90 Changements de l'information professionelle Copaxone 20mg/ml |
-Principe actif: acétate de glatiramère.
- +Principe actif: acétate de glatiramère
-Solution injectable en seringues préremplies (1 ml): à 40 mg/ml d'acétate de glatiramère correspondant à 36 mg/ml de glatiramère base.
- +Solution injectable en seringue préremplie (1 ml): à 20 mg
- +20 mg/ml d'acétate de glatiramère correspondant à 18 mg/ml de glatiramère base.
-Copaxone est indiqué pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Copaxone n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire.
- +Copaxone 20 mg/ml est indiqué pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Copaxone n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
-La posologie recommandée chez l'adulte est de 40 mg de Copaxone (une seringue préremplie), administré en injection sous-cutanée trois fois par semaine à 48 heures d'intervalle minimum.
- +Posologie
- +La posologie recommandée chez l'adulte est de 20 mg de Copaxone, correspondant à une seringue prête à l'emploi, administrés en injection sous-cutanée une fois par jour.
-A l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Copaxone 40 mg/ml. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
-Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes, d'un professionnel de la santé.
-Patients dont la fonction rénale est diminuée:
-L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients ayant une limitation de la fonction rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +A l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Copaxone 20 mg/ml. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
- +Patients atteints d'insuffisance rénale:
- +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
-L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents. Les données disponibles sur l'utilisation de Copaxone 40 mg/ml chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne sont pas suffisantes pour recommander son utilisation. Copaxone 40 mg/ml ne doit donc pas être utilisé chez ce groupe de patients.
-Site d'injection
-Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de choisir un site différent pour chaque injection afin d'éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
- +Des études cliniques ou pharmacocinétiques prospectives randomisées et contrôlées n'ont pas été effectuées chez des enfants ou adolescents. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Copaxone chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Copaxone ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
- +Mode d'emploi
- +Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes, d'un professionnel de la santé.
- +Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de changer le site d'injection lors de chaque injection pour éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
-De même, Copaxone est contre-indiqué chez les femmes enceintes.
-Copaxone doit être administré uniquement par voie sous-cutanée.
-Copaxone ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
-Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes au début ou en cas d'une reprise du traitement (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»), d'un professionnel de la santé.
-Dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone, peuvent survenir des réactions se manifestant par l'un des symptômes suivants au moins: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin traitant de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
- +Copaxone doit être administré uniquement par voie sous-cutanée. Copaxone ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
- +Dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone, peuvent survenir des réactions se manifestant par au moins l'un des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
-Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier chronique par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Il n'y a pas de données suggérant que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
-Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement par Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
- +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier au long cours par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les présentes études ne permettent pas de conclure à un effet neutralisant des anticorps anti-acétate de glatiramère ou un impact sur l'efficacité clinique de Copaxone.
- +Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement de Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
-Une augmentation de l'incidence des réactions au site d'injection a été observée chez les patients traités simultanément par des corticostéroïdes.
-In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, la co-administration de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
- +L'administration concomitante de corticoïdes jusqu'à 28 jours chez des patients recevant Copaxone a été bien tolérée.
- +In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, l'administration concomitante de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
-Grossesse: on ne dispose pas d'études suffisantes réalisées sur des animaux en ce qui concerne les effets sur la grossesse, le développement de l'embryon, le développement du foetus et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu.
-La sécurité d'emploi de Copaxone au cours de la grossesse n'a pas été établie, car on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte. Copaxone est contre-indiqué pendant la grossesse. Pendant l'emploi de Copaxone chez les femmes en âge de procréer, des mesures contraceptives efficaces doivent être envisagées.
-Allaitement: Copaxone ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec la plus grande précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites dans le lait maternel. Le risque et le bénéfice relatifs pour la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
- +Grossesse: les études menées sur des animaux n'ont mis en évidence aucune toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
- +Les expériences acquises jusqu'à présent avec des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de Copaxone. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Copaxone sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fœtus.
