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Accueil - Information professionnelle sur Pamorelin LA 11.25 mg - Changements - 25.10.2022
32 Changements de l'information professionelle Pamorelin LA 11.25 mg
  • -Polymère D, L lactide-co-glycolide, Mannitol, Carmellose sodique*, Polysorbate 80.
  • +Polymère D, L-lactide-co-glycolide, Mannitol, Carmellose sodique*, Polysorbate 80.
  • -* la quantité de sodium apportée par la carmellose sodique correspond à 2.3 mg par dose
  • +* la quantité de sodium apportée par la carmellose sodique correspond à 2.3 mg par dose.
  • -Traitement symptomatique du cancer de la prostate hormono-dépendant au stade avancé. Traitement alternatif lorsque ni une orchidectomie ni l'administration d'œstrogènes ne sont indiquées ou sont difficilement admissibles pour le patient.
  • +Cancer de la prostate hormono-dépendant au stade avancé.
  • +Cancer de la prostate hormono-dépendant localisé à haut risque ou localement avancé traité en association à une radiothérapie. (voir «Efficacité clinique»).
  • -Peu après l'injection de Pamorelin LA 11,25 mg ont été observées quelques rares réactions allergiques. De rares cas de choc anaphylactique et d'oedème angioneurotique ont été décrits après administration de triptoréline. Le cas échéant, interrompre immédiatement le traitement de Pamorelin LA 11,25 mg et prendre les mesures qui s'imposent.
  • -Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
  • +Peu après l'injection de Pamorelin LA 11,25 mg ont été observées quelques rares réactions allergiques. De rares cas de choc anaphylactique et d'oedème angioneurotique ont été décrits après administration de triptoréline.Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
  • -Apoplexie hypophysaire:
  • -De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits après administration d'agonistes de la GnRH. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
  • +Apoplexie hypophysaire: De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits après administration d'agonistes de la GnRH. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
  • -Risque de diabètes / risque cardiovasculaire:
  • -Un risque accru de diabète sucré et / ou d'événements cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
  • -Effet sur l'intervalle QT/QTc:
  • -La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les anti-arythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Ostéoporose / densité osseuse:
  • -L'administration d'analogues de la GnRH synthétiques dans le traitement du carcinome prostatique peut provoquer une fonte osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose et augmenter ainsi le risque de fractures. La conséquence peut être un faux diagnostic de métastases osseuses. Une attention particulière est nécessaire pour les patients présentant des facteurs de risques additionnels d'ostéoporose (comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant la densité osseuse tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs).
  • -Une augmentation du nombre de lymphocytes a été décrite chez des patients sous traitement par analogues de la GnRH. Cette lymphocytose secondaire est manifestement en relation avec la castration induite par la GnRH et semble indiquer que des hormones gonadiques sont impliquées dans la régression du thymus.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Risque de diabètes / risque cardiovasculaire: Un risque accru de diabète sucré et / ou d'événements cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
  • +Effet sur l'intervalle QT/QTc: La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les anti-arythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Ostéoporose / densité osseuse: L'administration d'analogues de la GnRH synthétiques dans le traitement du carcinome prostatique peut provoquer une fonte osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose et augmenter ainsi le risque de fractures. La conséquence peut être un faux diagnostic de métastases osseuses. Une attention particulière est nécessaire pour les patients présentant des facteurs de risques additionnels d'ostéoporose (comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant la densité osseuse tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs).
