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Accueil - Information professionnelle sur Zaldiar - Changements - 03.08.2017
128 Changements de l'information professionelle Zaldiar
  • -Zaldiar est indiqué pour le traitement symptomatique de douleurs d'intensité moyenne à forte, respectivement en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-morphiniques (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Zaldiar est indiqué pour le traitement symptomatique de douleurs dintensité moyenne à forte, respectivement en cas defficacité insuffisante des analgésiques non-morphiniques (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -Zaldiar doit être utilisé chez les patients nécessitant une association de tramadol et de paracétamol. Le dosage doit être adapté à l'intensité de la douleur et à la sensibilité individuelle du patient.
  • +Zaldiar doit être utilisé chez les patients nécessitant une association de tramadol et de paracétamol. Le dosage doit être adapté à lintensité de la douleur et à la sensibilité individuelle du patient.
  • -1 à 2 comprimés pelliculés toutes les 4 à 6 heures pour atténuer les douleurs jusqu'à la dose maximale de 8 comprimés pelliculés (ce qui corresponds à 300 mg de chlorhydrate de tramadol et 2600 mg de paracétamol) par jour.
  • +1 à 2 comprimés pelliculés toutes les 4 à 6 heures pour atténuer les douleurs jusquà la dose maximale de 8 comprimés pelliculés (ce qui corresponds à 300 mg de chlorhydrate de tramadol et 2600 mg de paracétamol) par jour.
  • -L'efficacité et la sécurité de Zaldiar n'ayant pas été prouvées chez des enfants en dessous de 16 ans, le médicament ne doit pas être administré à ce groupe de patients.
  • +Lefficacité et la sécurité de Zaldiar nayant pas été prouvées chez des enfants en dessous de 16 ans, le médicament ne doit pas être administré à ce groupe de patients.
  • -L'élimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée d'action de tramadol peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur.
  • +Lélimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant dinsuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée daction de tramadol peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur.
  • -Dû à son grand volume de distribution, le tramadol n'est éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. C'est pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration n'est pas nécessaire pour le maintien de l'analgésie chez les patients dialysés.
  • +Dû à son grand volume de distribution, le tramadol nest éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. Cest pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration nest pas nécessaire pour le maintien de lanalgésie chez les patients dialysés.
  • -Il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la dose chez des patients âgés de 75 ans ou moins sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. L'élimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même s'ils n'ont pas d'insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire.
  • +Il nest généralement pas nécessaire dadapter la dose chez des patients âgés de 75 ans ou moins sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. Lélimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même sils nont pas dinsuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire.
  • -Zaldiar ne doit en aucun cas être administré plus longtemps qu'il n'est absolument nécessaire (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Interactions»). Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Zaldiar s'avère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire.
  • +Zaldiar ne doit en aucun cas être administré plus longtemps quil nest absolument nécessaire (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Interactions»). Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Zaldiar savère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire.
  • -·intoxication aiguë à l'alcool, aux hypnotiques, aux antalgiques centraux, aux opioïdes ou aux autres psychotropes,
  • +·intoxication aiguë à lalcool, aux hypnotiques, aux antalgiques centraux, aux opioïdes ou aux autres psychotropes,
  • -La dose journalière maximale de 8 comprimés pelliculés de Zaldiar ne doit pas être dépassée. Pour éviter tout surdosage accidentel, il faut indiquer aux patients de ne pas dépasser la dose recommandée et de s'abstenir de prendre simultanément toute autre préparation contenant du paracétamol (même en vente libre) ou du chlorhydrate de tramadol, sans avis médical.
  • -Zaldiar ne peut pas être utilisé en cas de troubles hépatiques graves (voir rubrique «Contre-indications»). Le danger d'un surdosage au paracétamol est plus élevé chez les patients avec foie non cirrhotique lésé par l'alcool. En cas de troubles modérés, il faut considérer soigneusement une prolongation de l'intervalle de dosage.
  • -Zaldiar est déconseillé en cas d'insuffisance respiratoire sévère.
  • -Zaldiar ne devra être utilisé qu'avec une précaution particulière chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes, un traumatisme crânien, en état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d'états accompagnés d'une élévation de la pression intracrânienne.
  • +La dose journalière maximale de 8 comprimés pelliculés de Zaldiar ne doit pas être dépassée. Pour éviter tout surdosage accidentel, il faut indiquer aux patients de ne pas dépasser la dose recommandée et de sabstenir de prendre simultanément toute autre préparation contenant du paracétamol (même en vente libre) ou du chlorhydrate de tramadol, sans avis médical.
  • +Zaldiar ne peut pas être utilisé en cas de troubles hépatiques graves (voir rubrique «Contre-indications»). Le danger dun surdosage au paracétamol est plus élevé chez les patients avec foie non cirrhotique lésé par lalcool. En cas de troubles modérés, il faut considérer soigneusement une prolongation de lintervalle de dosage.
  • +Zaldiar est déconseillé en cas dinsuffisance respiratoire sévère.
  • +Zaldiar ne devra être utilisé quavec une précaution particulière chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes, un traumatisme crânien, en état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours détats accompagnés dune élévation de la pression intracrânienne.
  • -Des convulsions ont été rapportées en outre chez des patients avec une telle prédisposition ainsi que chez des patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif comme les inhibiteurs sélectifs du recapture de la sérotonine (ISRS), et ceux du recapture de la-sérotonine-noradrénaline (ISRN), des anti-dépresseurs tricycliques, des antipsychotiques, des antalgiques centraux ou anesthétiques locaux (voir rubrique «Interactions»). Les patients épileptiques contrôlés par traitement ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu'en cas de nécessité absolue.
  • -Zaldiar doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant un risque de dépression respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir lorsque de fortes doses de tramadol sont utilisées avec des anesthésiques ou de l'alcool. De tels cas doivent être traités comme un surdosage de tramadol.