- +Allaitement: Copaxone ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère, de ses métabolites ou de ses anticorps dans le lait maternel. Le risque et le bénéfice relatifs pour la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
-La plupart des données de sécurité relatives à Copaxone ont été réunies avec Copaxone 20 mg/ml administré en injection sous-cutanée une fois par jour. Le chapitre suivant présente les données de sécurité réunies lors de quatre essais contrôlés contre placebo avec Copaxone 20 mg/ml administré une fois par jour et lors d'un essai contrôlé contre placebo avec Copaxone 40 mg/ml administré trois fois par semaine.
-La sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'a pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude; de même, le passage d'un dosage à l'autre n'a pas été étudié.
-Copaxone 20 mg/ml (administré une fois par jour)
-Les réactions au site d'injection ont été les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (70% Copaxone 20 mg/ml vs 37% placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, oedème, inflammation et augmentation de la sensibilité au site d'injection.
-Des réactions immédiates survenant dans les minutes qui suivent l'injection (réactions post-injection) ont été décrites sous les symptômes suivants: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie
-Au moins une composante de ces réactions post-injection immédiates a été rapportée, au moins une fois, par 31% des patients recevant Copaxone 20 mg/ml comparé à 13% dans le groupe placebo.
- +Les fréquences sont définies de la manière suivante:
- +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «inconnus» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Copaxone 20 mg/ml (utilisé une fois par jour)
- +Des réactions au site d'injection ont été le plus fréquemment rapportées (70% pour Copaxone 20 mg/ml vs 37% pour le placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, œdème, inflammation et hypersensibilité au site d'injection.
- +Des réactions immédiates en l'espace de quelques minutes (réaction post-injection) ont été décrites en liaison avec les symptômes suivants: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie. (Au moins un symptôme des réactions post-injection immédiates a été rapporté au moins une fois chez 31% des patients traités par Copaxone 20 mg/ml, contre 13% traités recevant un placebo).
-Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées par placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une SEP rémittente-récurrente (SEP-RR) traités par Copaxone 20 mg/ml, et 271 patients présentant une SEP-RR traités par placebo (duré du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement 36 mois).
-Pendant l'extension ouverte sur une période de 5 ans il n'y a pas eu de changement du profil de risques connu de Copaxone.
- +Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par Copaxone 20 mg/ml, et 271 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par placebo (durée du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement: 36 mois).
- +Pendant l'extension ouverte sur une période de 5 ans, il n'y a pas eu de changement du profil de risques connu de Copaxone.
- +Il doit être indiqué explicitement que les valeurs énumérées dans le tableau ne permettent pas de faire des déductions sur l'incidence des effets secondaires dans la pratique journalière.
- +
-Très fréquents (>1/10): infections (31,8%), grippe (15,4%).
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): bronchite, gastro-entérite, herpes simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): abcès, cellulite, furonculose, herpes zoster, pyélonéphrite.
- +Très fréquents: infection (31,8%), grippe (15,4%)
- +Fréquents: bronchite, gastro-entérite, herpès simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*
- +Occasionnels: abcès, cellulite, furonculose, herpès zoster, pyélonéphrite.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): néoplasme cutané bénin, néoplasmes.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cancer de la peau.
-Rares (>1/10'000, ≤1/1000): lymphome à cellules T.
- +Fréquents: néoplasme cutané bénin, néoplasmes
- +Occasionnels: cancer de la peau
- +Rares: lymphome à cellules T
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): lymphadénopathie*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): leucocytose, leucopénie, splénomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
- +Fréquents: lymphadénopathie*
- +Occasionnels: leucocytose, leucopénie, splenomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): hypersensibilité.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): anaphylaxie.
- +Fréquents: hypersensibilité
- +Occasionnels: anaphylaxie
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): goitre, hyperthyroïdie.
- +Occasionnels: goître, hyperthyroïdie
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): anorexie, prise de poids*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée.
- +Fréquents: anorexie, prise de poids*
- +Occasionnels: intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée
-Très fréquents (>1/10): angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%).
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): nervosité.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide.
- +Très fréquents: angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%)
- +Fréquents: nervosité
- +Occasionnels: rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide
-Très fréquents (>1/10): céphalées (30,9%).
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles du goût, tonus musculaire élevé spastique, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuromusculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie.
- +Très fréquents: céphalées (30,9%)
- +Fréquents: troubles du goût, tonus musculaire spastique élevé, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*
- +Occasionnels: syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuro-musculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): diplopie, troubles fonctionnels des yeux*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cataracte, lésions de la cornée, oeil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique.
