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Accueil - Information professionnelle sur Evra - Changements - 20.07.2018
62 Changements de l'information professionelle Evra
  • -L'utilisation d'Evra doit se faire exactement selon les directives. Un seul patch doit être porté à la fois.
  • +L'utilisation d'Evra doit se faire exactement selon les directives. Un seul patch doit être porté à la fois. Le patch Evra ne doit pas être coupé, endommagé ou altéré de quelque manière que ce soit, car cela peut compromettre son efficacité contraceptive.
  • -·Thromboembolie veineuse – existence d'une TEV (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p.ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • +·Thromboembolie veineuse – existence dune TEV (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p. ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • -·prédisposition héréditaire ou acquise aux événements thromboemboliques veineux, tels qu'une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C ou un déficit en protéine S
  • +·prédisposition héréditaire ou acquise aux événements thromboemboliques veineux, tels quune résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C ou un déficit en protéine S
  • -·prédisposition héréditaire ou acquise à la thromboembolie artérielle, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • -·Présence simultanée de multiples facteurs de risque d'événements thromboemboliques artériels, selon le tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +·prédisposition héréditaire ou acquise à la thromboembolie artérielle, telle quune hyperhomocystéinémie ou la présence danticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque dévénements thromboemboliques artériels, selon le tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -·utilisation simultanée à un traitement combiné par l'ombitasvir/le paritaprévir/le ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicaments pour le traitement de l'hépatite C) (voir «Interactions» et «Mises en garde et précautions»);
  • +·utilisation simultanée à un traitement combiné par l'ombitasvir/le paritaprévir/le ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicaments pour le traitement de l'hépatite C) et jusqu'à 2 semaines après l'arrêt de ces médicaments (voir «Interactions» et «Mises en garde et précautions»);
  • -·premiers signes d'événements thromboemboliques (voir «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire]» et «Symptômes de TEA
  • +·premiers signes d'événements thromboemboliques (voir «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire]» et «Symptômes de TEA»);
  • -·augmentation significative de la pression artérielle (confirmée par des mesures répétées);
  • +·états dépressifs majeurs;
  • +·augmentation cliniquement importante de la pression artérielle (confirmée par des mesures répétées);
  • -A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 6 à 12 femmes sur 10'000 utilisant un CHC contenant de la norelgestromine développeront une TEV au cours d'une année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10'000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
  • +À partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 6 à 12 femmes sur 10'000 utilisant un CHC contenant de la norelgestromine développeront une TEV au cours d'une année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10'000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
  • -Antécédents familiaux (thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation d'Evra. Si une thrombophilie est détectée au cours des examens, l'utilisation d'Evra est contre- indiquée.
  • +Antécédents familiaux (thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation d'Evra. Si une thrombophilie est détectée au cours des examens, l'utilisation d'Evra est contre-indiquée.
  • -·gonflement unilatéral d'une jambe ou le long d'une veine de la jambe;
  • -·douleur ou sensation de tension dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
  • +·gonflement unilatéral dune jambe ou le long dune veine de la jambe;
  • +·douleur ou sensation de tension dans une jambe, pouvant nêtre ressentie quen position debout ou lors de la marche;
  • -·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
  • -·toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
  • -·douleur aiguë et soudaine au niveau du thorax pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
  • -·obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
  • +·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à leffort;
  • +·toux dapparition soudaine, éventuellement accompagnée dexpectorations sanglantes;
  • +·douleur aiguë et soudaine au niveau du thorax pouvant samplifier à la respiration profonde;
  • +·obnubilation sévère, vertiges ou sensation dangoisse;
  • -Certains de ces symptômes (p.ex. essoufflement ou toux) ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections des voies respiratoires, p.ex.).
  • +Certains de ces symptômes (p.ex. essoufflement ou toux) ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections des voies respiratoires, p. ex.).
  • -·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant notamment une moitié du corps;
  • +·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, dun bras ou dune jambe, touchant notamment une moitié du corps;
  • -·troubles subits de la vision au niveau d'un ou des deux yeux;
  • +·troubles subits de la vision au niveau dun ou des deux yeux;
  • -·troubles de l'équilibre ou de la coordination;
  • +·troubles de léquilibre ou de la coordination;
  • -·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
  • +·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou lestomac;
  • -·sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
  • +·sensation de grande faiblesse, dangoisse ou essoufflement;
  • -·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
  • +·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète dune extrémité;
  • -Bien qu'une élévation discrète de la pression artérielle ait été rapportée de façon relativement fréquente sous CHC, une élévation cliniquement significative de ce paramètre reste rare. Aucune causalité n'a été fiablement établie entre l'utilisation de CHC et une hypertension. En cas d'hypertension artérielle cliniquement significative au cours d'un traitement par Evra (confirmée par des mesures répétées), il convient d'arrêter le traitement. En fonction de l'indication, la reprise de l'utilisation d'un CHC sera envisagée après la normalisation des valeurs de la pression artérielle (sous traitement adéquat).
