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Accueil - Information professionnelle sur Neulasta - Changements - 26.07.2017
70 Changements de l'information professionelle Neulasta
  • -1 seringue préremplie contient 6 mg de pegfilgrastim en solution injectable de 0,6 ml (10 mg/ml*).
  • -* Concentration sur la base de la protéine pure. La concentration est de 20 mg/ml lorsque la fraction pégylée (PEG) est prise en compte.
  • +1 seringue préremplie contient 6 mg de pegfilgrastim dans 0,6 ml de solution injectable (10 mg/ml*).
  • +* concentration sur la base de la protéine pure. La concentration est de 20 mg/ml lorsque la fraction pégylée (PEG) est prise en compte.
  • -Réduction de la durée des neutropénies et de lincidence des neutropénies fébriles chez les patients traités par une chimiothérapie cytotoxique pour une pathologie maligne (à lexception des leucémies myéloïdes chroniques et des syndromes myélodysplasiques).
  • +Réduction de la durée des neutropénies et de l'incidence des neutropénies fébriles chez les patients traités par une chimiothérapie cytotoxique pour une pathologie maligne (à l'exception des leucémies myéloïdes chroniques et des syndromes myélodysplasiques).
  • -Une dose de 6 mg de Neulasta (une seringue préremplie) est recommandée pour chaque cycle de chimiothérapie sous la forme dune injection sous-cutanée à administrer environ 24 heures après la fin de la chimiothérapie cytotoxique. Neulasta ne doit pas être administré dans lintervalle compris entre les 14 jours précédant et les 24 heures suivant ladministration dune chimiothérapie cytotoxique.
  • +Une dose de 6 mg de Neulasta (une seringue préremplie) est recommandée pour chaque cycle de chimiothérapie sous la forme d'une injection sous-cutanée à administrer environ 24 heures après la fin de la chimiothérapie cytotoxique. Neulasta ne doit pas être administré dans l'intervalle compris entre les 14 jours précédant et les 24 heures suivant l'administration d'une chimiothérapie cytotoxique.
  • -En raison de données insuffisantes, l’administration de Neulasta n’est pas recommandée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents de petite taille dont le poids est inférieur à 45 kg.
  • +Les données sont insuffisantes en ce qui concerne l'administration de Neulasta chez les patients pédiatriques, de sorte que Neulasta ne doit pas être utilisé chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents de petite taille qui pèsent moins de 45 kg.
  • -Une modification de la posologie nest pas recommandée chez les patients souffrant dune insuffisance rénale y compris dune insuffisance rénale terminale.
  • +Une modification de la posologie n'est pas recommandée chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale y compris d'une insuffisance rénale terminale.
  • -Hypersensibilité au principe actif pegfilgrastim, au filgrastim, aux protéines produites à partir dE. Coli ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +Hypersensibilité au principe actif pegfilgrastim, au filgrastim, aux protéines produites à partir d'E. Coli ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -Un nombre limité de données cliniques obtenues chez 83 patients traités lors dune étude interrompue prématurément par erreur suggère que leffet du pegfilgrastim et celui du filgrastim sur le temps de récupération dune neutropénie sévère sont comparables chez les patients présentant une leucémie aiguë myéloïde de novo (voir «Propriétés/Effets»). Cependant, les effets à long terme de Neulasta nont pas encore été suffisamment étudiés lors de leucémie aiguë myéloïde (LAM); par conséquent, Neulasta doit être utilisé avec précaution dans cette population de patients.
  • +Un nombre limité de données cliniques obtenues chez 83 patients traités lors d'une étude interrompue prématurément par erreur suggère que l'effet du pegfilgrastim et celui du filgrastim sur le temps de récupération d'une neutropénie sévère sont comparables chez les patients présentant une leucémie aiguë myéloïde (LAM) de novo (voir «Propriétés/Effets»). Cependant, les effets à long terme de Neulasta n'ont pas encore été suffisamment étudiés lors de la LAM; par conséquent, Neulasta doit être utilisé avec précaution dans cette population de patients.
  • -La tolérance et lefficacité de Neulasta nont pas été étudiées chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique, de leucémie myéloïde chronique ou de LAM secondaire; par conséquent, Neulasta ne doit pas être utilisé chez ces patients. Une attention particulière doit être portée au diagnostic différentiel entre la transformation blastique dune leucémie myéloïde chronique et une leucémie aiguë myéloïde.
  • -La tolérance et lefficacité de Neulasta nont pas été étudiées chez les patients recevant une chimiothérapie à posologie élevée.
  • -De rares cas (>0,01% et <0,1%) deffets indésirables pulmonaires, notamment de pneumonie interstitielle, ont été rapportés après ladministration de G-CSF. Le risque peut être accru chez les patients ayant une anamnèse récente dinfiltrations pulmonaires ou de pneumonie.
  • -Lapparition de symptômes pulmonaires tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques dinfiltration pulmonaire ainsi quune détérioration de la fonction respiratoire allant de pair avec une augmentation du nombre de granulocytes neutrophiles peuvent être les signes préliminaires dun syndrome de détresse respiratoire de ladulte (acute respiratory distress syndrome, ARDS). Dans de telles circonstances et selon lappréciation du médecin, Neulasta doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré.
  • -Des cas de glomérulonéphrite ont été signalés chez des patients ayant reçu le filgrastim et le pegfilgrastim. En règle générale, ces cas ont disparu après une réduction posologique ou larrêt du traitement par le filgrastim et le pegfilgrastim. Une surveillance des valeurs urinaires est recommandée.
  • -Un syndrome de fuite capillaire a été rapporté après ladministration de facteur de croissance de la lignée granulocytaire et est caractérisé par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -Après ladministration de pegfilgrastim, des cas fréquents et généralement asymptomatiques de splénomégalie ont été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont lévolution a été fatale dans quelques cas. Pour cette raison, la taille de la rate doit être surveillée cliniquement (par examen échographique). Le diagnostic de rupture splénique doit être considéré chez les donneurs et/ou chez les patients qui présentent des douleurs du quadrant abdominal supérieur gauche ou des douleurs dans la région de lépaule.
