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Accueil - Information professionnelle sur Pamorelin LA 11.25 mg - Changements - 25.03.2025
34 Changements de l'information professionelle Pamorelin LA 11.25 mg
  • -Polymère D, L-lactide-co-glycolide, Mannitol, Carmellose sodique*, Polysorbate 80.
  • +Polymère D,L-lactide-co-glycolide, Mannitol, Carmellose sodique*, Polysorbate 80.
  • -* la quantité de sodium apportée par la carmellose sodique correspond à 2.3 mg par dose.
  • +*la quantité de sodium apportée par la carmellose sodique correspond à 2.3 mg par dose.
  • +Puberté précoce centrale (central precocious puberty, CPP) chez les enfants de 2 ans et plus avec un début de la CPP avant 8 ans chez les filles et 9 ans chez les garçons.
  • +Cancer de la prostate
  • +Puberté précoce centrale
  • +Le traitement des enfants par Pamorelin LA 11,25 mg doit se faire sous la surveillance générale d'un endocrino-pédiatre, d'un pédiatre ou d'un endocrinologue ayant une expertise dans le traitement de la puberté précoce centrale.
  • +Afin d'assurer la surveillance du traitement, des dosages hormonaux adaptés doivent être réalisés entre 1 et 2 mois après l'injection de la première dose, puis à la discrétion du médecin traitant. La taille de l'enfant doit être mesurée tous les 3 à 6 mois. Il faut également procéder à une surveillance régulière de l'âge osseux.
  • +Le traitement doit être arrêté chez les filles avant l'âge de 11 ans et chez les garçons avant l'âge de 12 ans.
  • +
  • -La sécurité et l'efficacité de Pamorelin LA 11,25 mg n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents. Aucune indication n'existe donc pour ce groupe d'âge.
  • -
  • +La sécurité et l'efficacité de Pamorelin LA 11,25 mg n'ont pas été étudiées chez les enfants de moins de 2 ans. Une utilisation dans cette classe d'âge n'est donc pas recommandée.
  • +Contre-indications générales
  • +Grossesse et l'allaitement (voir « Grossesse, allaitement »).
  • +Cancer de la prostate
  • +
  • -Apoplexie hypophysaire:
  • -De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits chez les patients traités avec des agonistes de la GnRH. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
  • -Une intervention médicale immédiate est indispensable.
  • -Chez la plupart des patients atteints il y a déjà eu un adénome hypophysaire. Il ne faut donc pas administrer d'agoniste de la GnRH en cas d'adénome hypophysaire connu.
  • +Mises en garde générales
  • +Convulsions:
  • +Des cas de convulsions ont été rapportés sous traitement par des analogues de la GnRH, en particulier chez les femmes et les enfants. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque de convulsions (comme des antécédents d'épilepsie, des tumeurs intracrâniennes ou un traitement concomitant avec des médicaments connus pour présenter un risque de réactions sous forme de convulsions). Mais des cas de convulsions chez des patients ne présentant aucun facteur de risque de ce type ont également été déclarés.
  • +Patients sous anticoagulants:
  • +Une prudence particulière est de mise chez les sujets sous anticoagulants en raison du risque d'hématome au site d'injection.
  • +Autres précautions:
  • +Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.Une augmentation du nombre de lymphocytes a été décrite chez des patients sous traitement par analogues de la GnRH.
  • -Impact sur la densité minérale osseuse (DMO):
  • -L'administration d'analogues de la GnRH synthétiques dans le traitement du carcinome prostatique peut provoquer une fonte osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose et augmenter ainsi le risque de fractures. La conséquence peut être un faux diagnostic de métastases osseuses. Une attention particulière est nécessaire pour les patients présentant des facteurs de risques additionnels d'ostéoporose comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant la densité osseuse (tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs).
  • -Convulsions:
  • -Des cas de convulsions ont été rapportés sous traitement par des analogues de la GnRH, en particulier chez les femmes et les enfants. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque de convulsions (comme des antécédents d'épilepsie, des tumeurs intracrâniennes ou un traitement concomitant avec des médicaments connus pour présenter un risque de réactions sous forme de convulsions). Mais des cas de convulsions chez des patients ne présentant aucun facteur de risque de ce type ont également été déclarés.
  • -
  • +Apoplexie hypophysaire:
  • +De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits chez les patients traités avec des agonistes de la GnRH. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
  • +Une intervention médicale immédiate est indispensable.
  • +Chez la plupart des patients atteints il y a déjà eu un adénome hypophysaire. Il ne faut donc pas administrer d'agoniste de la GnRH en cas d'adénome hypophysaire connu.
  • +Ostéoporose / densité osseuse:
  • +L'administration d'analogues de la GnRH synthétiques dans le traitement du carcinome prostatique peut provoquer une fonte osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose et augmenter ainsi le risque de fractures. La conséquence peut être un faux diagnostic de métastases osseuses. Une attention particulière est nécessaire pour les patients présentant des facteurs de risques additionnels d'ostéoporose (comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant la densité osseuse tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs).