  • -Le tramadol possède un faible potentiel de dépendance. En cas d'utilisation prolongée, une tolérance, une dépendance physique et psychique peuvent se manifester. Chez les patients qui présentent une tendance à l'abus de médicaments ou à la dépendance, le traitement par Zaldiar doit être limité à une durée brève et avoir lieu uniquement sous contrôle médical (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • -Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Le tramadol n'est pas approprié comme traitement de substitution pour les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien que le tramadol soit un agoniste morphinique, il ne peut pas supprimer un syndrome de sevrage lié à la morphine.
  • +Des convulsions ont été rapportées en outre chez des patients avec une telle prédisposition ainsi que chez des patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif comme les inhibiteurs sélectifs du recapture de la sérotonine (ISRS), et ceux du recapture de lasérotoninenoradrénaline (ISRN), des anti-dépresseurs tricycliques, des antipsychotiques, des antalgiques centraux ou anesthétiques locaux (voir rubrique «Interactions»). Les patients épileptiques contrôlés par traitement ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol quen cas de nécessité absolue.
  • +Zaldiar doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant un risque de dépression respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir lorsque de fortes doses de tramadol sont utilisées avec des anesthésiques ou de lalcool. De tels cas doivent être traités comme un surdosage de tramadol.
  • +Le tramadol possède un faible potentiel de dépendance. En cas dutilisation prolongée, une tolérance, une dépendance physique et psychique peuvent se manifester. Chez les patients qui présentent une tendance à labus de médicaments ou à la dépendance, le traitement par Zaldiar doit être limité à une durée brève et avoir lieu uniquement sous contrôle médical (voir aussi rubrique «Effets indésirables».
  • +Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Le tramadol nest pas approprié comme traitement de substitution pour les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien que le tramadol soit un agoniste morphinique, il ne peut pas supprimer un syndrome de sevrage lié à la morphine.
  • -Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l'arrêt soudain d'un traitement par Zaldiar (voir rubrique «Effets indésirables»). L'expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • -Zaldiar contenant du paracétamol, doit être utilisé avec prudence:
  • -·lors d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/ml)
  • -·d'insuffisance hépatique;
  • -·lors d'anémie hémolytique en cas de déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (maladie génétique);
  • -·lors de l'utilisation simultanée de médicaments ayant un potentiel hépatotoxique ou inducteur des enzymes hépatiques.
  • +Des signes de sevrage peuvent survenir lors de larrêt soudain dun traitement par Zaldiar (voir rubrique «Effets indésirables»). Lexpérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée. Zaldiar contenant du paracétamol, doit être utilisé avec prudence:
  • +·lors dinsuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/ml)
  • +·dinsuffisance hépatique;
  • +·lors danémie hémolytique en cas de déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (maladie génétique);
  • +·lors de lutilisation simultanée de médicaments ayant un potentiel hépatotoxique ou inducteur des enzymes hépatiques.
  • -La prudence est recommandée en cas de consommation exagérée d'alcool. L'alcool peut augmenter la toxicité hépatique du paracétamol, notamment s'il existe une carence alimentaire associée. Dans ce cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà entraîner des lésions hépatiques.
  • +La prudence est recommandée en cas de consommation exagérée dalcool. Lalcool peut augmenter la toxicité hépatique du paracétamol, notamment sil existe une carence alimentaire associée. Dans ce cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà entraîner des lésions hépatiques.
  • -La prise prolongée d'antalgiques et notamment l'association de plusieurs substances anti-douleur, peut entraîner des lésions rénales persistantes avec risque d'insuffisance rénale (néphropathie aux antalgiques).
  • -Le patient doit être averti que des céphalées peuvent survenir lors de la prise chronique d'antalgiques; ces céphalées peuvent conduire à une nouvelle prise d'antalgiques et ainsi à l'entretien des céphalées (appelées céphalées liées à la prise d'antalgiques).
  • -Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, p.ex. en cas de septicémie, l'administration du paracétamol peux renforcer le risque d'une acidose métabolique.
  • -On a rapporté dans une étude que le tramadol avait entraîné des souvenirs intra-opératoires plus importants lorsque associé à de l'enfluran et du protoxyde d'azote pour une anesthésie générale. Jusqu'à disponibilité de données complémentaires, il faut éviter l'utilisation du tramadol lors d'une sédation.
  • +La prise prolongée dantalgiques et notamment lassociation de plusieurs substances anti-douleur, peut entraîner des lésions rénales persistantes avec risque dinsuffisance rénale (néphropathie aux antalgiques).
  • +Le patient doit être averti que des céphalées peuvent survenir lors de la prise chronique dantalgiques; ces céphalées peuvent conduire à une nouvelle prise dantalgiques et ainsi à lentretien des céphalées (appelées céphalées liées à la prise dantalgiques).
  • +Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, p. ex. en cas de septicémie, ladministration du paracétamol peux renforcer le risque dune acidose métabolique.
  • +On a rapporté dans une étude que le tramadol avait entraîné des souvenirs intra-opératoires plus importants lorsque associé à de lenfluran et du protoxyde dazote pour une anesthésie générale. Jusquà disponibilité de données complémentaires, il faut éviter lutilisation du tramadol lors dune sédation.
  • -Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d'autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tetrahydrcannabinol).
  • -L'utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISNR, IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • +Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et dautres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tetrahydrcannabinol).
  • +Lutilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISNR, IMAO (voir rubrique « Contreindications »), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes dun syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • -·Clonus inductible ou oculaire accompagné d'agitation ou de diaphorèse
  • +·Clonus inductible ou oculaire accompagné dagitation ou de diaphorèse
  • -·Hypertonie et température corporelle >38 °C et clonus inductible ou oculaire.
  • -L'arrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement d'obtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes.
  • -Il faut s'attendre à une accentuation réciproque des effets centraux, en cas d'administration simultanée de Zaldiar avec d'autres médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC, par ex. autres opioïdes (dont antitussifs et traitements de substitution), barbituriques, benzodiazépines, autres anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques sédatifs, neuroleptiques, antihypertenseurs centraux, thalidomide, baclofène, ainsi que l'alcool.
