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-Principe actif: Dexketoprofenum (comme dexkétoprofène-trométamol).
-Excipients: Ethanolum, Natrii chloridum, Natrii hydroxidum, Aqua ad iniect.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-I.m.: solution injectable.
-I.v.: solution injectable/concentré pour perfusion.
-Une ampoule contient 50 mg de dexkétoprofène (correspondant à 73,8 mg de dexkétoprofène-trométamol).
- +Principes actifs
- +Dexketoprofenum.
- +Excipients
- +Ethanolum, Natrii chloridum, Natrii hydroxidum, Aqua ad iniect.
-Traitement symptomatique à court terme des douleurs d’intensité moyenne à sévère telles que les douleurs postopératoires, les douleurs de la musculature squelettique ou les coliques néphrétiques.
- +Traitement symptomatique à court terme des douleurs d'intensité moyenne à sévère telles que les douleurs postopératoires, les douleurs de la musculature squelettique ou les néphrétiques.
-Douleurs postopératoires et douleurs de la musculature squelettique
-La posologie recommandée est de 50 mg toutes les 8 à 12 heures; en cas de besoin, l’intervalle entre les doses peut être porté à 6 heures. La dose totale journalière ne doit pas dépasser 150 mg.
- +La dose minimale efficace nécessaire pour soulager les symptômes doit être appliquée durant une période la plus courte possible (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Adultes
- +Douleurs postopératoires et douleurs de la musculature squelettique:
- +La posologie recommandée est de 50 mg toutes les 8 à 12 heures; en cas de besoin, l'intervalle entre les doses peut être porté à 6 heures. La dose totale journalière ne doit pas dépasser 150 mg.
-La posologie recommandée est de 25 à 50 mg toutes les 8 à 12 heures; en cas de besoin, l’intervalle entre les doses peut être porté à 6 heures. La dose totale journalière ne doit pas dépasser 150 mg.
-Ketesse solution injectable est prévue pour une utilisation de courte durée, elle doit être administrée seulement pendant la phase aiguë des douleurs (pas plus de 2 jours). Les patients devraient être mis aussi tôt que possible sous traitement par des analgésiques oraux. Les effets indésirables peuvent être atténués en administrant la plus faible dose efficace pendant le laps de temps le plus court nécessaire à la maîtrise des symptômes.
-Si nécessaire, lors de douleurs postopératoire modérées à sévères, Ketesse solution injectable peut s’administrer en association avec des analgésiques opioïdes à la posologie recommandée pour adultes.
- +La posologie recommandée est de 25 à 50 mg toutes les 8 à 12 heures; en cas de besoin, l'intervalle entre les doses peut être porté à 6 heures. La dose totale journalière ne doit pas dépasser 150 mg.
- +Ketesse solution injectable est prévu pour une utilisation de courte durée, elle doit être administrée seulement pendant la phase aiguë des douleurs (pas plus de 2 jours). Les patients devraient être mis aussi tôt que possible sous traitement par des analgésiques oraux. Les effets indésirables peuvent être atténués en administrant la plus faible dose efficace pendant le laps de temps le plus court nécessaire à la maîtrise des symptômes.
- +Si nécessaire, lors de douleurs postopératoire modérées à sévères, Ketesse solution injectable peut s'administrer en association avec des analgésiques opioïdes à la posologie recommandée pour adultes.
-Etant donné que l’on ne dispose pas d’une expérience clinique suffisante et que, par conséquent, la sécurité et l’efficacité ne sont pas documentées, Ketesse ne doit pas être administré aux enfants et adolescents.
-Instructions spéciales pour le dosage
-Personnes âgées
-Une adaptation posologique n’est en général pas nécessaire chez les personnes âgées. Toutefois, en raison de la diminution physiologique de la fonction rénale avec l’âge, il est recommandé d’instaurer le traitement chez ces personnes à faible dose (50 mg par jour) et d’augmenter celle-ci en fonction des besoins si elle est bien tolérée.
-Troubles de la fonction hépatique
-Chez les patients atteints de dysfonctions hépatiques légères à modérées (Child-Pugh-Score 5–9), le traitement doit être instauré par une dose réduite (50 mg par jour) et étroitement surveillé. Ketesse solution injectable ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles graves de la fonction hépatique (Child-Pugh-Score 10–15).
-Troubles de la fonction rénale
-Chez les patients atteints d’une légère diminution de la fonction rénale (clairance de la créatinine de 50 à 80 ml/min.), la dose initiale doit être réduite à 50 mg par jour. Ketesse solution injectable ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine de <50 ml/min) (voir «Contre-indications»).
-Type d’utilisation
- +Etant donné que l'on ne dispose pas d'une expérience clinique suffisante et que, par conséquent, la sécurité et l'efficacité ne sont pas documentées, Ketesse ne doit pas être administré aux enfants et adolescents.
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients âgés
- +Une adaptation posologique n'est en général pas nécessaire chez les personnes âgées. Toutefois, en raison de la diminution physiologique de la fonction rénale avec l'âge, il est recommandé d'instaurer le traitement chez ces personnes à faible dose (50 mg par jour) et d'augmenter celle-ci en fonction des besoins si elle est bien tolérée.
- +Troubles de la fonction hépatique:
- +Chez les patients atteints de dysfonctions hépatiques légères à modérées (Child-Pugh-Score 5 - 9), le traitement doit être instauré par une dose réduite (50 mg par jour) et étroitement surveillé. Ketesse solution injectable ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles graves de la fonction hépatique (Child-Pugh-Score 10 -15).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale:
- +Chez les patients atteints d'une légère diminution de la fonction rénale (clairance de la créatinine de 50 à 80 ml/min.), la dose initiale doit être réduite à 50 mg par jour. Ketesse solution injectable ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine de < 50 ml/min) (voir «Contreindications»).
- +Mode d'administration
-Administration intramusculaire: le contenu d’une ampoule (2 ml) est injecté lentement et profondément dans le muscle.
- +Administration intramusculaire: le contenu d'une ampoule (2 ml) est injecté lentement et profondément dans le muscle.
-– perfusion: le contenu d’une ampoule (2 ml) est dilué avec 30 à 100 ml d’une solution de chlorure de sodium physiologique, d’une solution de glucose ou d’une solution de Ringer-lactate (il en résulte une concentration de 0,5 à 1,7 mg/ml). La solution de perfusion est administrée sur une période de 10 à 30 minutes;
-– bolus: le contenu d’une ampoule (2 ml) est administré lentement et directement par voie intraveineuse – durant au moins 15 secondes.
-Remarques quant à l’utilisation
-Lorsque Ketesse solution injectable est administré par voie intramusculaire ou en bolus intraveineux, la solution est à injecter immédiatement après son retrait de l’ampoule colorée. Ne pas mélanger avec de petits volumes (p.ex. dans la seringue) de dopamine, prométhazine, pentazocine, péthidine ou hydroxyzine, pour éviter la formation de précipités.
-Pour l’administration en perfusion intraveineuse, la solution est à diluer de façon aseptique et à protéger de la lumière du jour (voir «Remarques concernant la manipulation»).
- +·perfusion: le contenu d'une ampoule (2 ml) est dilué avec 30 à 100 ml d'une solution de chlorure de sodium physiologique, d'une solution de glucose ou d'une solution de Ringer-lactate (il en résulte une concentration de 0,5 à 1,7 mg/ml). La solution de perfusion est administrée sur une période de 10 à 30 minutes.
- +·Bolus: le contenu d'une ampoule (2 ml) est administré lentement et directement par voie intraveineuse durant au moins 15 secondes.
