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Accueil - Information professionnelle sur Optifen Dolo 200 - Changements - 24.07.2023
76 Changements de l'information professionelle Optifen Dolo 200
  • -§Maladies intestinales inflammatoires (p. ex. maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse).
  • +§Maladies intestinales inflammatoires (p. ex. maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • -Mises en gardes générales pour l’utilisation d’anti-inflammatoires systémiques non stéroïdiens:
  • +Mises en gardes générales pour l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques:
  • -Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d’autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, l’ibuprofène ne devrait donc être utilisé qu’avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et en cas de risque élevé d’hypovolémie.
  • +Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d’autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, l’ibuprofène ne devrait donc être utilisé qu’avec prudence. Celleci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et en cas de risque élevé d’hypovolémie.
  • -Chez les patients souffrant ou ayant souffert d’asthme bronchique, de rhinite chronique ou d'affections allergiques, l’ibuprofène peut déclencher un bronchospasme, une urticaire ou un angio-œdème.
  • +Chez les patients souffrant ou ayant souffert d’asthme bronchique, de rhinite chronique ou d'affections allergiques, l’ibuprofène peut provoquer un spasme bronchique, une urticaire ou un angio-œdème.
  • -Le risque d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères et de perforation augmente avec la dose d'anti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent d'ulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre « Contre-indication»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose d'acide acétylsalicylique ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal, il convient d'envisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par exemple misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
  • +Le risque d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères et de perforation augmente avec la dose d'anti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent d'ulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre-indications»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose d'acide acétylsalicylique ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal, il convient d'envisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par exemple misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
  • -Réactions cutanées sévères
  • -Des cas très rares de réactions cutanées graves, certaines mortelles, incluant dermatite exfoliante, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) ont été rapportés pendant un traitement par anti-rhumatismal non stéroïdien (voir « Effets indésirables»).
  • -Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. En association avec des médicaments à base d’ibuprofène, une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) a été rapportée.
  • +Réactions cutanées
  • +Des cas très rares de réactions cutanées graves, certaines mortelles, incluant dermatite exfoliante, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) ainsi qu'exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été rapportés pendant un traitement par anti-rhumatismal non stéroïdien (voir «Effets indésirables»).
  • +Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Une pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG) a été rapportée en relation avec des produits contenant de l'ibuprofène.
  • -Des cas isolés de symptômes d'une méningite aseptique ont été rapportés lors de l'utilisation de l'ibuprofène. Les patients ayant développé un lupus érythémateux ou une collagénose semblent y être prédisposés. Toutefois, la méningite aseptique a aussi été observée chez les patients n'ayant aucune de ces maladies chroniques.nterac
  • +Des cas isolés de symptômes d'une méningite aseptique ont été rapportés lors de l'utilisation de l'ibuprofène. Les patients ayant développé un lupus érythémateux ou une collagénose semblent y être prédisposés. Toutefois, la méningite aseptique a aussi été observée chez les patients n'ayant aucune de ces maladies chroniques.
  • -Interactions pharmacocinétiques
  • -Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, risque accru de saignements gastro-intestinaux. et d'ulcérations (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, augmentation du risque d'hémorragies gastro-intestinales et d'ulcérations (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Probénécide, Sulfinpyrazone
  • -Elimination retardée de l’ibuprofène, l'effet uricosurique du probénécide et de la sulfinpyrazone est atténué.
  • -Anti-coagulants par voie orale
  • +Probénécide, sulfinpyrazone
  • +L'ibuprofène est éliminé plus lentement, l'action uricosurique du probénécide et de la sulfinpyrazone est réduite.
  • +Anticoagulants oraux
  • -Anti-diabétiques par voie orale
  • +Antidiabétiques oraux
  • -Une interaction cliniquement significative de l’ibuprofène avec la cimétidine ou la ranitidine n'est pas prouvée.
