88 Changements de l'information professionelle MultiHance |
-Solution d'injection.
-1 ml de solution d'injection contient:
-529 mg de gadobénate de diméglumine correspondant à 334 mg d'acide gadobénique (0.5 mmol/ml) et 195 mg de méglumine.
- +Solution d’injection
- +1 ml de solution d’injection contient:
- +529 mg de gadobénate de diméglumine correspondant à 334 mg d’acide gadobénique (0.5 mmol/ml) et 195 mg de méglumine.
-Solution d'injection Gadobénate de diméglumine
- +Solution d’injection Gadobénate de diméglumine
-Osmolalité à 37 °C: 1.970 osmol/kg.
-Viscosité à 37 °C: 5.3 mPa × s.
- +Osmolalité à 37°C: 1.970 osmol/kg.
- +Viscosité à 37°C: 5.3 mPa × s.
-MultiHance est un produit de contraste paramagnétique utilisé pour le diagnostic par IRM (imagerie par résonance magnétique):
-·du foie pour la détection de lésions hépatiques focalisées chez les patients pour lesquels un cancer hépatique primitif (par ex. hépatocarcinome) ou secondaire est suspecté ou connu;
-·du cerveau et de la moelle épinière car il améliore la détection des lésions et apporte des informations diagnostiques supplémentaires comparativement à une IRM sans produit de contraste.
-·Angiographie par résonance magnétique (ARM).
-·IRM des seins féminins pour la détection des lésions malignes chez des patientes pour lesquelles a été diagnostiqué ou suspecté un cancer du sein sur la base d'une mammographie ou échographie antérieure.
- +MultiHance est un produit de contraste paramagnétique utilisé pour le diagnostic par IRM (imagerie par résonance magnétique) du foie pour la détection de lésions hépatiques focalisées chez les patients pour lesquels un cancer hépatique primitif (par ex. hépatocarcinome) ou secondaire est suspecté ou connu;
- +Il peut être utilisé que si les informations de diagnostic est essentielle, un IRM sans rehaussement du contraste ne peut être soulevée et l'imagerie de la phase tardive est nécessaire.
- +La dose la plus faible possible doit être utilisée pour obtenir un rehaussement de contraste suffisant à des fins de diagnostic.
-SNC et ARM: la dose recommandée est de 0.1 mmol/kg de poids corporel (soit 0.2 ml/kg de la solution 0.5 M).
-IRM des seins: la dose recommandée est de 0.1 mmol/kg de poids corporel (soit 0.2 ml/kg de la solution 0.5 M).
-Le produit doit être administré par voie intraveineuse, soit en bolus soit en injection lente (10 ml/min) sans dilution préalable. L'examen peut être effectué immédiatement après l'injection en bolus (IRM dynamique). Pour le SNC, la fenêtre d'imagerie a été définie jusqu'à 60 minutes après l'administration. Pour le foie, une imagerie retardée est possible entre 40 et 120 minutes après l'injection (IRM retardée), en fonction du type d'imagerie nécessaire.
-Pour l'examen par ARM, il faut injecter le produit de contraste en bolus (2 ml/sec) et l'imagerie devrait être initiée immédiatement après l'administration.
-Pour l'angiographie numérique de soustraction («DSA»), l'imagerie devrait être initiée directement avant l'administration du produit de contraste. Si l'on n'utilise pas une séquence automatisée d'impulsions à détection par contraste, il faudrait alors utiliser une injection test en bolus avec moins de 2 ml du produit afin de calculer l'intervalle de balayage approprié.
-Pour l'IRM des seins: saisie dynamique pondérée en T1, immédiatement après l'injection en bolus, puis répétition au bout de 2, 4, 6 et 8 minutes.
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- +Le produit doit être administré par voie intraveineuse, soit en bolus soit en injection lente (10 ml/min) sans dilution préalable. L’examen peut être effectué immédiatement après l’injection en bolus (IRM dynamique). Pour le foie, une imagerie retardée est possible entre 40 et 120 minutes après l’injection (IRM retardée), en fonction du type d’imagerie nécessaire.
- +Pour l’angiographie numérique de soustraction («DSA»), l’imagerie devrait être initiée directement avant l’administration du produit de contraste. Si l’on n’utilise pas une séquence automatisée d’impulsions à détection par contraste, il faudrait alors utiliser une injection test en bolus avec moins de 2 ml du produit afin de calculer l’intervalle de balayage approprié.
-MultiHance doit être introduit dans la seringue immédiatement avant l'injection et ne doit pas être dilué. Tout reliquat éventuel doit être jeté et ne doit pas être utilisé pour d'autres examens d'IRM.
- +MultiHance doit être introduit dans la seringue immédiatement avant l’injection et ne doit pas être dilué. Tout reliquat éventuel doit être jeté et ne doit pas être utilisé pour d’autres examens d’IRM.
-MultiHance seringue préremplie doit être utilisée immédiatement après l'ouverture. La solution ne doit pas être diluée. Tout reliquat éventuel doit être jeté et ne doit pas être utilisé pour d'autres examens d'IRM.
-Pour diminuer le risque d'extravasation de MultiHance dans les tissus mous environnants, il est conseillé de s'assurer de la bonne disposition de l'aiguille ou de la canule dans la veine.
-L'injection doit être suivie d'une injection de solution de chlorure de sodium.
-Enfants de plus de 2 ans et adolescents:
-SNC: la dose recommandée chez les enfants de plus de 2 ans et les adolescents est de 0.1 mmol/kg de poids corporel (correspond à 0.2 ml/kg de la solution 0.5 M).
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- +MultiHance seringue préremplie doit être utilisée immédiatement après l’ouverture. La solution ne doit pas être diluée. Tout reliquat éventuel doit être jeté et ne doit pas être utilisé pour d’autres examens d’IRM.
- +Pour diminuer le risque d’extravasation de MultiHance dans les tissus mous environnants, il est conseillé de s’assurer de la bonne disposition de l’aiguille ou de la canule dans la veine.
- +L’injection doit être suivie d’une injection de solution de chlorure de sodium.
-En l'absence d'études réalisées chez l'insuffisant rénal sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), MultiHance ne doit donc pas être utilisé chez ces patients.
- +En l’absence d’études réalisées chez l’insuffisant rénal sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), MultiHance ne doit donc pas être utilisé chez ces patients.
