ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Calcitriol Salmon Pharma 0,25 ug - Changements - 24.11.2015
74 Changements de l'information professionelle Calcitriol Salmon Pharma 0,25 ug
  • -Principe actif:calcitriolde synthèse (1,25-dihydroxycholécalciférol).
  • -Excipients:antioxydants: E 320 (butylhydroxyanisol); E 321 (butylhydroxytoluène).
  • +Principe actif: calcitriol de synthèse (1,25-dihydroxycholécalciférol).
  • +Excipients: antioxydants: E 320 (butylhydroxyanisol); E 321 (butylhydroxytoluène).
  • -Ostéoporosepostménopausique.
  • -Ostéodystrophied’origine rénale chez les patients atteints dinsuffisance rénale chronique, en particulier chez les hémodialysés.
  • -Hypoparathyroïdiepostopératoire.
  • -Hypoparathyroïdieidiopathique.
  • -Pseudohypoparathyroïdie.
  • +Ostéoporose postménopausique.
  • +Ostéodystrophie d'origine rénale chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, en particulier chez les hémodialysés.
  • +Hypoparathyroïdie postopératoire.
  • +Hypoparathyroïdie idiopathique.
  • +Pseudo-hypoparathyroïdie.
  • -La posologie journalière optimale deCalcitriolSalmon Pharma doit être déterminée avec soin chez chaque patient en fonction de son taux sérique de calcium. Le traitement parCalcitriolSalmon Pharma doit toujours débuter par la dose recommandée et celle-ci ne doit être augmentée que sous contrôle strict du taux sérique de calcium.
  • -Dès que la posologie optimale deCalcitriolSalmon Pharma a été établie, il convient de contrôler le taux sérique de calcium chaque mois (ou selon les données indiquées ci-dessous pour les diverses indications). Les prises de sang destinées à la détermination du calcium sérique doivent être effectuées sans garrot.
  • -Dès que le taux sérique de calcium dépasse de 1 mg/100 ml (soit 0,25mmol/l) la valeur normale (9–11 mg/100 ml, soit 2,25 à 2,75mmol/l) ou que la créatinine sérique devient supérieure à 120 µmol/l, interrompre immédiatement le traitement parCalcitriolSalmon Pharma jusquà ce que la calcémie se normalise.
  • -Tant quune hypercalcémie est présente, les taux sériques de calcium et de phosphate doivent être contrôlés quotidiennement. Lorsque les valeurs se sont normalisées, le traitement parCalcitriolSalmon Pharma peut être repris, et ce à raison dune dose journalière de 0,25 µg inférieure à la dose précédemment prescrite.
  • -Pour que lefficacité deCalcitriolSalmon Pharma soit optimale, il faut que le sujet bénéficie au début du traitement dun apport calcique suffisant, mais non excessif (adultes: environ 800 mg par jour).
  • -Une supplémentation en calcium peut savérer nécessaire.
  • -La quantité journalièrede calcium ingérée avec la nourriture doit être approximativement connue et la supplémentation en calcium, si elle savère nécessaire, doit être adaptée en conséquence (voir «Instructions spéciales pour la posologie»).
  • -Chez ladulte, lapport journalier total de calcium (dorigine alimentaire et médicamenteuse) doit être de 800 mg environ, mais ne doit pas dépasser 1000 mg.
  • -Suite à lamélioration de labsorption du calcium dans le tractus gastro-intestinal, il est possible de réduire lapport de calcium chez certains patients sousCalcitriolSalmon Pharma. Les patients présentant une tendance à lhypercalcémie nont besoin que de faibles doses de calcium, voire daucun apport supplémentaire.
  • +La posologie journalière optimale de Calcitriol Salmon Pharma doit être déterminée avec soin chez chaque patient en fonction de son taux sérique de calcium. Le traitement par Calcitriol Salmon Pharma doit toujours débuter par la dose recommandée et celleci ne doit être augmentée que sous contrôle strict du taux sérique de calcium.
  • +Dès que la posologie optimale de Calcitriol Salmon Pharma a été établie, il convient de contrôler le taux sérique de calcium chaque mois (ou selon les données indiquées ci-dessous pour les diverses indications). Les prises de sang destinées à la détermination du calcium sérique doivent être effectuées sans garrot.
  • +Dès que le taux sérique de calcium dépasse de 1 mg/100 ml (soit 0,25 mmol/l) la valeur normale (9–11 mg/100 ml, soit 2,25 à 2,75 mmol/l) ou que la créatinine sérique devient supérieure à 120 µmol/l, interrompre immédiatement le traitement par Calcitriol Salmon Pharma jusqu'à ce que la calcémie se normalise.
  • +Tant qu'une hypercalcémie est présente, les taux sériques de calcium et de phosphate doivent être contrôlés quotidiennement. Lorsque les valeurs se sont normalisées, le traitement par Calcitriol Salmon Pharma peut être repris, et ce à raison d'une dose journalière de 0,25 µg inférieure à la dose précédemment prescrite.
  • +Pour que l'efficacité de Calcitriol Salmon Pharma soit optimale, il faut que le sujet bénéficie au début du traitement d'un apport calcique suffisant, mais non excessif (adultes: environ 800 mg par jour).
  • +Une supplémentation en calcium peut s'avérer nécessaire.
  • +La quantité journalière de calcium ingérée avec la nourriture doit être approximativement connue et la supplémentation en calcium, si elle s'avère nécessaire, doit être adaptée en conséquence (voir «Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +Chez l'adulte, l'apport journalier total de calcium (d'origine alimentaire et médicamenteuse) doit être de 800 mg environ, mais ne doit pas dépasser 1000 mg.
  • +Suite à l'amélioration de l'absorption du calcium dans le tractus gastro-intestinal, il est possible de réduire l'apport de calcium chez certains patients sous Calcitriol Salmon Pharma. Les patients présentant une tendance à l'hypercalcémie n'ont besoin que de faibles doses de calcium, voire d'aucun apport supplémentaire.
  • -Ostéoporosepostménopausique
  • +Ostéoporose postménopausique
  • -Chez les patientes consommant moins de 500 mg de calcium dorigine alimentaire, prescrire une supplémentation en calcium. Lapport quotidien de calcium ne doit pas dépasser 1000 mg.
  • -Les taux de calcium et de créatinine sériques doivent être déterminés à la 4 e semaine, au 3 e et au 6 e mois, puis tous les six mois.