  • -Un traitement par Neulasta seul ne permet pas d’exclure la survenue dune thrombopénie ou dune anémie étant donné que la chimiothérapie myélosuppressive est maintenue aux posologies complètes selon le schéma posologique prévu. Une surveillance régulière du compte thrombocytaire et de lhématocrite est recommandée.
  • +La sécurité et l'efficacité de Neulasta n'ont pas été étudiées chez les patients atteints de syndrome myélodysplasique, de leucémie myéloïde chronique ou de LAM secondaire; par conséquent, Neulasta ne doit pas être utilisé chez ces patients. Une attention particulière doit être portée au diagnostic différentiel entre la transformation blastique d'une leucémie myéloïde chronique et une leucémie aiguë myéloïde.
  • +La sécurité et l'efficacité de Neulasta n'ont pas été étudiées chez les patients recevant une chimiothérapie à posologie élevée.
  • +De rares cas (>0,01% et <0,1%) d'effets indésirables pulmonaires, notamment de pneumonie interstitielle, ont été rapportés après l'administration de G-CSF. Le risque peut être accru chez les patients ayant une anamnèse récente d'infiltrats pulmonaires ou de pneumonie.
  • +L'apparition de symptômes pulmonaires tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques d'infiltrats pulmonaires ainsi qu'une détérioration de la fonction respiratoire allant de pair avec une augmentation du nombre de granulocytes neutrophiles peuvent être les signes préliminaires d'un syndrome de détresse respiratoire de l'adulte (acute respiratory distress syndrome, ARDS). Dans de telles circonstances et selon l'appréciation du médecin, Neulasta doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré.
  • +Des cas de glomérulonéphrite ont été signalés chez des patients ayant reçu le filgrastim et le pegfilgrastim. En règle générale, ces cas ont disparu après une réduction posologique ou l'arrêt du traitement par le filgrastim et le pegfilgrastim. Une surveillance des valeurs urinaires est recommandée.
  • +Un syndrome de fuite capillaire a été rapporté après l'administration de facteur de croissance granulocytaire et est caractérisé par une hypotension, une hypoalbuminémie, des œdèmes et une hémoconcentration. Les patients développant des symptômes du syndrome de fuite capillaire doivent être étroitement surveillés et recevoir un traitement symptomatique standard, qui peut inclure un recours à des soins intensifs (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Après l'administration de pegfilgrastim, des cas fréquents et généralement asymptomatiques de splénomégalie ont été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont l'évolution a été fatale dans quelques cas. Pour cette raison, la taille de la rate doit être surveillée cliniquement (par examen échographique). Le diagnostic de rupture splénique doit être considéré chez les donneurs et/ou chez les patients qui présentent des douleurs du quadrant abdominal supérieur gauche ou des douleurs dans la région de l'épaule.
  • +Un traitement par Neulasta seul n'exclut pas la survenue d'une thrombopénie ou d'une anémie étant donné que la chimiothérapie myélosuppressive est maintenue aux posologies complètes selon le schéma posologique prévu. Une surveillance régulière de la numération plaquettaire et de l'hématocrite est recommandée.
  • -Des crises drépanocytaires ont été associées à lutilisation de pegfilgrastim chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints danémie falciforme. Par conséquent, Neulasta doit être prescrit avec précaution chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints danémie falciforme, surveiller les paramètres cliniques et biologiques correspondants et tenir compte dun lien de causalité éventuel entre Neulasta et la survenue dune splénomégalie ou de crises vaso-occlusives.
  • -Un nombre de leucocytes supérieur ou égal à 100× 109/l a été observé chez moins de 1% des patients traités par Neulasta. Aucun effet indésirable directement attribuable à un tel niveau de leucocytose na cependant été rapporté. Une telle élévation du nombre de leucocytes est transitoire, elle survient typiquement entre 24 et 48 heures après ladministration et elle est conforme aux effets pharmacodynamiques de Neulasta.
  • -Une hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques, a été rapportée chez des patients traités par Neulasta, lors du traitement initial ou des traitements suivants. Le traitement par Neulasta doit être arrêté de façon définitive chez les patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne pas administrer Neulasta à des patients ayant des antécédents dhypersensibilité au pegfilgrastim ou au filgrastim. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être administré et le patient devra être attentivement suivi pendant plusieurs jours.
  • -La tolérance et lefficacité de Neulasta pour la mobilisation de cellules souches progénitrices dans le sang circulant de patients ou de donneurs sains nont pas été suffisamment évaluées.
  • +Des crises drépanocytaires ont été associées à l'utilisation de pegfilgrastim chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints d'anémie falciforme. Par conséquent, les médecins doivent prescrire avec précaution Neulasta chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints d'anémie falciforme, surveiller les paramètres cliniques et biologiques correspondants et tenir compte d'un lien de causalité éventuel entre Neulasta et la survenue d'une splénomégalie ou de crises vaso-occlusives.
  • +Un nombre de leucocytes supérieur ou égal à 100× 109/l a été observé chez moins de 1% des patients traités par Neulasta. Aucun effet indésirable directement attribuable à un tel niveau de leucocytose n'a cependant été rapporté. Une telle élévation du nombre de leucocytes est transitoire, elle survient typiquement entre 24 et 48 heures après l'administration et elle est conforme aux effets pharmacodynamiques de Neulasta.
  • +Une hypersensibilité, incluant des réactions anaphylactiques, a été rapportée chez des patients traités par Neulasta, lors du traitement initial ou des traitements suivants. Le traitement par Neulasta doit être arrêté de façon définitive chez les patients présentant une hypersensibilité cliniquement significative. Ne pas administrer Neulasta à des patients ayant des antécédents d'hypersensibilité au pegfilgrastim ou au filgrastim.
  • +Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être administré et le patient devra être attentivement suivi pendant plusieurs jours.
  • +La sécurité et l'efficacité de Neulasta pour la mobilisation de cellules souches progénitrices hématopoiétiques chez des patients ou des donneurs sains n'ont pas été suffisamment évaluées.
  • -Une augmentation de lactivité hématopoïétique de la moelle osseuse en réponse à un traitement par des facteurs de croissance a été associée à des résultats dimagerie osseuse transitoirement positifs. Ce phénomène doit être pris en compte lors de linterprétation des résultats de limagerie osseuse.
