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Accueil - Information professionnelle sur Aranesp 10 Mikrogramm - Changements - 30.05.2018
33 Changements de l'information professionelle Aranesp 10 Mikrogramm
  • +Pour traiter l'anémie chez les patients adultes présentant un faible besoin de transfusion en cas de syndromes myélodysplasiques des groupes à risque low ou intermediate-1 et de faibles taux d'érythropoïétine endogène.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, réduire la dose d'environ 25%.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25%.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce momentlà, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit malgré une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • -L'expérience clinique a montré que les patients adultes recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp une fois par semaine et que les patients adultes recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale d'Aranesp (µg/semaine) peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 200. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines, voire toutes les deux semaines.
  • +L'expérience clinique a montré que les patients adultes recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp une fois par semaine et que les patients adultes recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une administration d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale d'Aranesp (µg/semaine) peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 200. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines, voire toutes les deux semaines.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, il faut réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • -Des données cliniques obtenues chez des patients pédiatriques ont montré que les patients recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp une fois par semaine et que les patients recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale hebdomadaire d'Aranesp (µg/semaine) à utiliser chez les patients pédiatriques peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 240. La dose initiale d'Aranesp à utiliser toutes les deux semaines (µg/toutes les deux semaines) peut être déterminée en divisant par 240 la dose totale cumulée de rHuEPO, utilisée pendant une période de deux semaines. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines ou toutes les deux semaines.
  • +Des données cliniques obtenues chez des patients pédiatriques ont montré que les patients recevant de la rHuEPO deux ou trois fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp une fois par semaine et que les patients recevant de la rHuEPO une fois par semaine peuvent passer à une utilisation d'Aranesp toutes les deux semaines. La dose initiale hebdomadaire d'Aranesp (µg/semaine) à utiliser chez les patients pédiatriques peut être déterminée en divisant la dose hebdomadaire totale de rHuEPO (UI/semaine) par 240. La dose initiale d'Aranesp à utiliser toutes les deux semaines (µg/toutes les deux semaines) peut être déterminée en divisant par 240 la dose totale cumulée de rHuEPO, utilisée pendant une période de deux semaines. En raison des variabilités individuelles, la recherche de la dose thérapeutique optimale doit être effectuée pour chaque patient. Lors du passage de la rHuEPO à Aranesp, il faut choisir la même voie d'administration et contrôler le taux d'hémoglobine toutes les semaines ou toutes les deux semaines.
  • -Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • +Si l'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2,0 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines, il convient de réduire la dose d'environ 25% en fonction de l'importance de cette augmentation. Si le taux d'hémoglobine s'approche de 12 g/dl (7,5 mmol/l) ou dépasse cette valeur, il faudra envisager de réduire la dose. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit, il faut réduire la dose d'environ 25%. Si l'augmentation du taux d'hémoglobine se poursuit après une réduction de la dose, l'administration devra être temporairement suspendue jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine commence à diminuer. A ce moment-là, le traitement sera repris à une dose d'environ 25% inférieure à la dose précédente.
  • +Traitement de l'anémie chez les patients présentant des syndromes myélodysplasiques
  • +Aranesp est à administrer par voie sous-cutanée chez les patients atteints d'anémie (p.ex. concentration en hémoglobine <10 g/dl [6,2 mmol/l]) et présentant de faibles taux d'érythropoïétine endogène <500 mU/ml, afin d'augmenter le taux d'hémoglobine à un maximum de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Les symptômes et séquelles d'une anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et du degré de gravité général de la maladie. C'est pourquoi il est indispensable que l'évolution clinique et l'état de santé du patient soient évalués par un médecin.
  • +En raison de la variabilité intra-individuelle, il est possible qu'un patient présente occasionnellement des taux d'hémoglobine supérieurs ou inférieurs au taux d'hémoglobine souhaité. Des adaptations posologiques sont nécessaires afin de remédier à la variabilité de l'hémoglobine, en tenant compte d'une plage cible d'hémoglobine située entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Il convient d'éviter que le taux d'hémoglobine dépasse durablement les 12 g/dl (7,5 mmol/l).
