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Accueil - Information professionnelle sur Copaxone 20mg/ml - Changements - 02.10.2024
88 Changements de l'information professionelle Copaxone 20mg/ml
  • -Copaxone est utilisé pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Copaxone n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
  • +Copaxone 20 mg/ml est utilisé pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Copaxone n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
  • -La posologie recommandée chez l'adulte est de 40 mg de Copaxone (une seringue préremplie), administré en injection sous-cutanée trois fois par semaine à 48 heures d'intervalle minimum.
  • +La posologie recommandée chez l'adulte est de 20 mg de Copaxone, correspondant à une seringue prête à l'emploi, administrés en injection sous-cutanée une fois par jour.
  • -À l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Copaxone 40 mg/ml. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
  • +À l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Copaxone 20 mg/ml. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
  • -L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients ayant une limitation de la fonction rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -La sécurité et l'efficacité de l'acétate de glatiramère chez les enfants et les adolescents n'ont pas été établies. Les données disponibles sur l'utilisation de Copaxone 40 mg/ml chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne sont pas suffisantes pour recommander son utilisation. Copaxone 40 mg/ml ne doit donc pas être utilisé chez ce groupe de patients.
  • +La sécurité et l'efficacité de l'acétate de glatiramère chez les enfants et les adolescents n'ont pas été établies. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Copaxone chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Copaxone ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
  • -Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de choisir un site différent pour chaque injection afin d'éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • +Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de changer le site d'injection lors de chaque injection pour éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • -Le médecin traitant doit informer le patient que dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone, des réactions se manifestant par l'un des symptômes suivants au moins: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables») peuvent survenir. La majorité de ces réactions sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • +L'acétate de glatiramère peut provoquer des réactions post-injection ainsi que des réactions anaphylactiques (voir «Effets indésirables»):
  • +Réactions post-injection
  • +Le médecin traitant doit informer le patient que dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone des réactions se manifestant par au moins l'un des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables») peuvent survenir. La majorité de ces symptômes sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • -Dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité graves (p.ex. bronchospasme, anaphylaxie ou urticaire) ont été rapportées. Lors de réactions sévères, le traitement adéquat sera instauré et l'administration de Copaxone devra être interrompue.
  • -Rarement, des convulsions et/ou des réactions anaphylactoïdes ou allergiques ont été rapportées.
  • -Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier chronique par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Il n'y a pas de données suggérant que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
  • -Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement par Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • +Réactions anaphylactiques
  • +Des réactions anaphylactiques peuvent également survenir des mois, voire des années après le début du traitement par acétate de glatiramère, et ce, peu après son administration (voir «Effets indésirables»). Ceci même si aucune réaction allergique n'est survenue lors des administrations antérieures. Des cas d'issue fatale ont été rapportés. Certains signes et symptômes des réactions anaphylactiques peuvent coïncider avec ceux des réactions post-injection.
  • +Tous les patients traités par Copaxone et les personnes qui s'en occupent doivent être informés des signes et symptômes des réactions anaphylactiques ainsi que de la nécessité de demander immédiatement une assistance médicale d'urgence en cas de survenue de tels symptômes.
  • +Si une réaction anaphylactique survient, le traitement par Copaxone doit être interrompu.
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier au long cours par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les présentes études ne permettent pas de conclure à un effet neutralisant des anticorps anti-acétate de glatiramère ou un impact sur l'efficacité clinique de Copaxone.
  • +Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement de Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • -Une augmentation de l'incidence des réactions au site d'injection a été observée chez les patients traités concomitamment par des corticostéroïdes.
  • +Des observations émanant des études cliniques existantes ainsi que les expériences après commercialisation n'indiquent pas d'interactions significatives de Copaxone avec d'autres traitements fréquemment utilisés chez les patients atteints de SEP, y compris l'utilisation concomitante de corticostéroïdes sur une période allant jusqu'à 28 jours.
  • -In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, la co-administration de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • +In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, l'administration concomitante de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • -Les études menées sur des animaux n'ont mis en évidence aucune toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Les expériences acquises jusqu'à présent avec Copaxone 20 mg/ml chez des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de Copaxone. Les données disponibles sur l'utilisation de Copaxone 40 mg/ml chez des femmes enceintes sont en accord avec ces résultats. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Copaxone sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fœtus.