  • +Bien qu'une élévation discrète de la pression artérielle ait été rapportée de façon relativement fréquente sous CHC, une élévation cliniquement importante de ce paramètre reste rare. Aucune causalité n'a été établie de manière fiable entre l'utilisation de CHC et une hypertension. En cas d'hypertension artérielle cliniquement importante au cours d'un traitement par Evra (confirmée par des mesures répétées), il convient d'arrêter le traitement. En fonction de l'indication, la reprise de l'utilisation d'un CHC sera envisagée après la normalisation des valeurs de la pression artérielle (sous traitement adéquat).
  • -Une augmentation des taux d'ALAT pouvant dépasser 5 fois la limite supérieure de la norme a été observée sous traitement par l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir chez des patientes atteintes d'une hépatite C et utilisant simultanément un CHC contenant de l'éthinylestradiol (voir «Interactions»). Evra doit par conséquent être arrêté avant l'introduction d'un traitement avec cette association de substances. Le traitement par Evra peut être repris au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l'interruption de la thérapie antivirale combinée, à condition que les taux des enzymes hépatiques soient normaux. Il faut cependant prendre en considération le fait que l'efficacité du CHC peut être réduite en cas d'intervalle inférieur à 4 semaines en raison des effets inducteurs du ritonavir sur les enzymes, si bien qu'il convient d'utiliser en plus une méthode contraceptive mécanique (voir «Interactions», paragraphe «Inducteurs enzymatiques»).
  • -La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
  • -Les œstrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la bile. Une cholélithiase et d'autres maladies de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite) ont été signalées en rapport avec l'utilisation de CHC.
  • -Les pathologies suivantes tendent à s'aggraver au cours de la grossesse et sont vraisemblablement influencées négativement par les CHC, bien que les données actuellement disponibles ne permettent pas d'établir fiablement un rapport de causalité: ictère cholestatique et/ou prurit, lithiase biliaire, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome urémique hémolytique, chorée de Sydenham, herpès gestationis, surdité liée à l'otosclérose.
  • -L'utilisation de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • +Chez des patientes atteintes d'une hépatite C et utilisant simultanément un CHC contenant de l'éthinylestradiol, une augmentation des taux d'ALAT (incluant des cas d'élévation pouvant dépasser 5 fois la limite supérieure de la normale) était significativement plus fréquente sous traitement par l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir que chez des patientes exclusivement traitées par les principes actifs antiviraux (voir «Interactions»). Evra doit par conséquent être arrêté avant l'introduction d'un traitement avec cette association de substances. Le traitement par Evra peut être repris au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l'interruption de la thérapie antivirale combinée, à condition que les taux des enzymes hépatiques soient normaux. Il faut cependant prendre en considération le fait que l'efficacité du CHC peut être réduite en cas d'intervalle inférieur à 4 semaines en raison des effets inducteurs du ritonavir sur les enzymes, si bien qu'il convient d'utiliser en plus une méthode contraceptive mécanique (voir «Interactions», paragraphe «Inducteurs enzymatiques»).
  • +La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC. Les utilisatrices présentant des antécédents familiaux de formes héréditaires d'une hyperbilirubinémie (p.ex. syndrome de Dubin-Johnson, syndrome de Rotor) doivent elles aussi être étroitement surveillées afin de détecter la survenue d'un ictère cholestatique.
  • +Les œstrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la bile. Une cholélithiase et d'autres maladies de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite, y compris des cas ayant nécessité une cholécystectomie) ont été signalées en rapport avec l'utilisation de CHC.
  • +Les pathologies suivantes tendent à s'aggraver au cours de la grossesse et sont vraisemblablement influencées négativement par les CHC, bien que les données actuellement disponibles ne permettent pas d'établir de manière fiable un rapport de causalité: ictère cholestatique et/ou prurit, lithiase biliaire, porphyrie, lupus érythémateux disséminé, syndrome urémique hémolytique, chorée de Sydenham, herpès gestationis, surdité liée à l'otosclérose.
  • +On a également rapporté une aggravation de la dépression endogène, de l'épilepsie, de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse lors de l'utilisation de CHC. Les utilisatrices présentant des antécédents de dépressions graves doivent par conséquent être étroitement surveillées. En cas de réapparition de graves états dépressifs lors de l'utilisation d'Evra, il faut arrêter le CHC.
  • -On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en œstrogènes ou progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
  • +On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (p.ex. le bocéprévir, nelfinavir, télaprévir) et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (p.ex. l'éfavirenz) peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en œstrogènes ou progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
  • -Des inhibiteurs puissants et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les antibiotiques macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques en œstrogènes et/ou en progestatifs et entraîner ainsi des effets indésirables plus nombreux.
  • +Des inhibiteurs puissants et modérés du CYP3A4, tels que les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les antibiotiques macrolides (clarithromycine, érythromycine), le cobicistat, le diltiazem, le vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques en œstrogènes et/ou en progestatifs et entraîner ainsi des effets indésirables plus nombreux.