-Chez les personnes âgées, la probabilité de rencontrer une insuffisance de la fonction rénale est élevée. MultiHance est principalement excrété par les reins. De ce fait, il convient de procéder à un examen préalable de la fonction rénale chez les personnes âgées avant l'administration de MultiHance.
- +Chez les personnes âgées, la probabilité de rencontrer une insuffisance de la fonction rénale est élevée. MultiHance est principalement excrété par les reins. De ce fait, il convient de procéder à un examen préalable de la fonction rénale chez les personnes âgées avant l’administration de MultiHance.
-Une adaptation de la dose n'est pas nécessaire. Une IRM du cerveau et de la moelle épinière n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 2 ans. Une IRM du foie ou une ARM n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans.
- +Une IRM du foie n’est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans. Une adaptation de la dose n’est pas nécessaire.
-MultiHance est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité à l'un de ses constituants.
-MultiHance ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents d'allergie ou d'effets indésirables liés à d'autres chélates de gadolinium.
- +MultiHance est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité à l’un de ses constituants.
- +MultiHance ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents d’allergie ou d’effets indésirables liés à d’autres chélates de gadolinium.
-Pendant l'emploi de MultiHance on a observé, en particulier chez les patients présentant une pathologie cardiovasculaire, une prolongation de l'intervalle QTc. On ne connaît pas l'importance clinique de cette observation. L'emploi de MultiHance demande beaucoup de précaution: chez les patients avec QT-Syndrome congénitale ou anamnèse familiale correspondante, chez les patients qui ont déjà réagi avec des troubles du rythme cardiaque après l'utilisation de médicaments qui ont un effet de prolongation sur la repolarisation, chez les patients qui sont soumis à un traitement avec des médicaments de prolongation sur la repolarisation tels que p.ex. antiarythmique de la classe III (p.ex. amiodarone, sotalol), chez les patients souffrant d'hypokaliémie non soignée.
-Les patients doivent être maintenus sous surveillance étroite pendant les 15 minutes suivant l'injection, puisque la majorité des réactions graves surviennent dans ce délai de temps. Le patient devra rester en environnement médical pendant l'heure suivant l'injection de MultiHance.
-Des cas de «fibrose systémique néphrogénique/dermopathie fibrosante néphrogénique» (FSN/DFN) ont été rapportés en relation avec l'utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium chez des patients souffrant d'insuffisance rénale grave (FRG <30 ml/min/1.73 m²). Comme la possibilité existe que des FSN/DFN surviennent avec MultiHance, il ne devrait être utilisé chez ces patients qu'après une soigneuse pondération du bénéfice et du risque. Une hémodialyse immédiatement après l'administration de MultiHance chez des patients habitués à subir une hémodialyse peut être utile pour éliminer MultiHance du corps. Il n'y a aucune preuve appuyant l'initiation d'une hémodialyse pour prévenir ou traiter des FSN chez des patients n'ayant jamais eu d'hémodialyse.
-Les procédures habituelles de sécurité en imagerie par résonance magnétique doivent être appliquées lors de l'emploi de MultiHance, en particulier l'exclusion de tout patient porteur de matériel ferromagnétique (pacemakers ou clips vasculaires par exemple).
- +Pendant l’emploi de MultiHance on a observé, en particulier chez les patients présentant une pathologie cardiovasculaire, une prolongation de l’intervalle QTc. On ne connaît pas l’importance clinique de cette observation. L’emploi de MultiHance demande beaucoup de précaution: chez les patients avec QT-Syndrome congénitale ou anamnèse familiale correspondante, chez les patients qui ont déjà réagi avec des troubles du rythme cardiaque après l’utilisation de médicaments qui ont un effet de prolongation sur la repolarisation, chez les patients qui sont soumis à un traitement avec des médicaments de prolongation sur la repolarisation tels que p.ex. antiarythmique de la classe III (p.ex. amiodarone, sotalol), chez les patients souffrant d’hypokaliémie non soignée.
- +Les patients doivent être maintenus sous surveillance étroite pendant les 15 minutes suivant l’injection, puisque la majorité des réactions graves surviennent dans ce délai de temps. Le patient devra rester en environnement médical pendant l’heure suivant l’injection de MultiHance.
- +Des cas de «fibrose systémique néphrogénique/dermopathie fibrosante néphrogénique» (FSN/DFN) ont été rapportés en relation avec l’utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium chez des patients souffrant d’insuffisance rénale grave (FRG <30 ml/min/1.73 m²). Comme la possibilité existe que des FSN/DFN surviennent avec MultiHance, il ne devrait être utilisé chez ces patients qu’après une soigneuse pondération du bénéfice et du risque. Une hémodialyse immédiatement après l’administration de MultiHance chez des patients habitués à subir une hémodialyse peut être utile pour éliminer MultiHance du corps. Il n’y a aucune preuve appuyant l’initiation d’une hémodialyse pour prévenir ou traiter des FSN chez des patients n’ayant jamais eu d’hémodialyse.
- +Les procédures habituelles de sécurité en imagerie par résonance magnétique doivent être appliquées lors de l’emploi de MultiHance, en particulier l’exclusion de tout patient porteur de matériel ferromagnétique (pacemakers ou clips vasculaires par exemple).
-Des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées quelquefois avec une issue fatale.
-L'utilisation de produits de contraste comme MultiHance doit être réservée aux hôpitaux ou aux établissements médicaux qui sont équipés pour la prise en charge des urgences. Pour pouvoir réagir immédiatement en cas d'urgence, des médicaments (y compris adrénaline, corticostéroïdes et antihistaminiques) et des instruments correspondants, entre autres pour une réanimation cardio-respiratoire, devraient être disponibles pour réaliser une thérapie d'urgence.
-Pour les patients épileptiques, atteints de tumeurs au cerveau ou de métastases cérébrales, le risque de crises de convulsions pendant l'examen peut augmenter. Pour ces patients, des mesures de précaution devraient être prises (par exemple observation stricte) et les appareils et médicaments nécessaires devraient être disponibles au cas où une crise de convulsions surviendrait.
-De faibles quantités d'alcool benzylique (moins de 0.2%) peuvent être relarguées par le gadobénate de diméglumine durant son stockage. En conséquence, MultiHance ne doit pas être administré aux patients présentant des antécédents d'allergie à l'alcool benzylique.
