26 Changements de l'information professionelle Epirubicin Sandoz 10 mg/5 ml |
-Dans tous les cas, la préparation doit être administrée uniquement sous la direction d'un spécialiste expérimenté.
- +La préparation doit être administrée uniquement sous la direction d'un spécialiste expérimenté.
-En association avec d'autres cytostatiques, la posologie du chlorhydrate d'épirubicine est de 100−120 mg/m² de surface corporelle par voie i.v. toutes les 3−4 semaines.
- +En association avec d'autres cytostatiques, la posologie du chlorhydrate d'épirubicine est de 100−120 mg/m² de surface corporelle par voie i.v., toutes les 3−4 semaines.
-En général, la posologie recommandée du chlorhydrate d'épirubicine chez l'adulte est de 75−120 mg/m² de surface corporelle par voie i.v. toutes les 3 semaines, en association avec d'autres cytostatiques. Si un traitement combiné ne peut être envisagé, une monothérapie avec une dose de chlorhydrate d'épirubicine de 135 mg/m² de surface corporelle par voie i.v. toutes les 3 semaines est recommandée.
- +En général, la posologie recommandée du chlorhydrate d'épirubicine chez l'adulte est de 75−120 mg/m² de surface corporelle par voie i.v., toutes les 3 semaines, en association avec d'autres cytostatiques. Si un traitement combiné ne peut être envisagé, une monothérapie avec une dose de chlorhydrate d'épirubicine de 135 mg/m² de surface corporelle par voie i.v., toutes les 3 semaines est recommandée.
- +·Hypersensibilité à l'épirubicine, à d'autres anthracyclines ou anthracènediones ou à l'un des excipients.
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-·Hypersensibilité à l'épirubicine, à d'autres anthracyclines ou anthracènediones ou à l'un des excipients.
-Avant le début d'un traitement par l'épirubicine, les effets indésirables d'un traitement précédent (par ex. stomatite, neutropénie, thrombopénie et infections généralisées) doivent avoir disparu. Dans les traitements à hautes doses, une surveillance particulière est de rigueur en raison des risques de complications cliniques pouvant résulter d'une forte myélosuppression.
- +Avant le début d'un traitement par l'épirubicine, les effets indésirables d'un traitement précédent, par ex. stomatite, neutropénie, thrombopénie et infections généralisées, doivent avoir disparu. Dans les traitements à hautes doses, une surveillance particulière est de rigueur en raison des risques de complications cliniques pouvant résulter d'une forte myélosuppression.
-Les facteurs de risque de cardiotoxicité sont les maladies cardiovasculaires manifestes ou latentes, une irradiation médiastinale/péricardique antérieure ou simultanée, un traitement antérieur par d'autres anthracyclines ou anthracènediones, ainsi que l'administration concomitante de médicaments pouvant diminuer la contractilité cardiaque ou potentiellement cardiotoxiques (par ex. le trastuzumab).
- +Les facteurs de risque de cardiotoxicité sont les maladies cardiovasculaires manifestes ou latentes, une radiothérapie médiastinale/péricardique antérieure ou simultanée, un traitement antérieur par d'autres anthracyclines ou anthracènediones, ainsi que l'administration concomitante de médicaments pouvant diminuer la contractilité cardiaque ou potentiellement cardiotoxiques (par ex. le trastuzumab).
-L'administration de vaccins vivants ou atténués chez les patients immunosupprimés par une chimiothérapie (y compris l'épirubicine) peut provoquer des infections sévères ou fatales. L'immunisation par des vaccins vivants doit être évitée chez les patients sous épirubicine. Lors de l'utilisation de vaccins inactivés ou tués, il faut tenir compte de l'éventualité d'une diminution de la protection vaccinale.
- +L'administration de vaccins vivants ou atténués chez les patients immunosupprimés par des agents chimiothérapeutiques (y compris l'épirubicine) peut provoquer des infections sévères ou fatales. L'immunisation par des vaccins vivants doit être évitée chez les patients sous épirubicine. Lors de l'utilisation de vaccins inactivés ou tués, il faut tenir compte de l'éventualité d'une diminution de la protection vaccinale.
- +Toxicité embryo-fœtale
- +Le chlorhydrate d'épirubicine a montré un effet génotoxique dans des études in vitro et in vivo. Des évènements cardiotoxiques fœtaux/néonataux, y compris la mort du fœtus, ont été sporadiquement signalés après exposition in utero au chlorhydrate d'épirubicine. Les patientes ainsi que les patients doivent par conséquent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par Epirubicine Sandoz et pendant un certain temps après celui-ci (voir «Grossesse, Allaitement, Fertilité»).
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-L'épirubicine peut provoquer une aménorrhée ou une ménopause précoce chez les femmes préménopausées.