  • +·Hypertonie et température corporelle > 38°C et clonus inductible ou oculaire.
  • +Larrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement dobtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes.
  • +Il faut sattendre à une accentuation réciproque des effets centraux, en cas dadministration simultanée de Zaldiar avec dautres médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC, par ex. autres opioïdes (dont antitussifs et traitements de substitution), barbituriques, benzodiazépines, autres anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques sédatifs, neuroleptiques, antihypertenseurs centraux, thalidomide, baclofène, ainsi que lalcool.
  • -Lors de la prise simultanée de Zaldiar et de dérivés coumariniques (comme par exemple la warfarine), il faut, contrôler régulièrement le temps de Quick en raison de notifications d'une augmentation de l'INR et des hémorragies cutanées et ecchymotiques, Médicaments, connus pour inhiber la CYP3A4 tels que le kétoconazole et l'érythromycine, peuvent inhiber le métabolisme du tramadol et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L'importance clinique d'une telle interaction n'a pas fait l'objet d'études.
  • -Des études d'interactions effectuées in vitro sur des microsomes hépatiques humains montrent que la prise simultanée d'un inhibiteur du CYP2D6 comme la fluoxétine, la paroxétine et l'amitriptyline peut entraîner une certaine inhibition du métabolisme du tramadol.
  • -L'administration simultanée ou précédant de Zaldiar et de cimétidine (inhibiteur enzymatique) n'entraîne aucune interaction cliniquement significative par rapport aux études pharmacocinétique.
  • -La prise simultanée ou précédant de Zaldiar et de carbamazépine (inducteur enzymatique) peut diminuer significativement peut montrer une efficacité antalgique réduite et diminuer le durée de l'action.
  • -Dans un nombre limité d'études, l'administration pré- et postopératoire de l'antiémétique ondansetron, un antagoniste 5-HT3, a augmenté le besoin de tramadol chez les patients souffrant de douleurs postopératoires.
  • +Lors de la prise simultanée de Zaldiar et de dérivés coumariniques (comme par exemple la warfarine), il faut, contrôler régulièrement le temps de Quick en raison de notifications dune augmentation de lINR et des hémorragies cutanées et ecchymotiques, Médicaments, connus pour inhiber la CYP3A4 tels que le kétoconazole et lérythromycine, peuvent inhiber le métabolisme du tramadol et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. Limportance clinique dune telle interaction na pas fait lobjet détudes.
  • +Des études dinteractions effectuées in vitro sur des microsomes hépatiques humains montrent que la prise simultanée dun inhibiteur du CYP2D6 comme la fluoxétine, la paroxétine et lamitriptyline peut entraîner une certaine inhibition du métabolisme du tramadol.
  • +Ladministration simultanée ou précédant de Zaldiar et de cimétidine (inhibiteur enzymatique) nentraîne aucune interaction cliniquement significative par rapport aux études pharmacocinétique.
  • +La prise simultanée ou précédant de Zaldiar et de carbamazépine (inducteur enzymatique) peut diminuer significativement peut montrer une efficacité antalgique réduite et diminuer le durée de laction.
  • +Dans un nombre limité détudes, ladministration pré- et postopératoire de lantiémétique ondansetron, un antagoniste 5-HT3, a augmenté le besoin de tramadol chez les patients souffrant de douleurs postopératoires.
  • -Les inducteurs enzymatiques comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, hydrazide de l'acide isonicotinique (Isoniazid INH) et la rifampicine qui augmentent l'hépatotoxicité du paracétamol.
  • +Les inducteurs enzymatiques comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, hydrazide de l'acide isonicotinique (Isoniazid INH) et la rifampicine qui augmentent lhépatotoxicité du paracétamol.
  • -Cholestyramine: la cholestyramine réduit l'absorption du paracétamol.
  • +Cholestyramine : la cholestyramine réduit labsorption du paracétamol.
  • -La demi-vie d'élimination du chloramphénicol est quintuplée par le paracétamol.
  • -Le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et augmente la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • -L'administration simultanée de paracétamol et de chloroxazone augmente l'hépatotoxicité des deux substances.
  • -L'administration simultanée de paracétamol et de zidovudine augmente la tendance à la neutropénie.
  • +La demi-vie délimination du chloramphénicol est quintuplée par le paracétamol.
  • +Le salicylamide allonge la demi-vie délimination du paracétamol et augmente la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • +Ladministration simultanée de paracétamol et de chloroxazone augmente lhépatotoxicité des deux substances.
  • +Ladministration simultanée de paracétamol et de zidovudine augmente la tendance à la neutropénie.
  • -Ne pas utiliser le médicament pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Il n'existe aucune étude contrôlée menée avec l'association tramadol/paracétamol chez la femme enceinte. La sécurité de l'utilisation au cours de la grossesse n'a pas été étudiée.
  • -Il n'existe aucune étude humaine relative à un éventuel effet de Zaldiar sur la croissance ultérieure, le développement et la maturation fonctionnelle de l'enfant.
  • -En expérimentation animale chez le rat, l'association tramadol/paracétamol à des doses materno-toxiques s'est avérée être embryotoxique et foetotoxique mais pas tératogène (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +Ne pas utiliser le médicament pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Il nexiste aucune étude contrôlée menée avec lassociation tramadol/paracétamol chez la femme enceinte. La sécurité de lutilisation au cours de la grossesse na pas été étudiée.
  • +Il nexiste aucune étude humaine relative à un éventuel effet de Zaldiar sur la croissance ultérieure, le développement et la maturation fonctionnelle de lenfant.
  • +En expérimentation animale chez le rat, lassociation tramadol/paracétamol à des doses maternotoxiques sest avérée être embryotoxique et foetotoxique mais pas tératogène (voir rubrique «Données précliniques»).
  • -Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité d'emploi chez la femme enceinte.
  • -Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées materno-toxiques, des effets toxicologiques dans le reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»).
  • -Administré avant ou pendant l'accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Le tramadol peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables.