-L'extravasation de MultiHance peut conduire à des réactions au site d'injection (voir rubrique Effets indésirables). La prudence est par conséquent recommandée afin d'éviter une extravasation lors de l'administration intraveineuse de MultiHance. Si une extravasation a lieu, évaluer et traiter si nécessaire en cas de réactions locales.
-Chez des patients avec une fonction rénale normale, un délai de 7 heures devra être respecté entre deux dosages répétés afin de permettre l'élimination de MultiHance par l'organisme.
- +Des réactions d’hypersensibilité ont été rapportées quelquefois avec une issue fatale.
- +L’utilisation de produits de contraste comme MultiHance doit être réservée aux hôpitaux ou aux établissements médicaux qui sont équipés pour la prise en charge des urgences. Pour pouvoir réagir immédiatement en cas d’urgence, des médicaments (y compris adrénaline, corticostéroïdes et antihistaminiques) et des instruments correspondants, entre autres pour une réanimation cardio-respiratoire, devraient être disponibles pour réaliser une thérapie d’urgence.
- +Pour les patients épileptiques, atteints de tumeurs au cerveau ou de métastases cérébrales, le risque de crises de convulsions pendant l’examen peut augmenter. Pour ces patients, des mesures de précaution devraient être prises (par exemple observation stricte) et les appareils et médicaments nécessaires devraient être disponibles au cas où une crise de convulsions surviendrait.
- +De faibles quantités d’alcool benzylique (moins de 0.2%) peuvent être relarguées par le gadobénate de diméglumine durant son stockage. En conséquence, MultiHance ne doit pas être administré aux patients présentant des antécédents d’allergie à l’alcool benzylique.
- +L’extravasation de MultiHance peut conduire à des réactions au site d’injection (voir rubrique Effets indésirables). La prudence est par conséquent recommandée afin d’éviter une extravasation lors de l’administration intraveineuse de MultiHance. Si une extravasation a lieu, évaluer et traiter si nécessaire en cas de réactions locales.
- +Chez des patients avec une fonction rénale normale, un délai de 7 heures devra être respecté entre deux dosages répétés afin de permettre l’élimination de MultiHance par l’organisme.
-Au cours du développement clinique de MultiHance, aucune étude spécifique d'interaction n'a été menée. Cependant, il n'a pas été rapporté d'interaction entre MultiHance et d'autres médicaments durant les essais cliniques.
- +Au cours du développement clinique de MultiHance, aucune étude spécifique d’interaction n’a été menée. Cependant, il n’a pas été rapporté d’interaction entre MultiHance et d’autres médicaments durant les essais cliniques.
-Il n'existe pas de données cliniques disponibles sur les conséquences de l'utilisation de MultiHance chez la femme enceinte. Pourtant il n'est pas conseillé d'administrer MultiHance chez ce groupe de patients. Dans les expérimentations sur les animaux, l'administration intraveineuse quotidienne de gadobénate de diméglumine à des rates n'a entraîné aucun effet indésirable sur le développement de l'embryon et du fœtus. Des effets indésirables sur le développement corporel et comportemental dans la progéniture des rates n'ont pas été observés non plus. Toutefois, des cas isolés de modifications squelettiques et deux cas de malformations viscérales ont été notifiés après administration quotidienne répétée à des lapines.
-Chez l'homme, on ne sait pas dans quelle proportion le gadobénate de diméglumine passe dans le lait maternel. Les études chez l'animal ont montré que de faibles quantités, moins de 0.5% de la dose administrée, ont été transmises aux nouveau-nés via le lait de la mère. Etant donné que la conséquence clinique de ce passage est inconnue, l'allaitement doit être interrompu avant l'administration de MultiHance et n'être repris qu'au moins 24 heures après l'administration de MultiHance.
- +Il n’existe pas de données cliniques disponibles sur les conséquences de l’utilisation de MultiHance chez la femme enceinte. Pourtant il n’est pas conseillé d’administrer MultiHance chez ce groupe de patients. Dans les expérimentations sur les animaux, l’administration intraveineuse quotidienne de gadobénate de diméglumine à des rates n’a entraîné aucun effet indésirable sur le développement de l’embryon et du fœtus. Des effets indésirables sur le développement corporel et comportemental dans la progéniture des rates n’ont pas été observés non plus. Toutefois, des cas isolés de modifications squelettiques et deux cas de malformations viscérales ont été notifiés après administration quotidienne répétée à des lapines.
- +Chez l’homme, on ne sait pas dans quelle proportion le gadobénate de diméglumine passe dans le lait maternel. Les études chez l’animal ont montré que de faibles quantités, moins de 0.5% de la dose administrée, ont été transmises aux nouveau-nés via le lait de la mère. Etant donné que la conséquence clinique de ce passage est inconnue, l’allaitement doit être interrompu avant l’administration de MultiHance et n’être repris qu’au moins 24 heures après l’administration de MultiHance.
-D'après les données pharmacocinétiques et pharmacodynamiques on ne s'attend aucun effet ou des effets négligeables sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. On doit pourtant tenir compte de l'état de santé du patient et de la maladie de base (surtout lors de maladies du SNC).
- +D’après les données pharmacocinétiques et pharmacodynamiques on ne s’attend aucun effet ou des effets négligeables sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. On doit pourtant tenir compte de l’état de santé du patient et de la maladie de base (surtout lors de maladies du SNC).
-Les effets indésirables suivants ont été observés au cours du développement clinique de MultiHance sur 4144 sujets adultes ou rapportés après la commercialisation. Pendant les études, aucun effet indésirable de fréquence supérieure à 2% n'a été rapporté.
-Les indications de fréquence sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100, <1/10); occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000; <1/1000); très rare (<1/10'000).
- +Les effets indésirables suivants ont été observés au cours du développement clinique de MultiHance sur 4144 sujets adultes ou rapportés après la commercialisation. Pendant les études, aucun effet indésirable de fréquence supérieure à 2% n’a été rapporté.
- +Les indications de fréquence sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100, <1/10); occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10’000; <1/1000); très rare (<1/10’000).
-Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Affections de l’oreille et du labyrinthef
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Affections du rein et des voies urinaires
-Rare: incontinence urinaire, mictions impérieuses.
