172 Changements de l'information professionelle Concerta 18 mg |
-Comprimés jaunes (en forme de capsules) à 18 mg, avec «alza 18» imprimé en lettres noires d’un côté.
-Comprimés gris à 27 mg, avec «alza 27» imprimé en lettres noires d’un côté.
-Comprimés blancs à 36 mg, avec «alza 36» imprimé en lettres noires d’un côté.
-Comprimés brun-rouge à 54 mg, avec «alza 54» imprimé en lettres noires d’un côté.
- +Comprimés jaunes (en forme de capsules) à 18 mg, avec «alza 18» imprimé en lettres noires d'un côté.
- +Comprimés gris à 27 mg, avec «alza 27» imprimé en lettres noires d'un côté.
- +Comprimés blancs à 36 mg, avec «alza 36» imprimé en lettres noires d'un côté.
- +Comprimés brun-rouge à 54 mg, avec «alza 54» imprimé en lettres noires d'un côté.
-Concerta est indiqué pour traiter un trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDA-H) persistant depuis l’enfance, dans le cadre d’une stratégie thérapeutique globale.
-Le traitement ne doit être commencé que par des médecins spécialisés dans les troubles du comportement de l’enfant et de l’adolescent ou de l’adulte et doit également être surveillé par ceux-ci.
-L’efficacité de Concerta dans le traitement du TDA-H a été documentée dans des études cliniques contrôlées sur des enfants et des adolescents âgés de 6 à 17 ans et sur des adultes âgés de 18 à 65 ans, qui montraient les critères DSM-IV du TDA-H.
-Une partie des enfants chez qui un TDA-H a été diagnostiqué, présentent également des symptômes à l’âge adulte. Chez l’adulte, les symptômes doivent donc déjà avoir commencé dans l’enfance lorsqu’un traitement est initié. L’emploi de Concerta devrait se limiter aux patientes et patients qui ont besoin d’un médicament dont l’effet dure de la prise matinale jusqu’au soir.
-Concerta devrait être utilisé, en tant que partie d’un programme thérapeutique complet, lorsque les mesures thérapeutiques pour stabiliser le comportement à elles seules n’ont pas suffi. Le programme thérapeutique complet pour traiter le TDA-H peut comprendre des mesures psychologiques, éducationnelles et sociales.
- +Concerta est indiqué pour traiter un trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité (TDA-H) persistant depuis l'enfance, dans le cadre d'une stratégie thérapeutique globale.
- +Le traitement ne doit être commencé que par des médecins spécialisés dans les troubles du comportement de l'enfant et de l'adolescent ou de l'adulte et doit également être surveillé par ceux-ci.
- +L'efficacité de Concerta dans le traitement du TDA-H a été documentée dans des études cliniques contrôlées sur des enfants et des adolescents âgés de 6 à 17 ans et sur des adultes âgés de 18 à 65 ans, qui montraient les critères DSM-IV du TDA-H.
- +Une partie des enfants chez qui un TDA-H a été diagnostiqué, présentent également des symptômes à l'âge adulte. Chez l'adulte, les symptômes doivent donc déjà avoir commencé dans l'enfance lorsqu'un traitement est initié. L'emploi de Concerta devrait se limiter aux patientes et patients qui ont besoin d'un médicament dont l'effet dure de la prise matinale jusqu'au soir.
- +Concerta devrait être utilisé, en tant que partie d'un programme thérapeutique complet, lorsque les mesures thérapeutiques pour stabiliser le comportement à elles seules n'ont pas suffi. Le programme thérapeutique complet pour traiter le TDA-H peut comprendre des mesures psychologiques, éducationnelles et sociales.
-Un traitement par Concerta n’est pas indiqué chez tous les enfants et adolescents atteints de TDA-H et la décision d’utiliser un médicament doit reposer sur une évaluation très soigneuse du degré de gravité des symptômes du patient. Les stimulants ne sont pas prévus pour être utilisés chez des patients qui montrent des symptômes secondaires dus à leur environnement et/ou d’autres troubles psychiatriques primaires, psychoses comprises. Des mesures éducationnelles adaptées sont essentielles et une prise en charge psychosociale est souvent bénéfique.
-L’étiologie spécifique de ce syndrome est inconnue. Un diagnostic adéquat ne peut pas être posé par un seul test diagnostique. Il exige l’emploi de ressources médicales, psychologiques, pédagogiques et sociales. L’apprentissage peut être entravé, mais pas obligatoirement. Le traitement par Concerta peut atténuer les principaux symptômes du TDA-H tels qu’une distraction modérée à sévère, une attention diminuant rapidement, une impulsivité, une hyperactivité motrice et un trouble du comportement social.
- +Un traitement par Concerta n'est pas indiqué chez tous les enfants et adolescents atteints de TDA-H et la décision d'utiliser un médicament doit reposer sur une évaluation très soigneuse du degré de gravité des symptômes du patient. Les stimulants ne sont pas prévus pour être utilisés chez des patients qui montrent des symptômes secondaires dus à leur environnement et/ou d'autres troubles psychiatriques primaires, psychoses comprises. Des mesures éducationnelles adaptées sont essentielles et une prise en charge psychosociale est souvent bénéfique.
- +L'étiologie spécifique de ce syndrome est inconnue. Un diagnostic adéquat ne peut pas être posé par un seul test diagnostique. Il exige l'emploi de ressources médicales, psychologiques, pédagogiques et sociales. L'apprentissage peut être entravé, mais pas obligatoirement. Le traitement par Concerta peut atténuer les principaux symptômes du TDA-H tels qu'une distraction modérée à sévère, une attention diminuant rapidement, une impulsivité, une hyperactivité motrice et un trouble du comportement social.
-Avant de commencer le traitement par Concerta, il est nécessaire d’effectuer un examen cardiovasculaire, comprenant la tension artérielle et la fréquence cardiaque, et de noter ceux-ci. Comme il n’existe pas de données à long terme, des examens cardiovasculaires réguliers devraient être effectués en présence d’un profil de facteurs de risque (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Avant de commencer le traitement par Concerta, il est nécessaire d'effectuer un examen cardiovasculaire, comprenant la tension artérielle et la fréquence cardiaque, et de noter ceux-ci. Comme il n'existe pas de données à long terme, des examens cardiovasculaires réguliers devraient être effectués en présence d'un profil de facteurs de risque (voir «Mises en garde et précautions»).
-Concerta s’administre une fois par jour par oral. Comme il est prouvé que l’effet dure pendant douze heures à partir de la prise, le produit doit être pris une fois par jour le matin.
-Les comprimés de Concerta doivent être pris entiers avec du liquide. Ils ne doivent être ni croqués, ni écrasés, ni coupés en morceaux car le principe actif se trouve à l’intérieur d’une enveloppe non absorbable, au travers de laquelle il est libéré de façon contrôlée et continuelle (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Concerta s'administre une fois par jour par oral. Comme il est prouvé que l'effet dure pendant douze heures à partir de la prise, le produit doit être pris une fois par jour le matin.
- +Les comprimés de Concerta doivent être pris entiers avec du liquide. Ils ne doivent être ni croqués, ni écrasés, ni coupés en morceaux car le principe actif se trouve à l'intérieur d'une enveloppe non absorbable, au travers de laquelle il est libéré de façon contrôlée et continuelle (voir «Mises en garde et précautions»).
-Le traitement ne devrait être initié que par un médecin ayant l’expérience des troubles de comportement chez les enfants, les adolescents et les adultes et devrait être également surveillé par lui.
- +Le traitement ne devrait être initié que par un médecin ayant l'expérience des troubles de comportement chez les enfants, les adolescents et les adultes et devrait être également surveillé par lui.
-La dose initiale journalière recommandée de Concerta pour les patients qui ne prennent pas de méthylphénidate à ce moment-là, ou à qui l’on administre d’autres stimulants que le méthylphénidate, est de 18 mg une fois par jour pour les enfants et adolescents et de 18 ou 36 mg une fois par jour pour les adultes.
- +La dose initiale journalière recommandée de Concerta pour les patients qui ne prennent pas de méthylphénidate à ce moment-là, ou à qui l'on administre d'autres stimulants que le méthylphénidate, est de 18 mg une fois par jour pour les enfants et adolescents et de 18 ou 36 mg une fois par jour pour les adultes.
-Dose journalière de méthylphénidate prise jusqu’à présent Dose de Concerta recommandée
- +Dose journalière de méthylphénidate prise jusqu'à présent Dose de Concerta recommandée
-Les doses journalières supérieures à 54 mg chez l’enfant et supérieures à 72 mg chez l’adolescent et l’adulte ne sont pas recommandées.
- +Les doses journalières supérieures à 54 mg chez l'enfant et supérieures à 72 mg chez l'adolescent et l'adulte ne sont pas recommandées.