  • -Ostéodystrophied’origine rénale (patients dialysés)
  • -La dose quotidienne initiale est de 0,25 µg. Une dose de 0,25 µg tous les deux jours est suffisante chez les patients présentant une calcémie normale ouune hypocalcémie discrète. Si les paramètres cliniques et biochimiques névoluent pas favorablement dans un délai de deux à quatre semaines, la dose quotidienne peut être augmentée de 0,25 µg à intervalles de deux à quatre semaines. Pendant cette période,déterminer au moins deux fois par semaine le taux sérique de calcium. La plupart des patients réagissent à une dose de 0,5 à 1,0 µg par jour.
  • -Une dose plus élevée peut être nécessaire en cas dadministration simultanée de barbituriques ou danticonvulsivants.
  • -Un traitement oral dattaque parCalcitriolSalmon Pharma à raison dune dose initiale de 0,1 µg par kg et par semaine – en deux à trois prises nocturnes équivalentes – sest également révélé efficace chez des patients nayant pas répondu à un traitement continu. Ne pas dépasser une dose cumulée globale de 12 µg par semaine.
  • -Hypoparathyroïdieet rachitisme
  • -La posologie initiale recommandée deCalcitriolSalmon Pharma est de 0,25 µg par jour dont la prise doit avoir lieu le matin. Si les paramètres biochimiques et cliniques de la maladie névoluent pas favorablement, la dose peut être augmentée à intervalles de deux à quatre semaines. Pendant cette période, déterminer le taux sérique de calcium au moins deux fois par semaine.
  • -Chez les patients présentantunehypoparathyroïdie, on observe quelquefois un syndrome de malabsorption; dans de tels cas, il peut savérer nécessaire dadministrer de plus fortes doses deCalcitriolSalmon Pharma.
  • -Si le médecin décide de prescrireCalcitriolSalmon Pharma à une femme enceinte souffrant dhypoparathyroïdie, une augmentation de la dose pourra savérer nécessaire à un stade ultérieur de la grossesse, dose quil faudra à nouveau réduire après laccouchement ou pendant la période dallaitement.
  • +Chez les patientes consommant moins de 500 mg de calcium d'origine alimentaire, prescrire une supplémentation en calcium. L'apport quotidien de calcium ne doit pas dépasser 1000 mg.
  • +Les taux de calcium et de créatinine sériques doivent être déterminés à la 4e semaine, au 3e et au 6e mois, puis tous les six mois.
  • +Ostéodystrophie d'origine rénale (patients dialysés)
  • +La dose quotidienne initiale est de 0,25 µg. Une dose de 0,25 µg tous les deux jours est suffisante chez les patients présentant une calcémie normale ou une hypocalcémie discrète. Si les paramètres cliniques et biochimiques n'évoluent pas favorablement dans un délai de deux à quatre semaines, la dose quotidienne peut être augmentée de 0,25 µg à intervalles de deux à quatre semaines. Pendant cette période, déterminer au moins deux fois par semaine le taux sérique de calcium. La plupart des patients réagissent à une dose de 0,5 à 1,0 µg par jour.
  • +Une dose plus élevée peut être nécessaire en cas d'administration simultanée de barbituriques ou d'anticonvulsivants.
  • +Un traitement oral d'attaque par Calcitriol Salmon Pharma à raison d'une dose initiale de 0,1 µg par kg et par semaine – en deux à trois prises nocturnes égales – s'est également révélé efficace chez des patients n'ayant pas répondu à un traitement continu. Ne pas dépasser une dose cumulée globale de 12 µg par semaine.
  • +Hypoparathyroïdie et rachitisme
  • +La posologie initiale recommandée de Calcitriol Salmon Pharma est de 0,25 µg par jour dont la prise doit avoir lieu le matin. Si les paramètres biochimiques et cliniques de la maladie n'évoluent pas favorablement, la dose peut être augmentée à intervalles de deux à quatre semaines. Pendant cette période, déterminer le taux sérique de calcium au moins deux fois par semaine.
  • +Chez les patients présentant une hypoparathyroïdie, on observe quelquefois un syndrome de malabsorption; dans de tels cas, il peut s'avérer nécessaire d'administrer de plus fortes doses de Calcitriol Salmon Pharma.
  • +Si le médecin décide de prescrire Calcitriol Salmon Pharma à une femme enceinte souffrant d'hypoparathyroïdie, une augmentation de la dose pourra s'avérer nécessaire à un stade ultérieur de la grossesse, dose qu'il faudra à nouveau réduire après l'accouchement ou pendant la période d'allaitement.
  • -Il nest pasnécessaire dadapter la dose chez les patients âgés. Il convient de respecter les recommandations générales concernant les contrôles des taux sériques de calcium et de créatinine.
  • -Nourrissons et enfantsen bas âge
  • -Chez les enfants dont le taux de filtration glomérulaire est inférieur à 25% de la normale, il est recommandé dadministrerCalcitriolSalmon Pharma à titre prophylactique. En cas de poids corporel <20 kg: 0,01–0,03 µg/kg de poids corporel; en cas de poids corporel >20 kg: 0,25 µg/jour.
  • -Pour le traitement du rachitisme dorigine rénale, la posologie initiale de référence au cours des deux premières années de la vie est de 0,01–0,1 µg/kg de poids corporel; elle ne doit toutefois pas dépasser 2 µg/jour. En cas de rachitisme ne répondant pasà la vitamine D, des doses plus élevées – déterminées en fonction de la cause – sont nécessaires.
  • +Il n'est pas nécessaire d'adapter la dose chez les patients âgés. Il convient de respecter les recommandations générales concernant les contrôles des taux sériques de calcium et de créatinine.
  • +Nourrissons et enfants en bas âge
  • +Chez les enfants dont le taux de filtration glomérulaire est inférieur à 25% de la normale, il est recommandé d'administrer Calcitriol Salmon Pharma à titre prophylactique. En cas de poids corporel <20 kg: 0,01–0,03 µg/kg de poids corporel; en cas de poids corporel >20 kg: 0,25 µg/jour.
  • +Pour le traitement du rachitisme d'origine rénale, la posologie initiale de référence au cours des deux premières années de la vie est de 0,01–0,1 µg/kg de poids corporel; elle ne doit toutefois pas dépasser 2 µg/jour. En cas de rachitisme ne répondant pas à la vitamine D, des doses plus élevées – déterminées en fonction de la cause – sont nécessaires.
  • -CalcitriolSalmon Pharma (ou tout médicament du même groupe) est contre-indiqué en présence de toute affection allant de pair avec une hypercalcémie.
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients conformément à la composition (par ex. en cas d’allergie à l’arachide).
  • -Présence de signes deffets indésirables dus à la vitamine D.
  • +Calcitriol Salmon Pharma (ou tout médicament du même groupe) est contre-indiqué en présence de toute affection allant de pair avec une hypercalcémie.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • +Présence de signes d'effets indésirables dus à la vitamine D.