  • +Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité demploi chez la femme enceinte.
  • +Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées maternotoxiques, des effets toxicologiques dans le reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +Administré avant ou pendant laccouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Le tramadol peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables.
  • -Le paracétamol passe la barrière placentaire chez l'animal et chez l'être humain. Sur la base des expériences dont on dispose à ce jour, on peut considérer que la prise de paracétamol correctement dosé pendant la grossesse est relativement peu nocive par rapport aux risques de lésions fonctionnelles et organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation.
  • +Le paracétamol passe la barrière placentaire chez lanimal et chez lêtre humain. Sur la base des expériences dont on dispose à ce jour, on peut considérer que la prise de paracétamol correctement dosé pendant la grossesse est relativement peu nocive par rapport aux risques de lésions fonctionnelles et organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation.
  • -Zaldiar ne doit pas être administré à des femmes qui allaitent, car la sécurité du produit n'a pas été étudiée ni chez l'enfant, ni chez le nourrisson.
  • +Zaldiar ne doit pas être administré à des femmes qui allaitent, car la sécurité du produit na pas été étudiée ni chez lenfant, ni chez le nourrisson.
  • -Pour cette raison, le tramadol ne devrait pas être administré à des femmes qui allaitent ou l’allaitement devrait être interrompu pendant le traitement. Il n'est généralement pas nécessaire d'arrêter l'allaitement après une administration unique de tramadol.
  • +Pour cette raison, le tramadol ne devrait pas être administré aux femmes qui allaitent ou l’allaitement devrait être interrompu pendant le traitement. Il n'est généralement pas nécessaire d'arrêter l'allaitement après une administration unique de tramadol.
  • -Il n'existe pas de données concernant la fertilité pour la combinaison de tramadol et paracétamol. Dans la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et d'hypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité n'a pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • +Il nexiste pas de données concernant la fertilité pour la combinaison de tramadol et paracétamol. Dans la surveillance postmarketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et dhypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité na pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • -Même lorsqu'il est utilisé conformément à l'usage auquel il est destiné, Zaldiar peut entraver les fonctions intellectuelles et physiques nécessaires à l'exécution d'activités potentiellement dangereuses, comme la conduite automobile ou la manoeuvre de machines. Tramadol peut causer des vertiges et de la somnolence. Ceci est principalement valable en début de traitement, lors du changement d'un médicament à Zaldiar et lors d'une association avec des produits d'action centrale, principalement avec l'alcool. Les personnes concernées ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser de machines.
  • +Même lorsquil est utilisé conformément à lusage auquel il est destiné, Zaldiar peut entraver les fonctions intellectuelles et physiques nécessaires à lexécution dactivités potentiellement dangereuses, comme la conduite automobile ou la manoeuvre de machines. Tramadol peut causer des vertiges et de la somnolence. Ceci est principalement valable en début de traitement, lors du changement dun médicament à Zaldiar et lors dune association avec des produits daction centrale, principalement avec lalcool. Les personnes concernées ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser de machines.
  • -Fréquents (1–10%): troubles de l'humeur (anxiété, nervosité, euphorie) insomnie, confusion.
  • +Fréquents (1–10%): troubles de lhumeur (anxiété, nervosité, euphorie) insomnie, confusion.
  • -Affections gastro-intestinales
  • +Affections gastrointestinales
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Rares (0,01–0,1%): syndrome de sevrage, similaires à ceux observés avec les opioïdes, peuvent survenir. De tels symptômes sont: agitation, anxiété, nervosité, troubles du sommeil, hyperkinésie, tremblements et troubles gastro-intestinaux. Dans de très rares cas, des attaques de panique, des états anxieux sévères, des hallucinations, des paresthésies, des acouphènes et des symptômes neurologiques centraux inhabituels ont été rapportés lors d'un arrêt brutal du tramadol.
  • +Rares (0,01–0,1%): syndrome de sevrage, similaires à ceux observés avec les opioïdes, peuvent survenir. De tels symptômes sont: agitation, anxiété, nervosité, troubles du sommeil, hyperkinésie, tremblements et troubles gastro-intestinaux. Dans de très rares cas, des attaques de panique, des états anxieux sévères, des hallucinations, des paresthésies, des acouphènes et des symptômes neurologiques centraux inhabituels ont été rapportés lors dun arrêt brutal du tramadol.
  • -On ne peut exclure les effets secondaires suivants, connus pour survenir sous tramadol ou paracétamol, même s'ils n'ont pas été observés dans les études cliniques:
  • +On ne peut exclure les effets secondaires suivants, connus pour survenir sous tramadol ou paracétamol, même sils nont pas été observés dans les études cliniques:
  • -Les données d'application sur le tramadol ont montré de rares modifications de l'action de la warfarine, comprenant un allongement du temps de Quick.
  • +Les données dapplication sur le tramadol ont montré de rares modifications de laction de la warfarine, comprenant un allongement du temps de Quick.
  • -Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques avec symptômes respiratoires (par ex. dyspnée, bronchospasmes, râles sibilants, oedème angioneurotique) et anaphylaxie.
  • +Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques avec symptômes respiratoires (par ex. dyspnée, bronchospasmes, râles sibilants, œdème angioneurotique) et anaphylaxie.
  • -Rares (0,01–0,1%): retard d'appétit, faiblesse motrice et dépression respiratoire.
  • +Rares (0,01–0,1%): retard dappétit, faiblesse motrice et dépression respiratoire.
  • -Après l'utilisation du tramadol, des troubles psychiatriques peuvent survenir; l'intensité et la nature de ceux-ci varient selon les individus (selon la personnalité et la durée du traitement). Ces troubles comportent des modifications de l'humeur (le plus souvent euphorie, occasionnellement dysphorie), des modifications de l'activité (le plus souvent diminution, éventuellement augmentation) et des modifications des facultés cognitives et sensorielles (par ex. capacité décisionnelle, troubles de la perception).
