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Accueil - Information professionnelle sur Ketesse - Changements - 24.02.2025
36 Changements de l'information professionelle Ketesse
  • -Chez les patients atteints de dysfonctions hépatiques légères à modérées (Child-Pugh-Score 5 - 9), le traitement doit être instauré par une dose réduite (50 mg par jour) et étroitement surveillé. Ketesse solution pour injection/ perfusion ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles graves de la fonction hépatique (Child-Pugh-Score 10 -15).
  • +Chez les patients atteints de dysfonctions hépatiques légères à modérées (score A et B de Child-Pugh), le traitement doit être instauré par une dose réduite (50 mg par jour) et étroitement surveillé. Ketesse solution pour injection/ perfusion ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles graves de la fonction hépatique (score C de Child-Pugh).
  • -Chez les patients atteints d'une légère diminution de la fonction rénale (clairance de la créatinine de 50 à 80 ml/min.), la dose initiale doit être réduite à 50 mg par jour. Ketesse solution pour injection/ perfusion ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine de < 50 ml/min) (voir «Contre-indications»).
  • +Chez les patients atteints d'une légère diminution de la fonction rénale (clairance de la créatinine de 60 à 89 ml/min.), la dose initiale doit être réduite à 50 mg par jour. Ketesse solution pour injection/ perfusion ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine de < 59 ml/min) (voir «Contre-indications»).
  • -·une hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition;
  • +·une hypersensibilité au principe actif, à d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou à l'un des excipients selon la composition;
  • -·des ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs, ou des antécédents d'ulcère ou de dyspepsie chronique;
  • -·des hémorragies gastro-intestinales ou autres saignements ainsi que des troubles de la coagulation;
  • +·des ulcères gastriques et/ou peptiques/ duodénaux actifs, des hémorragies gastro-intestinales ainsi que des troubles de la coagulation, ou des antécédents de saignements ou perforations en rapport avec un traitement antérieur par AINS;
  • +·une dyspepsie chronique;
  • -·une insuffisance rénale moyenne à sévère (clairance de la créatine <50ml/min);
  • -·des troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite; Child-Pugh-Score 10-15);
  • +·une insuffisance rénale moyenne à sévère (clairance de la créatinine < 59 ml/min);
  • +·des troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite; score C de Child-Pugh);
  • -·un traitement de douleurs postopératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine coeur-poumons);
  • -·le troisième trimestre de la grossesse et pendant l'allaitement (cf. «Grossesse, allaitement»).
  • +·un traitement de douleurs postopératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine cœur-poumons);
  • +·le troisième trimestre de la grossesse et pendant l'allaitement (voir rubrique «Grossesse, allaitement»);
  • +·des réactions photoallergiques ou phototoxiques connues pendant le traitement par kétoprofène ou fibrates;
  • +·une déshydratation sévère (provoquée par des vomissements, de la diarrhée ou un apport insuffisant en liquides).
  • +Sécurité gastro-intestinale
  • +Comme avec tous les AINS, tout antécédent d'œsophagite, de gastrite et/ou d'ulcère peptique doit être étudié afin de s'assurer qu'une guérison complète a eu lieu avant d'instaurer un traitement par dexkétoprofène. Les patients ayant des antécédents de symptômes gastro-intestinaux ou d'affections gastro-intestinales doivent faire l'objet d'une surveillance pour déceler la survenue de troubles dans le tractus gastro-intestinal, notamment de saignements gastro-intestinaux.
  • -Sécurité cardiovasculaire et cérébrocasculaire
  • -Les AINS peuvent inhiber l'agrégation plaquettaire et prolonger le temps de coagulation par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines. L'administration concomitante de dexkétoprofène-trométamol avec des doses prophylactiques d'héparine à bas poids moléculaire dans la phase postopératoire a été étudiée dans des études cliniques contrôlées; aucun effet n'a été constaté sur les paramètres de la coagulation. Les patients qui reçoivent cependant d'autres traitements hémostatiques (tels que warfarine ou autres coumarines ou héparine) seront étroitement surveillés durant l'administration de Ketesse.