- +Affections du rein et des voies urinairesRare: incontinence urinaire, mictions impérieuses.
-Fréquent: réaction au point d'injection.
-Occasionnel: sensation de chaleur, asthénie, fièvre, frissons, douleur thoracique, douleurs, douleur au point d'injection, hématome au point d'injection, extravasation.
-Rare: inflammation au point d'injection.
- +Fréquent: réaction au point d’injection.
- +Occasionnel: sensation de chaleur, asthénie, fièvre, frissons, douleur thoracique, douleurs, douleur au point d’injection, hématome au point d’injection, extravasation.
- +Rare: inflammation au point d’injection.
-Occasionnel: ECG perturbé, allongement de l'intervalle QT, hypertension.
-Rare: allongement de l'intervalle PR.
-D'autres incidents graves ont également été rapportés de manière isolée comprenant: pancréatite nécrosante, œdème pulmonaire, spasme laryngé, hypertension intracrânienne et/ou hémiparésie.
-Les anomalies biologiques suivantes ont été observées chez moins de 0.2% des patients après administration de MultiHance: diminution de l'hémoglobine, hyperleucocytose, leucopénie, augmentation des basophiles, hypoprotéinémie, hypocalcémie, hyperkaliémie, hyper- ou hypoglycémie, protéinurie, glycosurie, hématurie, hyperlipidémie, hyperbilirubinémie, augmentation du fer sérique et augmentation des taux sériques des transaminases, des phosphatases alcalines, de la lacticodeshydrogénase et de la créatininémie. Cependant, ces phénomènes ont été essentiellement observés chez des patients présentant une insuffisance hépatique connue ou une maladie métabolique sous-jacente.
-Dans la plupart des cas, il s'agissait d'événements non-graves, transitoires et qui ont régressé spontanément sans séquelle. Aucune corrélation n'a pu être établie avec l'âge, le sexe ou la dose administrée.
-Effets secondaires chez l'enfant et l'adolescent:
-Chez les patients pédiatriques ayant participé à des études cliniques, les effets secondaires les plus fréquemment rapportés étaient les vomissements (1.4%), la fièvre (0.9%) et l'hyperhidrose (0.9%). La fréquence et le type d'effet secondaire étaient semblables à ceux observés chez l'adulte.
- +Occasionnel: ECG perturbé, allongement de l’intervalle QT, hypertension.
- +Rare: allongement de l’intervalle PR.
- +D’autres incidents graves ont également été rapportés de manière isolée comprenant: pancréatite nécrosante, œdème pulmonaire, spasme laryngé, hypertension intracrânienne et/ou hémiparésie.
- +Les anomalies biologiques suivantes ont été observées chez moins de 0.2% des patients après administration de MultiHance: diminution de l’hémoglobine, hyperleucocytose, leucopénie, augmentation des basophiles, hypoprotéinémie, hypocalcémie, hyperkaliémie, hyper- ou hypoglycémie, protéinurie, glycosurie, hématurie, hyperlipidémie, hyperbilirubinémie, augmentation du fer sérique et augmentation des taux sériques des transaminases, des phosphatases alcalines, de la lacticodeshydrogénase et de la créatininémie. Cependant, ces phénomènes ont été essentiellement observés chez des patients présentant une insuffisance hépatique connue ou une maladie métabolique sous-jacente.
- +Dans la plupart des cas, il s’agissait d’événements non-graves, transitoires et qui ont régressé spontanément sans séquelle. Aucune corrélation n’a pu être établie avec l’âge, le sexe ou la dose administrée.
- +Effets secondaires chez l’enfant et l’adolescent:
- +Chez les patients pédiatriques ayant participé à des études cliniques, les effets secondaires les plus fréquemment rapportés étaient les vomissements (1.4%), la fièvre (0.9%) et l’hyperhidrose (0.9%). La fréquence et le type d’effet secondaire étaient semblables à ceux observés chez l’adulte.
-Rare: réactions anaphylactoïdes, dans certains cas avec une issue fatale.
- +Rare: réactions anaphylactoïdes, dans certains cas avec une issue fatale
-Rare: inflammation au site d'injection, brûlure, tuméfaction, formation d'ampoules.
-Des réactions au site d'injection, consécutives à une extravasation du produit de contraste entraînant localement une douleur ou une sensation de brûlure, voire une tuméfaction, l'apparition de cloques ou, dans de rares cas de tuméfaction locale sévère, une nécrose. Une thrombophlébite locale a également été rapportée dans de rares cas.
- +Rare: inflammation au site d’injection, brûlure, tuméfaction, formation d’ampoules.
- +Des réactions au site d’injection, consécutives à une extravasation du produit de contraste entraînant localement une douleur ou une sensation de brûlure, voire une tuméfaction, l’apparition de cloques ou, dans de rares cas de tuméfaction locale sévère, une nécrose. Une thrombophlébite locale a également été rapportée dans de rares cas.
-Jusqu'à présent aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Par conséquent, les signes et les symptômes du surdosage n'ont pas encore été identifiés. En cas de surdosage, une surveillance médicale étroite et un traitement symptomatique doivent être mis en place.
- +Jusqu’à présent aucun cas de surdosage n’a été rapporté. Par conséquent, les signes et les symptômes du surdosage n’ont pas encore été identifiés. En cas de surdosage, une surveillance médicale étroite et un traitement symptomatique doivent être mis en place.
-Mécanisme d'action
-Le gadobénate de diméglumine est une substance paramagnétique qui crée un moment magnétique relativement important dans un champ magnétique. Ce moment a pour effet de réduire la relaxation des protons de l'eau.
- +Mécanisme d’action
- +Le gadobénate de diméglumine est une substance paramagnétique qui crée un moment magnétique relativement important dans un champ magnétique. Ce moment a pour effet de réduire la relaxation des protons de l’eau.
-Dans l'imagerie hépatique, MultiHance permet de détecter des lésions non visualisées lors de l'examen IRM sans contraste, chez des patients atteints ou suspectés d'être porteurs de carcinome hépatique primitif ou secondaire.
-La nature des lésions visualisées après rehaussement du contraste par MultiHance n'a pas été contrôlée par examen anatomo-pathologique. De plus, lors de l'évaluation de la prise en charge du patient, la mise en évidence des lésions après administration du produit n'a pas toujours conduit à une modification de la prise en charge.
