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Accueil - Information professionnelle sur Citalopram-Mepha - Changements - 30.06.2021
124 Changements de l'information professionelle Citalopram-Mepha
  • -Citalopram sous forme d'hydrobromure de citalopram.
  • +Citalopram sous forme de bromhydrate de citalopram.
  • -Excipiens pro compresso obducto.
  • +Noyau du comprimé: manitol, cellulose microcristalline, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium.
  • +Enrobage du comprimé: hypromellose, macrogol 6000, dioxyde de titane (E171).
  • -La posologie doit être déterminée individuellement et adaptée à la fois au tableau clinique et au patient.
  • -Mode d'emploi
  • -Les Lactab Citalopram-Mepha sont pris 1× par jour. Les Lactab peuvent être pris, en principe, à n'importe quel moment de la journée et indépendamment des repas, avec suffisamment de liquide (par exemple 1 verre d'eau), mais il est recommandé de prendre le médicament toujours au même moment de la journée.
  • -Etats dépressifs
  • -La dose initiale pour adultes est de 20 mg par jour et peut être augmentée à 40 mg par jour en fonction de la situation clinique, à intervalles de 2 semaines. La dose de 40 mg ne doit pas être dépassée.
  • +La posologie sera déterminée individuellement et adaptée au tableau clinique et à chaque patient.
  • +États dépressifs:
  • +La dose initiale pour adultes est de 20 mg par jour. Selon l'état clinique, elle pourra être portée à 40 mg par jour, à des intervalles de 2 semaines. La dose de 40 mg ne doit pas être dépassée.
  • -L'effet antidépresseur se manifeste généralement après 2-4 semaines. Le traitement par antidépresseurs est symptomatique et doit donc se poursuivre pendant un laps de temps suffisant, normalement jusqu'à 6 mois après la guérison, de manière à prévenir les récidives. Chez les patients souffrant d'une dépression récidivante (unipolaire), un traitement antidépresseur d'entretien peut être nécessaire pendant plusieurs années afin d'éviter la survenue de nouveaux épisodes d'une dépression unipolaire.
  • -Troubles paniques avec ou sans agoraphobie
  • +L'effet antidépresseur se fait généralement ressentir après 2 à 4 semaines. Parce que le traitement par antidépresseurs est symptomatique, il doit être poursuivi pendant une période de temps appropriée, normalement jusqu'à 6 mois après la guérison, afin d'éviter les rechutes. Chez les patients souffrant d'une dépression récidivante (unipolaire), un traitement antidépresseur d'entretien de plusieurs années peut être nécessaire afin d'éviter la survenue de nouveaux épisodes d'une dépression unipolaire.
  • +Troubles paniques avec ou sans agoraphobie:
  • -Troubles obsessionnels compulsifs
  • -La dose initiale recommandée est de 20 mg par jour. En cas de besoin, cette dose peut être portée 40 mg.
  • +Troubles obsessionnels compulsifs:
  • +La dose initiale recommandée est de 20 mg par jour. En cas de besoin, cette dose peut être portée à 40 mg.
  • -Instructions posologiques particulières:
  • -Gériatrie:
  • -Les patients de plus de 65 ans doivent recevoir la moitié de la dose usuelle env., soit 10-20 mg par jour.
  • -La dose maximale recommandée chez les patients âgés est de 20 mg par jour.
  • -Enfants et adolescents (<18 ans):
  • -Du fait que les études contrôlées contre placebo chez les enfants et adolescents souffrant de dépression n'ont pas démontré d'efficacité, Citalopram-Mepha n'est pas recommandé dans cette tranche d'âge, de même que dans les troubles paniques et obsessionnels, car son efficacité et sa sécurité n'ont pas été étudiées dans cette indication.
  • -Affections hépatiques:
  • -L'élimination du citalopram est ralentie chez les patients en insuffisance hépatique, ce qui implique une augmentation de sa concentration plasmatique pouvant aller jusqu'à 100%. Il ne faut donc pas dépasser la dose de 10-20 mg de Citalopram-Mepha par jour chez les patients en insuffisance hépatique.
  • -Affections rénales:
  • -Chez les patients en insuffisance rénale légère à modérée, l'élimination du citalopram n'est que très peu ralentie, ce qui fait qu'il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la posologie chez ces patients.
  • -Les expériences chez les patients en insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min) font défaut.
  • -Faible métabolisation par le CYP2C19:
  • -Chez les patients connus pour un déficit métabolique en CYP2C19, une dose initiale de 10 mg par jour est recommandée pendant les deux premières semaines. En fonction de la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à un maximum de 20 mg par jour (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Un arrêt brutal doit être évité. Si l'arrêt du traitement est prévu, Citalopram-Mepha doit être arrêté progressivement sur quelques semaines (par palier de maximum 10 mg toutes les 1 à 2 semaines). Au terme d'un traitement de longue durée par Citalopram-Mepha, un arrêt brusque peut provoquer des symptômes de sevrage tels que vertige, céphalées, nausée, paresthésies, tremblements, anxiété, palpitations, sudation accrue, nervosité, troubles du sommeil ou d'autres symptômes. Les réactions de sevrage citées étaient de faible intensité et spontanément résolutives ou, chez certains patients, sévères (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Pour éviter ces symptômes, un arrêt progressif du traitement sur une période d'une à deux semaines est recommandé.
