100 Changements de l'information professionelle Myfortic 180 mg |
-Lactose anhydrique (45 mg), crospovidone, povidone K30, amidon de maïs, dioxyde de silicium colloïdal, stéarate de magnésium. Enrobage: hypromellose, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172), indigotine (E132). Chaque comprimé pelliculé contient 13 mg de sodium.
- +Lactose anhydre (45 mg), crospovidone, povidone K30, amidon de maïs, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium. Enrobage: hypromellose, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172), indigotine (E132). Chaque comprimé pelliculé contient 13 mg de sodium.
-Lactose anhydrique (90 mg), crospovidone, povidone K30, amidon de maïs, dioxyde de silicium colloïdal, stéarate de magnésium. Enrobage: hypromellose, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune et rouge (E172). Chaque comprimé pelliculé contient 26 mg de sodium.
- +Lactose anhydre (90 mg), crospovidone, povidone K30, amidon de maïs, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium. Enrobage: hypromellose, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune et rouge (E172). Chaque comprimé pelliculé contient 26 mg de sodium.
-Myfortic peut être pris indépendamment des repas. Les comprimés pelliculés ne doivent pas être concassés afin de préserver l'intégrité de l'enrobage gastro-résistant.
- +Myfortic peut être pris indépendamment des repas. Les comprimés pelliculés ne doivent pas être écrasés afin de préserver l'intégrité de l'enrobage gastro-résistant.
-Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les patients chez qui la fonction du greffon rénal ne s'active qu'avec retard. Les patients atteints d'insuffisance rénale chronique grave (clairance de la créatinine < 10 ml/min) doivent être étroitement contrôlés.
- +Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les patients chez qui la fonction du greffon rénal ne s'active qu'avec retard. Les patients atteints d'insuffisance rénale chronique sévère (clairance de la créatinine < 10 ml/min) doivent faire l'objet d'une surveillance étroite.
-Patients présentant un déficit congénital rare en hypoxanthine-guanine-phosphoribosyltransférase (HGPRT)
-Myfortic est un inhibiteur de l'IMPDH (inosine monophosphate déshydrogénase). C'est pourquoi il ne doit pas être utilisé chez les patients qui présentent un déficit en hypoxanthine-guanine-phosphoribosyltransférase (HGPRT), tel qu'il apparaît lors du syndrome rare de Lesch-Nyhan ou de Kelley-Seegmiller.
- +Patients présentant un déficit congénital rare en hypoxanthine-guanine-phosphoribosyl-transférase (HGPRT)
- +Myfortic est un inhibiteur de l'IMPDH (inosine monophosphate déshydrogénase). C'est pourquoi il ne doit pas être utilisé chez les patients qui présentent un déficit en hypoxanthine-guanine-phosphoribosyl-transférase (HGPRT), tel qu'il apparaît lors du syndrome rare de Lesch-Nyhan ou de Kelley-Seegmiller.
-La réactivation d'une infection par le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC) a été rapportée chez des patients traités par des immunosuppresseurs, y compris par des dérivés de l'acide mycophénolique (MPA) tels que le mycophénolate sodique (Myfortic) et le mycophénolate mofétil (MMF, CellCept®). Il est recommandé de surveiller les patients infectés à la recherche de signes cliniques et diagnostiques d'une infection active par le VHB ou le VHC.
-Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive, occasionnellement à issue fatale, ont été rapportés chez des patients traités par des dérivés du MPA, tels que le MMF et Myfortic (voir «Effets indésirables»). La leucoencéphalopathie multifocale progressive est une infection opportuniste du SNC due au virus JC. La maladie primaire, un traitement associé comportant d'autres immunosuppresseurs et le long temps de latence de l'encéphalopathie rendent difficile l'évaluation du lien causal, mais on ne peut pas exclure un rôle de l'acide mycophénolique dans la pathogenèse. Chez les patients immunosupprimés présentant des symptômes neurologiques, les médecins doivent envisager une leucoencéphalopathie multifocale progressive lors du diagnostic différentiel.
