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Accueil - Information professionnelle sur Propycil 50 - Changements - 01.11.2018
52 Changements de l'information professionelle Propycil 50
  • -Excipients: Lactose, amidon de maïs, stérarate de magnésium, dioxyde de silicium hautement dispersé, polyvidone K 30, amidon de maïs prégélatinisé.
  • +Excipients: Lactose, amidon de maïs, stéarate de magnésium, dioxyde de silicium hautement dispersé, polyvidone K 30, amidon de maïs prégélatinisé.
  • -Hyperthyroïdie, traitement préopératoire avant une thyroïdectomie subtotale, avant/après un traitement à l’iode radioactif.
  • +·Hyperthyroïdie
  • +·traitement préopératoire avant une thyroïdectomie subtotale
  • +·avant/après un traitement à l’iode radioactif.
  • -Adultes: La dose initiale est de 75 à 100 mg de propylthiouracile (1½–2 comprimés) 3 fois par jour. Dans des cas graves et après contamination à l’iode, des doses initiales plus fortes de 300 à 600 mg de propylthiouracile par jour (6–12 comprimés) sont recommandées, à répartir sur 4 à 6 prises unitaires. La dose d’entretien est de 25 à 150 mg de propylthiouracile par jour.
  • -Pédiatrie: La posologie chez l’enfant dès 10 ans et l’adolescent est la même que celle de l’adulte. Les enfants âgés de 6 à 10 ans prennent au début 50 à 150 mg de propylthiouracile (1–3 comprimés) par jour et comme dose d’entretien environ 25–50 mg de propylthiouracile (½–1 comprimé) par jour.
  • -Patients âgés: Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez le patient âgé.
  • -Patients atteints d’insuffisance rénale: Selon les connaissances actuelles, une modification posologique n’est pas nécessaire en cas d’insuffisance rénale ou de dialyse.
  • -Patients en insuffisance hépatique: Appliquer les dosages usuels en cas d’affections hépatiques légères à modérées (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Durée du traitement: La durée du traitement sera fixée individuellement. L’expérience a montré que la durée complète du traitement de l’hyperthyroïdie dans la maladie de Basedow et l’adénome thyroïdien autonome devait si possible être d’au moins un an. En préparation avant une opération ou un traitement à l’iode radioactif d’une glande thyroïde hyperfonctionnelle, il est nécessaire d’adapter la durée du traitement selon les individus.
  • +Adultes, adolescents et enfants dès 10 ans
  • +Traitement initial
  • +3 fois 75 - 100 mg de propylthiouracile (c.-à-d. 1½–2 comprimés 3 fois par jour).
  • +Dans des cas graves ainsi qu’après contamination à l’iode, des doses initiales plus fortes de 300 - 600 mg par jour (6–12 comprimés) sont recommandées, à répartir sur 4 - 6 prises unitaires.
  • +Traitement d'entretien
  • +25 - 150 mg de propylthiouracile par jour.
  • +Durée du traitement
  • +La durée du traitement sera fixée individuellement. L’expérience a montré que la durée complète du traitement de l’hyperthyroïdie dans la maladie de Basedow et l’adénome thyroïdien autonome devait si possible être d’au moins un an. En préparation avant une opération ou un traitement à l’iode radioactif d’une glande thyroïde hyperfonctionnelle, il est nécessaire d’adapter la durée du traitement selon les individus.
  • +Recommandations posologiques particulières
  • +Enfants âgés de 6 à 10 ans
  • +Traitement initial: 50 150 mg par jour (c.-à.-d. 1–3 comprimés) à répartir sur 1 – 3 prisees unitaires.
  • +Traitement d’entretien: environ 25–50 mg d (c.-à.-d. ½–1 comprimé) par jour.
  • +Les données permettant une recommandation posologique chez les enfants de <6 ans sont insuffisantes (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés: aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez le patient âgé.
  • +Patients atteints d’insuffisance rénale: on ne dispose d’aucune donnée relative à la pharmacocinétique du propylthiouracile chez les patients atteints d’insuffisance rénale. La grande expérience clinique indique toutefois qu’aucune adaptation posologique n’est nécessaire en cas d’insuffisance rénale (y compris les cas nécessitant une dialyse).