  • +Un arrêt brutal doit être évité. Si l'arrêt du traitement est prévu, Citalopram-Mepha doit être arrêté progressivement sur quelques semaines (par palier de maximum 10 mg toutes les 1 à 2 semaines). Au terme d'un traitement de longue durée par Citalopram-Mepha, un arrêt brusque peut provoquer des symptômes de sevrage tels que vertige, céphalées, nausée, paresthésies, tremblements, anxiété, palpitations, sudation accrue, nervosité, troubles du sommeil ou d'autres symptômes. Les réactions de sevrage citées peuvent être de faible intensité et spontanément résolutives ou, chez certains patients, sévères (voir aussi Mises en garde et précautions et Effets indésirables). Pour éviter ces symptômes, un arrêt progressif du traitement sur une période de une à deux semaines est recommandé.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +L'élimination de Citalopram-Mepha est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite, ce qui se traduit par une augmentation jusqu'à 100% des taux plasmatiques du citalopram. Par conséquent, les doses journalières entre 10 et 20 mg de Citalopram-Mepha ne doivent pas être dépassées chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale légers à modérés, le ralentissement de l'élimination du citalopram est mineur et une adaptation posologique n'est généralement pas nécessaire chez ces patients.
  • +Aucune expérience chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min) n'est disponible.
  • +Patients âgés
  • +Environ la moitié de la dose usuelle, soit 10 à 20 mg par jour, sera administrée aux patients âgés de plus de 65 ans.
  • +La dose maximale recommandée chez les patients âgés est de 20 mg par jour.
  • +Enfants et adolescents (<18 ans)
  • +Parce que les études contrôlées par placebo et menées chez les enfants et adolescents souffrant de dépression n'ont pas démontré d'efficacité, l'usage de Citalopram-Mepha n'est pas recommandé dans cette tranche d'âge. Dans les indications de troubles paniques et de troubles obsessionnels compulsifs également, l'utilisation de Citalopram-Mepha n'est pas recommandée dans cette tranche d'âge car l'efficacité et la sécurité d'emploi n'ont pas été étudiées dans ces indications.
  • +Faible métabolisation par le CYP2C19
  • +Chez les patients connus pour un déficit métabolique en CYP2C19, une dose initiale de 10 mg par jour est recommandée pendant les deux premières semaines. En fonction de la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à un maximum de 20 mg par jour (voir Pharmacocinétique).
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés pelliculés de Citalopram-Mepha sont pris 1x par jour. Les comprimés pelliculés peuvent être pris, en principe, à n'importe quel moment de la journée et indépendamment des repas, avec suffisamment de liquide (par exemple 1 verre d'eau), mais il est recommandé de prendre le médicament toujours au même moment de la journée.
  • -Hypersensibilité à l'égard du citalopram ou de l'un des excipients contenus dans Citalopram-Mepha.
  • -Inhibiteurs de la MAO:
  • +Hypersensibilité au citalopram ou à l'un des excipients contenus dans Citalopram-Mepha (voir Compostion).
  • +Inhibiteurs de la MAO
  • -Le traitement par Citalopram-Mepha ne peut être entrepris que 14 jours après la fin d'un traitement par un inhibiteur non sélectif de la MAO, et au plus tôt 1 jour après un traitement par moclobémide.
  • -Un traitement par d'autres inhibiteurs de la MAO que la sélégiline ne doit être entrepris que 7 jours après l'arrêt de Citalopram-Mepha (voir «Interactions»).
  • -L'administration concomitante de linézolide est contre-indiquée, sauf si une surveillance étroite et un contrôle de la tension artérielle sont possibles (voir «Interactions»).
  • -L'administration concomitante de pimozide est contre-indiquée (voir «Interactions»).
  • -Citalopram-Mepha est contre-indiqué avec des médicaments qui allongent de façon prouvée l'intervalle QT (voir «Interactions»).
  • -Le citalopram est contre-indiqué chez les patients qui présentent un allongement connu de l'intervalle QT ou un syndrome dit «du QT long congénital».
  • +Le traitement par Citalopram-Mepha ne peut être commencé que 14 jours après l'arrêt d'un traitement par inhibiteurs non-sélectifs de la MAO et au plus tôt un jour après l'arrêt d'un traitement par le moclobémide.
  • +Un traitement par un inhibiteur de la MAO autre que la sélégiline pourra débuter 7 jours après l'arrêt d'un traitement par Citalopram-Mepha (voir Interactions).
  • +L'administration simultanée de linézolide est contre-indiquée, sauf si une surveillance étroite et un contrôle de la tension artérielle sont possibles (voir Interactions).
  • +L'administration simultanée de pimozide est contre-indiquée (voir Interactions).
  • +Citalopram-Mepha est contre-indiqué avec des médicaments qui allongent de façon prouvée l'intervalle QT (voir Interactions). Le citalopram est contre-indiqué chez les patients qui présentent un allongement connu de l'intervalle QT ou un syndrome du QT long congénital.
  • -La prudence est de rigueur chez les patients âgés et chez les patients en insuffisance rénale ou hépatique (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Réactions d'angoisse paradoxales:
  • -Chez les patients souffrant de troubles paniques, l'anxiété peut se trouver accentuée au début du traitement par antidépresseurs. Ces réactions d'angoisse paradoxales sont le plus marquées pendant les premiers jours de traitement et s'estompent généralement en l'espace de 2 semaines.