  • +Dépassement de la valeur seuil d'hémoglobine:
  • +Si le taux d'hémoglobine est monté à >12,0 g/dl, le médecin doit arrêter provisoirement le médicament et ce, jusqu'à ce que le taux d'hémoglobine rechute à <11,0 g/dl; il convient ensuite de reprendre le traitement à une dose réduite par rapport à l'ancienne dose (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) en conservant l'intervalle de dosage précédent.
  • +La dose initiale recommandée est de 500 µg (6,75 µg/kg) une fois toutes les trois semaines.
  • +Chez les patients dont le taux d'hémoglobine a augmenté de <1,5 g/dl après deux prises à raison de trois fois par semaine et chez lesquels aucune transfusion d'érythrocytes n'a été réalisée au cours des 28 derniers jours, la dose est augmentée de 500 µg toutes les trois semaines à 500 µg toutes les deux semaines. En l'absence de réponse du taux d'hémoglobine, même après augmentation de la dose dans un délai ≤3 mois, Aranesp doit être arrêté.
  • +Comme décrit ci-après, une réduction de la dose n'est autorisée que lorsque le seuil de 12,0 g/dl d'hémoglobine est dépassé ou lorsqu'il convient d'éviter une hausse trop rapide de l'hémoglobine.
  • +Hausse trop rapide du taux d'hémoglobine:
  • +Si le taux d'hémoglobine n'augmente pas de >1,5 g/dl au cours d'une période donnée de 21 jours avec administration de la dose toutes les trois semaines ou de >1,0 g/dl au cours d'une période donnée de 14 jours avec administration de la dose toutes les deux semaines, sans qu'une transfusion d'érythrocytes n'ait été réalisée, il convient de réduire la posologie par rapport à la dose précédente (c'est-à-dire de 500 µg à 300 µg, de 300 µg à 200 µg, de 200 µg à 100 µg) et de conserver l'intervalle de dosage précédent, afin d'éviter un dépassement du seuil d'hémoglobine de 12,0 g/dl.
  • +
  • -Les femmes qui tombent enceintes au cours du traitement par Aranesp doivent être incitées à s'inscrire dans le programme de surveillance de la grossesse d'Amgen. Les coordonnées sont fournies au médecin traitant par Amgen Switzerland AG.
  • -Une douleur au site d'injection attribuable au traitement a été rapportée dans les études où Aranesp a été administré par voie sous-cutanée. Les symptômes au site d'injection étaient généralement légers et transitoires et sont survenus le plus souvent après la première injection.
  • -L'incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1000); très rares (<1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Les données sont présentées séparément pour les patients atteints d'insuffisance rénale chronique et pour les patients cancéreux, en raison des profils d'effets indésirables différents dans ces populations.
  • -Incidence des effets indésirables rapportés dans les études cliniques contrôlées et dans le cadre de l'expérience après commercialisation:
  • -Patients insuffisants rénaux chroniques
  • -Les données sont issues d'études contrôlées incluant 1357 patients, 766 traités par Aranesp et 591 traités par la rHuEPO. Dans le groupe de patients traités par Aranesp, 83% ont été dialysés et 17% n'ont pas été dialysés. Les accidents vasculaires cérébraux ont été identifiés comme effets indésirables dans une étude clinique supplémentaire (TREAT, voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Une douleur au site d’injection attribuable au traitement a été rapportée dans les études où Aranesp a été administré par voie sous-cutanée. Les symptômes au site d’injection étaient généralement légers et transitoires et sont survenus le plus souvent après la première injection.
  • +L’incidence des effets indésirables est listée ci-dessous par classes de systèmes d’organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000, incluant des rapports isolés).
  • +La fréquence des effets indésirables a été calculée sur la base des études cliniques suivantes et des expériences issues d’un contexte post-AMM:
  • +·Etudes contrôlées incluant un total de 1357 patients, 766 ayant reçu Aranesp et 591 ayant reçu l’érythropoïétine recombinante humaine (rHuEPO). Dans le groupe sous Aranesp, 83% ont été traités par dialyse et 17% n’ont pas été dialysés. Dans une autre étude clinique (TREAT, voir la section «Propriétés/Effets»), l’AVC a été identifié comme effet indésirable.
