. Les résultats ont prouvé la non-infériorité de la darbépoétine alfa par rapport au placebo en termes de survie globale, le principal critère d'évaluation. La survie médiane sous darbépoétine alfa versus placebo s'est élevée respectivement à 9,46 et 9,26 mois (hazard ratio stratifié 0,92; IC à 95%: 0,83-1,01), et le critère d'évaluation secondaire, la survie sans progression, a été respectivement de 4,80 et 4,34 mois (risque relatif stratifié 0,95; IC à 95%: 0,87-1,04), l'augmentation du risque de 15%, précédemment fixée, ayant été exclue.
-Lors d'une étude prospective, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo et menée chez 314 patients atteints d'un cancer du poumon et recevant une chimiothérapie à base de sels de platine, une réduction significative des besoins transfusionnels a été observée chez les patients sous darbépoétine alfa (p <0,001).
- +Lors d'une étude prospective, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo et menée chez 314 patients atteints d'un cancer du poumon et recevant une chimiothérapie à base de sels de platine, une réduction significative des besoins transfusionnels a été observée chez les patients sous darbépoétine alfa (p<0,001).
-La tolérance et l'efficacité d'un traitement par Aranesp, administré une fois toutes les trois semaines pour réduire les besoins transfusionnels érythrocytaires chez des patients traités par chimiothérapie, ont été évalués au cours d'un essai international randomisé, mené en double aveugle. Cette étude a été réalisée chez 705 patients anémiques atteints de pathologies malignes non myéloïdes et traités par plusieurs cycles de chimiothérapie. Les patients ont été randomisés pour recevoir Aranesp, soit à la dose de 500 µg une fois toutes les trois semaines, soit à la dose hebdomadaire de 2,25 µg/kg. Dans les deux groupes, la dose a été réduite de 40% par rapport à la dose précédente (soit une première réduction à 300 µg dans le groupe avec une administration une fois toutes les trois semaines et à 1,35 µg/kg dans le groupe avec une administration hebdomadaire) lorsque l'augmentation du taux d'hémoglobine a été supérieure à 1 g/dl sur une période de 14 jours. Dans le groupe avec une administration une fois toutes les trois semaines, 72% des patients ont eu besoin d'une réduction de dose. Dans le groupe avec une administration hebdomadaire, une réduction de dose a été nécessaire chez 75% des patients. Cette étude montre que l'administration d'une dose de 500 µg une fois toutes les trois semaines est comparable à une administration hebdomadaire en ce qui concerne l'incidence des patients ayant reçu au moins une transfusion de globules rouges à partir de la semaine 5 jusqu'à la fin du traitement.
-Lors d'une étude prospective, randomisée, contrôlée contre placebo et menée en double aveugle auprès de 344 patients anémiques présentant une pathologie maligne lymphoproliférative et traités par chimiothérapie, une réduction significative des besoins transfusionnels et une amélioration de la réponse en ce qui concerne le taux d'hémoglobine ont été observées (p <0,001). Une amélioration de l'état d'épuisement, mesuré par le score «Functional Assessment of Cancer Therapy-Fatigue» (FACT-fatigue) a également été observée.
- +La tolérance et l'efficacité d'un traitement par Aranesp, administré une fois toutes les trois semaines pour réduire les besoins transfusionnels érythrocytaires chez des patients traités par chimiothérapie, ont été évaluées au cours d'un essai international randomisé, mené en double aveugle. Cette étude a été réalisée chez 705 patients anémiques atteints de pathologies malignes non myéloïdes et traités par plusieurs cycles de chimiothérapie. Les patients ont été randomisés pour recevoir Aranesp, soit à la dose de 500 µg une fois toutes les trois semaines, soit à la dose hebdomadaire de 2,25 µg/kg. Dans les deux groupes, la dose a été réduite de 40% par rapport à la dose précédente (soit une première réduction à 300 µg dans le groupe avec une administration une fois toutes les trois semaines et à 1,35 µg/kg dans le groupe avec une administration hebdomadaire) lorsque l'augmentation du taux d'hémoglobine a été supérieure à 1 g/dl sur une période de 14 jours. Dans le groupe avec une administration une fois toutes les trois semaines, 72% des patients ont eu besoin d'une réduction de dose. Dans le groupe avec une administration hebdomadaire, une réduction de dose a été nécessaire chez 75% des patients. Cette étude montre que l'administration d'une dose de 500 µg une fois toutes les trois semaines est comparable à une administration hebdomadaire en ce qui concerne l'incidence des patients ayant reçu au moins une transfusion de globules rouges à partir de la semaine 5 jusqu'à la fin du traitement.