  • -Pour prévenir une telle réaction paradoxale, il est recommandé d'administrer une dose initiale faible (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Hyponatrémie:
  • -Une hyponatrémie a été rapportée comme effet indésirable rare et mise en relation avec l'utilisation d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), vraisemblablement à la suite d'une sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique. Elle disparaît généralement après l'arrêt du traitement. Le risque d'hyponatrémie augmente avec l'âge, principalement chez les femmes,
  • -Symptômes de sevrage:
  • -A l'arrêt du traitement par Citalopram-Mepha, la dose doit être progressivement réduite sur une période de 12 semaines pour prévenir les symptômes de sevrage (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Effets indésirables»).
  • +La prudence est de rigueur chez les patients âgés et chez les patients présentant une insuffisance hépatique et rénale (voir Posologie/Mode d'emploi).
  • +Réactions d'angoisse paradoxales
  • +Chez le patient atteint de troubles paniques, l'angoisse peut s'accentuer au début d'un traitement par antidépresseur. Ces réactions d'angoisse paradoxales sont le plus marquées durant les premiers jours du traitement et s'estompent généralement en l'espace de 2 semaines.
  • +C'est pourquoi une dose initiale faible est recommandée afin de diminuer la probabilité d'une réaction paradoxale (voir Posologie/Mode d'emploi).
  • +Hyponatrémie
  • +Une hyponatrémie a été rapportée comme effet indésirable rare et mise en relation avec l'utilisation d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, vraisemblablement à la suite d'une sécrétion inappropriée de l'hormone antidiurétique. Elle disparaît généralement après l'arrêt du traitement. Le risque d'hyponatrémie augmente avec l'âge, principalement chez les femmes.
  • +Symptômes de sevrage
  • +L'arrêt du traitement par Citalopram-Mepha doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1-2 semaines pour éviter l'apparition de symptômes de sevrage (voir Posologie/Mode d'emploi et Effets indésirables).
  • -Enfants et adolescents:
  • -Citalopram-Mepha ne doit pas être utilisé pour traiter l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées chez l'enfant et l'adolescent, une augmentation du comportement suicidaire (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des crises de rage) ont été observées plus fréquemment sous traitement par antidépresseurs que sous placebo. Si un traitement antidépresseur s'avère cliniquement indispensable, le patient doit être étroitement surveillé à la recherche de symptômes suicidaires.
  • +Enfants et adolescents
  • +Citalopram-Mepha ne doit pas être utilisé pour traiter l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées chez l'enfant et l'adolescent, une augmentation du comportement suicidaire (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des crises de rage) ont été observées plus fréquemment sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. En cas de nécessité clinique d'un traitement antidépresseur, le patient doit être étroitement surveillé à la recherche de symptômes suicidaires.
  • -Risque de suicide:
  • +Risque de suicide
  • -Une surveillance étroite des patients, en particulier des patients à haut risque, doit accompagner le traitement médicamenteux, surtout au début du traitement et lors d'ajustements posologiques. Les patients et les personnes qui les encadrent doivent être avertis de la nécessité d'une surveillance pour identifier toute aggravation clinique, apparition de comportements/idées suicidaires ou changement inhabituel du comportement. Si de tels symptômes apparaissent, ces personnes doivent immédiatement demander l'avis du médecin.
  • -Surtout au début du traitement, le plus petit emballage approprié du médicament sera prescrit afin de réduire le risque d'incidents de type suicidaire. Les patients doivent être surveillés soigneusement même après l'arrêt du traitement, en raison du risque de récidive dépressive (créant à nouveau un potentiel de comportements suicidaires) ou de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
  • -Akathisie et agitation psychomotrice:
  • +Une surveillance étroite des patients, en particulier des patients à haut risque de suicide, doit accompagner le traitement médicamenteux, surtout au début du traitement et lors d'ajustements posologiques. Les patients et les personnes qui les encadrent doivent être avertis de la nécessité d'une surveillance pour identifier toute aggravation clinique, apparition de comportements/idées suicidaires ou changement inhabituel du comportement. Si de tels symptômes apparaissent, ces personnes doivent immédiatement demander l'avis du médecin.
  • +Surtout au début du traitement, le plus petit emballage approprié du médicament sera prescrit afin de réduire le risque d'atteinte à soi-même. Les patients doivent être surveillés soigneusement même après l'arrêt du traitement, en raison du risque de récidive dépressive (créant à nouveau un potentiel de comportements suicidaires) ou de symptômes de sevrage (voir Effets indésirables).
  • +Akathisie et agitation psychomotrice
  • -Manie:
  • -Les patients maniaco-dépressifs peuvent évoluer vers une phase maniaque. Interrompre le traitement de citalopram dès l'apparition d'une phase maniaque.
  • -Crises convulsives:
  • -Bien que l'expérimentation animale n'ait mis en évidence aucun potentiel épileptogène pour le citalopram, Citalopram-Mepha doit être prescrit avec prudence chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives.
  • -Diabète:
  • -Comme d'autres substances psychotropes, le citalopram peut modifier la tolérance à l'insuline et au glucose, ce qui fait qu'une adaptation du traitement antidiabétique peut éventuellement s'avérer nécessaire. La dépression peut aussi par elle-même modifier la tolérance au glucose.
  • -Syndrome sérotoninergique:
  • -Dans de rares cas, l'apparition d'un syndrome sérotoninergique a été rapportée lors d'un traitement par des ISRS. Une association de symptômes comprenant possiblement les symptômes ci-après peut annoncer l'apparition de ce syndrome: agitation, confusion, tremblements, myoclonies et hyperthermie (voir «Interactions»).