- +Fréquents: diplopie, troubles fonctionnels des yeux*
- +Occasionnels: cataracte, lésions de la cornée, œil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): douleurs aux oreilles.
- +Fréquents: douleurs aux oreilles
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): palpitations*, tachycardie*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxysmale.
-Rares (>1/10'000, ≤1/1000): arrêt cardiaque subit.
- +Fréquents: palpitations*, tachycardie*
- +Occasionnels: extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxysmale
- +Rares: insuffisance cardiaque aiguë
-Très fréquents (>1/10): vasodilatation (18,0%)*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): varices.
- +Très fréquents: vasodilatation (18,0%)*,
- +Occasionnels: varices
-Très fréquents (>1/10): dyspnée (13,3%)*.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): toux, rhinite saisonnière.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): apnée, sensation d'étouffement, saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration.
- +Très fréquents: dyspnée (13,3%)*
- +Fréquents: toux, rhinite saisonnière
- +Occasionnels: apnée, sensation d'étouffement, saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration
-Très fréquents (>1/10): nausée (14,5%)*.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère oesophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de la glande salivaire.
- +Très fréquents: nausées (14,5%)*
- +Fréquents: troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*
- +Occasionnels: colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère œsophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de volume de la glande salivaire
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): test de la fonction hépatique anormal.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cholélithiase, hépatomégalie.
- +Fréquents: test de la fonction hépatique anormal
- +Occasionnels: cholélithiase, hépatomégalie
-Très fréquents (>1/10): rash (13,7%)*.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): angio-oedème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
- +Très fréquents: rash (13,7%)*
- +Fréquents: ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire
- +Occasionnels: angioœdème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés
-Très fréquents (>1/10): arthralgies (10,4%), douleurs dorsales (13,5%)*.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): douleurs dans la nuque.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): arthrite, bursite, douleur dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite.
- +Très fréquents (>1/10): arthralgies (10,4%), douleurs dorsales (13,5%)*
- +Fréquents: douleurs dans la nuque
- +Occasionnels: arthrite, bursite, douleurs dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): besoin d'uriner, polyurie, rétention d'urine.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): hématurie, néphrolithiase, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
- +Fréquents: besoin d'uriner, polyurie, rétention d'urine
- +Occasionnels: hématurie, néphrolithiaise, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): avortement.
- +Occasionnels: avortement
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
- +Occasionnels: gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin
-Très fréquents (>1/10): asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*§ (69,5%), douleurs (19,0%)*.
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): frissons*, oedème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection♣, réactions locales*, oedème périphérique, oedème, fièvre.
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non détaillée plus précisément, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses.
- +Très fréquents: asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*§ (69,5%), douleurs (19,0%)*
- +Fréquents: frissons*, œdème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection♣, réactions locales*, œdème périphérique, œdème, fièvre
- +Occasionnels: kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non détaillée plus précisément, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome suite à une vaccination.
-* Incidence de plus de 2% (>2/100) dans le groupe de traitement Copaxone que dans le groupe placebo. Les effets secondaires sans le symbole «*» ont une différence de moins de ou égale à 2%.
-§ Le terme «Réactions au site d'application» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
-♣ Les termes se rapportant à la lipodystrophie localisée au site d'injection sont inclus.
-Copaxone 40 mg/ml (administré trois fois par semaine)
-La sécurité de Copaxone 40 mg/ml a été évaluée sur la base d'un essai clinique contrôlé contre placebo, en double aveugle, chez des patients atteints de SEP-RR avec un total de 943 patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine et 461 patients traités par le placebo pendant 12 mois.
-De façon générale, les effets indésirables observés chez les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont été de même nature que ceux déjà connus pour Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement et mentionnés dans l'information professionnelle autorisée.
-Des réactions au site d'injection ont été rapportées chez 36% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 5% des patients sous placebo. Des réactions post-injection immédiates ont été rapportées chez 8% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 2% des patients sous placebo.
-Quelques effets indésirables spécifiques ont été observés:
-Affections du système immunitaire
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): des réactions anaphylactiques ont été rapportées chez 0,3% des patients traités par Copaxone 40 mg/ml.