  • +Patients en insuffisance hépatique: aucune adaptation posologique n’est nécessaire en cas d’insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh A et B). Propycil est contre-indiqué en cas d’insuffisance hépatique sévère (Child Pugh C).
  • -Hypersensibilité au propylthiouracile ou à l’un des excipients, agranulocytose ou troubles graves de l’hématopoïèse, insuffisance hépatique grave, carcinome thyroïdien.
  • +-Agranulocytose ou troubles graves de l’hématopoïèse
  • +-Insuffisance hépatique grave
  • +-Carcinome thyroïdien
  • +-Hypersensibilité au propylthiouracile ou à l’un des excipients
  • -Un traitement thyréostatique nécessite des contrôles répétés à intervalles réguliers de la fonction thyroïdienne (mesure des hormones thyroïdiennes périphériques et éventuellement de la TSH) afin d’éviter un surdosage. De même, la formule sanguine et les valeurs hépatiques doivent être contrôlées régulièrement.
  • +Un traitement thyréostatique nécessite des contrôles répétés à intervalles réguliers de la fonction thyroïdienne (détermination des hormones thyroïdiennes périphériques et éventuellement de la TSH) afin d’éviter un surdosage. De même, la formule sanguine et les valeurs hépatiques doivent être contrôlées régulièrement.
  • -Propycil ne devrait être administré aux enfants et aux adolescents qu’après avoir considéré toutes les autres alternatives thérapeutiques.
  • +Compte tenu de son hépatotoxicité, Propycil ne devrait être administré aux enfants et aux adolescents qu’après avoir considéré toutes les autres alternatives thérapeutiques.
  • -Une agranulocytose peut se développer en l’espace de quelques heures. C’est pourquoi elle reste imprévisible dans la plupart des cas malgré les examens de contrôle de la formule sanguine, en particulier parce qu’une leucopénie peut survenir dans le cadre de l’hyperthyroïdie (chez environ 10% des patients). C’est pourquoi les patients doivent être informés et connaître les signes cliniques d’une agranulocytose (fièvre, abattement, angine tonsillaire, mucosités) et la nécessité, dans un tel cas, de procéder rapidement à une analyse sanguine.
  • +Un traitement par propylthiouracile est associé à un risque d’inhibition de l’hématopoïèse (leucopénie, granulopénie, agranulocytose, anémie aplastique, thrombopénie). Une agranulocytose a été souvent observée en cas de doses élevées et chez les patients âgés de plus de 40 ans. Certains cas avec une issue fatale ont été rapportés.
  • +Une agranulocytose peut se développer en l’espace de quelques heures. C’est pourquoi elle reste imprévisible dans la plupart des cas malgré les examens de contrôle réguliers de la formule sanguine, en particulier parce qu’une leucopénie peut déjà survenir dans le cadre de l’hyperthyroïdie (chez environ 10% des patients). C’est pourquoi les patients doivent être expressément informés d’arrêter la prise du médicament et de consulter un médecin dans les plus brefs délais en cas de signes cliniques d’une agranulocytose (fièvre, abattement, hématome, saignements, angine tonsillaire, mucite/aphtes ou autres signes d’infections tels que p. ex. une furonculose). Dans de tels cas, et particulièrement en présence de signes cliniques d’une infection, un contrôle de la formule sanguine doit être immédiatement réalisé. En cas d’arrêt prématuré du médicament, le développement d’une aplasie médullaire est réversible.
  • -Cette vasculite, qui s’accompagne souvent de fièvre et de symptômes pseudo-grippaux, peut se manifester dans différents organes, mais plusieurs organes peuvent aussi être touchés en même temps. Il s’agit le plus souvent, d’une manifestation cutanée pouvant aller de symptômes inoffensifs jusqu’à une purpura nécrosante ou à une vasculite leucocytoclasique. Les poumons sont également souvent touchés (p. ex. hémoptysie, pneumonie interstitielle, hémorragies alvéolaires). De plus, les reins (p. ex. glomérulonéphrite, insuffisance rénale aiguë dans certains cas) et les articulations (arthralgies) peuvent aussi être touchés. Plus rarement mentionnées ont été des manifestations dans la musculature (comme une myosite) ou au niveau du foie. On recommandera au patient de prendre contact avec son médecin si de tels symptômes apparaissent.