  • +Manie
  • +Un passage vers une phase maniaque pourrait survenir chez les patients maniaco-dépressifs. L'interruption du traitement par le citalopram s'impose lors de l'apparition d'une phase maniaque.
  • +Crises convulsives
  • +Bien que l'expérimentation animale n'ait mis aucun potentiel épileptogène pour le citalopram en évidence, Citalopram-Mepha doit être prescrit avec prudence chez les patients avec antécédents de crises convulsives.
  • +Diabète
  • +Comme d'autres substances psychotropes, le citalopram peut modifier la tolérance à l'insuline et au glucose, rendant un ajustement du traitement antidiabétique éventuellement nécessaire chez le diabétique. La dépression elle-même peut également influencer la tolérance au glucose.
  • +Syndrome sérotoninergique
  • +Dans de rares cas, l'apparition d'un syndrome sérotoninergique a été rapportée lors d'un traitement par des ISRS. Une association de symptômes comprenant possiblement les symptômes ci-après peut annoncer l'apparition de ce syndrome: agitation, confusion, tremblements, myoclonie et hyperthermie (voir Interactions).
  • -Hémorragie:
  • -On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d'anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d'accroître le risque d'hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir «Interactions»).
  • -Electroconvulsivothérapie:
  • -En raison du peu de données cliniques disponibles sur l'administration d'un ISRS simultanément à une électroconvulsivothérapie, la prudence est recommandée (voir «Interactions»).
  • -Hypericum:
  • -Des interactions peuvent se manifester entre les ISRS et les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum), se traduisant par une augmentation des effets indésirables. Par conséquent, le citalopram et les produits à base de millepertuis ne doivent pas être administrés de façon concomitante (voir «Interactions»).
  • -Allongement de l'intervalle QT:
  • -Il a été démontré que le citalopram peut entraîner un allongement dose-dépendant de l'intervalle QT. Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d'allongement de l'intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, des sujets présentant un allongement préexistant de l'intervalle QT ou d'autres maladies cardiaques (voir «Contre-indications», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +Dysfonction sexuelle
  • +Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (ou norépinéphrine) (IRSN) pourraient causer des symptômes de dysfonction sexuelle. Des cas de dysfonction sexuelle dont les symptômes se sont prolongés malgré l'arrêt du traitement par des ISRS/IRSN ont été rapportés.
  • +Hémorragie
  • +On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d'anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d'accroître le risque d'hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir Interactions).
  • +Electroconvulsivothérapie
  • +En raison du peu de données cliniques disponibles sur l'administration d'un ISRS simultanément à une électroconvulsivothérapie, la prudence est recommandée (voir Interactions).
  • +Hypericum
  • +Des interactions peuvent se manifester entre les ISRS et les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum), se traduisant par une augmentation des effets indésirables. Par conséquent, le citalopram et les produits à base de millepertuis ne doivent pas être administrés de façon concomitante (voir Interactions).
  • +Allongement de l'intervalle QT
  • +Il a été démontré que le citalopram peut entraîner un allongement dose-dépendant de l'intervalle QT. Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d'allongement de l'intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, des sujets présentant un allongement préexistant de l'intervalle QT ou d'autres maladies cardiaques (voir Contre-indications, Interactions, Effets indésirables et Surdosage).
  • -Fertilité:
  • -Des études chez l'animal ont montré que le citalopram affecte la qualité du sperme (voir «Données précliniques»).
  • +Fertilité
  • +Des études chez l'animal ont montré que le citalopram affecte la qualité du sperme (voir Données précliniques).
  • -Associations contre-indiquées:
  • -Inhibiteurs sélectifs réversibles de la MAO-A (moclobémide):
  • +Associations contre-indiquées
  • +Inhibiteurs sélectifs réversibles de la MAO-A (moclobémide)
  • -Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (sélégiline):
  • +Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (sélégiline)
  • -Inhibiteurs réversibles et non-sélectifs de la MAO (linézolide):
  • +Inhibiteurs réversibles et non-sélectifs de la MAO (linézolide)
  • -Inhibiteurs irréversibles et non-sélectifs de la MAO:
  • +Inhibiteurs irréversibles et non-sélectifs de la MAO
  • -Pimozide:
  • +Pimozide
  • -Co-administrations médicamenteuses qui requièrent la prudence:
  • -Lithium, Tryptophane:
  • +Co-administrations médicamenteuses qui requièrent la prudence
  • +Lithium, Tryptophane
  • -Substances sérotoninergiques:
  • -L'administration simultanée de substances comme le tramadol, le sumatriptan et d'autres triptans peut conduire à un renforcement de l'effet associé à la 5-HT. En conséquence, la prudence est recommandée lors de la prise simultanée de Citalopram-Mepha et de substances sérotoninergiques.
  • -Substances qui abaissent le seuil de convulsion:
  • +Substances sérotoninergiques
  • +L'administration simultanée de substances comme le tramadol, le sumatriptan et d'autres triptanes peut conduire à un renforcement de l'effet associé à la 5-HT. En conséquence, la prudence est recommandée lors de la prise simultanée de Citalopram-Mepha et de substances sérotoninergiques.
  • +Substances qui abaissent le seuil de convulsion
  • -Hémorragie:
  • -On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d'anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d'accroître le risque d'hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Electroconvulsivothérapie:
  • -On ne dispose actuellement d'aucune étude clinique et que de peu d'expérience clinique de l'utilisation simultanée de citalopram et de l'électroconvulsivothérapie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Hypericum:
  • +Hémorragie
  • +On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d'anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d'accroître le risque d'hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir Mises en garde et précautions).