-Le gadobénate de diméglumine– un chélate du gadolinium – raccourcit le temps de relaxation longitudinal (T1) et, dans une moindre mesure, le temps de relaxation transversal (T2) des protons de l'eau tissulaire.
-Les relaxivités du gadobénate de diméglumine en solution aqueuse sont r1= 4,39 et r2= 5,56 mMs à 20 MHz.
-Lors du passage d'une solution aqueuse à une solution contenant des protéines sériques, la relaxivité du gadobénate de diméglumine s'accentue de façon importante: dans le plasma humain, les valeurs r1 et r2 sont de 9.7 et 12.5 respectivement.
-MultiHance entraîne une augmentation importante et durable de l'intensité du signale sur les images T1 pondérées dans le parenchyme hépatique normal. L'augmentation de l'intensité du signal persiste à des niveaux élevés pendant au moins deux heures après l'administration de doses de 0.05 ou 0.10 mmol/kg.
-Le contraste entre les lésions hépatiques focalisées et le parenchyme normal s'observe presque immédiatement après l'injection en bolus (dans les 2–3 minutes) sur les images dynamiques T1 pondérées. Ensuite, le contraste tend à diminuer aux temps tardifs, à cause de l'augmentation de l'intensité non spécifique de la lésion. On estime toutefois que la disparition progressive de MultiHance des lésions, associée à la persistance d'une intensité élevée du signal dans le parenchyme hépatique normal, permet d'obtenir une meilleure visualisation des lésions et un seuil de détection plus bas de la localisation des lésions, durant la période comprise entre 40 et 120 minutes après l'administration de MultiHance.
-Les données des études pivots de phases II et III chez des patients atteints d'un cancer du foie montrent que, comparativement à d'autres modalités d'imagerie (par ex. ultrasonographie peropératoire, angio-portographie scannérisée (CTAP) ou tomographie numérisée après administration intra-artérielle de produit iodé), les images obtenues avec MultiHance en IRM avaient une sensibilité moyenne de 95% et une spécificité moyenne de 80% en ce qui concerne la détection d'un cancer hépatique ou de métastases chez les patients suspects d'en être porteurs.
-Dans l'imagerie du SNC, MultiHance permet une meilleure visibilité du tissu normal sans barrière hémato-encéphalique, des tumeurs extra-axiales et des régions avec barrière hémato-encéphalique perturbée. Dans les études de phase III pertinentes pour
-l'autorisation de cette indication et menées auprès d'adultes dans des groupes parallèles, des radiologues indépendants ont rapporté une amélioration du contenu de l'information diagnostique de 32 à 69% des images réalisées avec MultiHance, et de 35 à 69% des images réalisées avec le produit de comparaison.
-Au cours de deux études en intra-patients (cross-over) comparant 0.1 mmol/kg de poids corporel de MultiHance avec 0.1 mmol/kg de poids corporel avec deux comparateurs actifs (gadopentétate de diméglumine ou gadodiamide), menées chez des patients ayant une pathologie connue ou suspectée du cerveau ou de la moelle épinière nécessitant une IRM du système nerveux central (SNC), MultiHance a permis une amélioration significative (p <0.001) de l'intensité du signal de la lésion, du rapport contraste-bruit de fond et du rapport lésion-cerveau, ainsi que l'amélioration de la visualisation des lésions du SNC sur des images obtenues avec les appareils de 1.5 Tesla, comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
-Critères en termes de visualisation des lésions du SNC Amélioration apportée par MultiHance par rapport au gadopentétate de diméglumine (étude MH-109, n=151) Valeur de p Amélioration apportée par MultiHance par rapport au gadodiamide (étude MH-130, n=113) Valeur de p
-Évaluation de l'étendue des lésions du SNC 25% à 30% <0.001 24% à 25% <0.001
- +Dans l’imagerie hépatique, MultiHance permet de détecter des lésions non visualisées lors de l’examen IRM sans contraste, chez des patients atteints ou suspectés d’être porteurs de carcinome hépatique primitif ou secondaire.
- +La nature des lésions visualisées après rehaussement du contraste par MultiHance n’a pas été contrôlée par examen anatomo-pathologique. De plus, lors de l’évaluation de la prise en charge du patient, la mise en évidence des lésions après administration du produit n’a pas toujours conduit à une modification de la prise en charge.
- +Le gadobénate de diméglumine– un chélate du gadolinium – raccourcit le temps de relaxation longitudinal (T1) et, dans une moindre mesure, le temps de relaxation transversal (T2) des protons de l’eau tissulaire.
- +Les relaxivités du gadobénate de diméglumine en solution aqueuse sont r1= 4,39 et r2= 5,56 mM–1s–1 à 20 MHz.
- +Lors du passage d’une solution aqueuse à une solution contenant des protéines sériques, la relaxivité du gadobénate de diméglumine s’accentue de façon importante: dans le plasma humain, les valeurs r1 et r2 sont de 9.7 et 12.5 respectivement.
- +MultiHance entraîne une augmentation importante et durable de l’intensité du signale sur les images T1 pondérées dans le parenchyme hépatique normal. L’augmentation de l’intensité du signal persiste à des niveaux élevés pendant au moins deux heures après l’administration de doses de 0.05 ou 0.10 mmol/kg.
- +Le contraste entre les lésions hépatiques focalisées et le parenchyme normal s’observe presque immédiatement après l’injection en bolus (dans les 2–3 minutes) sur les images dynamiques T1 pondérées. Ensuite, le contraste tend à diminuer aux temps tardifs, à cause de l’augmentation de l’intensité non spécifique de la lésion. On estime toutefois que la disparition progressive de MultiHance des lésions, associée à la persistance d’une intensité élevée du signal dans le parenchyme hépatique normal, permet d’obtenir une meilleure visualisation des lésions et un seuil de détection plus bas de la localisation des lésions, durant la période comprise entre 40 et 120 minutes après l’administration de MultiHance.
- +Les données des études pivots de phases II et III chez des patients atteints d’un cancer du foie montrent que, comparativement à d’autres modalités d’imagerie (par ex. ultrasonographie peropératoire, angio-portographie scannérisée (CTAP) ou tomographie numérisée après administration intra-artérielle de produit iodé), les images obtenues avec MultiHance en IRM avaient une sensibilité moyenne de 95% et une spécificité moyenne de 80% en ce qui concerne la détection d’un cancer hépatique ou de métastases chez les patients suspects d’en être porteurs.