-Il n’existe pas d’analyses systématiques au moyen d’études contrôlées en ce qui concerne l’emploi à long terme du méthylphénidate, surtout en ce qui concerne le potentiel de dépendance et d’autres effets indésirables (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). La nécessité d’un traitement au long cours devrait être vérifiée régulièrement et le produit arrêté pour tester l’état des patients sans prise de médicament.
- +Il n'existe pas d'analyses systématiques au moyen d'études contrôlées en ce qui concerne l'emploi à long terme du méthylphénidate, surtout en ce qui concerne le potentiel de dépendance et d'autres effets indésirables (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). La nécessité d'un traitement au long cours devrait être vérifiée régulièrement et le produit arrêté pour tester l'état des patients sans prise de médicament.
- +Passage de Concerta à une autre préparation de méthylphénidate à libération prolongée
- +D'autres formulations de méthylphénidate à libération prolongée avec d'autres profils de libération présentent éventuellement aussi d'autres profils d'efficacité et de tolérance que Concerta. Il est recommandé de ne procéder à une substitution que sous surveillance médicale additionnelle.
- +
-En cas de réactions paradoxales (aggravation des symptômes) ou d’autres effets indésirables, la posologie doit être réduite ou, si c’est nécessaire, le produit doit être arrêté complètement.
- +En cas de réactions paradoxales (aggravation des symptômes) ou d'autres effets indésirables, la posologie doit être réduite ou, si c'est nécessaire, le produit doit être arrêté complètement.
-L’utilisation de Concerta chez les patients de moins de 6 ans n’a pas été étudiée dans des études contrôlées. Concerta ne doit pas être utilisé chez les patients de moins de 6 ans.
- +L'utilisation de Concerta chez les patients de moins de 6 ans n'a pas été étudiée dans des études contrôlées. Concerta ne doit pas être utilisé chez les patients de moins de 6 ans.
-L’utilisation de Concerta chez les patients âgés de plus de 65 ans n’a pas été étudiée dans des études contrôlées.
-En l’absence d’amélioration des symptômes après une augmentation de la dose pendant 1 mois, le médicament doit être arrêté.
- +L'utilisation de Concerta chez les patients âgés de plus de 65 ans n'a pas été étudiée dans des études contrôlées.
- +En l'absence d'amélioration des symptômes après une augmentation de la dose pendant 1 mois, le médicament doit être arrêté.
-·Crises d’angoisse, de tension psychique et d’agitation prononcées, car le méthylphénidate peut renforcer ces symptômes;
- +·Crises d'angoisse, de tension psychique et d'agitation prononcées, car le méthylphénidate peut renforcer ces symptômes;
-·abus d’alcool et de drogues;
- +·abus d'alcool et de drogues;
-·lors d’une augmentation de volume de la prostate et impossibilité de complètement vider la vessie;
- +·lors d'une augmentation de volume de la prostate et impossibilité de complètement vider la vessie;
-·affections cérébrovasculaires préexistantes, telles qu’anévrysmes cérébraux, anomalies vasculaires y compris vascularite et AVC;
-·traitement par les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) et pendant au moins 14 jours après l’arrêt d’un IMAO (cela pourrait entraîner une hypertension artérielle aiguë) (voir «Interactions»);
-·hypersensibilité connue au méthylphénidate ou à l’un des autres composants du médicament.
- +·affections cérébrovasculaires préexistantes, telles qu'anévrysmes cérébraux, anomalies vasculaires y compris vascularite et AVC;
- +·traitement par les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) et pendant au moins 14 jours après l'arrêt d'un IMAO (cela pourrait entraîner une hypertension artérielle aiguë) (voir «Interactions»);
- +·hypersensibilité connue au méthylphénidate ou à l'un des autres composants du médicament.
-Pour identifier l’existence de maladies cardiaques, on devrait effectuer chez les patients qu’on prévoit de traiter par le méthylphénidate une anamnèse soigneuse (y compris l’anamnèse familiale de décès subits ou d’arythmies ventriculaires) et un examen physique. Si les premiers résultats indiquent une maladie de ce type, d’autres examens cardiologiques (par ex. électrocardiogramme, échocardiogramme) doivent être faits.
-Le statut cardiovasculaire doit être surveillé. La tension et la fréquence cardiaque doivent être vérifiées et documentées à chaque ajustement de la dose ou à des intervalles appropriés (mais au moins tous les 6 mois) et après si c’est indiqué cliniquement.
-Chez les enfants et les adultes qui montreraient pendant un traitement par le méthylphénidate des symptômes comme palpitations, douleurs dans la poitrine lors d’efforts physiques, syncopes ou d’autres symptômes laissant supposer une maladie cardiaque, un examen cardiologique doit être effectué immédiatement.
-Concerta ne doit pas être utilisé chez les patients de moins de six ans. Il n’existe pas de données suffisantes sur l’efficacité et la sécurité et sur la posologie chez l’enfant de moins de six ans.
- +Pour identifier l'existence de maladies cardiaques, on devrait effectuer chez les patients qu'on prévoit de traiter par le méthylphénidate une anamnèse soigneuse (y compris l'anamnèse familiale de décès subits ou d'arythmies ventriculaires) et un examen physique. Si les premiers résultats indiquent une maladie de ce type, d'autres examens cardiologiques (par ex. électrocardiogramme, échocardiogramme) doivent être faits.
- +Le statut cardiovasculaire doit être surveillé. La tension et la fréquence cardiaque doivent être vérifiées et documentées à chaque ajustement de la dose ou à des intervalles appropriés (mais au moins tous les 6 mois) et après si c'est indiqué cliniquement.
- +Chez les enfants et les adultes qui montreraient pendant un traitement par le méthylphénidate des symptômes comme palpitations, douleurs dans la poitrine lors d'efforts physiques, syncopes ou d'autres symptômes laissant supposer une maladie cardiaque, un examen cardiologique doit être effectué immédiatement.
- +Concerta ne doit pas être utilisé chez les patients de moins de six ans. Il n'existe pas de données suffisantes sur l'efficacité et la sécurité et sur la posologie chez l'enfant de moins de six ans.
-On a rapporté des cas d’inhibition de la croissance (prise de poids réduite et/ou augmentation réduite de la taille) en rapport avec le traitement à long terme d’enfants par le méthylphénidate. Des études de suivi chez des enfants âgés de 7 à 10 ans suggèrent que les enfants prenant constamment du méthylphénidate (p.ex. 7 jours par semaine pendant 1 an) peuvent présenter un ralentissement transitoire de la vitesse de croissance (en moyenne, réduction de la croissance en taille de 2 cm et réduction de la prise de poids de 2,7 kg sur 3 ans). Pour cette raison, les enfants et les adolescents ayant besoin d’un traitement à long terme devraient faire l’objet d’une surveillance très stricte (au moins tous les 6 mois) en ce qui concerne leur taille, leur poids et leur appétit et ces derniers devraient être notés sur une courbe de croissance. Le traitement devrait être interrompu chez les patients dont la croissance ou la prise de poids ne correspondent pas aux attentes.
-Il existe des indices cliniques montrant que des troubles psychiatriques (y compris comportement de dépendance et comportement suicidaire) ainsi qu’une perte de poids et d’appétit surviennent plus fréquemment lors de l’administration de médicaments à base de méthylphénidate. De telles modifications ou des signes d’usage détourné ou d’abus du médicament doivent être recherchés attentivement à chaque consultation et à chaque ajustement de la dose.
-Il convient d’attirer l’attention des patients sur le fait que les comprimés de Concerta doivent être pris entiers avec un peu de liquide. Ils ne doivent être ni croqués, ni écrasés, ni coupés en morceaux. Le principe actif se trouve à l’intérieur d’une enveloppe non-absorbable, au travers de laquelle il est libéré de façon contrôlée et continuelle. L’enveloppe est éliminée du corps avec les autres composants insolubles du noyau du comprimé; il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter si le patient découvre dans ses selles un objet ressemblant à un comprimé.
-Comme les comprimés de Concerta ne sont pas déformables et ne changent pas sensiblement de forme même dans le tractus gastro-intestinal, Concerta ne devrait normalement pas être donné à des patients ayant une grave sténose gastro-intestinale pré-existante ou un rétrécissement gastro-intestinal (pathologique ou iatrogène), une dysphagie ou une difficulté marquée à avaler des comprimés. On a rapporté quelques cas rares de symptômes d’obstruction chez des patients ayant un rétrécissement gastro-intestinal connu en liaison avec la prise de médicaments aux formules non déformables et à libération prolongée d’actifs. En raison de la structure du comprimé permettant la libération contrôlée de l’actif, Concerta ne devrait être donné qu’aux patients capables d’avaler le comprimé en entier.
-Concerta ne doit pas être utilisé pour traiter des dépressions sévères, ni pour la prévention ou le traitement d’états de fatigue normaux.