-Chez les patients immunosupprimés, une néphropathie associée à une infection à polyomavirus (PVAN), en particulier à la suite d'une infection à virus BK, doit être prise en considération lors du diagnostic différentiel d'une dégradation de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»).
- +La réactivation d'une infection par le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC) a été rapportée chez des patients traités par des immunosuppresseurs, y compris par des dérivés de l'acide mycophénolique (MPA) tels que le mycophénolate sodique (Myfortic®) et le mycophénolate mofétil (MMF, CellCept®). Il est recommandé de surveiller les patients infectés à la recherche de signes cliniques et diagnostiques d'une infection active par le VHB ou le VHC.
- +Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive, occasionnellement à issue fatale, ont été rapportés chez des patients traités par des dérivés du MPA, tels que le MMF et Myfortic® (voir «Effets indésirables»). La leucoencéphalopathie multifocale progressive est une infection opportuniste du SNC due au virus JC. La maladie primaire, un traitement associé comportant d'autres immunosuppresseurs et le long temps de latence de l'encéphalopathie rendent difficile l'évaluation du lien causal, mais on ne peut pas exclure un rôle de l'acide mycophénolique dans la pathogenèse. Chez les patients immunodéprimés présentant des symptômes neurologiques, les médecins doivent envisager une leucoencéphalopathie multifocale progressive lors du diagnostic différentiel.
- +Chez les patients immunodéprimés présentant une dégradation de la fonction rénale, une néphropathie associée à un polyomavirus (PVAN), en particulier à la suite d'une infection à virus BK, doit être prise en considération lors du diagnostic différentiel (voir «Effets indésirables»).
-Des cas d'aplasie de la lignée érythrocytaire (pure red cell aplasia, PRCA) ont été rapportés chez des patients traités par l'acide mycophénolique en association avec d'autres immunosuppresseurs. La manière avec laquelle l'acide mycophénolique déclenche une PRCA, l'influence des autres immunosuppresseurs et de leur association demeurent inconnues. Dans quelques cas, la PRCA a été réversible après la diminution ou l'arrêt de la dose. Chez les patients transplantés, une réduction de l'immunosuppression expose à une augmentation du risque de rejet. Des modifications du traitement par Myfortic chez les patients transplantés ne doivent avoir lieu que sous très haute surveillance, afin de minimiser le risque de rejet.
- +Des cas d'aplasie de la lignée érythrocytaire (pure red cell aplasia, PRCA) ont été rapportés chez des patients traités par l'acide mycophénolique en association avec d'autres immunosuppresseurs. La manière avec laquelle l'acide mycophénolique déclenche une PRCA et l'influence des autres immunosuppresseurs et de leur association demeurent inconnues. Dans quelques cas, la PRCA a été réversible après la diminution ou l'arrêt de la dose. Chez les patients transplantés, une réduction de l'immunosuppression signifie une augmentation du risque de rejet. Des modifications du traitement par Myfortic chez les patients transplantés ne doivent donc avoir lieu que sous très haute surveillance afin de minimiser le risque de rejet.
-Myfortic a été administré en association avec les substances suivantes dans le cadre des essais cliniques: globuline antithymocytaire, basiliximab, ciclosporine sous forme de microémulsion et corticoïdes. L'efficacité et la sécurité d'une utilisation de Myfortic en association avec d'autres agents immunosuppresseurs tels que l'azathioprine et le tacrolimus n'ont pas été étudiées. Il est recommandé de ne pas administrer Myfortic avec l'azathioprine, étant donné que les deux substances peuvent provoquer une aplasie de la moelle osseuse. Pour le tacrolimus, voir «Interactions».
- +Myfortic a été administré en association avec les substances suivantes dans le cadre des essais cliniques: sérum anti-lymphocytaire, basiliximab, ciclosporine sous forme de microémulsion et corticoïdes. L'efficacité et la sécurité d'une utilisation de Myfortic en association avec d'autres agents immunosuppresseurs tels que l'azathioprine et le tacrolimus n'ont pas été étudiées. Il est recommandé de ne pas administrer Myfortic avec l'azathioprine, étant donné que les deux substances peuvent provoquer une aplasie de la moelle osseuse. Pour le tacrolimus, voir «Interactions».