  • -Au cours d'études cliniques, une augmentation significative de la fréquence des élévations de l'ALAT (y compris des élévations à plus de cinq fois la limite supérieure de la norme) a été observée lors d'une administration simultanée de CHC contenant de l'éthinylestradiol avec une association thérapeutique contre des infections par le virus de l'hépatite C à base d'ombitasvir/de paritaprévir/de ritonavir avec ou sans dasabuvir, par rapport aux patientes qui étaient uniquement sous traitement par ces substances antivirales. Evra doit par conséquent être interrompu avant l'introduction d'un traitement contenant ce type d'association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Au cours d'études cliniques, une augmentation significative de la fréquence des élévations de l'ALAT (y compris des élévations à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale) a été observée lors d'une administration simultanée de CHC contenant de l'éthinylestradiol avec une association thérapeutique contre des infections par le virus de l'hépatite C à base d'ombitasvir/de paritaprévir/de ritonavir avec ou sans dasabuvir, par rapport aux patientes qui étaient uniquement sous traitement par ces substances antivirales. Evra doit par conséquent être interrompu avant l'introduction d'un traitement contenant ce type d'association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -L'indice de Pearl était de 0,88 (IC à 95% 0,43–1,32) pour toutes les études. La probabilité d'une grossesse en prenant l'erreur méthodologique en considération s'est élevée à 0,6% (0,2–0,9%). La proportion de grossesse chez les femmes dont le poids corporel était égal ou supérieur à 90 kg a été statistiquement plus élevée. L'indice de Pearl s'est élevé à 0,57 (0,30–0,84) pour un BMI (Body Mass Index) <30 (n= 3085) et à 4,93 (1,02–8,84) pour un BMI ≥30 (n= 231). Ce résultat indique une diminution de l'efficacité d'Evra chez les femmes dont le BMI est très élevé.
  • +L'indice de Pearl était de 0,88 (IC à 95% 0,43–1,32) pour toutes les études. La probabilité d'une grossesse en prenant l'erreur méthodologique en considération s'est élevée à 0,6% (0,2–0,9%). La proportion de grossesse chez les femmes dont le poids corporel était égal ou supérieur à 90 kg a été statistiquement plus élevée. L'indice de Pearl s'est élevé à 0,57 (0,30–0,84) pour un BMI (Body Mass Index) <30 (n = 3085) et à 4,93 (1,02–8,84) pour un BMI ≥30 (n = 231). Ce résultat indique une diminution de l'efficacité d'Evra chez les femmes dont le BMI est très élevé.
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Ethinylestradiol
  • +Éthinylestradiol
  • -L'éthinylestradiol apparaît rapidement dans le sérum après l'application d'Evra. Le taux sérique atteint un plateau après 48 heures environ. Les concentrations à l'état d'équilibre d'éthinylestradiol pendant le port du patch sur une semaine sont d'environ 50 pg/ml (SD= 18 pg/ml). La biodisponibilité d'éthinylestradiol est bioéquivalente pour l'application sur la fesse, le haut du bras ou la partie supérieure du torse, mais diffère de celle à l'abdomen. L'application sur l'abdomen a tout de même permis d'obtenir une inhibition de l'ovulation. C'est pourquoi les quatre sites d'application sont d'équivalence thérapeutique. Les conditions observées dans un club de fitness (sauna, whirlpool et tapis roulant) ainsi qu'un bain d'eau froide n'a pas influencé la biodisponibilité de l'éthinylestradiol de manière significative.
  • +L'éthinylestradiol apparaît rapidement dans le sérum après l'application d'Evra. Le taux sérique atteint un plateau après 48 heures environ. Les concentrations à l'état d'équilibre d'éthinylestradiol pendant le port du patch sur une semaine sont d'environ 50 pg/ml (SD= 18 pg/ml). La biodisponibilité de l'éthinylestradiol est bioéquivalente pour l'application sur la fesse, le haut du bras ou la partie supérieure du torse, mais diffère de celle à l'abdomen. L'application sur l'abdomen a tout de même permis d'obtenir une inhibition de l'ovulation. C'est pourquoi les quatre sites d'application sont d'équivalence thérapeutique. Les conditions observées dans un club de fitness (sauna, whirlpool et tapis roulant) ainsi qu'un bain d'eau froide n'a pas influencé la biodisponibilité de l'éthinylestradiol de manière significative.
  • -Elimination
  • +Élimination
  • +Tenir hors de la portée des enfants.
  • +
  • -Après son retrait, le patch usagé doit être plié en deux, face adhésive vers l'intérieur, afin que la membrane de libération ne soit pas exposée. Eliminer ensuite le patch dans un contenant et à un endroit inaccessible aux enfants.
  • +Après son retrait, le patch usagé doit être plié en deux, face adhésive vers l'intérieur, afin que la membrane de libération ne soit pas exposée. Éliminer ensuite le patch dans un contenant et à un endroit inaccessible aux enfants.
  • -Juillet 2017.
  • +Avril 2018.
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