- +Remarques concernant l'utilisation
- +Lorsque Ketesse solution injectable est administré par voie intramusculaire ou en bolus intraveineux, la solution est à injecter immédiatement après son retrait de l'ampoule colorée. Il ne faut pas la mélanger avec de petits volumes (p.ex. dans la seringue) de dopamine, prométhazine, pentazocine, péthidine ou hydroxyzine, car cela donne lieu à des précipitations.
- +Pour l'administration en perfusion intraveineuse, la solution est à diluer de façon aseptique et à protéger de la lumière du jour (voir «Remarques concernant la manipulation»).
-– une hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition;
-– des réactions d’hypersensibilité, telles qu’asthme, bronchospasmes, rhinite aiguë, survenue de polypes nasaux, urticaire ou d’angio-oedèmes après absorption de substances présentant une action similaire (acide acétylsalicylique ou autres analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens);
-– des ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs, ou des antécédents d’ulcère ou de dyspepsie chronique;
-– des hémorragies gastro-intestinales ou autres saignements ainsi que des troubles de la coagulation;
-– des maladies inflammatoires de l’intestin (telle que maladie de Crohn, rectocolite hémorragique);
-– des antécédents d’asthme bronchique;
-– une défaillance cardiaque sévère;
-– une insuffisance cardiaque sévère (NYHA III–IV);
-– une insuffisance rénale moyenne à sévère (clairance de la créatinine <50 ml/min);
-– des troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite; Child-Pugh-Score 10–15);
-– une diathèse hémorragique et autres coagulopathies, ainsi que chez les patients anticoagulés;
-– un traitement de douleurs postopératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d`une machine coeur-poumons);
-– le troisième trimestre de la grossesse et pendant l’allaitement (cf. «Grossesse/Allaitement»).
-Etant donné que la solution injectable contient de l’éthanol, l’administration intrathécale ou épidurale est contre-indiquée.
- +·une hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition;
- +·des réactions d'hypersensibilité, telles qu'asthme, bronchospasmes, rhinite aiguë, survenue de polypes nasaux, urticaire ou d'angio-oedèmes après absorption de substances présentant une action similaire (acide acétique salicylique ou autres analgésiques /anti-inflammatoires non stéroïdiens);
- +·des ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs, ou des antécédents d'ulcère ou de dyspepsie chronique;
- +·des hémorragies gastro-intestinales ou autres saignements ainsi que des troubles de la coagulation;
- +·des maladies inflammatoires de l'intestin (telle que maladie de Crohn, rectocolite hémorragique);
- +·des antécédents d'asthme bronchique;
- +·une défaillance cardiaque sévère;
- +·une insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV);
- +·une insuffisance rénale moyenne à sévère (clairance de la créatine <50ml/min);
- +·des troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite; Child-Pugh-Score 10-15);
- +·une diathèse hémorragique et autres coagulopathies, ainsi que chez les patients anticoagulés;
- +·un traitement de douleurs postopératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine coeur-poumons);
- +·le troisième trimestre de la grossesse et pendant l'allaitement (cf. «Grossesse, allaitement»).
- +Etant donné que la solution injectable contient de l'éthanol, l'administration intrathécale ou épidurale est contre-indiquée.
-Mise en garde générale pour l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
-Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d’administrer la dose efficace la plus faible pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
-Des essais cliniques contrôlés contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications thrombotiques cardio-vasculaires et cérébrovasculaires. Mais on ignore pour l’heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS.
-Etant donné qu’aucune donnée issue d’études cliniques comparables n’est actuellement disponible pour le dexkétoprofène à la posologie maximale et dans le cadre d’un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusqu’à ce que de telles données soient disponibles, le dexkétoprofène ne doit être administré qu’après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d’artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d’importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d’administrer la dose efficace la plus faible pendant une durée de traitement aussi courte que possible. Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec oedèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d’autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le dexkétoprofène ne devrait donc être utilisé qu’avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et en cas de risque élevé d’hypovolémie.
-Jusqu’à présent, la sécurité d’emploi chez les enfants et adolescents n’a pas été étudiée de façon suffisante.
-Administrer avec prudence aux patients dont l’anamnèse évoque des allergies.
-Chez les patients atteints des allergies comme p.ex. d’asthme bronchique (voir «contre-indications») ou ayant été atteints d’asthme bronchique par le passé, un spasme bronchique ou une autre réaction allergique peut être déclenché par Ketesse.
-Il faudrait éviter l’administration concomitante de Ketesse avec d’autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2.
-Les effets indésirables peuvent être atténués en administrant la plus faible dose efficace durant le laps de temps le plus court nécessaire à la maîtrise des symptômes (voir rubrique «Posologie/Mode d’emploi» et risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires ci-après).
-Des saignements gastro-intestinaux, des ulcères ou des perforations, parfois d’issue fatale, ont été rapportés sous tous les AINS. Ils sont survenus à n’importe quel moment du traitement avec ou sans signes avant-coureurs ou événement gastro-intestinaux sévères dans l’anamnèse. Si des saignements ou ulcères se produisent chez des patients sous Ketesse, le traitement doit être arrêté.
-Avec de plus fortes doses d’AINS, le risque de saignements gastro-intestinaux, d’ulcères et de perforations est plus élevé chez les patients avec antécédent d’ulcères, notamment si des saignements ou une perforation s’étaient produits (voir rubrique «Contre-indications», ainsi que chez des patients âgés.
- +Mise en garde générale pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques:
- +Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
- +Des essais cliniques contrôlés contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications thrombotiques cardio-vasculaires et cérébrovasculaires. Mais on ignore pour l'heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS.
- +Etant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour le dexkétoprofène à la posologie maximale et dans le cadre d'un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, le dexkétoprofène ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible pendant une durée de traitement aussi courte que possible. Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec oedèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le dexkétoprofène ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
- +Jusqu'à présent, la sécurité d'emploi chez les enfants et adolescents n'a pas été étudiée de façon suffisante.
- +Administrer avec prudence aux patients dont l'anamnèse évoque des allergies.
- +Chez les patients atteints des allergies comme p.ex. d'asthme bronchique (voir «contre-indications») ou ayant été atteints d'asthme bronchique par le passé, un spasme bronchique ou une autre réaction allergique peut être déclenché par Ketesse.
- +Il faudrait éviter l'administration concomitante de Ketesse avec d'autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2.
- +Les effets indésirables peuvent être atténués en administrant la plus faible dose efficace durant le laps de temps le plus court nécessaire à la maîtrise des symptômes (voir rubrique «Posologie / Mode d'emploi» et risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires ci-après).
- +Des saignements gastro-intestinaux, des ulcères ou des perforations, parfois d'issue fatale, ont été rapportés sous tous les AINS. Ils sont survenus à n'importe quel moment du traitement avec ou sans signes avant-coureurs ou événement gastro-intestinaux sévères dans l'anamnèse. Si des saignements ou ulcères se produisent chez des patients sous Ketesse, le traitement doit être arrêté.
- +Avec de plus fortes doses d'AINS, le risque de saignements gastro-intestinaux, d'ulcères et de perforations est plus élevé chez les patients avec antécédent d'ulcères, notamment si des saignements ou une perforation s'étaient produits (voir rubrique «Contre-indications»), ainsi que chez des patients âgés.
-Les AINS sont à utiliser avec prudence chez les patients avec antécédent d’affections gastro-intestinales, car leur état pourrait s’aggraver (voir rubrique «Effets indésirables»).
-Les patients dont l’anamnèse fait état de symptômes ou d’affections du tractus gastro-intestinal devraient être surveillés quant aux troubles digestifs, notamment s’ils impliquent des saignements gastrointestinaux.
-Chez ces patients, un traitement associé avec des principes actifs protecteurs (p.ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) est à envisager. Cela concerne aussi les patients qui ont besoin en même temps d’un traitement par de l’acide acétylsalicylique faiblement dosé ou d’autres médicaments pouvant probablement augmenter les risques gastro-intestinaux (voir ci-dessous et la rubrique «Interactions»).