-La plus grande prudence est recommandée en cas d’administration de stimulants pour traiter le TDA-H chez des patients pouvant présenter un trouble bipolaire associé, mais se trouvant à ce moment-là en euthymie ou en intervalle d’entretien, car un épisode maniaque pourrait être déclenché. Avant de commencer un traitement par les stimulants, il faut vérifier très soigneusement chez les patients présentant des symptômes dépressifs associés s’il n’existe pas chez eux un risque de trouble bipolaire. Ceci implique le relevé d’une anamnèse psychiatrique détaillée, y compris une anamnèse familiale des suicides, troubles bipolaires et dépressions.
-Des symptômes psychotiques (par ex. hallucinations) ou maniaques ont été observés chez des patients ayant un antécédent de maladie psychotique ou de manie sous traitement par Concerta aux posologies usuelles. Dans le cas où de tels symptômes apparaîtraient, il faudrait vérifier soigneusement si Concerta joue un rôle causal; l’arrêt du traitement peut être approprié (voir «Effets indésirables»).
-Chez les patients commençant un traitement par Concerta, il faut faire attention à l’apparition ou au renforcement de comportements agressifs. Une surveillance attentive est nécessaire. L’agressivité est souvent liée au TDA-H; cependant on a signalé une apparition ou un renforcement inattendus de l’agressivité pendant le traitement par Concerta. Un arrêt du traitement peut être envisagé (voir «Effets indésirables»).
-Des cas isolés d’érection pénienne douloureuse de longue durée (priapisme) ayant nécessité une intervention médicale immédiate, ou parfois même chirurgicale, ont été rapportés aussi bien chez des adultes que chez des enfants et des adolescents (voir «Effets indésirables»). Les cas de priapisme n’ont pour la plupart d’entre eux pas été observés au début du traitement, mais sont survenus après que le médicament ait été pris pendant un certain temps déjà, souvent à la suite d’une augmentation des doses. Un priapisme a également été observé au cours de périodes sans traitement par méthylphénidate (pause thérapeutique ou arrêt du traitement). Les patients qui développent des érections douloureuses anormalement prolongées (plus de deux heures) ou fréquentes doivent immédiatement consulter un médecin. Le personnel médical doit explicitement informer les patients et leurs parents sur ce problème et sur son caractère d’urgence.
-L’expérience clinique laisse supposer que l’administration de méthylphénidate à des patients présentant des troubles psychotiques peut exacerber les symptômes de troubles comportementaux ou de troubles de la pensée.
-Les examens de laboratoire des études cliniques chez les enfants ont montré que tant Concerta que le méthylphénidate administré trois fois par jour augmentaient, par rapport au placebo, le pouls au repos de 2 à 6 battements par minute en moyenne, ainsi que la tension artérielle systolique et diastolique d’environ 1 à 4 mmHg. Dans les études contrôlées par un placebo chez les adultes on a observé au point final une augmentation moyenne du pouls au repos de 4 à 6 battements par minute contre un changement moyen d’environ –2 à 3 battements par minute sous placebo. Au point final, les changements moyens de la tension artérielle sous Concerta allaient de –1 à 1 mmHg (systolique) et de 0 à 1 mmHg (diastolique), tandis qu’ils étaient sous placebo de –1 à 1 mmHg (systolique) et de –2 à 0 mmHg (diastolique).
-La prudence est donc recommandée en cas de traitement de patients dont l’état général pourrait être affecté par une élévation de la tension ou de la fréquence du pouls.
-La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents de dépendance à un médicament. L’abus chronique peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique avec divers degrés de comportement anormal. Des épisodes manifestement psychotiques peuvent se produire, surtout lors d’usage abusif par voie parentérale.
-Lors de l’arrêt d’une utilisation abusive, une surveillance très étroite est nécessaire, car de graves dépressions peuvent alors apparaître. En cas d’arrêt après une utilisation thérapeutique chronique, les symptômes du trouble de base peuvent être démasqués et exiger un traitement complémentaire.
-Une surveillance attentive du patient est indispensable à l’arrêt du médicament car des manifestations de sevrage sont possibles et une dépression ou une hyperactivité chronique peuvent alors être révélées. Certains patients nécessitent éventuellement un suivi prolongé.
-Il existe des indices cliniques selon lesquels le méthylphénidate pourrait abaisser le seuil des crises chez les patients ayant des antécédents de crises épileptiques, ou présentant un EEG anormal sans crises épileptiques ou, dans des cas très rares, chez des patients sans crises épileptiques antérieures et sans indications dans l’EEG. Le médicament doit être arrêté si des convulsions se manifestent.
-Dans de rares cas, des symptômes de troubles de la vision se sont produits. On a rapporté alors des troubles de l’accommodation et une vision floue.
- +On a rapporté des cas d'inhibition de la croissance (prise de poids réduite et/ou augmentation réduite de la taille) en rapport avec le traitement à long terme d'enfants par le méthylphénidate. Des études de suivi chez des enfants âgés de 7 à 10 ans suggèrent que les enfants prenant constamment du méthylphénidate (p.ex. 7 jours par semaine pendant 1 an) peuvent présenter un ralentissement transitoire de la vitesse de croissance (en moyenne, réduction de la croissance en taille de 2 cm et réduction de la prise de poids de 2,7 kg sur 3 ans). Pour cette raison, les enfants et les adolescents ayant besoin d'un traitement à long terme devraient faire l'objet d'une surveillance très stricte (au moins tous les 6 mois) en ce qui concerne leur taille, leur poids et leur appétit et ces derniers devraient être notés sur une courbe de croissance. Le traitement devrait être interrompu chez les patients dont la croissance ou la prise de poids ne correspondent pas aux attentes.
- +Il existe des indices cliniques montrant que des troubles psychiatriques (y compris comportement de dépendance et comportement suicidaire) ainsi qu'une perte de poids et d'appétit surviennent plus fréquemment lors de l'administration de médicaments à base de méthylphénidate. De telles modifications ou des signes d'usage détourné ou d'abus du médicament doivent être recherchés attentivement à chaque consultation et à chaque ajustement de la dose.
- +Il convient d'attirer l'attention des patients sur le fait que les comprimés de Concerta doivent être pris entiers avec un peu de liquide. Ils ne doivent être ni croqués, ni écrasés, ni coupés en morceaux. Le principe actif se trouve à l'intérieur d'une enveloppe non-absorbable, au travers de laquelle il est libéré de façon contrôlée et continuelle. L'enveloppe est éliminée du corps avec les autres composants insolubles du noyau du comprimé; il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter si le patient découvre dans ses selles un objet ressemblant à un comprimé.
- +Comme les comprimés de Concerta ne sont pas déformables et ne changent pas sensiblement de forme même dans le tractus gastro-intestinal, Concerta ne devrait normalement pas être donné à des patients ayant une grave sténose gastro-intestinale pré-existante ou un rétrécissement gastro-intestinal (pathologique ou iatrogène), une dysphagie ou une difficulté marquée à avaler des comprimés. On a rapporté quelques cas rares de symptômes d'obstruction chez des patients ayant un rétrécissement gastro-intestinal connu en liaison avec la prise de médicaments aux formules non déformables et à libération prolongée d'actifs. En raison de la structure du comprimé permettant la libération contrôlée de l'actif, Concerta ne devrait être donné qu'aux patients capables d'avaler le comprimé en entier.
- +Concerta ne doit pas être utilisé pour traiter des dépressions sévères, ni pour la prévention ou le traitement d'états de fatigue normaux.
- +La plus grande prudence est recommandée en cas d'administration de stimulants pour traiter le TDA-H chez des patients pouvant présenter un trouble bipolaire associé, mais se trouvant à ce moment-là en euthymie ou en intervalle d'entretien, car un épisode maniaque pourrait être déclenché. Avant de commencer un traitement par les stimulants, il faut vérifier très soigneusement chez les patients présentant des symptômes dépressifs associés s'il n'existe pas chez eux un risque de trouble bipolaire. Ceci implique le relevé d'une anamnèse psychiatrique détaillée, y compris une anamnèse familiale des suicides, troubles bipolaires et dépressions.
- +Des symptômes psychotiques (par ex. hallucinations) ou maniaques ont été observés chez des patients ayant un antécédent de maladie psychotique ou de manie sous traitement par Concerta aux posologies usuelles. Dans le cas où de tels symptômes apparaîtraient, il faudrait vérifier soigneusement si Concerta joue un rôle causal; l'arrêt du traitement peut être approprié (voir «Effets indésirables»).
- +Chez les patients commençant un traitement par Concerta, il faut faire attention à l'apparition ou au renforcement de comportements agressifs. Une surveillance attentive est nécessaire. L'agressivité est souvent liée au TDA-H; cependant on a signalé une apparition ou un renforcement inattendus de l'agressivité pendant le traitement par Concerta. Un arrêt du traitement peut être envisagé (voir «Effets indésirables»).Des cas isolés d'érection pénienne douloureuse de longue durée (priapisme) ayant nécessité une intervention médicale immédiate, ou parfois même chirurgicale, ont été rapportés aussi bien chez des adultes que chez des enfants et des adolescents (voir «Effets indésirables»). Les cas de priapisme n'ont pour la plupart d'entre eux pas été observés au début du traitement, mais sont survenus après que le médicament ait été pris pendant un certain temps déjà, souvent à la suite d'une augmentation des doses. Un priapisme a également été observé au cours de périodes sans traitement par méthylphénidate (pause thérapeutique ou arrêt du traitement). Les patients qui développent des érections douloureuses anormalement prolongées (plus de deux heures) ou fréquentes doivent immédiatement consulter un médecin. Le personnel médical doit explicitement informer les patients et leurs parents sur ce problème et sur son caractère d'urgence.
