52 Changements de l'information professionelle Panadol Extra |
-Principes actifs
-Paracétamol, caféine.
- +Principes actifs: Paracétamol, caféine.
-La dose maximale quotidienne indiquée ne doit pas être dépassée.
- +La dose quotidienne maximale indiquée ci-dessous ne doit pas être dépassée.
-Pour éviter tout risque de surdosage, il faut s'assurer que d'autres médicaments, pris simultanément, ne contiennent pas de paracétamol.
- +Afin d'éviter le risque de surdosage, il faut s'assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
- +Un surdosage peut entraîner des lésions hépatiques très graves.
- +La dose efficace la plus faible devrait toujours être utilisée pendant la plus courte durée possible.
- +
-Selon les besoins, prendre 1 à 2 comprimés pelliculés ou 1 à 2 comprimés effervescents. La dose maximale quotidienne est de 8 comprimés pelliculés ou 8 comprimés effervescents (= 4 g de paracétamol, 520 mg de caféine) sur une période de 24 heures.
- +Selon les besoins, prendre 1 à 2 comprimés pelliculés ou 1 à 2 comprimés effervescents.
- +La dose quotidienne maximale est de 8 comprimés pelliculés ou 8 comprimés effervescents (= 4 g de paracétamol, 520 mg de caféine) sur une période de 24 heures.
-Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier une insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 3 g de paracétamol (voir aussi: «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier une insuffisance hépatocellulaire légère à modérée, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 2 g de paracétamol (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
- +Panadol Extra est contre-indiqué chez les patients présentant une insuffisance hépatique grave (voir «Contre-indications»).
-Chez les patients atteint de troubles de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant:
- +Chez les patients atteints de troubles de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant:
-Avant le début du traitement, une consultation médicale s'impose dans les cas suivants:
-·insuffisance rénale et/ou hépatique;
-·en cas de carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique);
-·utilisation concomitante de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d'inducteurs des enzymes hépatiques
-Les dosage dépassant la posologie recommandée présentent le risque d'endommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter le plus vite possible (voir «Surdosage»).
-Des cas de pancréatites aiguës ont été rapportés, généralement combinées avec une atteinte de la fonction hépatique et une hépatotoxicité.
-Dans de cas très rares, le paracétamol peut entraîner des réactions cutanées graves (tels que le syndrome de Stevens-Johnson (SJS), une nécrolyse épidermique toxique (NET)), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés dès symptômes de réactions cutanées graves, et l'utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité.
-La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d'alcool. Celui-ci peut potentialiser l'hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
-Il faut attirer l'attention du patient sur le fait que l'on ne doit pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale. Des douleurs persistantes nécessitent une mise au point médicale.
- +Dans les cas suivants, une consultation médicale est nécessaire avant le début du traitement:
- +·insuffisance rénale (clearance de la créatinine <50 ml/min, troubles graves de la fonction rénale voir «Contre-indications»);
- +·insuffisance hépatique légère à modérée;
- +·carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique);
- +·utilisation concomitante de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d'inducteurs d'enzymes hépatiques;
- +·anorexie, boulimie, cachexie, malnutrition chronique, carence alimentaire, septicémie (faibles réserves de glutathion hépatique). Des cas d'insuffisance hépatique/trouble hépatique chez les patients présentant une réserve réduite du glutathion a été rapporté;
- +·déshydratation, hypovolémie.
- +Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque d'endommager très gravement le foie. Des cas de pancréatite aiguë ont été rapportés, généralement combinées avec une atteinte de la fonction hépatique et une hépatotoxicité.
- +Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (voir «Surdosage»).
- +Dans de cas très rares, le paracétamol peut entraîner des réactions cutanées graves (tels que le syndrome de Stevens-Johnson (SJS), une nécrolyse épidermique toxique (NET)), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés des symptômes de réactions cutanées graves, et l'utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité.
- +La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d'alcool. L'alcool peut potentialiser l'hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
- +Il faut attirer l'attention du patient sur le fait qu'il ne doit pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale. Des douleurs persistantes nécessitent une évaluation médicale.
-La prise prolongée d'analgésiques, en particulier en cas d'association de plusieurs principes actifs antidouleur, peut provoquer des lésions rénales durables impliquant un risque de défaillance rénale (néphropathie par analgésiques).
- +La prise prolongée d'analgésiques, en particulier en cas d'association de plusieurs principes actifs analgésiques, peut provoquer des lésions rénales durables impliquant un risque de défaillance rénale (néphropathie due aux analgésiques).
-·Les inducteurs enzymatiques tels le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l'acide isonicotinique hydrazide (isoniazide, INH) et la rifampicine majorent l'hépatotoxicité du paracétamol.
-·Alcool (voir sous «Mises en garde et précautions»).
- +·Les inducteurs enzymatiques comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l'hydrazide de l'acide isonicotinique (isoniazide, INH) et la rifampicine aggravent l'hépatotoxicité du paracétamol.
- +·Alcool (voir «Mises en garde et précautions»).
-·Chlorzoxazone: lors de l'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
-·Zidovudine: le risque d'une neutropénie se trouve renforcé par une administration concomitante de zidovudine et de paracétamol.
-·Salicylamide: le salicylamide prolonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
- +·Chlorzoxazone: l'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
- +·Zidovudine: le risque d'une neutropénie se trouve renforcé par l'administration concomitante de zidovudine et de paracétamol.
- +·Salicylamide: le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
-·L'effet anticoagulant des coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignments. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif.
- +·L'effet anticoagulant de la warfarine et d'autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif.