-L'administration concomitante de Myfortic et d'antiacides contenant de l'hydroxyde de magnésium ou de l'hydroxyde d'aluminium a conduit à une réduction de 37% de l'ASC et de 25% de la concentration maximale du MPA. C'est pourquoi l'administration concomitante d'antiacides (contenant de l'hydroxyde de magnésium ou de l'hydroxyde d'aluminium) doit être évitée.
- +L'administration concomitante de Myfortic et d'antiacides contenant de l'hydroxyde de magnésium ou de l'hydroxyde d'aluminium a conduit à une réduction de 37% de l'ASC du MPA et de 25% de la concentration maximale du MPA. C'est pourquoi l'administration concomitante d'antiacides (contenant de l'hydroxyde de magnésium ou de l'hydroxyde d'aluminium) doit être évitée.
-Tacrolimus: la pharmacocinétique de MPA et de MPAG (glucuronide de l'acide mycophénolique) à l'état d'équilibre a été mesurée à la fois sous traitement par ciclosporine et sous traitement par tacrolimus dans un essai croisé chez des transplantés rénaux stables. L'ASC moyenne du MPA était 19% plus élevée sous tacrolimus et la concentration maximale Cmax environ 20% plus basse, comparativement au traitement par la ciclosporine. L'ASC moyenne et la Cmax de MPAG étaient environ 30% plus basses sous traitement par tacrolimus que sous ciclosporine. Les taux de MPA et éventuellement la posologie de Myfortic devront être adaptés lors du passage de l'association ciclosporine plus Myfortic à tacrolimus plus Myfortic (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Tacrolimus: la pharmacocinétique de MPA et de MPAG (glucuronide de l'acide mycophénolique) à l'état d'équilibre a été mesurée à la fois sous traitement par ciclosporine et sous traitement par tacrolimus dans un essai croisé réalisé chez des transplantés rénaux stables. Sous traitement par tacrolimus, l'ASC moyenne du MPA était 19% plus élevée et la concentration maximale Cmax environ 20% plus basse, comparativement au traitement par la ciclosporine. L'ASC moyenne et la Cmax de MPAG étaient environ 30% plus basses sous traitement par tacrolimus que sous ciclosporine. Les taux de MPA et éventuellement la posologie de Myfortic devront être adaptés lors du passage de l'association ciclosporine plus Myfortic à tacrolimus plus Myfortic (voir «Mises en garde et précautions»).
-L'utilisation de Myfortic pendant la grossesse est liée à un risque accru de malformations congénitales. Bien qu'il n'existe aucune étude adéquate et bien contrôlée sur Myfortic chez la femme enceinte, des malformations congénitales, parfois également des malformations congénitales multiples, ont été décrites dans le cadre de la période de suivi après la commercialisation du mycophénolate mofétil chez les enfants de patients exposés au mycophénolate mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs pendant la grossesse. Les malformations suivantes ont été les plus fréquemment signalées:
- +L'utilisation de Myfortic pendant la grossesse est liée à un risque accru de malformations congénitales. Bien qu'il n'existe aucune étude adéquate et bien contrôlée sur Myfortic chez la femme enceinte, des malformations congénitales, parfois également des malformations multiples, ont été décrites dans le cadre de la période de suivi après la commercialisation du mycophénolate mofétil chez les enfants de patients exposés au mycophénolate mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs pendant la grossesse. Les malformations suivantes ont été les plus fréquemment signalées:
-Dans la littérature médicale spécialisée, il est décrit que 23 à 27% des nouveau-nés vivants après une grossesse ayant eu lieu en présence de mycophénolate mofétil sont porteurs de malformations. En comparaison, le risque de malformations dans la population générale est estimé à environ 2%, et à environ 4 à 5% chez les patientes ayant subi une greffe d'organe solide recevant d'autres immunosuppresseurs que le mycophénolate mofétil.
- +Dans la littérature médicale spécialisée, il est décrit que 23 à 27% des nouveau-nés vivants après une grossesse ayant eu lieu en présence de mycophénolate mofétil sont porteurs de malformations. En comparaison, le risque de malformations dans la population générale est estimé à environ 2%, et à environ 4 à 5% chez les patientes ayant subi une greffe d'organe solide et traitées par d'autres immunosuppresseurs que le mycophénolate mofétil.
