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Accueil - Information professionnelle sur Metvix - Changements - 21.01.2022
32 Changements de l'information professionelle Metvix
  • -méthyl aminolévulinate (sous forme de chlorhydrate)
  • +Méthyl aminolévulinate (sous forme de chlorhydrate)
  • -Kératose actinique, carcinomes basocellulaires superficiels et maladie de Bowen sous utilisation de rayonnement de lumière rouge.
  • -Une couche de Metvix de 1 mm d’épaisseur environ sera appliquée à l’aide d’une spatule sur la lésion et également sur une surface de 5–10 mm de la peau normale environnante. La zone traitée sera couverte pour une durée de trois heures à l’aide d’un pansement fortement occlusif.
  • -Ensuite, le pansement sera retiré et la zone sera nettoyée à l’aide d’une solution de sérum physiologique. La lésion sera ensuite immédiatement exposée à un rayonnement de lumière rouge (longueur d’onde entre 570 et 670 nm). La dose totale de lumière utilisée dépend du spectre de lumière employé : pour un large spectre variant entre 570 et 670 nm, on utilisera une dose totale de 75 J/cm². Une lumière rouge avec un spectre plus étroit d’environ 630 nm (et d’une dose de lumière totale de 37 J/cm2) induisant la même activation de porphyrine accumulée peut être également utilisée. L’intensité lumineuse à la surface de la lésion ne doit pas dépasser 200 mW/cm².
  • -Seules les lampes avec label CE et les filtres nécessaires et/ou les miroirs réfléchissants peuvent être utilisées afin d’éviter autant que possible l’exposition du patient à la chaleur, à la lumière bleue et aux rayonnements ultraviolets (UV). Il est important de s’assurer que la dose correcte de lumière est utilisée. La dose de lumière sera déterminée par des facteurs tels que la taille du champ de lumière, la distance entre la source lumineuse et la surface cutanée et le temps d’action de la lumière. Ces facteurs varient selon le type de lampe. L’utilisation et la maintenance de la lampe doivent être effectuées selon le mode d’emploi du fabricant. La dose de lumière distribuée doit être enregistrée au moyen d’un dosimètre adéquat se basant sur la technique des photodiodes.
  • -Les lampes Aktilite® (modèles CL 16 et CL 128) ont été spécialement développées pour l’utilisation avec Metvix. Elles ne nécessitent pas d’enregistrement de la dose de lumière avec un dosimètre. Le calibrage et l’enregistrement de la dose de lumière sont réalisés par la fonction de contrôle et d’enregistrement de la lampe réglée par un microprocesseur. Il est préférable d’utiliser ces lampes.
  • -Les patients ainsi que le personnel médical doivent se conformer aux directives de sécurité relatives à la source lumineuse. Pendant le traitement par la lumière, le port de lunettes de protection est nécessaire.
  • +Traitement des lésions de kératose actinique et/ou du champ de cancérisation, des carcinomes basocellulaires superficiels et de la maladie de Bowen avec une lampe à lumière rouge :
  • +a) Préparation des lésions : enlever les squames et les croûtes et gratter la surface de la peau avant d’appliquer une fine couche de Metvix sur la ou les lésion(s). À l’aide d’une spatule, appliquer une couche d’environ 1 mm d’épaisseur de Metvix sur la zone de la lésion pour un champ de cancérisation jusqu’à environ 20 cm²) et sur environ 5 à 10 mm au-delà. La zone traitée sera couverte pour une durée de trois heures à l’aide d’un pansement fortement occlusif.
  • +Ensuite, le pansement sera retiré et la zone sera nettoyée à l’aide d’une solution de sérum physiologique.
  • +b) Exposition : immédiatement après le nettoyage des lésions, l’ensemble de la zone de traitement est exposé à une source de lumière rouge, soit avec un spectre étroit d’environ 630 nm et une dose de lumière d’environ 37J/cm2, soit avec un spectre plus large et continu de 570 à 670 nm et une dose de lumière d’environ 75 J/cm2. L’intensité lumineuse à la surface de la lésion ne doit pas dépasser 200 mW/cm². Seules les lampes avec label CE et les filtres nécessaires et/ou les miroirs réfléchissants peuvent être utilisées afin d’éviter autant que possible l’exposition du patient à la chaleur, à la lumière bleue et aux rayonnements ultraviolets (UV). Il est important de s’assurer que la dose correcte de lumière est utilisée. La dose de lumière sera déterminée par des facteurs tels que la taille du champ de lumière, la distance entre la source lumineuse et la surface cutanée et le temps d’action de la lumière. Ces facteurs varient selon le type de lampe. L’utilisation et la maintenance de la lampe doivent être effectuées selon le mode d’emploi du fabricant. La dose de lumière distribuée doit être enregistrée au moyen d’un dosimètre adéquat se basant sur la technique des photodiodes. Les lampes Aktilite® (modèles CL 16 et CL 128) ont été spécialement développées pour l’utilisation avec Metvix. Elles ne nécessitent pas d’enregistrement de la dose de lumière avec un dosimètre. Le calibrage et l’enregistrement de la dose de lumière sont réalisés par la fonction de contrôle et d’enregistrement de la lampe réglée par un microprocesseur. Il est préférable d’utiliser ces lampes. Les patients ainsi que le personnel médical doivent se conformer aux directives de sécurité relatives à la source lumineuse. Pendant le traitement par la lumière, le port de lunettes de protection est nécessaire.
