ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Optifen Dolo 200 - Changements - 15.05.2019
54 Changements de l'information professionelle Optifen Dolo 200
  • -Principe actif: Ibuprofenum.
  • -Excipients: Conserv.: Acide sorbique (E 200), Excip. pro compr. obducto.
  • +Principe actif
  • +Ibuprofenum
  • +Excipients
  • +Conserv.: Acide sorbique (E 200), Excip. pro compr. obducto
  • -Indications/Possibilités demploi
  • +Indications/Possibilités d'emploi
  • -Posologie/Mode demploi
  • +Posologie/Mode d'emploi
  • -·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -·Anamnèse de bronchospasme, d'urticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -·Troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -·Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou saignements gastro-intestinaux.
  • -·Maladies intestinales inflammatoires (p.ex. maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse).
  • -·Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite).
  • -·Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min).
  • -·Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • -·Traitement de douleurs post-opératoires après opération de pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine cœur-poumons).
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients selon la composition.
  • +Anamnèse de bronchospasme, durticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise dacide acétylsalicylique ou dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Troisième trimestre de la grossesse (voir "Grossesse/Allaitement").
  • +Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou saignements gastro-intestinaux.
  • +Maladies intestinales inflammatoires (p. ex. maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse).
  • +Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite).
  • +Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min).
  • +Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • +Traitement de douleurs post-opératoires après opération de pontage coronarien (ou après utilisation dune machine cœur-poumons).
  • -Mises en gardes générales pour l'utilisation d'anti-inflammatoires systémiques non stéroïdiens:
  • -Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour l'heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour l'ibuprofène à la posologie maximale et dans le cadre d'un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, l'ibuprofène ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risques cardio-vasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, l'ibuprofène ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
  • +Mises en gardes générales pour lutilisation danti-inflammatoires systémiques non stéroïdiens:
  • +Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc dadministrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • +Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour lheure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné quaucune donnée issue détudes cliniques comparables nest actuellement disponible pour libuprofène à la posologie maximale et dans le cadre dun traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusquà ce que de telles données soient disponibles, libuprofène ne doit être administré quaprès évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, dartériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant dimportants facteurs de risques cardio-vasculaires (p. ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient dadministrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • +Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et dautres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, libuprofène ne devrait donc être utilisé quavec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de lenzyme de conversion de langiotensine et en cas de risque élevé dhypovolémie.
  • -Chez les patients souffrant ou ayant souffert d'asthme bronchique, de rhinite chronique ou d'affections allergiques, l'ibuprofène peut déclencher un bronchospasme, une urticaire ou un angio-œdème.
  • +Chez les patients souffrant ou ayant souffert dasthme bronchique, de rhinite chronique ou d'affections allergiques, libuprofène peut déclencher un bronchospasme, une urticaire ou un angio-œdème.
  • -L'utilisation d'Optifen Dolo forte 400 en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée, car il existe un risque accru d'ulcères ou de saignements (voir «Interactions»).
  • +L'utilisation dOptifen Dolo forte 400 en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée, car il existe un risque accru d'ulcères ou de saignements (voir «Interactions»).
  • -Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes d'éruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes d'hypersensibilité, le traitement par Optifen Dolo forte 400 doit être interrompu.
  • -Dans des cas exceptionnels, une infection par la varicelle peut entraîner des infections cutanées et des complications au niveau des parties molles. Jusqu'à présent, l'implication d'AINS dans une aggravation de ces infections n'a pas pu être exclue. Il est donc conseillé d'éviter l'administration d'Optifen en cas d'infection par la varicelle.
  • +Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes d'éruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes d'hypersensibilité, le traitement par Optifen Dolo forte 400 doit être interrompu.
  • +Dans des cas exceptionnels, une infection par la varicelle peut entraîner des infections cutanées et des complications au niveau des parties molles. Jusqu'à présent, l'implication d'AINS dans une aggravation de ces infections n'a pas pu être exclue. Il est donc conseillé d'éviter l'administration dOptifen en cas d'infection par la varicelle.