  • +Electroconvulsivothérapie
  • +On ne dispose actuellement d'aucune étude clinique et que de peu d'expérience clinique de l'utilisation simultanée de citalopram et de l'électroconvulsivothérapie (voir Mises en garde et précautions).
  • +Hypericum
  • -Alcool:
  • +Alcool
  • -Clozapine:
  • +Clozapine
  • -Effets d'autres médicaments sur la pharmacocinétique du citalopram
  • +Effet d'autres médicaments sur le citalopram
  • -Cimétidine:
  • +Cimétidine
  • -Kétoconazole:
  • +Kétoconazole
  • -Effets du citalopram sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • +Effet du citalopram sur d'autres médicaments
  • -Warfarine:
  • +Warfarine
  • -Digoxine:
  • +Digoxine
  • -Carbamazépine:
  • +Carbamazépine
  • -Théophylline:
  • +Théophylline
  • -Triazolam:
  • +Triazolam
  • -Désipramine, Imipramine:
  • +Désipramine, imipramine
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Des études sur des animaux ont montré une embryotoxicité légère (développement ralenti). Aucune donnée clinique contrôlée n'est disponible. Citalopram-Mepha sera utilisé pendant la grossesse uniquement en cas de nécessité absolue.
  • +Des études testées sur des animaux ont montré une embryotoxicité légère (développement ralenti). Aucune donnée clinique contrôlée n'est disponible. Citalopram-Mepha sera utilisé pendant la grossesse uniquement en cas de nécessité absolue.
  • -Une étude épidémiologique a établi un rapport entre l'utilisation d'ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse et un risque accru d'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HPPN). Selon ce rapport, le risque absolu chez les femmes ayant pris un ISRS en phase tardive de grossesse était d'environ 6 à 12 cas sur 1000 femmes, en comparaison avec 1 à 2 cas sur 1000 femmes dans la population générale. On ne dispose actuellement pas de données confirmées d'un risque d'HPPN après la prise d'ISRS pendant la grossesse; il s'agit là de la première étude ayant examiné ce risque potentiel. Les nombres de cas de prise par ISRS individuel n'étaient cependant pas assez grands pour permettre d'établir si tous les ISRS sont associés au même risque d'HPPN.
  • +Dans une étude épidémiologique, l'utilisation d'ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse était associée à un risque accru d'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HPPN). Selon ce rapport, le risque absolu chez les femmes ayant pris un ISRS en phase tardive de grossesse était d'environ 6 à 12 cas sur 1000 femmes, en comparaison avec 1 à 2 cas sur 1000 femmes dans la population générale. On ne dispose actuellement pas de données confirmées d'un risque d'HPPN après la prise d'ISRS pendant la grossesse; il s'agit là de la première étude ayant examiné ce risque potentiel. Les nombres de cas de prise par ISRS individuel n'étaient cependant pas assez grands pour permettre d'établir si tous les ISRS sont associés au même risque d'HPPN.
  • -Le citalopram n'a qu'une influence minime sur les aptitudes psychomotrices. Les patients prenant des médicaments psychoactifs peuvent cependant avoir desflexes diminués. Une certaine prudence est donc de rigueur lors de la conduite d'un véhicule automobile et de l'utilisation de machines.
  • +L'influence de Citalopram-Mepha sur le comportement psychomoteur est mineure. Toutefois, les patients sous médicaments psychoactifs peuvent faire preuve d'une capacité deaction diminuée. C'est pourquoi la prudence est de rigueur lors de la conduite de véhicules ou de l'utilisation de machines.
  • -Les effets indésirables du citalopram sont les plus fréquents au cours de la première ou de la deuxième semaine de traitement, et ils s'atténuent généralement par la suite.
  • +Les effets indésirables du citalopram surviennent le plus fréquemment durant la première ou les deux premières semaines de traitement et s'estompent généralement par la suite.
  • -«très fréquents» (≥1/10)
  • -«fréquents» (<1/10, ≥1/100)
  • -«occasionnels» (<1/100, ≥1/1'000)
  • -«rares» (<1/1'000, ≥1/10'000)
  • -«très rares» (<1/10'000)
  • -«fréquence indéterminée» (ne pouvant être estimée à partir des données disponibles).
  • +Très fréquents (≥1/10)
  • +Fréquents (<1/10, ≥1/100)
  • +Occasionnels (<1/100, ≥1/1'000)
  • +Rares (<1/1'000, ≥1/10'000)
  • +Très rares (<1/10'000)
  • +Fréquence indéterminée (ne pouvant être estimée à partir des données disponibles).
  • -Fréquence indéterminée: convulsions de type grand mal, crises convulsives, syndrome sérotoninergique, troubles extrapyramidaux, agitation psychomotrice/akathisie, troubles moteurs.
  • +Fréquence indéterminée: convulsions de type grand mal, crises convulsives, syndrome sérotoninergique, troubles extrapyramidaux, agitation psychomotrice/akathisie, troubles du mouvement.
  • -Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d'allongement de l'intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, présentant un allongement préexistant de l'intervalle QT ou d'autres maladies cardiaques (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Surdosage» et «Propriétés/Effets»).
  • +Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d'allongement de l'intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, présentant un allongement préexistant de l'intervalle QT ou d'autres maladies cardiaques (voir Contre-indications, Mises en garde et précautions, Interactions, Surdosage et Propriétés/Effets).