-En raison du potentiel de réactions indésirables sévères chez le nourrisson, Myfortic est contre-indiqué pendant l'allaitement (voir «Contre-indications»).
-Les études menées chez le rat ont démontré que le mycophénolate mofétil est excrété dans le lait maternel. On ignore cependant si cela est aussi le cas chez l'être humain.
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- +Des données limitées montrent que l'acide mycophénolique passe dans le lait maternel. En raison du potentiel de réactions indésirables sévères chez le nourrisson, Myfortic est contre-indiqué pendant l'allaitement (voir «Contre-indications»).
-Les effets indésirables suivants ont été observés lors de deux essais cliniques contrôlés avec Myfortic vs. le mycophénolate mofétil (randomisation 1:1) en association avec la ciclosporine sous forme de microémulsion et des corticoïdes chez 423 patients transplantés de novo et chez 322 patients sous traitement d'entretien (patients ayant subi une transplantation il y a plus de 6 mois), ainsi qu'après la commercialisation. L'incidence des événements indésirables s'est révélée comparable pour les deux traitements dans chacun des deux collectifs.
- +Les effets indésirables suivants ont été observés lors de deux essais cliniques contrôlés avec Myfortic vs le mycophénolate mofétil (randomisation 1:1) en association avec la ciclosporine sous forme de microémulsion et des corticoïdes chez 423 patients transplantés de novo et chez 322 patients sous traitement d'entretien (patients ayant subi une transplantation il y a plus de 6 mois), ainsi qu'après la commercialisation. L'incidence des événements indésirables s'est révélée comparable pour les deux traitements dans chacun des deux collectifs.
-«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (< 1/10, ≥1/100), «occasionnels» (< 1/100, ≥1/1000), «rares» (< 1/1000, ≥1/10 000), «très rares» (< 1/10 000).
- +«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (< 1/10, ≥1/100), «occasionnel» (< 1/100, ≥1/1000), «rare» (< 1/1000, ≥1/10 000), «très rare» (< 1/10 000).
-Très fréquents: leucopénie (19.2%).
-Fréquents: anémie, thrombopénie.
- +Très fréquent: leucopénie (19.2%).
- +Fréquent: anémie, thrombopénie.
-Fréquents: vertiges, céphalées.
-Occasionnels: tremblements.
- +Fréquent: vertiges, céphalées.
- +Occasionnel: tremblements.
-Occasionnels: maladies lymphoprolifératives.
- +Occasionnel: maladies lymphoprolifératives.
-Très fréquents: infections virales, bactériennes et fongiques (jusqu'à 22.1%), telles qu'infection urinaire, infection par l'herpès zoster, candidose orale, sinusite, gastroentérite, herpes simplex, rhinopharyngite.
-Fréquents: infection des voies respiratoires supérieures, pneumonie.
-Occasionnels: infections de blessures.
- +Très fréquent: infections virales, bactériennes et fongiques (jusqu'à 22.1%), telles qu'infection urinaire, zona, candidose orale, sinusite, gastroentérite, infection par l'herpes simplex, rhinopharyngite.
- +Fréquent: infection des voies respiratoires supérieures, pneumonie.
- +Occasionnel: infections de blessures.
-Fréquents: anxiété.
- +Fréquent: anxiété.
-Très fréquents: hypocalcémie, hypokaliémie, hyperuricémie.
-Fréquents: hyperkaliémie, hypomagnésémie.
-Occasionnels: anorexie, hyperlipidémie, hypophosphatémie.
- +Très fréquent: hypocalcémie, hypokaliémie, hyperuricémie.
- +Fréquent: hyperkaliémie, hypomagnésémie.
- +Occasionnel: anorexie, hyperlipidémie, hypophosphatémie.
-Occasionnels: tachycardie.
- +Occasionnel: tachycardie.
-Très fréquents: hypertension artérielle, hypotension.
-Fréquents: aggravation d'une hypertension artérielle.