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Dans des cas isolés, un syndrome sérotoninergique a été rapporté en relation avec l'utilisation thérapeutique du tramadol associé à d'autres médicaments sérotoninergiques. Les signes d'un syndrome sérotoninergique peuvent par exemple être: confusion, agitation, fièvre, sueurs, ataxie, hyperréflexie, myoclonies et diarrhée.
  • -L'aggravation d'un asthme a été signalée. Aucun lien de causalité n'a cependant pu être établi.
  • +Après lutilisation du tramadol, des troubles psychiatriques peuvent survenir; lintensité et la nature de ceux-ci varient selon les individus (selon la personnalité et la durée du traitement). Ces troubles comportent des modifications de lhumeur (le plus souvent euphorie, occasionnellement dysphorie), des modifications de lactivité (le plus souvent diminution, éventuellement augmentation) et des modifications des facultés cognitives et sensorielles (par ex. capacité décisionnelle, troubles de la perception).
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Dans des cas isolés, un syndrome sérotoninergique a été rapporté en relation avec lutilisation thérapeutique du tramadol associé à dautres médicaments sérotoninergiques. Les signes dun syndrome sérotoninergique peuvent par exemple être: confusion, agitation, fièvre, sueurs, ataxie, hyperréflexie, myoclonies et diarrhée.
  • +Laggravation dun asthme a été signalée. Aucun lien de causalité na cependant pu être établi.
  • -Parmi les autres symptômes observés dans de très rares cas (<0,01%) lors de l'arrêt du tramadol, on trouve: attaques de panique, forte anxiété, hallucinations, paresthésies, tinnitus et symptômes inhabituels du SNC.
  • +Parmi les autres symptômes observés dans de très rares cas (<0,01%) lors de larrêt du tramadol, on trouve: attaques de panique, forte anxiété, hallucinations, paresthésies, tinnitus et symptômes inhabituels du SNC.
  • -Occasionnelles: Réaction cutanée parfois érythémateuse à type d'urticaire, rougeur.
  • +Occasionnelles: Réaction cutanée parfois érythémateuse à type durticaire, rougeur.
  • -Rarement: Anaphylaxie, Réactions allergiques telles que oedème de Quincke (angioedème), difficultés respiratoires, un bronchospasme, accès de sueurs, nausées, chute de tension jusque à l'état de choc.
  • -Une petite partie (5–10%) des patients souffrant d'asthme induit par l'acide acétylsalicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide acétylsalicylique peuvent réagir de même façon au paracétamol (asthme analgésiques).
  • +Rarement: Anaphylaxie, Réactions allergiques telles que œdème de Quincke (angioedème), difficultés respiratoires, un bronchospasme, accès de sueurs, nausées, chute de tension jusque à létat de choc.
  • +Une petite partie (5–10%) des patients souffrant dasthme induit par lacide acétylsalicylique ou dautres manifestations dune intolérance à lacide acétylsalicylique peuvent réagir de même façon au paracétamol (asthme analgésiques).
  • -Voir «Mises en garde et précautions» et «Surdosage».
  • +Voir «Mises en garde et précautions» et « Surdosage ».
  • -Rarement: Augmentation des transaminases hépatiques.
  • +Rarement : Augmentation des transaminases hépatiques.
  • -Rare: cas de thrombocytopénie allergique, de leucopénie, d'agranulocytose, de pancytopénie, de neutropénie et d'anémie hémolytique.
  • -Différents rapports indiquent que le paracétamol utilisé avec les dérivés de la coumarine (par ex. warfarine) pourrait provoquer une hypoprothrombinémie. Dans d'autres études, aucune modification du temps de Quick n'a été retrouvée.
  • +Rare : cas de thrombocytopénie allergique, de leucopénie, dagranulocytose, de pancytopénie, de neutropénie et danémie hémolytique.
  • +Différents rapports indiquent que le paracétamol utilisé avec les dérivés de la coumarine (par ex. warfarine) pourrait provoquer une hypoprothrombinémie. Dans dautres études, aucune modification du temps de Quick na été retrouvée.
  • -Zaldiar est une association de principes actifs. Le tableau clinique d'un surdosage peut comprendre les signes et symptômes de la toxicité du tramadol, du paracétamol ou des deux substances ensemble. En principe, lors d'une intoxication par le Tramadol, des symptômes analogues à ceux provoqués par d'autres substances opioïdes sont attendus. Il s'agit en particulier d'un myosis, de vomissements, d'un collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusqu'au coma, de convulsions et d'une dépression respiratoire allant jusqu'à l'arrêt respiratoire. Les symptômes premiers suivants se manifestent dans les 24 heures suivant une intoxication au paracétamol: anorexie, nausées, vomissements, malaise, pâleur et diaphorèse. Des signes d'une intoxication aiguë des cellules hépatiques et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires dangereuses pour le pronostic vital apparaissent après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez les adultes et les adolescents (et même après des doses plus faibles chez les patients prédisposés, par ex. chez ceux ayant une consommation excessive d'alcool ou une réserve de glutathion déficitaire en cas de carence nutritionnelle).
  • -Des concentrations plasmatiques de paracétamol supérieures à 200 µg/ml après 4 h, supérieures à 100 µg/ml après 8 h, supérieures à 50 µg/ml après 12 h et supérieures à 30 µg/ml après 15 h provoquent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité est directement dépendante de la concentration plasmatique.
  • +Zaldiar est une association de principes actifs. Le tableau clinique dun surdosage peut comprendre les signes et symptômes de la toxicité du tramadol, du paracétamol ou des deux substances ensemble. En principe, lors dune intoxication par le Tramadol, des symptômes analogues à ceux provoqués par dautres substances opioïdes sont attendus. Il sagit en particulier dun myosis, de vomissements, dun collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusquau coma, de convulsions et dune dépression respiratoire allant jusquà larrêt respiratoire. Les symptômes premiers suivants se manifestent dans les 24 heures suivant une intoxication au paracétamol: anorexie, nausées, vomissements, malaise, pâleur et diaphorèse. Des signes dune intoxication aiguë des cellules hépatiques et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires dangereuses pour le pronostic vital apparaissent après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez les adultes et les adolescents (et même après des doses plus faibles chez les patients prédisposés, par ex. chez ceux ayant une consommation excessive dalcool ou une réserve de glutathion déficitaire en cas de carence nutritionnelle).