- +L'épirubicine peut provoquer une aménorrhée ou une ménopause précoce chez les femmes préménopausées (voir «Grossesse, Allaitement, Fertilité»).
-Des études chez l'animal ont montré des lésions fœtales et les expérimentations animales ont révélé des risques fœtaux qui dépassent largement les bénéfices thérapeutiques possibles. Ce médicament est contre-indiqué pendant la grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent recourir à une contraception sûre pendant le traitement.
-En raison de l'activité génotoxique et mutagène de l'épirubicine, qui peut causer des lésions chromosomiques dans les spermatozoïdes, l'homme doit également recourir à une contraception sûre pendant le traitement.
- +Les femmes en âge de procréer doivent éviter une grossesse pendant le traitement et utiliser une méthode efficace de contraception pendant le traitement ainsi que pendant au moins 6,5 mois après la dernière dose.
- +Il n'existe aucune étude menée avec des femmes enceintes. Le chlorhydrate d'épirubicine ne doit être utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice potentiel justifie le risque potentiel pour le fœtus.
- +Des données expérimentales sur l'animal indiquent que le chlorhydrate d'épirubicine peut causer des dommages au fœtus. Le chlorhydrate d'épirubicine ne doit pas être administré au cours du premier trimestre de la grossesse. Après utilisation du chlorhydrate d'épirubicine au cours du deuxième ou du troisième trimestre, on a observé aussi bien un développement fœtal normal que de graves malformations fœtales et des fausses-couches. Les données humaines disponibles ne permettent de corréler nettement ni la présence ni l'absence de graves malformations fœtales et de fausses-couches avec l'utilisation du chlorhydrate d'épirubicine au cours du deuxième ou du troisième trimestre.
- +La patiente doit être informée des risques potentiels pour le fœtus si le chlorhydrate d'épirubicine est utilisé pendant la grossesse ou si elle tombe enceinte au cours du traitement. Des cas d'hypokinésie ventriculaire transitoire, d'élévation transitoire des enzymes cardiaques chez des fœtus et/ou nouveau-nés ainsi que de mort de fœtus, en raison d'une cardiotoxicité due aux anthracyclines suspectée après exposition in utero à l'épirubicine au cours du deuxième ou du troisième trimestre ont été sporadiquement signalés (voir «Mises en garde et précautions»). Le fœtus et/ou le nouveau-né doivent être surveillés afin de détecter toute cardiotoxicité.
-Le médicament est contre-indiqué.
- +On ignore si le chlorhydrate d'épirubicine est excrété dans le lait humain. Étant donné que de nombreux médicaments, y compris d'autres anthracyclines, sont excrétés dans le lait humain, et en raison des éventuels effets indésirables graves du chlorhydrate d'épirubicine sur l'enfant allaité, les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Epirubicine Sandoz et pendant au moins 8 jours après la dernière dose.
- +Fertilité
- +Le chlorhydrate d'épirubicine peut induire des lésions chromosomiques dans les spermatozoïdes humains. Pendant le traitement et pendant au moins 3,5 mois après le dernier traitement, les hommes doivent par conséquent utiliser une méthode de contraception efficace.
- +Chez les femmes préménopausées, le chlorhydrate d'épirubicine peut causer une aménorrhée et une ménopause prématurée.
-Les effets indésirables sont répertoriés selon les classes d'organes et pondérés en fonction de leur degré de sévérité, en tenant compte des définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), cas isolés (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables sont répertoriés selon les classes d'organes et pondérés en fonction de leur degré de sévérité, en tenant compte des définitions suivantes: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «cas isolés» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Fréquents: douleurs gastro-intestinales*, érosion gastrointestinale*, ulcère gastro-intestinal*.
- +Fréquents: douleurs gastro-intestinales*, érosion gastro-intestinale*, ulcère gastro-intestinal*.
-L'épirubicine est métabolisée principalement par le foie. Les principaux métabolites identifiés sont l'épirubicinol (13-OH-épirubicine, qui est active, mais 10 fois moins que la substance mère), des aglycones et des glucuronides de l'épirubicine et de l'épirubicinol. Les concentrations plasmatiques du dérivé 13-OH sont inférieures à celles de l'épirubicine en dépit de courbes de métabolisation analogues.
- +L'épirubicine est métabolisée principalement par le foie. Les principaux métabolites identifiés sont l'épirubicinol (13-OH-épirubicine), qui est active, mais 10 fois moins que la substance mère, des aglycones et des glucuronides de l'épirubicine et de l'épirubicinol. Les concentrations plasmatiques du dérivé 13-OH sont inférieures à celles de l'épirubicine en dépit de courbes de métabolisation analogues.
-Décembre 2020
- +Octobre 2021
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