-·Augmentation de l'élimination du lithium.
- +·Augmentation de l'élimination du lithium. La prise concomitante n'est donc pas recommandée.
-Des études de reproduction chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risque foetal, mais on ne dispose d'aucune étude contrôlée menée chez les femmes enceintes. Le risque lié à la prise de paracétamol à la dose correcte pendant la grossesse est actuellement considéré comme minime en termes de troubles fonctionnels et de lésions organiques, des malformations et des troubles de l'adaptation.
- +Des études de reproduction chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risque foetal, mais on ne dispose d'aucune étude contrôlée menée chez les femmes enceintes. Le risque lié à la prise de paracétamol à la dose correcte pendant la grossesse est actuellement considéré comme minime en termes de troubles fonctionnels et de lésions organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation.
-La caféine à doses élevées a montré, chez l'animal (cf. «Données précliniques»), des effets indésirables (comme par ex. des anomalies du squelette, des troubles de la croissance) chez le fœtus; mais il n'existe aucune étude contrôlée chez la femme enceinte.
- +La caféine à doses élevées a montré, chez l'animal (voir «Données précliniques»), des effets indésirables (comme par ex. des anomalies du squelette, des troubles de la croissance) chez le fœtus; mais il n'existe aucune étude contrôlée chez la femme enceinte.
-Le paracétamol et la caféine passent dans le lait maternel et franchissent la barrière placentaire (cf. «Pharmacocinétique»). La concentration de paracétamol dans le lait maternel est comparable à son taux du moment dans le plasma maternel. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Aucune conséquence préjudiciable pour le nourrisson n'a toutefois été rapportée.
- +Le paracétamol et la caféine passent dans le lait maternel et franchissent la barrière placentaire (voir «Pharmacocinétique»). La concentration de paracétamol dans le lait maternel est comparable à son taux du moment dans le plasma maternel. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Aucune conséquence préjudiciable pour le nourrisson n'a toutefois été rapportée.
-Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000).
- +Fréquences: Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100), rares (≥1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000).
-Voir sous «Mises en garde et précautions» et «Surdosage»
- +Voir sous «Mises en garde et précautions» et «Surdosage»
-Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg poids corporel chez l'enfant (déjà à faibles dose chez les patients prédisposés, comme p.ex. ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
- +Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg poids corporel chez l'enfant (déjà à faibles dose chez les patients prédisposés, comme p.ex. ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital. Des cas de pancréatite aiguë ont été rapportés, généralement combinées avec une atteinte de la fonction hépatique et une hépatotoxicité.
-Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux centrale et périphérique. Le mécanisme d'action n'est pas complètement élucidé.
- +Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Le mécanisme d'action n'est pas complètement élucidé.
-L'élimination se produit essentiellement par voie rénale, seules de faibles quantités de paracétamol (2-5%) et de caféine étant retrouvées dans les urines sous forme inchangée. La demi-vie est de 1–3 h pour le paracétamol et d'env. 4 h pour la caféine aux posologies thérapeutiques. Jusqu'à 98% de la dose de paracétamol administrée sont excrétés en 24 heures avec les urines, et plus de 80% le sont sous forme glucuroconjuguée et sulfoconjuguée.
- +L'élimination se produit essentiellement par voie rénale, seules de faibles quantités de paracétamol (2-5%) et de caféine étant retrouvées dans les urines sous forme inchangée. La demi-vie est de 1–3 h pour le paracétamol et d'env. 4 h pour la caféine aux posologies thérapeutiques chez l'adulte. Jusqu'à 98% de la dose de paracétamol administrée sont excrétés en 24 heures avec les urines, et plus de 80% le sont sous forme glucuroconjuguée et sulfoconjuguée.
-Des études cliniques avec le paracétamol orale, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques notamment cirrhose hépatique d'origine alcoolique ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximal étant limitée à 3 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (en raison de l'induction CYP2E1 qui augment la formation de métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
- +Des études cliniques avec le paracétamol orale, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques notamment cirrhose hépatique d'origine alcoolique ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale chez les adultes étant limitée à 2 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (en raison de l'induction CYP2E1 qui augmente la formation de métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
-En cas d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine 10-30 ml/min), l'élimination du paracétamol est peu ralentie chez les mono-préparations de paracétamol, la demi-vie d'élimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse d'élimination des glucuronides et conjugés sulfates est 3 fois plus lente chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave que chez les personnes saines. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie du mono-préparations de paracétamol dans cette population, les glucuronides et conjugés sulfates n'étant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger l'intervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +En cas d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine 10-30 ml/min), l'élimination du paracétamol est peu ralentie chez les mono-préparations de paracétamol, la demi-vie d'élimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse d'élimination des glucuronides et conjugés sulfates est 3 fois plus lente chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave que chez les personnes saines. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie des mono-préparations de paracétamol dans cette population, les glucuronides et conjugés sulfates n'étant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger l'intervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques. Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu'aucun effet génotoxique n'apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
- +Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques.
- +Un potentiel génotoxique a été constaté dans différentes études. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu'aucun effet génotoxique n'apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
-Panadol Extra ne doit pas être utilisés au-delà de la date figurant sur l'emballage avec la mention «EXP».
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Tenir hors de portée des enfants.
- +Tenir hors de la portée des enfants.
-Emballages à 10 comprimés pelliculés (D),
-Emballages à 10 comprimés effervescents (D)
- +Emballages de 10 comprimés pelliculés (D),
- +Emballages de 10 comprimés effervescents (D)
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