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Fréquents (>1/100, ≤1/10): érythème cutané (2,1%), douleur dans les extrémités (2,1%). Ces deux effets indésirables n'ont pas été mentionnés pour Copaxone 20 mg/ml.
-Affections hépatobiliaires
-Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): lésions hépatiques d'origine médicamenteuse (0.1%), hépatite toxique (0,1%).
-Ces deux effets indésirables n'ont été que rarement mentionnés sous Copaxone 20 mg/ml dans le cadre de la surveillance après commercialisation.
- +Occasionnels: syndrome suite à une vaccination
- +* Incidence supérieure de 2% (>2/100) dans le groupe de traitement Copaxone par rapport au groupe placebo. Les effets indésirables sans le symbole «*» ont une différence inférieure ou égale à 2%.
- +§ Le terme «Réactions au site d'injection» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
- +♣ Les termes se rapportant à la lipoatrophie localisée au site d'injection sont inclus.
-Quelques cas de surdosage avec Copaxone (jusqu'à 300 mg d'acétate de glatiramère) ont été rapportés. Ces cas n'ont été associés à aucun effet indésirable autre que ceux déjà connus.
-En cas de surdosage, les patients doivent être suivis et un traitement symptomatique ou complémentaire approprié doit être institué.
- +En cas de surdosage, les patients doivent être suivis et un traitement symptomatique ou complémentaire approprié doit être instauré.
-Code ATC: L03AX13
- +Code ATC:L03AX13
-L'acétate de glatiramère, principe actif de Copaxone, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire moyenne de respectivement de 0,141, 0,427, 0,093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 5000–9000 daltons.
-Le(s) mécanisme(s) par lequel (lesquels) le glatiramère exerce ses effets chez les patients ayant une SEP n'est (ne sont) pas encore complètement élucidé(s). Néanmoins, on pense que l'acétate de glatiramère agit en modifiant des processus immunologiques actuellement considérés responsables de la pathogenèse de la SEP.
- +L'acétate de glatiramère, principe actif de Copaxone, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire relative de respectivement 0,141, 0,427, 0.093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 5000 et 9000 daltons.
- +Le(s) mécanisme(s) par lequel (lesquels) l'acétate de glatiramère exerce ses effets chez les patients ayant une SEP n'est (ne sont) pas encore complètement élucidé(s). Néanmoins, on suppose que l'acétate de glatiramère agit en modifiant des processus immunologiques actuellement considérés responsables de la pathogenèse de la SEP.
-L'acétate de glatiramère induit, par la liaison à la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'EAE.
- +L'acétate de glatiramère induit, par la liaison a la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline, qui est responsable du déclenchement de l'encephalomyélite allergique expérimentale.
-SEP récurrente-rémittente (SEP-RR):
-Les données étayant l'efficacité de Copaxone 40 mg/ml en injection sous-cutanée trois fois par semaine pour réduire la fréquence des poussées sont issues d'une étude de 12 mois contrôlée contre placebo.
-Dans l'étude clinique pivot, la sclérose en plaques récurrente-rémittente était caractérisée par au moins une poussée documentée au cours des 12 derniers mois ou au moins deux poussées documentées au cours des 24 derniers mois ou une poussée documentée entre les 12 et 24 derniers mois avec au moins une lésion rehaussée par le gadolinium en T1 documentée lors d'une IRM effectuée au cours des 12 derniers mois.
-Le critère d'évaluation principal était le nombre total de poussées confirmées. Les critères d'évaluation IRM secondaires incluaient le nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 et le nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1, tous deux mesurés aux mois 6 et 12.
-Au total, 1404 patients ont été randomisés selon un ratio de 2:1 en vue de recevoir soit Copaxone 40 mg/ml (n = 943) soit le placebo (n = 461). Les deux groupes de traitement étaient comparables en termes de caractéristiques démographiques initiales, caractéristiques de la SEP et paramètres IRM. Les patients avaient présenté un nombre médian de 2,0 poussées au cours des 2 années précédant la sélection.
-Par comparaison avec le placebo, les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont présenté des réductions statistiquement significatives des paramètres mesurés comme critères d'évaluation primaires et secondaires, ces réductions étant comparables à l'effet du traitement par Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement.
