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Accueil - Information professionnelle sur Zomig nasal 5 mg - Changements - 22.09.2023
54 Changements de l'information professionelle Zomig nasal 5 mg
  • -Le spray pulvérisation nasale Zomig constitue une alternative non orale aux comprimés pelliculés de zolmitriptan ou à Zomig oro (comprimés orodispersibles) dans les cas où un traitement autre qu'oral est nécessaire ou souhaité.
  • +Le spray nasal Zomig constitue une alternative non orale aux comprimés pelliculés de zolmitriptan ou à Zomig oro (comprimés orodispersibles) dans les cas où un traitement autre qu'oral est nécessaire ou souhaité.
  • -Les patients souffrant des céphalées en grappe peuvent éventuellement avoir le nez bouché du côté de la face affecté par les douleurs. Dans un tel cas, il est conseillé d'administrer Zomig nasal dans la narine située du côté controlatéral aux douleurs.
  • -La dose de Zomig nasal recommandée pour traiter une crise de céphalée en grappe est de 5 ou de 10 mg. Chez les patients qui n'obtiennent pas d'effets satisfaisants avec 5 mg, il est possible qu'une dose de 10 mg soit efficace lors des crises suivantes. Il est recommandé d'administrer Zomig nasal dès que possible après l'apparition des symptômes de céphalée en grappe.
  • -Il ne faut pas utiliser plus de 10 mg (= au maximum 2 doses unitaires de Zomig nasal à 5 mg) en l'espace de 24 heures.
  • +Les patients souffrant des céphalées en grappe peuvent éventuellement avoir le nez bouché du côté affecté par les douleurs. Dans un tel cas, il est conseillé d'administrer Zomig nasal dans la narine opposée au côté douloureux.
  • +La dose de Zomig nasal recommandée pour traiter une crise de céphalée en grappe est de 5 ou de 10 mg. Chez les patients qui n'obtiennent pas d'effets satisfaisants avec 5 mg, il est possible qu'une dose de 10 mg soit efficace lors des crises suivantes. Il est recommandé d'administrer Zomig nasal dès que possible après l'apparition de la céphalée en grappe.
  • +Il convient de ne pas utiliser plus de 10 mg (= au maximum 2 doses unitaires de Zomig nasal à 5 mg) en l'espace de 24 heures.
  • -Zomig nasal ne convient pas pour le traitement préventif des migraines ou des céphalées en grappe.
  • -L'efficacité de Zomig nasal n'est pas influencée par le sexe, l'âge (voir plus loin «Enfants» et «Patients âgés»), la durée de la crise, des nausées existant avant le traitement ou par l'adjonction de mesures préventives anti-migraineuses. L'utilisation locale concomitante de vasoconstricteurs pour décongestionner la muqueuse nasale n'affecte pas l'effet de Zomig nasal (voir «Interactions»).
  • +Zomig nasal n'est pas indiqué pour la prophylaxie des migraines ou des céphalées en grappe.
  • +L'efficacité de Zomig nasal n'est pas influencée par le sexe, l'âge (voir ci-après «Enfants» et «Patients âgés»), la durée de la crise, des nausées existant avant le traitement ou par l'adjonction de mesures préventives anti-migraineuses. L'utilisation locale concomitante de vasoconstricteurs pour décongestionner la muqueuse nasale n'affecte pas l'effet de Zomig nasal (voir «Interactions»).
  • -Il n'y a pas de données concernant l'utilisation du zolmitriptan chez l'enfant. Il ne faut pas utiliser Zomig nasal chez les enfants.
  • +Il n'y a pas de données concernant l'utilisation du zolmitriptan chez l'enfant. Il convient de ne pas utiliser Zomig nasal chez les enfants.
  • -Il n'existe aucune différence cliniquement significative entre les adolescents et les adultes sur le plan de la pharmacocinétique du zolmitriptan. Toutefois, ni la sécurité d'emploi, ni l'efficacité de Zomig nasal n'ont été établies chez les adolescents. Par conséquent, l'emploi dans cette tranche d'âge n'est pas recommandé.