  • +Une augmentation de l'activité hématopoïétique de la moelle osseuse en réponse à un traitement par des facteurs de croissance a été associée à des résultats d'imagerie osseuse transitoirement positifs. Ce phénomène doit être pris en compte lors de l'interprétation des résultats de l'imagerie osseuse.
  • -Une réaction dimmunogénicité est possible comme avec toutes les protéines thérapeutiques. Bien que les données disponibles laissent supposer quune faible proportion des patients ait développé des anticorps se liant au filgrastim ou au pegfilgrastim, le type et la spécificité de ces anticorps nont pas été étudiés de manière approfondie. En utilisant un processus de dosage biologique à base cellulaire chez 46 patients qui avaient apparemment développé des anticorps liants, aucun anticorps neutralisant na cependant été détecté.
  • -La confirmation de la formation danticorps dépend fortement de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de dosage biologique. De plus, lincidence de lapparition de ces anticorps observée lors de la mise en œuvre de cette méthode peut être influencée par divers facteurs, y compris par la manipulation de léchantillon, la médication concomitante et la maladie sous-jacente. Pour cette raison, la comparaison de la fréquence de lapparition danticorps contre Neulasta avec celle de lapparition danticorps contre dautres médicaments peut induire en erreur.
  • -Chez les patients traités par dautres facteurs de croissance recombinants, de rares cas de cytopénies dues aux réactions d’anticorps contre les facteurs de croissance exogènes ont été rapportés. Il est théoriquement possible quun anticorps dirigé contre le pegfilgrastim réagisse avec le G-CSF endogène et puisse provoquer une neutropénie dorigine immunologique. Cette éventualité na cependant pas été observée dans les essais cliniques.
  • +Une réaction d'immunogénicité est possible comme avec toutes les protéines thérapeutiques. Bien que les données disponibles laissent supposer qu'une faible proportion des patients ait développé des anticorps se liant au filgrastim ou au pegfilgrastim, le type et la spécificité de ces anticorps n'ont pas été étudiés de manière approfondie. En utilisant une méthode de dosage biologique basée sur des cellules chez 46 patients qui avaient manifestement développé des anticorps liants, aucun anticorps neutralisant n'a cependant été détecté.
  • +La confirmation de la formation d'anticorps dépend fortement de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de dosage biologique. De plus, l'incidence de l'apparition de ces anticorps observée avec cette méthode peut être influencée par divers facteurs, y compris par la manipulation de l'échantillon, la médication concomitante et la maladie sous-jacente. Pour cette raison, la comparaison de la fréquence de l'apparition d'anticorps contre Neulasta avec celle de l'apparition d'anticorps contre d'autres médicaments peut induire en erreur.
  • +Chez les patients traités par d'autres facteurs de croissance recombinants, de rares cas de cytopénies dues à la formation d'anticorps contre les facteurs de croissance exogènes ont été rapportés. Il est théoriquement possible qu'un anticorps dirigé contre le pegfilgrastim réagisse avec le G-CSF endogène et puisse provoquer une neutropénie d'origine immunologique. Cette éventualité n'a cependant pas été observée dans les essais cliniques.
  • -Neulasta doit être administré environ 24 heures après une chimiothérapie cytotoxique en raison de la sensibilité potentielle des cellules myéloïdes à division rapide à cette chimiothérapie. Au cours des études cliniques, Neulasta a pu être administré avec sécurité 14 jours avant la chimiothérapie. Lutilisation concomitante de Neulasta et dun agent chimiothérapeutique na pas été évaluée chez les patients. Dans les modèles animaux, une myélosuppression accrue a pu être mise en évidence lors de ladministration concomitante de Neulasta et de 5-fluorouracile (5-FU) ou dautres antimétabolites.
  • -Les interactions éventuelles avec dautres facteurs de croissance hématopoïétiques et avec les cytokines nont pas été spécifiquement étudiées au cours des essais cliniques.
  • -Linteraction potentielle avec le lithium, une substance qui favorise également la mobilisation des granulocytes neutrophiles, na pas été spécifiquement étudiée. Aucun élément nindique quune telle interaction puisse représenter un risque. La tolérance et lefficacité de Neulasta nont pas été évaluées chez les patients recevant une chimiothérapie entraînant une myélosuppression retardée, comme par exemple un traitement par les nitrosourées.
  • -Aucune étude spécifique na été réalisée au sujet des interactions médicamenteuses ou du métabolisme. Cependant, les études cliniques nont pas mis en évidence dinteractions entre Neulasta et dautres médicaments.
  • +Neulasta doit être administré environ 24 heures après une chimiothérapie cytotoxique en raison de la sensibilité potentielle des cellules myéloïdes à division rapide à cette chimiothérapie. Au cours des études cliniques, Neulasta a pu être administré avec sécurité 14 jours avant la chimiothérapie. L'utilisation concomitante de Neulasta et d'un agent chimiothérapeutique n'a pas été évaluée chez les patients. Dans les modèles animaux, une myélosuppression accrue a pu être mise en évidence lors de l'administration concomitante de Neulasta et de 5-fluorouracile (5-FU) ou d'autres antimétabolites.
  • +Les interactions éventuelles avec d'autres facteurs de croissance hématopoïétiques et avec les cytokines n'ont pas été spécifiquement étudiées au cours d'essais cliniques.
  • +L'interaction potentielle avec le lithium, une substance qui favorise également la mobilisation des granulocytes neutrophiles, n'a pas été spécifiquement étudiée. Aucun élément n'indique qu'une telle interaction puisse représenter un risque. La sécurité et l'efficacité de Neulasta n'ont pas été évaluées chez les patients recevant une chimiothérapie entraînant une myélosuppression retardée, comme p.ex. un traitement par les nitrosourées.
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée au sujet des interactions médicamenteuses ou du métabolisme. Cependant, les études cliniques n'ont pas mis en évidence d'interactions entre Neulasta et d'autres médicaments.
  • -On ne dispose pas de données suffisantes concernant l’utilisation de Neulasta chez la femme enceinte. Lexpérimentation animale a mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour lêtre humain nest pas connu.