-Les patients avec des antécédents de problèmes gastro-intestinaux, notamment s’ils sont âgés, doivent rapporter tout symptôme abdominal inhabituel (principalement les saignements gastro-intestinaux), surtout en début de traitement.
-Par mesure de précaution, il convient de conseiller les patients qui prennent simultanément des médicaments susceptibles d’augmenter le risque d’ulcérations ou de saignements, tels que corticoïdes oraux, anticoagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de l’agrégation thrombocytaire comme l’acide acétylsalicylique (voir rubrique «Interactions»).
-Les AINS peuvent inhiber l’agrégation plaquettaire et prolonger le temps de coagulation par l’inhibition de la synthèse des prostaglandines. L’administration concomitante de dexkétoprofène-trométamol avec des doses prophylactiques d’héparine à bas poids moléculaire dans la phase postopératoire a été étudiée dans des études cliniques contrôlées; aucun effet n’a été constaté sur les paramètres de la coagulation. Les patients qui reçoivent cependant d’autres traitements hémostatiques (tels que warfarine ou autres coumarines ou héparine) seront étroitement surveillés durant l’administration de Ketesse.
-Une surveillance appropriée et des conseils sont nécessaires pour les patients avec anamnèse d’hypertension et/ou d’insuffisance cardiaque légèrement ou modérément décompensée, car des infiltrations d’eau et des oedèmes ont été signalés en rapport avec un traitement par AINS.
-Des essais cliniques et des données épidémiologiques donnent à penser que l’utilisation de certains AINS (notamment à haute dose et à long terme) est probablement en relation avec un risque légèrement augmenté d’événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus du myocarde ou AVC). Il n’existe pas de données suffisantes pour exclure ce risque par rapport au dexkétoprofène-trométamol.
-Les patients atteints d’hypertension mal contrôlée, d’insuffisance cardiaque, d’affection ischémique cardiaque manifeste, d’artériopathie oblitérante des membres inférieurs et/ou d’une affection vasculaire cérébrale ne doivent être traités par dexkétoprofène-trométamol qu’après évaluation soigneuse. Des évaluations de comparaison devraient aussi avoir lieu avant de commencer un traitement prolongé chez des patients présentant des facteurs de risque d’affections cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme).
-En relation avec l’utilisation d’AINS, il a été très rarement question de graves réactions cutanées (dont certaines d’issue fatale), y compris dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (voir rubrique «Effets indésirables»). Le plus grand risque de tels effets secondaires semble menacer les patients en début de traitement, ces réactions s’étant produites dans la plupart des cas au cours du premier mois de traitement. Ketesse doit être arrêté dès la première apparition d’une éruption cutanée, de lésions de muqueuses ou autres signes d’hypersensibilité.
-Comme tous les AINS, le dexkétoprofène peut augmenter le taux d’azote uréique et de la créatinine (taux de créatinine) dans le plasma. Comme les autres inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines, le médicament peut provoquer des effets secondaires au niveau du système rénal, tels qu’une glomérulonéphrite, une néphrite interstitielle, une nécrose papillaire, un syndrome néphrotique pouvant aller jusqu’à la défaillance rénale aiguë.
-Comme pour les autres AINS, la prise du médicament peut engendrer une légère élévation passagère des valeurs hépatiques et entraîner une augmentation significative des paramètres SGOT et SGPT. En cas d’augmentation importante de ces paramètres, le traitement doit être arrêté.
-La prudence est de rigueur chez les patients dont les fonctions hépatiques, rénales ou cardiaques sont diminuées ou dans d’autres circonstances favorisant la rétention d’eau. Les AINS peuvent induire chez ces patients une aggravation de la fonction rénale et une rétention d’eau. La prudence est aussi indiquée chez les patients qui prennent des diurétiques ou présentent une tendance à l’hypovolémie, car il existe chez eux un risque plus élevé de néphrotoxicité. Une prudence particulière est indispensable chez les patients dont l’anamnèse indique des affections cardiaques, notamment celles avec épisodes antérieurs d’insuffisance, car il existe chez eux un risque accru de nouvelle insuffisance cardiaque. Les patients âgés souffrent plus souvent d’une diminution des fonctions rénales, cardiovasculaires ou hépatiques, leurs fonctions hépatiques et rénales doivent donc être surveillées.
-Ketesse doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d’altérations de la formule sanguine, de lupus érythémateux systémique ou d’affections mixtes du tissu conjonctif.
-Comme les autres AINS, le dexkétoprofène peut masquer les symptômes d’une infection.
-Dans des cas isolés, une aggravation d’infections de parties molles a été décrite en relation chronologique avec l’utilisation d’AINS. Le patient doit donc être avisé de consulter immédiatement un médecin, si des symptômes d’une infection bactérienne récidivent ou se péjorent pendant le traitement.
-Tout comme d’autres AINS, la prise de dexkétoprofène-trométamol peut compromettre la fécondité féminine et n’est pas recommandée à celles qui souhaitent une grossesse. Chez les femmes ayant des difficultés à devenir enceintes ou qui se soumettent à des contrôles de cet ordre, il convient d’envisager d’arrêter le dexkétoprofène-trométamol. Sauf en cas de nécessité absolue, Ketesse ne doit pas être administré aux femmes enceintes entre le 1er et le 2e trimestre de grossesse.
-Chaque ampoule de Ketesse contient 200 mg d’éthanol, ce qui correspond à la teneur de 5 ml de bière ou 2 ml de vin.
-Cela est critique chez les patients souffrant d’alcoolisme.
-La teneur en alcool de Ketesse solution injectable est à considérer chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et les groupes à risque tels que les patients atteints d’affections hépatiques ou d’épilepsie.
- +Les AINS sont à utiliser avec prudence chez les patients avec antécédent d'affections gastro-intestinales, car leur état pourrait s'aggraver (voir rubrique «Effets indésirables»).
- +Les patients dont l'anamnèse fait état de symptômes ou d'affections du tractus gastro-intestinal devraient être surveillés quant aux troubles digestifs, notamment s'ils impliquent des saignements gastro-intestinaux.
- +Chez ces patients, un traitement associé avec des principes actifs protecteurs (p.ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) est à envisager. Cela concerne aussi les patients qui ont besoin en même temps d'un traitement par de l'acide acétylsalicylique faiblement dosé ou d'autres médicaments pouvant probablement augmenter les risques gastro-intestinaux (voir ci-dessous et la rubrique «Interactions»).
- +Les patients avec des antécédents de problèmes gastro-intestinaux, notamment s'ils sont âgés, doivent rapporter tout symptôme abdominal inhabituel (principalement les saignements gastro-intestinaux), surtout en début de traitement.
- +Par mesure de précaution, il convient de conseiller les patients qui prennent simultanément des médicaments susceptibles d'augmenter le risque d'ulcérations ou de saignements, tels que corticoïdes oraux, anticoagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de l'agrégation thrombocytaire comme l'acide acétylsalicylique (voir rubrique «Interactions»).
- +Les AINS peuvent inhiber l'agrégation plaquettaire et prolonger le temps de coagulation par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines. L'administration concomitante de dexkétoprofène-trométamol avec des doses prophylactiques d'héparine à bas poids moléculaire dans la phase postopératoire a été étudiée dans des études cliniques contrôlées; aucun effet n'a été constaté sur les paramètres de la coagulation. Les patients qui reçoivent cependant d'autres traitements hémostatiques (tels que warfarine ou autres coumarines ou héparine) seront étroitement surveillés durant l'administration de Ketesse.