  • +Il n'existe aucune différence cliniquement significative entre les adolescents et les adultes sur le plan de la pharmacocinétique du zolmitriptan. Toutefois, ni la sécurité d'emploi, ni l'efficacité de Zomig nasal n'ont été établies chez les adolescents. Par conséquent, l'utilisation dans cette tranche d'âge n'est pas recommandé.
  • -Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique légère ou modérée, aucune adaptation de la dose n'est nécessaire. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère, on recommande une dose maximale de 5 mg par 24 heures.
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique légère ou modérée, aucune adaptation de la dose n'est nécessaire. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère, une dose maximale de 5 mg par 24 heures est recommandée.
  • -Zomig nasal est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • +Zomig nasal est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition du médicament.
  • -L'usage de Zomig nasal est contre-indiqué chez les patients qui ont les antécédents suivants:
  • -Cardiopathies ischémiques, antécédents d'infarctus du myocarde, spasmes vasculaires coronaires (angor de Prinzmetal) ou hypertension artérielle mal équilibrée.
  • +L'utilisation de Zomig nasal est contre-indiquée chez les patients présentant les antécédents suivants:
  • +cardiopathies ischémiques, antécédents d'infarctus du myocarde, de spasmes vasculaires coronaires (angor de Prinzmetal), ou d'hypertension artérielle mal contrôlée et antécédents d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) ou d'accidents ischémiques transitoires (AIT).
  • -Zomig nasal ne doit être utilisé qu'en cas de migraine ou de céphalées en grappe clairement diagnostiquée.
  • -Comme pour les autres traitements de céphalées aiguës, il convient d'exclure l'éventualité de maladies neurologiques potentiellement sérieuses chez les patients présentant des symptômes atypiques et chez les patients dont le diagnostic de migraine ou de céphalées en grappe n'est pas encore établi. On a rapporté le cas de patients traités par un agoniste des récepteurs 5HT1B/1D pour des céphalées graves qui, ultérieurement, se sont révélées être un signe d'accompagnement d'une lésion neurologique (troubles de l'irrigation cérébrale, hémorragie sous-arachnoïdienne). A ce propos, il convient de tenir compte du fait que les migraineux peuvent être exposés à un risque accru de certaines affections vasculaires cérébrales, telles que troubles de l'irrigation sanguine cérébrale, accident vasculaire cérébral, épisode ischémique transitoire ou hémorragie cérébrale ou sous-arachnoïdienne.
  • +Zomig nasal ne doit être utilisé qu'en cas de migraine ou de céphalées en grappe clairement diagnostiquées.
  • +Comme pour les autres traitements de céphalées aiguës, il convient d'exclure l'éventualité de maladies neurologiques potentiellement sérieuses chez les patients présentant des symptômes atypiques et chez les patients dont le diagnostic de migraine ou de céphalées en grappe n'est pas encore établi. On a rapporté le cas de patients traités par un agoniste des récepteurs 5HT1B/1D pour des céphalées graves qui, ultérieurement, se sont révélées être un signe d'accompagnement d'une lésion neurologique (troubles de l'irrigation cérébrale, hémorragie sous-arachnoïdienne). À ce propos, il convient de tenir compte du fait que les migraineux peuvent être exposés à un risque accru de certaines affections vasculaires cérébrales, telles que troubles de l'irrigation sanguine cérébrale, AVC (accident vasculaire cérébral), AIT (accident ischémique transitoire) ou hémorragie cérébrale ou sous-arachnoïdienne.
  • -Après l'administration de zolmitriptan, on a observé une sensation de pesanteur, d'oppression ou de striction thoracique. Toutefois, dans les études cliniques, ces symptômes ne s'accompagnaient pas d'arythmies ou de signes électrocardiographiques d'ischémie.
  • +Après l'administration de zolmitriptan, on a observé une sensation de pesanteur, d'oppression ou de striction thoracique. Toutefois, dans les études cliniques, ces symptômes ne s'accompagnaient pas d'arythmies ou de signes ECG d'ischémie.
  • -Il ne faut pas administrer d'agonistes 5HT1B/1D aux patients souffrant d'un syndrome de Wolff-Parkinson-White symptomatique ou d'arythmies consécutives à d'autres troubles de la conduction en rapport avec des voies accessoires.