- +Très fréquent: hypertension artérielle, hypotension.
- +Fréquent: aggravation d'une hypertension artérielle.
-Fréquents: toux, dyspnée, dyspnée à l'effort.
-Occasionnels: pneumopathie interstitielle y compris fibrose pulmonaire d'issue fatale.
- +Fréquent: toux, dyspnée, dyspnée à l'effort.
- +Occasionnel: pneumopathie interstitielle y compris fibrose pulmonaire d'issue fatale.
-Très fréquents: diarrhées (23.5%).
-Fréquents: distension abdominale, douleurs abdominales, constipation, dyspepsie, flatulence, gastrite, selles molles, nausées, vomissements.
-Occasionnels: tension douloureuse de la paroi abdominale, pancréatite, éructation, hémorragie gastro-intestinale.
-Des cas isolés de mauvaise haleine, iléus, œsophagite, ulcère peptique, subiléus, sécheresse buccale, ulcères au niveau des lèvres, obstruction du conduit parotidien, maladie du reflux gastro-œsophagien, hyperplasie gingivale et péritonite ont été rapportés.
- +Très fréquent: diarrhées (23.5%).
- +Fréquent: distension abdominale, douleurs abdominales, constipation, dyspepsie, flatulence, gastrite, selles molles, nausées, vomissements.
- +Occasionnel: tension douloureuse de la paroi abdominale, pancréatite, éructation, hémorragie gastro-intestinale.
- +Des cas isolés de mauvaise haleine, iléus, œsophagite, ulcère gastroduodénal, subiléus, sécheresse buccale, ulcères au niveau des lèvres, obstruction du conduit parotidien, maladie du reflux gastro-œsophagien, hyperplasie gingivale et péritonite ont été rapportés.
-Fréquents: tests de la fonction hépatique anormaux.
- +Fréquent: tests de la fonction hépatique anormaux.
-Occasionnels: alopécie, contusion, acné.
- +Occasionnel: alopécie, contusion, acné.
-Fréquents: arthralgie, asthénie, myalgie.
-Occasionnels: crampes musculaires.
- +Fréquent: arthralgie, asthénie, myalgie.
- +Occasionnel: crampes musculaires.
-Fréquents: augmentation de la créatininémie.
-Occasionnels: stricture de l'urètre.
- +Fréquent: augmentation de la créatininémie.
- +Occasionnel: rétrécissement urétral.
-Fréquents: fatigue, fièvre.
-Occasionnels: maladies de type influenza, œdèmes périphériques, douleurs.
-Des cas isolés d'œdèmes au niveau des extrémités inférieures, une rigidité et une faiblesse ont été rapportés.
- +Fréquent: fatigue, fièvre.
- +Occasionnel: maladies de type grippal, œdèmes périphériques, douleurs.
- +Des cas isolés d'œdèmes au niveau des extrémités inférieures, de rigidité et de faiblesse ont été rapportés.
-Grossesse, puerpérium et période périnatale
-Chez les patientes exposées au mycophénolate mofétil, principalement au cours du premier trimestre de grossesse, des avortements spontanés sont survenus (voir «Grossesse»).
- +Grossesse, post-partum et affections périnatales
- +Chez les patientes exposées au mycophénolate mofétil, principalement au cours du premier trimestre de grossesse, des avortements spontanés sont survenus (voir «Grossesse, Allaitement»).
-Contrairement à d'autres types cellulaires qui peuvent utiliser des voies de suppléance de synthèse, la prolifération des lymphocytes T et B étant essentiellement dépendante de la synthèse de novo des purines, le MPA a un effet cytostatique sur les lymphocytes plus fort que vis-à-vis d'autres cellules. Le mécanisme d'action du MPA est donc complémentaire de celui des inhibiteurs de la calcineurine qui interfèrent avec la transcription des cytokines et les lymphocytes T au repos.
- +Étant donné que la prolifération des lymphocytes T et B est essentiellement dépendante de la synthèse de novo des purines et que d'autres types de cellules peuvent utiliser des voies métaboliques de suppléance, le MPA a un effet cytostatique plus marqué sur les lymphocytes que sur les autres cellules. Le mécanisme d'action du MPA est donc complémentaire de celui des inhibiteurs de la calcineurine qui interfèrent avec la transcription des cytokines et les lymphocytes T au repos.