  • +Des concentrations plasmatiques de paracétamol supérieures à 200 µg/ml après 4 h, supérieures à 100 µg/ml après 8 h, supérieures à 50 µg/ml après 12 h et supérieures à 30 µg/ml après 15 h provoquent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. Lhépatotoxicité est directement dépendante de la concentration plasmatique.
  • -Les symptômes d'un surdosage au paracétamol sont:
  • +Les symptômes dun surdosage au paracétamol sont:
  • -Un surdosage isolé ou plusieurs surdosages de Zaldiar peuvent être potentiellement mortels. C'est pourquoi la consultation immédiate d'un centre antipoison régional ou l'hospitalisation du patient sont recommandées.
  • -Mettre en place des mesures thérapeutiques d'urgence générales. Maintenir la liberté des voies respiratoires (aspiration!). Maintenir les fonctions respiratoires et circulatoires en fonction des symptômes. Réaliser une évacuation gastrique par vomissement (patient conscient), irritation gastrique ou lavage. La naloxone est l'antidote d'une dépression des voies respiratoires par surdosage en tramadol. La naloxone n'est cependant pas recommandée pour le traitement des convulsions induites par le tramadol, étant donné que dans les études effectuées chez l'animal, les convulsions induites par le tramadol ont été aggravées par la naloxone. Dans ce cas, l'injection intraveineuse de diazépam est indiquée.
  • -On estime qu'il n'est pas nécessaire de pratiquer une hémodialyse ni une hémofiltration car ces méthodes ne permettent de retirer que moins de 7% de la dose de tramadol absorbé pendant une période de quatre heures de dialyse.
  • -Un traitement efficace devrait débuter sans délai dès qu'une intoxication au paracétamol est soupçonnée et inclure les mesures suivantes:
  • -·Lavage gastrique (n'est utile qu'au cours de la première heure, éventuellement de la deuxième), ensuite administration réitérée de charbon actif.
  • -·Prise orale de N-acétyl-cystéine ou de méthionine. Dans les situations où l'administration orale de l'antidote du paracétamol n'est pas possible ou difficilement possible (par ex. en raison de vomissements violents, d'une désorientation), celui-ci peut être administré par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 heures. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • -·Déterminationde la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après l'administration).
  • +Un surdosage isolé ou plusieurs surdosages de Zaldiar peuvent être potentiellement mortels. Cest pourquoi la consultation immédiate dun centre antipoison régional ou lhospitalisation du patient sont recommandées.
  • +Mettre en place des mesures thérapeutiques durgence générales. Maintenir la liberté des voies respiratoires (aspiration!). Maintenir les fonctions respiratoires et circulatoires en fonction des symptômes. Réaliser une évacuation gastrique par vomissement (patient conscient), irritation gastrique ou lavage. La naloxone est lantidote dune dépression des voies respiratoires par surdosage en tramadol. La naloxone nest cependant pas recommandée pour le traitement des convulsions induites par le tramadol, étant donné que dans les études effectuées chez lanimal, les convulsions induites par le tramadol ont été aggravées par la naloxone. Dans ce cas, linjection intraveineuse de diazépam est indiquée.
  • +On estime quil nest pas nécessaire de pratiquer une hémodialyse ni une hémofiltration car ces méthodes ne permettent de retirer que moins de 7% de la dose de tramadol absorbé pendant une période de quatre heures de dialyse.
  • +Un traitement efficace devrait débuter sans délai dès quune intoxication au paracétamol est soupçonnée et inclure les mesures suivantes:
  • +·Lavage gastrique (nest utile quau cours de la première heure, éventuellement de la deuxième), ensuite administration réitérée de charbon actif.
  • +·Prise orale de N-acétyl-cystéine ou de méthionine. Dans les situations où ladministration orale de lantidote du paracétamol nest pas possible ou difficilement possible (par ex. en raison de vomissements violents, dune désorientation), celui-ci peut être administré par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 heures. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • +·Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après ladministration).
  • -L'hémodialyse ou la dialyse péritonéale ne présentent pas d'utilité significative pour l'élimination du paracétamol.
  • -Mécanisme d'action
  • -Le tramadol est un analgésique morphinique d'action centrale. C'est un agoniste pur non sélectif du récepteur à la morphine avec une affinité élevée pour le récepteur µ. Comme quelques autres analgésiques morphiniques, le tramadol inhibe la recapture de la noradrénaline et de la sérotonine in vitro. Ces mécanismes peuvent être importants pour le tramadol, indépendamment de son profil antalgique général.
  • -Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme d'action n'est pas complètement élucidé.
  • -En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus.
  • +Mécanisme daction
  • +Le tramadol est un analgésique morphinique daction centrale. Cest un agoniste pur non sélectif du récepteur à la morphine avec une affinité élevée pour le récepteur µ. Comme quelques autres analgésiques morphiniques, le tramadol inhibe la recapture de la noradrénaline et de la sérotonine in vitro. Ces mécanismes peuvent être importants pour le tramadol, indépendamment de son profil antalgique général.
  • +Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme daction nest pas complètement élucidé.
  • +En ce qui concerne leffet analgésique, il a été démontré que linhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus.
  • -Le tramadol possède une activité antitussive. À la différence de la morphine, des doses analgésiques de tramadol sur un vaste intervalle posologique n'ont aucun effet dépresseur sur les voies respiratoires. La motilité gastro-intestinale n'est pas modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont généralement peu importants. L'efficacité du tramadol est estimée comme étant 10–17% de celle de la morphine.
  • +Le tramadol possède une activité antitussive. À la différence de la morphine, des doses analgésiques de tramadol sur un vaste intervalle posologique nont aucun effet dépresseur sur les voies respiratoires. La motilité gastro-intestinale nest pas modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont généralement peu importants. Lefficacité du tramadol est estimée comme étant 10–17% de celle de la morphine.