  • -Neulasta ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Les femmes qui tombent enceintes lors d’un traitement avec Neulasta sont priées de participer au programme de surveillance des grossesses mis en place par Amgen. Les coordonnées des personnes à contacter sont fournies au médecin traitant par Amgen Switzerland AG.
  • -On ne dispose daucune expérience clinique chez les femmes qui allaitent. Pour cette raison, Neulasta ne doit pas être utilisé pendant la période d’allaitement.
  • -Les femmes qui allaitent pendant le traitement par Neulasta doivent participer au Programme de Surveillance de l’Allaitement d’Amgen. Les coordonnées des personnes à contacter sont fournies au médecin traitant par Amgen Switzerland AG.
  • +Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'emploi de Neulasta chez la femme enceinte. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
  • +Neulasta ne doit pas être administré pendant la grossesse sauf en cas de nécessité absolue.
  • +On ne dispose d'aucune expérience clinique chez les femmes qui allaitent. Pour cette raison, Neulasta ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • -Aucune étude na été effectuée au sujet des effets sur laptitude à la conduite et à lutilisation de machines.
  • +Aucune étude n'a été effectuée au sujet des effets sur l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines.
  • -Leffet indésirable le plus fréquemment rapporté et lié au médicament étudié était la douleur osseuse (26%). La douleur osseuse était en général dintensité légère à modérée, transitoire et elle a pu être contrôlée chez la plupart des patients par un antalgique standard.
  • -Des réactions de type allergique, incluant anaphylaxie, éruption cutanée, urticaire, angio-œdème, dyspnée, hypotension, réactions au site de linjection, érythèmes et rougeurs cutanées ont été rapportées lors de ladministration initiale ou dun traitement ultérieur par Neulasta. Dans certains cas, ces symptômes sont réapparus lors dune nouvelle administration du médicament, ce qui suggère donc une relation de cause à effet. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être instauré et le patient doit être soigneusement suivi pendant plusieurs jours. Le traitement par le pegfilgrastim doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une réaction allergique grave.
  • -Des augmentations réversibles légères à modérées des taux dacide urique, de phosphatase alcaline et de lactate-déshydrogénase, sans signes cliniques associés, se sont produites chez respectivement 7%, 10% et 20% des patients qui ont reçu Neulasta après une chimiothérapie cytotoxique. Des nausées ont été observées chez les volontaires sains (11%) et chez moins de 1% des patients recevant une chimiothérapie.
  • -Dans des rares cas, des effets indésirables pulmonaires ont été rapportés comme la pneumonie interstitielle, lœdème pulmonaire, les infiltrations pulmonaires et la fibrose pulmonaire. Dans certains des cas rapportés, ces effets ont entraîné une défaillance respiratoire ou un syndrome de détresse respiratoire de ladulte (SDRA) qui peuvent avoir une issue fatale.
  • -Un syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement nest pas initié à temps, a été rarement rapporté chez des patients atteints de cancer recevant une chimiothérapie après l’administration de facteurs de croissance de la lignée granulocytaire; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -Après ladministration de pegfilgrastim, des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie ont fréquemment été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont certains ont eu une issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté et lié au médicament étudié était la douleur osseuse (26%). La douleur osseuse était en général d'intensité légère à modérée, transitoire et elle a pu être contrôlée chez la plupart des patients par un antalgique standard.
  • +Des symptômes de réactions allergiques, incluant anaphylaxie, éruption cutanée, urticaire, angio-œdème, dyspnée, hypotension, réactions au site de l'injection, érythèmes et rougeurs cutanées ont été rapportées lors de l'administration initiale ou d'un traitement ultérieur par Neulasta. Dans certains cas, ces symptômes sont réapparus lors d'une nouvelle administration du médicament, ce qui suggère donc une relation de cause à effet. Si une réaction allergique grave survient, un traitement approprié doit être instauré et le patient doit être soigneusement suivi pendant plusieurs jours. Le traitement par le pegfilgrastim doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une réaction allergique grave.
  • +Des augmentations réversibles légères à modérées des taux d'acide urique, de phosphatase alcaline et de lactate-déshydrogénase, sans signes cliniques associés, se sont produites chez respectivement 7%, 10% et 20% des patients qui ont reçu Neulasta après une chimiothérapie cytotoxique. Des nausées ont été observées chez les volontaires sains (11%) et chez moins de 1% des patients recevant une chimiothérapie.
  • +Dans des rares cas, des effets indésirables pulmonaires ont été rapportés comme la pneumonie interstitielle, l'œdème pulmonaire, les infiltrats pulmonaires et la fibrose pulmonaire. Dans certains des cas rapportés, ces effets ont entraîné une défaillance respiratoire ou un syndrome de détresse respiratoire de l'adulte (SDRA) qui peuvent avoir une issue fatale.
  • +Un syndrome de fuite capillaire, pouvant engager le pronostic vital si le traitement n'est pas instauré à temps, a été rarement rapporté chez des patients atteints de cancer recevant une chimiothérapie et un traitement ultérieur par des facteurs de croissance granulocytaire; voir rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +Après l'administration de pegfilgrastim, des cas généralement asymptomatiques de splénomégalie ont fréquemment été rapportés, tout comme de très rares cas de rupture splénique dont certains ont eu une issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Des rares cas de syndrome de Sweet (dermatose aigue fébrile) ont été rapportés, bien quune pathologie hématologique sous-jacente ait pu jouer un rôle dans certains cas.
  • -Des très rares cas de vascularite cutanée ont été rapportés parmi les patients traités par Neulasta. Le mécanisme qui conduit à une vascularite chez les patients recevant Neulasta nest pas connu.
  • -Dans des cas isolés, des crises drépanocytaires ont été rapportées chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints de drépanocytose (voir «Mises en garde et précautions».
  • -Lors de tests de la fonction hépatique, des augmentations ont été observées chez les patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Ces augmentations sont passagères et les paramètres retournent à leurs valeurs initiales.
  • +Des rares cas de syndrome de Sweet (dermatose aigue fébrile) ont été rapportés, bien qu'une pathologie hématologique sous-jacente ait pu jouer un rôle dans certains cas.