- +L'expérience clinique laisse supposer que l'administration de méthylphénidate à des patients présentant des troubles psychotiques peut exacerber les symptômes de troubles comportementaux ou de troubles de la pensée.
- +Les examens de laboratoire des études cliniques chez les enfants ont montré que tant Concerta que le méthylphénidate administré trois fois par jour augmentaient, par rapport au placebo, le pouls au repos de 2 à 6 battements par minute en moyenne, ainsi que la tension artérielle systolique et diastolique d'environ 1 à 4 mmHg. Dans les études contrôlées par un placebo chez les adultes on a observé au point final une augmentation moyenne du pouls au repos de 4 à 6 battements par minute contre un changement moyen d'environ –2 à 3 battements par minute sous placebo. Au point final, les changements moyens de la tension artérielle sous Concerta allaient de –1 à 1 mmHg (systolique) et de 0 à 1 mmHg (diastolique), tandis qu'ils étaient sous placebo de –1 à 1 mmHg (systolique) et de –2 à 0 mmHg (diastolique).
- +La prudence est donc recommandée en cas de traitement de patients dont l'état général pourrait être affecté par une élévation de la tension ou de la fréquence du pouls.
- +La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents de dépendance à un médicament. L'abus chronique peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique avec divers degrés de comportement anormal. Des épisodes manifestement psychotiques peuvent se produire, surtout lors d'usage abusif par voie parentérale.
- +Lors de l'arrêt d'une utilisation abusive, une surveillance très étroite est nécessaire, car de graves dépressions peuvent alors apparaître. En cas d'arrêt après une utilisation thérapeutique chronique, les symptômes du trouble de base peuvent être démasqués et exiger un traitement complémentaire.
- +Une surveillance attentive du patient est indispensable à l'arrêt du médicament car des manifestations de sevrage sont possibles et une dépression ou une hyperactivité chronique peuvent alors être révélées. Certains patients nécessitent éventuellement un suivi prolongé.
- +Il existe des indices cliniques selon lesquels le méthylphénidate pourrait abaisser le seuil des crises chez les patients ayant des antécédents de crises épileptiques, ou présentant un EEG anormal sans crises épileptiques ou, dans des cas très rares, chez des patients sans crises épileptiques antérieures et sans indications dans l'EEG. Le médicament doit être arrêté si des convulsions se manifestent.
- +Dans de rares cas, des symptômes de troubles de la vision se sont produits. On a rapporté alors des troubles de l'accommodation et une vision floue.
-La décision, après anamnèse détaillée et examen complet, de prescrire Concerta dans les troubles hyperkinétiques devrait dépendre de l’évaluation du degré de sévérité des symptômes et de l’âge de l’enfant. La décision ne devrait pas être prise seulement en raison de l’existence d’un ou de plusieurs troubles comportementaux manifestes. Si les symptômes sont liés à des réactions de stress aiguës, Concerta n’est en général pas indiqué.
-Concerta ne doit pas être administré chez les patients souffrant de problèmes héréditaires rares comme l’intolérance au galactose, le déficit en lactase de Lapp ou la malabsorption du glucose et du galactose.
-Prudence lors de l’utilisation d’agonistes alpha-2 centraux, tels que la clonidine (voir «Interactions»).
- +La décision, après anamnèse détaillée et examen complet, de prescrire Concerta dans les troubles hyperkinétiques devrait dépendre de l'évaluation du degré de sévérité des symptômes et de l'âge de l'enfant. La décision ne devrait pas être prise seulement en raison de l'existence d'un ou de plusieurs troubles comportementaux manifestes. Si les symptômes sont liés à des réactions de stress aiguës, Concerta n'est en général pas indiqué.
- +Concerta ne doit pas être administré chez les patients souffrant de problèmes héréditaires rares comme l'intolérance au galactose, le déficit en lactase de Lapp ou la malabsorption du glucose et du galactose.
- +Prudence lors de l'utilisation d'agonistes alpha-2 centraux, tels que la clonidine (voir «Interactions»).
-A cause d’une élévation possible de la tension artérielle, Concerta sera administré avec prudence lors de son association à des agents vasopresseurs.
-Anesthésiques halogénés: il y a un risque d’augmentation soudaine de la pression artérielle au cours d’opérations. Il ne faudrait pas prendre de méthylphénidate le jour de l’intervention lorsqu’une intervention chirurgicale est planifiée.
-Des études de pharmacologie humaine ont montré que le méthylphénidate peut inhiber le métabolisme des anticoagulants coumariniques, des anticonvulsivants (par ex. phénobarbital, phénytoïne ou primidone) et de certains antidépresseurs (tricycliques et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine). Si ces médicaments sont administrés avec Concerta, une réduction de leur posologie peut s’avérer nécessaire. Au début ou en cas d’arrêt d’un traitement concomitant par le méthylphénidate, il peut être nécessaire d’ajuster le dosage et de surveiller les concentrations plasmatiques (ou les temps de coagulation dans le cas de la coumarine).
-Des effets indésirables graves (dont une mort subite) ont été signalés en cas d’utilisation simultanée de clonidine et de méthylphénidate. La sécurité de l’utilisation du méthylphénidate en association avec la clonidine ou d’autres α2-agonistes à effet central n’a pas été étudiée systématiquement jusqu’à présent.
-Concerta peut diminuer l’effet hypotenseur des antihypertenseurs.
-L’alcool peut renforcer les effets indésirables sur le système nerveux central des psychotropes, Concerta compris. Il est donc conseillé de renoncer à l’alcool pendant le traitement.
- +A cause d'une élévation possible de la tension artérielle, Concerta sera administré avec prudence lors de son association à des agents vasopresseurs.
- +Anesthésiques halogénés: il y a un risque d'augmentation soudaine de la pression artérielle au cours d'opérations. Il ne faudrait pas prendre de méthylphénidate le jour de l'intervention lorsqu'une intervention chirurgicale est planifiée.
- +Des rapports indiquent que le méthylphénidate peut inhiber le métabolisme d'anticoagulants de type coumarine, d'anticonvulsivants (p.ex. phénobarbital, phénytoïne ou primidone) et de certains antidépresseurs (antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine). Lors de l'instauration ou de l'arrêt d'un traitement par le méthylphénidate, il peut s'avérer nécessaire d'ajuster la dose de ce médicament co-administré et de déterminer les concentrations plasmatiques du principe actif (ou le temps de coagulation dans le cas de la coumarine).
- +Des effets indésirables graves (dont une mort subite) ont été signalés en cas d'utilisation simultanée de clonidine et de méthylphénidate. La sécurité de l'utilisation du méthylphénidate en association avec la clonidine ou d'autres α2-agonistes à effet central n'a pas été étudiée systématiquement jusqu'à présent.
- +Concerta peut diminuer l'effet hypotenseur des antihypertenseurs.
- +L'alcool peut renforcer les effets indésirables sur le système nerveux central des psychotropes, Concerta compris. Il est donc conseillé de renoncer à l'alcool pendant le traitement.
-La sécurité du méthylphénidate utilisé pendant la grossesse n’a pas été prouvée en clinique humaine. Il n’existe pas d’études sur l’utilisation de Concerta chez les femmes enceintes. Concerta ne devrait donc pas être utilisé pendant la grossesse sauf si c’est absolument nécessaire.
- +La sécurité du méthylphénidate utilisé pendant la grossesse n'a pas été prouvée en clinique humaine. Il n'existe pas d'études sur l'utilisation de Concerta chez les femmes enceintes. Concerta ne devrait donc pas être utilisé pendant la grossesse sauf si c'est absolument nécessaire.
-Chez les rats, aucun effet tératogène n’a été observé à des dosages de chlorhydrate de méthylphénidate allant jusqu’à 30 mg/kg/jour. Cela correspond, sur la base des données pharmacologiques, à environ 9 à 12 fois l’exposition systémique au méthylphénidate rapportée dans les études sur des volontaires et des patients avec la posologie maximale recommandée de Concerta.
-Dans une étude de reproduction continue pendant 18 semaines sur des souris, le chlorhydrate de méthylphénidate, administré à des dosages allant jusqu’à 160 mg/kg/jour, n’a montré aucune diminution de la fertilité.
- +Chez les rats, aucun effet tératogène n'a été observé à des dosages de chlorhydrate de méthylphénidate allant jusqu'à 30 mg/kg/jour. Cela correspond, sur la base des données pharmacologiques, à environ 9 à 12 fois l'exposition systémique au méthylphénidate rapportée dans les études sur des volontaires et des patients avec la posologie maximale recommandée de Concerta.