  • +Cette vasculite, qui s’accompagne souvent de fièvre et de symptômes pseudo-grippaux, peut se manifester dans différents organes, mais plusieurs organes peuvent aussi être touchés en même temps. Il s’agit le plus souvent, d’une manifestation cutanée pouvant aller de symptômes inoffensifs jusqu’à une purpura nécrosante ou à une vasculite leucocytoclastique. Les poumons sont également souvent touchés (p. ex. hémoptysie, pneumonie interstitielle, hémorragies alvéolaires). De plus, les reins (p. ex. glomérulonéphrite, insuffisance rénale aiguë dans certains cas) et les articulations (arthralgies) peuvent aussi être touchés. Plus rarement mentionnées ont été des manifestations dans la musculature (comme une myosite) ou au niveau du foie. On recommandera au patient de prendre contact avec son médecin si de tels symptômes apparaissent.
  • -Comme l’administration du propylthiouracile peut provoquer une hypoprothrombinémie pouvant entraîner une hémorragie, il est indiqué de surveiller le temps de prothrombine pendant le traitement et également en particulier avant toute intervention chirurgicale.
  • +Comme l’administration du propylthiouracile peut provoquer une hypoprothrombinémie pouvant entraîner une hémorragie, il est indiqué de surveiller le temps de prothrombine pendant le traitement et également en particulier avant une intervention chirurgicale.
  • +Remarques particulières
  • +Il existe un risque d’allergie croisée entre le propylthiouracile et le carbimazole ou son métabolite actif thiamazole.
  • +Propycil contenant du lactose, il ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares).
  • +Influence d’autres médicaments sur la pharmacocinétique et/ou la pharmacodynamique du propylthiouracile
  • +Une administration simultanée ou préalable de médicaments à la base d’iode ou de produits de contraste radiologique peut diminuer l’efficacité antithyroïdienne de propylthiouracile et retarder fortement l’euthyroïdie.
  • -Une administration simultanée ou préalable de médicaments à la base d’iode ou de produits de contraste radiologique peut diminuer l’action antithyroïdienne de Propycil 50 et retarder fortement l’euthyroïdie.
  • +L’acide acétylsalicylique, le phénylbutazone et la warfarine entraînent in vitro une élévation significative de la concentration libre du propylthiouracile dans le sérum. Cet effet n’a pas été observé avec la nortriptyline, le phénazone, la phénytoïne et le propranolol.
  • +Influence du propylthiouracile sur la pharmacocinétique et/ou la pharmacodynamique d’autres médicaments
  • -L’acide acétylsalicylique, le phénylbutazone et la warfarine entraînent in vitro une élévation significative de la concentration libre du propylthiouracile dans le sérum. Cet effet n’a pas été observé avec la nortriptyline, le phénazone, la phénytoïne et le propranolol. La prudence est recommandée en cas de prise simultanée de médicaments susceptibles de déclencher une agranulocytose.
  • +La prudence est recommandée en cas de prise simultanée de médicaments susceptibles de déclencher une agranulocytose.
  • -Une hyperthyroïdie maternelle pendant la grossesse s’accompagne d’une augmentation de la fréquence des fausses couches, des enfants mort-nés et de la fréquence des malformations chez le nouveau-né. De même, l’hyperthyroïdie maternelle est à l’origine de fausses couches plus fréquentes. La fréquence des malformations en cas de traitement par propylthiouracile n’est pas différente de la fréquence des malformations spontanées.
  • -Entre la 10ème et la 14ème semaine de grossesse, la production hormonale débute chez le fœtus. Lors de l’administration d’un médicament thyréostatique, son dosage doit être le plus bas possible aussi bien pour prévenir une fausse couche que pour éviter l’apparition d’une hypothyroïdie et d’un goitre chez le fœtus. Dans les trois derniers mois de la grossesse, l’hyperthyroïdie s’améliore souvent spontanément. La femme enceinte et le foetus tolèrent mieux une légère hyperthyroïdie qu’une hypothyroïdie.