- +Une surveillance appropriée et des conseils sont nécessaires pour les patients avec anamnèse d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque légèrement ou modérément décompensée, car des infiltrations d'eau et des oedèmes ont été signalés en rapport avec un traitement par AINS.
- +Des essais cliniques et des données épidémiologiques donnent à penser que l'utilisation de certains AINS (notamment à haute dose et à long terme) est probablement en relation avec un risque légèrement augmenté d'événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus du myocarde ou AVC). Il n'existe pas de données suffisantes pour exclure ce risque par rapport au dexkétoprofène-trométamol.
- +Les patients atteints d'hypertension mal contrôlée, d'insuffisance cardiaque, d'affection ischémique cardiaque manifeste, d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs et/ou d'une affection vasculaire cérébrale ne doivent être traités par dexkétoprofène-trométamol qu'après évaluation soigneuse. Des évaluations de comparaison devraient aussi avoir lieu avant de commencer un traitement prolongé chez des patients présentant des facteurs de risque d'affections cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme).
- +En relation avec l'utilisation d'AINS, il a été très rarement question de graves réactions cutanées (dont certaines d'issue fatale), y compris dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (voir rubrique «Effets indésirables»). Le plus grand risque de tels effets secondaires semble menacer les patients en début de traitement, ces réactions s'étant produites dans la plupart des cas au cours du premier mois de traitement. Ketesse doit être arrêté dès la première apparition d'une éruption cutanée, de lésions de muqueuses ou autres signes d'hypersensibilité.
- +Comme tous les AINS, le dexkétoprofène peut augmenter le taux d'azote uréique et le taux de créatinine dans le plasma. Comme les autres inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines, le médicament peut provoquer des effets secondaires au niveau du système rénal, tels qu'une glomérulonéphrite, une néphrite interstitielle, une nécrose papillaire, un syndrome néphrotique pouvant aller jusqu'à la défaillance rénale aiguë.
- +Comme pour les autres AINS, la prise du médicament peut engendrer une légère élévation passagère des valeurs hépatiques et entraîner une augmentation significative des paramètres SGOT et SGPT. En cas d'augmentation importante de ces paramètres, le traitement doit être arrêté.
- +La prudence est de rigueur chez les patients dont les fonctions hépatiques, rénales ou cardiaques sont diminuées ou dans d'autres circonstances favorisant la rétention d'eau. Les AINS peuvent induire chez ces patients une aggravation de la fonction rénale et une rétention d'eau. La prudence est aussi indiquée chez les patients qui prennent des diurétiques ou présentent une tendance à l'hypovolémie, car il existe chez eux un risque plus élevé de néphrotoxicité. Une prudence particulière est indispensable chez les patients dont l'anamnèse indique des affections cardiaques, notamment celles avec épisodes antérieurs d'insuffisance, car il existe chez eux un risque accru de nouvelle insuffisance cardiaque. Les patients âgés souffrent plus souvent d'une diminution des fonctions rénales, cardiovasculaires ou hépatiques, leurs fonctions hépatiques et rénales doivent donc être surveillées.
- +Ketesse doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'altérations de la formule sanguine, de lupus érythémateux systémique ou d'affections mixtes du tissu conjonctif.
- +Dissimulation des symptômes d'infections sous-jacentes
- +Le dexkétoprofène peut masquer les symptômes des infections, ce qui peut retarder l'instauration d'un traitement adéquat et ainsi entraîner l'aggravation de l'infection. De tels cas ont été observés lors de pneumonies bactériennes contractées en ambulatoire et lors de complications de varicelles d'origine bactérienne. Lorsque le dexkétoprofène est administré pour traiter la fièvre et les douleurs en lien avec une infection, il est recommandé de surveiller l'évolution de l'infection. Les patients traités en ambulatoire doivent consulter un médecin en cas de persistance ou d'aggravation de leurs symptômes.
- +Dans des cas isolés, une aggravation d'infections de parties molles a été décrite en relation chronologique avec l'utilisation d'AINS. Le patient doit donc être avisé de consulter immédiatement un médecin, si des symptômes d'une infection bactérienne récidivent ou se péjorent pendant le traitement.
- +Tout comme d'autres AINS, la prise de dexkétoprofène-trométamol peut compromettre la fécondité féminine et n'est pas recommandée à celles qui souhaitent une grossesse. Chez les femmes ayant des difficultés à devenir enceintes ou qui se soumettent à des contrôles de cet ordre, il convient d'envisager d'arrêter le dexkétoprofène-trométamol. Sauf en cas de nécessité absolue, Ketesse ne doit pas être administré aux femmes enceintes entre le 1er et le 2e trimestre de grossesse.
- +Chaque ampoule de Ketesse contient 200 mg d'éthanol, ce qui correspond à la teneur de 5 ml de bière ou 2ml de vin.
- +Cela est critique chez les patients souffrant d'alcoolisme.
- +La teneur en alcool de Ketesse solution injectable est à considérer chez les femmes enceintes et allaitantes, chez les enfants et les groupes à risque tels que les patients atteints d'affections hépatiques ou d'épilepsie.
-Les interactions suivantes sont généralement valables pour les analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
-Associations déconseillées
-Autres AINS et autres médicaments présentant des effets secondaires ulcérogènes, y compris les doses élevées de salicylates (≥3 g/jour): risque accru d’ulcères et d’hémorragies gastro-intestinaux par l’effet de synergie.
-Anticoagulants: les AINS peuvent accroître l’effet d’anticoagulants comme la warfarine à cause de la forte liaison du dexkétoprofène aux protéines plasmatiques, l’inhibition de la fonction plaquettaire et la lésion de la muqueuse gastro-intestinale. Par conséquent, l’administration concomitante est contre-indiquée.
-Héparine: risque accru de saignements (par inhibition de la fonction plaquettaire et lésion de la muqueuse gastro-intestinale). Si cette association s’avère absolument nécessaire, il convient d’effectuer une surveillance clinique étroite et des contrôles des valeurs de laboratoire.
-Corticoïdes: il existe un risque plus élevé d’ulcérations ou de saignements gastro-intestinaux.
-Lithium: en raison de la diminution de l’élimination rénale du lithium due aux AINS, le taux de lithium sanguin peut atteindre des valeurs toxiques. Cette interaction est potentiellement dangereuse. L’utilisation concomitante devrait être évitée. Si ceci n’est pas possible, le taux de lithium doit être étroitement surveillé pendant l’instauration, l’entretien et l’arrêt du traitement par Ketesse.
-Méthotrexate à doses élevées (≥15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de son élimination rénale.
- +Les interactions suivantes sont généralement applicables aux analgésiques/anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS).
- +Associations non recommandées:
- +Autres AINS et autres médicaments présentant des effets secondaires ulcérogènes, y compris les doses élevées de salicylates (> 3 g/jour): risque accru d'ulcères et d'hémorragies gastro-intestinaux par l'effet de synergie.
- +Anticoagulants: les AINS peuvent accroître l'effet d'anticoagulants comme la warfarine à cause de la forte liaison du dexkétoprofène aux protéines plasmatiques, l'inhibition de la fonction plaquettaire et la lésion de la muqueuse gastro-intestinale. Par conséquent, l'administration concomitante est contre-indiquée.
- +Héparine: risque accru de saignements (par inhibition de la fonction plaquettaire et lésion de la muqueuse gastro-intestinale). Si cette association s'avère absolument nécessaire, il convient d'effectuer une surveillance clinique étroite et des contrôles des valeurs de laboratoire.
- +Corticoïdes: il existe un risque plus élevé d'ulcérations ou de saignements gastro-intestinaux.
- +Lithium: en raison de la diminution de l'élimination rénale du lithium due aux AINS, le taux de lithium sanguin peut atteindre des valeurs toxiques. Cette interaction est potentiellement dangereuse. L'utilisation concomitante devrait être évitée. Si ceci n'est pas possible, le taux de lithium doit être étroitement surveillé pendant l'instauration, l'entretien et l'arrêt du traitement par Ketesse.