  • +Une interaction d'importance clinique de l’ibuprofène avec la cimétidine ou la ranitidine n'a pas été prouvée.
  • -Méthothrexate
  • +Méthotrexate
  • -Inhibiteurs d'enzymes
  • +Fertilité
  • +L'utilisation d'ibuprofène peut affecter la fertilité féminine et n'est donc pas recommandée aux femmes qui souhaitent concevoir. Chez les femmes qui ont des difficultés pour être enceinte ou qui suivent des examens pour évaluer l'infertilité, il convient d'envisager l'arrêt du traitement par l'ibuprofène.
  • -L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées détudes épidémiologiques, l’administration dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • -Premier et deuxième trimestreChez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la talité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase de l’organogenèse.
  • +L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir des conséquences négatives sur le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l'embryon ou du fœtus. Les données issues des études épidémiologiques, suite à l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au premier stade de la grossesse, suggèrent une augmentation du risque de faussescouches, de malformation cardiaque et de laparoschisis. Ce risque est supposé augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l'animal, l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires et de la mortalité embryo-fœtale. De plus, une augmentation de l’incidence de diverses malformations, y compris cardiovasculaires, a été observée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la période d'organogénèse.
  • +Premier et deuxième trimestre
  • +A moins d'une nécessité clairement établie, l'utilisation de l'ibuprofène est à éviter au cours du premier et du deuxième trimestre de la grossesse. En cas d'utilisation de l'ibuprofène chez une femme souhaitant concevoir, ou au cours du premier ou du deuxième trimestre de la grossesse, la dose et la durée du traitement doivent être maintenues aussi faibles que possible.
  • +Oligohydramnios / insuffisance rénale néonatale / rétrécissement du canal artériel
  • +La prise d'AINS à partir de la 20e semaine de grossesse peut provoquer des troubles de la fonction rénale du fœtus, qui peuvent entraîner un oligohydramnios et, dans certains cas, une insuffisance rénale néonatale. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après quelques jours à quelques semaines de traitement, mais des oligohydramnios ont été rapportés, dans de rares cas, dès 48 heures après le début d'un traitement par AINS. L'oligohydramnios est souvent réversible à l'arrêt du traitement, mais pas toujours. Les complications d'un oligohydramnios prolongé comprennent par exemple des contractures des membres et une maturation pulmonaire tardive. Depuis la mise sur le marché, des méthodes invasives telles qu'une transfusion d'échange ou une dialyse ont été nécessaires dans quelques cas de fonction rénale néonatale réduite.
  • +En outre, un rétrécissement du canal artériel a été observé à la suite du traitement au deuxième trimestre, avec un retour à la normale après l'arrêt du traitement dans la plupart des cas.
  • +Il y a lieu d'envisager une surveillance par échographie du liquide amniotique et du cœur du fœtus lorsque le traitement par Optifen Dolo forte 400 se prolonge au-delà de 48 heures. En cas de survenue d'un oligohydramnios ou de rétrécissement du canal artériel, arrêter Optifen Dolo forte 400 et procéder aux examens de suivi selon la pratique clinique.
  • -Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, l’ibuprofène ne doit être administré qu’en cas de nécessité absolue. Si l’ibuprofène est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose doit être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -L’ibuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • -exposer le fœtus aux risques suivants:
  • -toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
  • -atteintes rénales allant jusqu’à l’insuffisance rénale et l’oligohydramnios.
  • -exposer la mère et l’enfant aux risques suivants:
  • -une variation possible du temps (prolongation) de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • -- Inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant laccouchement.
  • -- L'utilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et l'accouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et l'enfant.
  • +L’ibuprofène est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • +· Exposer le fœtus aux risques suivants:
  • +oune toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire);
  • +otroubles de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios.
  • +· Exposer la mère et le nouveau-né aux risques suivants:
  • +oune variation possible du temps (prolongation) de saignement du fait d'une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de doses très faibles ;
  • +oune inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l'accouchement.
