38 Changements de l'information professionelle Co-Epril |
-Co-Epril est indiqué pour la thérapie de l'hypertension artérielle chez les patients nécessitant une thérapie combinée.
- +Co-Epril est indiqué pour le traitement de l'hypertension artérielle chez les patients nécessitant une thérapie combinée.
-·Patients souffrant d'un angio-œdème héréditaire ou idiopathique ou patients ayant développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur avec un inhibiteur de l'ECA ou à un antagoniste du récepteur de l'angiotensine II.
- +·Patients souffrant d'un angio-œdème héréditaire ou idiopathique ou patients ayant développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur avec un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste du récepteur de l'angiotensine II.
- +·Les inhibiteurs de l'ECA, y compris Co-Epril, sont contre-indiqués en association avec le sacubitril/valsartan ou avec le racécadotril en raison du risque accru d'angio-œdèmes (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
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-Voir sous «Posologie lors d'insuffisance rénale».
- +Voir sous «Posologie/Mode d'emploi» – «Posologie lors d'insuffisance rénale».
-Le traitement peut être rétabli éventuellement après réduction de la posologie ou en administrant l'un des composants à une dose ajustée.
-Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l'artère d'un rein unique, il s'est également produit, au cours du traitement, des augmentations de l'urée sanguine et de la créatinine sérique. Ces augmentations se sont toutefois avérées également réversibles après l'arrêt de la médication.
- +Le traitement peut être rétabli éventuellement après réduction de la posologie ou en administrant l'un des composants seul à une dose ajustée.
- +Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l'artère d'un rein unique, il s'est également produit, au cours du traitement, des augmentations de l'urée sanguine et de la créatinine sérique. Ces augmentations se sont toutefois avérées généralement réversibles après l'arrêt de la médication.
-Les diurétiques thiazidiques peuvent abaisser l'excrétion calcique urinaire et induire ainsi une légère élévation passagère de la calcémie. Une hypercalcémie prononcée peut être le fait d'un hyperparathyroïdisme méconnu. Suspendre l'administration des diurétiques thiazidiques avant d'entreprendre l'exploration de la fonction parathyroïdienne.
- +Les diurétiques thiazidiques peuvent abaisser l'excrétion calcique urinaire et induire ainsi une légère élévation passagère de la calcémie sérique. Une hypercalcémie prononcée peut être le fait d'un hyperparathyroïdisme méconnu. Suspendre l'administration des diurétiques thiazidiques avant d'entreprendre l'exploration de la fonction parathyroïdienne.
-Dans de rares cas, les inhibiteurs de l'ECA - y compris maléate d'énalapril - ont provoqué un œdème de Quincke au niveau de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx. Dans de pareils cas, cesser immédiatement l'administration de maléate d'énalapril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de l'œdème. Même lors de gonflements limités à la langue, sans dyspnée, une observation prolongée peut être nécessaire, car le traitement avec des antihistaminiques et des corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant.
- +Dans de rares cas, les inhibiteurs de l'ECA - y compris le maléate d'énalapril - ont provoqué un œdème de Quincke au niveau de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx. Dans de pareils cas, cesser immédiatement l'administration de maléate d'énalapril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de l'œdème. Même lors de gonflements limités à la langue, sans dyspnée, une observation prolongée peut être nécessaire, car le traitement avec des antihistaminiques et des corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant.
-Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité, que le patient ait connue ou non des antécédents allergiques ou asthmatiques.
- +Compte tenu du risque d'angio-œdème, les inhibiteurs de l'ECA, y compris Co-Epril, ne doivent pas être co-administrés en association avec le sacubitril/valsartan ou avec le racécadotril. Les patients recevant simultanément une thérapie par le sacubitril/valsartan peuvent présenter un risque accru d'angio-œdèmes.
- +Un traitement par Co- Epril ne doit pas être initié avant 36 heures après la dernière dose de l'association sacubitril/valsartan. Un traitement par le sacubitril/valsartan ne doit pas être instauré avant 36 heures après la prise de la dernière dose de la thérapie par Co- Epril (voir «Contre-indications» et «Interactions»).
- +Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité, que le patient ait connu ou non des antécédents allergiques ou asthmatiques.
-Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités par des inhibiteurs de l'ECA pendant une désensibilisation au venin d'insecte. Ces réactions ont pu être prévenues par une interruption provisoire du traitement par l'inhibiteur de l'ECA avant la désensibilisation. En outre, dans ces cas-là, l'inhibiteur de l'ECA ne doit en aucun cas être remplacé par un bêtabloquant. Dans de rares cas, une réaction anaphylactique a pu survenir suite à une piqûre d'insecte.