  • -Kératose actinique sous utilisation de la lumière du jour
  • -Le traitement par Metvix à la lumière du jour peut être réalisé lorsque la température extérieure (au moins 10 °C) permet un séjour agréable de deux heures à l’extérieur. En cas de pluie ou de prévisions de pluie, on renoncera au traitement par Metvix à la lumière du jour.
  • -
  • +Traitement des lésions de kératose actinique et/ou du champ de cancérisation au moyen de la lumière du jour naturelle
  • +a) Considérations à prendre en compte avant le traitement :
  • +Le traitement par Metvix à la lumière du jour naturelle peut être réalisé lorsque la température extérieure (au moins 10 °C) permet un séjour agréable de deux heures à l’extérieur. En cas de pluie ou de prévisions de pluie, on renoncera au traitement par Metvix à la lumière du jour naturelle.
  • +b) Préparation des lésions :
  • +
  • -Lorsque la protection solaire est sèche, il faut procéder à l’ablation des squames et des croûtes, et rendre rugueuse la surface des lésions avant d’appliquer une mince couche de Metvix. Il n’est pas nécessaire de couvrir les zones. Afin d’éviter une accumulation excessive de protoporphyrine IX qui causerait de fortes douleurs lors de l’exposition à la lumière, les patients doivent se rendre à l’extérieur immédiatement après l’application de Metvix ou au plus tard dans les 30 minutes qui suivent. Afin de minimiser les douleurs et d’assurer une efficacité maximale, le patient/la patiente doit séjourner 2 heures à l’extérieur à la pleine lumière du jour sans interruption et ne pas se rendre dans des locaux à l’intérieur. Si le patient/la patiente ne se sent pas bien à la lumière solaire directe les jours d’ensoleillement, il/elle peut se mettre à l’ombre. Il faut rincer Metvix après la durée d’exposition de deux heures.
  • +Lorsque la protection solaire est sèche, il faut procéder à l’ablation des squames et des croûtes, et rendre rugueuse la surface des lésions avant d’appliquer une fine couche de Metvix sur la ou les lésion(s) ou sur le champ de cancérisation. Il n’est pas nécessaire de couvrir les zones.
  • +C) Exposition à la lumière du jour pour le traitement de la kératose actinique :
  • +Afin d’éviter une accumulation excessive de protoporphyrine IX qui causerait de fortes douleurs lors de l’exposition à la lumière, les patients doivent se rendre à l’extérieur immédiatement après l’application de Metvix ou au plus tard dans les 30 minutes qui suivent. Afin de minimiser les douleurs et d’assurer une efficacité maximale, le patient/la patiente doit séjourner 2 heures à l’extérieur à la pleine lumière du jour naturelle sans interruption et ne pas se rendre dans des locaux à l’intérieur. Si le patient/la patiente ne se sent pas bien à la lumière solaire directe les jours d’ensoleillement, il/elle peut se mettre à l’ombre. Il faut rincer Metvix après la durée d’exposition de deux heures.
  • +Les lésions multiples peuvent être traitées lors de la même séance de traitement.
  • +Les lésions traitées doivent être évaluées après trois mois et, en cas de réponse incomplète, un deuxième traitement peut être effectué.
  • +Traitement des lésions KA et/ou du champ de cancérisation au moyen d’une lampe à lumière du jour artificielle
  • +a) Préparation des lésions :
  • +enlever les squames et les croûtes et gratter la surface de la peau avant d’appliquer une fine couche de Metvix sur les zones de traitement. Aucun pansement occlusif n’est nécessaire. Aucun écran solaire n’est nécessaire étant donné que les patients ne doivent pas être exposés aux rayons ultraviolets.