  • +Des très rares cas de vascularite cutanée ont été rapportés parmi les patients traités par Neulasta. Le mécanisme qui conduit à une vascularite chez les patients recevant Neulasta n'est pas connu.
  • +Dans des cas isolés, des crises drépanocytaires ont été rapportées chez les patients porteurs sains de drépanocytose ou atteints de drépanocytose (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Des augmentations des paramètres hépatiques ont été observées chez les patients qui ont reçu du pegfilgrastim après une chimiothérapie cytotoxique. Ces augmentations sont passagères et les paramètres retournent à leurs valeurs initiales.
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Fréquent: douleurs dans la cage thoracique (non cardiaques), douleurs, douleurs au site dinjection.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquent: douleurs dans la cage thoracique (non cardiaques), douleurs, douleurs au site d'injection.
  • -Peu fréquent: réactions dhypersensibilité, anaphylaxie.
  • +Peu fréquent: réactions d'hypersensibilité, anaphylaxie.
  • -Des cas de syndrome de fuite capillaire ont été rapportés après commercialisation des facteurs de croissance de la lignée granulocytaire. Ils sont généralement apparus chez des patients ayant des pathologies malignes à un stade avancé, une septicémie, recevant de multiples chimiothérapies ou sous aphérèse (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Après la commercialisation, des cas de syndrome de fuite capillaire ont été rapportés après administration de facteurs de croissance granulocytaire. Ceux-ci sont généralement apparus chez des patients ayant des pathologies malignes à un stade avancé, un sepsis ou chez des patients ayant reçu plusieurs chimiothérapies ou ayant subi une aphérèse (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Une fréquence plus élevée dévénements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. Leffet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir les rubriques «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»).
  • +Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»).
  • -Aucune expérience nest disponible en ce qui concerne le surdosage de Neulasta chez lêtre humain et la quantité maximale de Neulasta pouvant être administrée sans risque en dosage unique ou répété na pas été déterminée. Des doses uniques de 300 µg/kg ont été administrées par voie sous-cutanée à 8 volontaires sains et à 3 patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules sans que des effets indésirables graves ne soient apparus. Ces sujets ont présenté un ANC maximal (Absolute Neutrophil Count – nombre absolu de granulocytes neutrophiles) de 55× 109/l en moyenne en présence dun nombre maximal correspondant de leucocytes de 67× 109/l en moyenne. LANC maximal observé sest élevé à 96× 109/l pour un nombre maximal correspondant de leucocytes de 120× 109/l. La durée de la leucocytose a varié entre 6 et 13 jours. Une leucaphérèse doit être envisagée pour le traitement des personnes symptomatiques.
  • +Aucune expérience n'est disponible en ce qui concerne le surdosage de Neulasta chez l'être humain et la quantité maximale de Neulasta pouvant être administrée sans risque en dosage unique ou répété n'a pas été déterminée. Des doses uniques de 300 µg/kg ont été administrées par voie sous-cutanée à 8 volontaires sains et à 3 patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules sans que des effets indésirables graves ne soient apparus. Ces sujets ont présenté un ANC maximal (Absolute Neutrophil Count – nombre absolu de granulocytes neutrophiles) de 55× 109/l en moyenne en présence d'un nombre maximal correspondant de leucocytes de 67× 109/l en moyenne. L'ANC maximal observé s'est élevé à 96× 109/l pour un nombre absolu maximal correspondant de leucocytes de 120× 109/l. La durée de la leucocytose a varié entre 6 et 13 jours. Une leucaphérèse doit être envisagée pour le traitement des personnes symptomatiques.
  • -Le pegfilgrastim est produit par la technique de lADN recombinant à partir d'E. Coli (K12).
  • -Mécanisme daction
  • +Le pegfilgrastim est produit par la technique de l'ADN recombinant à partir d'E. Coli (K12).
  • +Mécanisme d'action
  • -Le pegfilgrastim est une forme conjuguée covalente du G-CSF humain recombinant (r-metHuG-CSF) et dune unique molécule de polyéthylène glycol (PEG) de 20 kDa. Le pegfilgrastim est une forme de filgrastim caractérisée par une durée de séjour prolongée dans lorganisme en raison dune clairance rénale diminuée. Le pegfilgrastim et le filgrastim, pour lesquels un mécanisme daction identique a pu être démontré, entraînent une augmentation marquée du nombre de granulocytes neutrophiles circulants dans les 24 heures ainsi quune augmentation mineure des monocytes et/ou des lymphocytes. Comme dans le cas du filgrastim, les granulocytes neutrophiles générés en réponse au pegfilgrastim possèdent une capacité fonctionnelle normale ou accrue, ce qui a pu être démontré par les tests de chimiotactisme et de phagocytose. Comme dautres facteurs de croissance hématopoïétiques, le G-CSF a montré des propriétés stimulantes des cellules endothéliales humaines in vitro. Le G-CSF peut promouvoir in vitro la croissance des cellules myéloïdes, y compris celle des cellules malignes, et des effets similaires ont pu être observés in vitro sur certaines cellules non myéloïdes.
  • +Le pegfilgrastim est une forme conjuguée covalente du G-CSF humain recombinant (r-metHuG-CSF) et d'une unique molécule de polyéthylène glycol (PEG) de 20 kDa. Le pegfilgrastim est une forme de filgrastim caractérisée par une durée de séjour prolongée dans l'organisme en raison d'une clairance rénale diminuée. Le pegfilgrastim et le filgrastim, pour lesquels un mécanisme d'action identique a pu être démontré, entraînent une augmentation marquée du nombre de granulocytes neutrophiles circulants dans les 24 heures ainsi qu'une augmentation mineure des monocytes et/ou des lymphocytes. Comme dans le cas du filgrastim, les granulocytes neutrophiles générés en réponse au traitement par le pegfilgrastim possèdent des fonctions normales ou accrues, ce qui a pu être démontré par les tests de chimiotactisme et de phagocytose. Comme d'autres facteurs de croissance hématopoïétiques, le G-CSF a montré des propriétés stimulantes des cellules endothéliales humaines in vitro. Le G-CSF peut promouvoir in vitro la croissance des cellules myéloïdes, y compris celle des cellules malignes, et des effets similaires ont pu être observés in vitro sur certaines cellules non myéloïdes.