-Deux études multicentriques, randomisées, en double aveugle, ont été effectuées chez l'adulte en vue de l'autorisation de Myfortic (MPA). Ces deux études ont été contrôlées contre un traitement de référence; le mycophénolate mofétil (MMF), disponible dans le commerce, a été utilisé comme substance de comparaison.
- +Deux études multicentriques, randomisées et en double aveugle ont été effectuées chez l'adulte en vue de l'autorisation de Myfortic (MPA). Ces deux études ont été contrôlées contre un traitement de référence; le mycophénolate mofétil (MMF), disponible dans le commerce, a été utilisé comme substance de comparaison.
-Cette étude de novo, randomisée, en double aveugle et avec double placebo («double dummy») (ERLB301) a été réalisée chez 423 patients transplantés rénaux (MPA = 213, MMF = 210), âgés de 18 à 75 ans. Les critères d'évaluation étaient l'échec du traitement, défini comme une réaction de rejet aigu confirmé par biopsie survenant pour la première fois (BPAR), une perte du greffon, un décès ou une absence de suivi, après 6 mois (principal critère d'évaluation) et après 12 mois de traitement (cocritère principal). L'étude a révélé des résultats comparables pour Myfortic et pour le MMF.
- +Cette étude de novo, randomisée, en double aveugle et avec double placebo («double dummy») (ERLB301) a été réalisée chez 423 patients transplantés rénaux (MPA = 213, MMF = 210), âgés de 18 à 75 ans. Les critères d'évaluation étaient l'échec du traitement, défini comme une réaction de rejet aigu confirmé par biopsie (BPAR) survenant pour la première fois, une perte du greffon, un décès ou une absence de suivi, après 6 mois (critère d'évaluation principal) et après 12 mois de traitement (cocritère principal). L'étude a révélé des résultats comparables pour Myfortic et pour le MMF.
-Une équivalence thérapeutique a pu être démontrée quant à l'incidence des pertes d'efficacité après 6 mois (MPA 25.8% vs. MMF 26.2%; IC à 95%: [-8.7, +8.0]). Les critères d'équivalence thérapeutique ont été remplis: l'intervalle de confiance (IC) à 95% de la différence d'incidence entre les principaux critères d'évaluation (BPAR, perte du greffon, décès et absence de suivi à 6 mois) était entièrement situé dans l'intervalle (-12%, 12%). Après 12 mois, l'incidence du BPAR, des pertes du greffon ou des décès a été de 26.3% (MPA) et de 28.1% (MMF) et celle isolée du BPAR a été de 22.5% (MPA) et de 24.3% (MMF). Parmi les patients présentant un BPAR, l'incidence des réactions de rejet aigu sévère a été de 2.1% (MPA) vs 9.8% (MMF) (p = ns).
- +Une équivalence thérapeutique a pu être démontrée quant à l'incidence des pertes d'efficacité après 6 mois (MPA 25.8% vs MMF 26.2%; IC à 95%: [-8.7, +8.0]). Les critères d'équivalence thérapeutique ont été remplis: l'intervalle de confiance (IC) à 95% de la différence d'incidence entre les principaux critères d'évaluation (BPAR, perte du greffon, décès et absence de suivi à 6 mois) était entièrement situé dans l'intervalle (-12%, 12%). Après 12 mois, l'incidence du BPAR, des pertes du greffon ou des décès a été de 26.3% (MPA) et de 28.1% (MMF) et celle isolée du BPAR a été de 22.5% (MPA) et de 24.3% (MMF). Parmi les patients présentant un BPAR, l'incidence des réactions de rejet aigu sévère a été de 2.1% (MPA) vs 9.8% (MMF) (p = ns).
-* L'absence de suivi désigne les patients ne pouvant pas être suivis, mais n'ayant pas présenté de réaction de rejet aigu, de perte du greffon ou n'étant pas décédés.
