88 Changements de l'information professionelle Timo-COMOD 0,25 % |
-Timo-COMOD 0,5% collyre ne contient pas d'agent conservateur.
- +Timo-COMOD collyre ne contient pas d’agent conservateur.
-Timo-COMOD collyre 0,5%: 5 mg de timolol/ml.
- +Timo-COMOD collyre 0,25 %: 2,5 mg de timolol/ml.
- +Timo-COMOD collyre 0,5 %: 5 mg de timolol/ml.
-·aphakie compliquée d'un glaucome;
- +·aphakie compliquée d’un glaucome;
-·angle iridocornéen étroit chez les patients avec antécédents de fermeture spontanée ou iatrogène de l'angle dans l'œil adelphe, chez qui une réduction de la pression intraoculaire est indispensable (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Timo-COMOD 0,5% est également indiqué en tant que médicament supplémentaire dans le glaucome infantile répondant insuffisamment aux autres médications antiglaucomateuses.
- +·angle iridocornéen étroit chez les patients avec antécédents de fermeture spontanée ou iatrogène de l’angle dans l’œil adelphe, chez qui une réduction de la pression intraoculaire est indispensable (cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Timo-COMOD est également indiqué en tant que médicament supplémentaire dans le glaucome infantile répondant insuffisamment aux autres médications antiglaucomateuses.
-La dose usuelle est de 1 goutte de Timo-COMOD 0,5% dans l'œil malade 2×/jour.
-Au besoin, un traitement concomitant comportant un myotique, de l'adrénaline et l'administration systémique d'un inhibiteur de l'anhydrase carbonique peut être instauré.
-L'utilisation de deux bêtabloquants topiques n'est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
-Etant donné que la baisse de la pression intraoculaire induite par Timo-COMOD 0,5% ne se stabilise qu'au bout de quelques semaines chez certains patients, il est préconisé de mesurer la pression intraoculaire après environ 4 semaines de traitement avant de juger de l'effet du produit.
-Au cas où la pression oculaire se stabilise à un niveau suffisamment bas, une seule instillation par jour s'avère suffisante chez de nombreux patients.
-La résorption systémique est réduite lorsqu'on pratique une occlusion naso-lacrymale ou ferme les paupières pendant deux minutes. Cela peut contribuer à renforcer les effets localisés.
-Lors du passage d'un autre bêtabloquant local à Timo-COMOD 0,5%, il convient d'arrêter la première médication après la dernière dose journalière puis d'instaurer le traitement par Timo-COMOD 0,5% le lendemain en commençant par 1 goutte de solution à 0,5% 2×/jour dans l'œil atteint.
-Lors du passage d'un autre antiglaucomateux – autre qu'un bêtabloquant ophtalmique topique – à Timo-COMOD 0,5%, il est recommandé de maintenir cette médication et d'y ajouter Timo-COMOD 0,5% à raison de 1 goutte de solution à 0,5% 2×/jour dans chaque œil malade. Le lendemain, on arrêtera l'antiglaucomateux utilisé précédemment et l'on continuera avec Timo-COMOD 0,5%.
-Emploi chez l'enfant
-La dose initiale usuelle est de 1 goutte de timolol 0,25% toutes les 12 heures dans chaque œil atteint en plus de la médication antiglaucomateuse prescrite. Si nécessaire, la dose peut être portée à une goutte de solution à 0,5% toutes les 12 heures par œil atteint. Il est déconseillé d'administrer Timo-COMOD 0,5% aux nouveau-nés et aux nourrissons.
-Remarques concernant l'utilisation
-Les patients doivent être rendus attentifs au fait qu'ils doivent éviter tout contact entre l'extrémité du flacon compte-gouttes et l'œil ou les structures avoisinantes.
-Par ailleurs, on informera les patients qu'une manipulation incorrecte des gouttes ophtalmiques peut entraîner la contamination de celles-ci par des bactéries, ce qui est susceptible de provoquer des infections oculaires. L'utilisation d'un collyre contaminé peut conduire à une lésion grave de l'œil, suivie d'une perte de la vision.
- +La dose usuelle est de 1 goutte de Timo-COMOD 0,25 % dans l’œil malade 2×/jour. En cas de réponse insuffisante, porter la dose à 1 goutte de Timo-COMOD 0,5 % 2×/jour dans l’œil malade.
- +Au besoin, un traitement concomitant comportant un myotique, de l’adrénaline et l’administration systémique d’un inhibiteur de l’anhydrase carbonique peut être instauré.
- +L’utilisation de deux bêtabloquants topiques n’est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Etant donné que la baisse de la pression intraoculaire induite par Timo-COMOD ne se stabilise qu’au bout de quelques semaines chez certains patients, il est préconisé de mesurer la pression intraoculaire après environ 4 semaines de traitement avant de juger de l’effet du produit.
- +Au cas où la pression oculaire se stabilise à un niveau suffisamment bas, une seule instillation par jour s’avère suffisante chez de nombreux patients.
- +La résorption systémique est réduite lorsqu’on pratique une occlusion naso-lacrymale ou ferme les paupières pendant deux minutes. Cela peut contribuer à renforcer les effets localisés.