  • +les études menées sur des animaux n'ont mis en évidence aucune toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +Les expériences acquises jusqu'à présent avec des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de Copaxone. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Copaxone sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fœtus.
  • -La plupart des données de sécurité relatives à Copaxone ont été réunies avec Copaxone 20 mg/ml administré en injection sous-cutanée une fois par jour. Le chapitre suivant présente les données de sécurité réunies lors de quatre essais contrôlés contre placebo avec Copaxone 20 mg/ml administré une fois par jour et lors d'un essai contrôlé contre placebo avec Copaxone 40 mg/ml administré trois fois par semaine.
  • -La sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'a pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude; de même, le passage d'un dosage à l'autre n'a pas été étudié.
  • -Copaxone 20 mg/ml (administré une fois par jour)
  • -Les réactions au site d'injection ont été les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (70% Copaxone 20 mg/ml vs 37% placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, œdème, inflammation et augmentation de la sensibilité au site d'injection.
  • -Des réactions immédiates survenant dans les minutes qui suivent l'injection (réactions post-injection) ont été décrites sous les symptômes suivants: vasodilatation (rougeur), douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Au moins une composante de ces réactions post-injection immédiates a été rapportée, au moins une fois, par 31% des patients recevant Copaxone 20 mg/ml comparé à 13% dans le groupe placebo.
  • -Dans la plupart des cas, ces événements étaient de nature transitoire, ils ont disparu spontanément sans laisser de séquelles; ils n'ont pas nécessité de traitement spécifique. Ces effets peuvent survenir au début du traitement comme après plusieurs mois un patient peut en éprouver un épisode ou plusieurs. Aucune information n'est disponible permettant d'identifier des groupes de patients à risque particulier pour ces réactions.
  • -Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées par placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une SEP rémittente-récurrente (SEP-RR) traités par Copaxone 20 mg/ml, et 271 patients présentant une SEP-RR traités par placebo (duré du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement 36 mois).
  • -Pendant l'extension ouverte sur une période de 5 ans il n'y a pas eu de changement du profil de risques connu de Copaxone.
  • +Copaxone 20 mg/ml (utilisé une fois par jour)
  • +Des réactions au site d'injection ont été le plus fréquemment rapportées (70% pour Copaxone 20 mg/ml vs 37% pour le placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, œdème, inflammation et hypersensibilité au site d'injection.
  • +Des réactions immédiates en l'espace de quelques minutes (réaction post-injection) ont été décrites en liaison avec les symptômes suivants: vasodilatation (rougeur), douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir «Mises en garde et précautions»). (Au moins un symptôme des réactions post-injection immédiates a été rapporté au moins une fois chez 31% des patients traités par Copaxone 20 mg/ml, contre 13% traités recevant un placebo).
  • +Dans la plupart des cas, ces événements étaient de nature transitoire, ils ont disparu spontanément sans laisser de séquelles; ils n'ont pas nécessité de traitement spécifique. Ces effets peuvent survenir au début du traitement comme après plusieurs mois; un patient peut en éprouver un épisode ou plusieurs. Aucune information n'est disponible permettant d'identifier des groupes de patients à risque particulier pour ces réactions.
  • +Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par Copaxone 20 mg/ml, et 271 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par placebo (durée du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement: 36 mois).
  • +Pendant l'extension ouverte sur une période de 5 ans, il n'y a pas eu de changement du profil de risques connu de Copaxone.
  • -Très fréquents: infections (31,8%), grippe (15,4%).
  • -Fréquents: bronchite, gastro-entérite, herpes simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*.
  • -Occasionnels: abcès, cellulite, furonculose, herpes zoster, pyélonéphrite.
  • +Très fréquents: infection (31,8%), grippe (15,4%)
  • +Fréquents: bronchite, gastro-entérite, herpès simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*
  • +Occasionnels: abcès, cellulite, furonculose, herpès zoster, pyélonéphrite.
  • -Fréquents: néoplasme cutané bénin, néoplasmes.
  • -Occasionnels: cancer de la peau.
  • -Rares: lymphome à cellules T.
  • +Fréquents: néoplasme cutané bénin, néoplasmes
  • +Occasionnels: cancer de la peau
  • +Rares: lymphome à cellules T
  • -Fréquents: lymphadénopathie*.
  • -Occasionnels: leucocytose, leucopénie, splénomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
  • +Fréquents: lymphadénopathie*
  • +Occasionnels: leucocytose, leucopénie, splénomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale
  • -Fréquents: hypersensibilité.