- +Dans une étude de reproduction continue pendant 18 semaines sur des souris, le chlorhydrate de méthylphénidate, administré à des dosages allant jusqu'à 160 mg/kg/jour, n'a montré aucune diminution de la fertilité.
-On ignore si le méthylphénidate passe dans le lait maternel. Par mesure de précaution, on devrait conseiller aux mères qui allaitent de ne pas prendre Concerta.
- +Le méthylphénidate a été mis en évidence dans le lait maternel. Sur la base d'échantillons de lait maternel de cinq mères, les concentrations de méthylphénidate présentes dans le lait maternel ont entraîné des doses correspondant à 0,16 à 0,7% de la dose maternelle corrigée en fonction du poids chez le nourrisson et un rapport de la quantité dans le lait maternel sur la quantité dans le plasma maternel de 1,1, à 2,7. Par mesure de précaution, on devrait conseiller aux mères qui allaitent de ne pas prendre Concerta.
-On sait que Concerta peut occasionner des vertiges. La prudence est donc recommandée en cas de conduite automobile, de conduite de machines ou d’autres activités potentiellement dangereuses. Les patients devraient être avertis en conséquence jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment sûrs que Concerta n’a pas d’influence négative sur leur aptitude à exercer ces activités.
- +On sait que Concerta peut occasionner des vertiges. La prudence est donc recommandée en cas de conduite automobile, de conduite de machines ou d'autres activités potentiellement dangereuses. Les patients devraient être avertis en conséquence jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment sûrs que Concerta n'a pas d'influence négative sur leur aptitude à exercer ces activités.
-Des effets indésirables considérés comme des effets de classe ont été observés lors de l’emploi de médicaments contenant du méthylphénidate.
- +Des effets indésirables considérés comme des effets de classe ont été observés lors de l'emploi de médicaments contenant du méthylphénidate.
-Infections: rhinopharyngite.
-Troubles du métabolisme et de la nutrition: anorexie, diminution de l’appétit, diminution modérée de la prise de poids et de la croissance en taille en cas d’utilisation prolongée chez l’enfant.
-Troubles psychiatriques: insomnie, nervosité, anorexie, labilité affective, agression, agitation, anxiété, dépression, irritabilité, comportement anormal.
-Système nerveux: céphalées, vertiges, dyskinésie, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
-Troubles cardiaques: arythmie, tachycardie, palpitations.
-Troubles vasculaires: hypertension.
-Organes respiratoires: toux, douleurs pharyngées et laryngées.
-Troubles gastro-intestinaux: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, troubles gastriques et vomissements, sécheresse buccale.
-Troubles cutanés: alopécie, prurit, éruption cutanée, urticaire.
-Troubles musculosquelettiques: arthralgie.
-Troubles généraux: pyrexie, retard de croissance lors d’une utilisation prolongée chez l’enfant.
- +Infections et infestations: rhinopharyngite.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition: anorexie, diminution de l'appétit, diminution modérée de la prise de poids et de la croissance en taille en cas d'utilisation prolongée chez l'enfant.
- +Affections psychiatriques: insomnie, nervosité, anorexie, labilité affective, agression, agitation, anxiété, dépression, irritabilité, comportement anormal.
- +Affections du système nerveux: céphalées, vertiges, dyskinésie, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
- +Affections cardiaques: arythmie, tachycardie, palpitations.
- +Affections vasculaires: hypertension.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: toux, douleurs pharyngées et laryngées.
- +Affections gastro-intestinales: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, troubles gastriques et vomissements, sécheresse buccale.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: alopécie, prurit, éruption cutanée, urticaire.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif: arthralgie.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration: pyrexie, retard de croissance lors d'une utilisation prolongée chez l'enfant.
-Troubles psychiatriques: suicide, tentative de suicide, idées suicidaires, comportement répétitif, hallucinations tactiles.
-Système nerveux: mouvements choréo-athétosiques, tics ou aggravation de tics existants, troubles nerveux réversibles, migraine, syndrome malin des neuroleptiques.
-Troubles oculaires: troubles de l’accommodation.
-Troubles cardiaques: mort subite cardiaque, infarctus du myocarde.
-Troubles vasculaires: troubles ou hémorragie cérébrovasculaires, vascularite, syndrome de Raynaud, sensation de froid périphérique (mains ou pieds froids).
-Troubles gastro-intestinaux: insuffisance hépatique.
-Troubles cutanés: dermatite exfoliative, syndrome de Steven-Johnson, érythème polymorphe, exanthème médicamenteux.
-Troubles rénaux et urinaires: hématurie.
-Organes de reproduction et seins: gynécomastie.
-En outre, des effets indésirables ont été rapportés en relation avec l’utilisation de Concerta:
- +Affections psychiatriques: suicide, tentative de suicide, idées suicidaires, comportement répétitif, hallucinations tactiles.
- +Affections du système nerveux: mouvements choréo-athétosiques, tics ou aggravation de tics existants, troubles nerveux réversibles, migraine, syndrome malin des neuroleptiques.
- +Affections oculaires: troubles de l'accommodation.
- +Affections cardiaques: mort subite cardiaque, infarctus du myocarde.
- +Affections vasculaires: troubles ou hémorragie cérébrovasculaires, vascularite, syndrome de Raynaud, sensation de froid périphérique (mains ou pieds froids).
- +Affections gastro-intestinales: insuffisance hépatique.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: dermatite exfoliative, syndrome de Steven-Johnson, érythème polymorphe, exanthème médicamenteux.
- +Troubles du rein et des voies urinaires: hématurie.
- +Affections des organes de reproduction et du sein: gynécomastie.
- +En outre, des effets indésirables ont été rapportés en relation avec l'utilisation de Concerta:
-Les effets indésirables figurant ci-dessous ont été rapportés dans le cadre d’études faites soit chez l’enfant ou l’adolescent, soit chez l’adulte et peuvent s’appliquer aux deux populations de patients.
- +Les effets indésirables figurant ci-dessous ont été rapportés dans le cadre d'études faites soit chez l'enfant ou l'adolescent, soit chez l'adulte et peuvent s'appliquer aux deux populations de patients.
-Infections
- +Infections et infestations
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Organes respiratoires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-* Comprend les troubles du sommeil au début du traitement (Concerta = 0,6%) et l’insomnie au cours du traitement (Concerta = 2,2%).
- +* Comprend les troubles du sommeil au début du traitement (Concerta = 0,6%) et l'insomnie au cours du traitement (Concerta = 2,2%).
-Infections
- +Infections et infestations
-Troubles du métabolisme et de l’alimentation
-Diminution de l’appétit 24.8 6.1
-Perte de l’appétit 4.2 1.3
-Troubles psychiatriques
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Diminution de l'appétit 24.8 6.1
- +Perte de l'appétit 4.2 1.3
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Yeux
-Trouble de l’accommodation 1.3 0
- +Affections oculaires
- +Trouble de l'accommodation 1.3 0
-Oreille et oreille interne
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Coeur
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Organes respiratoires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Peau
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Système musculo-squelettique
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Organes de reproduction et seins
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Augmentation de l’alanine aminotransférase 1.0 0
- +Augmentation de l'alanine aminotransférase 1.0 0
-Données d’études ouvertes – Effets indésirables signalés avec une fréquence ≥1%
- +Données d'études ouvertes – Effets indésirables signalés avec une fréquence ≥1%
-Dans le tableau 4 sont listés les effets indésirables du médicament qui ont été indiqués dans ces études par ≥1% des patients traités par Concerta et qui n’ont pas été cités dans les tableaux 2 et 3.
- +Dans le tableau 4 sont listés les effets indésirables du médicament qui ont été indiqués dans ces études par ≥1% des patients traités par Concerta et qui n'ont pas été cités dans les tableaux 2 et 3.
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Fluctuations d’humeur 1.1
-Troubles du système nerveux
- +Fluctuations d'humeur 1.1
- +Affections du système nerveux
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Peau
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-La majorité des effets indésirables étaient d’une sévérité légère à modérée.
-Données d’études en double-aveugle et d’études ouvertes – Effets indésirables signalés avec une fréquence <1%
- +La majorité des effets indésirables étaient d'une sévérité légère à modérée.
- +Données d'études en double-aveugle et d'études ouvertes – Effets indésirables signalés avec une fréquence <1%
-Système sanguin et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles psychiatriques
-Colère, troubles du sommeil, hypervigilance, tristesse, fluctuations d’humeur.
-Système nerveux
- +Affections psychiatriques
- +Colère, troubles du sommeil, hypervigilance, tristesse, fluctuations d'humeur.
- +Affections du système nerveux
-Yeux
- +Affections oculaires
-Peau
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Rares: ≥1/10’000 à <1/1000.
-Très rares: <1/10’000, cas isolés compris.
-Système sanguin et lymphatique
- +Rares: ≥1/10'000 à <1/1000.