  • -Il existe une étroite corrélation entre le traitement par lecalcitriolet le développement dune hypercalcémie. Au cours détudes portant sur lostéodystrophied’origine rénale, jusquà 40% des patients traités par lecalcitriolont développé une hypercalcémie. Laugmentation soudaine de lapport de calcium résultant dune modification des habitudes alimentaires (consommation accrue de produits laitiers, par exemple) ou la prise incontrôlée de produits à base de calcium peuvent provoquer une hypercalcémie. Les patients et leurs proches doivent être incités à respecter strictement leur mode dalimentation et doivent être informés des symptômes dune éventuelle hypercalcémie.
  • -Dès que le taux sérique de calcium dépasse de 1 mg/100 ml (250 µmol/l) la valeur normale (9–11 mg/100 ml, soit 2250–2750 µmol/l) ou que la créatinine sérique devient supérieure à 120 µmol/l, interrompre immédiatement le traitement parCalcitriolSalmon Pharma jusquà ce que la calcémie se soit normalisée (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Les patients immobilisés, par exemple ceux venant de subir une intervention chirurgicale, sont particulièrement exposés au risque dhypercalcémie.
  • -Chez les patients dont la fonction rénale est normale, lhypercalcémie chronique peut être associée à une élévation de la créatinine sérique.
  • +Il existe une étroite corrélation entre le traitement par le calcitriol et le développement d'une hypercalcémie. Au cours d'études portant sur l'ostéodystrophie d'origine rénale, jusqu'à 40% des patients traités par le calcitriol ont développé une hypercalcémie. L'augmentation soudaine de l'apport de calcium résultant d'une modification des habitudes alimentaires (consommation accrue de produits laitiers, par exemple) ou la prise incontrôlée de produits à base de calcium peuvent provoquer une hypercalcémie. Les patients et leurs proches doivent être incités à respecter strictement leur mode d'alimentation et doivent être informés des symptômes d'une éventuelle hypercalcémie.
  • +Dès que le taux sérique de calcium dépasse de 1 mg/100 ml (250 µmol/l) la valeur normale (9–11 mg/100 ml, soit 2250–2750 µmol/l) ou que la créatinine sérique devient supérieure à 120 µmol/l, interrompre immédiatement le traitement par Calcitriol Salmon Pharma jusqu'à ce que la calcémie se soit normalisée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les patients immobilisés, par exemple ceux venant de subir une intervention chirurgicale, sont particulièrement exposés au risque d'hypercalcémie.
  • +Chez les patients dont la fonction rénale est normale, l'hypercalcémie chronique peut être associée à une élévation de la créatinine sérique.
  • -Lecalcitriolaccroît le taux sérique de phosphates inorganiques. Alors que cet effet est souhaité chez les patients présentant une hypophosphatémie, la prudence est de rigueur chez les insuffisants rénaux, en raison du risque de calcifications ectopiques.Dans de tels cas, il convient de maintenir le taux plasmatique de phosphate au niveau normal (2 à 5 mg/100 ml, soit 0,65 à 1,62mmol/l) par ladministration orale de chélateurs du phosphate tels que lhydroxyde daluminium ou le carbonate daluminium.
  • -Ilconvient de veiller à ce que le produit de la multiplication du calcium sérique par le phosphate sérique (Ca× P) ne soit pas supérieur à 70 mg²/dl².
  • -Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D (rachitismehypophosphatémiquefamilial) et traités parCalcitriolSalmon Pharma, poursuivre ladministration de phosphate par voie orale. Il faut toutefois tenir compte du fait quune éventuelle stimulation de labsorption intestinale du phosphate peut réduire les besoins en apports exogènesde phosphate.
  • -Les déterminations des taux de calcium, de phosphore, de magnésium et de la phosphatase alcaline dans le sérum ainsi que le dosage du calcium et du phosphate dans les urines de 24 heures font partie des examens de laboratoire devant être effectués régulièrement. Pendant la phase déquilibration du traitement parCalcitriolSalmon Pharma, le taux sérique de calcium doit être déterminé au moins deux fois par semaine (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Lecalcitriolétant le plus actif des métabolites disponibles de la vitamine D, il convient de ne pas administrer dautres produits à base de vitamine D pendant le traitement parCalcitriolSalmon Pharma, afin déviter lapparition dune hypervitaminose D.
  • -Lorsque lon passe dun traitement par lergocalciférol (vitamine D 2 ) au traitement par lecalcitriol, il peut sécouler plusieurs mois jusquà ce que le taux sanguin dergocalciférol retrouve sa valeur initiale (voir «Surdosage»).
  • -Les patients sousCalcitriolSalmon Pharma et dont la fonction rénaleest normale doivent prévenir toute déshydratation en veillant à boire suffisamment.
  • +Le calcitriol accroît le taux sérique de phosphates inorganiques. Alors que cet effet est souhaité chez les patients présentant une hypophosphatémie, la prudence est de rigueur chez les insuffisants rénaux, en raison du risque de calcifications ectopiques. Dans de tels cas, il convient de maintenir le taux plasmatique de phosphate au niveau normal (2 à 5 mg/100 ml, soit 0,65 à 1,62 mmol/l) par l'administration orale de chélateurs du phosphate tels que l'hydroxyde d'aluminium ou le carbonate d'aluminium.
  • +Il convient de veiller à ce que le produit de la multiplication du calcium sérique par le phosphate sérique (Ca × P) ne soit pas supérieur à 70 mg²/dl².
  • +Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D (rachitisme hypophosphatémique familial) et traités par Calcitriol Salmon Pharma, poursuivre l'administration de phosphate par voie orale. Il faut toutefois tenir compte du fait qu'une éventuelle stimulation de l'absorption intestinale du phosphate peut réduire les besoins en apports exogènes de phosphate.
  • +Les déterminations des taux de calcium, de phosphore, de magnésium et de la phosphatase alcaline dans le sérum ainsi que le dosage du calcium et du phosphate dans les urines de 24 heures font partie des examens de laboratoire devant être effectués régulièrement. Pendant la phase d'équilibration du traitement par Calcitriol Salmon Pharma, le taux sérique de calcium doit être déterminé au moins deux fois par semaine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Le calcitriol étant le plus actif des métabolites disponibles de la vitamine D, il convient de ne pas administrer d'autres produits à base de vitamine D pendant le traitement par Calcitriol Salmon Pharma, afin d'éviter l'apparition d'une hypervitaminose D.
  • +Lorsque l'on passe d'un traitement par l'ergocalciférol (vitamine D2) au traitement par le calcitriol, il peut s'écouler plusieurs mois jusqu'à ce que le taux sanguin d'ergocalciférol retrouve sa valeur initiale (voir «Surdosage»).