- +Méthotrexate à doses élevées (> 15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de son élimination rénale.
-Associations à utiliser avec prudence
-Diurétiques, aminoglycosides antibactériens et certains antihypertenseurs, par ex. bêtabloquants, inhibiteurs de l’ECA et antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II: le dexkétoprofène peut diminuer l’effet.
-Chez les patients atteints d’une diminution de la fonction rénale (par ex. patients déshydratés ou patients âgés atteints d’une diminution de la fonction rénale), l’administration concomitante d’inhibiteurs de la cyclo-oxygénase avec des inhibiteurs de l’ECA, des antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou des aminoglycosides à action antibactérienne peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale. Dans le cas d’une administration associée de dexkétoprofène avec un diurétique, il est important d’assurer que le patient soit suffisamment hydraté et que la fonction rénale soit surveillée (voir «Mises en garde et précautions»).
-Méthotrexate à faibles doses (≤15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de l’élimination rénale. Dans les premières semaines de l’administration associée, les paramètres sanguins seront contrôlés toutes les semaines. Une attention toute particulière sera accordée aux troubles de la fonction rénale, même faibles, ainsi qu’aux patients âgés.
-Pentoxyfilline: risque accru d’hémorragies. Par conséquent, le temps de coagulation sera contrôlé plus souvent.
-Sulfonylurées: certains AINS potentialisent l’effet hypoglycémique par le déplacement de la liaison aux protéines plasmatiques.
-Zidovudine: l’érythropoïèse altérée par la zidovudine peut être potentialisée par les AINS, avec la conséquence éventuelle d’une grave anémie une semaine après l’instauration du traitement par les AINS. La formule sanguine et le nombre des réticulocytes seront contrôlés une à deux semaines après le début de l’administration des AINS.
- +Associations à utiliser avec prudence:
- +Diurétiques, aminoglycosides antibactériens et certains antihypertenseurs, par ex. bêtabloquants, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II: le dexkétoprofène peut diminuer l'effet. Chez les patients atteints d'une diminution de la fonction rénale (par ex. patients déshydratés ou patients âgés atteints d'une diminution de la fonction rénale), l'administration concomitante d'inhibiteurs de la cyclooxygénase avec des inhibiteurs de l'ECA, des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou des aminoglycosides à action antibactérienne peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale. Dans le cas d'une administration associée de dexkétoprofène avec un diurétique, il est important d'assurer que le patient soit suffisamment hydraté et que la fonction rénale soit surveillée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Méthotrexate à faibles doses (< 15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de l'élimination rénale. Dans les premières semaines de l'administration associée, les paramètres sanguins seront contrôlés toutes les semaines. Une attention toute particulière sera accordée aux troubles de la fonction rénale, même faibles, ainsi qu'aux patients âgés.
- +Pentoxyfilline: risque accru d'hémorragies. Par conséquent, le temps de coagulation sera contrôlé plus souvent.
- +Sulfonylurées: certains AINS potentialisent l'effet hypoglycémique par le déplacement de la liaison aux protéines plasmatiques.
- +Zidovudine: l'érythropoïèse altérée par la zidovudine peut être potentialisée par les AINS, avec la conséquence éventuelle d'une grave anémie une semaine après l'instauration du traitement par les AINS. La formule sanguine et le nombre des réticulocytes seront contrôlés une à deux semaines après le début de l'administration des AINS.
-Bêtabloquants: le traitement par les AINS peut diminuer l’effet antihypertenseur par l’inhibition de la synthèse des prostaglandines.
-Ciclosporine et tacrolimus: l’effet des AINS sur la prostaglandine rénale peut augmenter la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée durant un traitement associé.
-Thrombolytiques: risque accru d’hémorragies.
-Inhibiteurs de l’agrégation thrombocytaire et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS): risque élevé d’hémorragies gastro-intestinales.
-Probénécide: les concentrations plasmatiques du dexkétoprofène peuvent augmenter lors de l’administration concomitante de probénécide, ce qui peut être imputé à l’inhibition de la sécrétion tubulaire rénale et à la glucuronidation. La dose de dexkétoprofène doit être adaptée.
- +Bêtabloquants: le traitement par les AINS peut diminuer l'effet antihypertenseur par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines.
- +Ciclosporine et tacrolimus: l'effet des AINS sur la prostaglandine rénale peut augmenter la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée durant un traitement associé.
- +Thrombolytiques: risque accru d'hémorragies.
- +Inhibiteurs de l'agrégation thrombocytaire et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS): risque élevé d'hémorragies gastro-intestinales.
- +Probénécide: les concentrations plasmatiques du dexkétoprofène peuvent augmenter lors de l'administration concomitante de probénécide, ce qui peut être imputé à l'inhibition de la sécrétion tubulaire rénale et à la glucuronidation. La dose de dexkétoprofène doit être adaptée.
-Mifépristone: étant donné le risque théorique que les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pourraient altérer l’efficacité de la mifépristone, les AINS ne seront pas utilisés dans les 8 à 12 jours qui suivent l’administration de mifépristone.
-Quinolones: les données d’expérimentation animale montrent que des doses élevées de quinolones en association à des AINS augmentent le risque de convulsions.
-Grossesse/Allaitement
-Ketesse solution injectable est contre-indiqué au 3e trimestre de la grossesse et pendant l’allaitement.
- +Mifépristone: étant donné le risque théorique que les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pourraient altérer l'efficacité de la mifépristone, les AINS ne seront pas utilisés dans les 8 à 12 jours qui suivent l'administration de mifépristone.
- +Quinolones: les données d'expérimentation animale montrent que des doses élevées de quinolones en association à des AINS augmentent le risque de convulsions.
- +Grossesse, allaitement
- +Ketesse solution injectable est contre-indiqué au 3e trimestre de la grossesse et pendant l'allaitement.
-L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et foetal. Selon des données d’études épidémiologiques, l’administration d’inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de laparoschisis. L’on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement. Chez les animaux, iI est prouvé que I’administration d’inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryofoetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de I’organogenèse. Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le dexkétoprofène ne devrait être administré qu’en cas de nécessité absolue. S’il l’est à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible. Le dexkétoprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent
-exposer le foetus aux risques suivants:
-– toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
-– atteintes rénales allant jusqu’à l’insuffisance rénale et I’oligoamnios.
-exposer la mère et I’enfant aux risques suivants:
-– allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
-– inhibition des contractions utérines, d’où retard ou allongement de I’accouchement.
- +L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et foetal. Selon des données d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de laparoschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement. Chez les animaux, iI est prouvé que I'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et postimplantatoires ainsi que de la létalité embryofoetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de I'organogenèse. Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le dexkétoprofène ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. S'il l'est à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible. Dexkétoprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse.
- +Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
- +·exposer le foetus aux risques suivants:
- +·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
- +·atteintes rénales allant jusqu'à l'insuffisance rénale et I'oligoamnios.
- +·exposer la mère et I'enfant aux risques suivants:
- +·allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
- +·inhibition des contractions utérines, d'où retard ou allongement de I'accouchement.
-Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le dexkétoprofène ne doit pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s’avère indispensable, iI convient alors de nourrir I’enfant au biberon.
-Fécondité
-L’utilisation de dexkétoprofène peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n’est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L’arrêt des traitements à base de dexkétoprofène devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
- +Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le dexketoprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
- +Fertilité
- +L'utilisation de dexkétoprofène peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt des traitements à base de dexkétoprofène devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
-Le médicament peut provoquer des vertiges et de la fatigue et, par conséquent, exercer une influence légère à modérée sur l’aptitude à conduire un véhicule et à utiliser des machines.