  • +L'utilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et l'accouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et l'enfant.
  • -Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, l’ibuprofène ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement savère indispensable, il convient alors de nourrir lenfant au biberon.
  • -Fertilité
  • -L'utilisation d'ibuprofène peut affecter la fertilité féminine et n'est donc pas recommandée aux femmes qui souhaitent concevoir. Chez les femmes qui ont des difficultés pour être enceinte ou qui suivent des examens pour évaluer l'infertilité, il convient d'envisager l'arrêt du traitement par l'ibuprofène.
  • -
  • +Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens passent dans le lait maternel. Par prudence, l’ibuprofène ne doit donc pas être pris pendant l'allaitement. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
  • -Aucune étude pertinente n'a été menée. Des effets secondaires occasionnels de l'ibuprofène sur le système nerveux central, tel que la limitation de la capacité de réaction, sont toutefois connus. Ceci devrait être pris en compte, lorsqu'une attention soutenue est nécessaire, notamment lors de la conduite automobile ou l'utilisation de machines. Cela vaut particulièrement pour la prise simultanée avec de l'alcool.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Des effets secondaires occasionnels de l'ibuprofène sur le système nerveux central, tel que la limitation de la capacité de réaction, sont toutefois connus. Ceci devrait être pris en compte, lorsqu'une attention soutenue est nécessaire, notamment lors de la conduite automobile ou l'utilisation de machines. Cela vaut particulièrement pour la prise simultanée avec de l'alcool.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés avec l'ibuprofène.Incidences: «très fréquents (>1/10), «fréquents» (>1/100, <1/10), «occasionnels» (>1/1000, <1/100), «rares» (>1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés avec l'ibuprofène. Les indications de fréquence correspondent aux conventions suivantes: «très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (1/100, <1/10), «occasionnels» (1/1000, <1/100), «rares» (1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • -Occasionnel: Rhinite.
  • -Rare: Méningite aseptique.
  • -Affections hématologiques et système lymphatique
  • -Rare: Altérations de la formule sanguine telles que leucopénie, agranulocytose, thrombocytopénie, neutropénie, anémie aplastique, anémie hémolytique auto-immune, décrite dans l'information destinée aux patients comme «angine « angine, forte fièvre, tuméfaction des ganglions lymphatiques de la région du cou»).
  • +Occasionnels: Rhinite.
  • +Rares: Méningite aseptique.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Rares: Altérations de la formule sanguine telles que leucopénie, agranulocytose, thrombocytopénie, neutropénie, anémie aplastique, anémie hémolytique (décrite dans l'information destinée aux patients comme «angine, forte fièvre, tuméfaction des ganglions lymphatiques de la région du cou»).
  • -Occasionnel: Hypersensibilité.
  • -Rare: Réaction anaphylactique, lupus érythémateux, anémie hémolytique auto-immune.
  • +Occasionnels: Hypersensibilité.
  • +Rares: Réaction anaphylactique, lupus érythémateux, anémie hémolytique auto-immune.
  • -Occasionnel: Insomnie, anxiété.
  • -Rare: Dépressions, états confusionnels.
  • +Occasionnels: Insomnie, anxiété.
  • +Rares: Dépressions, états confusionnels.
  • -Fréquent: Effets secondaires sur le système nerveux central tels que limitation de la capacité de réaction (principalement en association avec l'alcool), céphalées, vertiges.
  • -Rare: Paresthésies, somnolence.
  • +Fréquents: Effets secondaires sur le système nerveux central tels que limitation de la capacité de réaction (principalement en association avec l'alcool), céphalées, vertiges.
  • +Rares: Paresthésies, somnolence.
  • -Occasionnel: Troubles visuels. Les troubles visuels sont généralement réversibles à l'arrêt du traitement.
  • -Rare: Amblyopie toxique, névrite optique, neuropathie optique toxique.