  • +Les patients sous Calcitriol Salmon Pharma et dont la fonction rénale est normale doivent prévenir toute déshydratation en veillant à boire suffisamment.
  • -Lecalcitriolétant lun des principaux métabolites actifs de la vitamine D, il convient de ne pas administrer de vitamine D ou de ses dérivés en même temps que lecalcitriol, afin déviter un éventuel effet additif et une hypercalcémie.
  • +Le calcitriol étant l'un des principaux métabolites actifs de la vitamine D, il convient de ne pas administrer de vitamine D ou de ses dérivés en même temps que le calcitriol, afin d'éviter un éventuel effet additif et une hypercalcémie.
  • -Ladministration simultanée dun diurétique thiazidique accroît le risque dhypercalcémie chez les patients présentant unehypoparathyroïdie. Chez les patients sous digitaliques, laposologie ducalcitrioldoit être fixée avec soin, étant donné quune hypercalcémie pourrait déclencher des arythmies chez de tels patients.
  • -Il existe un antagonisme fonctionnel entre les analogues de la vitamine D et les corticostéroïdes: les analogues dela vitamine D favorisent labsorption du calcium, tandis que les corticostéroïdes linhibent.
  • -Afin de ne pas provoquer dhypermagnésémie, sabstenir dadministrer aux dialysés chroniques des médicaments contenant du magnésium (antiacides, par exemple) pendant le traitement par lecalcitriol.
  • -Lecalcitriolinfluence également le transport du phosphate au niveau de lintestin, des reins et des os; ladministration de chélateurs du phosphate doit donc être adaptée en fonction de son taux sérique (valeurs normales: 2–5 mg/100 ml, soit 0,6–1,6mmol/l).
  • -Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D (rachitismehypophosphatémiquefamilial), poursuivre ladministration de phosphate par voie orale. Il convient toutefois denvisager la possibilité dune stimulation de labsorption intestinale du phosphate par lecalcitriol, car celle-ci peut modifier les besoins en apports exogènes de phosphate.
  • -Ladministration dinducteurs enzymatiques tels que laphénytoïneou le phénobarbital peut accroîtrele métabolisme ducalcitriolet entraîner ainsi une baisse des concentrations sériques de cette substance. Cest la raison pour laquelle il convient dadministrer, le cas échéant, des doses plus élevées decalcitriollorsque ces produits sont administrés simultanément.
  • -Lacolestyraminepeut diminuer labsorption intestinale des vitamines liposolubles et donc également perturber celle ducalcitriol.
  • +L'administration simultanée d'un diurétique thiazidique accroît le risque d'hypercalcémie chez les patients présentant une hypoparathyroïdie. Chez les patients sous digitaliques, la posologie du calcitriol doit être fixée avec soin, étant donné qu'une hypercalcémie pourrait déclencher des arythmies chez de tels patients.
  • +Il existe un antagonisme fonctionnel entre les analogues de la vitamine D et les corticostéroïdes: les analogues de la vitamine D favorisent l'absorption du calcium, tandis que les corticostéroïdes l'inhibent.
  • +Afin de ne pas provoquer d'hypermagnésémie, s'abstenir d'administrer aux dialysés chroniques des médicaments contenant du magnésium (antiacides, par exemple) pendant le traitement par le calcitriol.
  • +Le calcitriol influence également le transport du phosphate au niveau de l'intestin, des reins et des os; l'administration de chélateurs du phosphate doit donc être adaptée en fonction de son taux sérique (valeurs normales: 2–5 mg/100 ml, soit 0,6–1,6 mmol/l).
  • +Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D (rachitisme hypophosphatémique familial), poursuivre l'administration de phosphate par voie orale. Il convient toutefois d'envisager la possibilité d'une stimulation de l'absorption intestinale du phosphate par le calcitriol, car celle-ci peut modifier les besoins en apports exogènes de phosphate.
  • +L'administration d'inducteurs enzymatiques tels que la phénytoïne ou le phénobarbital peut accroître le métabolisme du calcitriol et entraîner ainsi une baisse des concentrations sériques de cette substance. C'est la raison pour laquelle il convient d'administrer, le cas échéant, des doses plus élevées de calcitriol lorsque ces produits sont administrés simultanément.
  • +La colestyramine peut diminuer l'absorption intestinale des vitamines liposolubles et donc également perturber celle du calcitriol.
  • -Les études de toxicologie de la reproduction chez lanimal nont pas donné de résultatsprobants et il nexiste pas chez lhomme détudes contrôlées relatives à leffet ducalcitriold’origine exogène sur la grossesse et le développement fœtal.
  • -Des études expérimentales ont fait apparaître unefœtotoxicité(voir «Données précliniques»).
  • -Chezl’homme, il nexiste aucun indice dun effet tératogène de la vitamine D, même administrée à des doses très élevées.CalcitriolSalmon Pharma ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Si le médecin décide de prescrireCalcitriolSalmon Pharma à une femme enceinte souffrant dhypoparathyroïdie, une augmentation de la dose pourra savérer nécessaire à un stade ultérieur de la grossesse, dose quil faudra à nouveau réduire après laccouchement ou pendant la période dallaitement.
  • -Lecalcitriold’origine exogène peut passer dans le lait maternel.
  • -Une femme peut allaiter pendant la prise deCalcitriolSalmon Pharma à condition que les taux sériques de calcium soient surveillés chez la mère et lenfant en raison du risqued’hypercalcémie chez la mère et deffets indésirables chez le nourrisson.
  • +Les études de toxicologie de la reproduction chez l'animal n'ont pas donné de résultats probants et il n'existe pas chez l'homme d'études contrôlées relatives à l'effet du calcitriol d'origine exogène sur la grossesse et le développement fœtal.
  • +Des études expérimentales ont fait apparaître une fœtotoxicité (voir «Données précliniques»).
  • +Chez l'homme, il n'existe aucun indice d'un effet tératogène de la vitamine D, même administrée à des doses très élevées. Calcitriol Salmon Pharma ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Si le médecin décide de prescrire Calcitriol Salmon Pharma à une femme enceinte souffrant d'hypoparathyroïdie, une augmentation de la dose pourra s'avérer nécessaire à un stade ultérieur de la grossesse, dose qu'il faudra à nouveau réduire après l'accouchement ou pendant la période d'allaitement.
  • +Le calcitriol d'origine exogène peut passer dans le lait maternel.
  • +Une femme peut allaiter pendant la prise de Calcitriol Salmon Pharma à condition que les taux sériques de calcium soient surveillés chez la mère et l'enfant en raison du risque d'hypercalcémie chez la mère et d'effets indésirables chez le nourrisson.