- +Le médicament peut provoquer des vertiges et de la fatigue et, par conséquent, exercer une influence légère à modérée sur l'aptitude à conduire un véhicule et à utiliser des machines.
-Tous les effets indésirables constatés dans les études cliniques ou après la mise sur le marché de Ketesse solution injectable qui ont au moins un lien éventuel avec le dexkétoprofène-trométamol sont repris dans le tableau suivant par systèmes d’organes.
-Affections hématologiques et lymphatiques
-Fréquents (≥1/100 à <1/10): Anémie.
-Très rares (<1/10’000): Neutropénie, thrombocytopénie.
-Affections du système immunitaire
-Très rares (<1/10’000): Réaction anaphylactique, choc anaphylactique inclus.
-Fréquence inconnue: Oedeme larynge.
-Affections métaboliques et d’origine alimentaire
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Hyperglycémie, hypoglycémie, hypertriglycidémie.
-Affections psychiatriques
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Insomnie.
-Affections du système nerveux
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Céphalées, obnubilation, vertiges, troubles du sommeil.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Paresthésies, syncope.
-Affections des yeux
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Vue trouble.
-Affections des oreilles
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Acouphènes.
-Affections cardiaques
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Extrasystoles, tachycardie.
-Affections vasculaires
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Hypotension, bouffées de chaleur, hématomes.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Hypertension, thrombophlébite superficielle.
-Affections des organes respiratoires
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Bradypnée.
-Très rares (<1/10’000): Bronchospasme, dyspnée.
-Affections gastro-intestinales
-Fréquents (≥1/100 à <1/10): Nausées (13%), vomissements.
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Diarrhée, dyspepsie, hématémèse, douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Ulcères peptiques, hémorragie ou perforation, anorexie.
-Très rares (<1/10’000): Lésions pancréatiques.
-Affections hépatobiliaires
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Ictère.
-Très rares (<1/10’000): Lésion hépatique.
-Fréquence inconnue: Hépatite.
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Dermatite, prurit, éruption cutanée, transpiration excessive.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Urticaire, acné.
-Très rares (<1/10’000): Réactions sévères de la peau et des muqueuses (syndrome de Steven Johnson, syndrome de Lyell), angio-oedèmes, réactions dermatologiques, photosensibilisation.
-Affections de la musculature squelettique, du tissu conjonctif et des os
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Raideur musculaire et articulaire, crampes musculaires, douleurs dorsales.
-Affections des reins et de l’appareil urinaire
-Fréquents (≥1/100 à <1/10): Rétention d’urine.
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Oligurie.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Polyurie, douleurs rénales, cétonurie, protéinurie.
-Très rares (<1/10’000): Lésion rénale (néphrite ou syndrome néphrotique).
-Fréquence inconnue: L’insuffisance rénale aiguë.
-Affections des organes de la reproduction et de la poitrine
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Troubles menstruels, troubles de la prostate.
-Affections générales
-Fréquents (≥1/100 à <1/10): Douleurs au site d’injection, fièvre, réactions au site d’injection, inflammations, brûlure ou hémorragie.
-Occasionnels (≥1/1000 à <1/100): Fatigue, douleurs, sensation de froid.
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Douleurs au niveau du dos, syncope, frissons, oedèmes périphériques.
-Paramètres de laboratoire
-Rares (≥1/10’000 à <1/1000): Valeurs anormales des fonctions hépatiques, acétonurie, protéinurie, augmentation de l’APPT.
-Tractus gastro-intestinal: les effets indésirables les plus fréquemment observés concernent le tractus gastro-intestinal. Des ulcères peptiques, des perforations ou des hémorragies gastro-intestinales peuvent se manifester, parfois avec issue fatale, notamment chez les personnes âgées. On a rapporté après usage: nausées, vomissements, diarrhée, ballonnements, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, melaena, hématémèse, stomatite ulcérative et aggravation d’une rectocolite hémorragique et d’une maladie de Crohn. On observe moins fréquemment une gastrite.
-Les effets indésirables suivants pourraient survenir: méningite aseptique, se manifestant principalement chez les patients atteints de lupus érythémateux systémique ou d’affections mixtes du tissu conjonctif, réactions hématologiques (purpura, anémie aplastique et hémolytique; dans de rares cas: agranulocytose et hypoplasie médullaire).
- +Tous les effets indésirables constatés dans les études cliniques ou après la mise sur le marché de Ketesse solution injectable qui ont au moins un lien éventuel avec le dexkétoprofène-trométamol sont repris dans le tableau suivant par systèmes d'organes.
- +SYSTEME D'ORGANES Fréquents (>1/100 à <1/10) Occasionnels (>1/1000 à <1/100) Rares (>1/10000 à <1/1000) Très rares (<1/10000) Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Anémie Neutropénie, thrombocytopénie
- +Affections du système immunitaire Réaction anaphylactique, choc anaphylactique inclus Oedeme larynge
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Hyperglycémie, Hypoglycémie, hypertriglycidémie
- +Affections psychiatriques Insomnie
- +Affections du système nerveux Céphalées, obnubilation, Vertiges, troubles du sommeil Paresthésies, syncope
- +Affections oculaires Vue trouble
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe Acouphènes
- +Affections cardiaques Extrasystoles, tachycardie
- +Affections vasculaires Hypotension, bouffées de chaleur, hématomes Hypertension, thrombophlébite superficielle
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Bradypnée Bronchospasme, dyspnée
- +Affections gastro-intestinales Nausées (13 %), vomissements Diarrhée, dyspepsie, hématémèse, douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale Ulcères peptiques, hémorragie ou perforation, anorexie Lésions pancréatiques
- +Affections hépatobiliaires Ictère Lésion hépatique Hépatite
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Dermatite, prurit, éruption cutanée, transpiration excessive Urticaire, acné Réactions sévères de la peau et des muqueuses (syndrome de Steven Johnson, syndrome de Lyell), angio-œdèmes, réactions dermatologiques, photosensibilisation
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Raideur musculaire et articulaire, crampes musculaires, douleurs dorsales
- +Affections du rein et des voies urinaires Rétention d'urine Oligurie Polyurie, douleurs rénales, cétonurie, protéinurie Lésion rénale (néphrite ou syndrome néphrotique) L'insuffisance rénale aiguë
- +Affections des organes de la reproduction et du sein Troubles menstruels, troubles de la prostate
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Douleurs au site d'injection, fièvre, Réactions au site d'injection, inflammations, brûlure ou hémorragie Fatigue, douleurs, sensation de froid Douleurs au niveau du dos, syncope, frissons, œdèmes périphériques
- +Investigations Valeurs anormales des fonctions hépatiques, acétonurie, protéinurie, augmentation de l'APPT
- +
- +Tractus gastro-intestinal: les effets indésirables les plus fréquemment observés concernent le tractus gastro-intestinal. Des ulcères peptiques, des perforations ou des hémorragies gastro-intestinales peuvent se manifester, parfois avec issue fatale, notamment chez les personnes âgées. On a rapporté après usage: nausées, vomissements, diarrhée, ballonnements, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, melæna, hématémèse, stomatite ulcérative et aggravation d'une rectocolite hémorragique et d'une maladie de Crohn. On observe moins fréquemment une gastrite.
- +Les effets indésirables suivants pourraient survenir: méningite aseptique, se manifestant principalement chez les patients atteints de lupus érythémateux systémique ou d'affections mixtes du tissu conjonctif, réactions hématologiques (purpura, anémie aplastique et hémolytique; dans de rares cas: agranulocytose et hypoplasie médullaire).
-Des essais cliniques et des données épidémiologiques donnent à penser que l’utilisation de certains AINS (notamment à haute dose et à long terme) est probablement en relation avec un risque légèrement augmenté d’événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus du myocarde ou AVC).