  • -Occasionnels: anaphylaxie.
  • +Fréquents: hypersensibilité
  • +Occasionnels: réactions anaphylactiques
  • -Occasionnels: goitre, hyperthyroïdie.
  • +Occasionnels: goitre, hyperthyroïdie
  • -Fréquents: anorexie, prise de poids*.
  • -Occasionnels: intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée.
  • +Fréquents: anorexie, prise de poids*
  • +Occasionnels: intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée
  • -Très fréquents: angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%).
  • -Fréquents: nervosité.
  • -Occasionnels: rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide.
  • +Très fréquents: angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%),
  • +Fréquents: nervosité
  • +Occasionnels: rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide
  • -Très fréquents: céphalées (30,9%).
  • -Fréquents: troubles du goût, tonus musculaire élevé spastique, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*.
  • -Occasionnels: syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuromusculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie.
  • +Très fréquents: céphalées (30,9%)
  • +Fréquents: troubles du goût, tonus musculaire spastique élevé, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*
  • +Occasionnels: syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuro-musculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie
  • -Fréquents: diplopie, troubles fonctionnels des yeux*.
  • -Occasionnels: cataracte, lésions de la cornée, œil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique.
  • +Fréquents: diplopie, troubles fonctionnels des yeux*
  • +Occasionnels: cataracte, lésions de la cornée, œil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique
  • -Fréquents: douleurs aux oreilles.
  • +Fréquents: douleurs aux oreilles
  • -Fréquents: palpitations*, tachycardie*.
  • -Occasionnels: extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxysmale.
  • -Rares: insuffisance cardiaque aiguë.
  • +Fréquents: palpitations*, tachycardie*
  • +Occasionnels: extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxysmale
  • +Rares: insuffisance cardiaque aiguë
  • -Très fréquents: vasodilatation (18,0%)*.
  • -Occasionnels: varices.
  • +Très fréquents: vasodilatation (18,0%)*
  • +Occasionnels: varices
  • -Très fréquents: dyspnée (13,3 %)*.
  • -Fréquents: toux, rhinite saisonnière.
  • -Occasionnels: apnée, sensation d'étouffement, saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration.
  • +Très fréquents: dyspnée (13,3%)*
  • +Fréquents: toux, rhinite saisonnière
  • +Occasionnels: apnée, sensation d'étouffement, saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration
  • -Très fréquents: nausée (14,5%)*.
  • -Fréquents: troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*.
  • -Occasionnels: colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère œsophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de la glande salivaire.
  • +Très fréquents: nausées (14,5%)*
  • +Fréquents: troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*
  • +Occasionnels: colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère œsophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de volume de la glande salivaire
  • -Fréquents: test de la fonction hépatique anormal.
  • -Occasionnels: cholélithiase, hépatomégalie.
  • +Fréquents: test de la fonction hépatique anormal
  • +Occasionnels: cholélithiase, hépatomégalie
  • -Très fréquents: rash (13,7%)*.
  • -Fréquents: ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire.
  • -Occasionnels: angioœdème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
  • +Très fréquents: rash (13,7%)*
  • +Fréquents: ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire
  • +Occasionnels: angioœdème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés
  • -Très fréquents: arthralgies (10,4%), douleurs dorsales (13,5%)*.
  • -Fréquents: douleurs dans la nuque.
  • -Occasionnels: arthrite, bursite, douleur dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite.
  • +Très fréquents: arthralgies (10,4%), douleurs dorsales (13,5%)*
  • +Fréquents: douleurs dans la nuque
  • +Occasionnels: arthrite, bursite, douleurs dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite
  • -Fréquents: besoin d'uriner, polyurie, rétention d'urine.
  • -Occasionnels: hématurie, néphrolithiase, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
  • +Fréquents: besoin d'uriner, polyurie, rétention d'urine
  • +Occasionnels: hématurie, néphrolithiase, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire
  • -Occasionnels: gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
  • +Occasionnels: gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin
  • -Très fréquents: asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*§ (69,5%), douleurs (19,0%)*.
  • -Fréquents: frissons*, œdème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection♣, réactions locales*, œdème périphérique, œdème, fièvre.