  • -Compte tenu du profil pharmacodynamique de la substance, on considère que ce produit est sûr et quil est peu probablequ’il ait une influence négative sur les activités mentionnées ci-dessus. Celles-ci pourraient être tout au plus compromises en cas de surdosages aigus et chroniques.
  • +Compte tenu du profil pharmacodynamique de la substance, on considère que ce produit est sûr et qu'il est peu probable qu'il ait une influence négative sur les activités mentionnées ci-dessus. Celles-ci pourraient être tout au plus compromises en cas de surdosages aigus et chroniques.
  • -Les effets indésirables présentés dans la liste suivante sont fondéssur les expériences faites lors des études cliniques sur lecalcitriolet sur lexpérience post-marketing.
  • -Leffet indésirable le plus fréquemment rapporté a été lhypercalcémie.
  • -Les effets indésirables sont répertoriés selon les classes de systèmes dorganes et leur catégorie de fréquence dapparition. Ces catégories de fréquence sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); rares (≥1/10 000 et <1/1000); très rares (<1/10 000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
  • +Les effets indésirables présentés dans la liste suivante sont fondés sur les expériences faites lors des études cliniques sur le calcitriol et sur l'expérience post-marketing.
  • +L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté a été l'hypercalcémie.
  • +Les effets indésirables sont répertoriés selon les classes de systèmes d'organes et leur catégorie de fréquence d'apparition. Ces catégories de fréquence sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); rares (≥1/10 000 et <1/1000); très rares (<1/10 000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
  • -Fréquence inconnue:hypersensibilité, urticaire.
  • +Fréquence inconnue: hypersensibilité, urticaire.
  • -Très fréquents:hypercalcémie.
  • -Occasionnels:perte dappétit.
  • -Fréquence inconnue:polydipsie, déshydratation.
  • +Très fréquents: hypercalcémie.
  • +Occasionnels: perte d'appétit.
  • +Fréquence inconnue: polydipsie, déshydratation.
  • -Fréquence inconnue:apathie.
  • +Fréquence inconnue: apathie.
  • -Fréquents:céphalées.
  • -Fréquence inconnue:faiblesse musculaire, troubles de la sensibilité.
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Fréquence inconnue: faiblesse musculaire, troubles de la sensibilité.
  • -Fréquents:douleurs abdominales, nausées.
  • -Occasionnels:vomissements.
  • -Fréquence inconnue:constipation.
  • +Fréquents: douleurs abdominales, nausées.
  • +Occasionnels: vomissements.
  • +Fréquence inconnue: constipation.
  • -Fréquents:éruption cutanée.
  • -Fréquence inconnue:érythème, prurit.
  • -Troublesmusculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Fréquence inconnue:inhibitionde la croissance.
  • +Fréquents: éruption cutanée.
  • +Fréquence inconnue: érythème, prurit.
  • +Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • +Fréquence inconnue: inhibition de la croissance.
  • -Fréquents:infections urinaires.
  • -Fréquence inconnue:polyurie.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site dadministration
  • -Fréquence inconnue:calcinose, pyrexie, sensation de soif.
  • +Fréquents: infections urinaires.
  • +Fréquence inconnue: polyurie.
  • +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Fréquence inconnue: calcinose, pyrexie, sensation de soif.
  • -Occasionnels:augmentation de la créatininémie.
  • -Fréquence inconnue:perte de poids.
  • -Lecalcitriolagissant en tant que vitamine D, de trop fortes doses peuvent entraîner des «effets secondaires» qui correspondent à un surdosage de vitamine D, à savoir un syndromehypercalcémiqueou une intoxication par le calcium, selon lintensité et ladurée de lhypercalcémie (voir «Posologie/Mode demploi» et «Mise en garde et précautions»). Les symptômes aigus sont les suivants: perte dappétit, céphalées, nausées, vomissements, douleurs abdominales, constipation et apathie.
  • -Lexistence simultanée dune hypercalcémie et dune hyperphosphatémie (>6 mg/100 ml, soit >1,9mmol/l) peut entraîner descalcinosesvisibles à la radiographie.
  • -Etant donné la brièveté de la demi-vie biologique ducalcitriol, la normalisation dun taux sérique excessif de calcium est obtenue, daprès les études pharmacocinétiques, en quelques jours après larrêt de la médication ou la réduction de la posologie; cette normalisation se fait donc beaucoup plus rapidement que lors du traitement par des préparations de vitamine D 3 .
  • -Symptômes possibles dune hypercalcémie chronique: faiblesse musculaire, perte de poids, troubles sensitifs, pyrexie, sensation de soif, polyurie, polydipsie, déshydratation, apathie, inhibition de la croissance, infections des voies urinaires, calcifications ectopiques, pancréatite et autres.
  • -Des réactions dhypersensibilité (y compris éruption cutanée, érythème, prurit, urticaire et, très rarement, graves réactions érythémateuses) peuvent survenir chez des personnes sensibles.
  • +Occasionnels: augmentation de la créatininémie.
  • +Fréquence inconnue: perte de poids.
  • +Le calcitriol agissant en tant que vitamine D, de trop fortes doses peuvent entraîner des «effets secondaires» qui correspondent à un surdosage de vitamine D, à savoir un syndrome hypercalcémique ou une intoxication par le calcium, selon l'intensité et la durée de l'hypercalcémie (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mise en garde et précautions»). Les symptômes aigus sont les suivants: perte d'appétit, céphalées, nausées, vomissements, douleurs abdominales, constipation et apathie.
  • +L'existence simultanée d'une hypercalcémie et d'une hyperphosphatémie (>6 mg/100 ml, soit >1,9 mmol/l) peut entraîner des calcinoses visibles à la radiographie.
  • +Etant donné la brièveté de la demi-vie biologique du calcitriol, la normalisation d'un taux sérique excessif de calcium est obtenue, d'après les études pharmacocinétiques, en quelques jours après l'arrêt de la médication ou la réduction de la posologie; cette normalisation se fait donc beaucoup plus rapidement que lors du traitement par des préparations de vitamine D3.
  • +Symptômes possibles d'une hypercalcémie chronique: faiblesse musculaire, perte de poids, troubles sensitifs, pyrexie, sensation de soif, polyurie, polydipsie, déshydratation, apathie, inhibition de la croissance, infections des voies urinaires, calcifications ectopiques, pancréatite et autres.
  • +Des réactions d'hypersensibilité (y compris éruption cutanée, érythème, prurit, urticaire et, très rarement, graves réactions érythémateuses) peuvent survenir chez des personnes sensibles.