  • -Zaldiar est classé comme un analgésique de palier II du schéma par paliers de l'OMS et doit être utilisé comme tel par le médecin.
  • +Zaldiar est classé comme un analgésique de palier II du schéma par paliers de lOMS et doit être utilisé comme tel par le médecin.
  • -Des études pharmacocinétiques réalisées chez des volontaires avec des doses uniques et réitérées de Zaldiar n'ont montré aucune interaction significative entre le tramadol et le paracétamol.
  • +Des études pharmacocinétiques réalisées chez des volontaires avec des doses uniques et réitérées de Zaldiar nont montré aucune interaction significative entre le tramadol et le paracétamol.
  • -La prise orale de Zaldiar avec l'alimentation n'a aucune influence significative sur les concentrations plasmatiques maximales ni sur l'importance de l'absorption. En conséquence, Zaldiar peut être pris indépendamment des repas.
  • +La prise orale de Zaldiar avec lalimentation na aucune influence significative sur les concentrations plasmatiques maximales ni sur limportance de labsorption. En conséquence, Zaldiar peut être pris indépendamment des repas.
  • -Après une dose orale unique sous forme de comprimé pelliculé de l'association tramadol/paracétamol (respectivement 37,5 mg/325 mg), les concentrations plasmatiques maximales du [(+)-tramadol/(–)-tramadol] sont atteintes après 1,8 h et s'élèvent à 64,3/55,5 ng/ml, celles du paracétamol sont atteintes après 0,9 h et s'élèvent à 4,2 µg/ml. La demi-vie moyenne de la phase d'élimination terminale du tramadol racémique est de 5,1/4,7 h; celle du paracétamol est de 2,5 h.
  • -Le tramadol sous forme racémique est rapidement et pratiquement complètement résorbé après une prise orale. La biodisponibilité absolue moyenne d'une dose unique de 100 mg atteint 75% environ. Pour des prises multiples, la biodisponibilité monte à 90% environ.
  • -La résorption orale du paracétamol après la prise de Zaldiar a lieu principalement dans l'intestin grêle; elle est rapide et pratiquement complète.
  • +Après une dose orale unique sous forme de comprimé pelliculé de lassociation tramadol/paracétamol (respectivement 37,5 mg/325 mg), les concentrations plasmatiques maximales du [(+)-tramadol/(–)-tramadol] sont atteintes après 1,8 h et sélèvent à 64,3/55,5 ng/ml, celles du paracétamol sont atteintes après 0,9 h et sélèvent à 4,2 µg/ml. La demi-vie moyenne de la phase délimination terminale du tramadol racémique est de 5,1/4,7 h; celle du paracétamol est de 2,5 h.
  • +Le tramadol sous forme racémique est rapidement et pratiquement complètement résorbé après une prise orale. La biodisponibilité absolue moyenne dune dose unique de 100 mg atteint 75% environ. Pour des prises multiples, la biodisponibilité monte à 90% environ.
  • +La résorption orale du paracétamol après la prise de Zaldiar a lieu principalement dans lintestin grêle; elle est rapide et pratiquement complète.
  • -Aux doses thérapeutiques, la liaison aux protéines atteint 10% environ, tandis qu'elle est de 50% pour des doses plus élevées. Le volume de distribution atteint 1 l/kg environ.
  • +Aux doses thérapeutiques, la liaison aux protéines atteint 10% environ, tandis quelle est de 50% pour des doses plus élevées. Le volume de distribution atteint 1 l/kg environ.
  • -Après administration de Zaldiar à des volontaires, les profils de concentration plasmatique du tramadol et de son métabolite M1 (O-déméthyl-tramadol) ne montrent aucune modification significative par rapport à ceux observés après l'administration seule de tramadol. Le tramadol subit une métabolisation étendue après administration orale. Environ 30% de la dose sont excrétés de façon inchangée dans les urines tandis que 60% de la dose sont excrétés sous forme de métabolites.
  • +Après administration de Zaldiar à des volontaires, les profils de concentration plasmatique du tramadol et de son métabolite M1 (O-déméthyl-tramadol) ne montrent aucune modification significative par rapport à ceux observés après ladministration seule de tramadol. Le tramadol subit une métabolisation étendue après administration orale. Environ 30% de la dose sont excrétés de façon inchangée dans les urines tandis que 60% de la dose sont excrétés sous forme de métabolites.
  • -Conjugaison à l'acide glucuronique, à l'acide sulfurique et oxydation sur le système de l'oxydase cytochrome P450-dépendante. De petites quantités de métabolite toxique se forment par hydroxylation comme le p-aminophénol et le Nacétyl-p-benzochinonimine. Les métabolites toxiques sont liés au glutathion et à la cystéine avant d'être éliminés.
  • +Conjugaison à lacide glucuronique, à lacide sulfurique et oxydation sur le système de loxydase cytochrome P450-dépendante. De petites quantités de métabolite toxique se forment par hydroxylation comme le p-aminophénol et le N-acétyl-p-benzochinonimine. Les métabolites toxiques sont liés au glutathion et à la cystéine avant dêtre éliminés.
  • -Le tramadol et ses métabolites sont principalement éliminés par voie rénale. La demi-vie plasmatique du tramadol et de son métabolite M1 est respectivement de 6 et 7 h environ. La demi-vie du paracétamol atteint 2–3 h environ chez l'adulte. Chez l'enfant, cette demi-vie est un peu plus courte, et un peu plus longue chez le nouveau-né ainsi que chez le patient cirrhotique. Le paracétamol est éliminé principalement par la formation dose-dépendante de glucuro- et de sulfato-conjugués. Moins de 9% du paracétamol sont excrétés sous forme inchangée dans les urines.