- +* L'absence de suivi désigne les patients ne pouvant pas être suivis, mais n'ayant pas présenté de réaction de rejet aigu confirmé par biopsie, de perte du greffon ou n'étant pas décédés.
-Après 3 et 12 mois, l'incidence des événements gastro-intestinaux sous Myfortic était numériquement supérieure à celle sous MMF (26% vs. 21% et 32% vs 26%). Seul 1 cas de neutropénie dans le groupe MMF a été identifié comme «adverse event» pendant l'étude. Les deux groupes ont présenté des caractéristiques similaires quant à l'efficacité.
- +Après 3 et 12 mois, l'incidence des événements gastro-intestinaux sous Myfortic était numériquement supérieure à celle sous MMF (26% vs 21% et 32% vs 26%). Seul 1 cas de neutropénie dans le groupe MMF a été identifié comme «adverse event» pendant l'étude. Les deux groupes ont présenté des caractéristiques similaires quant à l'efficacité.
-Après administration orale, l'absorption du mycophénolate sodique est presque complète. La biodisponibilité absolue de l'acide mycophénolique (MPA) chez les patients transplantés rénaux stables qui recevaient en même temps de la ciclosporine, était de 71%. Un certain effet de premier passage existe. Le temps nécessaire pour atteindre la concentration maximale de MPA est d'env. 1.5 à 2 h.
- +Après administration orale, l'absorption du mycophénolate sodique est presque complète. La biodisponibilité absolue de l'acide mycophénolique (MPA) chez les patients transplantés rénaux stables qui reçoivent en même temps de la ciclosporine est de 71%. Un certain effet de premier passage existe. Le temps nécessaire pour atteindre la concentration maximale de MPA est d'env. 1.5 à 2 h.
-Le volume de distribution à l'état d'équilibre du MPA est de 50 l. L'acide mycophénolique et le glucuronide de l'acide mycophénolique sont tous deux fortement liés aux protéines plasmatiques, à hauteur respectivement de 97% et de 82%. La concentration de MPA libre peut augmenter en cas de diminution de la concentration des protéines plasmatiques (urémie, insuffisance hépatique, hypoalbuminémie) ainsi que lors de la prise concomitante de médicaments à forte fixation protéique. Cette situation peut exposer les patients concernés à un risque accru d'effets indésirables liés au MPA (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Le volume de distribution à l'état d'équilibre du MPA est de 50 l. L'acide mycophénolique et le glucuronide de l'acide mycophénolique sont tous deux fortement liés aux protéines plasmatiques, à hauteur respectivement de 97% et de 82%. La concentration de MPA libre peut augmenter en cas de diminution de la concentration des protéines plasmatiques (urémie, insuffisance hépatique, hypoalbuminémie) ainsi que lors de la prise concomitante de médicaments à forte fixation protéique. Dans ces cas-là, il existe un risque accru d'effets indésirables liés au MPA (voir «Mises en garde et précautions»).
-Le MPA est principalement métabolisé en glucuronide de l'acide mycophénolique (MPAG) inactif par la glucuronyltransférase.
- +Le MPA est principalement métabolisé en glucuronide de l'acide mycophénolique (MPAG) inactif par la glucuronyl-transférase.
-La majeure partie du MPA est excrétée par voie urinaire sous forme de MPAG. Le MPAG excrété dans la bile est issu du cycle entéro-hépatique.
- +La majeure partie du MPA est excrétée par voie urinaire sous forme de MPAG. Le MPAG excrété dans la bile est soumis à un cycle entéro-hépatique.
-Les concentrations de MPA libre peuvent également augmenter de manière importante en cas d'insuffisance rénale, ce qui pourrait s'expliquer par une diminution de la liaison du MPA aux protéines plasmatiques.
- +Les concentrations de MPA libre peuvent également augmenter de manière importante en cas d'insuffisance rénale, ce qui pourrait s'expliquer par la diminution de la liaison du MPA aux protéines plasmatiques.