- +Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités par des inhibiteurs de l'ECA pendant une désensibilisation au venin d'insecte. Ces réactions ont pu être prévenues par une interruption provisoire du traitement par l'inhibiteur de l'ECA avant la désensibilisation. En outre, dans ces cas-là, l'inhibiteur de l'ECA ne doit en aucun cas être remplacé par un bêtabloquant. Dans de rares cas, une réaction anaphylactique peut survenir suite à une piqûre d'insecte.
-Les facteurs de risque pour le développement d'une hyperkaliémie englobent l'insuffisance rénale, le diabète et l'utilisation concomitante de diurétiques épargneurs de potassium (par exemple spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium.
-La prise de suppléments de potassium, de principes actifs épargneurs de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium peut, en particulier chez les patients insuffisants rénaux, provoquer une élévation significative du taux sérique de potassium. L'hyperkaliémie peut entraîner des arythmies sérieuses, parfois mortelles.
- +Les facteurs de risque pour le développement d'une hyperkaliémie englobent l'insuffisance rénale, le diabète et l'utilisation concomitante de diurétiques épargneurs de potassium (par exemple spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium, de sels diététiques contenant du potassium ou d'autres médicaments qui peuvent élever le potassium sérique (par ex. médicaments à base de triméthoprime).
- +La prise de suppléments de potassium, de principes actifs épargneurs de potassium, de sels diététiques contenant du potassium ou d'autres médicaments qui peuvent élever le potassium sérique peut, en particulier chez les patients insuffisants rénaux, provoquer une élévation significative du taux sérique de potassium. L'hyperkaliémie peut entraîner des arythmies sérieuses, parfois mortelles.
- +Cancers de la peau de type non mélanocytaire
- +Dans le cadre de deux études épidémiologiques fondée sur le registre national danois du cancer, un risque accru de cancers de la peau de type non mélanocytaire sous forme de carcinome basocellulaire (CBC) et de carcinome épidermoïde (CE) a été observé lors de l'exposition à des doses cumulées croissantes d'hydrochlorothiazide. L'effet photosensibilisant de l'hydrochlorothiazide pourrait constituer un mécanisme potentiel impliqué dans le développement du cancer de la peau non mélanocytaire.
- +Les patients qui prennent de l'hydrochlorothiazide doivent être informés du risque de cancer de la peau non mélanocytaire, et de la nécessité de contrôler régulièrement leur peau à la recherche de nouvelles lésions et de signaler immédiatement toute modification cutanée suspecte. Afin de minimiser le risque de cancer de la peau, il sera conseillé aux patients, à titre préventif, de limiter l'exposition au soleil et aux rayons UV et d'utiliser une protection solaire adéquate en cas d'exposition. Les modifications cutanées suspectes doivent être examinées rapidement, si nécessaire au moyen d'un examen histologique de biopsies Chez les patients ayant des antécédents de cancer de la peau non mélanocytaire, il peut être nécessaire de reconsidérer l'utilisation d'hydrochlorothiazide (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»).
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-L'administration concomitante d'appoints potassiques, de préparations d'épargne potassique ou de sels diététiques contenant du potassium peut induire une élévation significative du potassium sérique, en particulier chez l'insuffisant rénal. Si l'utilisation de Co-Epril en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hyperkaliémie»).
- +L'administration concomitante d'appoints potassiques, de préparations d'épargne potassique, de sels diététiques contenant du potassium ou d'autres médicaments qui peuvent élever le potassium sérique (par ex. médicaments à base de triméthoprime) peut induire une élévation significative du potassium sérique, en particulier chez l'insuffisant rénal. Si l'utilisation de Co-Epril en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hyperkaliémie»).
-Avant d'administrer des préparations à base de lithium, se référer à la notice d'emballage.
- +Avant d'administrer des préparations à base de lithium en association avec Co-Epril, se référer à la notice d'emballage.
- +Inhibiteurs de la néprilysine
- +L'utilisation concomitante d'un inhibiteur de l'ECA, y compris Co- Epril, et de sacubitril/valsartan ou du racécadotril peut augmenter le risque d'angio-œdèmes (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
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-(Très fréquents [≥1/10], fréquents [≥1/100, <1/10], occasionnels [≥1/1'000, <1/100], rares [≥1/10'000, <1/1'000] et très rares [<1/10'000], y compris des cas isolés rapportés.)