  • -Traitement dune hypercalcémie asymptomatique
  • +Traitement d'une hypercalcémie asymptomatique
  • -Lecalcitriolétant un métabolite de la vitamine D, tout surdosage donne le même tableau clinique quun surdosage de vitamine D. Lingestion de fortes doses de calcium et de phosphateet, en même temps, deCalcitriolSalmon Pharma peut entraîner la survenue de symptômes similaires. Il convient de veiller à ce que le produit de la multiplication du calcium sérique par le phosphate sérique (Ca× P) ne soit pas supérieur à 70 mg²/dl². Un taux élevé de calcium dans le dialysat peut contribuer à lapparition dune hypercalcémie.
  • -Signes dune intoxication aiguë par la vitamine D
  • +Le calcitriol étant un métabolite de la vitamine D, tout surdosage donne le même tableau clinique qu'un surdosage de vitamine D. L'ingestion de fortes doses de calcium et de phosphate et, en même temps, de Calcitriol Salmon Pharma peut entraîner la survenue de symptômes similaires. Il convient de veiller à ce que le produit de la multiplication du calcium sérique par le phosphate sérique (Ca × P) ne soit pas supérieur à 70 mg²/dl². Un taux élevé de calcium dans le dialysat peut contribuer à l'apparition d'une hypercalcémie.
  • +Signes d'une intoxication aiguë par la vitamine D
  • -Signes dune intoxication chronique
  • -Dystrophie (faiblesse, perte depoids), troubles sensoriels, éventuellement fièvre associée à de la soif, polyurie, déshydratation, apathie, arrêt de la croissance et infections des voies urinaires. Il se produit une hypercalcémie avec, secondairement, une calcification du cortex rénal,du myocarde, des poumons et du pancréas.
  • -Les mesures thérapeutiques entrant en ligne de compte en cas de surdosage accidentel sont les suivantes: lavage destomac immédiat ou déclenchement immédiat de vomissements afin déviter que labsorption ne se poursuive. Administration dhuile de paraffine pour favoriser lélimination du produit avec les fèces. Il est indiqué de procéder à des déterminations répétées du calcium sérique. Si un taux élevé de calcium sérique persiste, il est possible dadministrer du phosphate et des corticostéroïdes, et de prendre des mesures afin dobtenir une diurèse forcée appropriée.
  • +Signes d'une intoxication chronique
  • +Dystrophie (faiblesse, perte de poids), troubles sensoriels, éventuellement fièvre associée à de la soif, polyurie, déshydratation, apathie, arrêt de la croissance et infections des voies urinaires. Il se produit une hypercalcémie avec, secondairement, une calcification du cortex rénal, du myocarde, des poumons et du pancréas.
  • +Les mesures thérapeutiques entrant en ligne de compte en cas de surdosage accidentel sont les suivantes: lavage d'estomac immédiat ou déclenchement immédiat de vomissements afin d'éviter que l'absorption ne se poursuive. Administration d'huile de paraffine pour favoriser l'élimination du produit avec les fèces. Il est indiqué de procéder à des déterminations répétées du calcium sérique. Si un taux élevé de calcium sérique persiste, il est possible d'administrer du phosphate et des corticostéroïdes, et de prendre des mesures afin d'obtenir une diurèse forcée appropriée.
  • -Mécanisme daction
  • -Lecalcitriol, lun des principaux métabolites actifs de la vitamine D 3 , est normalement produit au niveau des reins à partir de son précurseur, le 25-hydroxycholécalciférol (25-HCC). Sa production journalière est normalement de 0,5–1,0 µg; en période de formation osseuse accrue (par exemple, lors dune phase de croissance ouen cas de grossesse), elle est légèrement plus importante. Lecalcitriolfavorise labsorption intestinale du calcium et régule la minéralisation osseuse.
  • -Le rôle clé que joue lecalcitrioldans la régulation de lhoméostasecalcique – et qui comprend lastimulation de lactivitéostéoblastiquedans le squelette – constitue une basepharmacologiquementsolide à son effet thérapeutique sur lostéoporosepostménopausique.
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale marquée, la production decalcitriolendogène est réduite en conséquence et peut même sarrêter totalement. Cette carence joue un rôle essentiel dans lapparition d’uneostéodystrophied’origine rénale.
  • -Administré par voie orale à des patients présentant uneostéodystrophied’origine rénale,CalcitriolSalmon Pharma normalise labsorption intestinale réduite du calcium, lhypocalcémie ainsi que le taux sérique élevé de la phosphatase alcaline et celui de lhormone parathyroïdienne. Il fait régresser les douleurs osseuses et musculaires; ilcorrige les altérations histologiques survenant dans lostéite fibreuse ainsi que lors dautres troubles de la minéralisation.
  • -Chez les patients présentant unehypoparathyroïdiepostopératoire, unehypoparathyroïdieidiopathique ou une pseudohypoparathyroïdie, le traitement parCalcitriolSalmon Pharma atténue lhypocalcémie ainsi que ses symptômes cliniques.
  • -Chez les patients atteints de rachitisme répondant à la vitamine D, le taux sérique decalcitriolest faible, voire nul. Etant donné que la production endogène decalcitriolau niveau des reins ne suffit pas, ladministration deCalcitriolSalmon Pharma doit être considérée comme un traitement de substitution.
  • -Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D ou un rachitismehypophosphatémiqueassocié à un faible taux plasmatique decalcitriol, le traitement parCalcitriolSalmon Pharma réduit lélimination tubulaire du phosphate et normalise, dans le cadre dune supplémentation phosphorée, la formation des os.
  • -En outre, le traitement parcalcitriols’est avéré utile chez des patients présentant dautres formes de rachitisme, par exemple lorsque celui-ci est en relation avec une hépatite chez le nouveau-né, une atrésie des voies biliaires, unecystinoseou une carence alimentaire en calcium et en vitamine D.
  • -Pharmacodynamie
  • -Les deux sites daction connus ducalcitriolsont lintestin et les os.
  • -Il semble exister, dans la muqueuse intestinale de lhomme, une protéine de liaison au récepteur ducalcitriol. Certains éléments semblent indiquer que lecalcitriolagit également sur les reins et les parathyroïdes. Du point de vue de la stimulation du transport du calcium dans lintestin, lecalcitriolest la forme la plus active de la vitamine D 3 . Chez le rat atteintd’urémie aiguë, lecalcitriola entraîné une stimulation avérée de labsorption intestinale de calcium.
  • -Les reins de patients urémiques nepeuvent synthétiser en quantité suffisante lecalcitriol, hormone active formée à partir dun précurseur de la vitamine D. Lhypocalcémie qui en résulte et lhyperparathyroïdie secondaire sont les principales causes de lostéopathie dorigine métabolique chez linsuffisant rénal.