  • -Pour lutilisation en pédiatrie, voir la rubrique «Posologie/Mode demploi».
  • -Dans une étude de phase II multicentrique, randomisée, en ouverte (n= 37) et réalisée chez des patients pédiatriques présentant un sarcome et ayant reçu 100 µg/kg de pegfilgrastim après un premier cycle de chimiothérapie associant vincristine, doxorubicine et cyclophosphamide (VAdriaC/IE), il a été observé que la durée de la neutropénie sévère (neutrophiles <0,5× 109) était plus longue chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (8,9 jours) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans (6 jours), chez ceux de 12 à 21 ans (3,7 jours) et chez les adultes. De plus, une incidence plus élevée de neutropénies fébriles a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (75%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans et de 12 à 21 ans (respectivement 70% et 33%) et aux adultes (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • -Une fréquence plus élevée dévénements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), à ceux âgés de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. Leffet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir également «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • +Pour l'utilisation en pédiatrie, voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Dans une étude de phase II multicentrique, randomisée, en ouvert (n = 37) et réalisée chez des patients pédiatriques présentant un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après un premier cycle de chimiothérapie associant vincristine, doxorubicine et cyclophosphamide (VAdriaC/IE), il a été observé que la durée de la neutropénie sévère (neutrophiles <0,5× 109) était plus longue chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (8,9 jours) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans (6 jours), chez ceux de 12 à 21 ans (3,7 jours) et chez les adultes. De plus, une incidence plus élevée de neutropénie fébrile a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (75%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans et de 12 à 21 ans (respectivement 70% et 33%) et aux adultes (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • +Une fréquence plus élevée d'événements indésirables graves a été observée chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (92%) par rapport aux enfants âgés de 6 à 11 ans (80%), à ceux âgés de 12 à 21 ans (67%) et aux adultes. L'effet indésirable lié au médicament étudié le plus fréquemment rapporté était la douleur osseuse (voir également «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • -Lors de deux études cliniques randomisées, en double aveugle et menées chez des patients traités par une chimiothérapie myélosuppressive associant doxorubicine et docétaxel ainsi que du pegfilgrastim tous les 21 jours pendant un nombre de cycles allant jusquà 4 dans le cadre du traitement dun cancer du sein métastatique, ladministration unique de pegfilgrastim une fois par cycle a entraîné une réduction de la durée de la neutropénie et de lincidence des neutropénies fébriles similaire à celle observée après ladministration quotidienne de filgrastim (en valeur médiane, 11 administrations une fois par jour). Sans ladministration du facteur de croissance, ce schéma thérapeutique a entraîné des neutropénies de grade 4 dune durée moyenne de 5 à 7 jours et une incidence de neutropénies fébriles de 30% à 40%. Dans la première étude (n= 157), menée avec une dose fixe de 6 mg de pegfilgrastim, la durée moyenne des neutropénies de grade 4 a été de 1,8 jour pour le groupe pegfilgrastim, par rapport à 1,6 jour pour le groupe filgrastim (différence: 0,23 jour; IC à 95%: –0,15 à 0,63). Sur lensemble de létude, le taux dincidence des neutropénies fébriles a été de 13% pour les patients traités par le pegfilgrastim en comparaison à 20% pour les patients traités par le filgrastim (différence: 7% IC à 95%: –19% à 5%). Dans une seconde étude (n= 310), au cours de laquelle une dose ajustée en fonction du poids du patient a été utilisée (100 µg/kg), la durée moyenne des neutropénies de grade 4 a été de 1,7 jour pour le groupe pegfilgrastim, par rapport à 1,8 jour pour le groupe filgrastim (différence: de 0,03 jour IC à 95%: –0,36 à 0,30). Le taux dincidence global de neutropénies fébriles a été de 9% chez les patients traités par le pegfilgrastim et de 18% chez ceux traités par le filgrastim (différence: 9% IC à 95%: –16,8% à 1,1%).
  • -Dans une étude contrôlée par placebo, leffet du pegfilgrastim sur lincidence des neutropénies fébriles a été évalué après ladministration dun protocole de chimiothérapie pour lequel un taux dincidence des neutropénies fébriles de 10 à 20% a été rapporté (docétaxel 100 mg/m² toutes les 3 semaines pendant 4 cycles). D’une manière randomisée, environ 24 heures (jour 2) après chaque cycle de chimiothérapie, 928 patients ont reçu soit une dose unique de pegfilgrastim, soit un placebo. Lincidence des neutropénies fébriles a été significativement plus faible dans le groupe des patients qui ont reçu du pegfilgrastim après la randomisation que dans le groupe placebo (1% contre 17%, p ≤0,001). Lincidence des hospitalisations et celle de lutilisation danti-infectieux par voie intraveineuse en relation à un diagnostic clinique de neutropénie fébrile étaient significativement plus faibles dans le groupe pegfilgrastim que dans le groupe placebo (respectivement 1% contre 14%, p <0,001 et 2% contre 10%, p <0,001).
  • -Au cours dune petite étude (n= 83) randomisée de phase II, menée en double aveugle et interrompue prématurément par erreur, lutilisation du pegfilgrastim (à une dose unique de 6 mg) et celle du filgrastim pendant une chimiothérapie dinduction ont été comparées chez des patients atteints de LAM de novo et traités par chimiothérapie. Le temps de récupération dune neutropénie sévère a été estimé à 22 jours (médiane) dans les deux groupes de traitement. Les résultats dun traitement à long terme nont pas été étudiés (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Dautres études soutenant l’efficacité clinique, conduites chez des patients cancéreux de sexe masculin et féminin, ont été achevées.