- +Lors du passage d’un autre bêtabloquant local à Timo-COMOD, il convient d’arrêter la première médication après la dernière dose journalière puis d’instaurer le traitement par Timo-COMOD le lendemain en commençant par 1 goutte de solution à 0,25 % 2×/jour dans l’œil atteint. En cas de réponse insuffisante, la dose peut être portée à 1 goutte de Timo-COMOD 0,5 % 2×/jour.
- +Lors du passage d’un autre antiglaucomateux – autre qu’un bêtabloquant ophtalmique topique – à Timo-COMOD, il est recommandé de maintenir cette médication et d’y ajouter Timo-COMOD à raison de 1 goutte de solution à 0,25 % 2×/jour dans chaque œil malade. Le lendemain, on arrêtera l’antiglaucomateux utilisé précédemment et l’on continuera avec Timo-COMOD. Si une augmentation de la dose s’avère nécessaire, passer à 1 goutte de Timo-COMOD 0,5 % 2×/jour.
- +Emploi chez l’enfant
- +La dose initiale usuelle est de 1 goutte de Timo-COMOD 0,25 % toutes les 12 heures dans chaque œil atteint en plus de la médication antiglaucomateuse prescrite. Si nécessaire, la dose peut être portée à une goutte de solution à 0,5 % toutes les 12 heures par œil atteint. Il est déconseillé d’administrer Timo-COMOD aux nouveau-nés et aux nourrissons.
- +Remarques concernant l’utilisation
- +Les patients doivent être rendus attentifs au fait qu’ils doivent éviter tout contact entre l’extrémité du flacon compte-gouttes et l’œil ou les structures avoisinantes.
- +Par ailleurs, on informera les patients qu’une manipulation incorrecte des gouttes ophtalmiques peut entraîner la contamination de celles-ci par des bactéries, ce qui est susceptible de provoquer des infections oculaires. L’utilisation d’un collyre contaminé peut conduire à une lésion grave de l’œil, suivie d’une perte de la vision.
-Timo-COMOD 0,5% est contre-indiqué chez les patients présentant les états suivants:
-·maladie respiratoire réactive, y compris asthme bronchique, antécédents d'asthme bronchique ou bronchopneumopathie chronique obstructive sévère;
- +Timo-COMOD 0,5 % est contre-indiqué chez les patients présentant les états suivants :
- +·maladie respiratoire réactive, y compris asthme bronchique, antécédents d’asthme bronchique ou bronchopneumopathie chronique obstructive sévère;
-·hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
- +·hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition.
-Une insuffisance cardiaque préexistante doit être contrôlée de façon adéquate avant le début du traitement par Timo-COMOD 0,5%. Les signes d'une aggravation de maladies cardio-vasculaires (p.ex. cardiopathie coronarienne, angor de Prinzmetal, hypotension), y compris insuffisance cardiaque, doivent être surveillés chez les patients ayant des antécédents. La fréquence cardiaque doit également être contrôlée.
-En raison de leurs effets négatifs sur le temps de conduction cardiaque, les bêtabloquants ne doivent être utilisés qu'avec prudence chez les patients présentant un bloc cardiaque du premier degré.
-Des incidents cardiologiques – et de rares cas de décès – ont été rapportés après l'administration de timolol chez des patients présentant une insuffisance cardiaque préexistante.
- +Une insuffisance cardiaque préexistante doit être contrôlée de façon adéquate avant le début du traitement par Timo-COMOD. Les signes d’une aggravation de maladies cardio-vasculaires (p. ex. cardiopathie coronarienne, angor de Prinzmetal, hypotension), y compris insuffisance cardiaque, doivent être surveillés chez les patients ayant des antécédents. La fréquence cardiaque doit également être contrôlée.
- +En raison de leurs effets négatifs sur le temps de conduction cardiaque, les bêtabloquants ne doivent être utilisés qu’avec prudence chez les patients présentant un bloc cardiaque du premier degré.
- +Des incidents cardiologiques – et de rares cas de décès – ont été rapportés après l’administration de timolol chez des patients présentant une insuffisance cardiaque préexistante.
-Des réactions respiratoires pouvant aller jusqu'au décès suite à un bronchospasme ont été observées chez des patients asthmatiques sous Timo-COMOD 0,5%. Il s'agit là de complications potentielles d'un traitement par des collyres contenant du timolol.
-Timo-COMOD 0,5% doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant d'une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) légère à modérée, et uniquement si les bénéfices potentiels sont plus importants que les risques éventuels.
- +Des réactions respiratoires pouvant aller jusqu’au décès suite à un bronchospasme ont été observées chez des patients asthmatiques sous Timo-COMOD. Il s’agit là de complications potentielles d’un traitement par des collyres contenant du timolol.
- +Timo-COMOD doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant d’une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) légère à modérée, et uniquement si les bénéfices potentiels sont plus importants que les risques éventuels.
-Les patients présentant des dysfonctionnements et troubles circulatoires périphériques sévères (p.ex. formes sévères de la maladie de Raynaud ou du syndrome de Raynaud) doivent être traités avec prudence.