  • -Cela étant, dautres substances toxiques pour les os saccumulant en cas durémie (aluminium, par exemple) peuvent jouer un rôle dans ce processus.
  • -Leffet positif decalcitriolen cas dostéodystrophierénale semble résulter de lacorrection de lhypocalcémie et de lhyperparathyroïdie secondaire. Il nest pas certain que lecalcitriolexerce encore dautres effets bénéfiques que ceux-ci.
  • +Mécanisme d'action
  • +Le calcitriol, l'un des principaux métabolites actifs de la vitamine D3, est normalement produit au niveau des reins à partir de son précurseur, le 25-hydroxycholécalciférol (25-HCC). Sa production journalière est normalement de 0,5–1,0 µg; en période de formation osseuse accrue (par exemple, lors d'une phase de croissance ou en cas de grossesse), elle est légèrement plus importante. Le calcitriol favorise l'absorption intestinale du calcium et régule la minéralisation osseuse.
  • +Le rôle clé que joue le calcitriol dans la régulation de l'homéostase calcique – et qui comprend la stimulation de l'activité ostéoblastique dans le squelette – constitue une base pharmacologiquement solide à son effet thérapeutique sur l'ostéoporose postménopausique.
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale marquée, la production de calcitriol endogène est réduite en conséquence et peut même s'arrêter totalement. Cette carence joue un rôle essentiel dans l'apparition d'une ostéodystrophie d'origine rénale.
  • +Administré par voie orale à des patients présentant une ostéodystrophie d'origine rénale, Calcitriol Salmon Pharma normalise l'absorption intestinale réduite du calcium, l'hypocalcémie ainsi que le taux sérique élevé de la phosphatase alcaline et celui de l'hormone parathyroïdienne. Il fait régresser les douleurs osseuses et musculaires; il corrige les altérations histologiques survenant dans l'ostéite fibreuse ainsi que lors d'autres troubles de la minéralisation.
  • +Chez les patients présentant une hypoparathyroïdie postopératoire, une hypoparathyroïdie idiopathique ou une pseudo-hypoparathyroïdie, le traitement par Calcitriol Salmon Pharma atténue l'hypocalcémie ainsi que ses symptômes cliniques.
  • +Chez les patients atteints de rachitisme répondant à la vitamine D, le taux sérique de calcitriol est faible, voire nul. Etant donné que la production endogène de calcitriol au niveau des reins ne suffit pas, l'administration de Calcitriol Salmon Pharma doit être considérée comme un traitement de substitution.
  • +Chez les patients présentant un rachitisme résistant à la vitamine D ou un rachitisme hypophosphatémique associé à un faible taux plasmatique de calcitriol, le traitement par Calcitriol Salmon Pharma réduit l'élimination tubulaire du phosphate et normalise, dans le cadre d'une supplémentation phosphorée, la formation des os.
  • +En outre, le traitement par calcitriol s'est avéré utile chez des patients présentant d'autres formes de rachitisme, par exemple lorsque celui-ci est en relation avec une hépatite chez le nouveau-né, une atrésie des voies biliaires, une cystinose ou une carence alimentaire en calcium et en vitamine D.
  • +Pharmacodynamique
  • +Les deux sites d'action connus du calcitriol sont l'intestin et les os.
  • +Il semble exister, dans la muqueuse intestinale de l'homme, une protéine de liaison au récepteur du calcitriol. Certains éléments semblent indiquer que le calcitriol agit également sur les reins et les parathyroïdes. Du point de vue de la stimulation du transport du calcium dans l'intestin, le calcitriol est la forme la plus active de la vitamine D3. Chez le rat atteint d'urémie aiguë, le calcitriol a entraîné une stimulation avérée de l'absorption intestinale de calcium.
  • +Les reins de patients urémiques ne peuvent synthétiser en quantité suffisante le calcitriol, hormone active formée à partir d'un précurseur de la vitamine D. L'hypocalcémie qui en résulte et l'hyperparathyroïdie secondaire sont les principales causes de l'ostéopathie d'origine métabolique chez l'insuffisant rénal.
  • +Cela étant, d'autres substances toxiques pour les os s'accumulant en cas d'urémie (aluminium, par exemple) peuvent jouer un rôle dans ce processus.
  • +L'effet positif de calcitriol en cas d'ostéodystrophie rénale semble résulter de la correction de l'hypocalcémie et de l'hyperparathyroïdie secondaire. Il n'est pas certain que le calcitriol exerce encore d'autres effets bénéfiques que ceux-ci.
  • -Lecalcitriolest rapidement absorbé au niveau de lintestin. Après administration orale dune dose unique de 0,25 à 1,0 µg decalcitriol, les concentrations sériques maximales ont été atteintes en lespace de 3 à 6 heures.
  • -Après administration répétée, les taux sériques decalcitriolont atteint leur état déquilibre dans les sept jours, une relation ayant été constatée avec la dose decalcitrioladministrée.
  • +Le calcitriol est rapidement absorbé au niveau de l'intestin. Après administration orale d'une dose unique de 0,25 à 1,0 µg de calcitriol, les concentrations sériques maximales ont été atteintes en l'espace de 3 à 6 heures.
  • +Après administration répétée, les taux sériques de calcitriol ont atteint leur état d'équilibre dans les sept jours, une relation ayant été constatée avec la dose de calcitriol administrée.
  • -Deux heures après ladministration orale dune dose unique de 0,5 µg decalcitriol, les concentrations sériques moyennes decalcitriolavaient augmenté, passant dune valeur initiale de 40,0 ± 4,4pg/ml à 60,0 ± 4,4pg/ml; elles étaient retombées à 53,0 ± 6,9pg/ml après 4 heures, 50 ± 7,0pg/ml après 8 heures, 44 ± 4,6pgml après 12 heures et 41,5 ± 5,1pg/ml après 24 heures.
  • -Lecalcitriolet dautresmétabolites de la vitamine D sont liés à des protéines plasmatiques spécifiques pendant leur transport dans le sang.
  • -Il faut sattendre à ce que lecalcitriold’origine exogène passe du sang maternel dans la circulation fœtale et le lait maternel.
  • +Deux heures après l'administration orale d'une dose unique de 0,5 µg de calcitriol, les concentrations sériques moyennes de calcitriol avaient augmenté, passant d'une valeur initiale de 40,0 ± 4,4 pg/ml à 60,0 ± 4,4 pg/ml; elles étaient retombées à 53,0 ± 6,9 pg/ml après 4 heures, 50 ± 7,0 pg/ml après 8 heures, 44 ± 4,6 pg ml après 12 heures et 41,5 ± 5,1 pg/ml après 24 heures.