  • +Sécurité cardiovasculaire et cérébrovasculaire
  • +Une prudence particulière est indispensable chez les patients dont l'anamnèse indique des affections cardiaques, notamment celles avec épisodes antérieurs d'insuffisance, car il existe chez eux un risque accru de nouvelle insuffisance cardiaque.
  • +Les AINS non sélectifs peuvent inhiber l'agrégation plaquettaire et prolonger le temps de coagulation par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines. L'administration concomitante de dexkétoprofène-trométamol avec des doses prophylactiques d'héparine à bas poids moléculaire dans la phase postopératoire a été étudiée dans des études cliniques contrôlées; aucun effet n'a été constaté sur les paramètres de la coagulation. Les patients qui reçoivent cependant d'autres traitements hémostatiques (tels que warfarine ou autres coumarines ou héparine) seront étroitement surveillés durant l'administration de Ketesse (voir rubrique «Interactions»).
  • +Sécurité rénale
  • +La prudence est de rigueur chez les patients dont les fonctions hépatiques, rénales ou cardiaques sont diminuées ou dans d'autres circonstances favorisant la rétention d'eau. Les AINS peuvent induire chez ces patients une aggravation de la fonction rénale et une rétention d'eau. La prudence est aussi indiquée chez les patients qui prennent des diurétiques ou présentent une tendance à l'hypovolémie, car il existe chez eux un risque plus élevé de néphrotoxicité.
  • +Il convient de veiller à un apport suffisant en liquide pendant le traitement pour prévenir une déshydratation et une néphrotoxicité accrue qui pourrait en résulter.
  • +Sécurité hépatique
  • +La prudence est de rigueur chez les patients présentant une altération de la fonction hépatique.
  • -La prudence est de rigueur chez les patients dont les fonctions hépatiques, rénales ou cardiaques sont diminuées ou dans d'autres circonstances favorisant la rétention d'eau. Les AINS peuvent induire chez ces patients une aggravation de la fonction rénale et une rétention d'eau. La prudence est aussi indiquée chez les patients qui prennent des diurétiques ou présentent une tendance à l'hypovolémie, car il existe chez eux un risque plus élevé de néphrotoxicité. Une prudence particulière est indispensable chez les patients dont l'anamnèse indique des affections cardiaques, notamment celles avec épisodes antérieurs d'insuffisance, car il existe chez eux un risque accru de nouvelle insuffisance cardiaque. Les patients âgés souffrent plus souvent d'une diminution des fonctions rénales, cardiovasculaires ou hépatiques, leurs fonctions hépatiques et rénales doivent donc être surveillées.
  • -Ketesse doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'altérations de la formule sanguine, de lupus érythémateux systémique ou d'affections mixtes du tissu conjonctif.
  • +Patients âgés
  • +Les effets indésirables liés aux AINS surviennent plus souvent chez les personnes âgées, en particulier des saignements gastro-intestinaux et des perforations qui peuvent avoir une issue fatale (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Ces patients doivent débuter le traitement avec la dose disponible la plus faible (dose totale journalière de 50 mg).
  • +Les patients âgés souffrent plus souvent d'une diminution des fonctions rénales, cardiovasculaires ou hépatiques, leurs fonctions hépatiques et rénales doivent donc être surveillées.
  • +Autres remarques
  • +Chez les patients souffrant d'asthme associé à une rhinite chronique, une sinusite chronique et/ou des polypes nasaux, le risque d'allergie à l'acide acétylsalicylique et/ou aux AINS est plus élevé que dans le reste de la population. L'utilisation de ce médicament peut provoquer des crises d'asthme ou des bronchospasmes, notamment chez les personnes qui sont allergiques à l'acide acétylsalicylique et/ou aux AINS (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Dans des cas exceptionnels, une infection par le virus de la varicelle peut provoquer des complications sévères de la peau et des tissus mous liées à l'infection. Une implication des AINS dans l'aggravation de ces infections ne peut à ce jour pas être exclue. L'utilisation de dexkétoprofène n'est donc pas recommandée en cas d'infection par le virus de la varicelle.