  • -Rares: hémorragie
  • +Rares: hémorragie.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -1: Des cas d'idées ou de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par citalopram ou peu après son arrêt (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +1: Des cas d'idées ou de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par citalopram ou peu après son arrêt (voir Mises en garde et précautions).
  • -Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients. Il est donc conseillé, lorsqu'un traitement par Citalopram-Mepha n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients. Il est donc conseillé, lorsqu'un traitement par Citalopram-Mepha n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir Posologie/Mode d'emploi et Mises en garde et précautions).
  • -Symptômes:
  • +Signes et symptômes
  • -Traitement:
  • +Traitement
  • -Le citalopram est un dérivé bicyclique du phtalane doté de propriétés antidépressives. Son mécanisme d'action repose sur une inhibition sélective de la recapture de la sérotonine.
  • -Aucune accoutumance à l'inhibition de la recapture de la sérotonine ne se développe lors d'un traitement de longue durée par citalopram.
  • -Le citalopram n'a aucune influence, ou qu'une influence minime sur la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA). Contrairement à de nombreux antidépresseurs tricycliques et à quelques nouveaux ISRS, le citalopram n'a pas d'affinité, ou qu'une affinité minime pour toute une série de récepteurs, tels que ceux de la 5- HT1A et de la 5-HT2, les récepteurs DA, D1 et D2, les récepteurs α1-, α2- et ß-adrénergiques, les récepteurs de l'histamine, les récepteurs cholinergiques muscariniques et les récepteurs des benzodiazépines et des opioïdes. Cette absence d'affinité pour ces récepteurs a été confirmée par toute une série d'études fonctionnelles in vitro sur des organes isolés, et dans des études fonctionnelles in vivo.
  • +Le citalopram est un dérivé bicyclique du phtalane, possédant des propriétés antidépressives. Son mécanisme d'action repose sur l'inhibition sélective de la recapture de la sérotonine.
  • +Une accoutumance à l'inhibition de la recapture de la sérotonine ne se développe pas lors d'un traitement de longue durée par citalopram.
  • +Le citalopram n'influence pas ou peu la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA). Contrairement à de nombreux antidépresseurs tricycliques et à quelques ISRS plus récents, le citalopram ne montre pas ou peu d'affinité pour une série de récepteurs tels que les récepteurs 5-HT1A et 5-HT2, DA D1 et D2, les récepteurs alpha1-, alpha2- et bêta-adrénergiques, les récepteurs histaminiques H1, les récepteurs cholinergiques muscariniques ainsi que les récepteurs de la benzodiazépine et des opioïdes. Cette absence d'affinité pour les récepteurs a été confirmée par une série d'études fonctionnelles in vitro sur des organes isolés ainsi que par des études fonctionnelles in vivo.
  • -La suppression du sommeil paradoxal (ou REM, rapid eye movements) est un signe de l'effet antidépresseur. Le citalopram, tout comme les antidépresseurs tricycliques, d'autres ISRS et les inhibiteurs de la MAO, supprime le sommeil paradoxal et augmente le sommeil orthodoxe.Bien que le citalopram ne se lie pas aux récepteurs opioïdes, il accentue l'effet anti-nocicepteur des antalgiques opioïdes en expérimentation animale. Chez l'être humain, le citalopram n'entrave que faiblement les performances cognitives (intellectuelles) et psychomotrices. Dans une étude chez 12 volontaires, l'absorption simultanée d'une petite quantité d'alcool n'a pas provoqué de baisse supplémentaire des aptitudes psychomotrices.
  • -Il convient néanmoins de renoncer à la prise simultanée de Citalopram-Mepha et d'alcool.L'effet se manifeste généralement après 2 à 4 semaines. Dans les études menées chez des volontaires, la salivation n'a pas été diminuée après l'administration d'une dose unique de citalopram. Il n'a eu aucun effet sur les taux sériques de l'hormone de croissance. Comme d'autres ISRS, le citalopram peut augmenter le taux plasmatique de prolactine. Cet effet repose sur l'action stimulante de la sérotonine sur la prolactine et n'a aucune importance clinique.
  • -Dans une étude électrocardiographique, en double aveugle, contrôlée contre placebo, la modification par rapport à la valeur initiale du QTc (correction de Fridericia) était de 7,5 (IC à 90%, 5,9–9,1) ms pour une dose de 20 mg/jour et de 16,7 (IC à 90%, 15,0–18,4) ms pour une dose de 60 mg/jour (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +La suppression du sommeil paradoxal (ou REM, rapid eye movements) est un signe de l'effet antidépresseur. Le citalopram, tout comme les antidépresseurs tricycliques, d'autres ISRS et les inhibiteurs de la MAO, supprime le sommeil paradoxal et augmente le sommeil lent.
  • +Bien que le citalopram ne se lie pas aux récepteurs opioïdes, il accentue l'effet anti-nocicepteur des antalgiques opioïdes en expérimentation animale.
  • +Chez l'être humain, le citalopram n'entrave que faiblement les performances cognitive (intellectuelle) et psychomotrice.
  • +Dans le cadre d'une étude menée chez 12 volontaires, l'absorption simultanée d'une petite quantité d'alcool n'a pas provoqué une diminution supplémentaire des aptitudes psychomotrices.
  • +Il convient néanmoins de renoncer à la prise simultanée de Citalopram-Mepha et d'alcool.
  • +L'effet se manifeste généralement après 2 à 4 semaines.