  • +Le calcitriol et d'autres métabolites de la vitamine D sont liés à des protéines plasmatiques spécifiques pendant leur transport dans le sang.
  • +Il faut s'attendre à ce que le calcitriol d'origine exogène passe du sang maternel dans la circulation fœtale et le lait maternel.
  • -Lecalcitriolest hydroxylé et oxydé dans les reins et le foie par unisoenzymespécifique du cytochrome P450, le CYP24A1.
  • -Divers métabolites ducalcitriol, exerçant diverses activités propres à la vitamine D, ont été identifiés: 1α,25-dihydroxy-24-oxo-cholécalciférol, 1α,23,25-trihydroxy-24-oxo-cholécalciférol, 1α,24R,25-trihydroxycholécalciférol, 1α,25R-dihydroxycholécalciférol-26,23S-lactone, 1α,25S,26-trihydroxycholécalciférol, 1α,25-dihydroxy-23-oxo-cholécalciférol, 1α25R, 26-trihydroxy-23-oxo-cholécalciférol et 1αhydroxy-23-carboxy-24,25,26,27-tétranorcholécalciférol.
  • +Le calcitriol est hydroxylé et oxydé dans les reins et le foie par un isoenzyme spécifique du cytochrome P450, le CYP24A1.
  • +Divers métabolites du calcitriol, exerçant diverses activités propres à la vitamine D, ont été identifiés: 1α,25-dihydroxy-24-oxo-cholécalciférol, 1α,23,25-trihydroxy-24-oxo-cholécalciférol, 1α,24R,25-trihydroxycholécalciférol, 1α,25R-dihydroxycholécalciférol-26,23S-lactone, 1α,25S,26-trihydroxycholécalciférol, 1α,25dihydroxy-23-oxo-cholécalciférol, 1α25R, 26-trihydroxy-23-oxo-cholécalciférol et 1αhydroxy-23-carboxy-24,25,26,27-tétranorcholécalciférol.
  • -La demi-vie sérique délimination ducalcitriolest de lordre de 3 à 6 heures. La cinétique délimination ducalcitriolest linéaire jusquà une dose de 96μg, ce qui correspond à une très large fourchette thérapeutique. La durée de leffet pharmacologique dune dose unique decalcitriolest néanmoins de 3 à 5 jours.
  • -Lecalcitriolest excrété dans la bile et subit un cycle entéro-hépatique. Au cours des 24 heures suivantl’administration intraveineuse decalcitriolradiomarquéà des sujets sains, 27% environ de la radioactivité apparaissent dans les fèces et 7% environ dans lurine. Au cours des 24 heures suivant ladministration orale de 1 µg decalcitriolradiomarquéà des sujets sains, 10% environ de la radioactivité totale apparaissent dans lurine. Le taux cumulé délimination de la radioactivité six jours après ladministration intraveineuse decalcitriolradiomarquéétait de 16% en moyenne dans lurine et de 49% dansles fèces.
  • +La demi-vie sérique d'élimination du calcitriol est de l'ordre de 3 à 6 heures. La cinétique d'élimination du calcitriol est linéaire jusqu'à une dose de 96 μg, ce qui correspond à une très large fourchette thérapeutique. La durée de l'effet pharmacologique d'une dose unique de calcitriol est néanmoins de 3 à 5 jours.
  • +Le calcitriol est excrété dans la bile et subit un cycle entéro-hépatique. Au cours des 24 heures suivant l'administration intraveineuse de calcitriol radiomarqué à des sujets sains, 27% environ de la radioactivité apparaissent dans les fèces et 7% environ dans l'urine. Au cours des 24 heures suivant l'administration orale de 1 µg de calcitriol radiomarqué à des sujets sains, 10% environ de la radioactivité totale apparaissent dans l'urine. Le taux cumulé d'élimination de la radioactivité six jours après l'administration intraveineuse de calcitriol radiomarqué était de 16% en moyenne dans l'urine et de 49% dans les fèces.
  • -Chez les patients souffrant de syndrome néphrotique ou hémodialysés, les taux sériques decalcitriolont été réduits et il a fallu attendre plus longtemps jusquà ce que la concentration maximale aitété atteinte.
  • +Chez les patients souffrant de syndrome néphrotique ou hémodialysés, les taux sériques de calcitriol ont été réduits et il a fallu attendre plus longtemps jusqu'à ce que la concentration maximale ait été atteinte.
  • -Des études consacrées à la toxicité sur la reproduction chez le rat ont révélé que des doses orales allant jusquà 300ng/kg/jour (soit 30 fois la dose usuelle chez lhomme) nont paseu de répercussions néfastes sur la reproduction. Chez le lapin, des doses orales decalcitriolde 300 ng/kg/jour ont entraîné des effets indésirables chez la mère ainsi que des effetsfœtotoxiques(sténoses aortiquessupravalvulaires); en revanche, aucuneffet indésirable nest survenu à la posologie de 20 ou 80ng/kg/jour (soit huit fois la dose usuelle chez lhomme).
  • +Des études consacrées à la toxicité sur la reproduction chez le rat ont révélé que des doses orales allant jusqu'à 300 ng/kg/jour (soit 30 fois la dose usuelle chez l'homme) n'ont pas eu de répercussions néfastes sur la reproduction. Chez le lapin, des doses orales de calcitriol de 300 ng/kg/jour ont entraîné des effets indésirables chez la mère ainsi que des effets fœtotoxiques (sténoses aortiques supravalvulaires); en revanche, aucun effet indésirable n'est survenu à la posologie de 20 ou 80 ng/kg/jour (soit huit fois la dose usuelle chez l'homme).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver dans lemballage dorigine pour le protéger de la lumière.
  • -Capsules dans un flacon de verre: conserver à température ambiante (15–25 °C).
  • +Conserver dans l'emballage d'origine pour le protéger de la lumière.
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C).
  • -CalcitriolSalmon Pharma caps 0,25 µg 30. (B)
  • -CalcitriolSalmon Pharma caps 0,25 µg 100. (B)
  • -CalcitriolSalmon Pharma caps 0,5 µg 30. (B)
  • -CalcitriolSalmon Pharma caps 0,5 µg 100. (B)
  • +Capsules à 0,25 µg: emballage blister: 30 et 100 [B].
  • +Capsules à 0,5 µg: emballage blister: 30 et 100 [B].
  • -Salmon PharmaGmbH, 4002 Bâle.
  • +Salmon Pharma GmbH, 4002 Bâle.
  • -Octobre 2012.
  • +Juin 2015.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home