- +Très rares: <1/10'000, cas isolés compris.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Système immunitaire
-Rares: réactions d’hypersensibilité comme angio-oedème, réactions anaphylactiques, gonflement auriculaire, troubles bulleux et desquamation, urticaire, prurit, éruption cutanée, exanthème.
-Troubles psychiatriques
- +Affections du système immunitaire
- +Rares: réactions d'hypersensibilité comme angio-oedème, réactions anaphylactiques, gonflement auriculaire, troubles bulleux et desquamation, urticaire, prurit, éruption cutanée, exanthème.
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
-Très rares: convulsions, crises d’épilepsie (Grand Mal), dyskinésie.
-Troubles oculaires
- +Affections su système nerveux
- +Très rares: convulsions, crises d'épilepsie (Grand Mal), dyskinésie.
- +Affections oculaires
-Maladies cardiaques
- +Affections cardiaques
-Vaisseaux
- +Affections vasculaires
-Foie et vésicule biliaire
- +Affections hépatobiliaires
-Peau
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Système musculo-squelettique
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Organes de reproduction et seins
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Très rares: douleurs dans la cage thoracique, troubles thoraciques, diminution de l’efficacité du médicament, hyperpyrexie.
- +Très rares: douleurs dans la cage thoracique, troubles thoraciques, diminution de l'efficacité du médicament, hyperpyrexie.
-Parmi les signes et symptômes d’un surdosage de Concerta résultant principalement d’une hyperstimulation du système nerveux central et sympathique, on trouve: vomissements, agitation, secousses musculaires, convulsions, grand mal, confusion, hallucinations (auditives et/ou visuelles), transpiration excessive, céphalées, pyrexie, tachycardie, palpitations, augmentation de la fréquence cardiaque, arythmies sinusales, hypertension, mydriase et sécheresse de la bouche.
- +Parmi les signes et symptômes d'un surdosage de Concerta résultant principalement d'une hyperstimulation du système nerveux central et sympathique, on trouve: vomissements, agitation, secousses musculaires, convulsions, grand mal, confusion, hallucinations (auditives et/ou visuelles), transpiration excessive, céphalées, pyrexie, tachycardie, palpitations, augmentation de la fréquence cardiaque, arythmies sinusales, hypertension, mydriase et sécheresse de la bouche.
-Le traitement consiste à prendre les mesures de soutien adéquates, en empêchant le patient de se blesser et le protégeant de tout stimulus extérieur qui viendrait aggraver l’hyperstimulation existante. L’efficacité du charbon actif n’a pas été démontrée. Des soins intensifs sont indispensables pour le maintien des fonctions circulatoire et respiratoire. Pour réduire une pyrexie éventuelle, il peut s’avérer nécessaire de rafraîchir le patient par des mesures externes.
-L’efficacité de la dialyse péritonéale et de l’hémodialyse n’a pas été établie lors de surdosage de Concerta.
- +Le traitement consiste à prendre les mesures de soutien adéquates, en empêchant le patient de se blesser et le protégeant de tout stimulus extérieur qui viendrait aggraver l'hyperstimulation existante. L'efficacité du charbon actif n'a pas été démontrée. Des soins intensifs sont indispensables pour le maintien des fonctions circulatoire et respiratoire. Pour réduire une pyrexie éventuelle, il peut s'avérer nécessaire de rafraîchir le patient par des mesures externes.
- +L'efficacité de la dialyse péritonéale et de l'hémodialyse n'a pas été établie lors de surdosage de Concerta.
-Mécanisme d’action/Pharmacodynamie
-Le chlorhydrate de méthylphénidate est un stimulant du système nerveux central. Son mode d’action sur le TDA-H n’est pas connu. On suppose que le méthylphénidate bloque la réabsorption de la noradrénaline et de la dopamine dans les neurones présynaptiques et renforce la libération de ces mono-amines dans l’espace extra-neuronique. Le méthylphénidate est un mélange racémique d’isomères d et l, l’isomère d étant plus actif du point de vue pharmacologique que l’isomère l.
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
- +Le chlorhydrate de méthylphénidate est un stimulant du système nerveux central. Son mode d'action sur le TDA-H n'est pas connu. On suppose que le méthylphénidate bloque la réabsorption de la noradrénaline et de la dopamine dans les neurones présynaptiques et renforce la libération de ces mono-amines dans l'espace extra-neuronique. Le méthylphénidate est un mélange racémique d'isomères d et l, l'isomère d étant plus actif du point de vue pharmacologique que l'isomère l.
-L’efficacité de Concerta dans le traitement du TDA-H a été prouvée dans des études cliniques contrôlées menées sur des enfants et des adolescents âgés de 6 à 17 ans et sur des adultes âgés de 18 à 65 ans, qui montraient les critères DSM-IV.
-
- +Études cliniques
- +L'efficacité de Concerta dans le traitement du TDA-H a été démontrée dans 4 études randomisées, en double aveugle, contrôlées contre placebo menées chez des enfants et des adolescents et dans 2 études en double aveugle, contrôlées contre placebo menées chez des adultes qui présentaient les critères d'un TDA-H selon le DSM-IV.
- +Enfants
- +Trois études en double aveugle, contrôlées contre principe actif et placebo, ont été réalisées chez 416 enfants âgés de 6 à 12 ans. Dans les études contrôlées, Concerta utilisé une fois par jour (18, 36 ou 54 mg), le méthylphénidate utilisé trois fois par jour sur une période de 12 heures (dose journalière totale: 15, 30 ou 45 mg) et un placebo ont été comparés dans deux études croisées monocentriques de 3 semaines (études C-98-003 et C-97-025) et dans une étude comparative en groupes parallèles, multicentrique, de 4 semaines (étude C-98-005). Les trois études étaient conçues de façon à démontrer une supériorité de Concerta par rapport au placebo.
- +Dans les études C-98-003, C-97-025 et C-98-005, les symptômes de TDA-H ont été évalués par les enseignants à l'aide de l'échelle de Conners pour l'inattention/hyperactivité avec agression (IOWA). Dans les trois études contrôlées, les enfants qui avaient reçu Concerta présentaient unanimement un classement significativement meilleur au niveau de la sous-échelle inattention/hyperactivité en comparaison avec le placebo. Les valeurs pour Concerta et le placebo des trois études sont illustrées dans la figure 1.
- +Figure 1. Evaluation moyenne de l'inattention/hyperactivité des enfants par leur enseignant au moyen de l'échelle de Conners pour l'IOWA lors de l'utilisation de Concerta.
- +(image)
- +Adolescents
- +Une étude randomisée, en double aveugle, multicentrique, contrôlée contre placebo (étude 01-146) menée chez 177 patients âgés de 13 à 18 ans atteints de TDA-H a évalué dans quelle mesure des améliorations peuvent être observées après un traitement par Concerta à des doses allant jusqu'à 72 mg/jour (1,4 mg/kg/jour), en comparaison avec un placebo. Sur 220 patients ayant été inclus dans la phase de titration ouverte de 4 semaines, 177 patients ont été passés à une dose individualisée (au maximum 72 mg/jour), selon que certains critères d'amélioration de l'échelle d'évaluation du TDA-H étaient ou non satisfaits et qu'une tolérance acceptable était constatée lors de l'évaluation globale de l'efficacité. Les patients qui remplissaient ces critères ont ensuite été randomisés pour recevoir leur dose individualisée de Concerta (18-72 mg/jour, n=87) ou le placebo (n=90) durant une phase en double aveugle de deux semaines. À la fin de cette phase, les scores moyens de l'évaluation par l'investigateur obtenus sur l'échelle de l'évaluation du TDA-H présentaient des résultats significativement meilleurs pour les adolescents qui avaient pris Concerta que pour ceux qui avaient pris le placebo.
- +Adultes
- +Deux études en double aveugle, contrôlées contre placebo, menées chez 627 adultes âgés de 18 à 65 ans ont été réalisées. En ce qui concerne les études contrôlées, il s'agissait d'une étude de titration de la dose avec groupes parallèles, multicentrique, de 7 semaines (étude 02-159) et d'une étude à dose fixe avec groupes parallèles, multicentrique, de 5 semaines (étude 3002) dans lesquelles Concerta utilisé une fois par jour (36 à 108 mg/jour ou 18, 36 et 72 mg/jour) a été comparé avec un placebo.
- +Dans l'étude 02-159, la variation du critère d'évaluation primaire, l'échelle AISR (Adult ADHD Investigator Rating Scale; échelle destinée à l'évaluation du TDA-H par l'investigateur chez l'adulte), a été évaluée à la fin de la semaine 7 chez des adultes âgés de 18 à 65 ans atteints de TDA-H. Cette étude a comparé Concerta à des doses comprises entre 36 mg/jour et 108 mg/jour, et un placebo. Sur les 226 patients inclus dans cette étude de 7 semaines, 110 ont été randomisés dans le groupe traité par Concerta et 116 dans le groupe placebo. La dose initiale était de 36 mg/jour, mais la dose a été augmentée par paliers de 18 mg/jour (36 à 108 mg/jour), en fonction de la survenue de certains critères d'amélioration en présence d'une tolérance acceptable. Lors de l'évaluation par l'investigateur au cours du dernier rendez-vous de l'étude, une réponse significativement meilleure au score moyen de la variation (moyenne des moindres carrés, SEM) de l'échelle AISR a été observée pour les adultes qui avaient pris Concerta, par rapport aux adultes qui avaient pris le placebo.