  • +Ketesse doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'altérations de la formule sanguine, de lupus érythémateux systémique ou d'affections mixtes du tissu conjonctif.
  • +Alcool
  • +Sodium
  • +
  • -Autres AINS et autres médicaments présentant des effets secondaires ulcérogènes, y compris les doses élevées de salicylates (> 3 g/jour): risque accru d'ulcères et d'hémorragies gastro-intestinaux par l'effet de synergie.
  • -Anticoagulants:
  • -Les AINS peuvent accroître l'effet d'anticoagulants comme la warfarine à cause de la forte liaison du dexkétoprofène aux protéines plasmatiques, l'inhibition de la fonction plaquettaire et la lésion de la muqueuse gastro-intestinale. Par conséquent, l'administration concomitante est contre-indiquée.
  • -Héparine:
  • -Risque accru de saignements (par inhibition de la fonction plaquettaire et lésion de la muqueuse gastro-intestinale). Si cette association s'avère absolument nécessaire, il convient d'effectuer une surveillance clinique étroite et des contrôles des valeurs de laboratoire.
  • -Corticoïdes:
  • -Il existe un risque plus élevé d'ulcérations ou de saignements gastro-intestinaux.
  • -Lithium:
  • -En raison de la diminution de l'élimination rénale du lithium due aux AINS, le taux de lithium sanguin peut atteindre des valeurs toxiques. Cette interaction est potentiellement dangereuse. L'utilisation concomitante devrait être évitée. Si ceci n'est pas possible, le taux de lithium doit être étroitement surveillé pendant l'instauration, l'entretien et l'arrêt du traitement par Ketesse.
  • -Méthotrexate à doses élevées (> 15 mg/semaine):
  • -Toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de son élimination rénale.
  • -Hydantoïnes, sulfamides:
  • -Les effets toxiques de ces substances peuvent être accrus.
  • +·Autres AINS et autres médicaments présentant des effets secondaires ulcérogènes, y compris les doses élevées de salicylates (> 3 g/jour): risque accru d'ulcères et d'hémorragies gastro-intestinaux par l'effet de synergie.
  • +·Anticoagulants: les AINS peuvent accroître l'effet d'anticoagulants comme la warfarine à cause de la forte liaison du dexkétoprofène aux protéines plasmatiques, l'inhibition de la fonction plaquettaire et la lésion de la muqueuse gastro-intestinale. Par conséquent, l'administration concomitante est contre-indiquée.
  • +·Héparine: risque accru de saignements (par inhibition de la fonction plaquettaire et lésion de la muqueuse gastro-intestinale). Si cette association s'avère absolument nécessaire, il convient d'effectuer une surveillance clinique étroite et des contrôles des valeurs de laboratoire.
  • +·Corticoïdes: il existe un risque plus élevé d'ulcérations ou de saignements gastro-intestinaux.
  • +·Lithium: en raison de la diminution de l'élimination rénale du lithium due aux AINS, le taux de lithium sanguin peut atteindre des valeurs toxiques. Cette interaction est potentiellement dangereuse. L'utilisation concomitante devrait être évitée. Si ceci n'est pas possible, le taux de lithium doit être étroitement surveillé pendant l'instauration, l'entretien et l'arrêt du traitement par Ketesse.
  • +·Méthotrexate à doses élevées (> 15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de son élimination rénale.
  • +·Hydantoïnes, sulfamides: les effets toxiques de ces substances peuvent être accrus.