  • -Occasionnels: kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non détaillée plus précisément, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses.
  • +Très fréquents: asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*§ (69,5%), douleurs (19,0%)*
  • +Fréquents: frissons*, œdème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection♣, réactions locales*, œdème périphérique, œdème, fièvre
  • +Occasionnels: kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non détaillée plus précisément, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses
  • -Occasionnels: syndrome suite à une vaccination.
  • -* Incidence de plus de 2% (>2/100) dans le groupe de traitement Copaxone que dans le groupe placebo. Les effets secondaires sans le symbole «*» ont une différence de moins de ou égale à 2%.
  • -§ Le terme «Réactions au site d'application» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • +Occasionnels: syndrome suite à une vaccination
  • +* Incidence supérieure de 2% (>2/100) dans le groupe de traitement Copaxone par rapport au groupe placebo. Les effets indésirables sans le symbole «*» ont une différence inférieure ou égale à 2%.
  • +§ Le terme «Réactions au site d'injection» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • -Copaxone 40 mg/ml (administré trois fois par semaine)
  • -La sécurité de Copaxone 40 mg/ml a été évaluée sur la base d'un essai clinique contrôlé contre placebo, en double aveugle, chez des patients atteints de SEP-RR avec un total de 943 patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine et 461 patients traités par le placebo pendant 12 mois.
  • -De façon générale, les effets indésirables observés chez les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont été de même nature que ceux déjà connus pour Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement et mentionnés dans l'information professionnelle autorisée.
  • -Des réactions au site d'injection ont été rapportées chez 36% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 5% des patients sous placebo. Des réactions post-injection immédiates ont été rapportées chez 8% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 2% des patients sous placebo.
  • -Quelques effets indésirables spécifiques ont été observés:
  • -Affections du système immunitaire
  • -Occasionnels: des réactions anaphylactiques ont été rapportées chez 0,3% des patients traités par Copaxone 40 mg/ml.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Fréquents: érythème cutané (2,1%), douleur dans les extrémités (2,1%). Ces deux effets indésirables n'ont pas été mentionnés pour Copaxone 20 mg/ml.
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Occasionnels: lésions hépatiques d'origine médicamenteuse (0.1%), hépatite toxique (0,1%).
  • -Ces deux effets indésirables n'ont été que rarement mentionnés sous Copaxone 20 mg/ml dans le cadre de la surveillance après commercialisation.
  • +Description d'effets indésirables spécifiques
  • +Des réactions anaphylactiques peuvent également survenir des mois, voire des années après le début du traitement par acétate de glatiramère, et ce, peu après son administration (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -De rares cas de lésions hépatiques graves (y compris une insuffisance hépatique, une hépatite avec ictère et, dans des cas isolés, une transplantation hépatique) ont été rapportés après commercialisation de l'acétate de glatiramère. La plupart des cas de lésions hépatiques graves se sont résolus avec l'arrêt du traitement. Les événements hépatiques sont survenus de quelques jours à quelques années après le début du traitement par l'acétate de glatiramère.
  • +De rares cas de lésions hépatiques graves (y compris insuffisance hépatique, hépatite avec ictère et, dans des cas isolés, transplantation hépatique) ont été rapportés après commercialisation de l'acétate de glatiramère. La plupart des cas de lésions hépatiques graves se sont résolus avec l'arrêt du traitement. Les événements hépatiques sont survenus de quelques jours à quelques années après le début du traitement par l'acétate de glatiramère.
  • -Quelques cas de surdosage avec Copaxone (jusqu'à 300 mg d'acétate de glatiramère) ont été rapportés. Ces cas n'ont été associés à aucun effet indésirable autre que ceux déjà connus.
  • -En cas de surdosage, les patients doivent être suivis et un traitement symptomatique ou complémentaire approprié doit être institué.
  • +En cas de surdosage, les patients doivent être suivis et un traitement symptomatique ou complémentaire approprié doit être instauré.
  • -L'acétate de glatiramère, principe actif de Copaxone, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire moyenne de respectivement de 0,141, 0,427, 0,093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 50009000 daltons. En raison de la complexité de sa composition, aucun polypeptide spécifié ne peut être totalement caractérisé, y compris en termes de séquence d'acides aminés bien que la composition finale de l'acétate de glatiramère ne soit pas entièrement aléatoire.