- +Dans l’imagerie du SNC, MultiHance permet une meilleure visibilité du tissu normal sans barrière hémato-encéphalique, des tumeurs extra-axiales et des régions avec barrière hémato-encéphalique perturbée. Dans les études de phase III pertinentes pour
- +l’autorisation de cette indication et menées auprès d’adultes dans des groupes parallèles, des radiologues indépendants ont rapporté une amélioration du contenu de l’information diagnostique de 32 à 69% des images réalisées avec MultiHance, et de 35 à 69% des images réalisées avec le produit de comparaison.
- +Au cours de deux études en intra-patients (cross-over) comparant 0.1 mmol/kg de poids corporel de MultiHance avec 0.1 mmol/kg de poids corporel avec deux comparateurs actifs (gadopentétate de diméglumine ou gadodiamide), menées chez des patients ayant une pathologie connue ou suspectée du cerveau ou de la moelle épinière nécessitant une IRM du système nerveux central (SNC), MultiHance a permis une amélioration significative (p <0.001) de l'intensité du signal de la lésion, du rapport contraste-bruit de fond et du rapport lésion-cerveau, ainsi que l’amélioration de la visualisation des lésions du SNC sur des images obtenues avec les appareils de 1.5 Tesla, comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
- +Critères en termes de visualisation des lésions du SNC Amélioration apportée par MultiHance par rapport au gadopentétate de diméglumine (étude MH-109, n=151) Valeur de p Amélioration apportée par MultiHance par rapport au gadodiamide (étude MH-130, n=113) Valeur de p
- +Évaluation de l’étendue des lésions du SNC 25% à 30% <0.001 24% à 25% <0.001
-Dans les essais MH-109 et MH-130, l'impact de l'amélioration de la visualisation des lésions du SNC obtenue avec MultiHance, par rapport au gadodiamide ou au gadopentétate de diméglumine, sur la conclusion diagnostique et la prise en charge des patients, n'a pas été étudié.
-Dans l'ARM, MultiHance conduit à une amélioration de la qualité de l'image par l'augmentation du rapport signal sanguin sur bruit, en raccourcissant la durée du T1 du sang. Cela engendre une réduction des artefacts de mouvement grâce plus courte durée de l'examen et l'élimination des artefacts de flux. L'évaluation hors-site durant des essais de phase III de scans ARM d'artères allant du territoire supra-aortique à la circulation pédale a montré une amélioration de la fiabilité diagnostique pour la détection de lésions sténo-occlusives cliniquement significatives (i.e. sténose de >51% ou >60% selon le territoire vasculaire) allant de 8% à 28% par rapport à l'ARM temps de vol (TOF), sur la base des résultats de l'angiographie conventionnelle.
-Pour l'IRM des seins féminins, MultiHance renforce le contraste entre le tissu tumoral et le tissu sain contigu et améliore ainsi la représentation des carcinomes mammaires.
-Pour un essai croisé intra-individuel de phase III, MultiHance (0.1 mmol/kg de poids corporel) est utilisé pour l'IRM de patientes pour lesquelles un cancer du sein est diagnostiqué ou suspecté sur la base d'une mammographie ou échographie antérieure. Les enregistrements ont été exploités par trois lecteurs extérieurs en aveugle n'ayant aucun lien avec les centres d'étude. Les résultats sont présentés dans le tableau ci-dessous:
- +Dans les essais MH-109 et MH-130, l'impact de l’amélioration de la visualisation des lésions du SNC obtenue avec MultiHance, par rapport au gadodiamide ou au gadopentétate de diméglumine, sur la conclusion diagnostique et la prise en charge des patients, n'a pas été étudié.
- +Dans l’ARM, MultiHance conduit à une amélioration de la qualité de l’image par l’augmentation du rapport signal sanguin sur bruit, en raccourcissant la durée du T1 du sang. Cela engendre une réduction des artefacts de mouvement grâce plus courte durée de l’examen et l’élimination des artefacts de flux. L’évaluation hors-site durant des essais de phase III de scans ARM d’artères allant du territoire supra-aortique à la circulation pédale a montré une amélioration de la fiabilité diagnostique pour la détection de lésions sténo-occlusives cliniquement significatives (i.e. sténose de >51% ou >60% selon le territoire vasculaire) allant de 8% à 28% par rapport à l’ARM temps de vol (TOF), sur la base des résultats de l’angiographie conventionnelle.
- +Pour l’IRM des seins féminins, MultiHance renforce le contraste entre le tissu tumoral et le tissu sain contigu et améliore ainsi la représentation des carcinomes mammaires.
- +Pour un essai croisé intra-individuel de phase III, MultiHance (0.1 mmol/kg de poids corporel) est utilisé pour l’IRM de patientes pour lesquelles un cancer du sein est diagnostiqué ou suspecté sur la base d’une mammographie ou échographie antérieure. Les enregistrements ont été exploités par trois lecteurs extérieurs en aveugle n’ayant aucun lien avec les centres d’étude. Les résultats sont présentés dans le tableau ci-dessous :
-Lésions vraies positives 132 134 136
-Lésions vraies négatives 43 46 48
-Lésions fausses positives 29 26 24
-Lésions fausses négatives 12 10 8
-
- +Lésions vraies positives Lésions vraies négatives Lésions fausses positives Lésions fausses négatives 132 43 29 12 134 46 26 10 136 48 24 8
- +Ne contient que des lésions à diagnostic définitif confirmé par défaut. Dépistage de l’affection maligne sur la base du diagnostic confirmé par défaut, des résultats de l’IRM après correction.
- +
-Ne contient que des lésions à diagnostic définitif confirmé par défaut.
-Dépistage de l'affection maligne sur la base du diagnostic confirmé par défaut, des résultats de l'IRM après correction.
-Aucune donnée d'examen IRM de la poitrine d'hommes n'a été prélevée.
- +Aucune donnée d’examen IRM de la poitrine d’hommes n’a été prélevée.
-L'ion gadobénate ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique intacte; en conséquence il ne s'accumule pas dans le tissu cérébral sain, ni dans les lésions avec barrière hémato-encéphalique intacte. Cependant, la rupture de la barrière hémato-encéphalique ou une vascularisation anormale permettent la pénétration de l'ion gadobénate dans la lésion.