  • +Lors de deux études cliniques randomisées, en double aveugle et menées chez des patients traités par une chimiothérapie myélosuppressive associant doxorubicine et docétaxel ainsi qu'une dose unique de pegfilgrastim par cycle tous les 21 jours pendant un nombre de cycles allant jusqu'à 4 dans le cadre du traitement d'un cancer du sein métastatique, l'administration unique de pegfilgrastim une fois par cycle a entraîné une réduction de la durée de la neutropénie et de l'incidence des neutropénies fébriles similaire à celle observée après l'administration quotidienne de filgrastim (en valeur médiane, 11 administrations une fois par jour). Sans l'administration du facteur de croissance, ce schéma thérapeutique a entraîné des neutropénies de grade 4 d'une durée moyenne de 5 à 7 jours et une incidence de neutropénies fébriles de 30% à 40%. Dans la première étude (n = 157), menée avec une dose fixe de 6 mg de pegfilgrastim, la durée moyenne des neutropénies de grade 4 a été de 1,8 jour pour le groupe pegfilgrastim, par rapport à 1,6 jour pour le groupe filgrastim (différence: 0,23 jour; IC à 95%:–0,15 à 0,63). Sur l'ensemble de l'étude, le taux d'incidence des neutropénies fébriles a été de 13% pour les patients traités par le pegfilgrastim en comparaison à 20% pour les patients traités par le filgrastim (différence: 7% IC à 95%:–19% à 5%). Dans une seconde étude (n = 310), au cours de laquelle une dose ajustée en fonction du poids du patient (100 mcg/kg) a été utilisée, la durée moyenne des neutropénies de grade 4 a été de 1,7 jour pour le groupe pegfilgrastim, par rapport à 1,8 jour pour le groupe filgrastim (différence: 0,03 jour, IC à 95%:–0,36 à 0,30). Le taux d'incidence global de neutropénies fébriles a été de 9% chez les patients traités par le pegfilgrastim et de 18% chez ceux traités par le filgrastim (différence: 9%, IC à 95%:–16,8% à -1,1%).
  • +Dans une étude contrôlée par placebo, l'effet du pegfilgrastim sur l'incidence des neutropénies fébriles a été évalué après l'administration d'un protocole de chimiothérapie (docétaxel 100 mg/m2 toutes les 3 semaines pendant 4 cycles) pour lequel un taux d'incidence des neutropénies fébriles de 10 à 20% a été rapporté. 928 patients ont été randomisés pour recevoir environ 24 heures (jour 2) après chaque cycle de chimiothérapie soit une dose unique de pegfilgrastim, soit un placebo. L'incidence des neutropénies fébriles a été significativement plus faible dans le groupe des patients randomisés pour recevoir le pegfilgrastim que dans le groupe placebo (1% contre 17%, p ≤0,001). L'incidence des hospitalisations et celle de l'utilisation d'anti-infectieux par voie intraveineuse en relation à un diagnostic clinique de neutropénie fébrile étaient significativement plus faibles dans le groupe pegfilgrastim que dans le groupe placebo (respectivement 1% contre 14%, p <0,001 et 2% contre 10%, p <0,001).
  • +Au cours d'une petite étude (n = 83) randomisée de phase II, menée en double aveugle et interrompue prématurément par erreur, l'utilisation du pegfilgrastim (à une dose unique de 6 mg) et celle du filgrastim pendant la chimiothérapie d'induction ont été comparées chez des patients atteints de LAM de novo et traités par chimiothérapie. Le temps de récupération d'une neutropénie sévère a été estimé à 22 jours (médiane) dans les deux groupes de traitement. Les résultats d'un traitement à long terme n'ont pas été étudiés (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +D'autres études complémentaires, conduites chez des patients cancéreux de sexe masculin et féminin, ont été achevées.
  • -Après ladministration sous-cutanée dune dose unique de pegfilgrastim, le pic de concentration sérique apparaît entre 16 et 120 heures après linjection et les concentrations sériques de pegfilgrastim se maintiennent pendant la durée de la neutropénie qui suit la chimiothérapie myélosuppressive.
  • +Après l'administration sous-cutanée d'une dose unique de pegfilgrastim, le pic de concentration sérique du pegfilgrastim apparaît entre 16 et 120 heures après l'injection et les concentrations sériques de pegfilgrastim se maintiennent pendant la durée de la neutropénie qui suit la chimiothérapie myélosuppressive.
  • -Lélimination du pegfilgrastim nest pas linéaire en fonction de la dose; la clairance sérique du pegfilgrastim diminue à mesure que les doses augmentent. Le pegfilgrastim semble être éliminé principalement par une clairance déterminée par les neutrophiles qui atteint un niveau de saturation à des doses plus élevées. Comme le mécanisme de la clairance est autorégulé de cette manière, la concentration sérique de pegfilgrastim diminue rapidement dès que les granulocytes neutrophiles commencent à récupérer.
  • +L'élimination du pegfilgrastim n'est pas linéaire en fonction de la dose; la clairance sérique du pegfilgrastim diminue à mesure que les doses augmentent. Le pegfilgrastim semble être éliminé principalement par une clairance déterminée par les neutrophiles qui atteint un niveau de saturation à des doses plus élevées. Comme le mécanisme de la clairance est autorégulé de cette manière, la concentration sérique de pegfilgrastim diminue rapidement dès que les granulocytes neutrophiles commencent à récupérer.
  • -Patients atteints dinsuffisance hépatique ou rénale
  • -Comme le mécanisme de la clairance est déterminé par les neutrophiles, il ny a pas lieu de sattendre à ce que la pharmacocinétique du pegfilgrastim soit influencée par des troubles de la fonction rénale ou hépatique. Dans une étude ouverte avec une administration unique (n= 31), les troubles rénaux de différents degrés, y compris linsuffisance rénale terminale, nont pas eu dimpact sur la pharmacocinétique du pegfilgrastim.
  • +Patients atteints d'insuffisance hépatique ou rénale:
  • +Comme le mécanisme de la clairance est déterminé par les granulocytes neutrophiles, il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que la pharmacocinétique du pegfilgrastim soit influencée par des troubles de la fonction rénale ou hépatique. Dans une étude ouverte avec une administration unique (n = 31), des troubles de la fonction rénale de différents degrés, y compris l'insuffisance rénale terminale, n'ont pas eu d'impact sur la pharmacocinétique du pegfilgrastim.