- +Lors d'une étude prospective, randomisée, contrôlée contre placebo et menée en double aveugle auprès de 344 patients anémiques présentant une pathologie maligne lymphoproliférative et traités par chimiothérapie, une réduction significative des besoins transfusionnels et une amélioration de la réponse en ce qui concerne le taux d'hémoglobine ont été observées (p < 0,001). Une amélioration de l'état d'épuisement, mesuré par le score «Functional Assessment of Cancer Therapy-Fatigue» (FACT-fatigue) a également été observée.
-Des signes - relatifs à la sécurité d'emploi - évoquant une augmentation de la mortalité ou une progression tumorale ont été observés dans 6 études contrôlées portant sur des ASE administrés à des patients cancéreux. Deux de ces études ont inclus des patients atteints d'un cancer du sein (n = 939) ou d'un lymphome malin (n = 344) et traités par chimiothérapie. La concentration d'hémoglobine cible était ≥13 g/dl dans les deux études. Les deux études ont mis en évidence une réduction de la survie globale en cas d'administration d'ASE, mais pas d'effets sur la progression tumorale. Un contrôle systématique de toutes les données contrôlées disponibles pour les patients traités par chimiothérapie (y compris les deux études citées ci-dessus) a donné un rapport des cotes (Odds Ratio) de la survie globale en cas d'administration d'ASE de 0,99 (IC à 95%; 0,72, 1,36; 30 études et 6282 patients).
-Les 4 études restantes avec des signes relatifs à la sécurité d'emploi ont été menées sur des populations d'essai pour lesquelles les ASE ne sont pas autorisés. Deux des études ont examiné des patients qui ne recevaient ni chimiothérapie ni radiothérapie. Une étude a évalué des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) (n = 70) et avec un taux d'hémoglobine cible de 12 à 14 g/dl, tandis que l'autre étude a évalué des patients présentant différents types de tumeurs (n = 989) et avec un taux d'hémoglobine cible de 12 g/dl. Les deux études ont rapporté une réduction de la survie globale en liaison avec l'administration d'ASE, mais n'ont pas permis de déterminer la progression tumorale. Deux études ont inclus des patients présentant des tumeurs de la tête et du cou (n = 351 et n = 522), qui recevaient uniquement une radiothérapie et pour lesquels un taux d'hémoglobine cible de >14 g/dl a été déterminé. Les deux études ont mis en évidence une réduction du contrôle locorégional de la tumeur et une tendance à une diminution de la survie globale chez les patients traités par ASE.
- +Des signes - relatifs à la sécurité d'emploi - évoquant une augmentation de la mortalité ou une progression tumorale ont été observés dans 6 études contrôlées portant sur des ASE administrés à des patients cancéreux. Deux de ces études ont inclus des patients atteints d'un cancer du sein (n=939) ou d'un lymphome malin (n=344) et traités par chimiothérapie. La concentration d'hémoglobine cible était ≥13 g/dl dans les deux études. Les deux études ont mis en évidence une réduction de la survie globale en cas d'administration d'ASE, mais pas d'effets sur la progression tumorale. Un contrôle systématique de toutes les données contrôlées disponibles pour les patients traités par chimiothérapie (y compris les deux études citées ci-dessus) a donné un rapport des cotes (Odds Ratio) de la survie globale en cas d'administration d'ASE de 0,99 (IC à 95%; 0,72, 1,36; 30 études et 6282 patients).