-Masquage de symptômes d'hypoglycémie chez les patients diabétiques
-Les bêtabloquants doivent être utilisés avec prudence chez les patients susceptibles de développer une hypoglycémie spontanée et les patients diabétiques (surtout dans le cas d'un diabète mal stabilisé) qui reçoivent de l'insuline ou des hypoglycémiants oraux. Les bêtabloquants peuvent masquer les signes et symptômes d'une hypoglycémie aiguë.
-Masquage d'une thyréotoxicose
-Les bêtabloquants peuvent masquer certains signes cliniques d'hyperparathyroïdie (p.ex. tachycardie). Les patients chez lesquels le développement d'une thyréotoxicose est suspecté doivent être surveillés attentivement pour éviter un arrêt abrupt des bêtabloquants, pouvant provoquer une crise thyréotoxique.
-Anesthésie dans le cadre d'opérations
-La nécessité ou le besoin d'arrêter l'administration des bêtabloquants avant une intervention chirurgicale majeure font l'objet de controverses. Si nécessaire, les effets du bêtabloquant peuvent être neutralisés pendant l'opération par des doses suffisantes d'un agoniste des récepteurs adrénergiques.
- +Les patients présentant des dysfonctionnements et troubles circulatoires périphériques sévères (p. ex. formes sévères de la maladie de Raynaud ou du syndrome de Raynaud) doivent être traités avec prudence.
- +Masquage de symptômes d’hypoglycémie chez les patients diabétiques
- +Les bêtabloquants doivent être utilisés avec prudence chez les patients susceptibles de développer une hypoglycémie spontanée et les patients diabétiques (surtout dans le cas d’un diabète mal stabilisé) qui reçoivent de l’insuline ou des hypoglycémiants oraux. Les bêtabloquants peuvent masquer les signes et symptômes d’une hypoglycémie aiguë.
- +Masquage d’une thyréotoxicose
- +Les bêtabloquants peuvent masquer certains signes cliniques d’hyperparathyroïdie (p. ex. tachycardie). Les patients chez lesquels le développement d’une thyréotoxicose est suspecté doivent être surveillés attentivement pour éviter un arrêt abrupt des bêtabloquants, pouvant provoquer une crise thyréotoxique.
- +Anesthésie dans le cadre d’opérations
- +La nécessité ou le besoin d’arrêter l’administration des bêtabloquants avant une intervention chirurgicale majeure font l’objet de controverses. Si nécessaire, les effets du bêtabloquant peuvent être neutralisés pendant l’opération par des doses suffisantes d’un agoniste des récepteurs adrénergiques.
-Lorsqu'on prescrit Timo-COMOD 0,5% à des patients sous traitement bêtabloquant oral, il faut veiller à un éventuel effet additif sur la pression intraoculaire ou aux effets indésirables connus des bêtabloquants.
-L'utilisation de deux bêtabloquants topiques n'est pas recommandée.
-Chez les patients atteints d'un glaucome par fermeture de l'angle, le premier objectif thérapeutique doit être la réouverture de l'angle irido-cornéen. Pour ce faire, il y a lieu de réduire le diamètre pupillaire par instillation d'un myotique. Timo-COMOD 0,5% n'a que peu ou pas d'effet sur la pupille.
-Lorsqu'on a recours à Timo-COMOD 0,5% pour réduire l'hypertension intraoculaire chez un patient atteint d'un glaucome par fermeture de l'angle, il ne faut pas l'utiliser seul, mais en association avec un myotique.
-Des cas de décollement de la choroïde consécutifs à l'administration thérapeutique d'inhibiteurs de la production d'humeur aqueuse (p.ex. timolol, acétazolamide) après des infiltrations ont été signalés.
-Comme d'autres antiglaucomateux, Timo-COMOD 0,5% a engendré une accoutumance chez certains patients soumis à un traitement prolongé. En revanche, dans le cadre d'une étude au long cours ayant porté sur 164 patients suivis pendant au moins trois ans, aucune variation notable de la pression intraoculaire moyenne n'a été constatée depuis la stabilisation initiale.
-Les patients dont l'anamnèse fait état d'atopie ou de réactions anaphylactiques sévères à divers allergènes sont susceptibles, lorsqu'ils reçoivent des bêtabloquants, de présenter une réaction exagérée lors d'une ré-exposition à ces allergènes, qu'elle soit fortuite ou à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Chez ces patients, le traitement des réactions anaphylactiques avec la posologie usuelle d'adrénaline peut rester sans effet.
- +Lorsqu’on prescrit Timo-COMOD à des patients sous traitement bêtabloquant oral, il faut veiller à un éventuel effet additif sur la pression intraoculaire ou aux effets indésirables connus des bêtabloquants.
- +L’utilisation de deux bêtabloquants topiques n’est pas recommandée.
- +Chez les patients atteints d’un glaucome par fermeture de l’angle, le premier objectif thérapeutique doit être la réouverture de l’angle irido-cornéen. Pour ce faire, il y a lieu de réduire le diamètre pupillaire par instillation d’un myotique. Timo-COMOD n’a que peu ou pas d’effet sur la pupille.