  • +Il convient de ne pas administrer d'agonistes 5HT1B/1D aux patients souffrant d'un syndrome de Wolff-Parkinson-White symptomatique ou d'arythmies consécutives à d'autres troubles de la conduction en rapport avec des voies accessoires.
  • -Des spasmes vasculaires prolongés ont été signalés avec les dérivés de l'ergotamine. Etant donné que ces effets peuvent s'additionner, il faut éviter l'administration simultanée d'ergotamine et d'agonistes 5HT1B/1D.
  • -Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique prenant la forme d'un effet indésirable dangereux pour le pronostic vital peut apparaître lors de l'administration concomitante de triptanes et d'autres médicaments à effet sérotoninergique. Le syndrome sérotoninergique est caractérisé par l'association variée de certains symptômes qui peuvent typiquement inclure les symptômes suivants: hyperréflexie, tremblements, myoclonies, modifications de l'état psychique comme agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité évoluant vers un délire et un coma ainsi que tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie, nausée, vomissements, diarrhée.
  • +Des spasmes vasculaires prolongés ont été signalés avec les dérivés de l'ergotamine. Étant donné que ces effets peuvent s'additionner, il faut éviter l'administration simultanée d'ergotamine et d'agonistes 5HT1B/1D.
  • +Dans de rares cas, un syndrome sérotoninergique prenant la forme d'un effet indésirable dangereux pour le pronostic vital peut apparaître lors de l'administration concomitante de triptans et d'autres médicaments à effet sérotoninergique. Le syndrome sérotoninergique est caractérisé par l'association variée de certains symptômes qui peuvent typiquement inclure les symptômes suivants: hyperréflexie, tremblements, myoclonies, modifications de l'état psychique comme agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité évoluant vers un délire et un coma ainsi que tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie, nausées, vomissements, diarrhée.
  • -L'administration simultanée de moclobémide, un inhibiteur sélectif de la MAO-A, multiplie par trois l'AUC du métabolite actif et augmente de 26% l'AUC du zolmitriptan (voir aussi «Interactions»). Par conséquent, la dose maximale recommandée chez les patients prenant un inhibiteur sélectif de la MAO-A ou un inhibiteur non sélectif de la MAO est de 5 mg par 24 heures.
  • +L'administration simultanée de moclobémide, un inhibiteur sélectif de la MAO-A, multiplie par trois l'ASC du métabolite actif et augmente de 26% l'ASC du zolmitriptan (voir aussi «Interactions»). Par conséquent, la dose maximale recommandée chez les patients prenant un inhibiteur sélectif de la MAO-A ou un inhibiteur non sélectif de la MAO est de 5 mg par 24 heures.
  • -Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique peut apparaître prenant la forme d'un effet indésirables dangereux pour le pronostic vital lors de l'administration concomitante de triptanes et d'autres médicaments à effet sérotoninergique plus ou moins prononcé comme entre autres les «inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine» (SSRI), (par ex. fluoxétine, paroxétine, sertraline), les «inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/noradrénaline» (SNRI) (par ex. venlafaxine, duloxétine), les inhibiteurs de la MAO, le L-tryptophane, le lithium, les antidépresseurs tricycliques (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Rien ne suggère des interactions pharmacocinétiques avec la caféine, le métoclopramide, la sélégiline, la fluoxétine (20 mg/24 heures), l'ergotamine, la dihydroergotamine, le paracétamol ou le pizotifène. Aucun ISRS autre que la fluoxétine n'a été étudié.
  • +Dans des rares cas, un syndrome sérotoninergique peut apparaître prenant la forme d'un effet indésirables dangereux pour le pronostic vital lors de l'administration concomitante de triptans et d'autres médicaments à effet sérotoninergique plus ou moins prononcé comme entre autres les «inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine» (SSRI), (par ex. fluoxétine, paroxétine, sertraline), les «inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/noradrénaline» (SNRI) (par ex. venlafaxine, duloxétine), les inhibiteurs de la MAO, le L-tryptophane, le lithium, les antidépresseurs tricycliques (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Il n'y a pas de signes interactions pharmacocinétiques avec la caféine, le métoclopramide, la sélégiline, la fluoxétine (20 mg/24 heures), l'ergotamine, la dihydroergotamine, le paracétamol ou le pizotifène. Aucun ISRS autre que la fluoxétine n'a été étudié.