- +Les 4 études restantes avec des signes relatifs à la sécurité d'emploi ont été menées sur des populations d'essai pour lesquelles les ASE ne sont pas autorisés. Deux des études ont examiné des patients qui ne recevaient ni chimiothérapie ni radiothérapie. Une étude a évalué des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) (n=70) et avec un taux d'hémoglobine cible de 12 à 14 g/dl, tandis que l'autre étude a évalué des patients présentant différents types de tumeurs (n=989) et avec un taux d'hémoglobine cible de 12 g/dl. Les deux études ont rapporté une réduction de la survie globale en liaison avec l'administration d'ASE, mais n'ont pas permis de déterminer la progression tumorale. Deux études ont inclus des patients présentant des tumeurs de la tête et du cou (n=351 et n=522), qui recevaient uniquement une radiothérapie et pour lesquels un taux d'hémoglobine cible de >14 g/dl a été déterminé. Les deux études ont mis en évidence une réduction du contrôle locorégional de la tumeur et une tendance à une diminution de la survie globale chez les patients traités par ASE.
-Dans une étude, le traitement par la darbépoétine alfa de patients cancéreux présentant une anémie et ne recevant ni chimio- ni radiothérapie – une population chez laquelle Aranesp n'est pas indiqué – a mis en évidence une augmentation de la mortalité sous Aranesp par rapport au placebo. La raison de cette différence n'est pas claire. En outre, dans cette étude, aucune baisse significative des besoins transfusionnels n'a été obtenue dans le groupe sous Aranesp. Aranesp doit être utilisé uniquement chez les patients cancéreux anémiques sous chimiothérapie.
-Une analyse des données de plus de 13'900 patients atteints de cancer (chimiothérapie, radiothérapie, chimioradiothérapie, ou aucun traitement) issus de 53 essais cliniques contrôlés impliquant plusieurs époétines a été effectuée. Les méta-analyses indiquent toutes un risque relatif significativement accru d'événements thromboemboliques chez les patients atteints de cancer recevant une érythropoïétine recombinante humaine (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Dans une étude, le traitement par la darbépoétine alfa de patients cancéreux présentant une anémie et ne recevant ni chimiothérapie ni radiothérapie (population chez laquelle Aranesp n'est pas indiqué) a mis en évidence une augmentation de la mortalité sous Aranesp par rapport au placebo. La raison de cette différence n'est pas claire. En outre, dans cette étude, aucune baisse significative des besoins transfusionnels n'a été obtenue dans le groupe sous Aranesp. Aranesp doit être utilisé uniquement chez les patients cancéreux anémiques sous chimiothérapie.
- +Une analyse des données de plus de 13 900 patients atteints de cancer (chimiothérapie, radiothérapie, chimioradiothérapie, ou aucun traitement) issus de 53 essais cliniques contrôlés impliquant plusieurs époétines a été effectuée. Les méta-analyses indiquent toutes un risque relatif significativement accru d'événements thromboemboliques chez les patients atteints de cancer recevant une érythropoïétine recombinante humaine (voir « Mises en garde et précautions »).