  • +·Données regroupées de sept études randomisées en double insu et contrôlées contre placebo avec Aranesp, comprenant un total de 2112 patients (Aranesp 1200, placebo 912). Des patients présentant des tumeurs solides (p. ex. cancer des bronches, du sein, du côlon et des ovaires) et des affections malignes lymphoïdes (p. ex. lymphomes, myélomes multiples) ont été inclus dans ces études.
  • +·Données regroupées de deux études sur Aranesp, administré à des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1. Il s'agissait d'une étude à un bras sur Aranesp, administré à 206 patients, et d’une étude menée en double insu et contrôlée contre placebo sur Aranesp, comprenant un total de 146 patients (Aranesp 98, placebo 48).
  • -Fréquence inconnue: érythroblastopénie (PRCA).
  • +Rares: Erythroblastopénie (PRCA)1.
  • +Infections et infestations
  • +Très fréquents: Infection des voies urinaires2(15%), nasopharyngite2 (10%).
  • +Fréquents: Cellulite2, sinusite2.
  • +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
  • +Fréquents: Chute2, contusion2.
  • -Très fréquents: hypersensibilité (58% pour la darbépoétine alfa vs. 52% pour la substance de référence).
  • +Occasionnels: Bronchospasme allergique1.
  • +Rares: Réaction anaphylactique1, angio-Å“dème1.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Très fréquents: Fatigue3 (25%), Å“dème4 (12%).
  • +Fréquents: Pyrexie3, douleurs thoraciques3, douleurs au site d’injection4,5.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Très fréquents: Hypoglycémie2 (14%).
  • +Fréquents: Diminution de l’appétit3.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquents: Douleurs dorsales3, myalgie3.
  • -Fréquents: accidents vasculaires cérébraux.
  • -Occasionnels: convulsions.
  • -Affections cardiaques
  • -Très fréquents: hypertension artérielle (32% pour la darbépoétine alfa vs. 26% pour la substance de référence).
  • -Affections vasculaires
  • -Occasionnels: évènements thromboemboliques.
  • +Très fréquents: Vertiges2 (12%).
  • +Fréquents: Céphalées2,3.
  • +Occasionnels: Crampes/convulsions1.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Très fréquents: Insuffisance rénale chronique2 (15%).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquents: Embolie pulmonaire4.
  • -Fréquents: rash/érythème.
  • -Fréquence inconnue: SSJ/syndrome de Lyell, erythème polymorphe, cloques, exfoliation cutanée.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Fréquents: douleur au point d'injection.
  • -Patients cancéreux
  • -Les effets indésirables ont été déterminés sur la base des données regroupées de sept études randomisées, en double aveugle, contrôlées versus placebo avec un total de 2112 patients (1200 sous Aranesp et 912 sous placebo). Les patients présentant une tumeur solide (par exemple cancer du poumon, du sein, du colon ou des ovaires) ou des hémopathies malignes lymphoïdes (par exemple lymphome, ou myélome multiple) ont été inclus dans ces études cliniques.
  • -Affections du système immunitaire
  • -Très fréquents: hypersensibilité (42% pour la darbépoétine alfa vs. 44% pour le placebo).
  • -Affections du système nerveux
  • -Peu fréquents: convulsions.
  • -Affections cardiaques
  • -Fréquents: hypertension artérielle.
  • +Fréquents: Eruption cutanée/érythème2,4,5, ulcère cutané2.
  • +Occasionnels: Urticaire1, formation de cloques1.
  • +Rares: Exfoliation de la peau1, érythème multiforme1, SJS/NET1.
  • -Fréquents: évènements thromboemboliques y compris embolie pulmonaire.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Fréquents: rash/érythème.
  • -Fréquence inconnue: SSJ/syndrome de Lyell, erythème polymorphe, cloques, exfoliation cutanée.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Très fréquents: Å“dèmes (13% pour la darbépoétine alfa vs. 11% pour le placebo).
  • -Fréquents: douleur au point d'injection.
  • +Très fréquents: Hypertension5 (29%).
  • +Fréquents: Hypertension2, hypotension2, événements thrombo-emboliques3,4,5.
  • +1 EIM identifiées dans un contexte post-AMM. La fréquence des EIM provenant du contexte post-AMM a été calculée sur la base des données regroupées issues d'études cliniques. Aucun cas de PRCA n’a été rapporté au cours d'études cliniques, raison pour laquelle cette fréquence a été calculée selon la «rule of 3».