  • -En labsence dune expérience clinique suffisante, ladministration de Neulasta nest pas recommandée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents dun poids inférieur à 45 kg (voir la rubrique «Posologie/Mode demploi»).
  • -La pharmacocinétique du pegfilgrastim a été étudiée chez 37 enfants atteints dun sarcome et ayant reçu 100 µg/kg de pegfilgrastim au terme dune chimiothérapie par VAdriaC/IE (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). Dans le groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), lexposition moyenne au pegfilgrastim (AUC) a été plus élevée (± écart type) (47,9 ± 22,5 µg⋅hr/ml) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans et ceux de 12 à 21 ans (respectivement 22,0 ± 13,1 µg⋅hr/ml et 29,3 ± 23,2 µg⋅hr/ml) (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). À lexception du groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), lAUC moyenne chez les patients pédiatriques semble similaire à celle chez les adultes présentant un cancer du sein à haut risque de stade IIIV qui ont reçu 100 µg/kg de pegfilgrastim après une chimiothérapie par doxorubicine/docétaxel (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
  • +En l'absence d'une expérience clinique suffisante, l'administration de Neulasta n'est pas recommandée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents d'un poids inférieur à 45 kg (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +La pharmacocinétique du pegfilgrastim a été étudiée chez 37 patients pédiatriques atteints d'un sarcome et ayant reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim au terme d'une chimiothérapie par VAdriaC/IE (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). Dans le groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'exposition moyenne au pegfilgrastim (AUC) (± écart type) a été plus élevée (47,9 ± 22,5 mcg·hr/ml) que chez les enfants âgés de 6 à 11 ans et ceux de 12 à 21 ans (respectivement 22,0 ± 13,1 mcg·hr/ml et 29,3 ± 23,2 mcg·hr/ml) (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). À l'exception du groupe des enfants les plus jeunes (0 à 5 ans), l'AUC moyenne chez les patients pédiatriques semble similaire à celle chez les adultes présentant un cancer du sein à haut risque de stade II-IV qui ont reçu 100 mcg/kg de pegfilgrastim après une chimiothérapie par doxorubicine/docétaxel (voir les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
  • -Les données précliniques issues des études conventionnelles portant sur la toxicité à doses répétées ont mis en évidence les effets pharmacologiques attendus, y compris une augmentation du nombre de leucocytes, une hyperplasie myéloïde de la moelle osseuse, une hématopoïèse extramédullaire et une splénomégalie.
  • -Aucun effet indésirable na été observé sur la progéniture de rates gestantes qui ont reçu du pegfilgrastim par voie sous-cutanée. Toutefois, chez les lapines, le pegfilgrastim administré à faibles doses par voie sous-cutanée a entraîné une toxicité embryonnaire et fœtale (létalité embryonnaire). Les études effectuées chez les rates ont montré que le pegfilgrastim traverse la barrière placentaire. La signification de ces résultats n’est pas connue en ce qui concerne l’être humain.
  • +Les données précliniques issues des études conventionnelles portant sur la toxicité à doses répétées ont mis en évidence les effets pharmacologiques attendus, comprenant une augmentation du nombre de leucocytes, une hyperplasie myéloïde de la moelle osseuse, une hématopoïèse extramédullaire et une splénomégalie.
  • +Aucun effet indésirable n'a été observé sur la progéniture de rates qui ont reçu du pegfilgrastim par voie sous-cutanée pendant la gestation. Toutefois, chez les lapines, le pegfilgrastim administré à faibles doses par voie sous-cutanée a entraîné une toxicité embryonnaire et -fœtale (létalité embryonnaire). Les études effectuées chez les rates ont montré que le pegfilgrastim peut traverser la barrière placentaire. La signification de ces résultats pour l'être humain n'est pas connue.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver au réfrigérateur (28 °C).
  • -Neulasta peut être stocké à température ambiante (sans dépasser +30 °C) pendant une période unique maximale de 72 heures. Si Neulasta est stocké à température ambiante pendant plus de 72 heures, il doit être éliminé.
  • -Ne pas congeler. Lexposition accidentelle de Neulasta à une température en-dessous du point de congélation pendant une période unique inférieure à 24 heures naffecte pas la stabilité du produit.
  • -Conserver le récipient dans lemballage dorigine pour le protéger de la lumière.
  • +Conserver au réfrigérateur (2 °-8 °C).
  • +Neulasta peut être conservé à température ambiante (sans dépasser +30 °C) pendant une période unique maximale de 72 heures. Si Neulasta a été conservé à température ambiante pendant plus de 72 heures, il doit être éliminé.
  • +Ne pas congeler. L'exposition accidentelle de Neulasta à une température en-dessous du point de congélation pendant une période unique inférieure à 24 heures n'affecte pas la stabilité du produit.
  • +Conserver le récipient dans l'emballage d'origine pour le protéger de la lumière.
  • -Les emballages contiennent une notice avec des informations sur lutilisation et la manipulation.
  • -Neulasta est une solution stérile sans agent conservateur. Avant l’administration, il faut vérifier labsence de particules visibles dans la solution de Neulasta. Seules les solutions limpides et incolores peuvent être injectées.
  • -Une agitation excessive peut provoquer la formation dagrégats de pegfilgrastim, ce qui peut le rendre biologiquement inactif.
  • -Laisser la seringue préremplie se réchauffer à température ambiante avant linjection.
  • +Les emballages contiennent une notice avec des informations détaillées sur l'utilisation et la manipulation.
  • +Neulasta est une solution stérile, mais sans agent conservateur. Avant l'utilisation, il faut vérifier l'absence de particules visibles dans la solution de Neulasta. Seules les solutions limpides et incolores peuvent être injectées.
  • +Une forte agitation peut provoquer la formation d'agrégats de pegfilgrastim, ce qui peut le rendre biologiquement inactif.
  • +Laisser la seringue préremplie se réchauffer à température ambiante avant l'injection.
  • -Les seringues préremplies sont disponibles en emballage avec blister, avec seringue sécurie.
  • +Les seringues préremplies sont disponibles sous plaquette thermoformé avec un système de sécurité automatique de l'aiguille.
  • -Mars 2015.
  • -Version #080115
  • +Juin 2017.
  • +Version #240117
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