-La pharmacocinétique humaine a été décrite en utilisant un modèle de décroissance biexponentielle. Les valeurs de la concentration plasmatique et l'aire sous la courbe (ASC) montrent une relation linéaire statistiquement significative avec la dose administrée. La demi-vie apparente de distribution est comprise entre 0.085 et 0.117 heures.
- +L’ion gadobénate ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique intacte; en conséquence il ne s’accumule pas dans le tissu cérébral sain, ni dans les lésions avec barrière hémato-encéphalique intacte. Cependant, la rupture de la barrière hémato-encéphalique ou une vascularisation anormale permettent la pénétration de l’ion gadobénate dans la lésion.
- +La pharmacocinétique humaine a été décrite en utilisant un modèle de décroissance biexponentielle. Les valeurs de la concentration plasmatique et l’aire sous la courbe (ASC) montrent une relation linéaire statistiquement significative avec la dose administrée. La demi-vie apparente de distribution est comprise entre 0.085 et 0.117 heures.
-Le volume total apparent de distribution, compris entre 0.170 et 0.248 l/kg de poids corporel, indique que le composé se distribue dans le plasma et dans l'espace extracellulaire. La demi-vie apparente d'élimination est comprise entre 1.17 et 1.68 heures.
-L'ion gadobénate est rapidement éliminé du plasma et excrété essentiellement dans les urines et, dans une moindre mesure dans la bile. La clairance plasmatique totale, comprise entre 0.098–0.133 l/h/kg de poids corporel, et la clairance rénale, comprise entre 0.082–0.104 l/h/kg de poids corporel, indiquent que le composé est éliminé principalement par filtration glomérulaire.
- +Le volume total apparent de distribution, compris entre 0.170 et 0.248 l/kg de poids corporel, indique que le composé se distribue dans le plasma et dans l’espace extracellulaire. La demi-vie apparente d’élimination est comprise entre 1.17 et 1.68 heures.
- +L’ion gadobénate est rapidement éliminé du plasma et excrété essentiellement dans les urines et, dans une moindre mesure dans la bile. La clairance plasmatique totale, comprise entre 0.098–0.133 l/h/kg de poids corporel, et la clairance rénale, comprise entre 0.082–0.104 l/h/kg de poids corporel, indiquent que le composé est éliminé principalement par filtration glomérulaire.
-Les propriétés pharmacocinétiques d'un bolus de 0.2 mmol/kg de gadobénate de diméglumine (0.5 M) administré par voie intraveineuse ont fait l'objet d'une étude en double aveugle contrôlée par le placebo où on a traité 20 sujets avec MultiHance et 12 sujets avec placebo. Dans cette étude on a traité des sujets avec une légère insuffisance de la fonction rénale (Créatinine Clearance >30 ml/min jusqu'à ≤60 ml/min). La demi-vie apparente d'élimination du gadobénate de diméglumine était de 6.1 heures chez les patients avec une légère insuffisance, 9.5 heures chez les patients avec une insuffisance grave et 1 ou 2 heures chez les patients sains. Le type et la fréquence des effets indésirables chez les patients sains et les patients souffrant d'une insuffisance de la fonction rénale étaient comparables. L'utilisation de MultiHance cause une aggravation de la fonction rénale. Chez les patients souffrant d'une insuffisance de la fonction rénale au stade terminal, on doit tenir compte de la possibilité d'éliminer MultiHance par hémodialyse. Après 4 heures de dialyse, approximativement 72% de la dose administrée sont récupérés dans le dialysat.
- +Les propriétés pharmacocinétiques d’un bolus de 0.2 mmol/kg de gadobénate de diméglumine (0.5 M) administré par voie intraveineuse ont fait l’objet d’une étude en double aveugle contrôlée par le placebo où on a traité 20 sujets avec MultiHance et 12 sujets avec placebo. Dans cette étude on a traité des sujets avec une légère insuffisance de la fonction rénale (Créatinine Clearance >30 ml/min jusqu’à ≤60 ml/min). La demi-vie apparente d’élimination du gadobénate de diméglumine était de 6.1 heures chez les patients avec une légère insuffisance, 9.5 heures chez les patients avec une insuffisance grave et 1 ou 2 heures chez les patients sains. Le type et la fréquence des effets indésirables chez les patients sains et les patients souffrant d’une insuffisance de la fonction rénale étaient comparables. L’utilisation de MultiHance cause une aggravation de la fonction rénale. Chez les patients souffrant d’une insuffisance de la fonction rénale au stade terminal, on doit tenir compte de la possibilité d’éliminer MultiHance par hémodialyse. Après 4 heures de dialyse, approximativement 72% de la dose administrée sont récupérés dans le dialysat.
-L'analyse pharmacocinétique a porté sur les données de concentration systémique du produit en fonction du temps chez 80 sujets (40 adultes volontaires sains et 40 enfants) âgés de 2 à 47 ans, après administration intraveineuse de gadobénate de diméglumine. La cinétique du gadolinium jusqu'à l'âge de 2 ans peut être décrite par un modèle bicompartimental avec des coefficients allométriques standard et la clairance de la créatinine (reflétant le taux de filtration glomérulaire) en tant qu'effet de covariance sur la clairance du gadolinium. Les valeurs des paramètres pharmacocinétiques (relatives au poids corporel d'un adulte) sont cohérentes avec les valeurs précédemment rapportées pour MultiHance et avec la physiologie sous-jacente de distribution et d'élimination de MultiHance supposée: distribution dans le liquide extracellulaire (environ 15 l chez l'adulte ou 0.21 l/kg) et élimination par filtration glomérulaire (environ 130 ml de plasma par minute chez l'adulte ou 7.8 l/h et 0.11 l/h/kg). La clairance et le volume de distribution diminuent progressivement chez le sujet jeune du fait de la moindre taille corporelle. Cet effet peut être largement expliqué par la normalisation des paramètres pharmacocinétiques en fonction du poids corporel. Sur cette base, la posologie de MultiHance chez l'enfant, en fonction du poids corporel, entraîne une exposition systémique (ASC) et une concentration maximale (Cmax) similaires à celles rapportées pour l'adulte et confirme qu'il n'est pas nécessaire d'ajuster la posologie chez l'enfant dans la tranche d'âge proposée (2 ans et plus).