  • +2 EIM chez des patients adultes présentant un diabète de type 2 ne nécessitant pas une dialyse
  • +3 EIM chez des patients présentant des syndromes myélodysplasiques des groupes de risque low ou intermediate-1
  • +4 EIM chez des patients sous chimiothérapie
  • +5 EIM chez des patients insuffisants rénaux chroniques
  • -Dans toutes les études pédiatriques sur l'IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n'a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Dans toutes les études pédiatriques sur l’IRC, aucun effet indésirable supplémentaire n’a été identifié chez les enfants et les adolescents par rapport à ceux rapportés précédemment chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -L'érythropoïétine humaine est une hormone glycoprotéique endogène. Elle est le principal régulateur de l'érythropoïèse par son interaction spécifique avec le récepteur de l'érythropoïétine situé sur les précurseurs érythroïdes de la moelle osseuse. L'érythropoïétine est produite et régulée principalement par les reins, en réponse à des modifications de l'oxygénation tissulaire. Chez les patients insuffisants rénaux chroniques, la production de l'érythropoïétine endogène est diminuée et la cause principale de leur anémie est une déficience en érythropoïétine. Chez les patients cancéreux recevant une chimiothérapie, l'étiologie de l'anémie est multifactorielle. Chez ces patients, un déficit en érythropoïétine et une diminution de la réponse des précurseurs érythroïdes à l'érythropoïétine endogène contribuent tous deux significativement à leur anémie.
  • +L'érythropoïétine humaine est une hormone glycoprotéique endogène. Elle est le principal régulateur de l'érythropoïèse par son interaction spécifique avec le récepteur de l'érythropoïétine situé sur les précurseurs érythroïdes de la moelle osseuse. L'érythropoïétine est produite et régulée principalement par les reins, en réponse à des modifications de l'oxygénation tissulaire. Chez les patients insuffisants rénaux chroniques, la production de l'érythropoïétine endogène est diminuée et la cause principale de leur anémie est une déficience en érythropoïétine. Chez les patients cancéreux recevant une chimiothérapie, l'étiologie de l'anémie est multifactorielle. Chez ces patients, un déficit en érythropoïétine et une diminution de la réponse des précurseurs érythroïdes à l'érythropoïétine endogène contribuent tous deux significativement à leur anémie. Chez les patients présentant des syndromes myélodysplasiques, l'anémie est survenue principalement par suite d'une prolifération et d'une différenciation insuffisantes des progéniteurs érythroïdes, conduisant à une érythropoïèse inefficace.
  • +Patients présentant des syndromes myélodysplasiques
  • +Une étude de phase 3 prospective, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo a été réalisée sur 146 patients anémiés présentant de faibles besoins transfusionnels (moins de 4 concentrés érythrocytaires pendant chacune des 2 périodes consécutives de 8 semaines qui précèdent la randomisation) et des syndromes myélodysplasiques du groupe de risque low ou intermediate-1. Les taux d'érythropoïétine endogène étaient <500 mU/ml. Dès que le taux d'hémoglobine avait atteint une valeur >12,0 g/dl, Aranesp a été arrêté. L'incidence des transfusions de la semaine 5 à la semaine 24 a significativement diminué dans le groupe sous Aranesp (35/97; 36,1%) par rapport au groupe sous placebo (29/49; 59,2%) (p = 0,008). La proportion des patients chez lesquels une réponse érythroïde avec hausse du taux d'hémoglobine de ≥1,5 g/dl par rapport à la valeur initiale a été atteinte et pour lesquels la hausse de ≥1,5 g/dl en moyenne a été maintenue sans transfusion érythrocytaire sur une période de 56 jours consécutifs, a significativement augmenté dans le groupe sous Aranesp (11/75; 14,7%) par rapport au groupe sous placebo (0/35; 0%) (p = 0,016).
  • +Patients présentant des syndromes myélodysplasiques
  • +Il n'existe pas de données pharmacocinétiques chez les patients présentant des syndromes myélodysplasiques.
  • -Novembre 2017.
  • -Version #221117
  • +Mars 2018.
  • +Version #080118
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