  • -Le mécanisme par lequel l'acétate de glatiramère exerce ses effets thérapeutiques dans les formes récurrentes de la SEP n'est pas encore complètement élucidé, mais l'on suppose que l'acétate de glatiramère impliquerait une modulation du système immunitaire.
  • +L'acétate de glatiramère, principe actif de Copaxone, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire relative de respectivement 0,141, 0,427, 0.093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 5000 et 9000 daltons. En raison de la complexité de sa composition, aucun polypeptide spécifié ne peut être totalement caractérisé, y compris en termes de séquence d'acides aminés bien que la composition finale de l'acétate de glatiramère ne soit pas entièrement aléatoire.
  • +Le mécanisme par lequel l'acétate de glatiramère exerce ses effets thérapeutiques chez les patients ayant une SEP n'est pas encore complètement élucidé, mais l'on suppose que l'acétate de glatiramère impliquerait une modulation du système immunitaire.
  • -L'acétate de glatiramère induit, par la liaison à la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'EAE.
  • +L'acétate de glatiramère induit, par la liaison a la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'encéphalomyélite allergique expérimentale.
  • -SEP récurrente-rémittente (SEP-RR):
  • -Les données étayant l'efficacité de Copaxone 40 mg/ml en injection sous-cutanée trois fois par semaine pour réduire la fréquence des poussées sont issues d'une étude de 12 mois contrôlée contre placebo.
  • -Dans l'étude clinique pivot, la sclérose en plaques récurrente-rémittente était caractérisée par au moins une poussée documentée au cours des 12 derniers mois ou au moins deux poussées documentées au cours des 24 derniers mois ou une poussée documentée entre les 12 et 24 derniers mois avec au moins une lésion rehaussée par le gadolinium en T1 documentée lors d'une IRM effectuée au cours des 12 derniers mois.
  • -Le critère d'évaluation principal était le nombre total de poussées confirmées. Les critères d'évaluation IRM secondaires incluaient le nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 et le nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1, tous deux mesurés aux mois 6 et 12.
  • -Au total, 1404 patients ont été randomisés selon un ratio de 2:1 en vue de recevoir soit Copaxone 40 mg/ml (n = 943) soit le placebo (n = 461). Les deux groupes de traitement étaient comparables en termes de caractéristiques démographiques initiales, caractéristiques de la SEP et paramètres IRM. Les patients avaient présenté un nombre médian de 2,0 poussées au cours des 2 années précédant la sélection.
  • -Par comparaison avec le placebo, les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont présenté des réductions statistiquement significatives des paramètres mesurés comme critères d'évaluation primaires et secondaires, ces réductions étant comparables à l'effet du traitement par Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement.
  • -Le tableau suivant présente les résultats de mesure du critère d'évaluation principal et des critères d'évaluation secondaires au sein de la population en intention de traiter:
  • -Paramètre évalué Estimations moyennes ajustées Valeur de p
  • -Copaxone (40 mg/ml) (n=943) Placebo (n=461)
  • -Taux annualisé de poussées (TAP) 0,331 0,505 p<0,0001
  • -Différence des risques absolus* (intervalle de confiance à 95%) -0,174 [-0,2841 à –0,0639]
  • -Nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 aux mois 6 et 12 3,650 5,592 p<0,0001
  • -Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,653 [0,546 à 0,780]
  • -Nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1 aux mois 6 et 12 0,905 1,639 p<0,0001
  • -Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,552 [0,436 à 0,699]
  • -
  • -* La différence des risques absolus est définie comme la différence entre le TAP moyen ajusté sous acétate de glatiramère (AG) 40 mg (3 fois/semaine) et le TAP moyen ajusté sous placebo.
  • -** Le rapport des taux est défini comme le rapport entre les taux moyens ajustés sous AG 40 mg (3 fois/semaine) et sous placebo.
  • -L'efficacité et la sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'ont pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude.
  • -Copaxone 40 mg/ml: La proportion de patients présentant une progression confirmée du handicap à 3 mois était un critère d'évaluation exploratoire au cours des 12 mois de l'étude contrôlée versus placebo (GALA). Une progression confirmée du handicap à 3 mois a été observée chez 3% et 3,5% des patients du groupe placebo et du groupe Copaxone respectivement (odds ratio, OR [IC à 95%]: 1,182 [0,661, 2,117] [(valeur p = 0,5726]). Si l'on prend en compte l'extension en ouvert de l'étude (jusqu'à 7 ans), le délai avant confirmation d'une progression du handicap à 6 mois constituait un critère d'évaluation exploratoire. Le risque relatif [IC à 95%] chez les patients en intention de traiter, entre le groupe Copaxone traité précocement et le groupe Copaxone traité de manière retardée a été de 0,892 [0,688, 1,157] (valeur p = 0,3898).