- +L'étude 3002 était une étude dose-réponse multicentrique, en double aveugle, randomisée, contrôlée contre placebo, avec groupes parallèles (durée de 5 semaines) et 3 groupes à dose fixe (18, 36 et 72 mg). Les patients chez qui un TDA-H avait été diagnostiqué ont été randomisés pour recevoir soit Concerta à des doses de 18 mg (n=101), 36 mg (n=102), ou 72 mg/jour (n=102), soit un placebo (n=96). Après 5 semaines, les patients adultes des trois groupes qui avaient reçu Concerta ont présenté une réponse significativement meilleure au score global de l'échelle CAARS-SS (Conners' Adult ADHD Rating Scale – Self Report – Short Form (échelle de Conners pour l'évaluation du TDA-H chez les adultes)), par rapport aux patients qui avaient pris le placebo
- +
-Le méthylphénidate est absorbé rapidement. Après administration orale de Concerta à des adultes, les concentrations plasmatiques augmentent rapidement et atteignent le premier maximum au bout de 1 à 2 heures, pour continuer à augmenter légèrement ensuite pendant plusieurs heures. Au bout de 6 à 8 heures, la concentration plasmatique atteint son pic, à partir duquel une lente diminution du taux plasmatique de méthylphénidate s’amorce. Administré une fois par jour, Concerta réduit par sa libération continue d’actif les fluctuations entre concentrations hautes et basses, comme elles se manifestent en cas d’administration de méthylphénidate trois fois par jour. La biodisponibilité relative de Concerta administré une fois par jour et du méthylphénidate administré 3 fois par jour est comparable.
-Les moyennes des paramètres pharmacocinétiques de 36 adultes après administration de Concerta (18 mg une fois par jour) et du chlorhydrate de méthylphénidate (5 mg 3 fois par jour) sont résumées dans le tableau 5.
-Tableau 5: Paramètres pharmacocinétiques (moyenne ± écart-type)
-Paramètre Concerta (18 mg 1 fois par jour) (n= 36) Chlorhydrate de méthylphénidate (5 mg 3 fois par jour) (n= 35)
-Cmax (ng/ml) 3,7 ± 1,0 4,2 ± 1,0
-Tmax (h) 6,8 ± 1,8 6,5 ± 1,8
-AUC inf (ng·h/ml) 41,8 ± 13,9 38,0 ± 11,0
-t½ (h) 3,5 ± 0,4 3,0 ± 0,5
-
-On n’a constaté aucune différence entre les paramètres pharmacocinétiques de Concerta après administration une fois et plusieurs fois par jour, ce qui laisse supposer qu’il n’y a aucune accumulation significative de substance active dans le corps. La zone sous la courbe (AUC) tout comme la demi-vie t½ montrent, après administration plusieurs fois par jour, des valeurs semblables à celles obtenues après la première dose de Concerta.
- +Le méthylphénidate est absorbé rapidement. Après administration orale de Concerta à des adultes, les concentrations plasmatiques augmentent rapidement et atteignent le premier maximum au bout de 1 à 2 heures, pour continuer à augmenter légèrement ensuite pendant plusieurs heures. Au bout de 6 à 8 heures, la concentration plasmatique atteint son pic, à partir duquel une lente diminution du taux plasmatique de méthylphénidate s'amorce. Administré une fois par jour, Concerta réduit par sa libération continue du principe actif les fluctuations entre concentrations hautes et basses, comme elles se manifestent en cas d'administration de méthylphénidate trois fois par jour, ce qui se retrouve dans les profils des concentrations plasmatiques moyennes en fonction du temps. La biodisponibilité relative de Concerta administré une fois par jour et du méthylphénidate administré 3 fois par jour est comparable.
- +Les moyennes des paramètres pharmacocinétiques de 36 adultes après administration de Concerta (18 mg une fois par jour) et du chlorhydrate de méthylphénidate (5 mg 3 fois par jour) étaient comparables en termes de Cmax (ng/ml), Tmax (h), AUCinf (ng h/ml) et demi-vie (h).
- +On n'a constaté aucune différence entre les paramètres pharmacocinétiques de Concerta après administration une fois et plusieurs fois par jour, ce qui laisse supposer qu'il n'y a aucune accumulation significative de substance active dans le corps. La zone sous la courbe (AUC) tout comme la demi-vie t½ montrent, après administration plusieurs fois par jour, des valeurs semblables à celles obtenues après la première dose de Concerta.
-Après administration de Concerta en doses uniques de 18, 36 et 54 mg/jour à des adultes en bonne santé, les valeurs Cmax et AUC(0-inf) du d-méthylphénidate étaient proportionnelles à la dose, tandis que Cmax et AUC(0-inf) du l-méthylphénidate ne l’étaient pas. Lors de l’administration de Concerta, les concentrations plasmatiques du l-isomère, pharmacologiquement moins actif, atteignaient à peu près 1/40ème de celles du d-isomère actif. Ceci est dû à l’effet de premier passage énantiomère-sélectif.
-Des doses uniques ou répétées une fois par jour de 54 à 144 mg/jour de Concerta ont provoqué sur des adultes sains des augmentations linéaires et proportionnelles à la dose de la Cmax et de l’AUCinf du méthylphénidate global (MPH) et de son métabolite le plus important: l’acide (alpha)-phényl-pipéridine-acétique. La clairance de la dose unique et de l’état d’équilibre (jour 4) et les paramètres de la demi-vie étaient semblables, ce qui indique que le méthylphénidate ne dépend pas du temps dans la pharmacocinétique. La relation entre le métabolite (l’acide [alpha]-phényl-pipéridine-acétique) et la substance de départ (MPH) était constante à des posologies de 54 à 144 mg/jour autant en dose unique qu’en doses répétées.
-Dans une étude à doses répétées chez des patients adolescents atteints de TDA-H âgés de 13 à 16 ans, recevant des doses de Concerta entre 18 et 72 mg/jour, l’augmentation de la Cmax et l’AUCTAU du d-méthylphénidate et/ou du méthylphénidate total était proportionnelle à la dose.
- +Après administration de Concerta en doses uniques de 18, 36 et 54 mg/jour à des adultes en bonne santé, les valeurs Cmax et AUC(0-inf) du d-méthylphénidate étaient proportionnelles à la dose, tandis que Cmax et AUC(0-inf) du l-méthylphénidate ne l'étaient pas. Lors de l'administration de Concerta, les concentrations plasmatiques du l-isomère, pharmacologiquement moins actif, atteignaient à peu près 1/40ème de celles du d-isomère actif. Ceci est dû à l'effet de premier passage énantiomère-sélectif.
- +Des doses uniques ou répétées une fois par jour de 54 à 144 mg/jour de Concerta ont provoqué sur des adultes sains des augmentations linéaires et proportionnelles à la dose de la Cmax et de l'AUCinf du méthylphénidate global (MPH) et de son métabolite le plus important: l'acide (alpha)-phényl-pipéridine-acétique. La clairance de la dose unique et de l'état d'équilibre (jour 4) et les paramètres de la demi-vie étaient semblables, ce qui indique que le méthylphénidate ne dépend pas du temps dans la pharmacocinétique. La relation entre le métabolite (l'acide [alpha]-phényl-pipéridine-acétique) et la substance de départ (MPH) était constante à des posologies de 54 à 144 mg/jour autant en dose unique qu'en doses répétées.
- +Dans une étude à doses répétées chez des patients adolescents atteints de TDA-H âgés de 13 à 16 ans, recevant des doses de Concerta entre 18 et 72 mg/jour, l'augmentation de la Cmax et l'AUCTAU du d-méthylphénidate et/ou du méthylphénidate total était proportionnelle à la dose.
-Les concentrations plasmatiques de méthylphénidate chutent biexponentiellement après administration orale. La demi-vie du méthylphénidate chez les adultes après administration de Concerta était d’environ 3,5 heures.
- +Les concentrations plasmatiques de méthylphénidate chutent biexponentiellement après administration orale. La demi-vie du méthylphénidate chez les adultes après administration de Concerta était d'environ 3,5 heures.
-Chez l’homme, le méthylphénidate est d’abord métabolisé par scission du groupe ester en acide (alpha)-phényl-pipéridine-acétique (PPAA), qui n’a qu’un faible effet pharmacologique, sinon aucun. Le métabolisme de Concerta administré une fois par jour, déterminé par la dégradation en PPAA, est semblable à celui du méthylphénidate administré trois fois par jour. Le métabolisme d’une dose unique de Concerta par jour montre des valeurs semblables à celui de plusieurs doses répétées par jour.