  • +Une augmentation du nombre de lymphocytes a été décrite chez des patients sous traitement par analogues de la GnRH. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir «Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
  • +Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir « Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
  • +Chez les patients avec un cancer de la prostate localement avancé, plusieurs études cliniques, randomisées, à long terme, ont démontré le bénéfice d'une privation androgénique associée à la radiothérapie (RT) en comparaison à la RT seule (RTOG 85-31, RTOG 86-10, EORTC 22863, D'Amico et al., JAMA, 2008). Dans un essai clinique randomisé de phase III, (EORTC 22961) incluant 970 patients atteints de cancer de la prostate localement avancé (principalement T2c-T4, avec des patients T1c à T2b avec un envahissement ganglionnaire régional) et traités par radiothérapie, 483 patients ont été traités par une suppression androgénique courte (6 mois) associée et 487 patients par une suppression androgénique longue (3 ans ) associée. Une analyse de non-infériorité a comparé le traitement hormonal concomitant et adjuvant court par rapport au traitement hormonal concomitant et adjuvant long par agonistes de la GnRH (principalement la triptoréline (62,2%) ou la goséréline (30,1%)). Globalement, la mortalité totale à 5 ans était de 19,0% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 15,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,42 (IC unilatéral à 95,71% =1,79; IC à 95,71% =[ 1,09; 1,85]; p=0,65 pour la non infériorité et p=0,0082 pour le test post-hoc de différence entre les groupes de traitement). La mortalité à 5 ans spécifiquement liée au cancer de la prostate était 4,78% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 3,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,71 (IC 95% =[1,14 à 2,57]; p=0,002). L'indication du cancer de la prostate localisé à haut risque est basée sur des études publiées sur l'association de la radiothérapie et des analogues de la GnRH. Les données cliniques de cinq études publiées ont été analysées (EORTC 22863, RTOG 85-31, RTOG 92-02, RTOG 86-10 et D'Amico et al., JAMA, 2008). Elles ont toutes démontré un avantage de l'association des analogues de la GnRH avec la radiothérapie. Dans les études publiées, il n'était pas possible de clairement différentier les populations respectives des indications du cancer de la prostate localement avancé et du cancer de la prostate localisé à haut risque.
  • +
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • -Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -Ethnicité: L'influence de la race sur la pharmacocinétique de la triptoréline n'a pas été étudiée.
  • +Ethnicité : L'influence de la race sur la pharmacocinétique de la triptoréline n'a pas été étudiée.
  • -Voir le mode d'emploi illustré en fin de document.
  • +Voir le mode d'emploi illustré en fin de document
  • -Debiopharm Research & Manufacturing SA
  • -1920 Martigny
  • +Debiopharm Research & Manufacturing SA, 1920 Martigny
  • -Août 2020
  • -02-010625/07
  • +Juillet 2022
  • +02-010625/08
  • +Instructions générales et recommandations
  • +Le produit est une suspension de microparticules:
  • +·Le produit final à administrer est une suspension de microgranules d'aspect laiteux et homogène.Les microgranules (particules) peuvent sédimenter dans le solvant, dans ce cas, agiter à nouveau (étape 5 de l'instruction de préparation):
  • +(image)
  • +·Si les particules sédimentent dans la seringue, cela entraîne un blocage de l'aiguille lors de l'administration: il est très important d'injecter le produit dans les 2 minutes suivant la reconstitution dans le flacon (étape 7 de l'instruction de préparation)
  • +(image)
  • -Prendre le flacon contenant la poudre. Tapoter la poudre se trouvant éventuellement dans la partie haute du flacon pour la faire tomber au fond du flacon. Enlever le couvercle plastique du flacon (image)
  • -Retirer le film protecteur du système d'adaptation Mixject®. Poser le flacon sur une surface plate pour connecter le Mixject®. Tout en maintenant le Mixject® dans son blister, le fixer sur le flacon jusqu'à ce qu'un déclic se fasse entendre. Retirer et éliminer le blister (image) (image)
  • -Retirer le bouchon en caoutchouc de la seringue pré-remplie et connecter la seringue au Mixject®. (image)
  • -Injecter lentement tout le contenu de la seringue dans le flacon. (image)
  • -Agiter le flacon muni du système d'adaptation et de la seringue jusqu'à obtenir une suspension pour injection d'aspect laiteux et homogène. Vérifier qu'il ne reste pas de poudre dans le flacon, et si nécessaire continuer la mise en suspension jusqu'à disparition complète de la poudre. (image)
  • -Retourner le flacon muni du système d'adaptation et de la seringue et aspirer toute la suspension dans la seringue en tirant doucement le piston vers soi. (image)
  • -Déconnecter la seringue en tournant l'adaptateur dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. (image)
  • -Le médicament est prêt pour une injection immédiate. (image)
  • -Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue. La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. Retirer la protection de l'aiguille d'injection. Faire sortir l'air de la seringue sans faire entrer la suspension dans l'aiguille. (image)
  • -Injecter la suspension pour injection relativement rapidement et sans interruption par voie intramusculaire. (image) (image)
  • -Activer le système de sécurité de l'aiguille d'injection (image)
  • +1 Prendre le flacon contenant la poudre. Enlever le couvercle plastique du flacon (image)
  • +2 Retirer le film protecteur du système d'adaptation MixjectTM. Poser le flacon sur une surface plate pour connecter le MixjectTM. Tout en maintenant le MixjectTM dans son blister, le centrer sur le bouchon du flacon et appuyer jusqu'à ce qu'un déclic se fasse entendre. Retirer et éliminer le blister. (image)
  • +3 Tenir la seringue par le luer lock puis retirer le bouchon. Tenir le MixjectTM et la seringue au niveau du luer lock. Visserla seringue au MixjectTM en opérant un demi-tour dans le sens des aiguilles d'une montre (sentir une résistance). (image)
  • +4 Injecter lentement tout le contenu de la seringue dans le flacon. A ce stade préparer le patient pour l'injection. Les étapes suivantes doivent être complétées sans interruption. (image)
  • +5 Tenir le flacon fermement. Agiter vigoureusement pendant 30 secondes. La suspension doit avoir un aspec homogène et laiteux. (image)
  • + Si une partie de la suspension remonte dans la seringue pendant l'agitation, pousser le piston pour remettre la suspension dans le flacon et agiter à nouveau avant de passer à l'étape suivante. (image)
  • + Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes.