- +Lorsqu’on a recours à Timo-COMOD pour réduire l’hypertension intraoculaire chez un patient atteint d’un glaucome par fermeture de l’angle, il ne faut pas l’utiliser seul, mais en association avec un myotique.
- +Des cas de décollement de la choroïde consécutifs à l’administration thérapeutique d’inhibiteurs de la production d’humeur aqueuse (p. ex. timolol, acétazolamide) après des infiltrations ont été signalés.
- +Comme d’autres antiglaucomateux, Timo-COMOD 0,5 % a engendré une accoutumance chez certains patients soumis à un traitement prolongé. En revanche, dans le cadre d’une étude au long cours ayant porté sur 164 patients suivis pendant au moins trois ans, aucune variation notable de la pression intraoculaire moyenne n’a été constatée depuis la stabilisation initiale.
- +Les patients dont l’anamnèse fait état d’atopie ou de réactions anaphylactiques sévères à divers allergènes sont susceptibles, lorsqu’ils reçoivent des bêtabloquants, de présenter une réaction exagérée lors d’une ré-exposition à ces allergènes, qu’elle soit fortuite ou à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Chez ces patients, le traitement des réactions anaphylactiques avec la posologie usuelle d’adrénaline peut rester sans effet.
-Les lentilles doivent être enlevées avant l'application du collyre Timo-COMOD 0,5% et peuvent être replacées sur les yeux au plus tôt 15 minutes après l'application.
- +Les lentilles doivent être enlevées avant l’application du collyre Timo-COMOD et peuvent être replacées sur les yeux au plus tôt 15 minutes après l’application.
-Bien que le timolol n'influence que peu ou pas le diamètre pupillaire, des cas de mydriase ont été observés lors de traitements associant Timo-COMOD 0,5% à l'adrénaline.
-La possibilité d'un bêta-blocage systémique (p.ex. diminution de la fréquence cardiaque, dépression) au cours d'un traitement combiné aux inhibiteurs du CYP2D6 (p.ex. quinidine, ISRS) et le timolol a été rapportée.
-Lorsque Timo-COMOD 0,5% est utilisé en même temps qu'un anticalcique oral ou un médicament entraînant une déplétion en catécholamines, un antiarythmique (y compris amiodarone), un digitalique, un parasympathomimétique, de la guanéthidine ou des bêtabloquants, des effets additifs sont possibles et il peut se produire une hypotension et/ou une bradycardie prononcée.
-L'administration simultanée de bêtabloquants et de digitaline soit avec le diltiazem, soit avec le vérapamil peut provoquer un ralentissement de la conduction AV.
-Les bêtabloquants oraux peuvent aggraver l'hypertension réapparaissant après l'arrêt de la clonidine.
- +Bien que le timolol n’influence que peu ou pas le diamètre pupillaire, des cas de mydriase ont été observés lors de traitements associant Timo-COMOD à l’adrénaline.
- +La possibilité d’une bêta-blocage systémique (p. ex. diminution de la fréquence cardiaque, dépression) au cours d’un traitement combiné aux inhibiteurs du CYP2D6 (p. ex. quinidine, ISRS) et le timolol a été rapportée.
- +Lorsque Timo-COMOD est utilisé en même temps qu’un anticalcique oral ou un médicament entraînant une déplétion en catécholamines, un antiarythmique (y compris amiodarone), un digitalique, un parasympathomimétique, de la guanéthidine ou des bêtabloquants, des effets additifs sont possibles et il peut se produire une hypotension et/ou une bradycardie prononcée.
- +L’administration simultanée de bêtabloquants et de digitaline soit avec le diltiazem, soit avec le vérapamil peut provoquer un ralentissement de la conduction AV.
- +Les bêtabloquants oraux peuvent aggraver l’hypertension réapparaissant après l’arrêt de la clonidine.
-La prudence est de mise en cas d'emploi pendant la grossesse.
-On ne dispose pas de données adéquates sur l'utilisation du timolol chez la femme enceinte. Le timolol ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les études épidémiologiques n'ont révélé aucun risque de malformation, mais elles ont montré un risque de retard de la croissance intra-utérine lors d'une administration orale de bêtabloquants. On a également observé des signes et symptômes d'effets bêtabloquants (p.ex. bradycardie, hypotension, détresse respiratoire et hypoglycémie) chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu des bêtabloquants jusqu'à l'accouchement. Si ce médicament est utilisé jusqu'à l'accouchement, le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant ses premiers jours de vie.
-Conseil pour la réduction de la résorption systémique: voir «Posologie/Mode d'emploi».
-Utilisation pendant la période d'allaitement
-Le timolol a été décelé dans le lait maternel. En raison du risque d'effets indésirables sévères chez le nouveau-né, il faut choisir – selon l'importance du médicament pour la mère – d'abandonner soit l'utilisation du médicament, soit l'allaitement.
- +La prudence est de mise en cas d’emploi pendant la grossesse.
- +On ne dispose pas de données adéquates sur l’utilisation du timolol chez la femme enceinte. Le timolol ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les études épidémiologiques n’ont révélé aucun risque de malformation, mais elles ont montré un risque de retard de la croissance intra-utérine lors d’une administration orale de bêtabloquants. On a également observé des signes et symptômes d’effets bêtabloquants (p. ex. bradycardie, hypotension, détresse respiratoire et hypoglycémie) chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu des bêtabloquants jusqu’à l’accouchement. Si ce médicament est utilisé jusqu’à l’accouchement, le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant ses premiers jours de vie.