  • -Le bénéfice thérapeutique de Copaxone chez les patients ayant une SEP progressive primaire ou secondaire n'a pas été démontré jusqu'ici.
  • +SEP récurrente-rémittente (SEP RR):
  • +Au total, 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux attaques de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbation) en l'espace des deux dernières années, ont été traités par Copaxone 20 mg/ml dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (Copaxone n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités avec Copaxone durant 35 mois maximum (Copaxone n = 125, placebo n = 126). La dernière étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (Copaxone n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait être présente à l'IRM.
  • +Une réduction significative du nombre de poussées, une tendance à une augmentation du pourcentage de patients demeurant indemnes de poussées ainsi qu'une prolongation du délai d'apparition de nouvelles poussées ont été observées chez les patients traités par Copaxone. Des effets positifs ont également pu être observés sur les paramètres IRM importants des formes rémittentes de la SEP.
  • +Dans la plus grande étude contrôlée, le taux de poussées a été réduit de 32%; de 1,98 sous placebo à 1,34 sous Copaxone.
  • +Tout au long du traitement, les patients sous Copaxone étaient plus nombreux par rapport au groupe placebo à voir leur état soit se stabiliser sur le plan neurologique, soit s'améliorer, et l'évolution moyenne de l'échelle de cotation du handicap EDSS (Expanded Disability Status Scale) de Kurtzke, par rapport à sa valeur initiale, a également été en faveur de Copaxone.
  • +Des données à long terme sont disponibles jusqu'à 12 ans pour 103 patients traités par Copaxone.
  • +Copaxone 20 mg/ml: au cours de l'étude contrôlée 9001/9001 E, ayant recruté 251 patients et suivis jusqu'à 35 mois (incluant l'étude 9001E qui est la phase d'extension en aveugle de l'étude 9001), le pourcentage cumulé de patients ayant une progression confirmée du handicap à 3 mois, était de 29,4% dans le groupe placebo et de 23,2% chez les patients traités par Copaxone (valeur p = 0,199).
  • +Il n'a pas été mis en évidence qu'un traitement par Copaxone influence la durée ou le degré de sévérité d'une poussée.
  • +Jusqu'à présent, le bénéfice de Copaxone chez les patients présentant une affection progressive primaire ou secondaire n'a pas encore été mis en évidence.
  • +Aucune étude portant sur la comparaison directe de l'efficacité et la sécurité entre Copaxone 20 mg/ml (utilisé quotidiennement) et 40 mg/ml (utilisé trois fois par semaine) ni aucune étude portant sur le passage d'un dosage à l'autre n'a été effectuée.
  • +Clinically Isolated Syndrome:
  • +Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (Copaxone n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur des patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (CIS) et une IRM anormale (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 de plus de 6 mm de diamètre), sur plus de 3 ans. D'autres maladies devaient être exclues. 198 patients sur 243 dans le groupe Copaxone et 211 patients sur 238 dans le groupe placebo ont été inclus dans la phase d'extension ouverte sur 2 ans.
  • +En comparaison avec le placebo durant la durée du traitement contrôlée contre placebo allant jusqu'à trois ans, Copaxone a retardé la progression à partir du premier épisode clinique jusqu'à la SEP clinique définitive (hazard ratio = 0,55; IC à 95% [0,40; 0,77], valeur p = 0,0005). Copaxone a prolongé la durée de temps jusqu'à l'apparition de la SEP clinique définitive de 336 jours chez le groupe placebo, à 722 jours chez le groupe Copaxone. Le nombre de nouvelles lésions T2 était plus bas de manière statistiquement significative chez les patients sous Copaxone (valeur p <0,0001), le volume des lésions T2 a montré une réduction significative de 25% du volume des lésions T2 (valeur p = 0,0002). Le nombre de patients à développer une SEP était de 43% avec le placebo et de 25% avec Copaxone (valeur p = 0,0001).
  • +Le risque de développer une SEP clinique définitive au cours des trois années suivantes en fonction des symptômes initiaux était plus prononcée dans le groupe «cérébral» que dans le groupe «optique» ou «spinal».