  • +Lors d'une étude menée chez des volontaires, la salivation n'a pas été diminuée après l'administration d'une dose unique de citalopram. Il n'avait aucun effet sur les taux sériques de l'hormone de croissance. Comme d'autres ISRS, le citalopram peut augmenter le taux plasmatique de prolactine. Cet effet repose sur l'action stimulante de la sérotonine sur la prolactine et n'a aucune répercussion clinique.
  • +Dans une étude en double aveugle, contrôlée par placebo, de l'ECG chez des sujets sains, la modification par rapport à la valeur initiale du QTc (correction de Fridericia) était de 7,5 (IC à 90%, 5,9–9,1) ms pour une dose de 20 mg/jour et de 16,7 (IC à 90%, 15,0–18,4) ms pour une dose de 60 mg/jour (voir Contre-indications, Mises en garde et précautions, Interactions, Effets indésirables et Surdosage).
  • -Pas d'indications.
  • +Voir Mécanisme d'action.
  • -Le citalopram est rapidement absorbé après administration orale; les pics de concentration plasmatiques sont atteints après 2-4 heures déjà, indépendamment du remplissage gastrique (Tmax en moyenne de 3 h).
  • -La biodisponibilité du citalopram après administration orale est d'environ 80%.
  • -Chez l'être humain, les concentrations plasmatiques évoluent linéairement avec la dose. A l'état d'équilibre, qui est atteint après 1 à 2 semaines, une dose journalière orale de 40 mg prise sous forme de comprimés correspond à un taux plasmatique d'environ 300 nM de citalopram (intervalle entre 165 et 405 nM) pour les patients de moins de 65 ans. Aucune relation entre la concentration plasmatique et l'effet clinique n'a été observée. De même, une corrélation entre la concentration plasmatique et les effets secondaires ne semble pas exister.
  • +Après administration orale, le citalopram est rapidement absorbé. Indépendamment du remplissage gastrique, la concentration plasmatique maximale est déjà atteinte après 2 à 4 heures (Tmax en moyenne de 3 h).
  • +La biodisponibilité orale du citalopram est de 80% environ.
  • +Chez l'être humain, les concentrations plasmatiques évoluent linéairement avec la dose. A l'état d'équilibre, qui est atteint après 1 à 2 semaines, une dose journalière orale de 40 mg prise sous forme de comprimés correspond à un taux plasmatique d'environ 300 nM de citalopram (intervalle entre 165 et 405 nM) pour les patients de moins de 65 ans. Aucune relation entre la concentration plasmatique et l'effet clinique n'a été observée. De même, une corrélation entre la concentration plasmatique et les effets indésirables ne semble pas exister.
  • -Le volume de distribution est d'environ 14 l/kg (extrêmes: 12-17 l/kg). La liaison aux protéines plasmatiques est inférieure à 80%.
  • +Le volume de distribution s'élève à environ 14 l/kg (intervalle entre 12 et 17 l/kg). Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est inférieur à 80%.
  • -Le citalopram est métabolisé en déméthylcitalopram, didéméthylcitalopram, N-oxyde de citalopram et dérivé désaminé de l'acide propionique. Alors que le dérivé de l'acide propionique est inactif, le déméthylcitalopram, le didéméthylcitalopram et le N-oxyde de citalopram sont également des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, mais moins actifs que le citalopram. Chez les patients, c'est le citalopram non métabolisé qui prédomine dans le plasma. Les concentrations de déméthyl- et de didéméthylcitalopram sont normalement à 30-50% et 5-10% de la concentration de citalopram. La biotransformation du citalopram en déméthylcitalopram se fait par les isoenzymes CYP2C19 (environ 38%), CYP3A4 (environ 31%) et CYP2D6 (environ 31%).
  • +Le citalopram est métabolisé en déméthylcitalopram, en didéméthylcitalopram, en citalopram N-oxyde et en dérivé désaminé de l'acide propionique. Alors que le dérivé de l'acide propionique est inactif, le déméthylcitalopram, le didéméthylcitalopram et le citalopram N-oxyde sont également des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, avec toutefois un effet beaucoup plus faible que le citalopram. Chez les patients, la forme inchangée du citalopram prédomine dans le plasma. La concentration du déméthylcitalopram se situe généralement entre 30 et 50% de celle du citalopram, la concentration du didéméthylcitalopram autour de 5 à 10% de celle du citalopram. La biotransformation du citalopram en déméthylcitalopram se fait par le CYP2C19 (environ 38%), le CYP3A4 (environ 31%) et le CYP2D6 (environ 31%).
  • -Le citalopram est éliminé surtout par le foie (85%), et en petite partie par les reins (15%). Sa demi-vie biologique est de 1½ jour en moyenne, c.-à-d. 33 h (intervalle entre 19 et 45 h). La clairance plasmatique systémique (Cls) s'élève environ à 0,30,4 l/min et la clairance plasmatique orale (Cl orale) à environ 0,4 l/min. Sa clairance hépatique est d'environ 0.3 l/min, et sa clairance rénale d'environ 0.05-0.08 l/min. Environ 12% (6-31%) d'une dose de citalopram sont éliminés dans l'urine sous forme non métabolisée.
  • -Cinétique pour certains groupes de patients:
  • -Suite à une diminution de la métabolisation chez les personnes âgées, une demi-vie plus longue (1,5 à 3,75 jours) et des valeurs de la clairance plus basses (0,08-0,3 l/min) ont été observées dans cette population, entraînant en moyenne un doublement des taux plasmatiques du citalopram (voir «Posologie/Mode d'emploi»). L'élimination du citalopram est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite.