- +Des essais cliniques et des données épidémiologiques donnent à penser que l'utilisation de certains AINS (notamment à haute dose et à long terme) est probablement en relation avec un risque légèrement augmenté d'événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus du myocarde ou AVC).
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Les symptômes d’un surdosage ne sont pas connus. Des troubles gastro-intestinaux (vomissements, perte d’appétit, douleurs abdominales) et neurologiques (somnolence, vertiges rotatoires, désorientation, céphalées) se sont produits sous des médicaments similaires.
-En cas de surdosage, un traitement symptomatique adapté à l’état clinique du patient est à instaurer. Le dexkétoprofène-trométamol est dialysable.
- +Les symptômes d'un surdosage ne sont pas connus. Des troubles gastro-intestinaux (vomissements, perte d'appétit, douleurs abdominales) et neurologiques (somnolence, vertiges rotatoires, désorientation, céphalées) se sont produits sous des médicaments similaires.
- +En cas de surdosage, un traitement symptomatique adapté à l'état clinique du patient est à instaurer. Le dexkétoprofène-trométamol est dialysable.
-Code ATC: M01AE17
-Le dexkétoprofène-trométamol est le sel de trométhamine de l’acide S-(+) (benzoyl-3 phényl)-2 propionique, un médicament à action analgésique, antiphlogistique et antipyrétique, appartenant au groupe des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens. Le mécanisme d’action des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens est attribué à la diminution de la synthèse des prostaglandines par l’inhibition de la cyclo-oxygénase (COX). Il s’agit en particulier d’une inhibition de la transformation de l’acide arachidonique en des endoperoxydes cycliques, PGG2 et PGH2, à partir desquels se forment les prostaglandines PGE1, PGE2, PGF2α et PGD2, ainsi que la prostacycline PGI2 et les thromboxanes (TxA2 et TxB2). L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut par ailleurs exercer une influence sur d’autres médiateurs de l’inflammation, p.ex. le kinines, et agir par cette vie indirecte en complément à l’effet principal. Dans les expériences réalisées sur des animaux expérimentaux et dans les études humaines, le dexkétoprofène a agi comme inhibiteur de l’activité de la COX-1 et COX-2.
-En général, les AINS sont des mélanges racémiques de leurs deux énantiomères. Cependant, l’effet pharmacologique repose principalement sur la forme S-(+). Cependant, la forme R-(–) est également soumise à des processus métaboliques tels que la bio-inversion et l’accumulation de lipides et est en outre liée dans la même mesure aux protéines plasmatiques.
-Lors d’essais cliniques comprenant divers modèles de douleurs après interventions orthopédiques et gynécologiques/abdominales, ainsi que des douleurs aiguës de la musculature squelettique, l’effet analgésique s’est manifesté promptement et a atteint son pic en 45 minutes. La durée de l’effet analgésique après l’administration de 50 mg de dexkétoprofène est de 8 heures en général.
-Dans le traitement des douleurs postopératoires, l’utilisation de Ketesse solution injectable réduit les besoins en opioïdes de façon significative.
- +Code ATC
- +M01AE17
- +Mécanisme d'action
- +Le dexkétoprofène-trométamol est le sel de trométhamine de l'acide S-(+) (benzoyl-3 phényl)-2propionique, un médicament à action analgésique, antiphlogistique et antipyrétique, appartenant au groupe des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens. Le mécanisme d'action des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens est attribué à la diminution de la synthèse des prostaglandines par l'inhibition de la cyclo-oxygénase (COX). Il s'agit en particulier d'une inhibition de la transformation de l'acide arachidonique en des endoperoxydes cycliques, PGG2 et PGH2, à partir desquels se forment les prostaglandines PGE1, PGE2, PGF2α et PGD2, ainsi que la prostacycline PGI2 et les thromboxanes (TxA2 et TxB2). L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut par ailleurs exercer une influence sur d'autres médiateurs de l'inflammation, p.ex. le kinines, et agir par cette vie indirecte en complément à l'effet principal. Dans les expériences réalisées sur des animaux expérimentaux et dans les études humaines, le dexkétoprofène a agi comme inhibiteur de l'activité de la COX-1 et COX-2.
- +Pharmacodynamique
- +En général, les AINS sont des mélanges racémiques de leurs deux énantiomères. Cependant, l'effet pharmacologique repose principalement sur la forme S-(+). Cependant, la forme R-(-) est également soumise à des processus métaboliques tels que la bio-inversion et l'accumulation de lipides et est en outre liée dans la même mesure aux protéines plasmatiques.
- +Efficacité clinique
- +Lors d'essais cliniques comprenant divers modèles de douleurs après interventions orthopédiques et gynécologiques/abdominales, ainsi que des douleurs aiguës de la musculature squelettique, l'effet analgésique s'est manifesté promptement et a atteint son pic en 45 minutes. La durée de l'effet analgésique après l'administration de 50 mg de dexkétoprofène est de 8 heures en général.
- +Dans le traitement des douleurs postopératoires, l'utilisation de Ketesse solution injectable réduit les besoins en opioïdes de façon significative.
-Après administration intramusculaire, des taux plasmatiques maximaux sont atteints au bout de 20 minutes (10 à 45 minutes). Pour les doses uniques de 25 et 50 mg, les aires sous la courbe de concentration (ASC) sont dose-dépendantes, aussi bien après l’administration intramusculaire qu’après l’administration intraveineuse.
-Lors de l’administration répétée, la Cmax et l’ASC restent inchangées; le dexkétoprofène ne s’accumule pas dans le corps.
-L’aire sous la courbe (ASC) obtenue après administration intramusculaire et administration intraveineuse de la même dose est comparable à celle obtenue après administration orale.
- +Après administration intramusculaire, des taux plasmatiques maximaux sont atteints au bout de 20 minutes (10 à 45 minutes). Pour les doses uniques de 25 et 50 mg, les aires sous la courbe de concentration (ASC) sont dose-dépendantes, aussi bien après l'administration intramusculaire qu'après l'administration intraveineuse.
- +Lors de l'administration répétée, la Cmax et l'ASC restent inchangées; le dexkétoprofène ne s'accumule pas dans le corps.
- +L'aire sous la courbe (ASC) obtenue après administration intramusculaire et administration intraveineuse de la même dose est comparable à celle obtenue après administration orale.
-Le dexkétoprofène-trométamol possède un haut taux de liaison aux protéines plasmatiques (99%). Le volume de distribution se situe en moyenne en dessous de 0,25 l/kg. La demi-vie de distribution est de 0,35 heure.
- +Le dexkétoprofène-trométamol possède un haut taux de liaison aux protéines plasmatiques (99 %). Le volume de distribution se situe en moyenne en dessous de 0,25 l/kg. La demi-vie de distribution est de 0,35 heure.
-Après administration de dexkétoprofène-trométamol, seul l’énantiomère S-(+) est retrouvé dans l’urine, ce qui montre qu’il n’est pas transformé en énantiomère R-(–) chez l’homme. Le dexkétoprofène-trométamol est presque exclusivement transformé par un métabolisme de phase II en acylglucuronides réversibles.
-Elimination
-La demi-vie d’élimination du dexkétroprofène-trométamol est de 1,65 (1 à 2,7) heures. La substance est éliminée à 80% par les reins sous forme de conjugués glucuroniques.
-Cinétique des groupes de patients spéciaux
-Chez des sujets sains d’un certain âge (>65 ans), la charge de substance après administration orale unique et répétée étaient significativement plus élevée (jusqu’à 55%) que chez les sujets jeunes. On a observé une augmentation significative de l’ASC et de T½, mais non de Tmax et Cmax. La demi-vie d’élimination moyenne était augmentée (jusqu’à 48%) après doses unique et répétée, alors que la clairance corporelle apparente globale était diminuée. (Cf. «Instructions posologiques spéciales» et «Limitations d’emploi»).