- +Conseil pour la réduction de la résorption systémique: voir «Posologie/Mode d’emploi».
- +Utilisation pendant la période d’allaitement
- +Le timolol a été décelé dans le lait maternel. En raison du risque d’effets indésirables sévères chez le nouveau-né, il faut choisir – selon l’importance du médicament pour la mère – d’abandonner soit l’utilisation du médicament, soit l’allaitement.
-Il existe des effets indésirables associés aux collyres contenant du timolol qui peuvent altérer l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines chez certains patients (voir «Effets indésirables»).
- +Il existe des effets indésirables associés aux collyres contenant du timolol qui peuvent altérer l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines chez certains patients (voir « Effets indésirables »).
-Ce médicament peut, comme d'autres produits ophtalmologiques topiques, être résorbé dans la circulation systémique. Son administration locale peut entraîner des effets indésirables similaires à ceux d'un traitement bêtabloquant systémique.
-Des réactions respiratoires, dont certaines ont entraîné la mort par bronchospasme chez des asthmatiques, ainsi que des réactions cardiaques, rarement mortelles chez les insuffisants cardiaques, ont été observées après l'application de collyres contenant du timolol.
-Les effets indésirables suivants ont été observés après l'administration de collyres contenant du timolol dans le cadre d'études cliniques ou depuis la mise sur le marché.
-Les fréquences sont indiquées comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «fréquences inconnues» (fréquence ne pouvant pas être estimée d'après les données disponibles).
- +Ce médicament peut, comme d’autres produits ophtalmologiques topiques, être résorbé dans la circulation systémique. Son administration locale peut entraîner des effets indésirables similaires à ceux d’un traitement bêtabloquant systémique.
- +Des réactions respiratoires, dont certaines ont entraîné la mort par bronchospasme chez des asthmatiques, ainsi que des réactions cardiaques, rarement mortelles chez les insuffisants cardiaques, ont été observées après l’application de collyres contenant du timolol.
- +Les effets indésirables suivants ont été observés après l’administration de collyres contenant du timolol dans le cadre d’études cliniques ou depuis la mise sur le marché.
- +Les fréquences sont indiquées comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10’000), « fréquences inconnues » (fréquence ne pouvant pas être estimée d’après les données disponibles).
-Rares: lupus érythémateux disséminé.
- +Rares : lupus érythémateux disséminé.
-Rares: signes et symptômes de réactions allergiques y compris anaphylaxie, angioœdème, urticaire, éruptions cutanées locales et généralisées.
- +Rares : signes et symptômes de réactions allergiques y compris anaphylaxie, angioœdème, urticaire, éruptions cutanées locales et généralisées.
-Fréquents: céphalées.
-Occasionnels: vertiges.
-Rares: augmentation des signes et des symptômes d'une myasthénie grave, paresthésie, diminution de la libido, accident vasculaire cérébral.
- +Fréquents: céphalées
- +Occasionnels: vertiges
- +Rares: augmentation des signes et des symptômes d’une myasthénie grave, paresthésie, diminution de la libido, accident vasculaire cérébral.
-Fréquents: signes et des symptômes d'irritations oculaires, y compris blépharite, kératite, diminution de la sensibilité de la cornée et sécheresse oculaire.
-Occasionnels: troubles de la vision, y compris modifications de la réfraction (dans certains cas, après l'arrêt du traitement myotique).
- +Fréquents: signes et des symptômes d’irritations oculaires, y compris blépharite, kératite, diminution de la sensibilité de la cornée et sécheresse oculaire.
- +Occasionnels: troubles de la vision, y compris modifications de la réfraction (dans certains cas, après l’arrêt du traitement myotique)
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
- +Troubles de l’oreille et du conduit auditif
-Occasionnels: bradycardie.
-Rares: arythmie, bloc cardiaque, insuffisance cardiaque congestive, palpitations, arrêt cardiaque, œdème, douleurs thoraciques.
-Fréquences inconnues: bloc AV.
- +Occasionnels: bradycardie
- +Rares: arythmie, bloc cardiaque, insuffisance cardiaque congestive, palpitations, arrêt cardiaque, œdème, douleurs thoraciques.Fréquences inconnues: bloc AV.
-Occasionnels: dyspnée.
- +Occasionnels: dyspnée
-Occasionnels: nausées, dyspepsie.
-Rares: diarrhée, sécheresse buccale.
- +Occasionnels: nausées, dyspepsie
- +Rares: diarrhée, sécheresse buccale
-Rares: alopécie, éruptions cutanées psoriasiformes ou exacerbation d'un psoriasis.
- +Rares: alopécie, éruptions cutanées psoriasiformes ou exacerbation d’un psoriasis.
-Rares: maladie de la Peyronie, diminution de la libido.