  • +Le tramadol et ses métabolites sont principalement éliminés par voie rénale. La demi-vie plasmatique du tramadol et de son métabolite M1 est respectivement de 6 et 7 h environ. La demi-vie du paracétamol atteint 2–3 h environ chez ladulte. Chez lenfant, cette demi-vie est un peu plus courte, et un peu plus longue chez le nouveau-né ainsi que chez le patient cirrhotique. Le paracétamol est éliminé principalement par la formation dose-dépendante de glucuro- et de sulfato-conjugués. Moins de 9% du paracétamol sont excrétés sous forme inchangée dans les urines.
  • -L'élimination des substances peut être augmentée chez les patients âgés de plus de 75 ans.
  • -Chez l'insuffisant rénal
  • -La pharmacocinétique de l'association tramadol/paracétamol n'a pas encore été étudiée chez le patient présentant une insuffisance rénale.
  • -Chez les patients insuffisants rénaux (clairance de la créatinine <5 ml/min), la demi-vie d'élimination du tramadol a été d'environ 11 heures et dans les cas extrêmes d'environ 20 heures.
  • -Le temps de demi-vie des deux principes actifs est prolongé en cas d'insuffisance rénale.
  • +Lélimination des substances peut être augmentée chez les patients âgés de plus de 75 ans.
  • +Chez linsuffisant rénal
  • +La pharmacocinétique de lassociation tramadol/paracétamol na pas encore été étudiée chez le patient présentant une insuffisance rénale.
  • +Chez les patients insuffisants rénaux (clairance de la créatinine <5 ml/min), la demi-vie délimination du tramadol a été denviron 11 heures et dans les cas extrêmes denviron 20 heures.
  • +Le temps de demi-vie des deux principes actifs est prolongé en cas dinsuffisance rénale.
  • -Chez l'insuffisant hépatique
  • -La pharmacocinétique et la tolérance de Zaldiar chez les patients présentant une insuffisance hépatique n'a pas encore été étudiée.
  • -Chez les patients atteints de cirrhose hépatique, des demi-vies d'élimination d'environ 13 heures, et dans des cas extrêmes de 22 heures, ont été mesurées pour le tramadol.
  • +Chez linsuffisant hépatique
  • +La pharmacocinétique et la tolérance de Zaldiar chez les patients présentant une insuffisance hépatique na pas encore été étudiée.
  • +Chez les patients atteints de cirrhose hépatique, des demi-vies délimination denviron 13 heures, et dans des cas extrêmes de 22 heures, ont été mesurées pour le tramadol.
  • -Aucune étude spécifique chez l'animal, ni aucune étude biologique n'a été effectuée avec la combinaison fixe (tramadol et paracétamol) en vue d'évaluer l'effet carcinogène ou mutagène, ou encore l'influence sur la fertilité.
  • -Chez le rat, l'administration de l'association tramadol/paracétamol à la femelle à des doses maternel toxiques orales (50/434 mg/kg de tramadol/paracétamol) correspondant à 8,3 fois la dose thérapeutique maximale chez l'homme s'est avérée embryotoxique et foetotoxique. (Diminution du poids fœtal et une incidence accrue de côtes surnuméraires).
  • +Aucune étude spécifique chez lanimal, ni aucune étude biologique na été effectuée avec la combinaison fixe (tramadol et paracétamol) en vue dévaluer leffet carcinogène ou mutagène, ou encore linfluence sur la fertilité.
  • +Chez le rat, ladministration de lassociation tramadol/paracétamol à la femelle à des doses maternel toxiques orales (50/434 mg/kg de tramadol/paracétamol) correspondant à 8,3 fois la dose thérapeutique maximale chez lhomme sest avérée embryotoxique et foetotoxique. (Diminution du poids fœtal et une incidence accrue de côtes surnuméraires).
  • -Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d'un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat, n'a montré aucun indice en faveur d'une incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d'adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais l'augmentation n'était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais, pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses materno-toxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtale. Fertilité et développement des jeunes n'ont pas été affectés. On n'a pas observé d'altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • +Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur dun risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat, na montré aucun indice en faveur dune incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue dadénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais laugmentation nétait pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais, pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses maternotoxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3fa-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtale. Fertilité et développement des jeunes n'ont pas été affectés. On n'a pas observé daltération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • -On a observé un potentiel mutagène lors de divers essais génotoxiques. Cependant, cela doit être qualifié parce que c'est dose-dépendante.
  • -Les mécanismes qui semblent provoquer ces effets suggèrent qu'une posologie au-dessous d'un certain seuil ne provoquent pas d'effets génotoxiques; lorsque la réserve en glutathione est diminuée, le seuil pourrait être plus bas. Les seuils qui ont montré un effet génotoxique dans les essais sur l'animal se situent clairement dans le domaine posologique toxique qui provoque des lésions au niveau du foie et de la moelle osseuse. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1 g/kg chez le souri) n'ont pas d'effets carcinogènes. Donc, on peut pratiquement exclure qu'une posologie thérapeutique aurait un effet génotoxique ou carcinogène.
  • +On a observé un potentiel mutagène lors de divers essais génotoxiques. Cependant, cela doit être qualifié parce que cest dose-dépendante.
  • +Les mécanismes qui semblent provoquer ces effets suggèrent qu'une posologie au-dessous dun certain seuil ne provoquent pas d'effets génotoxiques; lorsque la réserve en glutathione est diminuée, le seuil pourrait être plus bas. Les seuils qui ont montré un effet génotoxique dans les essais sur l'animal se situent clairement dans le domaine posologique toxique qui provoque des lésions au niveau du foie et de la moelle osseuse. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1 g/kg chez le souri) n'ont pas d'effets carcinogènes. Donc, on peut pratiquement exclure qu'une posologie thérapeutique aurait un effet génotoxique ou carcinogène.
  • -L'administration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. L'administration répétée à des rats mâle de doses très élevées de paracétamol (≥500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • +Ladministration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. L'administration répétée à des rats mâle de doses très élevées de paracétamol (≥ 500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • -Conserver dans l'emballage d'origine à température ambiante (15–25 °C).
  • +Conserver dans lemballage dorigine à température ambiante (15–25 °C).
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