- +L’analyse pharmacocinétique a porté sur les données de concentration systémique du produit en fonction du temps chez 80 sujets (40 adultes volontaires sains et 40 enfants) âgés de 2 à 47 ans, après administration intraveineuse de gadobénate de diméglumine. La cinétique du gadolinium jusqu’à l’âge de 2 ans peut être décrite par un modèle bicompartimental avec des coefficients allométriques standard et la clairance de la créatinine (reflétant le taux de filtration glomérulaire) en tant qu’effet de covariance sur la clairance du gadolinium. Les valeurs des paramètres pharmacocinétiques (relatives au poids corporel d‘un adulte) sont cohérentes avec les valeurs précédemment rapportées pour MultiHance et avec la physiologie sous-jacente de distribution et d’élimination de MultiHance supposée: distribution dans le liquide extracellulaire (environ 15 l chez l’adulte ou 0.21 l/kg) et élimination par filtration glomérulaire (environ 130 ml de plasma par minute chez l’adulte ou 7.8 l/h et 0.11 l/h/kg). La clairance et le volume de distribution diminuent progressivement chez le sujet jeune du fait de la moindre taille corporelle. Cet effet peut être largement expliqué par la normalisation des paramètres pharmacocinétiques en fonction du poids corporel. Sur cette base, la posologie de MultiHance chez l’enfant, en fonction du poids corporel, entraîne une exposition systémique (ASC) et une concentration maximale (Cmax) similaires à celles rapportées pour l’adulte et confirme qu’il n’est pas nécessaire d’ajuster la posologie chez l’enfant dans la tranche d’âge proposée (2 ans et plus).
-Après administration réitérée de fortes doses de MultiHance à des rats et des chiens, une modification importante des valeurs hématologiques a été observée. Cette modification était toutefois réversible après l'arrêt de la prise de MultiHance.
-Les expérimentations sur les animaux montrent une mauvaise tolérance locale de MultiHance, en particulier lors d'administration accidentelle paraveineuse où on a remarqué des réactions locales graves telles que nécroses et des formations de croûtes; c'est pourquoi il est particulièrement important de s'assurer que l'aiguille ou la canule est correctement positionnée dans la veine.
- +Après administration réitérée de fortes doses de MultiHance à des rats et des chiens, une modification importante des valeurs hématologiques a été observée. Cette modification était toutefois réversible après l’arrêt de la prise de MultiHance.
- +Les expérimentations sur les animaux montrent une mauvaise tolérance locale de MultiHance, en particulier lors d’administration accidentelle paraveineuse où on a remarqué des réactions locales graves telles que nécroses et des formations de croûtes; c’est pourquoi il est particulièrement important de s’assurer que l’aiguille ou la canule est correctement positionnée dans la veine.
-MultiHance n'a montré aucun effet mutagène tant dans les tests in vitro qu'in vivo.
- +MultiHance n’a montré aucun effet mutagène tant dans les tests in vitro qu’in vivo.
-MultiHance ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
- +MultiHance ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Conserver à température ambiante (15–25 °C).
- +Conserver à température ambiante (15–25°C).
-MultiHance doit être aspiré dans la seringue, en utilisant une technique stérile, immédiatement avant l'usage.
- +MultiHance doit être aspiré dans la seringue, en utilisant une technique stérile, immédiatement avant l’usage.
-Avant l'usage, le flacon et la fermeture doivent être examinés afin de détecter tout dommage éventuel.
- +Avant l’usage, le flacon et la fermeture doivent être examinés afin de détecter tout dommage éventuel.
-a) Tourner dans le sens des aiguilles d'une montre l'extrémité du piston dans la seringue et pousser le piston de quelques millimètres vers l'avant afin d'éliminer toute éventuelle résistance entre le piston et la membrane de la seringue.
-b) Tenir la seringue préremplie vers le haut (le bouchon en caoutchouc est dirigé vers le haut), enlever aseptiquement le bouchon en caoutchouc de la seringue et fixer en tournant et en appuyant soit une canule stérile à usage unique, soit un cathéter stérile à usage unique avec un embout Luer compatible.
-c) Tenir la seringue préremplie toujours vers le haut, pousser le piston vers l'avant jusqu'à l'expulsion de tout l'air et que le liquide apparaisse à l'extrémité de la canule ou remplisse tout le tuyau. Réaliser l'injection après un test d'aspiration habituel. Rincer la seringue avec une solution saline physiologique afin de s'assurer que toute la dose du produit de contraste a été injectée.
-Précautions particulières pour l'élimination
-Si MultiHance est utilisé à l'aide d'un injecteur, il est très important que la tubulure de connexion au patient et les pièces à usage unique soient éliminées après chaque examen du patient. Veuillez prendre note des éventuelles indications supplémentaires pour l'élimination du produit.
- +a) Tourner dans le sens des aiguilles d’une montre l’extrémité du piston dans la seringue et pousser le piston de quelques millimètres vers l’avant afin d’éliminer toute éventuelle résistance entre le piston et la membrane de la seringue.
- +b) Tenir la seringue préremplie vers le haut (le bouchon en caoutchouc est dirigé vers le haut), enlever aseptiquement le bouchon en caoutchouc de la seringue et fixer en tournant et en appuyant soit une canule stérile à usage unique, soit un cathéter stérile à usage unique avec un embout Luer compatible.
- +c) Tenir la seringue préremplie toujours vers le haut, pousser le piston vers l’avant jusqu´à l’expulsion de tout l’air et que le liquide apparaisse à l’extrémité de la canule ou remplisse tout le tuyau. Réaliser l’injection après un test d’aspiration habituel. Rincer la seringue avec une solution saline physiologique afin de s’assurer que toute la dose du produit de contraste a été injectée.
- +Précautions particulières pour l’élimination
- +Si MultiHance est utilisé à l’aide d’un injecteur, il est très important que la tubulure de connexion au patient et les pièces à usage unique soient éliminées après chaque examen du patient. Veuillez prendre note des éventuelles indications supplémentaires pour l’élimination du produit.
-Bracco Suisse SA, Manno.
- +BRACCO SUISSE SA, Cadempino.
-Juillet 2014.
- +Février 2019
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