  • -Il existe de discrètes interactions pharmacocinétiques avec la rifampicine et le propranolol, mais elles ne sont toutefois pas cliniquement significatives. En cas d'administration simultanée de propranolol (160 mg/jour) durant 1 semaine, la Cmax et l'AUC du zolmitriptan peuvent être multipliées par 1,5. La Cmax et l'AUC du métabolite N-déméthylé peuvent diminuer de 30% et 15% respectivement. Après administration simultanée de propranolol et de zolmitriptan, aucune interaction n'a été constatée du point de vue de la pression artérielle ou du pouls.
  • +Il existe de discrètes interactions pharmacocinétiques avec la rifampicine et le propranolol, mais elles ne sont toutefois pas cliniquement significatives. En cas d'administration simultanée de propranolol (160 mg/jour) durant 1 semaine, la Cmax et l'ASC du zolmitriptan peuvent être multipliées par 1,5. La Cmax et l'ASC du métabolite N-déméthylé peuvent diminuer de 30% et 15% respectivement. Après administration simultanée de propranolol et de zolmitriptan, aucun effet interactif n'a été constatée sur la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque.
  • -Le principal métabolite inactif du zolmitriptan, le dérivé de l'acide indolacétique (2161W92), est formé à partir du métabolite N-déméthylé actif (N-déméthylé-zolmitriptan) par l'activité de la MAO-A. Cela a été démontré par l'administration simultanée de moclobémide, un inhibiteur sélectif de la MAO-A, qui a triplé l'AUC du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan , alors que les taux de zolmitriptan n'ont été que très peu influencés (augmentation de l'AUC de 26%). C'est pourquoi, en cas de prise concomitante d'un inhibiteur de la MAO-A, il ne faut pas utiliser plus de 5 mg de zolmitriptan par 24 heures.
  • -Les études menées avec Zomig et des ergotamines chez des volontaires n'ont pas fourni d'indice suggérant des interactions pharmacocinétiques importantes ou cliniquement significatives. Au vu de la possibilité d'un effet vasoconstricteur additif, il faut néanmoins éviter l'administration simultanée de dérivés de l'ergotamine. Par conséquent, il ne faut pas administrer des préparations contenant de l'ergotamine au cours des 24 heures qui précèdent et des 6 heures qui suivent l'administration d'un agoniste 5HT1B/1D.
  • +Le principal métabolite inactif du zolmitriptan, le dérivé de l'acide indolacétique (2161W92), est formé à partir du métabolite N-déméthylé actif (N-déméthylé-zolmitriptan) par l'activité de la MAO-A. Cela a été démontré par l'administration simultanée de moclobémide, un inhibiteur sélectif de la MAO-A, qui a triplé l'ASC du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan , alors que les taux de zolmitriptan n'ont été que très peu influencés (augmentation de l'ASC de 26%). C'est pourquoi, en cas de prise concomitante d'un inhibiteur de la MAO-A, il ne faut pas utiliser plus de 5 mg de zolmitriptan par 24 heures.
  • +Les études menées avec Zomig et des ergotamines chez des volontaires n'ont pas fourni d'indice suggérant des interactions pharmacocinétiques importantes ou cliniquement significatives. Au vu de la possibilité d'un effet vasoconstricteur additif, il convient néanmoins d'éviter l'administration simultanée de dérivés de l'ergotamine. Par conséquent, il ne faut pas administrer de préparations contenant de l'ergotamine au cours des 24 heures qui précèdent et des 6 heures qui suivent l'administration d'un agoniste 5HT1B/1D.
  • -L'utilisation préalable de xylométazoline, un vasoconstricteur sympathomimétique, ne modifie ni la résorption ni la pharmacocinétique du Zomig nasal.
  • +L'utilisation préalable de xylométazoline, un vasoconstricteur sympathomimétique, ne modifie ni la résorption ni la pharmacocinétique de Zomig nasal.