  • -Les patients souffrant d'une forte déshydratation ou de modifications postopératoires de la volémie doivent être réhydratés avant de commencer un traitement avec l'ibuprofène et être ensuite étroitement surveillés. Il existe un risque de trouble de la fonction rénale, spécialement chez les enfants, les adolescents et patients âgés déshydratés.
  • +Les patients souffrant d'une forte déshydratation ou de modifications postopératoires de la volémie doivent être réhydratés avant de commencer un traitement avec l'ibuprofène et être ensuite étroitement surveillés. Il existe un risque de trouble de la fonction rénale, spécialement chez les enfants, les adolescents et patients âgés déshydratés.
  • -Comme d'autres antirhumatismaux non stéroïdiens, l'ibuprofène inhibe l'agrégation thrombocytaire et allonge le temps de saignement.
  • +Comme dautres antirhumatismaux non stéroïdiens, libuprofène inhibe lagrégation thrombocytaire et allonge le temps de saignement.
  • -Elimination retardée de l'ibuprofène, l'effet uricosurique du probénécide et de la sulfinpyrazone est atténué.
  • +Elimination retardée de libuprofène, l'effet uricosurique du probénécide et de la sulfinpyrazone est atténué.
  • -Une interaction cliniquement significative de l'ibuprofène avec la cimétidine ou la ranitidine n'est pas prouvée.
  • +Une interaction cliniquement significative de libuprofène avec la cimétidine ou la ranitidine n'est pas prouvée.
  • -L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • -Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase de l'organogenèse.
  • -Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, l'ibuprofène ne doit être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si l'ibuprofène est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose doit être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -L'ibuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • -·exposer le fœtus aux risques suivants:
  • -·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
  • -·atteintes rénales allant jusqu'à l'insuffisance rénale et l'oligohydramnios.
  • -·exposer la mère et l'enfant aux risques suivants:
  • -·une variation possible du temps (prolongation) de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • -·inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l'accouchement.
  • -L'utilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et l'accouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et l'enfant.
  • +Linhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées détudes épidémiologiques, ladministration dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • +Chez les animaux, il est prouvé que ladministration dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase de lorganogenèse.
  • +Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, libuprofène ne doit être administré quen cas de nécessité absolue. Si libuprofène est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose doit être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +Libuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • +exposer le fœtus aux risques suivants:
  • +toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
  • +atteintes rénales allant jusquà linsuffisance rénale et loligohydramnios.
  • +exposer la mère et lenfant aux risques suivants:
  • +une variation possible du temps (prolongation) de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • +inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant laccouchement.
  • +-L'utilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et l'accouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et l'enfant.
  • -Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, l'ibuprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
  • +Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, libuprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement savère indispensable, il convient alors de nourrir lenfant au biberon.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés avec l'ibuprofène.Incidences:
  • -très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue» (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés avec l'ibuprofène.Incidences: très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue» (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • -Affections hématologiques et système lymphatique
  • +Affections hématologiques et système lymphatique
  • -Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Rare: Urticaire, prurit, purpura, angiœdème, photosensibilité.
  • +Rare: Urticaire, prurit,purpura, angiœdème, photosensibilité.
  • -La plupart des patients ayant pris des doses considérables d'ibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes d'un surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus, acidose métabolique d'effets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, d'apnée et de dépression du SNC et respiratoire. Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsqu'aucun autre médicament n'est pris de façon concomitante.
  • +La plupart des patients ayant pris des doses considérables d'ibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes d'un surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus,acidose métabolique d'effets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, d'apnée et de dépression du SNC et respiratoire.Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsqu'aucun autre médicament n'est pris de façon concomitante.
  • -Les différentes formes galéniques permettent d'instaurer une thérapie adaptée à chaque patient.
  • -Les prostaglandines sont responsables des manifestations douloureuses et inflammatoires.
  • -L'ibuprofène a un effet inhibiteur prononcée sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique, antiphlogistique et antipyrétique.