- +(Très fréquents [≥1/10], fréquents [≥1/100, <1/10], occasionnels [≥1/1'000, <1/100], rares [≥1/10'000, <1/1'000], très rares [<1/10'000], fréquence inconnue (ne peut pas être estimée à partir des données disponibles), y compris des cas isolés rapportés.)
-Très rares: syndrome de sécrétion inappropriée d’hormone antidiurétique (SIADH).
- +Très rares: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH).
-* Si l’on considère l’ensemble des expériences faites dans des études cliniques sur l’énalapril (ce qui inclut les «SOLVD Treatment and Prevention Trials» auprès de patients présentant une dysfonction significative du ventricule gauche), les effets indésirables «très fréquents» englobent des vertiges (30,6%), une vision floue (12,6%), de la toux (20,4%), des nausées (12,6%) et une asthénie (31,4%). Dans les études auprès de patients hypertendus, l’incidence est cependant nettement plus faible: occasionnels: vision floue (0,17%); fréquents: vertiges (4,3%), toux (1,3%), envies de vomir (1,4%) et fatigue/asthénie (3,0%).
- +* Si l'on considère l'ensemble des expériences faites dans des études cliniques sur l'énalapril (ce qui inclut les «SOLVD Treatment and Prevention Trials» auprès de patients présentant une dysfonction significative du ventricule gauche), les effets indésirables «très fréquents» englobent des vertiges (30,6%), une vision floue (12,6%), de la toux (20,4%), des nausées (12,6%) et une asthénie (31,4%). Dans les études auprès de patients hypertendus, l'incidence est cependant nettement plus faible: occasionnels: vision floue (0,17%); fréquents: vertiges (4,3%), toux (1,3%), envies de vomir (1,4%) et fatigue/asthénie (3,0%).
-Fréquents: hypotension, y compris hypotension orthostatique, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral, éventuellement suite à une hypotension exagérée chez des patients à haut risque (voir sous «Mises en garde et précautions»), douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, angine de poitrine.
- +Fréquents: hypotension, y compris hypotension orthostatique, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral, éventuellement suite à une hypotension excessive chez des patients à haut risque (voir sous «Mises en garde et précautions»), douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, angine de poitrine.
-Troubles hépato-biliaires
- +Troubles hépatobiliaires
- +Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiques (y compris kystes et polypes)
- +Fréquence inconnue: cancers de la peau de type non mélanocytaire [CPNM] (carcinome basocellulaire [CBC] et carcinome épidermoïde [CE]).
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-Troubles hépato-biliaires
- +Troubles hépatobiliaires
- +Description d'effets indésirables sélectionnés
- +Cancers de la peau de type non mélanocytaire (CBC et CE): sur la base des données disponibles provenant d'études épidémiologiques, une relation cumulative dose-dépendante entre l'exposition à l'hydrochlorothiazide et des cancers de la peau de type non mélanocytaire a été observée (voir aussi les rubriques «Mises en garde et précautions»).
- +Cancers de la peau de type non mélanocytaire (CPNM): sur la base des données disponibles provenant d'études épidémiologiques, une relation cumulative dose-dépendante entre l'exposition à l'hydrochlorothiazide (HCTZ) et le développement de CPNM a été observée. Une des études a inclus une population composée de 71'553 cas de CBC et de 8'629 cas de CE, appariés respectivement à 1'430'883 et 172'462 cas témoins. Une forte exposition à l'HCTZ (dose cumulative ≥50'000 mg) a été associée à un rapport de cotes (RC) ajusté de 1,29 (IC à 95%: 1,23−1,35) pour le CBC et de 3,98 (IC à 95%: 3,68−4,31) pour le CE. Une relation dose-effet cumulative claire a été observée à la fois pour le CBC et pour le CE. Une autre étude a montré le lien possible entre l'exposition à l'HCTZ et le carcinome des lèvres (CE): 633 cas de carcinome des lèvres ont été comparés avec 63'067 cas témoins, à l'aide d'une stratégie d'échantillonnage axée sur les risques «(risk set sampling»). Une relation dose-effet cumulative a été démontrée avec une augmentation du RC ajusté de 2,1 (IC à 95%: 1,7−2,6) à 3,9 (IC à 95%: 3,0−4,9) à la dose cumulative élevée (≥25'000 mg) et à 7,7 (IC à 95%: 5,7−10,5) à la dose cumulative la plus élevée (≥100'000 mg). (Voir également la rubrique «Mises en garde et précautions»).
-«High-Flux» filtre à dialyse: voir «Mises en garde et précautions».
- +Filtre à dialyse «High-Flux»: voir «Mises en garde et précautions».
-Avril 2016.
- +Décembre 2018.
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