  • -Des études animales montrent que le zolmitriptan diffuse aussi dans le lait maternel. Etant donné l'absence d'expérience avec le lait maternel humain, Zomig nasal ne doit être administré à des femmes qui allaitent qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque.
  • +Des études animales montrent que le zolmitriptan diffuse aussi dans le lait maternel. Étant donné l'absence d'expérience avec le lait maternel humain, Zomig nasal ne doit être administré à des femmes qui allaitent qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque.
  • -Fréquents: Saignements de nez (seulement Zomig nasal, pulvérisation nasale), sensation désagréable dans les fosses nasales (seulement Zomig nasal, pulvérisation nasale).
  • +Fréquents: Saignements de nez (seulement Zomig nasal, pulvérisation nasale), sensation désagréable dans les fosses nasales (seulement Zomig nasal, spray nasal).
  • -Très fréquents: Perturbations du goût (seulement Zomig nasal, pulvérisation nasale).
  • +Très fréquents: Perturbations du goût (seulement Zomig nasal, spray nasal).
  • -On ne dispose d'aucun antidote spécifique du zolmitriptan. Il est recommandé de prendre des mesures de soins intensifs en cas d'intoxication grave. Cela comprend maintien de la liberté des voies respiratoires, garantie d'un apport suffisant en oxygène, ventilation, surveillance et soutien du système cardiovasculaire.
  • +On ne dispose d'aucun antidote spécifique du zolmitriptan. Il est recommandé de prendre des mesures de soins intensifs en cas d'intoxication grave. Celles-ci comprennent l'ouverture des voies respiratoires, l'assurance d'un apport suffisant en oxygène, la ventilation, la surveillance et le soutien du système cardiovasculaire.
  • -Lors d'études précliniques, il a pu être démontré que le zolmitriptan est un agoniste sélectif des sous-types de récepteurs recombinés 5HT1D et 5HT1B des vaisseaux humains. Le zolmitriptan est un agoniste hautement spécifique des récepteurs 5HT1B/1D avec une affinité modeste pour les récepteurs 5HT1A. Il ne possède ni une affinité significative (sur la base des études effectuées avec un radioligand) ni une activité pharmacologique pour les récepteurs suivants: 5HT2, 5HT3, 5HT4, alpha1-, alpha2-, bêta1-adrénergiques, H1-, H2histaminiques, muscariniques, dopaminergiques1, dopaminergiques2.
  • +Lors d'études précliniques, il a pu être démontré que le zolmitriptan est un agoniste sélectif des sous-types de récepteurs recombinés 5HT1D et 5HT1B des vaisseaux humains. Le zolmitriptan est un agoniste hautement spécifique des récepteurs 5HT1B/1D avec une affinité modérée pour les récepteurs 5HT1A. Il ne possède ni une affinité significative (sur la base des études effectuées avec un radioligand) ni une activité pharmacologique pour les récepteurs suivants: 5HT2, 5HT3, 5HT4, alpha1-, alpha2-, bêta1-adrénergiques, H1-, H2-histaminiques, muscariniques, dopaminergiques1, dopaminergiques2.
  • -Dans deux études cliniques contrôlées de conception similaire, on a traité jusqu'à 3 crises de céphalées en grappe chez 121 patients au total. D'après l'analyse combinée de ces deux études, l'utilisation de Zomig nasal 5 mg a permis une réduction statistiquement significative des douleurs, qui ont passé de très sévères/sévères/modérées à légères/absentes, chez 48.3% des patients (par rapport à 29.5% des patients ayant reçu un placebo). Une disparition des douleurs a été atteinte chez 34.8% des patients (par rapport à 19.3% des patients sous placebo). Avec la dose de 10 mg, les résultats correspondants ont été une réponse au traitement chez 63.1% des patients et une disparition des douleurs chez 44% des patients.