  • +b) Exposition à la lumière du jour artificielle pour le traitement des kératoses actiniques :
  • +Après l’application de Metvix ou au maximum 30 minutes plus tard, les lésions doivent être traitées avec une lumière de jour artificielle afin d’éviter une accumulation excessive de protoporphyrine-IX, ce qui entraînerait une douleur plus importante en cas d’exposition à la lumière. Le patient doit être placé dans une position confortable et exposé à la lumière de la lampe à lumière du jour pendant 2 heures sans interruption afin d’obtenir une efficacité maximale. Au terme de la phase d’exposition de 2 heures, Metvix doit être rincé. Seuls des dispositifs médicaux portant le marquage CE peuvent être utilisés comme lampes à lumière du jour. Ils doivent présenter un spectre lumineux continu de ~ 400 - 750 nm et une intensité lumineuse supérieure à 12 000 lux à la surface de la lésion. Il est important de s’assurer que la dose correcte de lumière est utilisée. La dose de lumière est déterminée par des facteurs tels que l’intensité lumineuse, la taille du champ lumineux, la distance entre la lampe et la surface de la peau et la durée de l’exposition. Ces facteurs dépendent du type de lampe, la lampe à lumière du jour doit être utilisée conformément aux instructions d’utilisation. Le patient et l’opérateur doivent respecter les consignes de sécurité de la source lumineuse. La peau saine non traitée qui entoure la lésion ne doit pas être protégée pendant l’exposition. Les lésions multiples peuvent être traitées lors de la même séance de traitement.
  • +La réponse des lésions doit être évaluée au bout de trois mois. Lors de cet examen, les lésions présentant une réponse incomplète peuvent être à nouveau traitées.
  • +
  • -L’utilisation de Metvix nécessite des connaissances spéciales en thérapie photodynamique, étant donné qu’elle peut exiger l’utilisation d’une lampe à lumière rouge. Metvix ne sera donc utilisé qu’en présence d’un médecin ou de personnel médical compétent ayant suivi une formation sur l’utilisation de la thérapie photodynamique avec Metvix.
  • +L’utilisation de Metvix nécessite des connaissances spéciales en thérapie photodynamique, étant donné qu’elle peut exiger l’utilisation d’une lampe à lumière rouge ou d’une lampe à lumière du jour artificielle. Metvix ne sera donc utilisé qu’en présence d’un médecin ou de personnel médical compétent ayant suivi une formation sur l’utilisation de la thérapie photodynamique avec Metvix.
  • -Dans de très rares cas, la thérapie photodynamique (PDT) conventionnelle avec lampe peut être un facteur déclenchant de l’amnésie globale transitoire. Bien que l’on en ignore le mécanisme exact, le stress et les douleurs liés au traitement par lampe peuvent majorer le risque de voir apparaître une amnésie transitoire. Si l’on observe des signes de confusion ou de désorientation, il est impératif d’interrompre immédiatement la thérapie photodynamique (PDT). Metvix contient de l’huile d’arachide. Il ne peut être utilisé chez les personnes hypersensibles (allergiques) à l’arachide.Metvix contient de l’alcool cétylstéarylique. L’alcool cétylstéarylique peut provoquer des réactions cutanées locales (p. ex. dermatite de contact). Metvix contient également les excipients méthylparahydroxybenzoate (E218) et propylparahydroxybenzoate (E216) qui peuvent provoquer des réactions allergiques, y compris des réactions tardives.
  • +Dans de très rares cas, la thérapie photodynamique (PDT) conventionnelle avec lampe à lumière rouge peut être un facteur déclenchant de l’amnésie globale transitoire. Bien que l’on en ignore le mécanisme exact, le stress et les douleurs liés au traitement par lampe peuvent majorer le risque de voir apparaître une amnésie transitoire. Si l’on observe des signes de confusion ou de désorientation, il est impératif d’interrompre immédiatement la thérapie photodynamique (PDT).
  • +Metvix contient de l’huile d’arachide. Il ne peut être utilisé chez les personnes hypersensibles (allergiques) à l’arachide.
  • +Metvix contient de l’alcool cétylstéarylique. L’alcool cétylstéarylique peut provoquer des réactions cutanées locales (p. ex. dermatite de contact).
  • +Metvix contient également les excipients méthylparahydroxybenzoate (E218) et propylparahydroxybenzoate (E216) qui peuvent provoquer des réactions allergiques, y compris des réactions tardives.
  • -Fréquent: paresthésie, céphalée
  • +Fréquents : paresthésie, céphalée
  • -Occasionnel: gonflement oculaire, douleur au niveau des yeux, œdème palpébral
  • +Occasionnels : gonflement oculaire, douleur au niveau des yeux, œdème palpébral
  • -Occasionnel: saignement de la plaie
  • +Occasionnels : saignement de la plaie
  • -Occasionnel: nausée
  • +Occasionnels : Nausée
  • -Fréquent: infection cutanée, ulcères cutanés, œdème cutané, gonflement cutané, cloques, saignements cutanés, prurit, desquamation, sensation de chaleur cutanée
  • -Occasionnel: urticaire, éruption cutanée, irritation cutanée, réaction de photosensibilisation, hypo-/hyperpigmentation, boutons de chaleur, sensation d’inconfort cutané, angio-œdème, œdème facial (gonflement du visage), eczéma au site d’application, dermite de contact allergique, éruption pustuleuse au site d’application.