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été obtenu en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les études disponibles ne permettent pas de suggérer que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
  • +L'effet obtenu durant l'étude placébo-contrôlée est resté constant sur la phase d'observation de 5 ans. Le temps de la progression jusqu'à la SEP clinique définitive a été prolongé par un traitement au Copaxone précoce. En comparaison avec un traitement plus tardif, le traitement précoce a diminué significativement le risque de progression jusqu'à la SEP clinique définitive selon les critères de Poser (p=0,0005). L'effet favorable d'un traitement précoce avec Copaxone en comparaison avec un traitement tardif a pu être prouvé au moyen des paramètres IRM.
  • -Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de toxicité sur la reproduction, de génotoxicité ou de cancérogenèse ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme qui n'est pas déjà énoncé dans d'autres rubriques de l'information professionnelle. En raison du manque de données pharmacocinétiques chez l'homme, aucune déclaration relative aux marges d'exposition entre l'homme et l'animal ne peut être faite .
  • -Lors d'études menées chez les rats et les singes portant sur un traitement de 6 mois, des rapports ont établi la présence de dépôts de complexes immuns dans les glomérules des reins. Dans une étude de 2 ans menée chez les rats, aucun indice de dépôt de complexes immuns dans les glomérules n'a été mis en évidence.
  • -Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration à des animaux sensibilisés (cobaye et souris). La pertinence de ces résultats pour l'homme est inconnue.
  • -Une toxicité au site d'injection après administration répétée chez l'animal a été fréquemment rapportée.
  • -Chez le rat, on a observé une réduction légère, mais statistiquement significative, du gain pondéral de la progéniture des femelles traitées pendant la gestation et tout au long de l'allaitement par des doses souscutanées ≥6 mg/kg/jour (2,83 fois la dose journalière maximale recommandée chez l'homme pour un adulte de 60 kg sur la base de mg/m2) par rapport au groupe témoin. Aucun autre effet significatif sur la croissance de la progéniture et le développement du comportement n'a été observé.
  • +Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de toxicité sur la reproduction, de génotoxicité ou de cancérogenèse ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme qui n'est pas déjà énoncé dans d'autres rubriques de l'information professionnelle. En raison du manque de données pharmacocinétiques chez l'homme, aucune déclaration relative aux marges d'exposition entre l'homme et l'animal ne peut être faite.
  • +Lors d'études menées chez les rats et les singes portant sur un traitement de 6 mois, des rapports ont établi la présence de dépôts de complexes immuns dans les glomérules des reins.
  • +Dans une étude de 2 ans menée chez les rats, aucun indice de dépôt de complexes immuns dans les glomérules n'a été mis en évidence.
  • +Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration d'acétate de glatiramère à des animaux sensibilisés (cobayes et souris). La pertinence de ces résultats pour l'homme n'est pas connue.
  • +Des réactions toxiques ont été fréquemment rapportées au site d'injection après administration répétée chez l'animal.
  • +Chez le rat, on a observé une réduction légère, mais statistiquement significative, du gain pondéral de la progéniture des femelles traitées pendant la gestation et tout au long de l'allaitement par des doses sous-cutanées ≥6 mg/kg/jour (2,83 fois la dose journalière maximale recommandée chez l'homme pour un adulte de 60 kg sur la base de mg/m2) par rapport au groupe témoin. Aucun autre effet significatif sur la croissance de la progéniture et le développement du comportement n'a été observé.
  • -Si les seringues préremplies ne peuvent pas être conservées au réfrigérateur, elles peuvent être conservées jusqu'à un mois maximum, entre 15°C et 25°C.
  • +Si les seringues préremplies ne peuvent pas être conservées au réfrigérateur, elles peuvent être conservées jusqu'à un mois maximum, entre 15 °C et 25 °C.
  • -56363 (Swissmedic).
  • +56'363 (Swissmedic)
  • -Copaxone 40 mg/ml: seringues préremplies emballées individuellement sous blister: 12
  • -Liste B.
  • +Copaxone 20 mg/ml seringue préremplie (4x7, emballées séparément sous blister): 28
  • +Liste B
  • -Février 2022
  • -Numéro de version interne: 5.2
  • +Septembre 2024.
  • +Numéro de version interne: 8.1
2025 ©ywesee GmbH
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