  • -Autres précautions:
  • -Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
  • -Une augmentation du nombre de lymphocytes a été décrite chez des patients sous traitement par analogues de la GnRH.
  • -Patients sous anticoagulants:
  • -Une prudence particulière est de mise chez les sujets sous anticoagulants en raison du risque d'hématome au site d'injection.
  • +Mises en gardes dans le traitement de la puberté précoce centrale
  • +Le diagnostic de CPP doit être confirmé avant l'instauration du traitement par des dosages hormonaux adaptés (p.ex. un test de stimulation GnRH) et la présence avérée des symptômes cliniques correspondants.
  • +Les pseudo-pubertés précoces (hyperplasie ou tumeur des glandes surrénales ou des gonades) et les pubertés précoces indépendantes des gonadotrophines (testotoxicose, hyperplasie familiale des cellules de Leydig) devront être exclues.
  • +Il faut en outre exclure l'existence d'une tumeur intracrânienne. Aucune donnée n'est disponible concernant une utilisation de Pamorelin 11,25 mg chez des patients pédiatriques présentant une tumeur intracrânienne. Il faut donc procéder dans ce cas à une évaluation individuelle approfondie du rapport bénéfice-risque.
  • +Chez les filles, il convient de confirmer que la patiente n'est pas enceinte avant de prescrire de la triptoréline.
  • +Au cours du premier mois de traitement chez les filles, la stimulation ovarienne initiale suivie par la suppression des taux des œstrogènes induits par le traitement, peuvent conduire à des saignements vaginaux d'intensité légère ou modérée. Les parents doivent être informés de la survenue possible de tels saignements. Le médecin devra être consulté si les saignements persistent.
  • +Hypertension intracrânienne idiopathique:
  • +Une hypertension intracrânienne idiopathique (pseudotumeur cérébrale) a été rapportée chez des patients pédiatriques recevant la triptoréline. Les patients doivent être avertis des signes et symptômes d'hypertension intracrânienne idiopathique, qui consistent en des maux de tête sévères ou récurrents, des troubles de la vision, des douleurs derrière l'œil, des étourdissements, des nausées et des acouphènes. En cas d'hypertension intracrânienne idiopathique, l'arrêt de la triptoréline doit être envisagé.
  • +Epiphysiolyse:
  • +Une épiphysiolyse de la hanche peut se produire après l'arrêt du traitement. Il se pourrait que ce soit consécutif à l'affaiblissement du cartilage de conjugaison en raison des faibles concentrations en œstrogène pendant le traitement et à l'augmentation de la vitesse de croissance qui se produit après l'arrêt du traitement et qui faciliterait le déplacement des épiphyses.
  • +Densité osseuse:
  • +Le traitement par les agonistes de la GnRH peut entraîner une diminution de la densité minérale osseuse (DMO). Toutefois, après l'arrêt du traitement, le bilan ultérieur de la masse osseuse est préservé et le pic de croissance de la masse osseuse à la fin de la puberté ne semble pas être affecté par le traitement. Il n'existe cependant aucune donnée à long terme sur l'évolution de la densité minérale osseuse après l'arrêt d'un traitement par triptoréline chez les enfants.
  • +Autres précautions chez les enfants
  • +A l'arrêt du traitement, le développement pubertaire reprend.
  • +Les données relatives à la fertilité des patientes traitées par les analogues de la GnRH pendant l'enfance sont encore limitées. Chez la plupart des filles, la ménarche survient environ 1 an après la fin du traitement.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
  • -L'emploi de Pamorelin LA 11,25 mg n'est pas prévu chez les femmes.
  • +Aucune étude n'a été réalisée chez les femmes enceintes. La triptoréline est contre-indiquée pendant la grossesse, car l'utilisation des agonistes de la GnRH est associée à un risque d'avortement et d'anomalies fœtales.
  • -L'emploi de Pamorelin LA 11,25 mg n'est pas prévu chez les femmes.
  • +On ignore si la triptoréline passe dans le lait maternel ou pourrait influer sur la production de lait maternel. La triptoréline est contre-indiquée pendant l'allaitement.
  • -Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir «Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
  • +Generalités
  • +Les effets indésirables les plus fréquents observés sous traitement par la triptoréline ont été attribuables à ses effets physiologiques prévus: ascension initiale du taux de testostérone, suivie d'une suppression quasi-totale de la testostérone.
  • +Cancer de la prostate
  • +Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir « Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
  • -Les effets indésirables suivants ont été signalés lors des essais cliniques ou de la pharmacovigilance. En fonction de leur incidence ces effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnus (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée).
  • -Infections
  • +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors des essais cliniques ou de la pharmacovigilance. En fonction de leur incidence ces effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnus (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée)
  • +Infections:
  • +Sécurité dans la population pédiatrique (Puberté précoce centrale)
  • +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors de l'utilisation de préparations à base de triptoréline au cours d'essais cliniques ou de la pharmacovigilance. En fonction de leur incidence les effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnu (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée).
  • +Système immunitaire
  • +Fréquent: réactions d'hypersensibilité (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Inconnu: choc anaphylactique, œdème angioneurotique.