- +Après administration de dexkétoprofène-trométamol, seul l'énantiomère S-(+) est retrouvé dans l'urine, ce qui montre qu'il n'est pas transformé en énantiomère R-(-) chez l'homme. Le dexkétoprofène-trométamol est presque exclusivement transformé par un métabolisme de phase II en acylglucuronides réversibles.
- +Élimination
- +La demi-vie d'élimination du dexkétroprofène-trométamol est de 1,65 (1 à 2,7) heures. La substance est éliminée à 80 % par les reins sous forme de conjugués glucuroniques.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Chez des sujets sains d'un certain âge (>65 ans), la charge de substance après administration orale unique et répétée étaient significativement plus élevée (jusqu'à 55%) que chez les sujets jeunes. On a observé une augmentation significative de l'ASC et de T½, mais non de Tmax et Cmax. La demi-vie d'élimination moyenne était augmentée (jusqu'à 48%) après doses unique et répétée, alors que la clairance corporelle apparente globale était diminuée. (Cf. «Instructions posologiques spéciales» et «Limitations d'emploi»).
-Les données précliniques résultant des études conventionnelles portant sur la pharmacovigilance, la toxicité lors de l’administration multiple, la génotoxicité et la toxicité immunopharmacologique ne montrent pas de risque spécial pour l’homme, à l’exception des risques mentionnés dans les autres chapitres. Les études de toxicité chronique menées sur des souris et sur des singes ont mis en évidence un NOAEL («no observed adverse effect level») de 3 mg/kg/jour. Les effets secondaires les plus fréquemment observés étaient des érosions et des ulcères gastro-intestinaux dose-dépendants.
-Les effets toxicologiques sur la reproduction sont repris au chapitre «Grossesse/Allaitement».
- +Les données précliniques résultant des études conventionnelles portant sur la pharmacovigilance, la toxicité lors de l'administration multiple, la génotoxicité et la toxicité immunopharmacologique ne montrent pas de risque spécial pour l'homme, à l'exception des risques mentionnés dans les autres chapitres. Les études de toxicité chronique menées sur des souris et sur des singes ont mis en évidence un NOAEL («no observed adverse effect level») de 3 mg/kg/jour. Les effets secondaires les plus fréquemment observés étaient des érosions et des ulcères gastro-intestinaux dose-dépendants.
- +Les effets toxicologiques sur la reproduction sont repris au chapitre «Grossesse/allaitement».
-Il s’agit d’une solution limpide incolore avec un pH de 6,5–8,5 et une osmolalité située entre 270 et 328 mOsmol/l.
-Incompatibilités/compatibilités
-La solution injectable (50 mg/2 ml) ne doit pas être mélangée avec des petits volumes (par exemple dans une seringue) de dopamine, de prométhazine, de pentazocine, de péthidine ou d’hydroxyzine, étant donné que ceci entraîne des précipitations. La solution diluée pour perfusion (0,5 à 1,7 mg/ml) ne doit être mélangée ni avec de la prométhazine ni avec de la pentazocine.
-La préparation ne doit être mélangée qu’avec les solutions suivantes
-La solution injectable (50 mg/2 ml) peut être mélangée à de petits volumes (p.ex. dans la seringue) de solutions injectables d’héparine, de lidocaïne, de morphine et de théophylline; la solution diluée pour perfusion (0,5–1,7 mg/ml) s’est avérée compatible avec les médicaments suivants; dopamine, héparine, hydroxyzine, lidocaïne, morphine, péthidine, théophylline.
-La solution injectable (0,5 à 1,7 mg/ml) est compatible avec les récipients en acétate d’éthylvinyle (EVA), en propionate de cellulose (CP), en polyéthylène basse densité (LDPE) et en chlorure de polyvinyle (PVC).
- +Il s'agit d'une solution limpide incolore avec un pH de 6,5 - 8,5 et une osmolalité située entre 270 et 328 mOsmol/l.
- +Incompatibilités
- +La solution injectable (50 mg/2 ml) ne doit pas être mélangée avec des petits volumes (par exemple dans une seringue) de dopamine, de prométhazine, de pentazocine, de péthidine ou d'hydroxyzine, étant donné que ceci entraîne des précipitations. La solution diluée pour perfusion (0,5 à 1,7mg/ml) ne doit être mélangée ni avec de la prométhazine ni avec de la pentazocine.
- +La préparation ne doit être mélangée qu'avec les solutions suivantes:
- +La solution injectable (50 mg/2 ml) peut être mélangée à de petits volumes (p.ex. dans la seringue) de solutions injectables d'héparine, de lidocaïne, de morphine et de théophylline; la solution diluée pour perfusion (0,5-1,7 mg/ml) s'est avérée compatible avec les médicaments suivants; dopamine, héparine, hydroxyzine, lidocaïne, morphine, péthidine, théophylline.
- +La solution injectable (0,5 à 1,7 mg/ml) est compatible avec les récipients en acétate d'éthylvinyle (EVA), en propionate de cellulose (CP), en polyéthylène basse densité (LDPE) et en chlorure de polyvinyle (PVC).
-La préparation ne doit pas être utilisée au-delà de la date mentionnée sur l’emballage après la mention «EXP» (= date de péremption).
-Lorsqu’elles sont conservées à température ambiante et – à l’abri de la lumière –, les solutions suivantes sont chimiquement stables:
-Solution pour perfusion Stabilité
-NaCl 0,9% 24 heures
-Ringer-lactate 24 heures
-Glucose 5% 24 heures
- +La préparation ne doit pas être utilisée au-delà de la date mentionnée sur l'emballage par l'abréviation «EXP» (date de péremption).
- +Lorsqu'elles sont conservées à température ambiante et à l'abri de la lumière -, les solutions suivantes sont chimiquement stables:
- +Solution pour perfusion Stabilité
- +NaCl 0,9 % 24 heures
- +Ringer-lactate: 24 heures
- +Glucose 5 %: 24 heures
-Remarques concernant le stockage
-La solution injectable doit se conserver dans la boîte pliante à température ambiante (15–30 °C).
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +La solution injectable doit se conserver dans la boîte pliante à température ambiante (15 - 30 °C).
-Ketesse solution injectable est prévu pour un usage unique; un reste éventuel de solution dans l’ampoule ne doit plus être utilisé et doit être éliminé.
-Lorsque Ketesse solution injectable est administré par voie intramusculaire ou en bolus intraveineux, la solution est à injecter immédiatement après son retrait de l’ampoule colorée. Pour son usage en perfusion intraveineuse, la solution est à diluer de façon aseptique et à protéger de la lumière du jour. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l’emploi est à utiliser immédiatement après la dilution.
- +Ketesse solution injectable est prévu pour un usage unique; un reste éventuel de solution dans l'ampoule ne doit plus être utilisé et doit être éliminé.
- +Lorsque Ketesse solution injectable est administré par voie intramusculaire ou en bolus intraveineux, la solution est à injecter immédiatement après son retrait de l'ampoule colorée. Pour son usage en perfusion intraveineuse, la solution est à diluer de façon aseptique et à protéger de la lumière du jour. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l'emploi est à utiliser immédiatement après la dilution.
-Ketesse 50 sol inj amp 5 × 2 ml. (B)
-Ketesse 50 sol inj amp 20 × 2 ml. (B)
-Ketesse 50 sol inj amp 100 × 2 ml (actuellement non disponible sur le marché). (B)
- +Ketesse 50: Emballages de 5 et 20 ampoules (l'emballage de 100 ampoules n'est actuellement pas sur le marché) (B).
-Juillet 2011.
- +Septembre 2020
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