  • +6 Immédiatement , retourner le flacon et tirer sur le piston pour aspirer toute la suspension dans la seringue. (image)
  • +7 Tenir la seringue tête vers le haut et chasser l'air dans le flacon. Attention de s'arrêter quand la suspension arrive à la base de la tête de la seringue. (image)
  • + Déconnecter la seringue en tournant l'adaptateur dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. (image)
  • +8 Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue. La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. Retirer la protection transparente de l'aiguille, puis administrer immédiatement l'entièreté de la seringue. (image)
  • + Ne pas amorcer l'aiguille avec la suspension. (image)
  • +9 Injecter la suspension pour injection relativement rapidement et sans interruption par voie intramusculaire. Activer le système de sécurité de l'aiguille d'injection. (image)
  • -·Retirer la protection de l'aiguille de reconstitution et aspirer tout le solvant dans la seringue (fig. A). ·Mettre de côté la seringue contenant le solvant. ·Prendre le flacon contenant la poudre. Tapoter la poudre se trouvant éventuellement dans la partie haute du flacon pour la faire tomber au fond du flacon. ·Enlever le couvercle plastique du flacon. (image)
  • -·Reprendre la seringue contenant le solvant et enfoncer l'aiguille dans le bouchon en caoutchouc du flacon et injecter lentement le solvant de manière à ce qu'il coule largement sur la paroi du flacon (fig. B). (image)
  • -·Retirer l'aiguille en dessus du niveau du liquide et balancer légèrement le flacon jusqu'à obtenir une suspension pour injection d'aspect laiteux et homogène (fig. C). Vérifier qu'il ne reste pas de poudre dans le flacon, et si nécessaire continuer la mise en suspension jusqu'à disparition complète de la poudre. Attention: le mélange ne doit pas se faire par aspirations et vidanges répétées avec la seringue! (image)
  • +·Retirer la protection de l'aiguille de reconstitution et aspirer tout le solvant dans la seringue (fig. A). ·Mettre de côté la seringue contenant le solvant. ·Prendre le flacon contenant la poudre. ·Enlever le couvercle plastique du flacon. (image)
  • +·Reprendre la seringue contenant le solvant et enfoncer l'aiguille dans le bouchon en caoutchouc du flacon et injecter lentement le solvant de manière à ce qu'il coule largement sur la paroi du flacon (fig. B). ·A ce stade préparer le patient pour l'injection. Les étapes suivantes doivent être complétées sans interruption. (image)
  • +·Retirer l'aiguille en dessus du niveau du liquide et agiter vigoureusement le flacon pendant 30 secondes. La suspension doit avoir un aspect laiteux et homogène (fig. C). Vérifier qu'il ne reste pas de poudre dans le flacon, et si nécessaire continuer la mise en suspension jusqu'à disparition complète de la poudre. Attention: le mélange ne doit pas se faire par aspirations et vidanges répétées avec la seringue! ·Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes. (image)
  • -·Enlever l'aiguille de reconstitution. Tourner fermement l'aiguille à injection avec système de sécurité sur la seringue (à fond). Ne saisir que la gaine de couleur. ·Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue (fig. E1). La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. ·Retirer la protection de l'aiguille d'injection. ·Faire sortir l'air de la seringue (fig. E2). (image) (image)
  • +·Enlever l'aiguille de reconstitution. Tourner fermement l'aiguille à injection avec système de sécurité sur la seringue (à fond). Ne saisir que la gaine de couleur. ·Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue (fig. E1). La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. ·Retirer la protection de l'aiguille d'injection. ·Puis administrer immédiatement l'entièreté de la seringue. ·Ne pas amorcer l'aiguille avec la suspension (fig. E2). (image) E2 (image)
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