  • -Diurétiques, aminoglycosides antibactériens et certains antihypertenseurs, par ex. bêtabloquants, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II:
  • -Le dexkétoprofène peut diminuer l'effet. Chez les patients atteints d'une diminution de la fonction rénale (par ex. patients déshydratés ou patients âgés atteints d'une diminution de la fonction rénale), l'administration concomitante d'inhibiteurs de la cyclooxygénase avec des inhibiteurs de l'ECA, des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou des aminoglycosides à action antibactérienne peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale. Dans le cas d'une administration associée de dexkétoprofène avec un diurétique, il est important d'assurer que le patient soit suffisamment hydraté et que la fonction rénale soit surveillée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Méthotrexate à faibles doses (< 15 mg/semaine):
  • -Toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de l'élimination rénale. Dans les premières semaines de l'administration associée, les paramètres sanguins seront contrôlés toutes les semaines. Une attention toute particulière sera accordée aux troubles de la fonction rénale, même faibles, ainsi qu'aux patients âgés.
  • -Pentoxyfilline:
  • -Risque accru d'hémorragies. Par conséquent, le temps de coagulation sera contrôlé plus souvent.
  • -Sulfonylurées:
  • -Certains AINS potentialisent l'effet hypoglycémique par le déplacement de la liaison aux protéines plasmatiques.
  • -Zidovudine:
  • -L'érythropoïèse altérée par la zidovudine peut être potentialisée par les AINS, avec la conséquence éventuelle d'une grave anémie une semaine après l'instauration du traitement par les AINS. La formule sanguine et le nombre des réticulocytes seront contrôlés une à deux semaines après le début de l'administration des AINS.
  • -Attention
  • -Bêtabloquants:
  • -Le traitement par les AINS peut diminuer l'effet antihypertenseur par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines.
  • -Ciclosporine et tacrolimus:
  • -L'effet des AINS sur la prostaglandine rénale peut augmenter la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée durant un traitement associé.
  • -Thrombolytiques:
  • -Risque accru d'hémorragies.
  • -Inhibiteurs de l'agrégation thrombocytaire et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS):
  • -Risque élevé d'hémorragies gastro-intestinales.
  • -Probénécide:
  • -Les concentrations plasmatiques du dexkétoprofène peuvent augmenter lors de l'administration concomitante de probénécide, ce qui peut être imputé à l'inhibition de la sécrétion tubulaire rénale et à la glucuronidation. La dose de dexkétoprofène doit être adaptée.
  • -Glycosides cardiaques:
  • -Les AINS peuvent augmenter la concentration plasmatique de glycosides.
  • -Mifépristone:
  • -Étant donné le risque théorique que les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pourraient altérer l'efficacité de la mifépristone, les AINS ne seront pas utilisés dans les 8 à 12 jours qui suivent l'administration de mifépristone.
  • -Quinolones:
  • -Les données d'expérimentation animale montrent que des doses élevées de quinolones en association à des AINS augmentent le risque de convulsions.
  • +·Diurétiques, aminoglycosides antibactériens et certains antihypertenseurs, par ex. bêtabloquants, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II: le dexkétoprofène peut diminuer l'effet.
  • +·Chez les patients atteints d'une diminution de la fonction rénale (par ex. patients déshydratés ou patients âgés atteints d'une diminution de la fonction rénale), l'administration concomitante d'inhibiteurs de la cyclooxygénase avec des inhibiteurs de l'ECA, des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou des aminoglycosides à action antibactérienne peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale. Dans le cas d'une administration associée de dexkétoprofène avec un diurétique, il est important d'assurer que le patient soit suffisamment hydraté et que la fonction rénale soit surveillée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +·Méthotrexate à faibles doses (< 15 mg/semaine): toxicité hématologique accrue du méthotrexate due à la diminution de l'élimination rénale. Dans les premières semaines de l'administration associée, les paramètres sanguins seront contrôlés toutes les semaines. Une attention toute particulière sera accordée aux troubles de la fonction rénale, même faibles, ainsi qu'aux patients âgés.
  • +·Pentoxyfilline: risque accru d'hémorragies. Par conséquent, le temps de coagulation sera contrôlé plus souvent.