  • +Dans deux études cliniques contrôlées de conception similaire, on a traité jusqu'à 3 crises de céphalées en grappe chez 121 patients au total. D'après l'analyse combinée de ces deux études, l'utilisation de Zomig nasal 5 mg a permis une réduction statistiquement significative des douleurs, qui sont passées de très sévères/sévères/modérées à légères/absentes, chez 48,3% des patients (par rapport à 29,5% des patients ayant reçu un placebo). Une disparition des douleurs a été atteinte chez 34,8% des patients (par rapport à 19,3% des patients sous placebo). Avec la dose de 10 mg, les résultats correspondants ont été une réponse au traitement chez 63,1% des patients et une disparition des douleurs chez 44% des patients.
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère, la clairance rénale du zolmitriptan et de ses métabolites est 7 à 8 fois plus faible que chez les sujets sains, bien que l'AUC de la molécule mère et du métabolite actif ne soit que peu augmentée (respectivement 16% et 35%). Une accumulation des métabolites inactifs lors d'administrations répétées est possible. La demi-vie d'élimination a augmenté d'une heure, et est passée à 3-3,5 heures. Ces paramètres s'inscrivaient dans la même fourchette que celle observée chez les individus sains.
  • -En cas d'insuffisance hépatique, le métabolisme du zolmitriptan diminue proportionnellement au degré de gravité de l'insuffisance. Par rapport aux personnes saines, l'AUC et la Cmax du zolmitriptan étaient augmentées de 94% et 50%, respectivement, chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, et de 226% et 47%, respectivement, en cas d'insuffisance hépatique sévère. Les taux plasmatiques des métabolites, y compris du métabolite actif, étaient réduits. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, l'AUC et la Cmax du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan étaient diminuées de 33% et 44%, respectivement; cette diminution était respectivement de 82% et 90% en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • -La demi-vie du zolmitriptan est de 4,7 heures chez les sujets sains, de 7,3 heures en cas d'insuffisance hépatique modérée et de 12 heures en cas d'insuffisance hépatique sévère. La demi-vie du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan est de 5,7 heures chez les sujets sains, de 7,5 heures en cas d'insuffisance hépatique modérée et de 7,8 heures en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère, la clairance rénale du zolmitriptan et de ses métabolites est 7 à 8 fois plus faible que chez les sujets sains, bien que l'ASC de la molécule mère et du métabolite actif ne soit que peu augmentée (respectivement 16% et 35%). Une accumulation des métabolites inactifs lors d'administrations répétées est possible. La demi-vie d'élimination a augmenté d'une heure, et est passée à 3-3,5 heures. Ces paramètres s'inscrivaient dans la même fourchette que celle observée chez les individus sains.
  • +En cas d'insuffisance hépatique, le métabolisme du zolmitriptan diminue proportionnellement au degré de gravité de l'insuffisance. Par rapport aux personnes saines, l'ASC et la Cmax du zolmitriptan étaient augmentées de 94% et 50%, respectivement, chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, et de 226% et 47%, respectivement, en cas d'insuffisance hépatique sévère. Les taux plasmatiques des métabolites, y compris du métabolite actif, étaient réduits. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, l'ASC et la Cmax du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan étaient diminuées de 33% et 44%, respectivement; cette diminution était respectivement de 82% et 90% en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • +La demi-vie du zolmitriptan est de 4,7 heures chez les sujets sains, de 7,3 heures en cas d'insuffisance hépatique modérée et de 12 heures en cas d'insuffisance hépatique sévère. La demi-vie du métabolite actif N-déméthylé-zolmitriptan est de 5,7 heures chez les volontaires sains, de 7,5 heures en cas d'insuffisance hépatique modérée et de 7,8 heures en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • -Les études de génotoxicité qui ont été effectuées permettent de conclure qu'un risque génétique est peu probable chez l'Homme.
  • +Les études de génotoxicité qui ont été effectuées permettent de conclure qu'un risque génétique est peu probable chez l'humain.
  • -Zomig nasal 2,5 mg: 2 doses unitaires de pulvérisation nasale [B]
  • -Zomig nasal 5 mg: 2 doses unitaires de pulvérisation nasale [B]
  • +Zomig nasal 2,5 mg: 2 doses unitaires de pulvérisation nasale
  • +Zomig nasal 5 mg: 2 doses unitaires de pulvérisation nasale
  • -Avril 2020.
  • +Juillet 2023
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