- +Chez l'homme, le méthylphénidate est d'abord métabolisé par scission du groupe ester en acide (alpha)-phényl-pipéridine-acétique (PPAA), qui n'a qu'un faible effet pharmacologique, sinon aucun. Le métabolisme de Concerta administré une fois par jour, déterminé par la dégradation en PPAA, est semblable à celui du méthylphénidate administré trois fois par jour. Le métabolisme d'une dose unique de Concerta par jour montre des valeurs semblables à celui de plusieurs doses répétées par jour.
-Après administration orale de méthylphénidate avec marquage radio-actif à des personnes, on a pu déceler 90% de la radioactivité dans l’urine. Le métabolite le plus important dans l’urine était le PPAA; il correspondait à environ 80% de la dose.
-Effet d’aliments pris simultanément
-On n’a constaté aucune différence ni dans les paramètres pharmacocinétiques, ni dans les paramètres pharmacodynamiques, quand Concerta était pris après un petit-déjeuner riche en graisses. Il n’y a aucune indication que la biodisponibilité puisse être influencée par la prise concomitante d’aliments.
- +Après administration orale de méthylphénidate avec marquage radio-actif à des personnes, on a pu déceler 90% de la radioactivité dans l'urine. Le métabolite le plus important dans l'urine était le PPAA; il correspondait à environ 80% de la dose.
- +Effet d'aliments pris simultanément
- +On n'a constaté aucune différence ni dans les paramètres pharmacocinétiques, ni dans les paramètres pharmacodynamiques, quand Concerta était pris après un petit-déjeuner riche en graisses. Il n'y a aucune indication que la biodisponibilité puisse être influencée par la prise concomitante d'aliments.
-Sexe: chez les adultes sains à qui Concerta a été administré, les valeurs moyennes corrigées en fonction de la dose pour AUC(0-inf) étaient de 36,7 ng·h/ml pour les hommes et de 37,1 ng·h/ml pour les femmes. Aucune différence n’a pu être constatée entre les deux groupes.
-Ethnie: chez les adultes à qui Concerta a été administré, les valeurs moyennes corrigées en fonction de la dose pour AUC(0-inf) étaient cohérentes dans les divers groupes ethniques; mais il se peut également qu’on n’ait pas pu démontrer de différences ethniques en raison des chiffres de population trop faibles.
-Age: la pharmacocinétique de Concerta n’a pas été étudiée chez les enfants de moins de 6 ans.
-Insuffisance rénale: Il n’existe aucune expérience sur l’emploi de Concerta chez des patients insuffisants rénaux. Après administration orale de méthylphénidate avec marquage radio-actif à des personnes, celui-ci a été en grande partie métabolisé et environ 80% de la radioactivité ont été éliminés par les reins sous forme de PPAA. Comme la clairance rénale n’a pas une grande importance pour la clairance du méthylphénidate, on suppose qu’une insuffisance rénale n’a qu’un effet limité sur la pharmacocinétique de Concerta.
-Insuffisance hépatique: Il n’existe aucune expérience sur l’emploi de Concerta chez des patients insuffisants hépatiques.
- +Sexe: chez les adultes sains à qui Concerta a été administré, les valeurs moyennes corrigées en fonction de la dose pour AUC(0-inf) étaient de 36,7 ng·h/ml pour les hommes et de 37,1 ng·h/ml pour les femmes. Aucune différence n'a pu être constatée entre les deux groupes.
- +Ethnie: chez les adultes à qui Concerta a été administré, les valeurs moyennes corrigées en fonction de la dose pour AUC(0-inf) étaient cohérentes dans les divers groupes ethniques; mais il se peut également qu'on n'ait pas pu démontrer de différences ethniques en raison des chiffres de population trop faibles.
- +Age: la pharmacocinétique de Concerta n'a pas été étudiée chez les enfants de moins de 6 ans.
- +Insuffisance rénale: Il n'existe aucune expérience sur l'emploi de Concerta chez des patients insuffisants rénaux. Après administration orale de méthylphénidate avec marquage radio-actif à des personnes, celui-ci a été en grande partie métabolisé et environ 80% de la radioactivité ont été éliminés par les reins sous forme de PPAA. Comme la clairance rénale n'a pas une grande importance pour la clairance du méthylphénidate, on suppose qu'une insuffisance rénale n'a qu'un effet limité sur la pharmacocinétique de Concerta.
- +Insuffisance hépatique: Il n'existe aucune expérience sur l'emploi de Concerta chez des patients insuffisants hépatiques.
-Dans une étude de carcinogénicité à vie sur des souris, le chlorhydrate de méthylphénidate administré à une posologie d’environ 60 mg/kg/jour a entraîné une augmentation des adénomes hépatocellulaires et, mais seulement chez les mâles, des hépatoblastomes. Cette dose est en mg/kg nettement plus élevée que la posologie recommandée pour les humains. L’administration unique en bolus d’une telle dose a entraîné chez les souris une exposition systémique au méthylphénidate plus élevée. Dans l’ensemble on n’a constaté aucune augmentation de tumeurs hépatiques malignes. La race de souris utilisée est sujette au développement de tumeurs hépatiques et la force probante de ces résultats pour les humains n’est pas certaine.
-Dans une étude à vie d’objectif semblable sur des rats et avec une posologie allant jusqu’à 45 mg/kg/jour, on n’a trouvé aucune indication de carcinogénicité.
-Dans une étude de 24 semaines sur la souche de souris transgénique p53±, aucun indice de carcinogénicité n’a été mis en évidence à des posologies allant jusqu’à 74 mg/kg/jour de chlorhydrate de méthylphénidate.
-Aucun effet toxique n’a été observé chez les chiens dans deux études séparées de 30 jours au cours desquelles Concerta était donné en doses orales de 72 mg/jour (jusqu’à 8,6 mg/kg/jour) pour l’une et de 144 mg/jour (jusqu’à 22 mg/kg/jour) pour la seconde.
-Dans le test in-vitro d’Ames (Reverse Mutation Assay) et dans l’essai in-vitro Mouse Lymphoma Cell Forward Mutation Assay, aucun effet mutagène du méthylphénidate n’a été décelable. L’échange de chromatides soeurs (sister chromatid exchange) et les transformations chromosomiques (chromosome aberrations) ont montré dans un test in-vitro sur des cultures cellulaires d’ovules du hamster chinois des valeurs plus élevées, même si ce n’était qu’après des doses cytotoxiques élevées. Le méthylphénidate s’est révélé négatif in-vivo dans le test micronucleus de la moelle épinière des souris.
- +Dans une étude de carcinogénicité à vie sur des souris, le chlorhydrate de méthylphénidate administré à une posologie d'environ 60 mg/kg/jour a entraîné une augmentation des adénomes hépatocellulaires et, mais seulement chez les mâles, des hépatoblastomes. Cette dose est en mg/kg nettement plus élevée que la posologie recommandée pour les humains. L'administration unique en bolus d'une telle dose a entraîné chez les souris une exposition systémique au méthylphénidate plus élevée. Dans l'ensemble on n'a constaté aucune augmentation de tumeurs hépatiques malignes. La race de souris utilisée est sujette au développement de tumeurs hépatiques et la force probante de ces résultats pour les humains n'est pas certaine.
- +Dans une étude à vie d'objectif semblable sur des rats et avec une posologie allant jusqu'à 45 mg/kg/jour, on n'a trouvé aucune indication de carcinogénicité.
- +Dans une étude de 24 semaines sur la souche de souris transgénique p53±, aucun indice de carcinogénicité n'a été mis en évidence à des posologies allant jusqu'à 74 mg/kg/jour de chlorhydrate de méthylphénidate.
- +Aucun effet toxique n'a été observé chez les chiens dans deux études séparées de 30 jours au cours desquelles Concerta était donné en doses orales de 72 mg/jour (jusqu'à 8,6 mg/kg/jour) pour l'une et de 144 mg/jour (jusqu'à 22 mg/kg/jour) pour la seconde.
- +Dans le test in-vitro d'Ames (Reverse Mutation Assay) et dans l'essai in-vitro Mouse Lymphoma Cell Forward Mutation Assay, aucun effet mutagène du méthylphénidate n'a été décelable. L'échange de chromatides soeurs (sister chromatid exchange) et les transformations chromosomiques (chromosome aberrations) ont montré dans un test in-vitro sur des cultures cellulaires d'ovules du hamster chinois des valeurs plus élevées, même si ce n'était qu'après des doses cytotoxiques élevées. Le méthylphénidate s'est révélé négatif in-vivo dans le test micronucleus de la moelle épinière des souris.
-Le médicament ne doit être conservé que jusqu’à la date écrite avec la mention «EXP» sur l’emballage.
- +Le médicament ne doit être conservé que jusqu'à la date écrite avec la mention «EXP» sur l'emballage.
-Septembre 2016.
- +Juillet 2017.
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