  • +·Sulfonylurées: certains AINS potentialisent l'effet hypoglycémique par le déplacement de la liaison aux protéines plasmatiques.
  • +·Zidovudine: l'érythropoïèse altérée par la zidovudine peut être potentialisée par les AINS, avec la conséquence éventuelle d'une grave anémie une semaine après l'instauration du traitement par les AINS. La formule sanguine et le nombre des réticulocytes seront contrôlés une à deux semaines après le début de l'administration des AINS.
  • +Attention:
  • +·Bêtabloquants: le traitement par les AINS peut diminuer l'effet antihypertenseur par l'inhibition de la synthèse des prostaglandines.
  • +·Ciclosporine et tacrolimus: l'effet des AINS sur la prostaglandine rénale peut augmenter la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée durant un traitement associé.
  • +·Thrombolytiques: risque accru d'hémorragies.
  • +·Inhibiteurs de l'agrégation thrombocytaire et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS): risque élevé d'hémorragies gastro-intestinales (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +·Probénécide: les concentrations plasmatiques du dexkétoprofène peuvent augmenter lors de l'administration concomitante de probénécide, ce qui peut être imputé à l'inhibition de la sécrétion tubulaire rénale et à la glucuronidation. La dose de dexkétoprofène doit être adaptée.
  • +·Glycosides cardiaques: les AINS peuvent augmenter la concentration plasmatique de glycosides.
  • +·Mifépristone: étant donné le risque théorique que les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pourraient altérer l'efficacité de la mifépristone, les AINS ne seront pas utilisés dans les 8 à 12 jours qui suivent l'administration de mifépristone.Des données limitées laissent supposer que l'utilisation concomitante d'AINS le jour de l'administration de la prostaglandine n'altère pas l'effet de la mifépristone ou de la prostaglandine sur la maturation cervicale ou sur la contractilité de l'utérus et qu'elle ne réduit pas l'efficacité clinique de l'interruption de grossesse médicamenteuse.
  • +·Quinolones: les données d'expérimentation animale montrent que des doses élevées de quinolones en association à des AINS augmentent le risque de convulsions.
  • +·Ténofovir: l'utilisation concomitante d'AINS peut induire une augmentation du taux d'azote uréique et de créatinine plasmatique; pour vérifier une éventuelle influence synergique sur la fonction rénale, celle-ci doit être surveillée.
  • +·Déférasirox: l'utilisation concomitante d'AINS peut augmenter le risque de toxicité gastro-intestinale. Une surveillance clinique étroite est nécessaire en cas d'utilisation concomitante de déférasirox et de ces substances.
  • +·Pémétrexed: l'utilisation concomitante d'AINS peut réduire l'élimination de pémétrexed; la prudence est de mise en cas d'utilisation de doses d'AINS élevées. Chez les patients présentant une légère altération de la fonction rénale, l'utilisation concomitante de pémétrexed et de doses d'AINS doit être évitée 2 jours avant et 2 jours après l'administration de pémétrexed.
  • +
  • -L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et foetal. Selon des données d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de laparoschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement. Chez les animaux, iI est prouvé que I'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et postimplantatoires ainsi que de la létalité embryofoetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de I'organogenèse. Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le dexkétoprofène ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. S'il l'est à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et foetal. Selon des données d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de laparoschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement. Chez les animaux, iI est prouvé que I'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et postimplantatoires ainsi que de la létalité embryofoetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de I'organogenèse.