  • +Fréquents : infection cutanée, ulcères cutanés, œdème cutané, gonflement cutané, cloques, saignements cutanés, prurit, desquamation, sensation de chaleur cutanée
  • +Occasionnels : urticaire, éruption cutanée, irritation cutanée, réaction de photosensibilisation, hypo-/hyperpigmentation, boutons de chaleur, sensation d’inconfort cutané, angio-œdème, œdème facial (gonflement du visage), eczéma au site d’application, dermite de contact allergique, éruption pustuleuse au site d’application.
  • -Fréquent: suintement au site d’application, sensation de chaleur
  • -Occasionnel: fatigue
  • +Fréquent : suintement au site d’application, sensation de chaleur
  • +Occasionnels : Fatigue
  • -L’annonce d’effets indésirables présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet indésirable nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Après administration topique de méthyl aminolévulinate, des porphyrines photoactives s’accumulent de manière intracellulaire dans les lésions cutanées traitées. Le méthyl aminolévulinate est un ester de l’acide aminolévulinique (ALA), un précurseur initial endogène de la biosynthèse de l’hème. Par l’apport exogène de ALA ou de méthyl aminolévulinate, la voie de synthèse de l’ALA à partir de succinyl CoA et de glycine, contrôlée par l’hème et catalysée par l’ALAsynthéthase est contournée. Cette réaction provoque une accumulation intracellulaire de produits intermédiaires de porphyrine, y compris la protoporphyrine IX.
  • +Après administration topique de méthyl aminolévulinate, des porphyrines photoactives s’accumulent de manière intracellulaire dans les lésions cutanées traitées. Le méthyl aminolévulinate est un ester de l’acide aminolévulinique (ALA), un précurseur initial endogène de la biosynthèse de l’hème. Par l’apport exogène de ALA ou de méthyl aminolévulinate, la voie de synthèse de l’ALA à partir de succinyl CoA et de glycine, contrôlée par l’hème et catalysée par l’ALA-synthéthase est contournée. Cette réaction provoque une accumulation intracellulaire de produits intermédiaires de porphyrine, y compris la protoporphyrine IX.
  • -Les données à long terme actuellement disponibles jusqu’à 12 mois montrent un taux de récidive de respectivement 15 % et 16 % pour chacune des deux modalités thérapeutiques. La taille de l’étude avec 50 patients par groupe n’autorise que partiellement une analyse de sous-groupe en fonction de la taille des lésions et de la localisation. Cependant, les taux de récidive pour la localisation au niveau du cou et du tronc semblent plus faibles qu’au niveau du visage et des extrémités. A la différence des autres études, le traitement par Metvix lors du premier cycle consistait en premier lieu uniquement en un traitement unique; c’est seulement lors du 2e cycle que deux traitements (si nécessaires) ont été appliqués. Un nombre relativement faible de patients porteurs de carcinome basocellulaire de la face ont été inclus dans l’étude. Les effets indésirables locaux ont été nettement plus importants sous cryothérapie, sans toutefois poser de grands problèmes ici non plus pour des symptômes au plus d’intensité modérée. Les résultats cosmétiques observés avec Metvix ont été nettement meilleurs. Le taux de récidive ne peut pas encore être déterminé pour une évolution de 24 mois.
  • +Les données à long terme actuellement disponibles jusqu’à 12 mois montrent un taux de récidive de respectivement 15 % et 16 % pour chacune des deux modalités thérapeutiques. La taille de l’étude avec 50 patients par groupe n’autorise que partiellement une analyse de sous-groupe en fonction de la taille des lésions et de la localisation. Cependant, les taux de récidive pour la localisation au niveau du cou et du tronc semblent plus faibles qu’au niveau du visage et des extrémités. À la différence des autres études, le traitement par Metvix lors du premier cycle consistait en premier lieu uniquement en un traitement unique; c’est seulement lors du 2e cycle que deux traitements (si nécessaires) ont été appliqués. Un nombre relativement faible de patients porteurs de carcinome basocellulaire de la face ont été inclus dans l’étude. Les effets indésirables locaux ont été nettement plus importants sous cryothérapie, sans toutefois poser de grands problèmes ici non plus pour des symptômes au plus d’intensité modérée. Les résultats cosmétiques observés avec Metvix ont été nettement meilleurs. Le taux de récidive ne peut pas encore être déterminé pour une évolution de 24 mois.
  • -Juin 2020
  • +Décembre 2021.
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