  • -Pendant la grossesse, il est donc nécessaire de procéder à une surveillance étroite de la mère et de l’enfant en cas de prise de thyréostatiques. Les paramètres des hormones thyroïdiennes libres doivent se situer dans les limites supérieures des valeurs normales et les taux de TSH doivent être très faibles voire non mesurables.
  • +Le non-traitement de l’hyperthyroïdie pendant la grossesse peut entraîner de graves complications (telles que naissances prématurées ou malformations). C’est pourquoi un traitement thyréostatique doit, le cas échéant (c.-à-d. au cas où un traitement définitif de l’hyperthyroïdie p. ex. par résection de la thyroïde ne serait pas possible avant le début de la grossesse), également être poursuivi pendant la grossesse.
  • +Des cas d’hépatotoxicité sévère ont également été décrits chez les femmes enceintes (voir «Mises en garde / Précautions», paragraphe «Hépatotoxicité»). De plus, on a rapporté deux cas au cours desquels les nouveau-nés ayant été exposés au propylthiouracile pendant la vie intra-utérine ont développé une insuffisance hépatique. La patiente doit être informée de ce risque dans le cas d’une administration de propylthiouracile pendant la grossesse. Pendant la grossesse, Propycil ne doit être utilisé que si les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques.
  • +Le propylthiouracile traverse la barrière placentaire. Une posologie non appropriée peut entraîner le développement d’un goitre et une hyperthyroïdie (crétinisme) chez l’enfant à naître ainsi qu’un faible poids de naissance. C’est pourquoi il convient de toujours utiliser la plus faible dose possible nécessaire à la normalisation de la situation métabolique de la mère (c.-à-d. que la TSH doit être encore légèrement supprimée et la T3 et la T4 légèrement augmentées). Le traitement doit toujours être réalisé sous la surveillance particulièrement étroite de la mère et de l’enfant.
  • +Selon l’expérience en matière de surveillance du marché, le taux de malformations sous propylthiouracile est nettement inférieur à celui sous carbimazole. C’est pourquoi un traitement thyréostatique devrait, dans la mesure du possible, se faire avec le propylthiouracile au cours du premier trimestre de la grossesse. Mais après la fin de l’organogenèse, la prise de propylthiouracile doit être suspendue en raison de son hépatotoxicité potentielle, et il doit être remplacé par le carbimazole.
  • -Propylthiouracile passe dans le lait maternel en faible quantité (10% de la concentration plasmatique chez la mère). Il existe seulement peu de donnée concernant leffet chez l’enfant allaité. On a observé aucune influence sur les paramètres des hormones thyroïdiennes chez le nourrisson lors d’un traitement de la mère jusqu’à des doses de 750 mg. Si le traitement de la mère est indiqué pendant l’allaitement, il est recommandé de surveiller soigneusement le nouveau-né.
  • +Propylthiouracile passe dans le lait maternel en faible quantité et y atteint env. 10% de la concentration plasmatique chez la mère. On ne dispose que de données limitées concernant les éventuels effets sur les nourrissons allaités. On a observé aucune influence sur les paramètres des hormones thyroïdiennes chez le nourrisson lors d’un traitement de la mère jusqu’à des doses de 750 mg. Si le traitement de la mère est indiqué pendant l’allaitement, il est recommandé de surveiller soigneusement le nouveau-né.
  • -Aucune étude spécifique n’est disponible.
  • +Aucune étude spécifique n’est disponible. Mais sous propylthiouracile, des effets indésirables tels que somnolence ou vertiges, susceptibles d’affecter l’aptitude à la conduite et l’aptitude à utiliser des machines, peuvent survenir.
  • -Des effets indésirables sont signalés avec une fréquence d’environ 3%. Il est très rare de constater des effets indésirables graves tels que l’agranulocytose, la nécrose des cellules hépatiques, la dermatite nécrotique, la périartérite et la fièvre médicamenteuse. Une agranulocytose a été observée à plusieurs reprises après administration de fortes doses et chez des patients de plus de 40 ans.