-Groupes ethniques/Races: après l'administration d'une dose unique de 720 mg de Myfortic à 18 Japonais et caucasiens sains, l'exposition (ASCinf) au MPA et au MPAG a été chez les Japonais respectivement 15 et 22% inférieure à celle observée chez les caucasiens. La concentration plasmatique maximale (Cmax) du MPAG a été similaire dans les deux populations; par contre, la concentration maximale (Cmax) du MPA a été de 9.6% plus élevée chez les Japonais.
- +Groupes ethniques/races: après l'administration d'une dose unique de 720 mg de Myfortic à 18 Japonais et caucasiens sains, l'exposition (ASCinf) au MPA et au MPAG a été chez les Japonais respectivement 15 et 22% inférieure à celle observée chez les caucasiens. La concentration maximale (Cmax) du MPAG a été similaire dans les deux populations; par contre, la concentration maximale (Cmax) du MPA a été de 9.6% plus élevée chez les Japonais.
-Le système hématopoïétique et lymphatique a été le principal système d'organes affecté dans les études de toxicologie conduites avec le mycophénolate sodique chez le rat et la souris. Une anémie aplastique régénérative, dose-dépendante, légère à nette, a été observée chez les rongeurs exposés au MPA. L'analyse des myélogrammes a montré une nette diminution des cellules érythroïdes (érythroblastes et normoblastes polychromatiques) (chez le rat et la souris), ainsi qu'une augmentation de volume dose-dépendante de la rate et une augmentation de l'hématopoïèse extramédullaire (seulement chez la souris). Les rats ont semblé être plus sensibles au développement d'une anémie liée au traitement que les souris. Chez le rat, cet effet a été observé essentiellement à des doses supérieures ou égales à 20 mg/kg avec une exposition systémique (ASC) de 216.5 et 396.3 µg·h/ml chez les animaux mâles et femelles. Cela correspond à environ 1.9 ou 3.3 fois les concentrations systémiques (ASC moyenne de 111.4 µg·h/ml) observées après administration de la dose recommandée de 1.44 g/jour de Myfortic chez les patients transplantés rénaux.
- +Le système hématopoïétique et le système lymphatique ont été les principaux systèmes d'organes affectés dans les études de toxicologie conduites avec le mycophénolate sodique chez le rat et la souris. Une anémie aplastique régénérative, dose-dépendante, légère à nette, a été observée chez les rongeurs exposés au MPA. L'analyse des myélogrammes a montré une nette diminution des cellules érythroïdes (érythroblastes et normoblastes polychromatiques) (chez le rat et la souris), ainsi qu'une augmentation de volume dose-dépendante de la rate et une augmentation de l'hématopoïèse extramédullaire (seulement chez la souris). Les rats semblent être légèrement plus sensibles au développement d'une anémie liée au traitement que les souris. Chez le rat, cet effet a été observé essentiellement à des doses supérieures ou égales à 20 mg/kg avec une exposition systémique (ASC) de 216.5 et 396.3 µg·h/ml chez les animaux mâles et femelles. Cela correspond à environ 1.9 ou 3.3 fois les concentrations systémiques (ASC moyenne de 111.4 µg·h/ml) observées après administration de la dose recommandée de 1.44 g/jour de Myfortic chez les patients transplantés rénaux.
-Le mycophénolate sodique n'a eu aucun effet sur la fertilité de rats mâles à des doses orales atteignant 40 mg/kg/jour ni chez les femelles à des doses orales atteignant 20 mg/kg/jour. Ces doses représentent 5 à 9 fois les doses cliniques.
- +Le mycophénolate sodique n'a aucun effet sur la fertilité de rats mâles à des doses orales atteignant 40 mg/kg/jour ni sur celle des femelles à des doses orales atteignant 20 mg/kg/jour. Ces doses représentent 5 à 9 fois les doses cliniques.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
- +Conserver dans l'emballage d'origine et ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
-Myfortic 180 mg comprimés gastro-résistants: 120.
-Myfortic 360 mg comprimés gastro-résistants: 120. [B]
- +Myfortic 180 mg comprimés pelliculés gastro-résistants: 120.
- +Myfortic 360 mg comprimés pelliculés gastro-résistants: 120. [B]
-Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz
- +Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; domicile: 6343 Rotkreuz
-Janvier 2023
- +Avril 2024
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