  • +Occasionnels: Troubles visuels. Les troubles visuels sont généralement réversibles à l'arrêt du traitement.
  • +Rares: Amblyopie toxique, névrite optique, neuropathie optique toxique.
  • -Occasionnel: Bourdonnements d'oreilles, baisse de l'acuité auditive, vertige.
  • +Occasionnels: Bourdonnements d'oreille, troubles auditifs, vertige.
  • -Très rare: Défaillance cardiaque, infarctus du myocarde.
  • +Très rares: Défaillance cardiaque, infarctus du myocarde.
  • -Très rare: Hypertension.
  • +Très rares: Hypertension.
  • -Fréquent: troubles digestifs, diarrhée, nausées, vomissements, constipation, douleurs abdominales, ballonnements, selles goudronneuses, hématémèse, hémorragies gastro-intestinales.
  • -Rare: gastrite, ulcérations gastro-intestinales, stomatite ulcéreuse, perforations gastro-intestinales.
  • -Très rare: Pancréatite.
  • +Fréquents: Troubles digestifs, diarrhée, nausées, vomissements, constipation, douleurs abdominales, ballonnements, selles goudronneuses, hématémèse, hémorragies gastro-intestinales.
  • +Rares: gastrite, ulcérations gastro-intestinales, stomatite ulcéreuse, perforations gastro-intestinales.
  • +Très rares: Pancréatite.
  • -Rare: Hépatite, ictère, troubles de la fonction hépatique.
  • -Très rare: Insuffisance hépatique.
  • +Rares: Hépatite, ictère, troubles de la fonction hépatique.
  • +Très rares: Insuffisance hépatique.
  • -Fréquent: Exanthème.
  • +Fréquents: Exanthème.
  • -Fréquence inconnue: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG).
  • -Cas isolés: syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse, exanthème avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Cas isolés: Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse, exanthème avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Fréquence inconnue: Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG).
  • +
  • -Rare: Néphrotoxicité sous formes diverses tels que: nécrose papillaire des reins, néphrite interstitielle, troubles de la fonction rénale avec formation d'œdèmes et jusque à l'insuffisance rénale.
  • +Rares: Néphrotoxicité sous formes diverses tels que: nécrose papillaire des reins, néphrite interstitielle, troubles de la fonction rénale avec formation d'œdèmes et jusque à l'insuffisance rénale.
  • -Occasionnel: Fatigue.
  • -Rare: Œdèmes.
  • +Occasionnels: Fatigue.
  • +Rares: Oedèmes.
  • -Signes et Symptômes
  • -La plupart des patients ayant pris des doses considérables d'ibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes d'un surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus,acidose métabolique, d'hypothermie, d'effets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, d'apnée et de dépression du SNC et respiratoire.Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsqu'aucun autre médicament n'est pris de façon concomitante.
  • +Signes et symptômes
  • +La plupart des patients ayant pris des doses considérables d'ibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes d'un surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus, d`acidose métabolique, d'hypothermie, d'effets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, d'apnée et de dépression du SNC et respiratoire.Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsqu'aucun autre médicament n'est pris de façon concomitante.
  • -Mécanisme d’action et Pharmacodynamique
  • +Mécanisme d’action et pharmacodynamique
  • -L’ibuprofène a un effet inhibiteur prononcée sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique, antiphlogistique et antipyrétique.
  • -L’inhibition de l’agrégation des thrombocytes, non exploitée en thérapeutique, tout comme l’effet ulcérogène, la rétention de sodium et d’eau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • +L’ibuprofène a un effet inhibiteur marqué sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique et anti-inflammatoire.
  • +L’inhibition de l’agrégation des thrombocytes, tout comme l’effet ulcérogène, la rétention de sodium et d’eau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • -Toxicité reproductive
  • +Toxicité sur la reproduction
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention "EXP." sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention "EXP" sur le récipient.
  • -Décembre 2020.
  • +Novembre 2022.
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