- +Rares: maladie de la Peyronie, diminution de la libido
-Troubles généraux et réactions au site d'administration
- +Troubles généraux et réactions au site d’administration
-Il existe des rapports faisant état de surdosages accidentels avec des collyres contenant du timolol, ayant entraîné des effets systémiques semblables à ceux observés lors de l'utilisation systémique de bêtabloquants, par exemple des vertiges, des maux de tête, un souffle court, une bradycardie, un bronchospasme et un arrêt cardiaque.
-Les mesures thérapeutiques suivantes sont recommandées:
- +Il existe des rapports faisant état de surdosages accidentels avec des collyres contenant du timolol, ayant entraîné des effets systémiques semblables à ceux observés lors de l’utilisation systémique de bêtabloquants, par exemple des vertiges, des maux de tête, un souffle court, une bradycardie, un bronchospasme et un arrêt cardiaque.
- +Les mesures thérapeutiques suivantes sont recommandées :
-Provoquer un blocage du parasympathique par injection i.v. de 0,25 à 2 mg de sulfate d'atropine. En cas de persistance de la bradycardie, injection i.v. prudente de chlorhydrate d'isoprénaline. Dans les cas réfractaires, l'utilisation d'un stimulateur cardiaque peut s'avérer nécessaire.
- +Provoquer un blocage du parasympathique par injection i.v. de 0,25 à 2 mg de sulfate d’atropine. En cas de persistance de la bradycardie, injection i.v. prudente de chlorhydrate d’isoprénaline. Dans les cas réfractaires, l’utilisation d’un stimulateur cardiaque peut s’avérer nécessaire.
-Utiliser du chlorhydrate d'isoprénaline ou pratiquer l'électrosystolie.
- +Utiliser du chlorhydrate d’isoprénaline ou pratiquer l’électrosystolie.
-Administrer un sympathicomimétique hypertenseur tel que la dopamine, la dobutamine ou le lévartérénol. Le chlorhydrate de glucagon s'est avéré utile dans les cas réfractaires.
- +Administrer un sympathicomimétique hypertenseur tel que la dopamine, la dobutamine ou le lévartérénol. Le chlorhydrate de glucagon s’est avéré utile dans les cas réfractaires.
-Instaurer immédiatement le traitement classique avec digitalique et diurétique ainsi que de l'oxygène. Dans les cas réfractaires, l'administration i.v. d'aminophylline est recommandée; on peut la faire suivre, au besoin, par l'administration de chlorhydrate de glucagon, lequel s'est avéré utile dans ces cas-là.
- +Instaurer immédiatement le traitement classique avec digitalique et diurétique ainsi que de l’oxygène. Dans les cas réfractaires, l’administration i.v. d’aminophylline est recommandée ; on peut la faire suivre, au besoin, par l’administration de chlorhydrate de glucagon, lequel s’est avéré utile dans ces cas-là.
-Chlorhydrate d'isoprénaline; éventuellement, administration supplémentaire d'aminophylline.
- +Chlorhydrate d’isoprénaline ; éventuellement, administration supplémentaire d’aminophylline.
-Le collyre Timo-COMOD 0,5% réduit la pression intraoculaire, élevée ou normale, qu'elle soit liée ou non à un glaucome.
- +Le collyre Timo-COMOD réduit la pression intraoculaire, élevée ou normale, qu’elle soit liée ou non à un glaucome.
-Le mécanisme d'action exact par lequel Timo-COMOD 0,5% réduit la pression intraoculaire n'est pas encore élucidé. Les recherches effectuées à l'aide de la fluorescéine et de la tonographie font penser que cet abaissement pourrait être lié en premier lieu à une baisse de la production d'humeur aqueuse. Cependant, d'autres essais ont montré que le collyre augmentait légèrement l'écoulement de l'humeur aqueuse. Contrairement aux myotiques, Timo-COMOD 0,5% réduit la pression intraoculaire sans produire d'effet notable sur l'accommodation ou le diamètre pupillaire. Lorsqu'on remplace un myotique par Timo-COMOD 0,5% chez ces patients, il est parfois nécessaire de corriger les erreurs de réfraction après que les effets du myotique se sont estompés.
-Au cours d'un suivi de trois ans, aucune variation notable de la pression intraoculaire n'a été constatée depuis la stabilisation initiale par Timo-COMOD 0,5%.
-Le système COMOD est composé d'un dispositif de réserve à double paroi sur lequel est ancrée solidement une pompe «Airless». Le système de pompe évite le reflux d'air ou de liquide dans le flacon qui pourrait contaminer le contenu stérile. Un agent conservateur n'est donc pas nécessaire.
- +Le mécanisme d’action exact par lequel Timo-COMOD réduit la pression intraoculaire n’est pas encore élucidé. Les recherches effectuées à l’aide de la fluorescéine et de la tonographie font penser que cet abaissement pourrait être lié en premier lieu à une baisse de la production d’humeur aqueuse. Cependant, d’autres essais ont montré que le collyre augmentait légèrement l’écoulement de l’humeur aqueuse. Contrairement aux myotiques, Timo-COMOD réduit la pression intraoculaire sans produire d’effet notable sur l’accommodation ou le diamètre pupillaire. Lorsqu’on remplace un myotique par Timo-COMOD chez ces patients, il est parfois nécessaire de corriger les erreurs de réfraction après que les effets du myotique se sont estompés.