-Le tableau suivant présente les résultats de mesure du critère d'évaluation principal et des critères d'évaluation secondaires au sein de la population en intention de traiter:
-Paramètre évalué Estimations moyennes ajustées Valeur de p
-Copaxone (40 mg/ml) (n=943) Placebo (n=461)
-Taux annualisé de poussées (TAP) 0,331 0,505 p<0,0001
-Différence des risques absolus* (intervalle de confiance à 95%) -0,174 [-0,2841 à –0,0639]
-Nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 aux mois 6 et 12 3,650 5,592 p<0,0001
-Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,653 [0,546 à 0,780]
-Nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1 aux mois 6 et 12 0,905 1,639 p<0,0001
-Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,552 [0,436 à 0,699]
-
-* La différence des risques absolus est définie comme la différence entre le TAP moyen ajusté sous acétate de glatiramère (AG) 40 mg (3 fois/semaine) et le TAP moyen ajusté sous placebo.
-** Le rapport des taux est défini comme le rapport entre les taux moyens ajustés sous AG 40 mg (3 fois/semaine) et sous placebo.
-Il n'y a pas de preuve que le traitement par Copaxone ait eu un effet sur la progression du handicap ou la durée des poussées au cours de cette étude de 12 mois.
-Le bénéfice thérapeutique de Copaxone chez les patients ayant une SEP progressive primaire ou secondaire n'a pas été démontré jusqu'ici.
-L'efficacité et la sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'ont pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude.
- +SEP récurrente-rémittente (SEP RR):
- +Au total, 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux attaques de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbation) en l'espace des deux dernières années, ont été traités par Copaxone 20 mg/ml dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (Copaxone n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités avec Copaxone durant 35 mois maximum (Copaxone n = 125, placebo n = 126). La dernière étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (Copaxone n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait être présente à l'IRM.
- +Une réduction significative du nombre de poussées, une tendance à une augmentation du pourcentage de patients demeurant indemnes de poussées ainsi qu'une prolongation du délai d'apparition de nouvelles poussées ont été observées chez les patients traités par Copaxone. Des effets positifs ont également pu être observés sur les paramètres IRM importants des formes rémittentes de la SEP.
- +Dans la plus grande étude contrôlée, le taux de poussées a été réduit de 32%; de 1,98 sous placebo à 1,34 sous Copaxone.
- +Tout au long du traitement, les patients sous Copaxone étaient plus nombreux par rapport au groupe placebo à voir leur état soit se stabiliser sur le plan neurologique, soit s'améliorer, et l'évolution moyenne de l'échelle de cotation du handicap EDSS (Expanded Disability Status Scale) de Kurtzke, par rapport à sa valeur initiale, a également été en faveur de Copaxone.
- +Des données d'exposition à ce traitement sont disponibles avec un recul d'au moins 6 ans.
- +Copaxone n'a cependant pas eu d'influence positive sur la progression des handicaps des patients atteints de SEP récurrente rémittente.
- +Il n'a pas été mis en évidence qu'un traitement par Copaxone influence la durée ou le degré de sévérité d'une poussée.
- +Jusqu'à présent, le bénéfice de Copaxone chez les patients présentant une affection progressive primaire ou secondaire n'a pas encore été mis en évidence.
- +Aucune étude portant sur la comparaison directe de l'efficacité et la sécurité entre Copaxone 20 mg/ml (utilisé quotidiennement) et 40 mg/ml (utilisé trois fois par semaine) ni aucune étude portant sur le passage d'un dosage à l'autre n'a été effectuée.
- +Clinically Isolated Syndrome:
- +Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (Copaxone n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur des patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (CIS) et une IRM anormale (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 de plus de 6 mm de diamètre), sur plus de 3 ans. D'autres maladies devaient être exclues. 198 patients sur 243 dans le groupe Copaxone et 211 patients sur 238 dans le groupe placebo ont été inclus dans la phase d'extension ouverte sur 2 ans.