  • -Sang et système lymphatique
  • +Les effets indésirables observés dans les études cliniques et/ou pendant la surveillance marketing sous propylthiouracile sont indiqués ci-dessous par classes de systèmes d’organes MedDRA et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥ 1/10); fréquent (≥ 1/100, < 1/10); peu fréquent (≥ 1/1000, < 1/100); rare (≥ 1/10000, < 1/1000); très rare (< 1/10000); fréquence inconnue (principalement basée sur des notifications spontanées issues de la surveillance du marché, la fréquence exacte ne pouvant pas être évaluée).
  • +Les effets indésirables graves du propylthiouracile incluent notamment l’hépatotoxicité, l’hématotoxicité et les effets immunologiques. Ils sont décrits en détail dans la rubrique «Mises en garde / précautions».
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquents: neutropénie cliniquement non pertinente.
  • +
  • -Très rare: agranulocytose, hypoprothrombinémie.
  • -Système immunitaire
  • +Très rare: agranulocytose, hypoprothrombinémie, pancytopénie, hémolyse.
  • +Affections du système immunitaire
  • -Système endocrinien
  • -Très rare: hypothyroïdie.
  • -Système nerveux
  • -Rare: vertiges, céphalées, somnolence, paresthésies, névrite, troubles du goût et de l’odorat.
  • -Yeux
  • +Affections endocriniennes
  • +Très rare: hypothyroïdie, formation d’un goitre chez le nouveau-né.
  • +Affections du système nerveux
  • +Rare: vertiges, céphalées, somnolence, paresthésies, névrite, dysgueusie, dysosmie.
  • +Affections oculaires
  • -Voies respiratoires
  • -Très rare: toux, dyspnée, hémoptysie, pneumonie interstitielle, hémorragies alvéolaires, asthme (voir aussi Maladies du système immunitaire)
  • -Appareil gastro-intestinal
  • +Affections de l’oreille et du labyrinthe
  • +Très rare: perte temporaire de l’audition.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Très rare: toux, dyspnée, hémoptysie, pneumonie interstitielle, hémorragies alvéolaires, asthme (voir aussi Affections du système immunitaire).
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Foie (voir aussi «Mises en garde et précautions»)
  • -Très fréquent: élévation transitoire des transaminases sériques
  • -Rare: ictère, hépatite nécrotique.
  • -Très rare: insuffisance hépatique aiguë
  • -Tissu cutané et sous-cutané
  • -Rare: dépigmentation, érythème, prurit, éruption cutanée, chute de cheveux.
  • -Très rare: dermatite nécrosante, purpura, ulcères cutanés, vasculite leucocytoclasique (voir aussi Maladies du système immunitaire)
  • -Système musculo-squelettique, du tissu conjonctif et des os
  • -Rare: myalgies, douleurs articulaires, polyarthrite.
  • -Très rare: myopathie (en relation avec une vasculite – voir «Mises en garde et précautions»)
  • -Reins
  • -Très rare: hématurie, glomérulonéphrite.
  • -Cas isolés d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi Maladies du système immunitaire)
  • -Troubles généraux
  • +Affections hépatobiliaires (voir aussi «Mises en garde et précautions»)
  • +Très fréquent: élévation transitoire des transaminases sériques.
  • +Rare: ictère, cholestase transitoire, hépatite nécrotique.
  • +Très rare: insuffisance hépatique aiguë.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: urticaire.
  • +Rare: érythème, éruption cutanée, prurit, dépigmentation, alopécie.
  • +Très rare: dermatite nécrotique, purpura, ulcères cutanés, vasculite leucocytoclasique (voir aussi Maladies du système immunitaire).
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Rare: myalgies, arthralgies, polyarthrite.
  • +Très rare: myopathie (en relation avec une vascularite – voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Très rare: hématurie, troubles de la fonction rénale (en rapport avec une vascularite – voir «Mises en garde et précautions»), glomérulonéphrite.
  • +Cas isolés d’insuffisance rénale aiguë.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • -En cas de surdosage chronique, un goitre et une hypothyroïdie peuvent se développer sous l’action spécifique des thyréostatiques, avec des symptômes dépendant de la gravité de l’hypothyroïdie.