  • +Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le dexkétoprofène ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. S'il l'est à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le dexketoprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
  • +Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le dexkétoprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
  • -SYSTEME D'ORGANES Fréquents (>1/100 à <1/10) Occasionnels (>1/1000 à <1/100) Rares (>1/10000 à <1/1000) Très rares (<1/10000) Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
  • +SYSTEME D'ORGANES MedDRA Fréquents (>1/100 à <1/10) Occasionnels (>1/1000 à <1/100) Rares (>1/10000 à <1/1000) Très rares (<1/10000) Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition Hyperglycémie, Hypoglycémie, hypertriglycidémie
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Hyperglycémie, Hypoglycémie, hypertriglycidémie Anorexie
  • -Affections gastro-intestinales Nausées (13 %), vomissements Diarrhée, dyspepsie, hématémèse, douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale Ulcères peptiques, hémorragie ou perforation, anorexie Lésions pancréatiques
  • +Affections gastro-intestinales Nausées (13 %), vomissements Diarrhée, dyspepsie, hématémèse, douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale Ulcères peptiques, hémorragie ou perforation Lésions pancréatiques
  • +Symptômes
  • +Traitement
  • +
  • -Le dexkétoprofène-trométamol est le sel de trométhamine de l'acide S-(+) (benzoyl-3 phényl)-2propionique, un médicament à action analgésique, antiphlogistique et antipyrétique, appartenant au groupe des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens. Le mécanisme d'action des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens est attribué à la diminution de la synthèse des prostaglandines par l'inhibition de la cyclo-oxygénase (COX). Il s'agit en particulier d'une inhibition de la transformation de l'acide arachidonique en des endoperoxydes cycliques, PGG2 et PGH2, à partir desquels se forment les prostaglandines PGE1, PGE2, PGF2α et PGD2, ainsi que la prostacycline PGI2 et les thromboxanes (TxA2 et TxB2). L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut par ailleurs exercer une influence sur d'autres médiateurs de l'inflammation, p.ex. le kinines, et agir par cette vie indirecte en complément à l'effet principal. Dans les expériences réalisées sur des animaux expérimentaux et dans les études humaines, le dexkétoprofène a agi comme inhibiteur de l'activité de la COX-1 et COX-2.
  • +Le dexkétoprofène-trométamol est le sel de trométhamine de l'acide S-(+) (benzoyl-3 phényl)-2propionique, un médicament à action analgésique, antiphlogistique et antipyrétique, appartenant au groupe des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Le mécanisme d'action des analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens est attribué à la diminution de la synthèse des prostaglandines par l'inhibition de la cyclo-oxygénase (COX). Il s'agit en particulier d'une inhibition de la transformation de l'acide arachidonique en des endoperoxydes cycliques, PGG2 et PGH2, à partir desquels se forment les prostaglandines PGE1, PGE2, PGF2α et PGD2, ainsi que la prostacycline PGI2 et les thromboxanes (TxA2 et TxB2). L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut par ailleurs exercer une influence sur d'autres médiateurs de l'inflammation, p.ex. le kinines, et agir par cette vie indirecte en complément à l'effet principal. Dans les expériences réalisées sur des animaux expérimentaux et dans les études humaines, le dexkétoprofène a agi comme inhibiteur de l'activité de la COX-1 et COX-2.
  • -Chez des sujets sains d'un certain âge (>65 ans), la charge de substance après administration orale unique et répétée étaient significativement plus élevée (jusqu'à 55%) que chez les sujets jeunes. On a observé une augmentation significative de l'ASC et de T½, mais non de Tmax et Cmax. La demi-vie d'élimination moyenne était augmentée (jusqu'à 48%) après doses unique et répétée, alors que la clairance corporelle apparente globale était diminuée. (Cf. «Instructions posologiques spéciales» et «Limitations d'emploi“»).
  • +Chez des sujets sains d'un certain âge (>65 ans), la charge de substance après administration orale unique et répétée étaient significativement plus élevée (jusqu'à 55%) que chez les sujets jeunes. On a observé une augmentation significative de l'ASC et de T½, mais non de Tmax et Cmax. La demi-vie d'élimination moyenne était augmentée (jusqu'à 48%) après doses unique et répétée, alors que la clairance corporelle apparente globale était diminuée. (voir rubrique «Instructions posologiques spéciales» et «Limitations d'emploi“»).
  • -Septembre 2024
  • +Novembre 2024
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