-Une étude de phase 3 prospective, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo a été réalisée sur 146 patients anémiés présentant de faibles besoins transfusionnels (moins de 4 concentrés érythrocytaires pendant chacune des 2 périodes consécutives de 8 semaines qui précèdent la randomisation) et des syndromes myélodysplasiques du groupe de risque low ou intermediate-1. Les taux d'érythropoïétine endogène étaient <500 mU/ml. Dès que le taux d'hémoglobine avait atteint une valeur >12,0 g/dl, Aranesp a été arrêté. L'incidence des transfusions de la semaine 5 à la semaine 24 a significativement diminué dans le groupe sous Aranesp (35/97; 36,1%) par rapport au groupe sous placebo (29/49; 59,2%) (p = 0,008). La proportion des patients chez lesquels une réponse érythroïde avec hausse du taux d'hémoglobine de ≥1,5 g/dl par rapport à la valeur initiale a été atteinte et pour lesquels la hausse de ≥1,5 g/dl en moyenne a été maintenue sans transfusion érythrocytaire sur une période de 56 jours consécutifs, a significativement augmenté dans le groupe sous Aranesp (11/75; 14,7%) par rapport au groupe sous placebo (0/35; 0%) (p = 0,016). Tous les patients avec une réponse érythroïde (n = 11) présentaient un taux initial d'érythropoétine endogène de ~100 mU/ml.
- +Une étude de phase 3 prospective, randomisée, menée en double aveugle et contrôlée contre placebo a été réalisée sur 146 patients anémiques présentant de faibles besoins transfusionnels (moins de 4 concentrés érythrocytaires pendant chacune des 2 périodes consécutives de 8 semaines qui précèdent la randomisation) et des syndromes myélodysplasiques du groupe de risque low ou intermediate-1. Les taux d'érythropoïétine endogène étaient <500 mU/ml. Dès que le taux d'hémoglobine avait atteint une valeur >12,0 g/dl, Aranesp a été arrêté. L'incidence des transfusions de la semaine 5 à la semaine 24 a significativement diminué dans le groupe sous Aranesp (35/97; 36,1%) par rapport au groupe sous placebo (29/49; 59,2%) (p=0,008). La proportion des patients chez lesquels une réponse érythroïde avec hausse du taux d'hémoglobine ≥1,5 g/dl par rapport à la valeur initiale a été atteinte et pour lesquels la hausse ≥1,5 g/dl en moyenne a été maintenue sans transfusion érythrocytaire sur une période de 56 jours consécutifs a significativement augmenté dans le groupe sous Aranesp (11/75; 14,7%) par rapport au groupe sous placebo (0/35; 0%) (p=0,016). Tous les patients avec une réponse érythroïde (n=11) présentaient un taux initial d'érythropoétine endogène de 100 mU/ml environ.
-En raison de sa plus grande teneur glucidique, la concentration de darbépoétine alfa dans le sang circulant reste supérieure à la concentration minimale nécessaire à la stimulation de l'érythropoïèse, pendant une durée 3 fois plus longue que celle de la dose équimolaire de r-HuEPO. Ceci permet une administration moins fréquente de darbépoétine alfa pour obtenir la même réponse biologique.
- +En raison de sa plus grande teneur glucidique, la concentration de darbépoétine alfa dans le sang circulant reste supérieure à la concentration minimale nécessaire à la stimulation de l'érythropoïèse, pendant une durée 3 fois plus longue environ que celle de la dose équimolaire de r-HuEPO. Ceci permet une administration moins fréquente de darbépoétine alfa pour obtenir la même réponse biologique.
-Elimination
- +Élimination
-Pédiatrie
- +Enfants et adolescents
-Après l'administration sous-cutanée d'une dose de 2,25 µg/kg de darbépoétine alfa à des patients adultes cancéreux, un pic moyen de concentration de 10,6 ng/ml (ET = 5,9) a été atteint après une durée moyenne de 91 heures (ET = 19,7). Ces paramètres correspondaient à une pharmacocinétique dose-linéaire sur une large fourchette posologique (de 0,5 à 8 µg/kg une fois par semaine et de 3 à 9 µg/kg toutes les deux semaines). Les paramètres pharmacocinétiques n'ont pas changé après administration de doses multiples pendant 12 semaines (administration toutes les semaines ou toutes les deux semaines). Une augmentation attendue et modérée (<2 fois) de la concentration sérique a été observée lorsque l'état d'équilibre a été atteint. Toutefois, il n'y a pas eu d'accumulation inattendue après administration répétée.