- +Au cours d’un suivi de trois ans, aucune variation notable de la pression intraoculaire n’a été constatée depuis la stabilisation initiale par Timo-COMOD.
- +Le système COMOD est composé d’un dispositif de réserve à double paroi sur lequel est ancrée solidement une pompe « Airless ». Le système de pompe évite le reflux d’air ou de liquide dans le flacon qui pourrait contaminer le contenu stérile. Un agent conservateur n’est donc pas nécessaire.
-En général, l'effet du timolol se manifeste rapidement, environ 20 minutes après l'instillation des gouttes. Après 1–2 heures, la réduction de la pression intraoculaire atteint son maximum. Aux concentrations 0,25% et 0,5%, le maléate de timolol reste significativement efficace jusqu'à 24 heures. Cette action prolongée permet donc de maîtriser la pression intraoculaire aussi pendant le sommeil.
- +En général, l’effet du timolol se manifeste rapidement, environ 20 minutes après l’instillation des gouttes. Après 1–2 heures, la réduction de la pression intraoculaire atteint son maximum. Aux concentrations 0,25 % et 0,5 %, le maléate de timolol reste significativement efficace jusqu’à 24 heures. Cette action prolongée permet donc de maîtriser la pression intraoculaire aussi pendant le sommeil.
-Au cours d'une étude portant sur la concentration plasmatique du médicament chez 6 volontaires, l'exposition systémique au timolol après deux applications topiques par jour de collyre de timolol à 0,5% a été déterminée. La concentration plasmatique maximale moyenne après la dose matinale était de 0,46 ng/ml et après la dose de l'après-midi de 0,35 ng/ml.
- +Au cours d’une étude portant sur la concentration plasmatique du médicament chez 6 volontaires, l’exposition systémique au timolol après deux applications topiques par jour de collyre de timolol à 0,5 % a été déterminée. La concentration plasmatique maximale moyenne après la dose matinale était de 0,46 ng/ml et après la dose de l’après-midi de 0,35 ng/ml.
-Le timolol n'a montré une activité mutagène ni in vivo (test du micronoyau chez la souris et test cytogénétique, avec des doses pouvant aller jusqu'à 800 mg/kg de PC), ni in vitro (Neoplastic-Cell-Transformation-Test, avec des concentrations pouvant aller jusqu'à 100 mcg/ml). Une augmentation statistiquement significative (p <0,05) du nombre de révertants observée dans le cadre d'un test Ames avec la souche TA 100 aux concentrations les plus élevées de timolol, c'est-à-dire 5 ou 10 mg/récipient, a été considérée comme étant biologiquement non significative.
- +Le timolol n’a montré une activité mutagène ni in vivo (test du micronoyau chez la souris et test cytogénétique, avec des doses pouvant aller jusqu’à 800 mg/kg de PC), ni in vitro (Neoplastic-Cell-Transformation-Test, avec des concentrations pouvant aller jusqu’à 100 mcg/ml). Une augmentation statistiquement significative (p < 0,05) du nombre de révertants observée dans le cadre d’un test Ames avec la souche TA 100 aux concentrations les plus élevées de timolol, c’est-à-dire 5 ou 10 mg/récipient, a été considérée comme étant biologiquement non significative.
-Durant une étude de deux ans avec le timolol administré par voie orale à des rats, une augmentation statistiquement significative (p <0,05) de la fréquence des phéochromocytomes de la surrénale a été constatée chez des rats du sexe masculin ayant reçu 300 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à 42'000 fois l'exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l'être humain). Chez les rats pour lesquels l'exposition s'est montée à 14'000 fois l'exposition correspondante chez l'être humain, de telles modifications ne sont pas apparues.
-Une étude avec le timolol pris par voie orale, menée chez des souris durant toute leur vie, a démontré une hausse statistiquement significative (p <0,05) de l'apparition de tumeurs pulmonaires bénignes et malignes, de polypes utérins bénins ainsi que d'adénocarcinomes mammaires chez des souris du sexe féminin ayant été traités à la dose de 500 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à près de 71'000 fois l'exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l'homme). Avec des doses de 5 ou 50 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à respectivement 700 fois et 7'000 fois l'exposition chez l'homme), aucun effet similaire n'a été observé. La multiplication des cas d'adénocarcinomes mammaires a été associée à des taux sériques de prolactine plus élevés constatés chez des souris du sexe féminin sous 500 mg/kg de PC/jour de timolol, mais non sous 5 ou 50 mg/kg de PC/jour. Une hausse de la fréquence des adénocarcinomes mammaires chez des rongeurs a été associée à l'emploi de diverses préparations provoquant une hausse du taux sérique de prolactine; chez l'être humain toutefois, aucune corrélation entre une élévation du taux sérique de prolactine et les tumeurs du sein n'a été constatée. Chez les femmes adultes, aucune modification cliniquement significative de la prolactine sérique n'a été constatée sous des doses orales de timolol pouvant aller jusqu'à 60 mg, la dose orale maximale recommandée chez l'être humain.