  • +Le citalopram est principalement éliminé par voie hépatique (85%), une petite fraction par voie rénale (15%). La demi-vie biologique s'élève en moyenne à 1,5 jour, soit 33 heures (intervalle entre 19 et 45 h). La clairance plasmatique systémique (Cls) s'élève environ à 0,3-0,4 l/min et la clairance plasmatique orale (Clorale) à environ 0,4 l/min. La clairance hépatique est d'environ 0,3 l/min, la clairance rénale se situe entre 0,05 et 0,08 l/min environ. Près de 12% (6-31%) de la dose se retrouvent dans les urines sous forme de citalopram inchangé.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +L'élimination du citalopram est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite.
  • -Chez les patients en insuffisance rénale légère à modérée, l'élimination du citalopram n'est que très peu ralentie. Il n'y a aucune expérience chez les patients en insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Polymorphisme
  • -Les études in vivo ont montré que les polymorphismes d'oxydation de la spartéine/débrisoquine (CYP2D6) et d'hydroxylation de la méphénytoïne (CYP2C19) contribuaient à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram lors de son métabolisme. L'importance clinique est actuellement incertaine. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale légers à modérés, le ralentissement de l'élimination du citalopram est mineur. Aucune expérience n'est disponible sur les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir Posologie/Mode d'emploi).
  • +Patients âgés
  • +Suite à une diminution du taux de métabolisation chez les personnes âgées, une demi-vie plus longue (1,5 à 3,75 jours) et des valeurs de la clairance plus basses (0,08 – 0,3 l/min) ont été observées dans cette population, entraînant en moyenne un doublement des taux plasmatiques du citalopram (voir Posologie/Mode d'emploi).
  • +Polymorphismes génétiques
  • +Les études in vivo ont montré que les polymorphismes d'oxydation de la spartéine/débrisoquine (CYP2D6) et d'hydroxylation de la méphénytoïne (CYP2C19) contribuaient à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram lors de son métabolisme. L'importance clinique est actuellement incertaine. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire (voir Posologie/Mode d'emploi).
  • +Toxicité à long terme
  • +
  • -Après administration à long terme de citalopram, des taux accrus de phospholipides ont été mesurés chez le rat dans certains tissus (poumons, épididyme, foie). Les résultats concernant l'épididyme et le foie ont été observés à des doses proches d'une utilisation clinique. L'effet a été réversible après arrêt du traitement. Une accumulation de phospholipides (phospholipidose) chez l'animal a été observée en rapport avec l'utilisation de nombreux médicaments cationiques amphiphiles. On ignore si cela joue un rôle significatif chez l'homme.
  • -Des études d'embryotoxicité chez le rat menées à des doses de 56 mg/kg/jour, toxiques pour la mère, ont provoqué des anomalies osseuses au niveau de la colonne vertébrale et des côtes. Le taux plasmatique chez la mère a été 2-3 fois supérieur à la concentration thérapeutique observée chez l'être humain.Aucune influence sur la fertilité n'a été mise en évidence pour le citalopram chez le rat et le lapin. Par contre, le poids des petits à la naissance était plus faible, la mortalité plus élevée et le développement retardé. Les concentrations atteintes par le citalopram et ses métabolites chez le foetus sont 10 à 15 fois supérieures au taux plasmatique maternel.
  • +Après administration à long terme de citalopram, des taux accrus de phospholipides ont été mesurés chez le rat dans certains tissus comme ceux des poumons, de l'épididyme et du foie). Les résultats concernant l'épididyme et le foie ont été observés à des doses proches d'une utilisation clinique. L'effet a été réversible après arrêt du traitement. Une accumulation de phospholipides (phospholipidose) chez l'animal a été observée en rapport avec l'utilisation de nombreux médicaments cationiques amphiphiles. On ignore si ce phénomène est pertinent pour l'être humain.
  • +Mutagénicité et carcinogénicité
  • +Le citalopram ne montre aucun potentiel mutagène ni cancérogène.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Aucune influence sur la fertilité n'a été mise en évidence pour le citalopram chez le rat et le lapin. Par contre, le poids des petits à la naissance était plus faible, le taux de mortalité plus élevé et le développement retardé. Les concentrations atteintes par le citalopram et ses métabolites chez le foetus étaient 10 à 15 fois supérieures au taux plasmatique maternel.
  • -Le citalopram n'a fait preuve d'aucun potentiel mutagène ni cancérogène.
  • +Des études d'embryotoxicité chez le rat menées à des doses de 56 mg/kg/jour toxiques pour la mère ont provoqué des anomalies osseuses au niveau de la colonne vertébrale et des côtes. Le taux plasmatique chez la mère était 2-3 fois supérieur à la concentration thérapeutique observée chez l'être humain.
  • -Conserver dans l'emballage d'origine et à température ambiante (15-25 °C).
  • -Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage d'original et à température ambiante (15-25°C).
  • +Conserver hors de la portée des enfants.
  • -Citalopram-Mepha Lactab (sécables) à 20 mg: emballages de 14, 28 et 98 [B]
  • +Citalopram-Mepha comprimés pelliculés (sécables) à 20 mg: emballages de 14, 28 et 98 [B]
  • -Mars 2017.
  • -Numéro de version interne: 7.2
  • +Avril 2020.
  • +Numéro de version interne: 8.2
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