  • -L'inhibition de l'agrégation des thrombocytes, non exploitée en thérapeutique, tout comme l'effet ulcérogène, la rétention de sodium et d'eau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • +Les différentes formes galéniques permettent d'instaurer une thérapie adaptée à chaque patient. Les prostaglandines sont responsables des manifestations douloureuses et inflammatoires.
  • +Libuprofène a un effet inhibiteur prononcée sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique, antiphlogistique et antipyrétique.
  • +. L’inhibition de lagrégation des thrombocytes, non exploitée en thérapeutique, tout comme leffet ulcérogène, la rétention de sodium et deau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • -La concentration maximale de substance active, de 15 resp. 25 mg/l en moyenne, est atteinte dans le sérum 1-2 heures après administration orale de 200 mg resp. 400 mg d'ibuprofène. Si l'administration a lieu après le repas, la résorption, qui intervient surtout dans l'intestin grêle, est beaucoup plus lente et les concentrations sériques plus faibles. La demi-vie sérique est de 1,5-2 heures et la fixation à l'albumine d'env. 99%. L'ibuprofène est rapidement excrété par les reins après métabolisation hépatique, surtout sous forme de métabolites inactifs. On n'observe aucune accumulation d'ibuprofène en cas de prises répétées. L'ibuprofène ou ses métabolites sont éliminés presque totalement 24 heures après la dernière dose.
  • +La concentration maximale de substance active, de 15 resp. 25 mg/l en moyenne, est atteinte dans le sérum 1-2 heures après administration orale de 200 mg resp. 400 mg dibuprofène. Si l'administration a lieu après le repas, la résorption, qui intervient surtout dans l'intestin grêle, est beaucoup plus lente et les concentrations sériques plus faibles. La demi-vie sérique est de 1,5-2 heures et la fixation à l'albumine d'env. 99 %. Libuprofène est rapidement excrété par les reins après métabolisation hépatique, surtout sous forme de métabolites inactifs. On nobserve aucune accumulation dibuprofène en cas de prises répétées. Libuprofène ou ses métabolites sont éliminés presque totalement 24 heures après la dernière dose.
  • -Des études expérimentales sur deux espèces animales ont montré que l'ibuprofène traverse le placenta et inhibe l'ovulation (chez le lapin). Plusieurs études expérimentales sur le rat et le lapin ont mis en évidence que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines provoque une augmentation des pertes pré-implantatoires et post-implantatoires, de la mortalité embryo-fœtale et des retards de la croissance intra-utérine. On a rapporté également des incidences accrues de différentes malformations, dont des malformations cardio-vasculaires telles que des malformations de la cloison interventriculaire, chez les animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines pendant la phase d'organogenèse. Avec l'ibuprofène, ces malformations ont été observées à des doses 2-3 fois supérieures à la dose journalière maximale recommandée chez l'être humain (sur la base des données d'exposition extrapolées.
  • +Des études expérimentales sur deux espèces animales ont montré que l'ibuprofène traverse le placenta et inhibe l'ovulation (chez le lapin). Plusieurs études expérimentales sur le rat et le lapin ont mis en évidence que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines provoque une augmentation des pertes pré-implantatoires et post-implantatoires, de la mortalité embryo-fœtale et des retards de la croissance intra-utérine. On a rapporté également des incidences accrues de différentes malformations, dont des malformations cardio-vasculaires telles que des malformations de la cloison interventriculaire, chez les animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines pendant la phase d'organogenèse. Avec l'ibuprofène, ces malformations ont été observées à des doses 2-3 fois supérieures à la dose journalière maximale recommandée chez l'être humain (sur la base des données d'exposition extrapolées
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention "EXP." sur le récipient.
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C). A maintenir hors de portée des enfants.
  • +Conserver dans l’emballage d’origine à une température ne dépassant pas 30°C et hors de portée des enfants.
  • -56344 (Swissmedic).
  • +56344 (Swissmedic)
  • -Titulaire de lautorisation
  • +Titulaire de l'autorisation
  • -Mise à jour de linformation
  • +Mise à jour de l'information
2024 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home