  • +Troubles endocriniens
  • +Inconnu: augmentation de la prolactinémie.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquent: prise de poids.
  • +Occasionnel: obésité.
  • +Troubles psychiatriques
  • +Occasionnel: changements d'humeur.
  • +Inconnu: dépression, nervosité, labilité émotionnelle.
  • +Système nerveux
  • +Fréquent: céphalées.
  • +Inconnu: convulsions, hypertension intracrânienne idiopathique (pseudotumeur cérébrale).
  • +Troubles oculaires
  • +Occasionnel: troubles visuels.
  • +Inconnu: perturbations du champ visuel.
  • +Troubles vasculaires
  • +Fréquent: bouffées de chaleur.
  • +Inconnu: hypertension.
  • +Organes respiratoires
  • +Occasionnel: épistaxis.
  • +Troubles gastro-intestinaux
  • +Fréquent: douleurs abdominales.
  • +Occasionnel: nausée, constipation, vomissement.
  • +Troubles cutanés et tissus sous-cutanés
  • +Fréquent: acné.
  • +Occasionnel: prurit, urticaire, éruption cutanée.
  • +Troubles musculosquelettiques
  • +Occasionnel: douleur à la nuque.
  • +Inconnu: myalgie.
  • +Organes de reproduction et seins
  • +Très fréquent: saignements vaginaux (incluant hémorragie vaginale, saignement de retrait, hémorragie utérine, pertes vaginales, saignements vaginaux, y compris spotting).
  • +Occasionnel: douleurs mammaires.
  • +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Fréquent: réaction au site d'injection (incluant douleur au site d'injection douleurs, érythème et inflammation).
  • +Inconnu: malaise.
  • +Chez les enfants avec puberté précoce centrale, l'inhibition de l'hyperactivité gonadotrope hypophysaire conduit à une baisse des taux de LH selon le test de stimulation de GnRH (ou agoniste de la GnRH) et à la suppression de la sécrétion d'oestradiol et de testostérone chez les filles et les garçons, respectivement. On peut s'attendre, après l'arrêt du traitement par triptoréline, à ce que les processus de maturation physiologiques reprennent dès que les gonadotrophines ont à nouveau atteint des taux du stade prépubère.
  • -Lors d'un essai clinique randomisé de phase III, (EORTC 22961) incluant 970 patients atteints de cancer de la prostate localement avancé (principalement T2c-T4, avec des patients T1c à T2b avec un envahissement ganglionnaire régional) et traités par radiothérapie, 483 patients ont été traités par une suppression androgénique courte (6 mois) associée et 487 patients par une suppression androgénique longue (3 ans ) associée. Globalement, la mortalité totale à 5 ans était de 19% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 15,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,42. La mortalité à 5 ans spécifiquement liée au cancer de la prostate était 4,78% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 3,2% dans le groupe "traitement hormonal long", soit un risque relatif de 1,71
  • +Lors d'un essai clinique randomisé de phase III, (EORTC 22961) incluant 970 patients atteints de cancer de la prostate localement avancé (principalement T2c-T4, avec des patients T1c à T2b avec un envahissement ganglionnaire régional) et traités par radiothérapie, 483 patients ont été traités par une suppression androgénique courte (6 mois) associée et 487 patients par une suppression androgénique longue (3 ans) associée. Globalement, la mortalité totale à 5 ans était de 19% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 15,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,42. La mortalité à 5 ans spécifiquement liée au cancer de la prostate était 4,78% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 3,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,71.
  • +Puberté précoce centrale
  • +L'efficacité de la triptoréline 11,25 mg administrée chaque trois mois a été étudiée dans plusieurs petites études non contrôlées sur une durée allant jusqu'à 4 ans. Le critère principal d'évaluation était dans la plupart des cas une suppression des concentrations de LH stimulées. Une telle suppression a pu être obtenue chez 80 à 97% des patients, selon la population étudiée. Cela s'est généralement accompagné d'une régression ou d'une stabilisation des caractères sexuels secondaires ainsi que d'un ralentissement de la maturation osseuse accélérée et de la croissance.
  • +Le nombre de garçons inclus dans ces études était trop faible pour permettre une évaluation spécifique, par conséquent, d'éventuelles différences de réponse au traitement en fonction du sexe ne peuvent pas être exclues.
  • +Enfants et adolescents
  • +Il n'existe que des données pharmacocinétiques limitées dans la population pédiatrique. La Cmax et le tmax ne diffèrent pas de manière significative de ceux des adultes.
  • -Toxicité en cas d'administration répétée)
  • +Toxicité en cas d'administration répétée
  • -Voir le mode d'emploi illustré en fin de document.
  • +Voir le mode d'emploi illustré en fin de document
  • -·1 adaptateur de flacon et 1 aiguille (A)
  • +·1 adaptateur de flacon et 1 aiguille (A)
  • -Debiopharm Research & Manufacturing SA, 1920 Martigny
  • +Debiopharm Research & Manufacturing SA
  • +1920 Martigny
  • -Mars 2024
  • -02-010625/09
  • +Septembre 2024
  • +02-010625/10
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