- +En comparaison avec le placebo durant la durée du traitement contrôlée contre placebo allant jusqu'à trois ans, Copaxone a retardé la progression à partir du premier épisode clinique jusqu'à la SEP clinique définitive (hazard ratio = 0,55; IC à 95% [0,40; 0,77], valeur p = 0,0005). Copaxone a prolongé la durée de temps jusqu'à l'apparition de la SEP clinique définitive de 336 jours chez le groupe placebo, à 722 jours chez le groupe Copaxone. Le nombre de nouvelles lésions T2 était plus bas de manière statistiquement significative chez les patients sous Copaxone (valeur p <0,0001), le volume des lésions T2 a montré une réduction significative de 25% du volume des lésions T2 (valeur p = 0,0002). Le nombre de patients à développer une SEP était de 43% avec le placebo et de 25% avec Copaxone (valeur p = 0,0001).
- +Le risque de développer une SEP clinique définitive au cours des trois années suivantes en fonction des symptômes initiaux était plus prononcée dans le groupe «cérébral» que dans le groupe «optique» ou «spinal».
- +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été obtenu en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les études disponibles ne permettent pas de suggérer que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
- +L'effet obtenu durant l'étude placébo-contrôlée est resté constant sur la phase d'observation de 5 ans. Le temps de la progression jusqu'à la SEP clinique définitive a été prolongé par un traitement au Copaxone précoce. En comparaison avec un traitement plus tardif, le traitement précoce a diminué significativement le risque de progression jusqu'à la SEP clinique définitive selon les critères de Poser (p=0,0005). L'effet favorable d'un traitement précoce avec Copaxone en comparaison avec un traitement tardif a pu être prouvé au moyen des paramètres IRM.
-Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de génotoxicité ou de cancérogenèse ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme.
- +Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de toxicité sur la reproduction, de génotoxicité ou de cancérogenèse ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme qui n'est pas déjà énoncé dans d'autres rubriques de l'information professionnelle. En raison du manque de données pharmacocinétiques chez l'homme, aucune déclaration relative aux marges d'exposition entre l'homme et l'animal ne peut être faite.
-Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration à des animaux sensibilisés (cobaye et souris).
-Une toxicité au site d'injection après administration répétée chez l'animal a été fréquemment rapportée.
-Les études menées sur la reproduction sont à ce jour insuffisantes en ce qui concerne les effets foeto-embryonnaires ou le développement post-natal.
- +Dans une étude de 2 ans menée chez les rats, aucun indice de dépôt de complexes immuns dans les glomérules n'a été mis en évidence.
- +Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration d'acétate de glatiramère à des animaux sensibilisés (cobayes et souris). La pertinence de ces résultats pour l'homme n'est pas connue.
- +Des réactions toxiques ont été fréquemment rapportées au site d'injection après administration répétée chez l'animal.
-Seringues préremplies:
-Le contenu des seringues préremplies de Copaxone ne doit pas être mélangé à aucun autre médicament.
- +Seringue préremplie:
- +Le contenu des seringues préremplies Copaxone ne doit pas être mélangé à aucun autre médicament.
-Le médicament ne doit être utilisé que jusqu'à la date imprimée sur l'emballage avec la mention EXP.
-Indications particulières pour la conservation
-Tenir hors de la portée des enfants.
-Les seringues préremplies de Copaxone doivent être conservées à l'abri de la lumière dans leur emballage original, au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Exceptionnellement, il est possible de conserver les seringues préremplies de Copaxone à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois maximum à température ambiante (entre 15 °C et 25 °C).
-Ne pas congeler les seringues préremplies de Copaxone.
-Remarques spéciales relatives à l'administration
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques concernant le stockage:
- +Tenir hors de portée des enfants.
- +Les seringues préremplies Copaxone doivent être conservées à l'abri de la lumière dans leur emballage original au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Exceptionnellement, il est possible de conserver les seringues préremplies Copaxone à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois maximum à température ambiante (entre 15 °C et 25 °C). Ne pas congeler les seringues Copaxone préremplies.
- +Remarques concernant la manipulation
-Copaxone 40 mg/ml: seringues préremplies emballées individuellement sous blister: 12
-Liste B.
- +Copaxone 20 mg/ml seringue préremplie (4× 7, emballées séparément sous blister): 28
- +Liste B
-Août 2016
-Numéro de version interne: 2.0
- +Juin 2017.
- +Numéro de version interne: 3.2
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