-Elimination
- +Après l'administration sous-cutanée d'une dose de 2,25 µg/kg de darbépoétine alfa à des patients adultes cancéreux, un pic moyen de concentration de 10,6 ng/ml (ET=5,9) a été atteint après une durée moyenne de 91 heures (ET=19,7). Ces paramètres correspondaient à une pharmacocinétique dose-linéaire sur une large fourchette posologique (de 0,5 à 8 µg/kg une fois par semaine et de 3 à 9 µg/kg toutes les deux semaines). Les paramètres pharmacocinétiques n'ont pas changé après administration de doses multiples pendant 12 semaines (administration toutes les semaines ou toutes les deux semaines). Une augmentation attendue et modérée (<2 fois) de la concentration sérique a été observée lorsque l'état d'équilibre a été atteint. Toutefois, il n'y a pas eu d'accumulation inattendue après administration répétée.
- +Élimination
-L'utilisation de la darbépoétine alfa n'a pas permis de mettre en évidence de potentiel génotoxique ni d'effet quelconque sur la prolifération des cellules non hématologiques in vitro ou in vivo. Lors des études de toxicité chronique, aucune réaction tumorigène ou mitogène inattendue n'a été observée quel que soit le type de tissu. Le potentiel carcinogène de la darbépoétine alfa n'a pas été évalué lors d'expérimentations animales à long terme.
- +Génotoxicité
- +La darbépoétine alfa ne présente aucun potentiel génotoxique.
- +Carcinogénicité
- +L'utilisation de la darbépoétine alfa n'a pas permis de mettre en évidence d'effet quelconque sur la prolifération des cellules non hématologiques in vitro ou in vivo. Lors des études de toxicité chronique, aucune réaction tumorigène ou mitogène inattendue n'a été observée quel que soit le type de tissu. Le potentiel carcinogène de la darbépoétine alfa n'a pas été évalué lors d'expérimentations animales à long terme.
- +Toxicité pour la reproduction
- +
-Remarques concernant le stockage
-Conserver entre 2 °C et 8 °C (au réfrigérateur).
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C) dans son emballage d'origine et à l'abri de la lumière.
-Conserver le récipient dans son emballage pour le protéger de la lumière.
- +Conserver le médicament hors de la portée des enfants.
-Éliminer les restes de médicament non utilisés ou les emballages conformément à la réglementation en vigueur.
- +Eliminer les restes de médicament non utilisés ou les emballages conformément à la réglementation en vigueur.
-55725 (Swissmedic).
- +55'725 (Swissmedic)
-Aranesp 10: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 15: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 20: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 30: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 40: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 50: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 60: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 80: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 100: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 150: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 300: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Aranesp 500: Seringues préremplies avec solution injectable: 1 et 4 (A)
-Les seringues préremplies avec ou sans système de protection automatique de l'aiguille sont présentées sous plaquette thermoformée (boîte de 1 et 4 seringues). Les seringues préremplies sans système de protection automatique de l'aiguille sont également présentées sans plaquette thermoformée (boîte de 1 seringue uniquement). Aranesp 10 est uniquement disponible sans système de protection automatique de l'aiguille.
- +Aranesp 10 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 20 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 30 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 40 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 50 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 60 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 80 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 100 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 150 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 et 4 seringues [A]
- +Aranesp 300 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 seringue [A]
- +Aranesp 500 μg: solution injectable dans une seringue préremplie: boîte de 1 seringue [A]
- +Les seringues préremplies sont présentées sous plaquette thermoformée (boîte de 1 et 4 seringues). Aranesp 10 μg est uniquement disponible sans système de protection automatique de l'aiguille. Aranesp 20, 30, 40, 50, 60, 80, 100, 150, 300 et 500 μg ne sont disponibles qu'avec le système de protection automatique de l'aiguille.
-Domicile: 6343 Rotkreuz.
- +Domicile: 6343 Rotkreuz
-Septembre 2019.
-Version #100419
- +Décembre 2022
- +Version #240423
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