- +Durant une étude de deux ans avec le timolol administré par voie orale à des rats, une augmentation statistiquement significative (p < 0,05) de la fréquence des phéochromocytomes de la surrénale a été constatée chez des rats du sexe masculin ayant reçu 300 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à 42 000 fois l’exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l’être humain). Chez les rats pour lesquels l’exposition s’est montée à 14 000 fois l’exposition correspondante chez l’être humain, de telles modifications ne sont pas apparues.
- +Une étude avec le timolol pris par voie orale, menée chez des souris durant toute leur vie, a démontré une hausse statistiquement significative (p < 0,05) de l’apparition de tumeurs pulmonaires bénignes et malignes, de polypes utérins bénins ainsi que d’adénocarcinomes mammaires chez des souris du sexe féminin ayant été traités à la dose de 500 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à près de 71 000 fois l’exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l’homme). Avec des doses de 5 ou 50 mg/kg de PC/jour (ce qui correspond à respectivement 700 fois et 7 000 fois l’exposition chez l’homme), aucun effet similaire n’a été observé. La multiplication des cas d’adénocarcinomes mammaires a été associée à des taux sériques de prolactine plus élevés constatés chez des souris du sexe féminin sous 500 mg/kg de PC/jour de timolol, mais non sous 5 ou 50 mg/kg de PC/jour. Une hausse de la fréquence des adénocarcinomes mammaires chez des rongeurs a été associée à l’emploi de diverses préparations provoquant une hausse du taux sérique de prolactine ; chez l’être humain toutefois, aucune corrélation entre une élévation du taux sérique de prolactine et les tumeurs du sein n’a été constatée. Chez les femmes adultes, aucune modification cliniquement significative de la prolactine sérique n’a été constatée sous des doses orales de timolol pouvant aller jusqu’à 60 mg, la dose orale maximale recommandée chez l’être humain.
-Des études sur la reproduction et des études de fertilité chez les rats n'ont montré aucun effet défavorable sur la fertilité masculine ou féminine.
-Des études tératologiques avec le timolol chez des souris, des rats et des lapins avec des doses pouvant aller jusqu'à 50 mg/kg de PC/jour (correspondant à près de 7'000 fois l'exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l'être humain) n'ont montré aucun signe de malformation fœtale. Bien que chez le rat, des retards de l'ossification soient apparus avec cette dose, aucun autre effet sur le développement postnatal des descendants ne s'est manifesté. Des doses de 1'000 mg/kg de PC/jour (correspondant à près de 142'000 fois l'exposition systémique obtenue après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l'être humain) se sont avérées toxiques chez les souris pour les mères, ce qui a résulté en une augmentation de l'absorption par les fœtus. Cela a également été constaté chez les lapins sous des doses pouvant aller jusqu'à 14'000 fois l'exposition obtenue chez l'être humain après des doses ophtalmologiques maximales, mais aucune toxicité nette pour les mères n'a été mise en évidence.
- +Des études sur la reproduction et des études de fertilité chez les rats n’ont montré aucun effet défavorable sur la fertilité masculine ou féminine.
- +Des études tératologiques avec le timolol chez des souris, des rats et des lapins avec des doses pouvant aller jusqu’à 50 mg/kg de PC/jour (correspondant à près de 7 000 fois l’exposition systémique après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l’être humain) n’ont montré aucun signe de malformation fœtale. Bien que chez le rat, des retards de l’ossification soient apparus avec cette dose, aucun autre effet sur le développement postnatal des descendants ne s’est manifesté. Des doses de 1 000 mg/kg de PC/jour (correspondant à près de 142 000 fois l’exposition systémique obtenue après la dose ophtalmologique maximale recommandée chez l’être humain) se sont avérées toxiques chez les souris pour les mères, ce qui a résulté en une augmentation de l’absorption par les fœtus. Cela a également été constaté chez les lapins sous des doses pouvant aller jusqu’à 14 000 fois l’exposition obtenue chez l’être humain après des doses ophtalmologiques maximales, mais aucune toxicité nette pour les mères n’a été mise en évidence.
-Conserver le collyre Timo-COMOD 0,5% à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri de la lumière. Conserver le flacon bien fermé.
-Respecter la date de péremption. Timo-COMOD 0,5% ne doit pas être utilisé au-delà de 4 semaines après la première ouverture du flacon.
- +Conserver le collyre Timo-COMOD à température ambiante (15–25 °C) et à l’abri de la lumière. Conserver le flacon bien fermé.
- +Respecter la date de péremption. Timo-COMOD ne doit pas être utilisé au-delà de 4 semaines après la première ouverture du flacon.
-TIMO-COMOD 0,5%: 5 ml et 2× 5 ml; 10 ml et 2× 10 ml (B)
- +TIMO-COMOD 0,25 % : 5 ml et 2 x 5 ml ; 10 ml et 2 x 10 ml (B)
- +TIMO-COMOD 0,5 % : 5 ml et 2 x 5 ml ; 10 ml et 2 x 10 ml (B)
-URSAPHARM Schweiz GmbH, 9325 Roggwil.
- +Ursapharm Schweiz GmbH, 9325 Roggwil
-Juillet 2013.
- +Juillet 2013
|
|