  • -Les mesures spécifiques à prendre en cas de surdosage ne sont pas connues. Compte tenu de la résorption rapide du médicament, le lavage d’estomac et l’ablation endoscopique des résidus de comprimés ne présentent guère d’intérêt.
  • -Stopper la prise de Propycil 50 si, à la suite d’un surdosage chronique, il y a développement d’un goitre et apparition d’une hypothyroïdie dont les symptômes dépendent de la gravité de l’hypothyroïdie. Dans les cas où le taux de gravité de l’hypothyroïdie ou du goitre l’exige, une substitution de la thyroxine est nécessaire. Néanmoins, on peut généralement attendre le rétablissement spontané de la fonction thyroïdienne après l’atténuation des effets du propylthiouracile.
  • +En cas d’un surdosage chronique, un goitre et une hypothyroïdie peuvent se développer sous l’action spécifique des thyréostatiques, avec des symptômes dépendant de la gravité de l’hypothyroïdie.
  • +Il n’existe pas d’antidote spécifique, un traitement symptomatique doit être mis en œuvre le cas échéant. Compte tenu de la résorption rapide du médicament, le lavage d’estomac et l’ablation endoscopique des résidus de comprimés ne présentent guère d’intérêt.
  • +Stopper la prise de Propycil 50 si, à la suite d’un surdosage chronique, il y a développement d’un goitre et apparition d’une hypothyroïdie. Dans les cas où le taux de gravité des symptômes l’exige, une substitution de la thyroxine est nécessaire. Néanmoins, on peut généralement attendre le rétablissement spontané de la fonction thyroïdienne après l’atténuation des effets du propylthiouracile.
  • -La résorption du propylthiouracile après administration orale est bonne et rapide. La biodisponibilité est de 80% environ. Les taux plasmatique maximaux sont atteints après 1 à 2 heures. La prise simultanée d’aliments n’a aucune influence sur l’absorption.
  • +La résorption du propylthiouracile après administration orale est bonne et rapide. La biodisponibilité est de 80% environ. Les taux plasmatique maximaux sont atteints après 12 heures. La prise simultanée d’aliments n’a aucune influence sur l’absorption.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est de 75%, le volume de distribution de 14 litres. Le propylthiouracile s’accumule peu dans la thyroïde. Il franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel; sa concentration dans le lait maternel représente 1/10 de sa concentration plasmatique.
  • +La liaison aux protéines plasmatiques est de 75%, le volume de distribution de 14 litres. Le propylthiouracile s’accumule peu dans la thyroïde.
  • +Le propylthiouracile franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel; sa concentration dans le lait maternel représente 1/10 de sa concentration plasmatique.
  • -Le propylthiouracile est métabolisé en majeure partie dans le foie. Il est glucuronisé à plus de 60%, et également S-méthylé et sulfaté. Les métabolites sont inactifs ou faiblement actifs.
  • +Le métabolisme du propylthiouracile se fait à 60% par conjugaison avec des glucuronides dans le foie. Il est également s-méthylé et sulfaté. En revanche, un métabolisme de phase I ne joue probablement qu’un rôle secondaire.
  • +Les conjugués sont pharmacologiquement inactifs ou faiblement actifs.
  • -L’élimination se fait essentiellement par voie rénale, pour environ 60% sous forme de métabolites, 1/3 environ est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d’élimination est de 1 à 2 heures.
  • +L’élimination se fait essentiellement par voie rénale, pour environ 60% sous forme de métabolites, 1/3 environ est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d’élimination est de 12 heures.
  • -Patients atteints d’insuffisance hépatique et rénale: Aucune étude pharmacocinétique n’a été réalisée sur des patients atteints d’insuffisance hépatique et rénale.
  • +Enfants/adolescents: on ne dispose d’aucune donnée pharmacocinétique spécifique pour la population pédiatrique.
  • +Patients atteints d’insuffisance hépatique et rénale: Aucune étude pharmacocinétique n’a été réalisée sur des patients atteints d’insuffisance hépatique ou rénale.
  • -Juin 2016
  • +Janvier 2018
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